Elle a réussi...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elle a réussi...
Une fois encore, c’est auprès de moi que vient se consoler Marie-Louise. Une longue blonde, à grands yeux noisette et lourde bouche boudeuse soigneusement fardée. La coquine joue de son corps. À chacune de nos rencontres, je me pose chaque fois la question de savoir si sa chatte est aussi charnue que sa bouche.
Aux dires de certaines personnes la connaissant très bien, elle a un point faible. Celui du goût immodéré des hommes. Et je pense que cet écho est peut-être justifié. Avant qu’elle dialogue avant moi, elle avait tendance à me regarder de façon insistante.
Même si la tentation était forte, je gardais mes distances. Je répondais à ses regards interrogateurs par des sourires naïfs. C’était une époque où elle jouait déjà dans une comédie musicale, comme aujourd’hui. Avec bien entendu, de nombreuses répétitions dans la salle. Et la coquine ne manquait pas d’imagination pour s’exhiber devant moi.
Cela allé de la sortie presque nue des vestiaires. Où de finir de s’habiller porte de vestiaire ouverte quand je me trouvai dans le couloir. Enfilant en toute innocence sa jupe par-dessus son string. Comme elle cherchait à plusieurs occasions à me surprendre nu, entrant sans y être invitée dans mon vestiaire au moment de ma douche.
Et ce soir, de nouveau elle remet ça. Me rejoignant dans mon bureau après sa répétition.
-Ça a été la répétition Marie-Louise ?
- Comme ci, comme ça ! Dit-elle. Tu ne sais peut-être pas, mais en ce moment, ça ne va pas très bien à la maison. Et cela se répercute dans les répétitions.
- T’inquiète… cela va s’arranger !
- Pas si mon Paul ne décide pas de changer de métier. Comme tu sais, il est appelé à beaucoup voyager pour une durée indéterminée. Je le vois qu’en fin de semaine. Et exclusivement si des imprévus ne viennent pas s’ajouter.
- Tout ça est bien fâcheux !
- Oui, comme tu le dis si bien ! Mais de toi à moi, fait-elle en s’approchant au plus près de moi pour me murmurer un : mon mari est loin d’être comme toi !
- Et qu’est-ce que tu en sais de ce que je suis ?
- J’ai des connaissances qui parlent !
- Et que te disent tes connaissances ?
- Plein de choses ! Si tu veux savoir, tu es décrit comme tout le contraire de mon mari.
- Cela ne m’avance pas beaucoup !
- Lui, est loin d’être pervers et n’a pas beaucoup d’imagination, ça te va ?
- Un peu !
- Alors je me réfugie dans le mirage et surtout dans le plaisir solitaire. Tu ne m’en veux pas d’être franche avec toi !
- Si cela peut te faire du bien de parler à quelqu’un !
- Oui, surtout à toi. Il m’arrive d’écarter les cuisses, imaginant toutes sortes de situations. Par exemple, que tu sonnes à la porte et que je vais t’ouvrir toute nue. Parce que je sais que c’est toi. J’éprouve alors au creux du ventre le picotement très agréable.
Elle s’écarte de moi.
-Tu en as un peu marre d’écouter mes jérémiades.
- Pas du tout, cela devient croustillant !
-Comme tu veux !
Elle s’installe pour ça sur le fauteuil à côté du bureau. Feignant de ne pas s’apercevoir que son entrecuisse, avec sa grosse touffe brune, est visible dans l’échancrure de sa robe de scène et que les pointes de ses seins tendent le tissu.
- Bien sûr, après ça, tu devines que je reste sur ma faim avec mon mari, côté cul !
Elle se met à croiser et décroiser les jambes. Et je peux apercevoir pendant quelques fractions de secondes, sa touffe brune, alors qu’elle cherche ce qu’elle va encore me dire, se tortillant à sa place.
- Nous baisons de façon classique, tu vois. Lui coucher sur moi !
- C’est mieux que rien, non ?
Je la sens très indécise.
- Oui… question de parler !
Je fais glisser mon regard de ses chevilles, jusqu’à ses yeux. Il me semble que les pointes de ses seins sont encore plus dures et dressées, sous le textile.
- Je ne serais pas contre être prise autrement, tu vois comment ce que je veux dire ?
- Non, pas exactement !
- Avec brutalité, quoi !
- Là, je vois !
Son abstinence provisoire doit engendrer une multiplication de fantasmes !
Alors qu’elle poursuit son récital, je la surprends une fois encore à se tortiller légèrement du bassin, pendant que sa voix devient moins assurée.
-Cela te fait du bien de m’en parler ?
Elle baisse les yeux en faisant un signe de tête affirmatif. Après un long silence, les yeux toujours baissés, elle me confesse :
- Je pense que je vais demander le divorce.
- Réfléchis bien avant !
- C’est tout réfléchie. L’absence à répercuter de mon mari m’y contraint.
Son langage devient plus discret, moins gêné aussi. Mais sa voix n’est pas très assurée et elle ne cesse pas de se tortiller à sa place. Je comprends qu’elle prend son pied à se confesser ainsi.
- Parle-lui franchement de tes préoccupations. Comme tu le fais à présent avec moi !
Elle réfléchit, les yeux au plafond, les lèvres entrouvertes.
-Je ne crois pas que cela va suffire, Alain ! Et même, cela ne résout pas le changer en gros cochon avec moi !
Elle rougit violemment en prononçant ces derniers mots. Il est clair chez moi, qu’elle me sonde.
- Seule un bon amant peut…
Elle baisse les yeux sans achever sa phrase. Il y eut un long silence que je veille à ne pas interrompre. Elle finit par tout dire, les yeux baissés, le visage écarlate.
- J’ai besoin d’un amant qui me donne beaucoup de plaisir, voilà tout !
- Si cela peut protéger ton mariage, pourquoi pas !
- Dis-moi, Alain, est-ce que je suis à ton goût ? Laisse-t-elle tomber de but en blanc, en se saisissant de ma main. Je te fais de l’effet ?
Là, une option se pose à moi. De savoir si je vais me laisser tenter, ou alors je passe pour un minable devant ses yeux. La réplique me parvient dans la seconde qui suit, en m’approchant d’elle, et de poser ma main sur sa cuisse.
-C’est mieux que des mots !
Je la caresse. Tout de suite elle m’offre ses lèvres.
-On pourrait faire ça ailleurs que dans ton bureau, tu ne crois pas ?
-Pourquoi pas. Je pense que l’heure qu’il est, tout le monde a déserté la salle. Sur la scène cela te dit ?
- C’est une idée qui me m’enchante. Que de souvenirs lors des prochaines répétitions !
Je la prends par la main et l’entraîne jusqu’au lieu choisi. Il se trouve que dans leur décor de scène se trouve un vieux canapé. Je l’insiste à s’asseoir dessus. Je passe la main dans son décolleté. Deux seins fermes s’offrent à mes doigts. Je les caresse, les malaxe, les embrasse. Ses tétons sont de marbre. Je les libère de leurs protections. Je m’amuse à les mordiller.
Elle décide de passer à la vitesse supérieure. Pour cela, elle se débarrasse de sa robe. Je la laisse faire afin de profiter amplement du spectacle qu’elle m’offre.
Suite à cela, la malicieuse s’attaque à mes vêtements avec dextérité. Elle dépose des baisers sur tout mon torse. Elle commence par le haut et descend jusqu’à ma queue. Elle joue avec mes bourses, et elle avale ma queue.
- Ça te dit de devenir mon amant ? Me demande-t-elle.
- Pourquoi pas !
- Tu ne regretteras pas, crois-moi !
J’agrippe ses cheveux pour donner le rythme. Elle fait ça divinement bien. Je n’attends pas qu’elle me mène à l’orgasme, pour m’occuper d’elle. Je m’installe entre ses cuisses et plonge ma tête dans sa fourche. J’y mets toute mon ardeur. Elle aime ça se faire bouffer la chatte. Et elle me le fait savoir, en poussant de petits gémissements. Elle décide ensuite de passer à autre chose. Elle se lève. On s’embrasse.
- Prends par derrière.
Elle se retourne. La vue qu’elle m’offre est magnifique. Je ne la fais pas attendre plus longtemps. Par respect pour son mari, elle exige que je l’encule. Je m’exécute. Entre ses fesses son anus souple avale ma queue sans protestations excessives.
Profondément excité par cette femme mal entretenue, je suis au mieux de ma forme et elle apprécie. Ma queue est aux anges. Elle n’est pas la seule, d’ailleurs ! Le corps de Marie-Louise s’arc-boute au rythme de mes va-et-vient.
Mais bientôt, sous la douce caresse de ce fourreau, ma queue commence à s’agiter spasmodiquement.
- Oh ! Oui ça vient… je vais jouir… laisse choir Marie-Louise dans un râle.
Au moment où je sens son anneau vibrer de plaisir autour de ma queue, je gicle au fond de son cul et nous crions ensemble notre satisfaction.
C’est Marie-Louise qui me propose plus tard qu’on se revoit de temps à autre. Pourquoi pas après les répétitions. Et c’est bien sûr ce qui s’est produit, clandestinement.
Car tout ce qu’elle pouvait dire de mal de son mari, elle l’aimait tout de même. Malgré qu’il soit loin ne la contenter au lit.
Une façon parmi d’autre de le conserver…
Aux dires de certaines personnes la connaissant très bien, elle a un point faible. Celui du goût immodéré des hommes. Et je pense que cet écho est peut-être justifié. Avant qu’elle dialogue avant moi, elle avait tendance à me regarder de façon insistante.
Même si la tentation était forte, je gardais mes distances. Je répondais à ses regards interrogateurs par des sourires naïfs. C’était une époque où elle jouait déjà dans une comédie musicale, comme aujourd’hui. Avec bien entendu, de nombreuses répétitions dans la salle. Et la coquine ne manquait pas d’imagination pour s’exhiber devant moi.
Cela allé de la sortie presque nue des vestiaires. Où de finir de s’habiller porte de vestiaire ouverte quand je me trouvai dans le couloir. Enfilant en toute innocence sa jupe par-dessus son string. Comme elle cherchait à plusieurs occasions à me surprendre nu, entrant sans y être invitée dans mon vestiaire au moment de ma douche.
Et ce soir, de nouveau elle remet ça. Me rejoignant dans mon bureau après sa répétition.
-Ça a été la répétition Marie-Louise ?
- Comme ci, comme ça ! Dit-elle. Tu ne sais peut-être pas, mais en ce moment, ça ne va pas très bien à la maison. Et cela se répercute dans les répétitions.
- T’inquiète… cela va s’arranger !
- Pas si mon Paul ne décide pas de changer de métier. Comme tu sais, il est appelé à beaucoup voyager pour une durée indéterminée. Je le vois qu’en fin de semaine. Et exclusivement si des imprévus ne viennent pas s’ajouter.
- Tout ça est bien fâcheux !
- Oui, comme tu le dis si bien ! Mais de toi à moi, fait-elle en s’approchant au plus près de moi pour me murmurer un : mon mari est loin d’être comme toi !
- Et qu’est-ce que tu en sais de ce que je suis ?
- J’ai des connaissances qui parlent !
- Et que te disent tes connaissances ?
- Plein de choses ! Si tu veux savoir, tu es décrit comme tout le contraire de mon mari.
- Cela ne m’avance pas beaucoup !
- Lui, est loin d’être pervers et n’a pas beaucoup d’imagination, ça te va ?
- Un peu !
- Alors je me réfugie dans le mirage et surtout dans le plaisir solitaire. Tu ne m’en veux pas d’être franche avec toi !
- Si cela peut te faire du bien de parler à quelqu’un !
- Oui, surtout à toi. Il m’arrive d’écarter les cuisses, imaginant toutes sortes de situations. Par exemple, que tu sonnes à la porte et que je vais t’ouvrir toute nue. Parce que je sais que c’est toi. J’éprouve alors au creux du ventre le picotement très agréable.
Elle s’écarte de moi.
-Tu en as un peu marre d’écouter mes jérémiades.
- Pas du tout, cela devient croustillant !
-Comme tu veux !
Elle s’installe pour ça sur le fauteuil à côté du bureau. Feignant de ne pas s’apercevoir que son entrecuisse, avec sa grosse touffe brune, est visible dans l’échancrure de sa robe de scène et que les pointes de ses seins tendent le tissu.
- Bien sûr, après ça, tu devines que je reste sur ma faim avec mon mari, côté cul !
Elle se met à croiser et décroiser les jambes. Et je peux apercevoir pendant quelques fractions de secondes, sa touffe brune, alors qu’elle cherche ce qu’elle va encore me dire, se tortillant à sa place.
- Nous baisons de façon classique, tu vois. Lui coucher sur moi !
- C’est mieux que rien, non ?
Je la sens très indécise.
- Oui… question de parler !
Je fais glisser mon regard de ses chevilles, jusqu’à ses yeux. Il me semble que les pointes de ses seins sont encore plus dures et dressées, sous le textile.
- Je ne serais pas contre être prise autrement, tu vois comment ce que je veux dire ?
- Non, pas exactement !
- Avec brutalité, quoi !
- Là, je vois !
Son abstinence provisoire doit engendrer une multiplication de fantasmes !
Alors qu’elle poursuit son récital, je la surprends une fois encore à se tortiller légèrement du bassin, pendant que sa voix devient moins assurée.
-Cela te fait du bien de m’en parler ?
Elle baisse les yeux en faisant un signe de tête affirmatif. Après un long silence, les yeux toujours baissés, elle me confesse :
- Je pense que je vais demander le divorce.
- Réfléchis bien avant !
- C’est tout réfléchie. L’absence à répercuter de mon mari m’y contraint.
Son langage devient plus discret, moins gêné aussi. Mais sa voix n’est pas très assurée et elle ne cesse pas de se tortiller à sa place. Je comprends qu’elle prend son pied à se confesser ainsi.
- Parle-lui franchement de tes préoccupations. Comme tu le fais à présent avec moi !
Elle réfléchit, les yeux au plafond, les lèvres entrouvertes.
-Je ne crois pas que cela va suffire, Alain ! Et même, cela ne résout pas le changer en gros cochon avec moi !
Elle rougit violemment en prononçant ces derniers mots. Il est clair chez moi, qu’elle me sonde.
- Seule un bon amant peut…
Elle baisse les yeux sans achever sa phrase. Il y eut un long silence que je veille à ne pas interrompre. Elle finit par tout dire, les yeux baissés, le visage écarlate.
- J’ai besoin d’un amant qui me donne beaucoup de plaisir, voilà tout !
- Si cela peut protéger ton mariage, pourquoi pas !
- Dis-moi, Alain, est-ce que je suis à ton goût ? Laisse-t-elle tomber de but en blanc, en se saisissant de ma main. Je te fais de l’effet ?
Là, une option se pose à moi. De savoir si je vais me laisser tenter, ou alors je passe pour un minable devant ses yeux. La réplique me parvient dans la seconde qui suit, en m’approchant d’elle, et de poser ma main sur sa cuisse.
-C’est mieux que des mots !
Je la caresse. Tout de suite elle m’offre ses lèvres.
-On pourrait faire ça ailleurs que dans ton bureau, tu ne crois pas ?
-Pourquoi pas. Je pense que l’heure qu’il est, tout le monde a déserté la salle. Sur la scène cela te dit ?
- C’est une idée qui me m’enchante. Que de souvenirs lors des prochaines répétitions !
Je la prends par la main et l’entraîne jusqu’au lieu choisi. Il se trouve que dans leur décor de scène se trouve un vieux canapé. Je l’insiste à s’asseoir dessus. Je passe la main dans son décolleté. Deux seins fermes s’offrent à mes doigts. Je les caresse, les malaxe, les embrasse. Ses tétons sont de marbre. Je les libère de leurs protections. Je m’amuse à les mordiller.
Elle décide de passer à la vitesse supérieure. Pour cela, elle se débarrasse de sa robe. Je la laisse faire afin de profiter amplement du spectacle qu’elle m’offre.
Suite à cela, la malicieuse s’attaque à mes vêtements avec dextérité. Elle dépose des baisers sur tout mon torse. Elle commence par le haut et descend jusqu’à ma queue. Elle joue avec mes bourses, et elle avale ma queue.
- Ça te dit de devenir mon amant ? Me demande-t-elle.
- Pourquoi pas !
- Tu ne regretteras pas, crois-moi !
J’agrippe ses cheveux pour donner le rythme. Elle fait ça divinement bien. Je n’attends pas qu’elle me mène à l’orgasme, pour m’occuper d’elle. Je m’installe entre ses cuisses et plonge ma tête dans sa fourche. J’y mets toute mon ardeur. Elle aime ça se faire bouffer la chatte. Et elle me le fait savoir, en poussant de petits gémissements. Elle décide ensuite de passer à autre chose. Elle se lève. On s’embrasse.
- Prends par derrière.
Elle se retourne. La vue qu’elle m’offre est magnifique. Je ne la fais pas attendre plus longtemps. Par respect pour son mari, elle exige que je l’encule. Je m’exécute. Entre ses fesses son anus souple avale ma queue sans protestations excessives.
Profondément excité par cette femme mal entretenue, je suis au mieux de ma forme et elle apprécie. Ma queue est aux anges. Elle n’est pas la seule, d’ailleurs ! Le corps de Marie-Louise s’arc-boute au rythme de mes va-et-vient.
Mais bientôt, sous la douce caresse de ce fourreau, ma queue commence à s’agiter spasmodiquement.
- Oh ! Oui ça vient… je vais jouir… laisse choir Marie-Louise dans un râle.
Au moment où je sens son anneau vibrer de plaisir autour de ma queue, je gicle au fond de son cul et nous crions ensemble notre satisfaction.
C’est Marie-Louise qui me propose plus tard qu’on se revoit de temps à autre. Pourquoi pas après les répétitions. Et c’est bien sûr ce qui s’est produit, clandestinement.
Car tout ce qu’elle pouvait dire de mal de son mari, elle l’aimait tout de même. Malgré qu’il soit loin ne la contenter au lit.
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