Elodie (8/10)
Récit érotique écrit par Jacques59 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2003 dans la catégorie Pour la première fois
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Elodie (8/10)
L'initiation d'Elodie (8/10)
La crémaillère..
Alexis et moi avons obtenu notre baccalauréat avec mention bien pourtant sans l’option « activités sexuelles » et c’est bien dommage car nous avons fait tous deux de grands progrès dans la connaissance de nos corps et des possibilités d’expression corporelle et d’explosion sexuelle. Ce fut donc à la grande joie de nos parents à qui nous nous présentâmes l’un l’autre le jour de la proclamation des résultats quand ils nous ont vu nous embrasser.
Nous avons décidé de nous inscrire tous les deux à l’Université des Sciences en Biologie. Mais il fallait quitter nos parents et trouver à nous loger au Chef-lieu. Nous avons suggéré de nous installer ensemble afin d’économiser un loyer. Nos parents ont accepté sous la condition de ramener des résultats satisfaisants. Ce que nous avons évidemment promis pour éviter d’être séparés.
Nous avons donc emménagé dans un studio près de l’université, studio que nous avons décoré avec soin pour en faire notre nid d’amour et de plaisir. Après quelques semaines Yolande une copine et Xavier son ami nous ont taquinés car nous ne les avions encore pas invités à pendre la crémaillère.
Nous avons décidé de fêter ça un vendredi soir car il n’y avait pas de cours le samedi.
Le repas fut vite composé : buffet froid, crudités, fruits, gâteaux et glace. Un peu de vin blanc et rosé accompagna le tout. Xavier avait apporté une bouteille de champagne. Après la première coupe Yolande fut un peu « chaude ». Elle demanda la permission de se mettre à l’aise à Xavier qui accepta à la condition que moi aussi je fis pareil.
Yolande et moi restâmes alors en soutien-gorge et string blancs pour moi, roses pour Yolande. Les collants ont vite été quittés. Devant notre tenue nos hommes ont applaudi et ont eux aussi abandonné le peu de vêtements gênants pour se présenter en caleçons. Une musique d’ambiance nous a entraînés dans des slows lascifs et langoureux. Alexis m’a serré contre lui pendant que Xavier embrassait Yo. Puis les mains entrèrent en action nullement entravées dans leurs progressions par les bouts de tissus. Nos seins se sont gonflés d’excitation : les pointes érigeaient dans les fines dentelles de nos mini-soutifs. Alexis ouvrit la séance lorsqu’il me dégrafa pour explorer ma poitrine de sa langue devenue experte. Je gémis de joie.
De son côté Xavier qui avait pressé son pubis contre le ventre de sa copine ne pouvait plus dissimuler la bonne qui déformait son caleçon. Il tentait de se dissimuler en passant une main entre son corps et celui de Yo pour atteindre la fente qui teintait d’humidité le string rose. La soirée devenait chaude et électrique. Un changement de disque nous permis de souffler un peu, de boire une nouvelle coupe assis sur le canapé, le rouge aux joues et les sexes en ébullition.
« Allons sur le lit proposa Alexis !…
Je n’en revins pas de son audace, proposer cela devant moi. Mais je me souvins un jour lui avoir dit que je fantasmais sur une partouze.
- Pourquoi pas, répliquais-je vivement.
- Qu’en dis-tu Yo demanda Xavier ?
- Si tu es d’accord moi aussi.
- Avec préservatifs pour tous ! annonça Alexis sortant des boîtes de capotes qu’il avait prévues, le coquin !
Nous nous délestâmes des derniers remparts de tissu et entamâmes une série de galipettes dont les ressorts du lit se souviennent encore.
Chacun commença avec sa chacune. Alexis et moi débutâmes par une pipe magistrale afin de donner grande forme à un appendice déjà pourtant bien gorgé de sang mais pas encore assez dur à mon gré. Je le branlais alternant coups de langue et coups de main jusqu’à ce qu’il me retournât et me pénétrât en levrette, exposant mes fesses à nos amis.
De son côté, Xavier montrait une queue énorme, plus grosse et plus longue que celle d’Alexis et que Yolande avait du mal à emboucher pendant qu’il lui fourrageait la toison dorée. Elle gémissait de plaisir sous ses doigts qu’il portait parfois à sa bouche pour les goûter ou à son nez pour les humer (Oh ! quel parfum, fit-il ! ).
- C’est bon ? demandais-je à Yolande.
- Excellent ! Je mouille comme une fontaine !
Entendant cela Xavier se positionna devant sa chatte et lui posant les deux jambes sur ses épaules s’enfonça en elle vigoureusement. Il la pistonna quelques minutes puis ils s’allongèrent tous deux sur le côté et poursuivirent le coït commencé jusqu’à ce qu’un râle intense jaillisse de la bouche de Yo.
- Aaaaaaaahhhhh ! Ouuuuuuuiiiiii ! appuie plus fort !
Xavier se déversa en longues rasades dans le vagin détrempé de sa copine et continuant ses va et vient le sperme déborda sur les lèvres intimes de Yo qui gémissait de plus belle.
- Je n’ai encore jamais joui de la sorte ! dit alors Xavier. Quel pied !
- Et moi donc ! affirma Yolande.
Pendant ce temps Alexis m’avait assise sur ses cuisses en position d’Andromaque et je montais et descendais en cadence lente sur son pieu fièrement dressé. Soudain il me maintint fermement sur lui, son dard bien à fond et il explosa à son tour expulsant une abondante dose de foutre qui se répandit sur son ventre lorsque je me retirais. Son sexe trempait dans son jus.
- Quelle baise ! soupira-t-il. Je suis vidé !
Quelques instants de relaxation durant lesquels nous fîmes un brin de toilette chacun notre tour et nous changeâmes de partenaire.
Je me mis à malaxer le gros pénis de Xavier afin de lui faire reprendre sa forme maximale qu’il ne tarda pas à atteindre sous l’effet de mes doigts qui l’effleuraient de leur douceur sensuelle et de mes lèvres que je glissais de haut en bas et de bas en haut de sa longue hampe. Xavier me caressait les cheveux ce qui m’électrisait ; je frissonnais des pieds à la tête quand il me frôlait la nuque. Il me gratouilla au creux des bras et au creux des genoux, ce que j’adore et sa bite durcissait et s’allongeait encore et encore. Quel engin !
Yolande mettait tout son cœur à redonner vigueur à Alexis qui lui pétrissait les seins et mordillait ses tétons qui s’allongeaient. D’une main il titillait sa fente humide et luisante, pressant ses grandes lèvres, les faisant rouler entre ses doigts comme d’une cigarette ou d’un crayon. Jetant un coup d’œil à ce sexe féminin, je vis un gros bouton rose sortir sous la pression ; Alexis le perçus de ses doigts et il s’empressa de le capter entre ses lèvres : un bruit de succion se fit entendre qui fit gémir Yolande. La pine de mon ami, dressée et à son maximum ne demandait qu’à remplir son office et son orifice. Il se saisit d’une capote et la déroula posément avant de s’enfoncer dans la vagin dilaté de Yolande et de commencer une série de mouvements lents. Il prenait son temps savourant le moment ; c’était la deuxième femme qu’il prenait, et sous mes yeux.
- Tu n’es pas jalouse me questionna-t-il ?
- Bien sûr que non puisque je suis avec toi !
Xavier me tendit un préservatif rose et me demanda de le lui enfiler. J’essayais mais maladroitement vu la grosseur de son engin. Il m’aida alors puis je lui malaxais les testicules qui étaient à la mesure de son désir. N’y tenant plus il me coucha sur le dos, m’écarta les jambes au maximum et pesa lentement son gland violacé à l’entrée de ma chatte humidifiée.
Malgré l’écartèlement il ne parvint pas à entrer.
- Mets du gel d’abord, lui demandais-je.
Ce qu’il fit tant sur son gland que sur toute sa hauteur ainsi qu’à l’entrée de ma grotte d’amour.
Nous reprîmes notre position et la pénétration réussit. Il bougeait à peine ; je ressentais les veines de sa verge contre les parois du vagin, les palpitations me réjouissaient. D’avoir un tel engin dans mes entrailles me faisait mouiller encore davantage.
Je lui demandais de se coucher sur le dos et je m’agenouillai face à lui pour engloutir son gros tard dodu du plus lentement que je pouvais : je savourais cette lente progression et la repris plusieurs fois afin de sentir monter ma jouissance. D’un coup j’explosai dans un orgasme d’une telle intensité que je sais si je hurlais ou si c’était inconscient. J’haletais en accélérant les va et vient ; j’avais le plaisir à fleur de peau et ne savais pas l’assouvir. Il m’en fallait encore plus. C’est alors qu’Alexis dans un mouvement plus ample que les autres se vida longuement, le corps arc-bouté, dans le vagin de Yolande qui se contracta de bonheur.
Voyant cela (et entendant aussi) Xavier me prit alors par les hanches et me fit monter et descendre lui-même sur son mât de chair vivante et il se masturba avec mon corps, usant de mon vagin comme de sa main jusqu’à ce que ses muscles se contractent puis projettent sa semence au fond de la capote. Mon vagin ne perdit pas une seule de ses contractions et j’explosais à mon tour expulsant un jet de liqueur intime féminine.
Regardant l’heure (déjà une heure du matin) nous ne pouvions laisser repartir nos amis. Je leur proposais de passer la nuit à quatre dans le même lit. Au point où nous en étions….
A suivre...
La crémaillère..
Alexis et moi avons obtenu notre baccalauréat avec mention bien pourtant sans l’option « activités sexuelles » et c’est bien dommage car nous avons fait tous deux de grands progrès dans la connaissance de nos corps et des possibilités d’expression corporelle et d’explosion sexuelle. Ce fut donc à la grande joie de nos parents à qui nous nous présentâmes l’un l’autre le jour de la proclamation des résultats quand ils nous ont vu nous embrasser.
Nous avons décidé de nous inscrire tous les deux à l’Université des Sciences en Biologie. Mais il fallait quitter nos parents et trouver à nous loger au Chef-lieu. Nous avons suggéré de nous installer ensemble afin d’économiser un loyer. Nos parents ont accepté sous la condition de ramener des résultats satisfaisants. Ce que nous avons évidemment promis pour éviter d’être séparés.
Nous avons donc emménagé dans un studio près de l’université, studio que nous avons décoré avec soin pour en faire notre nid d’amour et de plaisir. Après quelques semaines Yolande une copine et Xavier son ami nous ont taquinés car nous ne les avions encore pas invités à pendre la crémaillère.
Nous avons décidé de fêter ça un vendredi soir car il n’y avait pas de cours le samedi.
Le repas fut vite composé : buffet froid, crudités, fruits, gâteaux et glace. Un peu de vin blanc et rosé accompagna le tout. Xavier avait apporté une bouteille de champagne. Après la première coupe Yolande fut un peu « chaude ». Elle demanda la permission de se mettre à l’aise à Xavier qui accepta à la condition que moi aussi je fis pareil.
Yolande et moi restâmes alors en soutien-gorge et string blancs pour moi, roses pour Yolande. Les collants ont vite été quittés. Devant notre tenue nos hommes ont applaudi et ont eux aussi abandonné le peu de vêtements gênants pour se présenter en caleçons. Une musique d’ambiance nous a entraînés dans des slows lascifs et langoureux. Alexis m’a serré contre lui pendant que Xavier embrassait Yo. Puis les mains entrèrent en action nullement entravées dans leurs progressions par les bouts de tissus. Nos seins se sont gonflés d’excitation : les pointes érigeaient dans les fines dentelles de nos mini-soutifs. Alexis ouvrit la séance lorsqu’il me dégrafa pour explorer ma poitrine de sa langue devenue experte. Je gémis de joie.
De son côté Xavier qui avait pressé son pubis contre le ventre de sa copine ne pouvait plus dissimuler la bonne qui déformait son caleçon. Il tentait de se dissimuler en passant une main entre son corps et celui de Yo pour atteindre la fente qui teintait d’humidité le string rose. La soirée devenait chaude et électrique. Un changement de disque nous permis de souffler un peu, de boire une nouvelle coupe assis sur le canapé, le rouge aux joues et les sexes en ébullition.
« Allons sur le lit proposa Alexis !…
Je n’en revins pas de son audace, proposer cela devant moi. Mais je me souvins un jour lui avoir dit que je fantasmais sur une partouze.
- Pourquoi pas, répliquais-je vivement.
- Qu’en dis-tu Yo demanda Xavier ?
- Si tu es d’accord moi aussi.
- Avec préservatifs pour tous ! annonça Alexis sortant des boîtes de capotes qu’il avait prévues, le coquin !
Nous nous délestâmes des derniers remparts de tissu et entamâmes une série de galipettes dont les ressorts du lit se souviennent encore.
Chacun commença avec sa chacune. Alexis et moi débutâmes par une pipe magistrale afin de donner grande forme à un appendice déjà pourtant bien gorgé de sang mais pas encore assez dur à mon gré. Je le branlais alternant coups de langue et coups de main jusqu’à ce qu’il me retournât et me pénétrât en levrette, exposant mes fesses à nos amis.
De son côté, Xavier montrait une queue énorme, plus grosse et plus longue que celle d’Alexis et que Yolande avait du mal à emboucher pendant qu’il lui fourrageait la toison dorée. Elle gémissait de plaisir sous ses doigts qu’il portait parfois à sa bouche pour les goûter ou à son nez pour les humer (Oh ! quel parfum, fit-il ! ).
- C’est bon ? demandais-je à Yolande.
- Excellent ! Je mouille comme une fontaine !
Entendant cela Xavier se positionna devant sa chatte et lui posant les deux jambes sur ses épaules s’enfonça en elle vigoureusement. Il la pistonna quelques minutes puis ils s’allongèrent tous deux sur le côté et poursuivirent le coït commencé jusqu’à ce qu’un râle intense jaillisse de la bouche de Yo.
- Aaaaaaaahhhhh ! Ouuuuuuuiiiiii ! appuie plus fort !
Xavier se déversa en longues rasades dans le vagin détrempé de sa copine et continuant ses va et vient le sperme déborda sur les lèvres intimes de Yo qui gémissait de plus belle.
- Je n’ai encore jamais joui de la sorte ! dit alors Xavier. Quel pied !
- Et moi donc ! affirma Yolande.
Pendant ce temps Alexis m’avait assise sur ses cuisses en position d’Andromaque et je montais et descendais en cadence lente sur son pieu fièrement dressé. Soudain il me maintint fermement sur lui, son dard bien à fond et il explosa à son tour expulsant une abondante dose de foutre qui se répandit sur son ventre lorsque je me retirais. Son sexe trempait dans son jus.
- Quelle baise ! soupira-t-il. Je suis vidé !
Quelques instants de relaxation durant lesquels nous fîmes un brin de toilette chacun notre tour et nous changeâmes de partenaire.
Je me mis à malaxer le gros pénis de Xavier afin de lui faire reprendre sa forme maximale qu’il ne tarda pas à atteindre sous l’effet de mes doigts qui l’effleuraient de leur douceur sensuelle et de mes lèvres que je glissais de haut en bas et de bas en haut de sa longue hampe. Xavier me caressait les cheveux ce qui m’électrisait ; je frissonnais des pieds à la tête quand il me frôlait la nuque. Il me gratouilla au creux des bras et au creux des genoux, ce que j’adore et sa bite durcissait et s’allongeait encore et encore. Quel engin !
Yolande mettait tout son cœur à redonner vigueur à Alexis qui lui pétrissait les seins et mordillait ses tétons qui s’allongeaient. D’une main il titillait sa fente humide et luisante, pressant ses grandes lèvres, les faisant rouler entre ses doigts comme d’une cigarette ou d’un crayon. Jetant un coup d’œil à ce sexe féminin, je vis un gros bouton rose sortir sous la pression ; Alexis le perçus de ses doigts et il s’empressa de le capter entre ses lèvres : un bruit de succion se fit entendre qui fit gémir Yolande. La pine de mon ami, dressée et à son maximum ne demandait qu’à remplir son office et son orifice. Il se saisit d’une capote et la déroula posément avant de s’enfoncer dans la vagin dilaté de Yolande et de commencer une série de mouvements lents. Il prenait son temps savourant le moment ; c’était la deuxième femme qu’il prenait, et sous mes yeux.
- Tu n’es pas jalouse me questionna-t-il ?
- Bien sûr que non puisque je suis avec toi !
Xavier me tendit un préservatif rose et me demanda de le lui enfiler. J’essayais mais maladroitement vu la grosseur de son engin. Il m’aida alors puis je lui malaxais les testicules qui étaient à la mesure de son désir. N’y tenant plus il me coucha sur le dos, m’écarta les jambes au maximum et pesa lentement son gland violacé à l’entrée de ma chatte humidifiée.
Malgré l’écartèlement il ne parvint pas à entrer.
- Mets du gel d’abord, lui demandais-je.
Ce qu’il fit tant sur son gland que sur toute sa hauteur ainsi qu’à l’entrée de ma grotte d’amour.
Nous reprîmes notre position et la pénétration réussit. Il bougeait à peine ; je ressentais les veines de sa verge contre les parois du vagin, les palpitations me réjouissaient. D’avoir un tel engin dans mes entrailles me faisait mouiller encore davantage.
Je lui demandais de se coucher sur le dos et je m’agenouillai face à lui pour engloutir son gros tard dodu du plus lentement que je pouvais : je savourais cette lente progression et la repris plusieurs fois afin de sentir monter ma jouissance. D’un coup j’explosai dans un orgasme d’une telle intensité que je sais si je hurlais ou si c’était inconscient. J’haletais en accélérant les va et vient ; j’avais le plaisir à fleur de peau et ne savais pas l’assouvir. Il m’en fallait encore plus. C’est alors qu’Alexis dans un mouvement plus ample que les autres se vida longuement, le corps arc-bouté, dans le vagin de Yolande qui se contracta de bonheur.
Voyant cela (et entendant aussi) Xavier me prit alors par les hanches et me fit monter et descendre lui-même sur son mât de chair vivante et il se masturba avec mon corps, usant de mon vagin comme de sa main jusqu’à ce que ses muscles se contractent puis projettent sa semence au fond de la capote. Mon vagin ne perdit pas une seule de ses contractions et j’explosais à mon tour expulsant un jet de liqueur intime féminine.
Regardant l’heure (déjà une heure du matin) nous ne pouvions laisser repartir nos amis. Je leur proposais de passer la nuit à quatre dans le même lit. Au point où nous en étions….
A suivre...
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