Elle me fait du bien
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Elle me fait du bien
C’était il y a 15 ans. Nous nous sommes rencontrés chez des amis communs. Ses yeux bleus clairs m’ont attiré de suite. Je suis incapable de dire ce qui de moi lui donner envie de me suivre. Je me souviens avoir bafouillé des sottises, elle en riait en se foutant ouvertement de moi. Notre soirée devenait interminable : j’avais peur d’elle (à juste raison je l’ai su plus tard). C’est elle qui a prit la grande décision : aller diner ensemble. Je me calmais, elle ne m’en voulait pas, surtout quand plein de courage vers la fin du repas, j’ai pris ses lèvres, douces encore parfumées des fruits. Dehors, c’est elle qui a crié victoire en m’invitant chez elle. Comment moi, l’homme je me laissais embobiner par une vulgaire fille !!!
En me réveillant vers 9 heures le lendemain je me demandais où j’étais : pas chez moi, je ne reconnaissais pas le mobilier. La bouche de Lucie m’a totalement sorti du brouillard. Je venais de passer une nuit somptueuse de plaisir partagés avec une femme sensuelle. Eliane ne m’avait montré qu’une partie de son talent. Je voulais moi, la mener au ciel à ma façon.
Lucie a su me retenir chez elle la journée. Son corps captivant, ouvert aux caresses multiples que je connaissais, me permettait de lui faire une foule de plaisirs qu’elle appréciait. Mon sexe, greffé au sien ne voulais plus la quitter. Elle me demandait un final : ma langue sur son périnée. Je la sentais bien jour de cet endroit.
Mais le besoin d’argent, celui de ne pas être à la merci des autres, m’a forcé à me séparer d’elle, le temps d’une petite semaine. C’était des coups de fils deux ou trois fois par jour. J’avais des nouvelles de son bas ventre, elle en avait de mon sexe. Il lui arrivait de me parler, de me raconter ses envies quand je déjeunais, j’arrivais à bander. Elle ne le disait pas, elle devait mouiller.
Plusieurs semaines plus tard nous nous sommes mis ensemble, entendre par là que je portais mes fringues dans son armoire. Lucie se donnait à moi sans que je le lui demande, comme une jeune mariée. Et puis doucement sont arrivées les nouveautés. Elle me demandait depuis le début que je la sodomise Je n’osais pas trop, sauf le soir où elle s’est rit de moi, a pris la queue, se l’ai mise dans le vagin avant de changer d’idée. Je me suis trouvé au fond de son cul facilement. Je l’ai limé longtemps jusqu’à cracher mon sperme au fond de ses boyaux. C’était agréable de l’enculer Elle aime bien être sur moi, diriger ma queue là où elle veut. Souvent dès qu’elle jouit elle me détourne pour que je l’encule. J’ai ainsi pris goût à son anus, allant souvent le lui lécher.
Il arrive assez souvent à Lucie de se caresser pour compléter ce qu’elle n’avait pas eu. Ses doigts entent facilement dans ses fesses. La masturbation anale est sa préférée. Un matin, comme ça, pour changer elle m’a caressé les fesses quand je la baisais. Elle prenait goût à mon cul. Ce n’est pas que je déteste, mais des doigts dans le trouffignon ne m’emballent pas des masses.
Lucie allie la masturbation ou surtout la fellation à la masturbation de mon cul. Je n’aimais pas, jusqu’au jour où elle n’a fait que me toucher l’anus, sans me tripoter la queue. Je me suis tendu vers l’avant. Elle regardait ma queue sans la toucher, malgrè les mouvements qu’elle faisait. Je suis parti d’un seul coup sur sa figure : le peu de sperme sur ses lèvres disparait rapidement dans sa bouche. Elle me donne sa chatte à lécher, une chatte pleine de cyprine et mouille inconnues.
Lucie a pris goût à la sodomie, j’aime aussi quand elle me caresse le même endroit. En plus elle nous acheté un gode rien que pour nos cul, NOS CULS. Je suis souvent en levrette, la queue dressée, sa main autour, l’autre autour du gode qu’elle met dans l’anus, le mien. En plus j’adore ça. C’était une petite quinzaine avant le mariage.
En me réveillant vers 9 heures le lendemain je me demandais où j’étais : pas chez moi, je ne reconnaissais pas le mobilier. La bouche de Lucie m’a totalement sorti du brouillard. Je venais de passer une nuit somptueuse de plaisir partagés avec une femme sensuelle. Eliane ne m’avait montré qu’une partie de son talent. Je voulais moi, la mener au ciel à ma façon.
Lucie a su me retenir chez elle la journée. Son corps captivant, ouvert aux caresses multiples que je connaissais, me permettait de lui faire une foule de plaisirs qu’elle appréciait. Mon sexe, greffé au sien ne voulais plus la quitter. Elle me demandait un final : ma langue sur son périnée. Je la sentais bien jour de cet endroit.
Mais le besoin d’argent, celui de ne pas être à la merci des autres, m’a forcé à me séparer d’elle, le temps d’une petite semaine. C’était des coups de fils deux ou trois fois par jour. J’avais des nouvelles de son bas ventre, elle en avait de mon sexe. Il lui arrivait de me parler, de me raconter ses envies quand je déjeunais, j’arrivais à bander. Elle ne le disait pas, elle devait mouiller.
Plusieurs semaines plus tard nous nous sommes mis ensemble, entendre par là que je portais mes fringues dans son armoire. Lucie se donnait à moi sans que je le lui demande, comme une jeune mariée. Et puis doucement sont arrivées les nouveautés. Elle me demandait depuis le début que je la sodomise Je n’osais pas trop, sauf le soir où elle s’est rit de moi, a pris la queue, se l’ai mise dans le vagin avant de changer d’idée. Je me suis trouvé au fond de son cul facilement. Je l’ai limé longtemps jusqu’à cracher mon sperme au fond de ses boyaux. C’était agréable de l’enculer Elle aime bien être sur moi, diriger ma queue là où elle veut. Souvent dès qu’elle jouit elle me détourne pour que je l’encule. J’ai ainsi pris goût à son anus, allant souvent le lui lécher.
Il arrive assez souvent à Lucie de se caresser pour compléter ce qu’elle n’avait pas eu. Ses doigts entent facilement dans ses fesses. La masturbation anale est sa préférée. Un matin, comme ça, pour changer elle m’a caressé les fesses quand je la baisais. Elle prenait goût à mon cul. Ce n’est pas que je déteste, mais des doigts dans le trouffignon ne m’emballent pas des masses.
Lucie allie la masturbation ou surtout la fellation à la masturbation de mon cul. Je n’aimais pas, jusqu’au jour où elle n’a fait que me toucher l’anus, sans me tripoter la queue. Je me suis tendu vers l’avant. Elle regardait ma queue sans la toucher, malgrè les mouvements qu’elle faisait. Je suis parti d’un seul coup sur sa figure : le peu de sperme sur ses lèvres disparait rapidement dans sa bouche. Elle me donne sa chatte à lécher, une chatte pleine de cyprine et mouille inconnues.
Lucie a pris goût à la sodomie, j’aime aussi quand elle me caresse le même endroit. En plus elle nous acheté un gode rien que pour nos cul, NOS CULS. Je suis souvent en levrette, la queue dressée, sa main autour, l’autre autour du gode qu’elle met dans l’anus, le mien. En plus j’adore ça. C’était une petite quinzaine avant le mariage.
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