Elle veut dehors
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Elle veut dehors
Ma femme devient folle :
• Chérie je veux baiser dans un bois et être vue.
• Tu n’y penses pas.
• Si, si, j’ai même prévue l’endroit.
• Quel endroit te conviendrait ?
• Juste en face la maison de maman, là où nous avons baisé la première fois.
• Et si elle te voit ?
• Tu crois qu’elle ne nous a jamais vus ?
• Je ne pense pas.
• Pourtant elle m’a dit avoir vu ta queue quand tu allais me la mettre.
Elle désire revenir à nos premières fois. Je suis d’accord. Mais de là à me faire voir il y a une marge que je n’admets pas du tout. Le samedi suivant nous voilà parti vers sa mère, enfin vers le bois près de sa mère, ma chère belle mère.
• Nous ne pouvons pas passer si près sans voir maman.
• Si tu le dis.
Finalement elle ne sait pas trop ce qu’elle veut. En avant voir maman. Des bises, des embrassades, des conversations sur les parents proches ou éloignés. Pour finir ma chérie avoue à sa mère son vœu : baiser dans les bois. Maman comprend tout, elle donne une couverture pour le sol, des serviettes pour je ne sais quoi, essuyer ma queue après peut être. Elle est complice : quand nous la quittons :
• Bonne baise, passez après pour me dire si c’était bien.
Il ne manquerait plus que ça, la tenir informée de nos orgasmes. Nous trouvons le lieu propice dans le bois, pas loin. Elle sort la première pour juger du coin. Elle commence à se déshabiller : c’est bon. Je fais comme elle. Je traine un peu en route : j’aime me balader nu dans la nature, c’est bien ce que nous faisons à la plage. J’aime sentir l’air frôler mes joyeuses et ma bite. Bien sur ça me fait bander rapidement.
Elle attend en passant une main sur la chatte. Elle regarde autour d’elle : personne. Tant mieux pour moi qui n’aime pas être vue pendant que je baise.
Elle est appuyée à un arbre, elle se masturbe déjà. Et pas qu’un peu, sa main fait des voltiges sur son sexe. Je la prends dans mon bras pour l’embrasser. Sa bouche est à ma disposition, même si elle continue sa branlette.
S’il est une chose sacrée dans notre couple, c’est le respect des plaisirs de l’autre : si je me branle elle attend que j’aie fini, si c’est elle c’est pareil. Nous savons bien comment avoir notre plaisir personnel égoïstement sans déranger l’autre. Mon baiser n’est que pour exalter son orgasme. Elle se courbe vers moi, en prenant appuie sur mon corps : elle jouit. Elle me donne ses doigts ensuite pour que je les lèche largement : j’adore son jus, surtout après son plaisir.
• Baises moi maintenant.
Elle se tourne me donne ses fesses. Je sais ce qu’elle veut : ma pine dans son cul. Elle prend un peu de son jus, l’étale sur son anus. Elle est prête : moi je bande depuis un bon moment. Je suis dans sa raie, elle écarte les fesses à deux mains. Je pourrais renoncer à l’enculer pour lui lécher le cul. Non, elle tient absolument à être sodomisée.
J’entre facilement dans son cul offert. Elle est agréable à enculer d’abord parce qu’elle aime ça, puis elle est juste étroite comme j’aime et enfin parce qu’elle se branle en même temps. Je suis donc dans son anus. Je sens ses muscles de l’endroit se détendre. Le cul m’enserre, me torture la queue. Je suis au fond, le gland fait ce qu’il faut pour mon plaisir et le sien.
La première fois que je l’ai sodomisé, c’est elle qui me l’a demandé :
• Chérie mets moi là au cul.
• Je risque de te faire mal.
• J’en ai envie.
J’entrais simplement en elle. Le plus fort, le plus étonnant est qu’elle a jouit dès le premier essai. Oh, je ne l’encule pas à chaque fois, seulement quand elle le demande. Elle jouit toujours.
Depuis le temps la sodomie est notre seconde nature. La sodomie et l’exhibitionnisme pour elle.
La première fois qu’elle s’est montrée était dans un jardin public, elle voyait un couple d’amoureux se caresser : ça lui donnait envie, alors ni une ni deux, sa main sous la jupe, sous la culotte pour son plaisir : elle jouissait largement. En rentrant à la maison elle avouait son nouveau penchant qui dure depuis une bonne dizaine d’année.
Et aujourd’hui que je la sodomise dans un bois elle attend des visiteurs. J’étais bien installé au fond de son cul quand justement arrive deux hommes en jogging. Ils s’arrêtent, nus regardent sans partir. Tant pis pour moi. Je continue ma séquence jusqu’au bout : je donne ma dose de sperme et sort de son cul.
Mais elle a vu les deux hommes : elle reste exposée en les regardant. La suite arrive plus vite quelle le veut. Le moins âgé est près d’elle une main sur les hanches. Et elle réagit à sa façon :
• Qu’est ce que tu attends, encule moi toi aussi. Et dit à ton copain de me baiser.
Je la laisse faire elle me donne énorme envie.
Ce jeune sort une belle queue que je lui envie. Il va abimer ma femme. Elle regarde la bite, l’attire vers elle. Le bonhomme passe sa queue dans la raie des fesses. Elle le prend à pleine main pour la mettre pile sur son anus. Lui commence à caresser l’anus avec le gland, il tire ma femme en arrière, l’autre homme s‘approche lui aussi. Il est tout près, sa bouche s’empare de celle de ma femme. Je vois bien que les langues participent. Devant moi elle se fit enculer et bientôt baiser par des types que nous ne connaissons pas du tout.
Le plus âgé se baisse un peu, il met son engin à hauteur, dans le con de mon épouse qui l’avale sans refus. Elle se fait baiser par derrière et par devant. Et moi, alors. Moi je m’approche tout près. Tans pis pour ma réputation, je vais m’occuper du seul endroit possible : le cul du jeune. C’est encore tendre, il devrait accepter une sodomie en baisant ma femme. J’aurais un peu le sentiment de la baiser à travers lui.
Il sursaute quand même quand je lui mets la queue vers son cul. Je mouille son entrée avec ma salive : je peux facilement entrer. Il est plus serré que le cul de ma femme. Il est bon à enculer.
Nous jouissons en couple. J’entends comme des flocs quand les bites sortent. 2/2
Elle me saute dessus pour m’embrasser et dire :
• C’était délicieusement dégueulasse. J’ai bien joui quatre fois je pense. Allons le dire à maman.
Nous remontons dans la voiture à moitié habillés. Chez sa mère elle fait un compte rendu exhaustif de son après midi. Le surhomme c’est moi, la super femme c’est elle. Sa mère l’admet, elle n’a jamais eu plusieurs amants à la fois.
• Chérie je veux baiser dans un bois et être vue.
• Tu n’y penses pas.
• Si, si, j’ai même prévue l’endroit.
• Quel endroit te conviendrait ?
• Juste en face la maison de maman, là où nous avons baisé la première fois.
• Et si elle te voit ?
• Tu crois qu’elle ne nous a jamais vus ?
• Je ne pense pas.
• Pourtant elle m’a dit avoir vu ta queue quand tu allais me la mettre.
Elle désire revenir à nos premières fois. Je suis d’accord. Mais de là à me faire voir il y a une marge que je n’admets pas du tout. Le samedi suivant nous voilà parti vers sa mère, enfin vers le bois près de sa mère, ma chère belle mère.
• Nous ne pouvons pas passer si près sans voir maman.
• Si tu le dis.
Finalement elle ne sait pas trop ce qu’elle veut. En avant voir maman. Des bises, des embrassades, des conversations sur les parents proches ou éloignés. Pour finir ma chérie avoue à sa mère son vœu : baiser dans les bois. Maman comprend tout, elle donne une couverture pour le sol, des serviettes pour je ne sais quoi, essuyer ma queue après peut être. Elle est complice : quand nous la quittons :
• Bonne baise, passez après pour me dire si c’était bien.
Il ne manquerait plus que ça, la tenir informée de nos orgasmes. Nous trouvons le lieu propice dans le bois, pas loin. Elle sort la première pour juger du coin. Elle commence à se déshabiller : c’est bon. Je fais comme elle. Je traine un peu en route : j’aime me balader nu dans la nature, c’est bien ce que nous faisons à la plage. J’aime sentir l’air frôler mes joyeuses et ma bite. Bien sur ça me fait bander rapidement.
Elle attend en passant une main sur la chatte. Elle regarde autour d’elle : personne. Tant mieux pour moi qui n’aime pas être vue pendant que je baise.
Elle est appuyée à un arbre, elle se masturbe déjà. Et pas qu’un peu, sa main fait des voltiges sur son sexe. Je la prends dans mon bras pour l’embrasser. Sa bouche est à ma disposition, même si elle continue sa branlette.
S’il est une chose sacrée dans notre couple, c’est le respect des plaisirs de l’autre : si je me branle elle attend que j’aie fini, si c’est elle c’est pareil. Nous savons bien comment avoir notre plaisir personnel égoïstement sans déranger l’autre. Mon baiser n’est que pour exalter son orgasme. Elle se courbe vers moi, en prenant appuie sur mon corps : elle jouit. Elle me donne ses doigts ensuite pour que je les lèche largement : j’adore son jus, surtout après son plaisir.
• Baises moi maintenant.
Elle se tourne me donne ses fesses. Je sais ce qu’elle veut : ma pine dans son cul. Elle prend un peu de son jus, l’étale sur son anus. Elle est prête : moi je bande depuis un bon moment. Je suis dans sa raie, elle écarte les fesses à deux mains. Je pourrais renoncer à l’enculer pour lui lécher le cul. Non, elle tient absolument à être sodomisée.
J’entre facilement dans son cul offert. Elle est agréable à enculer d’abord parce qu’elle aime ça, puis elle est juste étroite comme j’aime et enfin parce qu’elle se branle en même temps. Je suis donc dans son anus. Je sens ses muscles de l’endroit se détendre. Le cul m’enserre, me torture la queue. Je suis au fond, le gland fait ce qu’il faut pour mon plaisir et le sien.
La première fois que je l’ai sodomisé, c’est elle qui me l’a demandé :
• Chérie mets moi là au cul.
• Je risque de te faire mal.
• J’en ai envie.
J’entrais simplement en elle. Le plus fort, le plus étonnant est qu’elle a jouit dès le premier essai. Oh, je ne l’encule pas à chaque fois, seulement quand elle le demande. Elle jouit toujours.
Depuis le temps la sodomie est notre seconde nature. La sodomie et l’exhibitionnisme pour elle.
La première fois qu’elle s’est montrée était dans un jardin public, elle voyait un couple d’amoureux se caresser : ça lui donnait envie, alors ni une ni deux, sa main sous la jupe, sous la culotte pour son plaisir : elle jouissait largement. En rentrant à la maison elle avouait son nouveau penchant qui dure depuis une bonne dizaine d’année.
Et aujourd’hui que je la sodomise dans un bois elle attend des visiteurs. J’étais bien installé au fond de son cul quand justement arrive deux hommes en jogging. Ils s’arrêtent, nus regardent sans partir. Tant pis pour moi. Je continue ma séquence jusqu’au bout : je donne ma dose de sperme et sort de son cul.
Mais elle a vu les deux hommes : elle reste exposée en les regardant. La suite arrive plus vite quelle le veut. Le moins âgé est près d’elle une main sur les hanches. Et elle réagit à sa façon :
• Qu’est ce que tu attends, encule moi toi aussi. Et dit à ton copain de me baiser.
Je la laisse faire elle me donne énorme envie.
Ce jeune sort une belle queue que je lui envie. Il va abimer ma femme. Elle regarde la bite, l’attire vers elle. Le bonhomme passe sa queue dans la raie des fesses. Elle le prend à pleine main pour la mettre pile sur son anus. Lui commence à caresser l’anus avec le gland, il tire ma femme en arrière, l’autre homme s‘approche lui aussi. Il est tout près, sa bouche s’empare de celle de ma femme. Je vois bien que les langues participent. Devant moi elle se fit enculer et bientôt baiser par des types que nous ne connaissons pas du tout.
Le plus âgé se baisse un peu, il met son engin à hauteur, dans le con de mon épouse qui l’avale sans refus. Elle se fait baiser par derrière et par devant. Et moi, alors. Moi je m’approche tout près. Tans pis pour ma réputation, je vais m’occuper du seul endroit possible : le cul du jeune. C’est encore tendre, il devrait accepter une sodomie en baisant ma femme. J’aurais un peu le sentiment de la baiser à travers lui.
Il sursaute quand même quand je lui mets la queue vers son cul. Je mouille son entrée avec ma salive : je peux facilement entrer. Il est plus serré que le cul de ma femme. Il est bon à enculer.
Nous jouissons en couple. J’entends comme des flocs quand les bites sortent. 2/2
Elle me saute dessus pour m’embrasser et dire :
• C’était délicieusement dégueulasse. J’ai bien joui quatre fois je pense. Allons le dire à maman.
Nous remontons dans la voiture à moitié habillés. Chez sa mère elle fait un compte rendu exhaustif de son après midi. Le surhomme c’est moi, la super femme c’est elle. Sa mère l’admet, elle n’a jamais eu plusieurs amants à la fois.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
elle serait en mieux s'ils étaient plusieurs à la baiser avec des détails de caresses de jambes en l'air, d'éjaculations multiples enfin tout pour exciter surtout les lectrices