Elle ignorait tout
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Elle ignorait tout
Elle ignorait du sexe, enfin, elle savait comme toutes les jeunes filles de son époque comment se font le enfants, ne pas montrer ses fesses..
Je le rencontrais,elle avait 17 ans, je crois. Nous nous sommes plût. Mais à part quelques baisers sur la bouche, quelques caresses rapide sur sa poitrine, rien de bien concret. Je me contentais de ce petit rien. Elle devait finir ses études au lycée. Je ne la voyais que rarement, trop peu à mon goût. Un soir, après le lycée, elle me sautait presque dessus. Elle avait son bac,18 ans enfin allait rentrer à la fac de droit à Toulouse.
- Tu sais j'ai fait l'idiote en te laissant penser que le sexe ne m'intéresse pas. C'est faux, je te veux.
- Comment ça ?
- Nous serons dans le même lit, nus toi et moi, moi contre toi, tu me feras ce que tu veux, te me feras l'amour, j'en veux, j'en ai envie depuis le temps me je me refuse tout.
Elle m'en dit trop d'un seul coup. Je ne sais si je dois croire tout ce qu’elle annonce. Je fais quand même essayer de lui faire l'amour, bien comme il faut pour lui faire connaître tous les plaisirs. J'ai eu une élève plus que douée.
La première fois que je lui ai fais l'amour, elle était crispée. Elle n'avais jamais eu en main une bite bandée, elle ne savait pas me masturber. J'avais réussi à la faire mettre nue devant moi. Quel corps de déesse de l'amour : des seins plus hauts que les autres, un ventre plat, des jambes au fuseau. Elle aurait fait bander Dieu lui même.
Pourtant elle se détendait quand mes caresses lui faisaient du bien , lui donnaient envie d'aller plus loin, bien plus loin encore.
Je ne l'ai pas baisée de suite, je l'ai caressée, surtout surprise, elle qui pensait que j'allais lui percer le sexe. Quand je posais ma bouche sur son petit abricot, elle se laissait faire, plus par curiosité que par désir.
Par contre quand j'ai passé rapidement la langue dans sa fente, alors là le grand chambardement pour elle a commencé. Elle n’attendait pas ma mangue mais ma bite, qu'elle pouvait toucher quand elle voudrait. Étant dans son endroit sensible j'en profitais pour lécher tout ce que je trouvais, et il y en avait.
D’abord ses lèvres relativement petites, avec caché au milieu son petit rocher. Au début ma langue passait sur elle par gourmandise tellement elle était appétissante. Son goût mi iodé, mi femelle me donnait envie de continuer mon expédition.
J'allais sur son périnée, doux comme le reste de son corps, mais parfumé par la présence de son sexe et de son anus. Que de promesses avec lui, justement son anus.
J'hésitais beaucoup à y mettre ma langue, après tout cet endroit n'est pas destiné à une langue. Mais il attirait mon esprit. Je voulais la goûter là. Sur le ventre, couché devant elle, j'étalais ma langue largement sur son cul. Elle me laissait faire, anxieuse de la suite.
Je lui donnais la suite à ma façon en durcissant la pointe de la langue pour la faire entrer en elle. Je sentais son cul s’ouvrir comme un fruit mur. Je pouvais farfouiller son anus. Elle commençait à avoir un plaisir différent. Je voulais lui en donner plus en lui entrant deux doigts dans sa réserve. Elle atteignait un sommet dans son orgasme.
Même si j’avais envie de la pénétrer, j’attendais qu'elle me le demande. Je continuais mes travaux d'approche avec mes doigts, moins avec la langue. Je lui mettais deux puis trois doigts au fond de son fondement. Elle les acceptait en jouissant encore une fois.
C'est elle qui me demandait de venir sur elle, de lui mettre ma queue dans son con. J'étais à peine étonné de la verdeur de son langage, mais heureux qu'elle me demande la suite.
Elle se coulait contre moi, venait faire la chatte contre mon nœud ; elle se retournait pour se mettre en levrette. Je venais sur elle, mon pubis contre ses fesses chaudes. Ma bite venait seule vers son vagin. Sans forcer elle entrait dans son ventre et elle gémissait, elle se plaignait comme si je lui faisais mal.
La douleur que je lui infligeais la faisait jouir autour de la queue. Je sortais d'elle, ayant encore ma résistance et ma semence. Je changeais d'endroit. Je voulais essayer son autre entrée.
Quel délice de l'enculer : elle était très étroite, sans fin. Il me semblais que mon sexe s’allongeait en elle. Elle prenait une initiative en se masturbant. Je sentais ses doigts sur ma pine je sentais son cul autour de ma queue.
Je la sentais jouir une ou deux fois avant que je lui donne la réserve de sperme.
Pourtant elle voulait que je reste en elle, même si je débandais. Ma pine allait sortir d'elle même quand elle serrait les muscles de son cul. Je ne sais par quel miracle je renaissais. J'étais plus dur qu'avant, plus résistant aussi.
J'avais envie de son sexe, de sa bouche. Elle a comblé mes besoins. Je l'ai baisé, l'ai faire jouir par le sexe, je suis allé dans sa bouche, sa langue m'a fait jouir en elle encore une fois.
C'était un samedi soir. Le lundi matin nous nous sommes levés, crevé en nous embrassant avant de nous quitter.
Nous devons nous revoir ce soir.
Je le rencontrais,elle avait 17 ans, je crois. Nous nous sommes plût. Mais à part quelques baisers sur la bouche, quelques caresses rapide sur sa poitrine, rien de bien concret. Je me contentais de ce petit rien. Elle devait finir ses études au lycée. Je ne la voyais que rarement, trop peu à mon goût. Un soir, après le lycée, elle me sautait presque dessus. Elle avait son bac,18 ans enfin allait rentrer à la fac de droit à Toulouse.
- Tu sais j'ai fait l'idiote en te laissant penser que le sexe ne m'intéresse pas. C'est faux, je te veux.
- Comment ça ?
- Nous serons dans le même lit, nus toi et moi, moi contre toi, tu me feras ce que tu veux, te me feras l'amour, j'en veux, j'en ai envie depuis le temps me je me refuse tout.
Elle m'en dit trop d'un seul coup. Je ne sais si je dois croire tout ce qu’elle annonce. Je fais quand même essayer de lui faire l'amour, bien comme il faut pour lui faire connaître tous les plaisirs. J'ai eu une élève plus que douée.
La première fois que je lui ai fais l'amour, elle était crispée. Elle n'avais jamais eu en main une bite bandée, elle ne savait pas me masturber. J'avais réussi à la faire mettre nue devant moi. Quel corps de déesse de l'amour : des seins plus hauts que les autres, un ventre plat, des jambes au fuseau. Elle aurait fait bander Dieu lui même.
Pourtant elle se détendait quand mes caresses lui faisaient du bien , lui donnaient envie d'aller plus loin, bien plus loin encore.
Je ne l'ai pas baisée de suite, je l'ai caressée, surtout surprise, elle qui pensait que j'allais lui percer le sexe. Quand je posais ma bouche sur son petit abricot, elle se laissait faire, plus par curiosité que par désir.
Par contre quand j'ai passé rapidement la langue dans sa fente, alors là le grand chambardement pour elle a commencé. Elle n’attendait pas ma mangue mais ma bite, qu'elle pouvait toucher quand elle voudrait. Étant dans son endroit sensible j'en profitais pour lécher tout ce que je trouvais, et il y en avait.
D’abord ses lèvres relativement petites, avec caché au milieu son petit rocher. Au début ma langue passait sur elle par gourmandise tellement elle était appétissante. Son goût mi iodé, mi femelle me donnait envie de continuer mon expédition.
J'allais sur son périnée, doux comme le reste de son corps, mais parfumé par la présence de son sexe et de son anus. Que de promesses avec lui, justement son anus.
J'hésitais beaucoup à y mettre ma langue, après tout cet endroit n'est pas destiné à une langue. Mais il attirait mon esprit. Je voulais la goûter là. Sur le ventre, couché devant elle, j'étalais ma langue largement sur son cul. Elle me laissait faire, anxieuse de la suite.
Je lui donnais la suite à ma façon en durcissant la pointe de la langue pour la faire entrer en elle. Je sentais son cul s’ouvrir comme un fruit mur. Je pouvais farfouiller son anus. Elle commençait à avoir un plaisir différent. Je voulais lui en donner plus en lui entrant deux doigts dans sa réserve. Elle atteignait un sommet dans son orgasme.
Même si j’avais envie de la pénétrer, j’attendais qu'elle me le demande. Je continuais mes travaux d'approche avec mes doigts, moins avec la langue. Je lui mettais deux puis trois doigts au fond de son fondement. Elle les acceptait en jouissant encore une fois.
C'est elle qui me demandait de venir sur elle, de lui mettre ma queue dans son con. J'étais à peine étonné de la verdeur de son langage, mais heureux qu'elle me demande la suite.
Elle se coulait contre moi, venait faire la chatte contre mon nœud ; elle se retournait pour se mettre en levrette. Je venais sur elle, mon pubis contre ses fesses chaudes. Ma bite venait seule vers son vagin. Sans forcer elle entrait dans son ventre et elle gémissait, elle se plaignait comme si je lui faisais mal.
La douleur que je lui infligeais la faisait jouir autour de la queue. Je sortais d'elle, ayant encore ma résistance et ma semence. Je changeais d'endroit. Je voulais essayer son autre entrée.
Quel délice de l'enculer : elle était très étroite, sans fin. Il me semblais que mon sexe s’allongeait en elle. Elle prenait une initiative en se masturbant. Je sentais ses doigts sur ma pine je sentais son cul autour de ma queue.
Je la sentais jouir une ou deux fois avant que je lui donne la réserve de sperme.
Pourtant elle voulait que je reste en elle, même si je débandais. Ma pine allait sortir d'elle même quand elle serrait les muscles de son cul. Je ne sais par quel miracle je renaissais. J'étais plus dur qu'avant, plus résistant aussi.
J'avais envie de son sexe, de sa bouche. Elle a comblé mes besoins. Je l'ai baisé, l'ai faire jouir par le sexe, je suis allé dans sa bouche, sa langue m'a fait jouir en elle encore une fois.
C'était un samedi soir. Le lundi matin nous nous sommes levés, crevé en nous embrassant avant de nous quitter.
Nous devons nous revoir ce soir.
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