Elle était si jolie 3
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 515 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Accent ont reçu un total de 3 607 681 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2022 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 3 305 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Elle était si jolie 3
" Je t'aime...laisse'moi t'aimer" En quelques jours je suis passé par des sentiments contraires; de la crainte d'héberger une jeune fille à de la simple tolérance, puis à la joie de recevoir un innocent bisou de reconnaissance, je suis arrivé enfin au regret de ne pas pouvoir espérer un rapprochement plus intime avec cette Noémie dont la présence quotidienne semble si plaisante. Oui je me féliciterais presque d'avoir admis de l'accueillir. Sauf que...
Hélas je m'y suis mal pris dès le début. J'ai saboté mes chances d'établir une relation que rien ne pourra faire évoluer. Ma maladresse et ma timidité ont dressé entre nous un mur de pudeur. La promesse de Noémie de garder ses distances, destinée à me rassurer, mue en sentiment de frustration. Noémie m'a cru inaccessible et a renforcé mes précautions excessives en dressant entre nous ce paravent. L'objet délimite notre domaine, c'est vrai. Mais il me permet de regarder sans scrupule dans la direction de celle qui se croit illusoirement protégée de ma curiosité. Elle se sent chez elle derrière le paravent, elle y évolue librement, se dévêt, se meut mi habillée ou nue, tourne sur elle, se penche, adopte des poses que j'observe en ombres chinoises floues certes, mais suggestives et peut-être troublantes.
Tout doucement j'ai pris goût au spectacle offert le soir à l'heure du coucher. Progressivement ma déception de n'avoir pas su attirer vers moi plus d'attention a crû. Mon désir d'établir une relation amicale et éventuellement amoureuse est née, a couvé, grandi. Je désespère de pouvoir rétablir une ambiance plus favorable. Je me sais désormais amoureux de cette fille. Hélas plus je souhaite la conquérir, moins je peux y croire. Plus je l’observe ,plus elle me plaît, plus j’en suis épris. Voilà, nous cohabitons amicalement, c'est agréable. Cependant je désire " UN PLUS" auquel Noémie a solennellement renoncé pour obtenir une place dans mon appartement. Comme j'aimerais que...
Or...Noémie vient de tout bouleverser. Elle m'a embrassé sur la bouche avec passion, avant de me supplier de me laisser aimer, avant de tenter de me convaincre de la force de son amour. Allez demander à un assoiffé s'il accepterait un verre d'eau ! J'en rêvais sans oser l'espérer. Elle comble mes voeux les plus ardents mais ne m'accorde pas la possibilité d'exprimer mon bonheur. Je n'ai pas le choix. Impossible de la repousser si j'en avais l'intention ou la fantaisie. Sa bouche reprend la mienne, gloutonne, vorace. Son baiser de nouveau me cloue le bec, m'impose silence, veut me persuader et me faire accepter sa volonté de me convaincre de son amour.
Qui résisterait à une telle fougue? Qui ne fondrait pas sous un tel assaut? Noémie a franchi la limite, a renversé le mur. Elle a osé ! Je reçois son élan avec allégresse. La surprise passée, je m’applique à lui montrer qu'elle prêche un converti. Bien que novice en la matière je réponds je mon mieux. Mes lèvres suivent les mouvements des siennes, s’ouvrent sous leur pression. Quand sa langue pénètre entre mes dents, la mienne la rencontre, lutte contre l’invasion et la poursuit si elle recule. L’échange dure, nos souffles se mélangent. Un trouble étrange s’installe, la respiration s’exaspère, le sang s’affole. Je suis toujours allongé sur le dos sous le poids de Noémie courbée sur ma poitrine. Sa main droite glissée sous ma tête me maintient soumis à son baiser envoûtant. Sa gauche ouvre ma veste de pyjama, caresse ma poitrine. Sur mon torse ainsi dénudé je sens la douce chaleur de sa poitrine si peu protégée par la dentelle de sa légère nuisette. Le baiser s’emballe, je m’améliore, nous nous aimons ! Que c’est bon.
Où va cette main qui se déplace sur ma peau, des premiers poils de ma poitrine à mon nombril, sur mon ventre, sur ma hanche, sur l’autre. Quand un doigt se pose sur mon sexe raidi, j’ai une réaction instinctive. Mon bras gauche se détend brusquement, repousse sans ménagement le corps qui m’immobilisait. Sans doute ai-je voulu cacher l’érection provoquée par la situation si nouvelle et si excitante. Je ne tiens pas à scandaliser l’aimée ou à rebuter mon amoureuse par la révélation brutale de l’effet produit sur mes sens par notre premier contact physique. Il n’est pas délicat d’inaugurer par une exhibition sexuelle une relation amoureuse naissante. Enfin c’est ma conception de néophite.
- Aie, s’exclame Noémie Elle se redresse vivement. Debout elle se frotte le sein voilé et s’étonne :- Mais, Jean. Pourquoi ? Je croyais que cela te plaisait. Ne m’aimes-tu pas ? Même pas un peu ? Tu embrassais si bien. Là tu m’as fait mal. Regarde.
Elle fait glisser la bretelle de sa nuisette. Là… Elle dégage un sein, veut que je regarde. Ciel, quelle merveille, que ce demi globe de chair blanche est beau. J’en suis ébahi. Je n’aurais osé ni demander çà voir ni faire un geste pour découvrir cette différence. Oh ! C’est ça un sein. Beau, admirable, attendrissant. Evidemment après l’admiration naturelle de celui qui reçoit le choc de la révélation je reviens à la réalité. Il paraît que j’ai fait mal. Sans l’intention de blesser pourtant.
Noémie frotte le sein, me regarde, incrédule. Je ne remarque pas de blessure apparente, la vue troublée par la honte d’avoir mal contrôlé mon mouvement. Comment ai-je pu, je n’aurais pas dû. Penaud je tente :- Pardon. Je n’ai pas voulu te faire mal. Je suis confus. Mais si ; je t’aime. Pardonne, excuse ma brutalité involontaire- Ah ! Bien, tu m’aimes . Alors si tu veux que je pardonne, lève-toi. Maintenant donne-moi ta main.
Elle serre mes doigts, les conduit sur le sein blessé. Ca ne brûle pas. C’est tendre, doux.
-Allez, caresse-le, la douleur s’atténuera. Là ; doucement sur le téton. Oui, encore, caresse. Tu sais, tu peux l’embrasser. Oui, avec la bouche. Allez. N’aie pas peur, au contraire je n’ai plus mal J’adore la douceur de tes lèvres.
A ma première hésitation succède un immense plaisir. J’obéis bien volontiers aux conseils de ma victime. Elle recommande de lécher, je lèche l’aréole. Elle veut que je suce la framboise rose foncé, j’enveloppe la pointe de chair qui durcit entre mes lèvres et je suce délicatement. Noémie se trémousse, se réjouit, m’encourage. Pour me remercier elle m’enlace et me gratifie d’un nouveau baiser passionné. La gourmande n’en finit que pour m’annoncer :- Tu sais, j’en ai deux. L’autre est jaloux. Il réclame le même traitement.
Ce disant elle dégage le deuxième sein. Je comprends aussitôt et je prodigue à la deuxième merveille caresses, bisous. On ne compte pas quand on sait combien on donne de satisfaction. Les baisers suivants sont encore plus ardents. La nuisette reste accrochée aux hanches. Noémie remarque mon regard et sourit Ses mains quittent ma nuque, je les sens descendre entre nos deux corps, La nuisette tomge sur nos pieds.
Hélas je m'y suis mal pris dès le début. J'ai saboté mes chances d'établir une relation que rien ne pourra faire évoluer. Ma maladresse et ma timidité ont dressé entre nous un mur de pudeur. La promesse de Noémie de garder ses distances, destinée à me rassurer, mue en sentiment de frustration. Noémie m'a cru inaccessible et a renforcé mes précautions excessives en dressant entre nous ce paravent. L'objet délimite notre domaine, c'est vrai. Mais il me permet de regarder sans scrupule dans la direction de celle qui se croit illusoirement protégée de ma curiosité. Elle se sent chez elle derrière le paravent, elle y évolue librement, se dévêt, se meut mi habillée ou nue, tourne sur elle, se penche, adopte des poses que j'observe en ombres chinoises floues certes, mais suggestives et peut-être troublantes.
Tout doucement j'ai pris goût au spectacle offert le soir à l'heure du coucher. Progressivement ma déception de n'avoir pas su attirer vers moi plus d'attention a crû. Mon désir d'établir une relation amicale et éventuellement amoureuse est née, a couvé, grandi. Je désespère de pouvoir rétablir une ambiance plus favorable. Je me sais désormais amoureux de cette fille. Hélas plus je souhaite la conquérir, moins je peux y croire. Plus je l’observe ,plus elle me plaît, plus j’en suis épris. Voilà, nous cohabitons amicalement, c'est agréable. Cependant je désire " UN PLUS" auquel Noémie a solennellement renoncé pour obtenir une place dans mon appartement. Comme j'aimerais que...
Or...Noémie vient de tout bouleverser. Elle m'a embrassé sur la bouche avec passion, avant de me supplier de me laisser aimer, avant de tenter de me convaincre de la force de son amour. Allez demander à un assoiffé s'il accepterait un verre d'eau ! J'en rêvais sans oser l'espérer. Elle comble mes voeux les plus ardents mais ne m'accorde pas la possibilité d'exprimer mon bonheur. Je n'ai pas le choix. Impossible de la repousser si j'en avais l'intention ou la fantaisie. Sa bouche reprend la mienne, gloutonne, vorace. Son baiser de nouveau me cloue le bec, m'impose silence, veut me persuader et me faire accepter sa volonté de me convaincre de son amour.
Qui résisterait à une telle fougue? Qui ne fondrait pas sous un tel assaut? Noémie a franchi la limite, a renversé le mur. Elle a osé ! Je reçois son élan avec allégresse. La surprise passée, je m’applique à lui montrer qu'elle prêche un converti. Bien que novice en la matière je réponds je mon mieux. Mes lèvres suivent les mouvements des siennes, s’ouvrent sous leur pression. Quand sa langue pénètre entre mes dents, la mienne la rencontre, lutte contre l’invasion et la poursuit si elle recule. L’échange dure, nos souffles se mélangent. Un trouble étrange s’installe, la respiration s’exaspère, le sang s’affole. Je suis toujours allongé sur le dos sous le poids de Noémie courbée sur ma poitrine. Sa main droite glissée sous ma tête me maintient soumis à son baiser envoûtant. Sa gauche ouvre ma veste de pyjama, caresse ma poitrine. Sur mon torse ainsi dénudé je sens la douce chaleur de sa poitrine si peu protégée par la dentelle de sa légère nuisette. Le baiser s’emballe, je m’améliore, nous nous aimons ! Que c’est bon.
Où va cette main qui se déplace sur ma peau, des premiers poils de ma poitrine à mon nombril, sur mon ventre, sur ma hanche, sur l’autre. Quand un doigt se pose sur mon sexe raidi, j’ai une réaction instinctive. Mon bras gauche se détend brusquement, repousse sans ménagement le corps qui m’immobilisait. Sans doute ai-je voulu cacher l’érection provoquée par la situation si nouvelle et si excitante. Je ne tiens pas à scandaliser l’aimée ou à rebuter mon amoureuse par la révélation brutale de l’effet produit sur mes sens par notre premier contact physique. Il n’est pas délicat d’inaugurer par une exhibition sexuelle une relation amoureuse naissante. Enfin c’est ma conception de néophite.
- Aie, s’exclame Noémie Elle se redresse vivement. Debout elle se frotte le sein voilé et s’étonne :- Mais, Jean. Pourquoi ? Je croyais que cela te plaisait. Ne m’aimes-tu pas ? Même pas un peu ? Tu embrassais si bien. Là tu m’as fait mal. Regarde.
Elle fait glisser la bretelle de sa nuisette. Là… Elle dégage un sein, veut que je regarde. Ciel, quelle merveille, que ce demi globe de chair blanche est beau. J’en suis ébahi. Je n’aurais osé ni demander çà voir ni faire un geste pour découvrir cette différence. Oh ! C’est ça un sein. Beau, admirable, attendrissant. Evidemment après l’admiration naturelle de celui qui reçoit le choc de la révélation je reviens à la réalité. Il paraît que j’ai fait mal. Sans l’intention de blesser pourtant.
Noémie frotte le sein, me regarde, incrédule. Je ne remarque pas de blessure apparente, la vue troublée par la honte d’avoir mal contrôlé mon mouvement. Comment ai-je pu, je n’aurais pas dû. Penaud je tente :- Pardon. Je n’ai pas voulu te faire mal. Je suis confus. Mais si ; je t’aime. Pardonne, excuse ma brutalité involontaire- Ah ! Bien, tu m’aimes . Alors si tu veux que je pardonne, lève-toi. Maintenant donne-moi ta main.
Elle serre mes doigts, les conduit sur le sein blessé. Ca ne brûle pas. C’est tendre, doux.
-Allez, caresse-le, la douleur s’atténuera. Là ; doucement sur le téton. Oui, encore, caresse. Tu sais, tu peux l’embrasser. Oui, avec la bouche. Allez. N’aie pas peur, au contraire je n’ai plus mal J’adore la douceur de tes lèvres.
A ma première hésitation succède un immense plaisir. J’obéis bien volontiers aux conseils de ma victime. Elle recommande de lécher, je lèche l’aréole. Elle veut que je suce la framboise rose foncé, j’enveloppe la pointe de chair qui durcit entre mes lèvres et je suce délicatement. Noémie se trémousse, se réjouit, m’encourage. Pour me remercier elle m’enlace et me gratifie d’un nouveau baiser passionné. La gourmande n’en finit que pour m’annoncer :- Tu sais, j’en ai deux. L’autre est jaloux. Il réclame le même traitement.
Ce disant elle dégage le deuxième sein. Je comprends aussitôt et je prodigue à la deuxième merveille caresses, bisous. On ne compte pas quand on sait combien on donne de satisfaction. Les baisers suivants sont encore plus ardents. La nuisette reste accrochée aux hanches. Noémie remarque mon regard et sourit Ses mains quittent ma nuque, je les sens descendre entre nos deux corps, La nuisette tomge sur nos pieds.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Accent
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
De mieux en mieux : une "princesse" qui apprend à un innocent prince à devenir "charmant" sans profiter de son sommeil "éternel" ! Une merveille Bravo à l'auteur ! Didier