Elle se masturbe
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2012 dans la catégorie En solitaire
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Elle se masturbe
Quand je rentre à la maison je n'entend pas de bruit. pourtant ma
femme devrait déjà être là. Je pense qu'elle a dû être retenue à son
bureau ou qu'elle fait quelques courses. Il est pourtant 19 heures et
elle serait là ou m'aurait passer un coup de fil.
Je monte me changer et la porte de la chambre est fermée: ne c'est
pas normal. J'entrouve la porte et je vois ma femme Lisa nue,
couchée les jambes écartée et une main qui s'agite sur son sexe:
elle se caresse le clitoris, et semble y prendre un très grand plaisir.
Pourtant je ne la néglige pas sexuellement et elle aime se faire
baiser.
Sa main s'égare sur son vagin où elle se rentre deux doigts, les fait
aller et venir. Elle sursaute brusquement en mettant sa tête en
arrière: pas de doute elle vient de jouir. Elle pose l'autre main sur un
sein et le caresse. Elle revient vers son bas ventre et recommence à
se caresser le clitoris. Elle a des mouvements de plus en plus
rapides. Elle vient de jouir et elle recommence aussitôt.
Je la regarde faire et je bande. Je n'ose pas intervenir: je la laisse
tranquille.
Sa main sur son clitoris s'agite rapidement et brusquement elle
arrête cette caresse pour poser un doigt sur son cul: elle le rentre
lentement au début presque en entier, l'agite et en règle les
mouvements sur ceux de son autre main sur son bouton. Elle se
masturbe réellement à fond.
Ce n'est pas la première fois que je la voit se branler, nous sommes
deux dans se cas à nous donner du plaisir. Quand elle ne peut pas
participer à nos ébats elle m'aide en me caressant les couilles et
mettant sa bouche à quelques centimètres de ma bite pour recevoir
mon sperme.
Mais là, elle s'est isolée volontairement et ne se masturbe pas
comme d'habitude. En plus toutes ses affaires sont éparpillées dans
la pièce, ce qui n'est pas son genre. Et pourquoi le faire en se
cachant alors qu'elle pouvait le faire dans le séjour ?
Je n'ai pas les réponses.
Je me retire en bandant et décide de sortir acheter un godemiché
qu'elle me demande depuis pas mal de temps. Le sex-shop n'est
pas loin et mon choix est rapide: je prend le modèle de base. je
rentre et elle n'est toujours pas descendue je remonte lentement:
elle est toujours couchée et semble avoir repris une X'ième fois sa
branle. Cette fois j'ouvre la porte. Elle me regarde sans complexe,
en ayant toujours sa main sur son clitoris, sans cesser sa
masturbation. Elle me sourit et m'invite à me déshabiller et me
joindre à elle pour me branler. Je ne sais trop pourquoi j'obéi alors
que j'aurais du lui imposer une bonne baise avec mon mandrin dans
son con. Je me trouve couché à ses cotés, regardant sa main aller
et venir et son autre main entre ses fesses qui lui caresse un endroit
où elle m'a toujours interdit d'aller. Je prend ma bite en main: son
regard suit ma main et regarde quand je descend mon prépuce
jusqu'au niveau de mon pubis et le remonte vers mon gland où il
vient le cacher avant de recommencer. Sa main accélère encore
plus: elle jouit et elle pose sa main sur son con tout le temps de sa
jouissance qui dure une bonne minute, presque autant que quand je
la baise. Je n'ai même pas eu le temps de jouir. Elle m'embrasse et
me dit qu'elle avait trop envie de se masturber comme elle l'a fait
simplement pour que je ne sois pas jaloux de la voir se mettre un
doigt dans son cul.
Je l'enlace et la caresse, surtout les seins et je la met en levrette.
Elle connait la suite, écarte ses fesses et ouvre son anus. Elle sait
que je désire la sodomiser depuis longtemps. Cette fois elle m'offre
son cul pour la première fois. C'est moi qui craint plus qu'elle. J'ai
peur de la louper pour son plaisir. Et pourtant ...................
Elle se mouille bien l'entrée de son cul et me dirige elle même vers
son entrée plus étroite. Je n'ai pas conscience que le fait de se
branler comme elle faisait tout à l'heure lui ouvrait déjà l'entrée. je
pose ma queue sur son cul. Je ne la pénètre pas aussitôt. Elle
s'impatiente et donne un coup de rein pour que je sois en elle le
plus vite possible. Je me retrouve ma bite logée à fond dans son cul.
Elle a simplement dit au début qu'elle avait un peu mal. La suite
devenait bien plus chaude: elle commençait à y prendre du plaisir.
Pour en avoir encore plus elle se masturbait encore le bouton. Je
sentais son sphincter se crisper pendant sa première et ensuite à
toutes les jouissances qu'elle avait. J'ai finalement jouit dans son
anus et j'en suis sorti malgré sa demande de rester en elle. Je ne
pouvait tout simplement plus bander. Nous nous sommes blottis et à
ce moment là seulement je lui ai offert le gode. Elle en avait envie et
n'osait pas me le demander.
Nous nous sommes levé pour aller nous restaurer un peu. Nous
restions nus et elle gardait avec elle le gode. Un simple sandwich
suffisait. J'étais assis et elle venait savoir sur la table, juste devant
moi, les jambes bien ouvertes son con béant et elle y mettait le
gode. Je la regardais faire et je bandais comme un âne. Elle se
faisait l'amour comme si c'était moi. Elle jouissait et aussitôt après
elle se mettait l'engin sur le cul et le rentrai complètement. Elle me
fixai avec un air vicieux. Je venais de changer de femme. Elle posait
ses pied sur ma bite et la branlait. Bien sur elle ne pouvait me faire
jouir ainsi. Je la prenais dans mes bras et la portait au lit, avec le
gode toujours dans son cul: elle n'avait pas arrêté ses mouvements.
Cette fois je voulais la baiser et jouir dans son con. elle me
demande de rester couché sur le dos, m'enjambe et elle se met elle
même ma queue dans son con. Ce n'est que quand elle se penche
vers moi que je comprends ce qu'elle désire: elle me demande de
lui mettre moi même le gode dans le cul et de la sodomiser comme
il faut. Je sens contre ma bite cet engin et elle se met à gémir de
plaisir. C'est notre première double pénétration et nous jouissons
ensemble. Je vais lui sortir le gode du cul. Elle ne veux pas. Elle se
tourne et reprend une autre masturbation magistrale avec deux
doigts sur son bouton et un gros machin dans son cul qu'elle manie
avec dextérité. Enfin elle retire le gode et nue s'endort comme un
bébé. Je me tourne et en fait autant. Pourtant au réveil elle se met
encore une fois le gode dans le cul, sans même se caresser le
bouton: je suis surpris quand elle se fait jouir simplement
simplement avec le gode. Elle me demande alors de me mettre en
levrette tu m'a enculé je vais t'en faire autant, mais je te sucerai en
même temps. Je suis excité et j'accepte. Elle me mouille bien le cul
et rentre très lentement ce gode dans mon cul, très, très lentement
que je ne sens aucun inconvénient. Comme promis elle se
positionne sous moi: une main m'encule et sa bouche avale ma
pine. sa langue et sa bouche me font du bien, tellement de bien que
je ne voudrait pas qu'elle arrête, même qu'elle continue sa sodomie:
j'y ai pris goût.
Je sais que les fois suivantes seront très chaudes entre les 69,
baises normales et sodomie mutuelles nous allons vers des
orgasme divins.
femme devrait déjà être là. Je pense qu'elle a dû être retenue à son
bureau ou qu'elle fait quelques courses. Il est pourtant 19 heures et
elle serait là ou m'aurait passer un coup de fil.
Je monte me changer et la porte de la chambre est fermée: ne c'est
pas normal. J'entrouve la porte et je vois ma femme Lisa nue,
couchée les jambes écartée et une main qui s'agite sur son sexe:
elle se caresse le clitoris, et semble y prendre un très grand plaisir.
Pourtant je ne la néglige pas sexuellement et elle aime se faire
baiser.
Sa main s'égare sur son vagin où elle se rentre deux doigts, les fait
aller et venir. Elle sursaute brusquement en mettant sa tête en
arrière: pas de doute elle vient de jouir. Elle pose l'autre main sur un
sein et le caresse. Elle revient vers son bas ventre et recommence à
se caresser le clitoris. Elle a des mouvements de plus en plus
rapides. Elle vient de jouir et elle recommence aussitôt.
Je la regarde faire et je bande. Je n'ose pas intervenir: je la laisse
tranquille.
Sa main sur son clitoris s'agite rapidement et brusquement elle
arrête cette caresse pour poser un doigt sur son cul: elle le rentre
lentement au début presque en entier, l'agite et en règle les
mouvements sur ceux de son autre main sur son bouton. Elle se
masturbe réellement à fond.
Ce n'est pas la première fois que je la voit se branler, nous sommes
deux dans se cas à nous donner du plaisir. Quand elle ne peut pas
participer à nos ébats elle m'aide en me caressant les couilles et
mettant sa bouche à quelques centimètres de ma bite pour recevoir
mon sperme.
Mais là, elle s'est isolée volontairement et ne se masturbe pas
comme d'habitude. En plus toutes ses affaires sont éparpillées dans
la pièce, ce qui n'est pas son genre. Et pourquoi le faire en se
cachant alors qu'elle pouvait le faire dans le séjour ?
Je n'ai pas les réponses.
Je me retire en bandant et décide de sortir acheter un godemiché
qu'elle me demande depuis pas mal de temps. Le sex-shop n'est
pas loin et mon choix est rapide: je prend le modèle de base. je
rentre et elle n'est toujours pas descendue je remonte lentement:
elle est toujours couchée et semble avoir repris une X'ième fois sa
branle. Cette fois j'ouvre la porte. Elle me regarde sans complexe,
en ayant toujours sa main sur son clitoris, sans cesser sa
masturbation. Elle me sourit et m'invite à me déshabiller et me
joindre à elle pour me branler. Je ne sais trop pourquoi j'obéi alors
que j'aurais du lui imposer une bonne baise avec mon mandrin dans
son con. Je me trouve couché à ses cotés, regardant sa main aller
et venir et son autre main entre ses fesses qui lui caresse un endroit
où elle m'a toujours interdit d'aller. Je prend ma bite en main: son
regard suit ma main et regarde quand je descend mon prépuce
jusqu'au niveau de mon pubis et le remonte vers mon gland où il
vient le cacher avant de recommencer. Sa main accélère encore
plus: elle jouit et elle pose sa main sur son con tout le temps de sa
jouissance qui dure une bonne minute, presque autant que quand je
la baise. Je n'ai même pas eu le temps de jouir. Elle m'embrasse et
me dit qu'elle avait trop envie de se masturber comme elle l'a fait
simplement pour que je ne sois pas jaloux de la voir se mettre un
doigt dans son cul.
Je l'enlace et la caresse, surtout les seins et je la met en levrette.
Elle connait la suite, écarte ses fesses et ouvre son anus. Elle sait
que je désire la sodomiser depuis longtemps. Cette fois elle m'offre
son cul pour la première fois. C'est moi qui craint plus qu'elle. J'ai
peur de la louper pour son plaisir. Et pourtant ...................
Elle se mouille bien l'entrée de son cul et me dirige elle même vers
son entrée plus étroite. Je n'ai pas conscience que le fait de se
branler comme elle faisait tout à l'heure lui ouvrait déjà l'entrée. je
pose ma queue sur son cul. Je ne la pénètre pas aussitôt. Elle
s'impatiente et donne un coup de rein pour que je sois en elle le
plus vite possible. Je me retrouve ma bite logée à fond dans son cul.
Elle a simplement dit au début qu'elle avait un peu mal. La suite
devenait bien plus chaude: elle commençait à y prendre du plaisir.
Pour en avoir encore plus elle se masturbait encore le bouton. Je
sentais son sphincter se crisper pendant sa première et ensuite à
toutes les jouissances qu'elle avait. J'ai finalement jouit dans son
anus et j'en suis sorti malgré sa demande de rester en elle. Je ne
pouvait tout simplement plus bander. Nous nous sommes blottis et à
ce moment là seulement je lui ai offert le gode. Elle en avait envie et
n'osait pas me le demander.
Nous nous sommes levé pour aller nous restaurer un peu. Nous
restions nus et elle gardait avec elle le gode. Un simple sandwich
suffisait. J'étais assis et elle venait savoir sur la table, juste devant
moi, les jambes bien ouvertes son con béant et elle y mettait le
gode. Je la regardais faire et je bandais comme un âne. Elle se
faisait l'amour comme si c'était moi. Elle jouissait et aussitôt après
elle se mettait l'engin sur le cul et le rentrai complètement. Elle me
fixai avec un air vicieux. Je venais de changer de femme. Elle posait
ses pied sur ma bite et la branlait. Bien sur elle ne pouvait me faire
jouir ainsi. Je la prenais dans mes bras et la portait au lit, avec le
gode toujours dans son cul: elle n'avait pas arrêté ses mouvements.
Cette fois je voulais la baiser et jouir dans son con. elle me
demande de rester couché sur le dos, m'enjambe et elle se met elle
même ma queue dans son con. Ce n'est que quand elle se penche
vers moi que je comprends ce qu'elle désire: elle me demande de
lui mettre moi même le gode dans le cul et de la sodomiser comme
il faut. Je sens contre ma bite cet engin et elle se met à gémir de
plaisir. C'est notre première double pénétration et nous jouissons
ensemble. Je vais lui sortir le gode du cul. Elle ne veux pas. Elle se
tourne et reprend une autre masturbation magistrale avec deux
doigts sur son bouton et un gros machin dans son cul qu'elle manie
avec dextérité. Enfin elle retire le gode et nue s'endort comme un
bébé. Je me tourne et en fait autant. Pourtant au réveil elle se met
encore une fois le gode dans le cul, sans même se caresser le
bouton: je suis surpris quand elle se fait jouir simplement
simplement avec le gode. Elle me demande alors de me mettre en
levrette tu m'a enculé je vais t'en faire autant, mais je te sucerai en
même temps. Je suis excité et j'accepte. Elle me mouille bien le cul
et rentre très lentement ce gode dans mon cul, très, très lentement
que je ne sens aucun inconvénient. Comme promis elle se
positionne sous moi: une main m'encule et sa bouche avale ma
pine. sa langue et sa bouche me font du bien, tellement de bien que
je ne voudrait pas qu'elle arrête, même qu'elle continue sa sodomie:
j'y ai pris goût.
Je sais que les fois suivantes seront très chaudes entre les 69,
baises normales et sodomie mutuelles nous allons vers des
orgasme divins.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un peu plat toutçà.Cà excite à peine Je propose à l'écrivaine de l'aider à transcrire
sese émotions car il y a là un fonds à cultiver;avec les outils adhéquats.Ses outils
plus les miens,nous ferions des chefs d'oeuvre.S'il s'agit d'un mec,j'peux rien pour
lui...Qu'il continue à lire V.Hugo bien tranquillement.
sese émotions car il y a là un fonds à cultiver;avec les outils adhéquats.Ses outils
plus les miens,nous ferions des chefs d'oeuvre.S'il s'agit d'un mec,j'peux rien pour
lui...Qu'il continue à lire V.Hugo bien tranquillement.