elle s'est faite baiser sous mes yeux 3/4 - histoire érotique

- Quoi ? Tu veux qu’Antoine reste ici cette nuit ? Mais ma chérie tu l’as épuisé toute la soirée et puis tu n’en a pas assez de me faire cocu ?
- Si tu permets Lucas, d’une je suis loin d’être épuisé, et de deux si j’ai bien tout suivis c’est plutôt toi qui m’a jetée ta femme dans les bras !pour moi cocu c’est(et en disant ceci il fixe ma femme, celle-ci boit ses paroles ) si en partant je lui glisse dans la main un papier ou je lui donne rendez vous dans un hôtel discret de la ville, tu la retrouveras anéantie d’amour le soir, et là elle te racontera , ou non ,tout en détails pendant que sentiras chaque millimètres carré de sa peau encore enduite de mon foutre , tu nettoieras avec ta langue le sperme tout chaud qui stagneras encore dans sa chatte exsangue et encore plus cocu si elle accepte un autre rendez vous , mais là nous serons deux , il se trouve que j’ai un ami , une bête de foire , tu imagine quasimodo au cinéma ? ? Et bien c’est lui en chair et en os, une queue énorme, la mienne à coté ce n’est qu’une quéquette ! Elle est aussi tourmentée que son visage, le premier moment de terreur passé la femme l’apprécie, au bout d’une demie heure elle l’aime je ne te raconte pas au bout de deux heures, il adore les chattes serrés comme celle de Marise …….LA TU SERAS VRAIMENT COCU !!!!!
- Excuse moi Antoine tu as raison, bien, si tu veux rester c’est avec plaisir, unissons nous pour la faire jouir !
- Merci chéri, mais si nous prenions de quoi reprendre des forces ?
- Très bonne idée Marise, vous savez quoi ? Et bien je vous invite à déguster un plateau de fruits de mer et en même temps je récupère ma voiture au musée
- J’en ai pour une minute je vais me laver …..
- Surtout pas ! Sacrilège ! Une chatte est encore meilleure réchauffée !!, met quand même une petite culotte en cas de fuites ! Et puis si çà sent la crevette au resto, normal, nous en mangeons !
En douce Marise lui glisse
- Nous montons à l’arrière Antoine ?
- Euuuh je ne préfère pas ! Monte devant avec Lucas ……caresse le, mais le en confiance …..

Le repas c’est passé sans histoire, le serveur a bien renifle l’air en fronçant les sourcils il a même humé le plateau de fruits de mer craignant qu’il n’y ait quelque chose d’avarié !
Après avoir récupérer la superbe voiture d’Antoine sur le parking du musée nous regagnons la maison, Marise a sortie ma bitte, la tête coincée sous le volant elle m’a redonné de la vigueur, je descends de la voiture la queue sortie de la braguette
- Hé bien Lucas tu prends de l’avance !!
Sitôt la porte refermée nous enlaçons Marise, coincée entre nous deux sa bouche va de l’un a l’autre, fébrilement je défais les boutons de sa robe qui tombe a terre, Antoine, lui, a fait glissé la culotte a ses pieds, ses doigts fouillent déjà l’entrecuisse, péniblement nous déambulons ainsi jusqu’au canapé ma femme fait passer ma chemise par-dessus ma tête tandis qu’Antoine se déshabille prestement , j’appuis sur les épaules de Marise….
- Stop ! Vous ne croyez tout de même pas que je vais encore me déboiter la mâchoire ?vous voulez être sucés ?hé bien allongez vous tête bêche et sucez vous mutuellement !! Lucas tu dois découvrir cela ! CE N’EST PAS NEGOCIABLE !!!Sinon je vais me coucher ……si vous le faite vous ferez ce que vous voulez de mon corps …
Encore une fois mon cœur bondit dans ma poitrine …..Moi, çà me répugne mais quelqu’un dit oui au fond de moi
Je me laisse glisser à terre, Antoine fait de même sans hésiter lui !! Couchés sur le coté nous nous empoignons mutuellement
Qu’elle est douce sa queue, dure comme de l’acier mais veloutée comme de la soie, je décalotte lentement le gland qui perle déjà, ma bitte tendue à l’ extrême se retrouve vite dans la chaleur de sa bouche, je ne peux plus reculer ……
L’odeur des deux amants flotte encore sur sa hampe, du bout de la langue je prélève son liquide séminal, là, pas de problème je connais le gout du mien, c’est délicieux !
C’est vrai qu’il faut ouvrir très grande la bouche pour absorber seulement le gland soyeux ……. C’est super bon !!!!Sans hésiter j’enfonce tout ce que je peux, Antoine émet un petit cri de surprise et pousse et mime les mouvements du coït, je n’ai plus à tenir le membre j’empoigne les deux grosses couilles encore pleines de sève
Je suis imité, mais il va plus loin, deux doigts fureteurs cherchent mon anus, dans un premier réflexe je me contracte et puis lentement j’écarte un genou pour laisser l’accès aux doigts qui écartent l’anneau qui se détend, deux phalanges sont entrées, encore trente secondes et je vais lui balancer ma purée dans la gorge
- STOP !! Hé les hommes ne gaspillez pas votre nectar sinon ma chatte qu’aura-t-elle ?
- Dommage j’y ai pris gout à sucer un homme !c’est tout simplement fabuleux !
- Tu auras d’autres occasions mon chéri ! Mes amants, je suis à vous …….
A nouveau nous l’enlaçons, toujours debout, elle parait toute frêle entre nous, Marise ferme les yeux ses mains empoignent nos membres tendus a mort, les mains d’Antoine triturent ses seins, la mienne fourrage entre ses cuisses qu’elle écarte docilement, sa vulve détrempée coule sur mes doigts
Elle ronronne comme une chatte
- Antoine, prends là en levrette j’ai envie de mater encore ta queue dans son ventre….
Je m’écarte de ma femme qui se laisse tomber a genoux, sa tête repose au sol son cul est relevé très haut la moule saillante tel un animal, les lèvres ourlées baillent légèrement, son amant se positionne la queue a la main, il la frotte longuement du clitoris a son œillet palpitant
- Regarde son petit cul Lucas ……
- Oui … je crois qu’il a aussi envie de se faire baiser par là aussi….Enfonce toi dans sa chatte je vais la préparer
Sous mes yeux exorbités, encore une fois la queue monstrueuse qui lui fait tant de bien disparait lentement dans la gaine vaginale, la chienne feule de plaisir, je passe une main sous son ventre, les couilles velues sont écrasées sur son clitoris, puis lentement il se met en mouvement tel un métronome, a chaque allées et venues les lèvres sont entrainées en avant et en arrière , un anneau de mousse se forme a la base de la manthule luisante de mouille , il accélère, les seins fermes tremblent comme deux flans, elle s’arque- boute pour résister aux assauts de l’homme
Mes mains ouvrent les deux lobes fessiers ouvrant de ce fait l’anneau brun qui se relâche, un jet de salive, et j’enfonce un pouce sans difficultés jusqu'à la fourche
- Vous êtes deux salauds ! Vous voulez m’enculer …….
- Tu nous as bien dit ‘faite de moi ce que vous voulez ‘non ? Rassure toi c’est moi qui vais te prendre le petit …..
- Tu veux qu’ont la prenne tous les deux maintenant Lucas ?
- Quand tu le désire, tu t’allonge et lui fait faire un demi tour sur toi sans sortir de sa chatte …. Continue à la baiser la vue est trop belle ……Si tu voyais sa moule éclatée !
- Baisez moi tous les deux maintenant gros cochons, vous m’avez donnés envie, ma chatte commence a s’échauffer remplissez mes deux trous !
- A tes ordre belle Marise, va y Luca je m’arrête pour te laisser la monter
J’enduis mon nœud avec la mouille qui coule des lèvres disjointes, un peu d’autre du bout des doigts pour tartiner la cible
- J’arrive Antoine …
.mon gland s’écrase sur le trou qui peu a peu cède, Marise est crispée, elle miaule d’appréhension, ce n’est pas la première fois que je l’encule mais là il a déjà du monde qui prend toute la place !
Un cri strident, mon gland est passé ….. La queue d’Antoine, est là sous la mince paroi, je glisse dessus, c’est une sensation nouvelle pour elle et moi
- Tu y es Lucas ?
- Oui çà va … j’en ai mis dix centimètres
- Très bien ! Bon, on avance chacun notre tour, tu va l’entendre gueuler quand on aura trouvés le rythme …..
Effectivement l’un après l’autre nous baisons Marise qui devient une fois de plus comme hystérique, Antoine se plaint, elle lui plante ses ongles dans les épaules ! Le gland d’Antoine glisse sur le mien, je crains de ne pas pouvoir tenir longtemps ! Tout à coups je dérape ! Ma surprise est grande, son trou ne se referme pas !un trou bien rond rougit sur les bords, un jet de salive bien envoyé et je replonge d’un coup jusqu’aux couilles un pet sonore provoqué par l’air qui fuit du trou nous déconcentre !
Coincée entre nous deux Marise n’a pas le loisir de bouger comme elle le voudrait, malgré tout elle donne de puissants coups de reins nous obligeant à la défoncer au maximum comme je le prévoyais me voilà sur le point de non retour, mon sperme monte a vitesse grand V, Antoine l’a sentit, il arrête immédiatement ses mouvements, bien calé au fond du rectum je lâche tout a grands jets, Marise couine de bonheur et aussi de dépit
- OOOOHHHHH NOOOOOOOONNNN !! Pas déjà !!!!!!!
- Désolé ma chéri mais Antoine n’a pas finit ……
JE retire doucement ma bitte ramollissante, du foutre jaillit avant que le trou ne se referme, des bulles se forment,
L’amant reprend a grand coups de queue ma femme saute sur le torse puissant soudain il bloque de ses larges mains les fesses de Marise …….
- AAAAAAAHHHHH ? Moi aussi je JOUIIIIIIIIIIIIIIIIII OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
- OOOUUIIIIIIIII va y remplit moi la chaaaaaatte !!! OOHHH NOOOOONNNN !!!!!!!
Les deux amants épuisés mais aussi retardent l’échéance de se séparer restent longtemps l’un sur l’autre jusqu'à ce que la verge ramollie glisse d’elle-même du vagin couvert de foutre
Apres un rafraichissement bien mérité notre nouvel ami veut prendre congé, Marise restée nue, le sperme séché a l’intérieur des cuisses raccompagne Antoine jusqu'à la porte, je les vois par l’intermédiaire de la glace du fond du couloir
Antoine palpe une dernière fois les seins, un gros bécot sur les lèvres…. Il glisse sans trop se cacher un papier plié dans la main de ma femme ……..Puis la porte est refermée
Marise va directement aux w c, y reste un bon moment … puis ressort, elle vient se jeter dans mes bras, câline, m’embrasse longuement … il n’y a plus de papier dans sa main ………..