Elle obéit
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Elle obéit
Il en rêve depuis longtemps. Il a réussi à me convaincre de me laisser mener comme il veut, comme une soumise. Je me retrouve ainsi chez des nouveaux amis. Au début c’est bizarre d’être la seule femme à me conduire comme je le fais là pour ma première fois. J’obéis comme jamais, même quand j’étais une enfant. Je me doute que je vais supporter une foule de désagréments préalable avant de connaitre ses moments ineffaçables d’orgasmes. La première épreuve, s’en était une pour moi était de me laisser conduire au plaisir pas une femme. Une femme, pensez donc, une femme pour mon plaisir ou le sien. Je ne l’ai su qu’après. Elle me cherchait parce que je lui plaisais. Je l’attirais.
Une série de coups sur les fesses me conduisait pas loin du plaisir à mon grand étonnement. Mon mari regardait ce que je supportais vaillamment. Heureusement qu’arrivait enfin des caresses consolatrices. C’est toujours la même femme qui posait ses mains sur moi. Elles étaient douces, trop douces pour me donner envie d’en connaitre encore plus. J’étais quand même surprise de sentir un doigt sur mon petit trou, comme ça, directement. Il faut que je précise que je n’aime pas du tout la sodomie, chose expérimentée avec dégout avec mon mari.
Mais ce soir, la pulpe d’un doigt a raisons de mes aversions. Je ne sais comment elle fait : elle me donne envie d’aller plus loin. Mon sphincter se détend, laissant le passage. Mon mari regarde quand le doigt féminin entre doucement. Ce doigt qui élargit mon entrée secrète, qui s’enfonce en moi en me faisant haleter. Ce doigt orphelin est accompagné d’un autre.
Je me prépare au meilleur des orgasmes. Moi, je vais jouir de caresses féminines. Et puis zut, si c’est bon, pourquoi refuser ? Je me sens l’actrice d’un spectacle que je vis bien. Une série de spasmes me secouent longuement.
J’inaugure deux nouveautés ; la sodomie, les filles. Que va en conclue mon mari : que je suis une dégoutante, que je deviens dégénérée ? Et que va faire celle qui m’a conduit là où je suis encore frémissante. C’est elle qui me retourne qui se couche à mes pieds. Je sens son souffle sur ma chate. Non, elle ne va pas me lécher ! Si elle en a l’intention. Et je me laisse faire, je me laisse gougnotter par une femme. Sa langue écarte mes lèvres, lèche un peu le bouton. Je vais mourir de ce plaisir nouveau, je me laisse faire en faible femme que je suis devenue.
Sa langue est douce, elle me fait du bien, elle me fait partir au 7° ciel. Elle n’arrête pas. Je jouis encore et encore. Elle arrête ce qu’elle fait, quoi, 10 secondes, le temps de se retourner pour me donne sa chatte sur ma bouche, ma bouche pour la sucer. Je ne sais pas faire cette chose qui me fait du bien à moi quand mon mari me suce, quand cette femme l’a fait. Mais comment me résoudre à poser ma langue sur son sexe.
Je sens ses odeurs de sexe, de sueur, de mouille. Une foule de découverte. Ma première vraie étreinte avec une autre. Et mon mari qui bande à coté sans rien faire, si, il se branle.
Je sens les lèvres sur moi, sur le clitoris, des doigts qui fouille le vagin et d’autre encore sur mon cul. Elle mange tout. Je jouis encore deux ou trois fois. Je mets ma langue en rond, je la pose sur son anus, tentée à mon tour. Je force à peine pour aller dans le cul. Je m’enfonce le plus possible, comme elle me fait. Nous jouissons pleins de fois encore.
Quand je e relève mon mari me colle contre le mur, le dos vers lui. Je ne peux me refuser quand je sens sa queue venir sur l’anus. Il ne force pas, il ne me force pas, j’ouvre mon sphincter. Je suis surprise de sentir un orgasme : il me fait jouir par le cul.
Une série de coups sur les fesses me conduisait pas loin du plaisir à mon grand étonnement. Mon mari regardait ce que je supportais vaillamment. Heureusement qu’arrivait enfin des caresses consolatrices. C’est toujours la même femme qui posait ses mains sur moi. Elles étaient douces, trop douces pour me donner envie d’en connaitre encore plus. J’étais quand même surprise de sentir un doigt sur mon petit trou, comme ça, directement. Il faut que je précise que je n’aime pas du tout la sodomie, chose expérimentée avec dégout avec mon mari.
Mais ce soir, la pulpe d’un doigt a raisons de mes aversions. Je ne sais comment elle fait : elle me donne envie d’aller plus loin. Mon sphincter se détend, laissant le passage. Mon mari regarde quand le doigt féminin entre doucement. Ce doigt qui élargit mon entrée secrète, qui s’enfonce en moi en me faisant haleter. Ce doigt orphelin est accompagné d’un autre.
Je me prépare au meilleur des orgasmes. Moi, je vais jouir de caresses féminines. Et puis zut, si c’est bon, pourquoi refuser ? Je me sens l’actrice d’un spectacle que je vis bien. Une série de spasmes me secouent longuement.
J’inaugure deux nouveautés ; la sodomie, les filles. Que va en conclue mon mari : que je suis une dégoutante, que je deviens dégénérée ? Et que va faire celle qui m’a conduit là où je suis encore frémissante. C’est elle qui me retourne qui se couche à mes pieds. Je sens son souffle sur ma chate. Non, elle ne va pas me lécher ! Si elle en a l’intention. Et je me laisse faire, je me laisse gougnotter par une femme. Sa langue écarte mes lèvres, lèche un peu le bouton. Je vais mourir de ce plaisir nouveau, je me laisse faire en faible femme que je suis devenue.
Sa langue est douce, elle me fait du bien, elle me fait partir au 7° ciel. Elle n’arrête pas. Je jouis encore et encore. Elle arrête ce qu’elle fait, quoi, 10 secondes, le temps de se retourner pour me donne sa chatte sur ma bouche, ma bouche pour la sucer. Je ne sais pas faire cette chose qui me fait du bien à moi quand mon mari me suce, quand cette femme l’a fait. Mais comment me résoudre à poser ma langue sur son sexe.
Je sens ses odeurs de sexe, de sueur, de mouille. Une foule de découverte. Ma première vraie étreinte avec une autre. Et mon mari qui bande à coté sans rien faire, si, il se branle.
Je sens les lèvres sur moi, sur le clitoris, des doigts qui fouille le vagin et d’autre encore sur mon cul. Elle mange tout. Je jouis encore deux ou trois fois. Je mets ma langue en rond, je la pose sur son anus, tentée à mon tour. Je force à peine pour aller dans le cul. Je m’enfonce le plus possible, comme elle me fait. Nous jouissons pleins de fois encore.
Quand je e relève mon mari me colle contre le mur, le dos vers lui. Je ne peux me refuser quand je sens sa queue venir sur l’anus. Il ne force pas, il ne me force pas, j’ouvre mon sphincter. Je suis surprise de sentir un orgasme : il me fait jouir par le cul.
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