Elle veut devenir salope 3
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Elle veut devenir salope 3
Manon, sous les coups de bélier de Marcel, gémit comme une bête agonisante. À chaque coup de boutoir, Manon glisse sur le banc, Marcel à chaque fois la tire vers lui pour la re-empaler à fond. La queue puissante du défonceur, bute férocement contre le col de l'utérus de la soumise qui se cabre à chaque assaut. Lucette lui branle le clito en l'enviant, ses yeux ne quittent pas le manche de son mari qui fore profondément le ventre de Manon.
Manon ne tient pas longtemps le rythme imposé, en se raidissant, elle pousse un long râle rauque et jouit. Roman n'en revient pas, sa femme encaisse le bélier avec courage, elle qui voulait du changement, là, elle en a, et en croire Lucette, ce n'est pas fini pour elle. Marcel rugit comme un fauve et envoie sa semence dans la chatte qu'il dilate atrocement avec sa bite hors norme.
Enfin Marcel se retire, il fait signe à sa femme qui connait très bien son mari, elle s'agenouille devant Manon et lui caresse longuement la chatte ouverte, qui déborde de sperme, elle tente d'atténuer le feu qui gronde dans le ventre de Manon. Sa langue s'enfonce dans le vagin qui ne cesse de frémir. Avec habileté, Lucette fouille l'antre insatiable, le corps de sa proie se met à trembler, Manon appuie sur la tête de la brouteuse de minou en gémissant fortement. Soudain, elle la repousse, une giclée de cyprine, mêlée à du sperme, est expulsée de sa chatte. Manon est une machine à jouir. Lucette a le visage trempé de jus, mais ne désarme pas, elle continue son ouvrage.
Son mari bande comme jamais, il ne l'a fait. Juliette ne peut le laisser dans cet état, elle décalotte brutalement le gland et le gobe. Elle suce et tête voracement la bite, en triturant les couilles d'une main. Le traitement est efficace, Roman se cabre et gicle dans la bouche de la jeune suceuse, qui sans rechigner, avale la giclée jusqu'à la dernière goutte.
Lucette, gavée de jus, se redresse ainsi que Manon, en sueur qui a le corps couvert de frissons, se demande ce qu'il l'attend. Marc s'assied sur le banc, il invite Manon à s'emmancher sur sa bite qui ne baisse pas la tête. Manon l'enjambe et prend en tremblant la bite tendue, elle s'empale à fond en poussant un gros soupir. Marcel se place derrière, pose son braquemart contre la petite porte, sa femme le maintient appuyée contre la rondelle brune pendant que l'enculeur s'accroche aux hanches de Manon qui inquiète, elle prend une grande aspiration. Marcel pousse sans faire une halte. L'anneau ne résiste pas à la poussée, et avale lentement le manche dévastateur qui distend le rectum à la limite autorisée. Manon grimace, ses yeux sont exorbités. La douleur est atroce, mais elle ne rechigne pas, elle qui voulait du changement, c'est fait. Marcel commence un ramonage sans se soucier des gémissements de douleur de Manon, elle veut de la bite, eh bien, elle en a.
Manon souffre la martyre, mais accepte la double pénétration, pour elle c'est une première. Au fil des minutes, la douleur semble s'estamper, et laisse la place au plaisir. Elle commence à agiter sa croupe, en grognant comme une agonisante. Les deux hommes lâchent les chevaux, Manon subit un défonçage monstrueux, elle jouit plusieurs fois de suite. Marcel lui remplit le cul de sa semence, pendant que Marc donne des coups de reins pour que la soumise sente bien dans son corps, les deux queues. Les bites coulissent comme deux pistons bien règles dans leurs cylindres. Manon croit qu'elle va s'ouvrir en deux tellement c'est violent. Elle re-jouit en même temps que Marc qui s'accroche à elle en marmonnant :
-Oh la vache, tu es une bonne salope chaude comme un volcan, ta chatte enserre ma queue, c'est du bonheur !
Marcel réagit à son tour :
-Tu as raison fiston, c'était une chaudasse mal baiser, mais maintenant, c'est une furie, une baiseuse qui ne demande que de s'améliorer, elle à un cul d'enfer, que je te conseil fiston, les filles, faites là jouir encore, elle le mérite bien cette salope, allez-y !
Les hommes libèrent Manon qui rapidement est prise en main pas les deux femmes voraces qui l'épuisent tant elles la font jouir. Roman et heureux du résultat, il demande aux participants de revenir pour une nouvelle séance de défonce, car lui aussi à et son compte de jouissance.
Manon ne tient pas longtemps le rythme imposé, en se raidissant, elle pousse un long râle rauque et jouit. Roman n'en revient pas, sa femme encaisse le bélier avec courage, elle qui voulait du changement, là, elle en a, et en croire Lucette, ce n'est pas fini pour elle. Marcel rugit comme un fauve et envoie sa semence dans la chatte qu'il dilate atrocement avec sa bite hors norme.
Enfin Marcel se retire, il fait signe à sa femme qui connait très bien son mari, elle s'agenouille devant Manon et lui caresse longuement la chatte ouverte, qui déborde de sperme, elle tente d'atténuer le feu qui gronde dans le ventre de Manon. Sa langue s'enfonce dans le vagin qui ne cesse de frémir. Avec habileté, Lucette fouille l'antre insatiable, le corps de sa proie se met à trembler, Manon appuie sur la tête de la brouteuse de minou en gémissant fortement. Soudain, elle la repousse, une giclée de cyprine, mêlée à du sperme, est expulsée de sa chatte. Manon est une machine à jouir. Lucette a le visage trempé de jus, mais ne désarme pas, elle continue son ouvrage.
Son mari bande comme jamais, il ne l'a fait. Juliette ne peut le laisser dans cet état, elle décalotte brutalement le gland et le gobe. Elle suce et tête voracement la bite, en triturant les couilles d'une main. Le traitement est efficace, Roman se cabre et gicle dans la bouche de la jeune suceuse, qui sans rechigner, avale la giclée jusqu'à la dernière goutte.
Lucette, gavée de jus, se redresse ainsi que Manon, en sueur qui a le corps couvert de frissons, se demande ce qu'il l'attend. Marc s'assied sur le banc, il invite Manon à s'emmancher sur sa bite qui ne baisse pas la tête. Manon l'enjambe et prend en tremblant la bite tendue, elle s'empale à fond en poussant un gros soupir. Marcel se place derrière, pose son braquemart contre la petite porte, sa femme le maintient appuyée contre la rondelle brune pendant que l'enculeur s'accroche aux hanches de Manon qui inquiète, elle prend une grande aspiration. Marcel pousse sans faire une halte. L'anneau ne résiste pas à la poussée, et avale lentement le manche dévastateur qui distend le rectum à la limite autorisée. Manon grimace, ses yeux sont exorbités. La douleur est atroce, mais elle ne rechigne pas, elle qui voulait du changement, c'est fait. Marcel commence un ramonage sans se soucier des gémissements de douleur de Manon, elle veut de la bite, eh bien, elle en a.
Manon souffre la martyre, mais accepte la double pénétration, pour elle c'est une première. Au fil des minutes, la douleur semble s'estamper, et laisse la place au plaisir. Elle commence à agiter sa croupe, en grognant comme une agonisante. Les deux hommes lâchent les chevaux, Manon subit un défonçage monstrueux, elle jouit plusieurs fois de suite. Marcel lui remplit le cul de sa semence, pendant que Marc donne des coups de reins pour que la soumise sente bien dans son corps, les deux queues. Les bites coulissent comme deux pistons bien règles dans leurs cylindres. Manon croit qu'elle va s'ouvrir en deux tellement c'est violent. Elle re-jouit en même temps que Marc qui s'accroche à elle en marmonnant :
-Oh la vache, tu es une bonne salope chaude comme un volcan, ta chatte enserre ma queue, c'est du bonheur !
Marcel réagit à son tour :
-Tu as raison fiston, c'était une chaudasse mal baiser, mais maintenant, c'est une furie, une baiseuse qui ne demande que de s'améliorer, elle à un cul d'enfer, que je te conseil fiston, les filles, faites là jouir encore, elle le mérite bien cette salope, allez-y !
Les hommes libèrent Manon qui rapidement est prise en main pas les deux femmes voraces qui l'épuisent tant elles la font jouir. Roman et heureux du résultat, il demande aux participants de revenir pour une nouvelle séance de défonce, car lui aussi à et son compte de jouissance.
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