Elle est veuve - histoire érotique

Être veuve à 35 ans. Ce doit être dur pour Théréza. Nous sommes voisines, quand nous nous croisons dans la rue, à force elle me demande de venir prendre un café chez elle. Je ne veux pas la décevoir, alors je me trouve au milieu de son appartement. J'ose lui demander si depuis son veuvage, elle n'a pas des envies cachées.
-Non je sais me contenter seule.
Elle m'étonne en avouant qu'elle se masturbe. Il me semble la voir couchée avec une main sur son sexe. Je suis trop curieuse :
-Comment faites vous ?
Elle entre dans des détails qui sont réellement personnels :
Je me mets nue n'importe où dans la maison.
Ouf, elle m'échauffe. Je l'imagine bien se caresser là où elle me parle.
Je ne sais si c'est la conversation ou quoi, elle passe sa main sur le pubis en me regardant dans les yeux. Elle me voudrait que ça ne m'étonnerais pas. Elle avoue :
J'ai envie maintenant.
J'aimerais la voir :
Moi aussi...
Son jean passe par dessus bord : elle est nue dessous. Elle continue en enlevant son haut à peine transparent : elle me montre son corps. Elle reste debout devant moi, ouvrant sa fente. Je vois son sexe. Un main passe sur le bout sensible. Elle ferme les yeux, prise dans la spirale du plaisir.
Et moi, je dois regarder ma voisine se caresser sans rien faire ?
Elle me regarde toujours en se donnant du plaisir. Je ne peux résister, moi tellement j'ai envie, j'ai envie de jouir. Je suis vite nue, comme elle. Je regard des doigts s'incruster dans sa féminité. Ils sont repliés un peu vers la paume de la main. Ils insistent sur et dans son sexe.
Je fais comme elle. Nous nous donnons du plaisir sans rien échanger. J'ai envie de plus.
Tu ne veux pas mon gode ?
Tu as un gode, alors oui.
Je n'ai qu'à passer par le palier : il n'y a personne. Je laisse les deux portes ouvertes. Elle doit voir mes fesses en partant. Je reviens triomphante avec le gode dans la main comme un trophée. J'ai la certitude que nous allons nous aimer : depuis le temps que je la désire. Il m'arrive de me masturber en pensant à elle.
Je peux enfin jouir avec elle.
Elle me donne son corps en se couchant. Le gode est sur son pubis. Elle prend ma main la guide vers sa féminité. Il me semble devenir un homme quand j'entre l'engin dans son sexe:Elle guide la cadence selon son inspiration profonde. Et moi je le regarde prendre son plaisir.
Baises moi encore.
Oui, je vais te faire jouir.
Avec toi, donne moi ton con sur la bouche.
Je l'enjambe, je me baisse sur sa bouche ouverte. Elle prend toute ma chatte entre ses lèvres. Je dois lui donner une bonne dose de mon jus. Je me redresse en restant sur sa bouche : mon dieu qu'elle suce bien.Je me penche sur elle, je regarde le gode s'enfoncer en elle. Je regrette de ne pas en avoir un autre : elle pourrait me baiser aussi. Je fais aller et venir le gode en elle : elle jouit trop vite ;
Mets moi le dans le cul.
Je le sors juste ce qu'il faut pour le dégager du sexe. En passant sur le périnée, je vois bien son con mouillé.Je lui donne le mien qu'elle lèche facilement. Je suis sur son anus. Joli petit trou fripé. Le gode écarte doucement les plis de son anus. Je l'enfonce en entier, brusquement. Elle cri qu'elle a mal, elle cri qu'elle sent bien qu'elle va jouir.
Je suis excitée de voir comme le gode entre dans son cul ; il fait exactement comme pour moi.
Mets moi des doigts.
Je ne précise pas où je le voudrais. Elle commence à me caresser l'intérieur des fesses, puis elle pose deux doigts sur mon cul. Je la veux en moi. Je veux jouir du cul avec ses doigts à elle.
Je n'en peux plus, ces lèvres assiègent mes fesses et mon sexe. J'arrête de lui donner du plaisir. Elle comprends où j'en suis arrivée. Elle me laisse assise, sa tête entre mes jambes. Elle m'embrasse l'intérieur des cuisses, augmentant mon désir. Je la veux. Elle vient sur mon sexe. Sa bouche l'a emprisonné. Sa langue écarte mes lèvres, je les sens venir vers le clitoris. Elle le suce pour le mettre en entier dans sa bouche. C'est la meilleurs façon de me lécher. Pour parfaire son emprise, elle passe un doigts sur l'anus. J'ai aussi envie de sa langue et de ses doigts en moi.
Oui, baises moi.
Et moi ?
Tournes toi, donne moi ton con sur la bouche.
Son désir, son langage me donne toutes les envies. Je me tourne sur elle : je sens ses seins presque contre les miens. C'est mieux que le corps d'un homme.
Je sens mieux que ses lèvres, elle y met aussi des doigts en moi. J'éclate plusieurs fois sur elle ou dans sa bouche. Je remplace son défunt de mari. Je reviendrais souvent et pour son plaisir et surtout le mien. C'est mieux que quand je me branle, même avec un gode.