Elle voulait baiser en voiture, Août 1974.
Récit érotique écrit par Guido 66 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Elle voulait baiser en voiture, Août 1974.
_ — Plusieurs fois elle m'a branlé et sucé en voiture, on avait une ID 19 donc de la place pour elle, se coucher sur la banquette ou le plancher pour me pomper la bite ! J'aime beaucoup ça !
Une fois à un feu rouge dans Perpignan, alors qu'elle me suce , un gars sur le trottoir la regarde faire avec beaucoup d'attention, je le lui dis ! Mais elle ne lâche pas le morceau et le gars était visiblement ravi, surtout qu'il mate ses fesses que sa minijupe ne cachait pas !
Au vert, je démarre, elle continue jusqu'à l'obtention de sa récompense qu'elle reçoit dans la bouche, elle ne lâche qu'a la dernière goutte, avale et se redresse, contente de sa performance !
— Tu aurais pu arrêter au feu rouge !
— Non, c'était trop bon et puis j'ai le droit, tu es mon mari !
— Oui, mais un gars te matait et aussi ton cul !
— Tant mieux pour lui ça ne le rendra pas aveugle !
— Tu sais chéri ce que j'aimerais c'est me faire baiser en roulant !
Ça fait plusieurs fois qu'elle me dit ça et la connaissant je sais que tant qu'elle n'y serait pas arrivée, elle me tannera pour que ça se fasse !
Un soir en revenant de Narbonne, on rencontre un militaire en tenue qui faisait du stop, aussitôt elle me dit :
— Arrête toi on le prend !
Je m'arrête à la hauteur du gars et lui demande où il va ?
— Prades.
— Nous Perpignan mais ça te rapprochera !
— Oui merci !
Il monte à l'arrière et aussitôt ma femme entame la conversation sur tout et rien et arrive même à le faire rire !
Elle lui demande :
— As-tu déjà fait l'amour en roulant ?
— Non !
— Moi, j'aimerais beaucoup le faire !
Pas de réponse
— Tu n'aimerais pas essayer avec moi ?
Je vois la tête du gars dans le rétro, très gêné par la question, et pas de réponse.
— Tu n'aimerais pas essayer avec moi ?
Je vois la tête du gars dans le rétro, très gêné par la question, et pas de réponse.
— Alors, tu ne veux pas essayer avec moi ?
— Je ne te plais pas ?
Le gars est de plus en plus gêné !
Je dis :
— Tu ne vas pas le violer quand même !
— Non, mais je ne dois pas lui plaire !
— Non, ce n'est pas ça, mais je ne sais pas si je pourrais comme ça !
— Ne t'inquiète pas pour ça, je pense que j'arriverais à te donner envie !
Elle me dit :
— Arrête toi, je monte près de lui !
Et elle passe à l'arrière, mais avant de monter, elle retire sa culotte et s'assoie près du garçon et sans attendre lui prend la bouche et lui roule une pelle tout en ouvrant sa braguette et glisse sa main dans le pantalon !
Elle lâche sa bouche et dit :
— Je sens que le petit oiseau se réveille et elle lui fait descendre son pantalon et le slip et retire le tout, sa jupe et son haut vole aussi, elle l'aide à retirer sa chemise et son tricot de peau et le pousse pour qu'il s'allonge sur la banquette et entreprend une fellation, moi je ralentis pour pouvoir voir ce qui se passe à l'arrière !
La bite du gars est maintenant bien dressée pour ce que j'en vois !
— Hum, dit donc, elle est superbe ta bite, plus grande et grosse que celle de mon chéri !
Effectivement je vois dressée une belle bite qu'elle branle doucement faisant apparaître le gland bien gonflé et le cachant avec le prépuce qu'elle fait coulisser sur la tige bien tendue !
Elle l'absorbe encore et continue, je vois sa tête monter et descendre en cadence vu le silence, je pense que le gars jouit pleinement de la situation, quand elle juge que la pièce lui convient, elle dit :
— Je vais m'asseoir sur toi, maintiens moi que je ne tombe pas !
Elle se met à genoux au-dessus de lui et guide la bite entre ses lèvres et je la vois disparaître quand elle s'empale dessus, les mains du gars s'accrochent à ses hanches et la pressent pour aller plus profond en elle !
— Oui, mais laisse moi faire je vais bouger !
Les mains quittent alors les hanches, mais pour prendre les deux seins qui sont à sa disposition et les pelote, il saisit les deux tétons et les agace, comme ils sont à proximité de sa bouche, il en absorbe un pour le téter, je vois le bassin de ma femme monter et descendre sur la bite plantée en elle, mais tout en ondulant le corps, ses yeux sont fermés et très vite sa respiration s'accélère et commence à râler de plaisir, lui s'est relevé comme il peut et suce l'autre téton, ses mains accompagnent les hanches et forcent sur elle quand elles sont descendues et je vois son bassin se lever pour forcer la pénétration !
Elle râle en cadence au rythme des pénétrations !
Au bout d'un moment, elle dit :
— Attends je vais me mettre à genoux et toi prends moi par derrière, ta bite est trop bonne je veux la sentir bien profond en moi !
Le changement effectué, pour moi c'est une aubaine, je vois encore mieux, et je vois parfaitement cette bite magnifique entrer et sortir du vagin de ma femme chérie, j'adore ça !
— Oui, comme ça ne va pas trop vite, mais bien à fond je sens que je vais jouir !
L’amant routier s'applique dans sa tâche et elle recommence à râler à chaque coup de reins qui se font de plus en plus forcés !
— Oui continue comme ça bien à fond c'est bon !
Dans le rétro, je vois que les coups se font plus rapides, alors je freine et m'arrête devant le panneau de Salces le Château, c'est là que ma femme aura accompli son désir de se faire baiser en roulant !
Moi devant ce spectacle, j'ai la bite bandée comme un bout de bois, alors je la libère aussi ! Comme je l'avais prévu, les coups de reins se font puissants, ses mains forcent sur les hanches pour aller le plus profond possible, les claquements de son pubis sur les fesses offertes sont très excitants, elle l'accompagne en râlant de plus en plus et dans un dernier assaut, le gars décharge planté dans ma femme en râlant avec elle !
Elle dit :
— Continue, n'arrête pas, je sens que ça vient encore !
Alors le gars malgré son désir de rester planté au fond de ce doux fourreau bien chaud, se remet à son ouvrage et ramone encore et encore, à son visage ravi, je vois qu'il est comblé et que c'est une tâche que ne le rebute pas !
Elle s'affole en râlant de plus en plus fort.
— Oh oui, c'est bon n'arrête pas !
Mais les choses étant ce qu'elles sont, il s'affale sur le dos, essoufflé, ses bras enlacent le corps et prennent les seins et les pelote !
Moi je suis descendu et attends qu'ils se séparent, j'ai retiré mon pantalon, le gars se retire et s'assoit près de ma femme toujours en position, mais le haut du corps sur la banquette, ce qui fait que sa croupe est offerte, j'ouvre la porte, le garçon en est surpris, il était encore dans sa tâche, je lui fais signe que je vais prendre la place, il s'assoit sur le plancher et recule jusque l'autre porte, et sans ménagement j'attrape les hanches, présente ma bite à la vulve d'où s'écoule du sperme sur une de ses cuisses et je me plante en elle à la hussarde !
— Oh oui, mon chéri vas-y encore !
Et je commence des va-et-vient bien puissants, très vite elle se remet à râler à chaque coup de boutoir, elle s'est redressée sur ses bras et reçoit en cadences mes coups, ses seins pendent et, bâtent la mesure, le gars les a à sa portée et les pelote à nouveau.
— Ta copine c'est une sacrée baiseuse !
— C’est pas ma copine, c'est ma femme !
Le garçon est stupéfait de ma réponse, du coup il lâche le nichon qu'il était en train de peloter.
— Pourquoi tu arrêtes, non continue et tu as deux mains et moi deux nichons alors continue !
Du coup il se rapproche et chope les deux seins et les pelote, moi je ne suis pas loin de la vérité et elle râle de plus en plus.
— Plus profond mon chéri oui, ça vient encore !
Dans un dernier effort pour la pénétrer, je jouis en elle en râlant pour l'accompagner et on jouit ensemble !
On reste un moment comme ça, le gars lui est toujours occupé par les nichons de ma femme qui se laisse faire, ravie, une fois un peu nettoyé, on s'assoit l'un près de l'autre, elle au milieu et instinctivement ses mains prennent chacune une bite et elle dit :
— Hum, vous m'avez bien fait jouir tous les deux !
Et se tournant vers le militaire :
— Alors c'était pas bon !
— Si très bon !
— Je sens qu'il ne faudrait pas grand-chose pour que tu remettes ça, tu recommences à bander !
— Je ne sais pas, je n'ai pas beaucoup l'habitude !
— Tu as déjà baisé des filles ?
— Oui, une fois il y a deux ans !
Elle se glisse à genoux sur le plancher entre ses jambes et prend sa bite en bouche et commence à branler en suçant doucement la bite qui a déjà repris de la vigueur, lui a ouvert les jambes et fermé les yeux et un sourire s'affiche sur son visage !
Sa bouche lâche la bite et elle me fait signe de la prendre, alors j'absorbe la bite et repris le mouvement, mais il sentit la différence et ouvrit les yeux !
— Oh c'est ton mari qui me suce ?
— Tu n'aimes pas ?
— Ben, je n'ai jamais été sucé par un homme et tu es la première femme qui m'a sucé !
— Ah bon personne n'avait jamais pris ta bite en bouche ?
— Non en fait je me branle tout seul !
— Hé bien j'ai eu une bonne idée de te prendre en stop, je t'ai dépucelé en te suçant et également par mon chéri, il suce bien ?
— Ben oui, j'aime bien !
— Tu ne pourrais pas dire le contraire, ta bite est à nouveau toute dure ! Chéri, rends la moi !
Je lâche la bite à regret, elle se met à genoux au-dessus de ses jambes, le fait se descendre un peu et guide la bite entre ses lèvres et s'assoie dessus, il ferma à nouveau les yeux !
— Alors tu aimes ça ?
— Hum oui, ça fait du bien !
— Tu vas trouver que je suis chaude !
— Oui c'est bien chaud dedans, j'aime beaucoup !
En riant, elle dit :
— Oui je m'en doute que c'est chaud, mais je veux dire que j'ai le feu au cul !
— ha oui, mais moi j'aime bien, c'est bon !
Elle s'empale pendant un bon moment et lui demande :
— Tu crois que ça va revenir ?
— Je ne sais pas, mais c'est bon.
— Chéri, on repart, moi je vais me coucher et toi tu continues à me baiser si tu as encore un peu de sperme dans tes coucougnettes je le veux !
Je me remet au volant après m'être rhabillé et repart, mais doucement, elle se couche sur la banquette et ouvre les jambes, je voyais les fesses de notre ami monter et descendre, j'aime voir ce spectacle, plus de 10 minutes plus tard, j'entends le souffle de notre ami s'accélérer et ma femme l'encourager et dans un dernier assaut, il se plante pour éjaculer, les jambes de ma femme enlacées autour de ses hanches, il est donc planté au plus profond de ma chérie pour jouir !
Presque arriver, je dis à ma femme :
— Réajustez vous, on est arrivé à Perpignan, il était 1h30 du matin, ma femme me dit.
— Chéri, on ne va pas le laisser là, on le remmène à Prades, il m'a bien fait jouir deux fois et j'ai envie de la garder encore un peu !
— Merci, c'est gentil à vous !
— Ne t'en fais pas, ça te rend service, mais tu vas encore donner un peu de ta personne !
En riant tous les trois, je pris la route de Prades.
Je pense que ce trajet pour ce garçon aura été initiatique et surtout un bon souvenir, comme il l'est pour nous encore aujourd'hui !
Une fois à un feu rouge dans Perpignan, alors qu'elle me suce , un gars sur le trottoir la regarde faire avec beaucoup d'attention, je le lui dis ! Mais elle ne lâche pas le morceau et le gars était visiblement ravi, surtout qu'il mate ses fesses que sa minijupe ne cachait pas !
Au vert, je démarre, elle continue jusqu'à l'obtention de sa récompense qu'elle reçoit dans la bouche, elle ne lâche qu'a la dernière goutte, avale et se redresse, contente de sa performance !
— Tu aurais pu arrêter au feu rouge !
— Non, c'était trop bon et puis j'ai le droit, tu es mon mari !
— Oui, mais un gars te matait et aussi ton cul !
— Tant mieux pour lui ça ne le rendra pas aveugle !
— Tu sais chéri ce que j'aimerais c'est me faire baiser en roulant !
Ça fait plusieurs fois qu'elle me dit ça et la connaissant je sais que tant qu'elle n'y serait pas arrivée, elle me tannera pour que ça se fasse !
Un soir en revenant de Narbonne, on rencontre un militaire en tenue qui faisait du stop, aussitôt elle me dit :
— Arrête toi on le prend !
Je m'arrête à la hauteur du gars et lui demande où il va ?
— Prades.
— Nous Perpignan mais ça te rapprochera !
— Oui merci !
Il monte à l'arrière et aussitôt ma femme entame la conversation sur tout et rien et arrive même à le faire rire !
Elle lui demande :
— As-tu déjà fait l'amour en roulant ?
— Non !
— Moi, j'aimerais beaucoup le faire !
Pas de réponse
— Tu n'aimerais pas essayer avec moi ?
Je vois la tête du gars dans le rétro, très gêné par la question, et pas de réponse.
— Tu n'aimerais pas essayer avec moi ?
Je vois la tête du gars dans le rétro, très gêné par la question, et pas de réponse.
— Alors, tu ne veux pas essayer avec moi ?
— Je ne te plais pas ?
Le gars est de plus en plus gêné !
Je dis :
— Tu ne vas pas le violer quand même !
— Non, mais je ne dois pas lui plaire !
— Non, ce n'est pas ça, mais je ne sais pas si je pourrais comme ça !
— Ne t'inquiète pas pour ça, je pense que j'arriverais à te donner envie !
Elle me dit :
— Arrête toi, je monte près de lui !
Et elle passe à l'arrière, mais avant de monter, elle retire sa culotte et s'assoie près du garçon et sans attendre lui prend la bouche et lui roule une pelle tout en ouvrant sa braguette et glisse sa main dans le pantalon !
Elle lâche sa bouche et dit :
— Je sens que le petit oiseau se réveille et elle lui fait descendre son pantalon et le slip et retire le tout, sa jupe et son haut vole aussi, elle l'aide à retirer sa chemise et son tricot de peau et le pousse pour qu'il s'allonge sur la banquette et entreprend une fellation, moi je ralentis pour pouvoir voir ce qui se passe à l'arrière !
La bite du gars est maintenant bien dressée pour ce que j'en vois !
— Hum, dit donc, elle est superbe ta bite, plus grande et grosse que celle de mon chéri !
Effectivement je vois dressée une belle bite qu'elle branle doucement faisant apparaître le gland bien gonflé et le cachant avec le prépuce qu'elle fait coulisser sur la tige bien tendue !
Elle l'absorbe encore et continue, je vois sa tête monter et descendre en cadence vu le silence, je pense que le gars jouit pleinement de la situation, quand elle juge que la pièce lui convient, elle dit :
— Je vais m'asseoir sur toi, maintiens moi que je ne tombe pas !
Elle se met à genoux au-dessus de lui et guide la bite entre ses lèvres et je la vois disparaître quand elle s'empale dessus, les mains du gars s'accrochent à ses hanches et la pressent pour aller plus profond en elle !
— Oui, mais laisse moi faire je vais bouger !
Les mains quittent alors les hanches, mais pour prendre les deux seins qui sont à sa disposition et les pelote, il saisit les deux tétons et les agace, comme ils sont à proximité de sa bouche, il en absorbe un pour le téter, je vois le bassin de ma femme monter et descendre sur la bite plantée en elle, mais tout en ondulant le corps, ses yeux sont fermés et très vite sa respiration s'accélère et commence à râler de plaisir, lui s'est relevé comme il peut et suce l'autre téton, ses mains accompagnent les hanches et forcent sur elle quand elles sont descendues et je vois son bassin se lever pour forcer la pénétration !
Elle râle en cadence au rythme des pénétrations !
Au bout d'un moment, elle dit :
— Attends je vais me mettre à genoux et toi prends moi par derrière, ta bite est trop bonne je veux la sentir bien profond en moi !
Le changement effectué, pour moi c'est une aubaine, je vois encore mieux, et je vois parfaitement cette bite magnifique entrer et sortir du vagin de ma femme chérie, j'adore ça !
— Oui, comme ça ne va pas trop vite, mais bien à fond je sens que je vais jouir !
L’amant routier s'applique dans sa tâche et elle recommence à râler à chaque coup de reins qui se font de plus en plus forcés !
— Oui continue comme ça bien à fond c'est bon !
Dans le rétro, je vois que les coups se font plus rapides, alors je freine et m'arrête devant le panneau de Salces le Château, c'est là que ma femme aura accompli son désir de se faire baiser en roulant !
Moi devant ce spectacle, j'ai la bite bandée comme un bout de bois, alors je la libère aussi ! Comme je l'avais prévu, les coups de reins se font puissants, ses mains forcent sur les hanches pour aller le plus profond possible, les claquements de son pubis sur les fesses offertes sont très excitants, elle l'accompagne en râlant de plus en plus et dans un dernier assaut, le gars décharge planté dans ma femme en râlant avec elle !
Elle dit :
— Continue, n'arrête pas, je sens que ça vient encore !
Alors le gars malgré son désir de rester planté au fond de ce doux fourreau bien chaud, se remet à son ouvrage et ramone encore et encore, à son visage ravi, je vois qu'il est comblé et que c'est une tâche que ne le rebute pas !
Elle s'affole en râlant de plus en plus fort.
— Oh oui, c'est bon n'arrête pas !
Mais les choses étant ce qu'elles sont, il s'affale sur le dos, essoufflé, ses bras enlacent le corps et prennent les seins et les pelote !
Moi je suis descendu et attends qu'ils se séparent, j'ai retiré mon pantalon, le gars se retire et s'assoit près de ma femme toujours en position, mais le haut du corps sur la banquette, ce qui fait que sa croupe est offerte, j'ouvre la porte, le garçon en est surpris, il était encore dans sa tâche, je lui fais signe que je vais prendre la place, il s'assoit sur le plancher et recule jusque l'autre porte, et sans ménagement j'attrape les hanches, présente ma bite à la vulve d'où s'écoule du sperme sur une de ses cuisses et je me plante en elle à la hussarde !
— Oh oui, mon chéri vas-y encore !
Et je commence des va-et-vient bien puissants, très vite elle se remet à râler à chaque coup de boutoir, elle s'est redressée sur ses bras et reçoit en cadences mes coups, ses seins pendent et, bâtent la mesure, le gars les a à sa portée et les pelote à nouveau.
— Ta copine c'est une sacrée baiseuse !
— C’est pas ma copine, c'est ma femme !
Le garçon est stupéfait de ma réponse, du coup il lâche le nichon qu'il était en train de peloter.
— Pourquoi tu arrêtes, non continue et tu as deux mains et moi deux nichons alors continue !
Du coup il se rapproche et chope les deux seins et les pelote, moi je ne suis pas loin de la vérité et elle râle de plus en plus.
— Plus profond mon chéri oui, ça vient encore !
Dans un dernier effort pour la pénétrer, je jouis en elle en râlant pour l'accompagner et on jouit ensemble !
On reste un moment comme ça, le gars lui est toujours occupé par les nichons de ma femme qui se laisse faire, ravie, une fois un peu nettoyé, on s'assoit l'un près de l'autre, elle au milieu et instinctivement ses mains prennent chacune une bite et elle dit :
— Hum, vous m'avez bien fait jouir tous les deux !
Et se tournant vers le militaire :
— Alors c'était pas bon !
— Si très bon !
— Je sens qu'il ne faudrait pas grand-chose pour que tu remettes ça, tu recommences à bander !
— Je ne sais pas, je n'ai pas beaucoup l'habitude !
— Tu as déjà baisé des filles ?
— Oui, une fois il y a deux ans !
Elle se glisse à genoux sur le plancher entre ses jambes et prend sa bite en bouche et commence à branler en suçant doucement la bite qui a déjà repris de la vigueur, lui a ouvert les jambes et fermé les yeux et un sourire s'affiche sur son visage !
Sa bouche lâche la bite et elle me fait signe de la prendre, alors j'absorbe la bite et repris le mouvement, mais il sentit la différence et ouvrit les yeux !
— Oh c'est ton mari qui me suce ?
— Tu n'aimes pas ?
— Ben, je n'ai jamais été sucé par un homme et tu es la première femme qui m'a sucé !
— Ah bon personne n'avait jamais pris ta bite en bouche ?
— Non en fait je me branle tout seul !
— Hé bien j'ai eu une bonne idée de te prendre en stop, je t'ai dépucelé en te suçant et également par mon chéri, il suce bien ?
— Ben oui, j'aime bien !
— Tu ne pourrais pas dire le contraire, ta bite est à nouveau toute dure ! Chéri, rends la moi !
Je lâche la bite à regret, elle se met à genoux au-dessus de ses jambes, le fait se descendre un peu et guide la bite entre ses lèvres et s'assoie dessus, il ferma à nouveau les yeux !
— Alors tu aimes ça ?
— Hum oui, ça fait du bien !
— Tu vas trouver que je suis chaude !
— Oui c'est bien chaud dedans, j'aime beaucoup !
En riant, elle dit :
— Oui je m'en doute que c'est chaud, mais je veux dire que j'ai le feu au cul !
— ha oui, mais moi j'aime bien, c'est bon !
Elle s'empale pendant un bon moment et lui demande :
— Tu crois que ça va revenir ?
— Je ne sais pas, mais c'est bon.
— Chéri, on repart, moi je vais me coucher et toi tu continues à me baiser si tu as encore un peu de sperme dans tes coucougnettes je le veux !
Je me remet au volant après m'être rhabillé et repart, mais doucement, elle se couche sur la banquette et ouvre les jambes, je voyais les fesses de notre ami monter et descendre, j'aime voir ce spectacle, plus de 10 minutes plus tard, j'entends le souffle de notre ami s'accélérer et ma femme l'encourager et dans un dernier assaut, il se plante pour éjaculer, les jambes de ma femme enlacées autour de ses hanches, il est donc planté au plus profond de ma chérie pour jouir !
Presque arriver, je dis à ma femme :
— Réajustez vous, on est arrivé à Perpignan, il était 1h30 du matin, ma femme me dit.
— Chéri, on ne va pas le laisser là, on le remmène à Prades, il m'a bien fait jouir deux fois et j'ai envie de la garder encore un peu !
— Merci, c'est gentil à vous !
— Ne t'en fais pas, ça te rend service, mais tu vas encore donner un peu de ta personne !
En riant tous les trois, je pris la route de Prades.
Je pense que ce trajet pour ce garçon aura été initiatique et surtout un bon souvenir, comme il l'est pour nous encore aujourd'hui !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
quelle chance pour ce garçon et pour la femme ma femme aurais bien aimé merci pour l'histoire.
Histoire très bandante j'aurais aimé être à la place de l'auto-stoppeur et devenir la 3ème personne du couple