Elle est partie 2
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elle est partie 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je sors de la douche, je me regarde dans le grand miroir de la salle de bain. Popaul au repos n'est pas un monstre. Je le prends en main, je le réchauffe et je pense au dernier souvenir que lui a laissé Catherine. En quelques mouvements de la main je lui rends sa forme et sa vigueur : Hier soir mon zizi en fête était comme cela, bien droit et bien dur, de taille tout à fait respectable avec un gland éclatant de santé. Cat savait le manier et montrait son plaisir lorsqu'elle avait provoqué son développement. Elle avait toujours fait ça de façon très brillante. Elle adorait jouer avec mon pénis, en faire une verge à lécher ou à sucer comme une glace italienne, par le côté ou par le sommet, ou à réchauffer entre langue et palais. Depuis peu elle tirait sur ma biroute comme pour l'étirer et l'allonger. Elle aimait aussi lui faire baisser la tête et la lâcher pour la voir se redresser comme un ressort et venir frapper du noeud contre mon ventre.
Jamais elle n'avait ouvertement remis en cause ni la taille ni le diamètre ni l'art d'utiliser un membre viril choyé, loué et toujours prêt à servir pour son bon plaisir. A la jouissance physique évidente elle déclarait volontiers joindre un amour sentimental prisé par dessus tout, proclamé matin et soir de vive voix et représenté par des coeurs unis dessinés sur papier en tout lieu. C'était une épouse délicate et délicieuse. Or trois brouillons jetés à la poubelle m'en disent plus sur ses véritables sentiments et ses besoins sexuels réels que des années de vie commune et de protestations amoureuses.
Elle a dû être sincère très longtemps et ensuite céder à la force de l'habitude quand elle s'est mise à cacher ses rencontres avec son amant superdimensionné et" indispensable" à son bonheur derrière des déclarations passionnées mais mensongères. Ces dernières semaines elle se livrait forcément à des comparaisons à mon détriment. Ce que je prenais pour des signes d'admiration, ces oh! et ces ah!devant ma turgescence, n'étaient plus sans doute que moqueries perfides, railleries impitoyables, camouflées par ses exclamations. Elle pensait au gourdin impressionnant de René, trouvait mon érection ridicule, insignifiante et elle riait à la pensée de procéder à un échange avantageux. Les exercices d'élongation récents étaient sa dernière tentative de se prouver que j'aurais pu lui suffire si ma queue avait montré un peu de bonne volonté et d'élasticité pour égaler celle de René. L'échec de ces essais a emporté la décision : Cat est partie après une dernière tromperie, un dernier "je t'aime" persifleur.
Elle me tripatouillait, me chatouillait, me conduisait au summum de mes possibilités et, quand mon pieu bandé frémissait entre ses doigts, elle se félicitait secrètement d'avoir découvert beaucoup mieux dans toutes les dimensions et dans l'art de la baiser chez l'autre, chez son René. Elle voulait être sure de ne pas se tromper, d'avoir rempli consciencieusement son rôle d'épouse, de n'avoir négligé aucune méthode susceptible de me rendre semblable à son amant. Ainsi elle ne pourrait pas connaître le remords.
Hier soir, la grande fête n'était donc qu'un dernier examen de ma "valeur", l'épreuve suprême à la suite de laquelle Catherine déçue par moi a décidé d'accorder l'avantage à monsieur René Mieuxmonté. Elle pouvait partir vers une vie nouvelle sans regrets, une vie qui promettait une sexualité comblée, vers des jouissances auxquelles elle avait goûté en cachette depuis un certain temps, dont elle ne pouvait se passer désormais. Elle devait au corps de l'amant, à son membre exceptionnel des sensations et des orgasmes plus puissants que ceux qu'elle connaissait avec un mari désormais dévalorisé : son départ devenait inéluctable. Et pour avoir bonne conscience elle s'était montrée aimable, amoureuse, chaude, excitante et excitée afin de me laisser un excellent souvenir avant la séparation.
L'étonnant est qu'elle ait eu besoin de quelques semaines avant d'avoir le courage de m'abandonner. Un engin de la taille d'un manche de bêche aurait dû la convaincre dès la première passe. Les différences, notées dans les brouillons, avaient dû lui sauter aux yeux immédiatement. Quand cette queue majuscule l'avait forcée et perforée pour la première fois Catherine avait connu nécessairement des sensations inimaginables, des frissons incroyables, sinon quelques douleurs. Subjuguée, elle a résisté à l'envie de se consacrer uniquement au culte d'adoration de ce braquemard hors du commun. Par amour de moi ? Comment n'ai-je rien remarqué ? Nous faisions l'amour : je n'ai jamais ressenti un relâchement de ses muscles. Son vagin ne godait pas autour de ma lance, s'adaptait normalement à mon sexe : je ne craignais pas de me noyer dans un gouffre immense et sans fond. De plus elle simulait probablement la jouissance en dernier; l'avait-elle toujours simulée depuis nos premiers ébats ?
Elle est partie sans le moindre avertissement. Ce silence m'anéantit : pourquoi cette brutalité dans la rupture. En quoi ai-je mérité ce manque de considération? Je me croyais mari prévenant, gentil, aimant et aimé. Ce départ détruit toutes mes certitudes. Je ne suis plus celui que je croyais être. Il n'est pas possible d'attribuer tout mon malheur à l'aspect d'une bite uniquement. Pour quelques centimètres de chair, pour l'intensité supérieure de quelques coups de rein une femme peut-elle quitter son mari, sa vie passée, faire table rase de ses sentiments et de ses engagements ? Eh ! Bien, oui, Catherine est partie avec René! Faut-il que ce vainqueur soit beau, riche, connu, gai, influent, persuasif, que sais-je encore, pour que Catherine ait cru pouvoir écrire
"Je ne peux plus me passer de lui"
Avec deux hommes elle se sentait sale. Me jeter comme une vieille chaussette l'a-t-il rendue plus propre ? Qu'elle jouisse ! Elle a choisi, je ne suis coupable que d'avoir une zigounette normale. On n'en meurt pas. Je ne la chercherai pas.
La comptable de l'entreprise où travaille Catherine vient de téléphoner : il faut lui rappeler qu'elle doit signer son reçu pour solde de tout compte. J'ai appris ainsi qu'elle avait démissionné depuis dix jours déjà. La comptable a cru à une plaisanterie quand je lui ai annoncé la disparition de mon épouse, s'est dite surprise, a voulu s'excuser...Une idée fixe me taraude : Comment Cat a-t-elle pu faire l'amour avec moi jusqu'au bout, c'est psychologiquement incompréhensible? Comment maîtresse d'un autre n'a-t-elle pas ressenti de la répulsion contre moi ?
Georges, un collègue de travail, au courant de mon célibat récent, a aperçu Catherine en ville. Elle trottinait à côté d'un géant, tirée par la main. L'homme l'a poussée dans un 4x4 en lui mettant la main aux fesses et a démarré sur les chapeaux de roues. Ce couple l'a étonné : Lui si grand, si fort traînait littéralement sa compagne. Elle semblait menue en comparaison, malgré son mètre soixante-douze, ses seins aux courbes prononcées et ses fesses majestueuses sous la taille fine dont elle était si fière. Intrigué par le contraste et curieux d'en savoir plus sur l'aventure de Catherine, Georges s'est lancé discrètement à leur poursuite. A environ cinq kilomètres de la ville il a vu le 4x4 tourner dans un chemin des champs. Il s'est arrêté là, sachant que ce chemin mène à un cul de sac fermé par un vieux manoir et les bâtiments d'une ferme.
Catherine, la citadine, amatrice de shopping et de promenades en ville, pas campagnarde pour deux sous, vivrait à la ferme! Quel retournement. Elle m'a quitté pour aller se perdre au milieu des champs de colza, de blé ou de betteraves, loin des vitrines et des étalages. René l'a transformée.Je n'en reviens pas. Sa queue est-elle une baguette magique capable d'agir sur les idées, les goûts, les sentiments, les comportements individuels autant que sur la sexualité de ses conquêtes ? Il séduit, couche une femme sur le sable d'une plage, sur de la paille ou dans un lit, la pénètre, la rend folle de plaisir et hop!, elle s'attache à lui, a besoin de lui et quitte tout pour jouir de ce phénomène.
Mais peut-être ce déplacement est-il une étape entre notre ville et une autre. Catherine est partie depuis trois semaines, n'a pas donné de nouvelles.Qu'elle aille au diable. Je suis pourtant curieux de savoir ce qu'elle devient. Par curiosité pure et sans intention de la persuader de revenir, ou même de lui parler, je décide de vérifier la métamorphose de ma femme. Il est probable d'ailleurs qu'elle soit partie plus loin et que je fasse chou blanc ce soir. J'aurai pris un bon bol d'air au pire. Au mieux je saurai qu'elle vit, heureuse, une magifique histoire d'amour.
René. Ce prénom me trotte dans le ciboulot. Il y a derrière lui un souvenir lointain, imprécis. N'est-ce pas un dénommé René qui m'a complimenté sur la beauté de ma femme il y a quelques mois ? Ce devait-être pendant les vacances à la mer. Catherine venait de s'éloigner de la terrasse où nous avions consommé. Un inconnu m'a adressé la parole, mi sérieux, mi rigolard, depuis la table voisine:
-Dis donc, t'es un sacré veinard. C'est ta femme ce joli petit lot ? Tu n'as pas peur de te la faire voler ? Moi, à ta place je ne la quitterais pas des yeux. Conseil de connaisseur.
J'ai répondu au gaillard que j'avais une confiance absolue en mon épouse. Il est venu à ma table, a commandé deux bières pression, a éclaté de rire et a ajouté:
- Tu es bien naïf. Ces femelles là, on ne sait jamais ce qu'elles ont dans le crâne ou dans les tripes. En premier elles obéissent à leur ventre. Je suis sûr que si je voulais, foi de René, je l'embarquerais ta mignonne. Méfie-toi, camarade, elle est trop gironde pour être vertueuse. A la voir balancer sa croupe on devine immédiatement que c'est une chaudasse. Un bon dragueur te la lève en un rien de temps et tu n'y vois que du feu. Foi de René!
Quoi, cette rencontre n'était pas le fruit du hasard? Ce balèze connaissait-il déjà Catherine, se payait-il ma tête après l'avoir déjà séduite ou cherchait-il des renseignements pour la retrouver et l'enlever ? Je me souviens d'avoir plaisanté avec lui, d'avoir échangé adresses, téléphone sans méfiance pendant que nous trinquions "à la santé de nos chevaux, de nos femmes et de ceux qui les montent" comme il aimait le déclarer. Le sujet l'égayait, il se mettait à rêver tout haut de me cocufier, était prêt à parier que s'il s'en donnait la peine, il culbuterait les plus jolies femmes de la station balnéaire, y compris la mienne . Il s'amusait à m'effrayer :"Toutes des salopes, crois-moi, foi de René". Je ne le prenais pas au sérieux. Catherine de retour le salua poliment, sans plus, sourit aimablement après un compliment un peu lourd. Il me salua d'un:
-N'oublie pas ce que je t'ai dit, foi de René.
Eh ! Oui ! Il aimait répéter à tout propos "foi de René" Ce détail me revient. Est-ce lui l'amant actuel de Catherine ? Leur liaison pourrait être ancienne, dater de ces vacances ? Ou a-t-il vraiment rencontré ma femme sur internet ? Par hasard ou après un échange d'adresses mail?
Je reviens à Catherine. Il ne fallait pas lui parler de vacances à la campagne, elle choisissait les stations animées par la foule, les plages peuplées, or la voici fermière en un coin retiré : c'est incroyable. Un peu avant la nuit, je pédale vers ce refuge campagnard. Un vélo, c'est plus discret qu'une voiture.Je pourrai m'approcher sans éveiller l'attention. L'endroit nous servait de but de promenade quand nous étions gamins, nous courions sur les allées du bois situé derrière la ferme et allions nous baigner dans une mare. A l'époque nous craignions les molosses du fermier et faisions des détours pour les éviter. Ce soir un chien aboie au loin, mais doit être attaché à sa niche. Ses aboiementscessent. Devant le manoir il y a du monde, des hommes en chemisettes et des femmes en robes légères. On les appelle, ils se dirigent vers le bâtiment principal sur la gauche. Cinq voitures occupent un parking sur gazon. Le rez-de-chaussée est intérieurement illuminé,on y discute fort. Tout au fond deux grandes fenêtres sont éclairées faiblement.
Sur la droite, flanqué d'une grange, s'élève une sorte de pavillon de gardien ou de garde chasse, d'allure plus modeste.. Sur la façade, la porte, à peine surélevée d'un degré, est encadrée de deux fenêtres aux volets métalliques clos derrière d'épais barreaux. Le côté offre lui aussi deux fenêtres ouvertes en raison de la chaleur de l'été, également protégées par des barreaux. Est-ce par peur des voleurs ? La lumière de la dernière éclaire faiblement un potager séparé de la maison par une allée peu large. Où se cache Catherine ? Ici ou au milieu des invités bruyants du manoir ? On fait la fête dans le domaine, on parle fort. Mais ici, règne le silence
J'avance le long de l'allée du pavillon vers la fenêtre à la lumière blafarde. Ah ! Je ne suis pas seul. Sous la fenêtre, collée au mur, une ombre bouge, me fait
-"Chut". Que cherches-tu ?
-Rien de particulier. J'ai vu de la lumière, je suis curieux. Qu'est-ce qui se passe ici?
-Parle tout bas. C'est ta première fois ? Moi je suis un habitué, je suis "voyeur". Une fois par mois le régisseur organise une réception. Il y a du spectacle. Tu as de la chance, c'est pour ce soir. Mais sois discret si tu veux voir le spectacle.
-Bien. Une réception, dis-tu? C'est amusant, drôle ? Qu'y at-til à voir pour un voyeur ? Les cris, la musique et les chants viennent de l'autre bâtiment.
-Tu vas assister un événement bandant mon gars. La-bas dans le bâtiment principal, il y a du beau linge, des souteneurs qui viennent faire leur marché. Ils viennent acheter de quoi augmenter leur cheptel. Ca va tourner à l'orgie et ça vaudra le coup d'oeil.
-Mais alors, que fais-tu ici ?
-Je t'explique. René, le régisseur, est fournisseur de chair fraîche. Quand il a une fille à vendre, il organise une vente aux enchères. Ici, il la prépare. Quand l'ambiance montera, il présentera la nana. Les acheteurs vont l'examiner sous toutes les coutures. Il faut les voir tâter et soupeser comme des maquignons les appas des belles. Et encore, les marchands de bestiaux se limitent aux apparences. Attention, voilà quelqu'un. Pas de bruit, regarde sans te montrer.
René ! Il apparaît dans la porte de cette chambre à coucher, je le reconnais. C'est l'homme de nos vacances à la mer. Une femme vêtue d'un peignoir de satin le suit, sa longue chevelure blonde est dénouée. Catherine est brune. Ouf, je suis soulagé, Cat n'est pas en danger. Je ne la hais pas au point de vouloir son malheur. René se tourne vers la femme et dit :
-Bon, ma chérie, ce soir tu vas offrir le spectacle. Le moment de te mettre en valeur est venu, sois à la hauteur, fais moi honneur. Toi et moi jouons une pièce. Je vais faire semblant de vouloir te vendre au plus offrant. Nos amis vont jouer aux acheteurs. Il ne faudra pas t'effrayer; ils s'amuseront à admirer tes charmes. Pour évaluer la marchandise, ils te déshabilleront, te mettront la main au panier et mimeront des gestes un peu troublants.
-Et toi, mon amour tu les laissera faire ? C'est ça ton amour. Tu appelles ça une fête?
Ah! C'est bien la voix de Catherine; elle a teint ses cheveux pour échapper aux possibles recherches. Elle ne juge pas utile de déformer sa voix. Je ne m'y trompe pas, c'est bien elle. René va la vendre à des proxénètes.
-Allons, c'est juste un moment à passer. Montre-toi avenante, souriante, complice et après je te récompenserai. Il y a gros à gagner pour toi et pour moi. Ne sois pas bégueule : tu aimes l'amour, tu aimes les grosses bites. Tu peux, en faisant preuve de solidarité, trouver près de nos invités tout ce que tu cherches : ils sont disposés à donner beaucoup d'argent pour faire l'amour avec une belle femme inconnue.; ils sont tous bien membrés comme moi et si tu te laisses aimer tu connaîtras des instants merveilleux. Le plus généreux aura le droit de t'aimer en premier
- Mais tu me prostitues. Je ne suis pas d'accord. Mon homme c'est toi. Cela fait huit jours que tu me délaisses. Tu vas mieux, ta fatigue est passée? Fais-moi l'amour, toi. Je n'ai pas besoin des autres.
- Oui, mais moi j'en ai besoin. J'ai besoin d'argent pour te faire vivre heureuse et épanouie. Je te promets de faire un effort. Mais pour que nous puissions continuer à nous aimer, aide-moi à ramasser un magot. Paie un peu de ta personne, utilise tes atouts. Plus tu plairas, plus nos hôtes seront généreux; plus tu seras docile plus ils lâcheront de billets de banque. Tu as un trésor entre les jambes, tire tout le bénéfice possible de ce don du ciel. Tant d'autres filles aimeraient être à ta place. Là, embrasse-moi en signe d'amour et de bonne volonté.
Ils s'enlacent, René passe un bras dans le dos et une main sur les fesses, se baisse et baise la bouche tendue vers lui. Mon andouille d'ex-femme se laisse dévorer le bec, accrochée aux flancs du maquereau. Le palot dure, lui n'est pas avare de salive ou de caresses sur la croupe. Il la tient par les sens. Si mon copain voyeur dit vrai, elle vit ses dernières heures avec son séducteur avant d'aller tapiner au coin d'une rue pour un autre. Elle est trop éprise de la queue de son vendeur, trop aveuglée par des promesses de plaisir intense et renouvelé pour deviner le sort tragique qui l'attend. René s'éloigne vers la porte et recommande doucement :
-Bon, tu vas enfiler tout ça, te déguiser en jeune mariée. Mes amis adorent les jeunes mariées. Ils voudront te dépuceler ! Hi! hi!
-Justement, tu m'avais promis le mariage. Les formalités avancent ? C'est pour quand ?
-Avant le mariage il faut divorcer! Mais pour s'aimer est-il nécessaire d'avoir des papiers.? Viens près de moi, je vais te donner un acompte. A genoux sur ce coussin, ouvre ma braguette, extrais mes bijoux de famille, déballe mon gourdin et fais lui une gâterie. Exerce-toi pour échauffer tes mâchoires. Là, ma poule, suce mon sucre d'orge comme tu sais si bien le faire, attention, ne me blesse pas avec tes dents. Enlève ton peignoir. J'ai besoin de te voir nue pour bander..
Je sors de la douche, je me regarde dans le grand miroir de la salle de bain. Popaul au repos n'est pas un monstre. Je le prends en main, je le réchauffe et je pense au dernier souvenir que lui a laissé Catherine. En quelques mouvements de la main je lui rends sa forme et sa vigueur : Hier soir mon zizi en fête était comme cela, bien droit et bien dur, de taille tout à fait respectable avec un gland éclatant de santé. Cat savait le manier et montrait son plaisir lorsqu'elle avait provoqué son développement. Elle avait toujours fait ça de façon très brillante. Elle adorait jouer avec mon pénis, en faire une verge à lécher ou à sucer comme une glace italienne, par le côté ou par le sommet, ou à réchauffer entre langue et palais. Depuis peu elle tirait sur ma biroute comme pour l'étirer et l'allonger. Elle aimait aussi lui faire baisser la tête et la lâcher pour la voir se redresser comme un ressort et venir frapper du noeud contre mon ventre.
Jamais elle n'avait ouvertement remis en cause ni la taille ni le diamètre ni l'art d'utiliser un membre viril choyé, loué et toujours prêt à servir pour son bon plaisir. A la jouissance physique évidente elle déclarait volontiers joindre un amour sentimental prisé par dessus tout, proclamé matin et soir de vive voix et représenté par des coeurs unis dessinés sur papier en tout lieu. C'était une épouse délicate et délicieuse. Or trois brouillons jetés à la poubelle m'en disent plus sur ses véritables sentiments et ses besoins sexuels réels que des années de vie commune et de protestations amoureuses.
Elle a dû être sincère très longtemps et ensuite céder à la force de l'habitude quand elle s'est mise à cacher ses rencontres avec son amant superdimensionné et" indispensable" à son bonheur derrière des déclarations passionnées mais mensongères. Ces dernières semaines elle se livrait forcément à des comparaisons à mon détriment. Ce que je prenais pour des signes d'admiration, ces oh! et ces ah!devant ma turgescence, n'étaient plus sans doute que moqueries perfides, railleries impitoyables, camouflées par ses exclamations. Elle pensait au gourdin impressionnant de René, trouvait mon érection ridicule, insignifiante et elle riait à la pensée de procéder à un échange avantageux. Les exercices d'élongation récents étaient sa dernière tentative de se prouver que j'aurais pu lui suffire si ma queue avait montré un peu de bonne volonté et d'élasticité pour égaler celle de René. L'échec de ces essais a emporté la décision : Cat est partie après une dernière tromperie, un dernier "je t'aime" persifleur.
Elle me tripatouillait, me chatouillait, me conduisait au summum de mes possibilités et, quand mon pieu bandé frémissait entre ses doigts, elle se félicitait secrètement d'avoir découvert beaucoup mieux dans toutes les dimensions et dans l'art de la baiser chez l'autre, chez son René. Elle voulait être sure de ne pas se tromper, d'avoir rempli consciencieusement son rôle d'épouse, de n'avoir négligé aucune méthode susceptible de me rendre semblable à son amant. Ainsi elle ne pourrait pas connaître le remords.
Hier soir, la grande fête n'était donc qu'un dernier examen de ma "valeur", l'épreuve suprême à la suite de laquelle Catherine déçue par moi a décidé d'accorder l'avantage à monsieur René Mieuxmonté. Elle pouvait partir vers une vie nouvelle sans regrets, une vie qui promettait une sexualité comblée, vers des jouissances auxquelles elle avait goûté en cachette depuis un certain temps, dont elle ne pouvait se passer désormais. Elle devait au corps de l'amant, à son membre exceptionnel des sensations et des orgasmes plus puissants que ceux qu'elle connaissait avec un mari désormais dévalorisé : son départ devenait inéluctable. Et pour avoir bonne conscience elle s'était montrée aimable, amoureuse, chaude, excitante et excitée afin de me laisser un excellent souvenir avant la séparation.
L'étonnant est qu'elle ait eu besoin de quelques semaines avant d'avoir le courage de m'abandonner. Un engin de la taille d'un manche de bêche aurait dû la convaincre dès la première passe. Les différences, notées dans les brouillons, avaient dû lui sauter aux yeux immédiatement. Quand cette queue majuscule l'avait forcée et perforée pour la première fois Catherine avait connu nécessairement des sensations inimaginables, des frissons incroyables, sinon quelques douleurs. Subjuguée, elle a résisté à l'envie de se consacrer uniquement au culte d'adoration de ce braquemard hors du commun. Par amour de moi ? Comment n'ai-je rien remarqué ? Nous faisions l'amour : je n'ai jamais ressenti un relâchement de ses muscles. Son vagin ne godait pas autour de ma lance, s'adaptait normalement à mon sexe : je ne craignais pas de me noyer dans un gouffre immense et sans fond. De plus elle simulait probablement la jouissance en dernier; l'avait-elle toujours simulée depuis nos premiers ébats ?
Elle est partie sans le moindre avertissement. Ce silence m'anéantit : pourquoi cette brutalité dans la rupture. En quoi ai-je mérité ce manque de considération? Je me croyais mari prévenant, gentil, aimant et aimé. Ce départ détruit toutes mes certitudes. Je ne suis plus celui que je croyais être. Il n'est pas possible d'attribuer tout mon malheur à l'aspect d'une bite uniquement. Pour quelques centimètres de chair, pour l'intensité supérieure de quelques coups de rein une femme peut-elle quitter son mari, sa vie passée, faire table rase de ses sentiments et de ses engagements ? Eh ! Bien, oui, Catherine est partie avec René! Faut-il que ce vainqueur soit beau, riche, connu, gai, influent, persuasif, que sais-je encore, pour que Catherine ait cru pouvoir écrire
"Je ne peux plus me passer de lui"
Avec deux hommes elle se sentait sale. Me jeter comme une vieille chaussette l'a-t-il rendue plus propre ? Qu'elle jouisse ! Elle a choisi, je ne suis coupable que d'avoir une zigounette normale. On n'en meurt pas. Je ne la chercherai pas.
La comptable de l'entreprise où travaille Catherine vient de téléphoner : il faut lui rappeler qu'elle doit signer son reçu pour solde de tout compte. J'ai appris ainsi qu'elle avait démissionné depuis dix jours déjà. La comptable a cru à une plaisanterie quand je lui ai annoncé la disparition de mon épouse, s'est dite surprise, a voulu s'excuser...Une idée fixe me taraude : Comment Cat a-t-elle pu faire l'amour avec moi jusqu'au bout, c'est psychologiquement incompréhensible? Comment maîtresse d'un autre n'a-t-elle pas ressenti de la répulsion contre moi ?
Georges, un collègue de travail, au courant de mon célibat récent, a aperçu Catherine en ville. Elle trottinait à côté d'un géant, tirée par la main. L'homme l'a poussée dans un 4x4 en lui mettant la main aux fesses et a démarré sur les chapeaux de roues. Ce couple l'a étonné : Lui si grand, si fort traînait littéralement sa compagne. Elle semblait menue en comparaison, malgré son mètre soixante-douze, ses seins aux courbes prononcées et ses fesses majestueuses sous la taille fine dont elle était si fière. Intrigué par le contraste et curieux d'en savoir plus sur l'aventure de Catherine, Georges s'est lancé discrètement à leur poursuite. A environ cinq kilomètres de la ville il a vu le 4x4 tourner dans un chemin des champs. Il s'est arrêté là, sachant que ce chemin mène à un cul de sac fermé par un vieux manoir et les bâtiments d'une ferme.
Catherine, la citadine, amatrice de shopping et de promenades en ville, pas campagnarde pour deux sous, vivrait à la ferme! Quel retournement. Elle m'a quitté pour aller se perdre au milieu des champs de colza, de blé ou de betteraves, loin des vitrines et des étalages. René l'a transformée.Je n'en reviens pas. Sa queue est-elle une baguette magique capable d'agir sur les idées, les goûts, les sentiments, les comportements individuels autant que sur la sexualité de ses conquêtes ? Il séduit, couche une femme sur le sable d'une plage, sur de la paille ou dans un lit, la pénètre, la rend folle de plaisir et hop!, elle s'attache à lui, a besoin de lui et quitte tout pour jouir de ce phénomène.
Mais peut-être ce déplacement est-il une étape entre notre ville et une autre. Catherine est partie depuis trois semaines, n'a pas donné de nouvelles.Qu'elle aille au diable. Je suis pourtant curieux de savoir ce qu'elle devient. Par curiosité pure et sans intention de la persuader de revenir, ou même de lui parler, je décide de vérifier la métamorphose de ma femme. Il est probable d'ailleurs qu'elle soit partie plus loin et que je fasse chou blanc ce soir. J'aurai pris un bon bol d'air au pire. Au mieux je saurai qu'elle vit, heureuse, une magifique histoire d'amour.
René. Ce prénom me trotte dans le ciboulot. Il y a derrière lui un souvenir lointain, imprécis. N'est-ce pas un dénommé René qui m'a complimenté sur la beauté de ma femme il y a quelques mois ? Ce devait-être pendant les vacances à la mer. Catherine venait de s'éloigner de la terrasse où nous avions consommé. Un inconnu m'a adressé la parole, mi sérieux, mi rigolard, depuis la table voisine:
-Dis donc, t'es un sacré veinard. C'est ta femme ce joli petit lot ? Tu n'as pas peur de te la faire voler ? Moi, à ta place je ne la quitterais pas des yeux. Conseil de connaisseur.
J'ai répondu au gaillard que j'avais une confiance absolue en mon épouse. Il est venu à ma table, a commandé deux bières pression, a éclaté de rire et a ajouté:
- Tu es bien naïf. Ces femelles là, on ne sait jamais ce qu'elles ont dans le crâne ou dans les tripes. En premier elles obéissent à leur ventre. Je suis sûr que si je voulais, foi de René, je l'embarquerais ta mignonne. Méfie-toi, camarade, elle est trop gironde pour être vertueuse. A la voir balancer sa croupe on devine immédiatement que c'est une chaudasse. Un bon dragueur te la lève en un rien de temps et tu n'y vois que du feu. Foi de René!
Quoi, cette rencontre n'était pas le fruit du hasard? Ce balèze connaissait-il déjà Catherine, se payait-il ma tête après l'avoir déjà séduite ou cherchait-il des renseignements pour la retrouver et l'enlever ? Je me souviens d'avoir plaisanté avec lui, d'avoir échangé adresses, téléphone sans méfiance pendant que nous trinquions "à la santé de nos chevaux, de nos femmes et de ceux qui les montent" comme il aimait le déclarer. Le sujet l'égayait, il se mettait à rêver tout haut de me cocufier, était prêt à parier que s'il s'en donnait la peine, il culbuterait les plus jolies femmes de la station balnéaire, y compris la mienne . Il s'amusait à m'effrayer :"Toutes des salopes, crois-moi, foi de René". Je ne le prenais pas au sérieux. Catherine de retour le salua poliment, sans plus, sourit aimablement après un compliment un peu lourd. Il me salua d'un:
-N'oublie pas ce que je t'ai dit, foi de René.
Eh ! Oui ! Il aimait répéter à tout propos "foi de René" Ce détail me revient. Est-ce lui l'amant actuel de Catherine ? Leur liaison pourrait être ancienne, dater de ces vacances ? Ou a-t-il vraiment rencontré ma femme sur internet ? Par hasard ou après un échange d'adresses mail?
Je reviens à Catherine. Il ne fallait pas lui parler de vacances à la campagne, elle choisissait les stations animées par la foule, les plages peuplées, or la voici fermière en un coin retiré : c'est incroyable. Un peu avant la nuit, je pédale vers ce refuge campagnard. Un vélo, c'est plus discret qu'une voiture.Je pourrai m'approcher sans éveiller l'attention. L'endroit nous servait de but de promenade quand nous étions gamins, nous courions sur les allées du bois situé derrière la ferme et allions nous baigner dans une mare. A l'époque nous craignions les molosses du fermier et faisions des détours pour les éviter. Ce soir un chien aboie au loin, mais doit être attaché à sa niche. Ses aboiementscessent. Devant le manoir il y a du monde, des hommes en chemisettes et des femmes en robes légères. On les appelle, ils se dirigent vers le bâtiment principal sur la gauche. Cinq voitures occupent un parking sur gazon. Le rez-de-chaussée est intérieurement illuminé,on y discute fort. Tout au fond deux grandes fenêtres sont éclairées faiblement.
Sur la droite, flanqué d'une grange, s'élève une sorte de pavillon de gardien ou de garde chasse, d'allure plus modeste.. Sur la façade, la porte, à peine surélevée d'un degré, est encadrée de deux fenêtres aux volets métalliques clos derrière d'épais barreaux. Le côté offre lui aussi deux fenêtres ouvertes en raison de la chaleur de l'été, également protégées par des barreaux. Est-ce par peur des voleurs ? La lumière de la dernière éclaire faiblement un potager séparé de la maison par une allée peu large. Où se cache Catherine ? Ici ou au milieu des invités bruyants du manoir ? On fait la fête dans le domaine, on parle fort. Mais ici, règne le silence
J'avance le long de l'allée du pavillon vers la fenêtre à la lumière blafarde. Ah ! Je ne suis pas seul. Sous la fenêtre, collée au mur, une ombre bouge, me fait
-"Chut". Que cherches-tu ?
-Rien de particulier. J'ai vu de la lumière, je suis curieux. Qu'est-ce qui se passe ici?
-Parle tout bas. C'est ta première fois ? Moi je suis un habitué, je suis "voyeur". Une fois par mois le régisseur organise une réception. Il y a du spectacle. Tu as de la chance, c'est pour ce soir. Mais sois discret si tu veux voir le spectacle.
-Bien. Une réception, dis-tu? C'est amusant, drôle ? Qu'y at-til à voir pour un voyeur ? Les cris, la musique et les chants viennent de l'autre bâtiment.
-Tu vas assister un événement bandant mon gars. La-bas dans le bâtiment principal, il y a du beau linge, des souteneurs qui viennent faire leur marché. Ils viennent acheter de quoi augmenter leur cheptel. Ca va tourner à l'orgie et ça vaudra le coup d'oeil.
-Mais alors, que fais-tu ici ?
-Je t'explique. René, le régisseur, est fournisseur de chair fraîche. Quand il a une fille à vendre, il organise une vente aux enchères. Ici, il la prépare. Quand l'ambiance montera, il présentera la nana. Les acheteurs vont l'examiner sous toutes les coutures. Il faut les voir tâter et soupeser comme des maquignons les appas des belles. Et encore, les marchands de bestiaux se limitent aux apparences. Attention, voilà quelqu'un. Pas de bruit, regarde sans te montrer.
René ! Il apparaît dans la porte de cette chambre à coucher, je le reconnais. C'est l'homme de nos vacances à la mer. Une femme vêtue d'un peignoir de satin le suit, sa longue chevelure blonde est dénouée. Catherine est brune. Ouf, je suis soulagé, Cat n'est pas en danger. Je ne la hais pas au point de vouloir son malheur. René se tourne vers la femme et dit :
-Bon, ma chérie, ce soir tu vas offrir le spectacle. Le moment de te mettre en valeur est venu, sois à la hauteur, fais moi honneur. Toi et moi jouons une pièce. Je vais faire semblant de vouloir te vendre au plus offrant. Nos amis vont jouer aux acheteurs. Il ne faudra pas t'effrayer; ils s'amuseront à admirer tes charmes. Pour évaluer la marchandise, ils te déshabilleront, te mettront la main au panier et mimeront des gestes un peu troublants.
-Et toi, mon amour tu les laissera faire ? C'est ça ton amour. Tu appelles ça une fête?
Ah! C'est bien la voix de Catherine; elle a teint ses cheveux pour échapper aux possibles recherches. Elle ne juge pas utile de déformer sa voix. Je ne m'y trompe pas, c'est bien elle. René va la vendre à des proxénètes.
-Allons, c'est juste un moment à passer. Montre-toi avenante, souriante, complice et après je te récompenserai. Il y a gros à gagner pour toi et pour moi. Ne sois pas bégueule : tu aimes l'amour, tu aimes les grosses bites. Tu peux, en faisant preuve de solidarité, trouver près de nos invités tout ce que tu cherches : ils sont disposés à donner beaucoup d'argent pour faire l'amour avec une belle femme inconnue.; ils sont tous bien membrés comme moi et si tu te laisses aimer tu connaîtras des instants merveilleux. Le plus généreux aura le droit de t'aimer en premier
- Mais tu me prostitues. Je ne suis pas d'accord. Mon homme c'est toi. Cela fait huit jours que tu me délaisses. Tu vas mieux, ta fatigue est passée? Fais-moi l'amour, toi. Je n'ai pas besoin des autres.
- Oui, mais moi j'en ai besoin. J'ai besoin d'argent pour te faire vivre heureuse et épanouie. Je te promets de faire un effort. Mais pour que nous puissions continuer à nous aimer, aide-moi à ramasser un magot. Paie un peu de ta personne, utilise tes atouts. Plus tu plairas, plus nos hôtes seront généreux; plus tu seras docile plus ils lâcheront de billets de banque. Tu as un trésor entre les jambes, tire tout le bénéfice possible de ce don du ciel. Tant d'autres filles aimeraient être à ta place. Là, embrasse-moi en signe d'amour et de bonne volonté.
Ils s'enlacent, René passe un bras dans le dos et une main sur les fesses, se baisse et baise la bouche tendue vers lui. Mon andouille d'ex-femme se laisse dévorer le bec, accrochée aux flancs du maquereau. Le palot dure, lui n'est pas avare de salive ou de caresses sur la croupe. Il la tient par les sens. Si mon copain voyeur dit vrai, elle vit ses dernières heures avec son séducteur avant d'aller tapiner au coin d'une rue pour un autre. Elle est trop éprise de la queue de son vendeur, trop aveuglée par des promesses de plaisir intense et renouvelé pour deviner le sort tragique qui l'attend. René s'éloigne vers la porte et recommande doucement :
-Bon, tu vas enfiler tout ça, te déguiser en jeune mariée. Mes amis adorent les jeunes mariées. Ils voudront te dépuceler ! Hi! hi!
-Justement, tu m'avais promis le mariage. Les formalités avancent ? C'est pour quand ?
-Avant le mariage il faut divorcer! Mais pour s'aimer est-il nécessaire d'avoir des papiers.? Viens près de moi, je vais te donner un acompte. A genoux sur ce coussin, ouvre ma braguette, extrais mes bijoux de famille, déballe mon gourdin et fais lui une gâterie. Exerce-toi pour échauffer tes mâchoires. Là, ma poule, suce mon sucre d'orge comme tu sais si bien le faire, attention, ne me blesse pas avec tes dents. Enlève ton peignoir. J'ai besoin de te voir nue pour bander..
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