Elle vient chez moi
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elle vient chez moi
Tout le premier étage est consacré à la location de chambre pour célibataire. Un collègue loge à coté de ma chambre. Il semble heureux, seul, à l'abri des autres, surtout des filles, alors que moi qui laisse chez moi une belle fille brune au yeux bleus, pleine de sensibilité, ouverte à mes désirs, les siens autant plus important que les miens. Si je ne peux me déplacer pour la voir, elle le fait pour venir chez moi. Dès le vendredi soir, assez tard, elle frappe à ma porte. Je l'attends pour aller dîner à la machine à bouffe.
Les habitués sourient en la voyant : ils savent tous que la fin de semaine sera des plus agitée. S'ils savaient…..
Le repas prit nous allons donc chez moi. Il me tarde de la voir nue contre moi. Elle aussi, sauf que je sait comment me masturber en son absence, chose qu'elle déteste se faire pour je ne sais qu'elle raisons qui remontent à son catéchisme. Mais baiser sans être mariée ne la gène pas du tout. Et là, elle est une championne du vice.
La recherche du plaisir la mène à tout ce que naturellement existe entre deux êtres poussés par le vice ou simplement, le désir.
Au début de notre passion, elle était encore un peu en deçà de mes désirs, elle les dépassent largement maintenant.
Il faut dire que le voir nue, avec sa petite fourrure noyant un peu sa fente, juste en haut de ses magnifiques cuisses me rendait totalement déséquilibré, avec en plus le retard mis par elle pour se montrer montait encore plus mon désir.
Et puis sous ses airs de petites filles sage,elle cachait bien son jeu de demi folle du sexe.
La première fois que j'ai pu venir lui faire l'amour est toujours en moi. Je le voyais frigide, elle était de feu. J'étais arrivé à lui caresser le sexe après une foule de détournements. Mais quand j'avais mes doigts posés sur sa chatte, que je sentais sa chaleur, qu’elle dégoulinait de cyprine, je commençais enfin à espérer aller relativement facilement dans son corps. Je la caressais longuement sans ternir compte de se spasme d'orgasme. Il m'en fallait plus. Je crois lui avoir donné une bonne dizaine de fois ce plaisir.
De son coté elle prenait ma bite, la caressait sans pour autant me masturber comme pour me réserver. J'étais allongé à ses cotés. Je le voulais, il me semblait qu'elle voulait bien que je lui donne des secousses de plaisir, mais sans m'en donner.
J'étais près à lui céder quand elle me demandait de lui lécher le sexe. Lécher qui lui avait donné cette formule : un ex sans doute. Elle me donnait sa chatte, je me penchais pour la lui sucer.
Bien sur qu'il existe des mets plus précieux, plus rare, mais son con, quelle bonne source de plaisir pour elle et pour moi.
Elle me suppliait presque de venir la prendre. Je venais pour la première fois sur elle qui écartait plus que largement ses jambes pour bien s'ouvrir. Je garderais toujours en moi le souvenir du gland passant son entrée du vagin.Déjà il était mouillé, il me trempait aussi. Je n'entrais pas en elle, je glissais. Moment délicat de la première fois. Moment palpitant quand ses jambes m'ont entouré. J'étais dans un gouffre sans fin, un endroit dédié au plaisir des sens. Je devais avoir une queue résistante à ses chairs gonflées de désir. Elle jouissant largement avant moi à mon étonnement. Pourtant ça ne lui suffisait pas : elle se retournait, me donnait ses fesses.
J'étais étonné que pour une première fois elle se dévoile autant. Son désir que je passe par son cul était plus fort que le reste.
Je posais ma pine sur le bord de son cul. J'attendais en patientant un peu qu'elle me dise quelque chose. C'est venu :
- Encules moi, s'il te plaît.
Il me plaisait, alors je suis entré par ce coté plus étroit et pour elle et pour moi. Le bout de ma bite à peine entré, elle faisait en sorte que j'entre encore plus. Je crois lui avoir tout mis de possible. J'étais au chaud dans son boyau, dans son cul. Quand je ne pouvais plus tenir, que 'éjaculais, enfin je sentais son orgasme autour de la queue. Pour elle c'était et s'est encore la meilleure façon de jouir.
Oui, elle s'est amouraché de ma bite au point que nous sommes toujours ensemble après une bonne quinzaine d'années ou presque tous les jours je me dois de rendre hommage à ses fesses.
J'aime quand je suis dans le divan, avec elle sur les genoux qui cherche le moyen de se faire sodomiser encore et toujours.
Les habitués sourient en la voyant : ils savent tous que la fin de semaine sera des plus agitée. S'ils savaient…..
Le repas prit nous allons donc chez moi. Il me tarde de la voir nue contre moi. Elle aussi, sauf que je sait comment me masturber en son absence, chose qu'elle déteste se faire pour je ne sais qu'elle raisons qui remontent à son catéchisme. Mais baiser sans être mariée ne la gène pas du tout. Et là, elle est une championne du vice.
La recherche du plaisir la mène à tout ce que naturellement existe entre deux êtres poussés par le vice ou simplement, le désir.
Au début de notre passion, elle était encore un peu en deçà de mes désirs, elle les dépassent largement maintenant.
Il faut dire que le voir nue, avec sa petite fourrure noyant un peu sa fente, juste en haut de ses magnifiques cuisses me rendait totalement déséquilibré, avec en plus le retard mis par elle pour se montrer montait encore plus mon désir.
Et puis sous ses airs de petites filles sage,elle cachait bien son jeu de demi folle du sexe.
La première fois que j'ai pu venir lui faire l'amour est toujours en moi. Je le voyais frigide, elle était de feu. J'étais arrivé à lui caresser le sexe après une foule de détournements. Mais quand j'avais mes doigts posés sur sa chatte, que je sentais sa chaleur, qu’elle dégoulinait de cyprine, je commençais enfin à espérer aller relativement facilement dans son corps. Je la caressais longuement sans ternir compte de se spasme d'orgasme. Il m'en fallait plus. Je crois lui avoir donné une bonne dizaine de fois ce plaisir.
De son coté elle prenait ma bite, la caressait sans pour autant me masturber comme pour me réserver. J'étais allongé à ses cotés. Je le voulais, il me semblait qu'elle voulait bien que je lui donne des secousses de plaisir, mais sans m'en donner.
J'étais près à lui céder quand elle me demandait de lui lécher le sexe. Lécher qui lui avait donné cette formule : un ex sans doute. Elle me donnait sa chatte, je me penchais pour la lui sucer.
Bien sur qu'il existe des mets plus précieux, plus rare, mais son con, quelle bonne source de plaisir pour elle et pour moi.
Elle me suppliait presque de venir la prendre. Je venais pour la première fois sur elle qui écartait plus que largement ses jambes pour bien s'ouvrir. Je garderais toujours en moi le souvenir du gland passant son entrée du vagin.Déjà il était mouillé, il me trempait aussi. Je n'entrais pas en elle, je glissais. Moment délicat de la première fois. Moment palpitant quand ses jambes m'ont entouré. J'étais dans un gouffre sans fin, un endroit dédié au plaisir des sens. Je devais avoir une queue résistante à ses chairs gonflées de désir. Elle jouissant largement avant moi à mon étonnement. Pourtant ça ne lui suffisait pas : elle se retournait, me donnait ses fesses.
J'étais étonné que pour une première fois elle se dévoile autant. Son désir que je passe par son cul était plus fort que le reste.
Je posais ma pine sur le bord de son cul. J'attendais en patientant un peu qu'elle me dise quelque chose. C'est venu :
- Encules moi, s'il te plaît.
Il me plaisait, alors je suis entré par ce coté plus étroit et pour elle et pour moi. Le bout de ma bite à peine entré, elle faisait en sorte que j'entre encore plus. Je crois lui avoir tout mis de possible. J'étais au chaud dans son boyau, dans son cul. Quand je ne pouvais plus tenir, que 'éjaculais, enfin je sentais son orgasme autour de la queue. Pour elle c'était et s'est encore la meilleure façon de jouir.
Oui, elle s'est amouraché de ma bite au point que nous sommes toujours ensemble après une bonne quinzaine d'années ou presque tous les jours je me dois de rendre hommage à ses fesses.
J'aime quand je suis dans le divan, avec elle sur les genoux qui cherche le moyen de se faire sodomiser encore et toujours.
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