Elle dors ou elle dors pas ? va savoir...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 216 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Alainylon ont reçu un total de 1 919 430 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 20 871 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Elle dors ou elle dors pas ? va savoir...
Après le déjeuner et le café pris en famille dans la cuisine, ma mère a tout bonnement décidé de but en blanc, d’aller rendre une petite visite à sa belle-sœur habitant pas très loin de chez nous. Mais évidemment il n’était pas question qu’elle y aille seule, elle a assisté pour que toute la famille l’accompagne. À l’exception de Marianne ma belle-sœur, souffrante. Qui sans manger, avait été rejoindre ma chambre pour s’y allongé. Et bien sûr, comme il fallait qu’une personne se désigne pour rester pour la surveiller. Je me suis proposé. Prétendant des devoirs à terminer. Et cela tombé très bien, j’avais à regarder ma série préférée à la télé.
Après le feuilleton, j’ai décidé d’aller voir du côté de ma chambre, pour prendre des nouvelles sur la santé de ma belle-sœur. J’ai fait pivoter la porte sur ses gonds. Dans la chambre où il régnait une touffeur. Et tout de suite mes narines ont frémir, à l’odeur aigre que seule une femme échauffée peu diffuser.
Dans la semi-pénombre j’ai pu apercevoir ma belle-sœur profondément endormie en chien de fusil sur mon lit.
- Marianne tu dors, tu dors ? Ai-je Chuchoté. Espérant au plus profond de moi qu‘elle ne réponde pas à mon appel.
Encouragé, je me suis approché du lit. Là je me suis agenouillé pour me trouver juste à la bonne hauteur. Celle-là même qui m’a permis, d’apercevoir que les boutons du haut de sa robe portefeuille avait été déboutonné sur le devant et cela jusqu’à son nombril. Entre les deux pans généreusement écartés, ses gros seins fermes tendaient le soutien-gorge en dentelle de couleur vert pomme, à en faire péter les coutures. De-même, le bas de sa robe était quant à elle, retroussée à mi-cuisse.
- Tu dors ? Ai-je répété, comme pour me réconforter.
Et bien sûr je n’ai reçu aucune réponse de sa part. Rien qu’une forte respiration. Les anges étaient vraiment de mon côté. Comme quoi, le sacrifice paye toujours.
Je me suis penché au-dessus de son pied droit et je l’ai humé. Emplissant mes narines de son odeur suave. Puis j’ai posé mes lèvres pour l’embrasser, avant de faire glisser ma langue sur la peau. Laissant derrière son passage une traînée de bave. Et pas à un seul moment elle a réagit. Elle était vulnérable. Je pouvais faire comme bon me semble avec elle.
Mais cette idée a fendu comme neige au soleil. À cause de mon éthique. Oui ! Ma morale, parce qu’à cette époque j’en avais encore une. Et bien que ma verge m’implorait de m’occuper d’elle, j’ai eu une pensé pour mon frère. Et cette seule image à fait tout basculer, assez pour me dissuader de sortir de cette chambre pour retourner devant la télé.
Mais au moment où je m’apprêtais à passer la porte, Marianne s’est agité dans son sommeil. Assez pour permettre à son décolleté de s’ouvrir davantage. Et ainsi exhibait son soutien-gorge qui ne cacher plus rien de ses gros seins. Aux mamelons tendus. Plus bas, toujours suite à son agitation, sa robe a roulé jusqu’au niveau des hanches. Étalant une culotte rose, dont le cordon de tissu disparaissait entre les fesses pour réapparaître plus bas, gonflé par la chatte. Dont les lèvres étaient moulées par le tissu.
Puis j’ai centralisé mon regard sur son cul. Tout rond, dont la pâleur contrastait avec le rose de sa culotte. Son galbe était parfait. Deux demie-pastèques qui me donnaient envie de croquer dedans. Puis mon regard a coulé sur la couture de l’empiècement rose, frontière avec la zone intime. Une indécence qui me laissait la gorge sèche. À m’en faire oublier pour un temps, toutes mes bonnes résolutions. À omettre même, qu’elle était la femme de mon frère.
À ne pas pouvoir me contenir de glisser deux doigts entre les cuisses de ma belle-sœur et prendre le risque de lui caresser l’entrejambe. Marianne a émit un gémissement et s’est tournée pour se placer à plat ventre, les genoux écartés.
J’ai attendu quelques secondes, et j’ai posé ma main entre les fesses nues. Que j’ai fait descendre jusqu’à ce qu’elle atteigne l’empiècement chaud et moite de la culotte. J’ai frotté mon index dessus, l’enfonçant graduellement dans la fente. Puis elle a bougé de nouveau. Elle était du genre nerveuse.
Pris de panique, je me suis couché à terre. Attendant patiemment qu’elle reste immobile pour refaire surface. À mon retour j’ai constaté qu’elle a fait retomber une de ses jambes sur le côté. À demi repliée, l’autre était étendue devant elle. Me penchant au-dessus du fessier, j’ai distingué nettement les grosses lèvres mauves, légèrement fripées, qui bordaient la fente et le liseré rose vif de la muqueuse. C’était bandant.
D’ailleurs ma verge faisait des caprices au fond de mon slip. Je me suis approché au plus près d’elle avec la ferme intention d’en voir un peu plus. Surtout que la culotte ne cachait à cet instant plus rien. Comme si un ange le lui avait baissé pendant ma fuite. J’ai laissé mon regard errer entre ses cuisses. Cela bâillait comme une huître. Les chairs molles sortaient. Mon cœur s’est s’emballé. Il battait si fort, que je l’entendais résonner sous mon crâne. Je voyais tout, oui, absolument tout, même l’intérieur.
C’était bien la première fois que je pouvais à loisir regarder aussi tranquillement la chatte de ma belle-sœur. Et j’avais bien l’intention d’en profiter. De me gaver le cerveau de tous ce qui me passer devant les yeux. « Merci mon bon Dieu ! ». De me permettre de voir toute la moule de cette salope, absolument toute la chatte !
J’ai porté ma main sur mon sexe dur. Avec deux doigts, j’ai massé mon gland. Et cela à travers l’étoffe de mon pantalon. Tout en fixant l’insolite mollusque qui béait entre la forêt de poils. Jamais auparavant je n’avais éprouvé quelque chose d’aussi fort. À en vibrer d’excitation.
Dans les chairs visqueuses de Marianne s’est produit comme un spasme. Une larme claire a coulé hors du vagin et elle a glissé sur le drap. J’en ai frissonné. C’était vivant, ça bougeait, ça s’excitait tout seul, et tout ça pendant son sommeil. Sans doute rêvait-elle de cul ?
En gémissant, la cochonne a creusé le ventre et a soulevé son entrejambe. Sa vulve s’est écarquillait lentement, comme si elle était en train de jouir.
Je n’en pouvais plus. Mais très vite une interrogation est venue chatouillée mon esprit. Me demandant si ma belle-sœur n’était pas en train de feinter un semblant de sommeil. De profiter de l’occasion qui lui était alloué pour s’exhiber à mes yeux. De m’en mettre plein la vue. Cela expliqué pourquoi son sexe réagissait ainsi. Que faire ? Le plus sage serait que je quitte la pièce, avant de faire quelque chose que je regretterais plus tard. Une fois l‘excitation retombée.
Et alors que je me redressais, j’ai vu Marianne tressaillir, déplacer sa main en direction de son sexe. Avec minutie je me suis reculé jusqu’à la porte. Alors que je m‘apprêtais à refermé cette dernière, Marianne s‘est redressée, frustrée, les yeux arrondit.
- Qu’est-ce que tu fais ici, Alain ?
- Je suis venu prendre de tes nouvelles.
- Pourquoi toi ?
- Ils sont tous parti chez la tante.
Elle a froncé les sourcils. Coupant le silence j’ai ajouté, fièrement :
- J’ai préféré rester ici pour veiller sur toi.
- C’est bien gentille de ta part. Je ne suis pas plus étonné que ça. C’était plutôt à ton frère de faire ça, non à toi ! Tu t’apprêtais à aller où comme ça ?
- Comme…comme tout avait l’air d’aller bien pour toi, je m’apprêtais de retourner devant la télé.
- Approche ! Me fit-elle.
- C’est que… ai-je bafouillé.
- Approche je te dis… a-t-elle insisté, en déboutonnant les quelques boutons qui restaient. Avant de se mettre à tortiller du bassin avec un entrain.
- Cela te dit de regarder ma chatte ? Regarde-la bien ! Bande bien en la voyant.
Elle a fait onduler sa chatte. La faisant balancer de gauche à droite et inversement.
- Ça t’excite ? A-t-elle fait d’une voix rauque. Hein dis-moi, de voir ma chatte ? Elle t’excite la chatte de ta belle-sœur ? Ah ! Je suis sûr que tout ça fait grossir, ton gourdin dans ton slip.
Marianne était déchaînée. Je ne la reconnaissais plus. Puis elle s’est tournée avec des minauderies de salope, m’étalant son postérieur.
- Regarde, petit pervers, regarde mon cul, regarde-le de près.
Elle a couiné de satisfaction tout en accentuant le roulis de son bassin. Elle avait tellement mouillé, que la cyprine scintillait jusqu’entre ses fesses. Ma belle-sœur était au paroxysme du rut. Elle a prit ses fesses à deux mains et les a écarté au maximum, découvrant le froncement brunâtre de l’anus et les replis roses de la fente qui s’ouvrait au-dessus, béait, bâillait, transpirait.
Comme pour me narguer, elle s’est approchée si près de moi qu’elle a pu se frotter à mon sexe bandé. Elle a tressaillit au contact de la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon. Elle a poussé un cri. Comme si ce simple contact l’avait électrisé.
Elle a secoué frénétiquement la tête. Ses yeux se sont révulsés, son visage est devenu écarlate et les lèvres tremblantes, elle haletait. Donnant désormais libre cours à sa lubricité. Elle s’est mise à carrément lustrer sa croupe contre mon sexe. Elle a eut un feulement et elle a accentué la pression de ses fesses sur mon bâton de chair.
- Défroque-toi ! A-t-elle lâché.
- Mais… mais…
- Défroque-toi putain ! J’ai trop envie !
À force de s’être excité à ma bosse, elle en avait perdu la boule. Sitôt ma queue à l’air, elle a pointé ma verge entre ses deux fesses, elle n’y tenait plus et elle a donné un violent coup de cul en arrière. Elle s’est empalée d’un seul élan sur ma queue dont le gland fut happé, englouti, avalé par son sexe béant et ruisselant.
- Le salaud ! A-t-elle beuglé. Il m’a prise ! Il a réussi à pénétré en moi !
Et tout en gueulant, elle s’est tortillée de plus belle, plaquée ses fesses à mon ventre, s‘emmanchant à fond. Elle s’est mise à agiter, me branlant, se branlant. Le cri de Marianne a résonné dans mes oreilles, alors qu‘elle s‘immobilisa. Prenant le relai, j’ai agité énergiquement mon bassin d’avant en arrière.
Je n’ai pas mis longtemps pour éjaculer, en grognant mon plaisir, alors que ma belle-sœur gémissait sous les impacts de mes épaisses giclées blanches. Avec d’amples mouvements de reins, je me suis vidé jusqu’à la dernière goutte. Puis je me suis retiré. L’instant d’après, Marianne a éclaté en sanglots.
- Je ne voulais pas… me fit-elle, alors que de grosses coulaient sur ses joues.
Elle avait honte d’avoir été excitée. De s’êtres laissé aller. Il lui fallait trouver un responsable pour pouvoir dire qu’elle n’était pas coupable. Sans prendre la peine de la réconforté, je suis sorti de ma chambre.
Pas une seule fois avec ma belle-sœur, même quand nous étions isoler, nous sommes revenu à parler de cet péripétie. Comme si tout bonnement, cela n’avait jamais exister.
Après le feuilleton, j’ai décidé d’aller voir du côté de ma chambre, pour prendre des nouvelles sur la santé de ma belle-sœur. J’ai fait pivoter la porte sur ses gonds. Dans la chambre où il régnait une touffeur. Et tout de suite mes narines ont frémir, à l’odeur aigre que seule une femme échauffée peu diffuser.
Dans la semi-pénombre j’ai pu apercevoir ma belle-sœur profondément endormie en chien de fusil sur mon lit.
- Marianne tu dors, tu dors ? Ai-je Chuchoté. Espérant au plus profond de moi qu‘elle ne réponde pas à mon appel.
Encouragé, je me suis approché du lit. Là je me suis agenouillé pour me trouver juste à la bonne hauteur. Celle-là même qui m’a permis, d’apercevoir que les boutons du haut de sa robe portefeuille avait été déboutonné sur le devant et cela jusqu’à son nombril. Entre les deux pans généreusement écartés, ses gros seins fermes tendaient le soutien-gorge en dentelle de couleur vert pomme, à en faire péter les coutures. De-même, le bas de sa robe était quant à elle, retroussée à mi-cuisse.
- Tu dors ? Ai-je répété, comme pour me réconforter.
Et bien sûr je n’ai reçu aucune réponse de sa part. Rien qu’une forte respiration. Les anges étaient vraiment de mon côté. Comme quoi, le sacrifice paye toujours.
Je me suis penché au-dessus de son pied droit et je l’ai humé. Emplissant mes narines de son odeur suave. Puis j’ai posé mes lèvres pour l’embrasser, avant de faire glisser ma langue sur la peau. Laissant derrière son passage une traînée de bave. Et pas à un seul moment elle a réagit. Elle était vulnérable. Je pouvais faire comme bon me semble avec elle.
Mais cette idée a fendu comme neige au soleil. À cause de mon éthique. Oui ! Ma morale, parce qu’à cette époque j’en avais encore une. Et bien que ma verge m’implorait de m’occuper d’elle, j’ai eu une pensé pour mon frère. Et cette seule image à fait tout basculer, assez pour me dissuader de sortir de cette chambre pour retourner devant la télé.
Mais au moment où je m’apprêtais à passer la porte, Marianne s’est agité dans son sommeil. Assez pour permettre à son décolleté de s’ouvrir davantage. Et ainsi exhibait son soutien-gorge qui ne cacher plus rien de ses gros seins. Aux mamelons tendus. Plus bas, toujours suite à son agitation, sa robe a roulé jusqu’au niveau des hanches. Étalant une culotte rose, dont le cordon de tissu disparaissait entre les fesses pour réapparaître plus bas, gonflé par la chatte. Dont les lèvres étaient moulées par le tissu.
Puis j’ai centralisé mon regard sur son cul. Tout rond, dont la pâleur contrastait avec le rose de sa culotte. Son galbe était parfait. Deux demie-pastèques qui me donnaient envie de croquer dedans. Puis mon regard a coulé sur la couture de l’empiècement rose, frontière avec la zone intime. Une indécence qui me laissait la gorge sèche. À m’en faire oublier pour un temps, toutes mes bonnes résolutions. À omettre même, qu’elle était la femme de mon frère.
À ne pas pouvoir me contenir de glisser deux doigts entre les cuisses de ma belle-sœur et prendre le risque de lui caresser l’entrejambe. Marianne a émit un gémissement et s’est tournée pour se placer à plat ventre, les genoux écartés.
J’ai attendu quelques secondes, et j’ai posé ma main entre les fesses nues. Que j’ai fait descendre jusqu’à ce qu’elle atteigne l’empiècement chaud et moite de la culotte. J’ai frotté mon index dessus, l’enfonçant graduellement dans la fente. Puis elle a bougé de nouveau. Elle était du genre nerveuse.
Pris de panique, je me suis couché à terre. Attendant patiemment qu’elle reste immobile pour refaire surface. À mon retour j’ai constaté qu’elle a fait retomber une de ses jambes sur le côté. À demi repliée, l’autre était étendue devant elle. Me penchant au-dessus du fessier, j’ai distingué nettement les grosses lèvres mauves, légèrement fripées, qui bordaient la fente et le liseré rose vif de la muqueuse. C’était bandant.
D’ailleurs ma verge faisait des caprices au fond de mon slip. Je me suis approché au plus près d’elle avec la ferme intention d’en voir un peu plus. Surtout que la culotte ne cachait à cet instant plus rien. Comme si un ange le lui avait baissé pendant ma fuite. J’ai laissé mon regard errer entre ses cuisses. Cela bâillait comme une huître. Les chairs molles sortaient. Mon cœur s’est s’emballé. Il battait si fort, que je l’entendais résonner sous mon crâne. Je voyais tout, oui, absolument tout, même l’intérieur.
C’était bien la première fois que je pouvais à loisir regarder aussi tranquillement la chatte de ma belle-sœur. Et j’avais bien l’intention d’en profiter. De me gaver le cerveau de tous ce qui me passer devant les yeux. « Merci mon bon Dieu ! ». De me permettre de voir toute la moule de cette salope, absolument toute la chatte !
J’ai porté ma main sur mon sexe dur. Avec deux doigts, j’ai massé mon gland. Et cela à travers l’étoffe de mon pantalon. Tout en fixant l’insolite mollusque qui béait entre la forêt de poils. Jamais auparavant je n’avais éprouvé quelque chose d’aussi fort. À en vibrer d’excitation.
Dans les chairs visqueuses de Marianne s’est produit comme un spasme. Une larme claire a coulé hors du vagin et elle a glissé sur le drap. J’en ai frissonné. C’était vivant, ça bougeait, ça s’excitait tout seul, et tout ça pendant son sommeil. Sans doute rêvait-elle de cul ?
En gémissant, la cochonne a creusé le ventre et a soulevé son entrejambe. Sa vulve s’est écarquillait lentement, comme si elle était en train de jouir.
Je n’en pouvais plus. Mais très vite une interrogation est venue chatouillée mon esprit. Me demandant si ma belle-sœur n’était pas en train de feinter un semblant de sommeil. De profiter de l’occasion qui lui était alloué pour s’exhiber à mes yeux. De m’en mettre plein la vue. Cela expliqué pourquoi son sexe réagissait ainsi. Que faire ? Le plus sage serait que je quitte la pièce, avant de faire quelque chose que je regretterais plus tard. Une fois l‘excitation retombée.
Et alors que je me redressais, j’ai vu Marianne tressaillir, déplacer sa main en direction de son sexe. Avec minutie je me suis reculé jusqu’à la porte. Alors que je m‘apprêtais à refermé cette dernière, Marianne s‘est redressée, frustrée, les yeux arrondit.
- Qu’est-ce que tu fais ici, Alain ?
- Je suis venu prendre de tes nouvelles.
- Pourquoi toi ?
- Ils sont tous parti chez la tante.
Elle a froncé les sourcils. Coupant le silence j’ai ajouté, fièrement :
- J’ai préféré rester ici pour veiller sur toi.
- C’est bien gentille de ta part. Je ne suis pas plus étonné que ça. C’était plutôt à ton frère de faire ça, non à toi ! Tu t’apprêtais à aller où comme ça ?
- Comme…comme tout avait l’air d’aller bien pour toi, je m’apprêtais de retourner devant la télé.
- Approche ! Me fit-elle.
- C’est que… ai-je bafouillé.
- Approche je te dis… a-t-elle insisté, en déboutonnant les quelques boutons qui restaient. Avant de se mettre à tortiller du bassin avec un entrain.
- Cela te dit de regarder ma chatte ? Regarde-la bien ! Bande bien en la voyant.
Elle a fait onduler sa chatte. La faisant balancer de gauche à droite et inversement.
- Ça t’excite ? A-t-elle fait d’une voix rauque. Hein dis-moi, de voir ma chatte ? Elle t’excite la chatte de ta belle-sœur ? Ah ! Je suis sûr que tout ça fait grossir, ton gourdin dans ton slip.
Marianne était déchaînée. Je ne la reconnaissais plus. Puis elle s’est tournée avec des minauderies de salope, m’étalant son postérieur.
- Regarde, petit pervers, regarde mon cul, regarde-le de près.
Elle a couiné de satisfaction tout en accentuant le roulis de son bassin. Elle avait tellement mouillé, que la cyprine scintillait jusqu’entre ses fesses. Ma belle-sœur était au paroxysme du rut. Elle a prit ses fesses à deux mains et les a écarté au maximum, découvrant le froncement brunâtre de l’anus et les replis roses de la fente qui s’ouvrait au-dessus, béait, bâillait, transpirait.
Comme pour me narguer, elle s’est approchée si près de moi qu’elle a pu se frotter à mon sexe bandé. Elle a tressaillit au contact de la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon. Elle a poussé un cri. Comme si ce simple contact l’avait électrisé.
Elle a secoué frénétiquement la tête. Ses yeux se sont révulsés, son visage est devenu écarlate et les lèvres tremblantes, elle haletait. Donnant désormais libre cours à sa lubricité. Elle s’est mise à carrément lustrer sa croupe contre mon sexe. Elle a eut un feulement et elle a accentué la pression de ses fesses sur mon bâton de chair.
- Défroque-toi ! A-t-elle lâché.
- Mais… mais…
- Défroque-toi putain ! J’ai trop envie !
À force de s’être excité à ma bosse, elle en avait perdu la boule. Sitôt ma queue à l’air, elle a pointé ma verge entre ses deux fesses, elle n’y tenait plus et elle a donné un violent coup de cul en arrière. Elle s’est empalée d’un seul élan sur ma queue dont le gland fut happé, englouti, avalé par son sexe béant et ruisselant.
- Le salaud ! A-t-elle beuglé. Il m’a prise ! Il a réussi à pénétré en moi !
Et tout en gueulant, elle s’est tortillée de plus belle, plaquée ses fesses à mon ventre, s‘emmanchant à fond. Elle s’est mise à agiter, me branlant, se branlant. Le cri de Marianne a résonné dans mes oreilles, alors qu‘elle s‘immobilisa. Prenant le relai, j’ai agité énergiquement mon bassin d’avant en arrière.
Je n’ai pas mis longtemps pour éjaculer, en grognant mon plaisir, alors que ma belle-sœur gémissait sous les impacts de mes épaisses giclées blanches. Avec d’amples mouvements de reins, je me suis vidé jusqu’à la dernière goutte. Puis je me suis retiré. L’instant d’après, Marianne a éclaté en sanglots.
- Je ne voulais pas… me fit-elle, alors que de grosses coulaient sur ses joues.
Elle avait honte d’avoir été excitée. De s’êtres laissé aller. Il lui fallait trouver un responsable pour pouvoir dire qu’elle n’était pas coupable. Sans prendre la peine de la réconforté, je suis sorti de ma chambre.
Pas une seule fois avec ma belle-sœur, même quand nous étions isoler, nous sommes revenu à parler de cet péripétie. Comme si tout bonnement, cela n’avait jamais exister.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alainylon
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas seulement l'orthographe. Grammaire. Vocabulaire mal connu. Alors que c'est bandant par ailleurs
Vous pouvez faire un effort sir l'orthographe ?
Ca gâche toute l'histoire..... C'est un calvaire a lire
Ca gâche toute l'histoire..... C'est un calvaire a lire