Elle a vendu son pyjama sur le Bon Coin
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2022 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Elle a vendu son pyjama sur le Bon Coin
Ma copine a revendu son pyjama.
C'était un pyjama assez sexy. Et moi je l'aimais bien. Ma copine aussi je l'aimais bien, sûr mais son pyjama surtout. Enfin elle dedans le pyjama. C'est ça que j'aimais bien. Les deux, quoi.
Laissez-moi vous dire comment il était, ce pyjama, et vous comprendrez aisément pourquoi je l'aimais. Le pyjama s'entend.
D'abord elle le vêtait aussitôt qu'elle était rentrée chez nous.
Elle posait en arrivant son sac à main de gonzesse sur la table du salon, ne me faisait même pas de bisou de salutation mais filait à la douche en vitesse.
Elle disait, moi j'aime sentir bon la savonnette plutôt que le relent d'aisselles chavirées par le gong de cinq heures. Et je ne parle pas du reste. Qui ne vaut guère mieux, après la journée, de muffins sur gousset en moiteurs olfactives pires que madeleines de Proust.
Sûr que quand elle vaquait dans la cuisine dans la chambre en pyjama toute propre de chez propre, toute ramonée au savon liquide ph7, toute ointe d'huiles essentielles odorantes, et le regard limpide, elle me chavirait et je n'avais qu'une idée, souper rapidement pour aller l'enfiler en toute sérénité toute la nuit durant. En sautant le prime de la télé.
Tant qu'à sauter quelque chose, autant que ce soit elle ! Non ? Enfin, moi je crois.
Alors, ce pyjama, je vous le dis comment il était ? Parce que maintenant il n'est plus. Maintenant qu'elle l'a vendu.
J'aurais jamais cru ça, qu'on puisse vendre son pyjama sur le Bon Coin. En plus un pyjama que j'aimais tant.
Si j'avais su avant, c'est moi qui l'eusse acheté. Pour le lui rendre, pour le lui redonner.
Bon, je vous raconte.
Le haut était chaste. Manches longues serrées aux poignets, col haut sur le cou, plastron de poitrine moulant ses petits seins aux tétons minuscules. Juste faut reconnaître que ce haut était un peu déficient en longueur et qu’on voyait son nombril, découvert sous l’étoffe au hasard de ses danses.
Ce nombril était extrêmement sexy. Profond, comme encastré au creux de son ventre avec de multiples volutes de peau plissée. Quand on voyait cet ombilic, on ne pouvait se retenir de se précipiter pour le biser et à fond y fourrer sa langue. C’était comme une vulve de gamine prépubère, imberbe, glabre…Et en plus on n’allait pas bien loin, pas bien profond, la fillette était vierge, la langue pourtant incisive ne pouvait pénétrer plus avant. Cet hymen-là était d’une résistance à toute épreuve et nous en étions bien marris.
Bon, c’est juste pour vous dire l’effet que ce pyjama me faisait. Est-ce cela que l’on nomme fétichisme ?
Mais côté bas, c’était légende des siècles c’était mythologie. Iliade et Odyssée. Ulysse à Troie.
Ce pyjama était sorte de pantacourt de rando. Les jambettes s’arrêtaient just’au dessus des genoux par des rubans serrant le fin coton blanc sur le bas de cuisse encore un peu charnu.
Les rubans hors le noeud pendaient et virevoltaient comme accroche cœurs. Qui appelaient la main pour les dénouer.
Mais le fabuleux était plus haut.
Vu de dos, son dos tombait en fesses larges et ouvertes et le pyjama blanc les vrapait, chacune.
Hanches larges et taille fine et le pyjama de cotonnade et l’entre- cuisse largement accueillante.
Côté pile, la touffe sombre, le bouton de ceinture qui trônait en dessus pour tenir le pyjama clos malgré l’ouvert large de braguette béante.
Son acolyte, petit bouton minuscule complémentaire, tentait plus bas en vain de retenir le regard perdu dans les volutes frisées et noires.
Imagination exploratrice des villosités trempées et bandaison conséquente irrépressible.
Elle a vendu son pyjama sur le Bon Coin.
Heureux, le Bon Coin … moi moins.
C'était un pyjama assez sexy. Et moi je l'aimais bien. Ma copine aussi je l'aimais bien, sûr mais son pyjama surtout. Enfin elle dedans le pyjama. C'est ça que j'aimais bien. Les deux, quoi.
Laissez-moi vous dire comment il était, ce pyjama, et vous comprendrez aisément pourquoi je l'aimais. Le pyjama s'entend.
D'abord elle le vêtait aussitôt qu'elle était rentrée chez nous.
Elle posait en arrivant son sac à main de gonzesse sur la table du salon, ne me faisait même pas de bisou de salutation mais filait à la douche en vitesse.
Elle disait, moi j'aime sentir bon la savonnette plutôt que le relent d'aisselles chavirées par le gong de cinq heures. Et je ne parle pas du reste. Qui ne vaut guère mieux, après la journée, de muffins sur gousset en moiteurs olfactives pires que madeleines de Proust.
Sûr que quand elle vaquait dans la cuisine dans la chambre en pyjama toute propre de chez propre, toute ramonée au savon liquide ph7, toute ointe d'huiles essentielles odorantes, et le regard limpide, elle me chavirait et je n'avais qu'une idée, souper rapidement pour aller l'enfiler en toute sérénité toute la nuit durant. En sautant le prime de la télé.
Tant qu'à sauter quelque chose, autant que ce soit elle ! Non ? Enfin, moi je crois.
Alors, ce pyjama, je vous le dis comment il était ? Parce que maintenant il n'est plus. Maintenant qu'elle l'a vendu.
J'aurais jamais cru ça, qu'on puisse vendre son pyjama sur le Bon Coin. En plus un pyjama que j'aimais tant.
Si j'avais su avant, c'est moi qui l'eusse acheté. Pour le lui rendre, pour le lui redonner.
Bon, je vous raconte.
Le haut était chaste. Manches longues serrées aux poignets, col haut sur le cou, plastron de poitrine moulant ses petits seins aux tétons minuscules. Juste faut reconnaître que ce haut était un peu déficient en longueur et qu’on voyait son nombril, découvert sous l’étoffe au hasard de ses danses.
Ce nombril était extrêmement sexy. Profond, comme encastré au creux de son ventre avec de multiples volutes de peau plissée. Quand on voyait cet ombilic, on ne pouvait se retenir de se précipiter pour le biser et à fond y fourrer sa langue. C’était comme une vulve de gamine prépubère, imberbe, glabre…Et en plus on n’allait pas bien loin, pas bien profond, la fillette était vierge, la langue pourtant incisive ne pouvait pénétrer plus avant. Cet hymen-là était d’une résistance à toute épreuve et nous en étions bien marris.
Bon, c’est juste pour vous dire l’effet que ce pyjama me faisait. Est-ce cela que l’on nomme fétichisme ?
Mais côté bas, c’était légende des siècles c’était mythologie. Iliade et Odyssée. Ulysse à Troie.
Ce pyjama était sorte de pantacourt de rando. Les jambettes s’arrêtaient just’au dessus des genoux par des rubans serrant le fin coton blanc sur le bas de cuisse encore un peu charnu.
Les rubans hors le noeud pendaient et virevoltaient comme accroche cœurs. Qui appelaient la main pour les dénouer.
Mais le fabuleux était plus haut.
Vu de dos, son dos tombait en fesses larges et ouvertes et le pyjama blanc les vrapait, chacune.
Hanches larges et taille fine et le pyjama de cotonnade et l’entre- cuisse largement accueillante.
Côté pile, la touffe sombre, le bouton de ceinture qui trônait en dessus pour tenir le pyjama clos malgré l’ouvert large de braguette béante.
Son acolyte, petit bouton minuscule complémentaire, tentait plus bas en vain de retenir le regard perdu dans les volutes frisées et noires.
Imagination exploratrice des villosités trempées et bandaison conséquente irrépressible.
Elle a vendu son pyjama sur le Bon Coin.
Heureux, le Bon Coin … moi moins.
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