Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 15
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2020 dans la catégorie Plus on est
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 15
Figée sous sa couette, Élodie met un certain temps à se remettre du coup de pression qu’elle vient de subir. Elle a encore le souvenir des odeurs corporelles du quadra flottant si près de son visage enfantin, lorsqu’elle entend toquer à sa fenêtre. Son cœur se fige soudain, elle attend ses hommes depuis deux jours, et ils sont là à quelques pas de son petit cul en chaleur.
Elle se lève dans la pénombre de la nuit tombée et passe ses formes volutes dans la petite robe stretch, puis elle monte sur ses stilettos et retend ses deux nattes indiennes avant d’aller ouvrir la porte fenêtre, elle a rarement été si heureuse de voir ses hommes. Comme un joyau dans son écrin de verre, elle allume les appliques murales pour illuminer de manière diffuse et tamisée l’ambiance de sa chambre de gamine avec tous ses posters félins et enfantins sur fond rose pâle et blanc.
Les mecs sont comme des fous sur le balcon, si proches et si loin de la gamine perchée sur ses talons aiguilles de 18 cm et enveloppée dans le minuscule morceau de stretch blanc/transparent moulant ses formes généreuses en un “8” très sexy. Lorsqu’elle fait finalement glisser la porte coulissante pour les laisser entrer, ils la félicitent un peu bruyamment sur sa beauté, à quel point elle est canon. La gamine a bien du mal à les modérer pour qu’ils ne réveillent pas toute la maison :
-Zêtes des amours, mais faites doucement, mes parents sont rentrés et ma mère m’a punie pour une connerie ….
Quentin et Mathieu comprennent vite la situation, malgré les verres qu’ils ont apparemment ingurgités avant de venir la voir. Enzo, par contre, a du mal à calmer son excitation, et il se colle régulièrement à la gamine pour lui remonter le bas de la robe ou essayer d’extraire les grosses mamelles de la gamine.
Les deux derniers jours de privation et de frustration finissent par rattraper la belle brune. Élodie est assez vite chauffée par les attouchements du portugais et sa chatte à nue sous le stretch de la micro-robe commence déjà à goutter le long de ses cuisses lisses. Elle tente bien de repousser les avances d’Enzo et l’insistance du portugais finit par lui mettre la puce à l’oreille. A son instinct s’ajoute une odeur particulière qui pèse dans l’air de la petite chambre. Profitant de l’ébriété avancée de ses amis, elle leur propose un “action ou vérité” afin de tirer ça au clair.
A genou sur son lit après avoir remis sa robe en place pour la nième fois, elle pose la première question :
-Est ce que vous avez bu ce soir ?
Elle a tout juste fini de poser la question qu’elle se rend compte de sa connerie : “Putain la conne ! Bien sûr qu’ils ont bu !”
-Juste un peu …. Si peu ….
Ils rient, et elle les rappelle encore à l’ordre :
-Putain Enzo ! T’es chiant je t’ai dit : y a mes parents là !
Mathieu prend la parole, lorsque la gamine choisit “vérité” prenant le risque d’un gage si elle ne veut pas répondre :
-Est-ce que tu es contrainte à porter des vêtements aussi sexy ou est-ce que tu choisis de les porter pour nous allumer ?
Élodie est prise au piège, elle sait que le corbeau l’observe et elle n’y coupe pas, son téléphone vibre :
“numéro inconnu” : <Ne répond pas !>
Mathieu choisit donc le premier gage :
-Fait nous un défilé sexy !
“Facile !” Elle sourit devant la gentillesse de son Mathieu. La gamine se lève et commence à se dandiner dans la chambre en ondulant du bassin pour ses hommes. Elle fait quelques pas se déhanchant langoureusement sur ses loubous, la robe n’arrête pas de remonter, mais cette fois elle en joue, et s’accroupit en tordant les fesses, cuisses serrées. Elle leur montre ses fesses potelées et musclée sous le plis ultra tendu du stretch, et parvient à ne pas dévoiler sa vulve qui commence à s'humidifier de désir.
Le brun à grande gueule commence de nouveau à s'échauffer, mais un taquet de Quentin lui remet les idées en place :
-Tu que son daron mous vire à coups de pompes ?
Cette fois c’est Quentin qui pose sa question :
-Est-ce que tu t’es fait sauter par Romu ?
Nouvelle vibration dans sa main, nouvelle interdiction de répondre, elle esquive la question :
-Ça se pose pas comme question ça ! Tu crains putain !
Enzo brûle d’envie de gueuler “Un gage, un gage” mais il semble reprendre ses esprits et se contente de soupirer !
Quentin fait mine de réfléchir :
-On te snappe dans nos stories, les seins à l’air sur ton balcon !
“Au moins ils pourront se lâcher un peu !” Les garçons se placent sur le balcon et prépare l’enregistrement. Élodie prend une grande inspiration, gonflant sa poitrine, elle tire sur le haut de sa robe et sort sur le balconnet les mamelles pendouillantes à l’air frais du soir. Quentin referme la porte vitrée coulissante derrière elle et ils filment tous les trois les seins frissonnant aux mamelons tendus par la fraîcheur de l’air.
-Allez, penche toi par-dessus la rambarde et agite tes insses ! La défie Enzo qui peut enfin s’exprimer.
Chauffée par ses nouvelles tendances exhibitionnistes, la belle brune se penche en avant et, en appui sur la rambarde froide, agite sa poitrine sous son torse au-dessus du vide. Bien entendu le portugais ne peut pas se retenir et il lui attrape les mamelons gonflés au tétons bandés et les secoue pour les vidéos. Élodie retient un gémissement en se mordant les lèvres. C’est qu’ils commencent à grave l’exciter !
Il se met ensuite à les frapper sèchement du plat des doigts, provoquant des spasmes de douleur sur la peau douce de l'adolescente qui se cambre machinalement sous les coups de claque. Le salop les caresse adroitement après chaque claque, alternant entre douleur et douceur pour voir comment la belle va réagir.
Il a bien compris comment sa petite salope fonctionne sous ses airs de gamine sage, et il parvient à ses fins, elle ne peut réprimer des soupirs de plaisir naissant partout dans son corps à la limite d’exploser de plaisir. Élodie n’a qu’une seule envie qu’elle a toutes les peines à contenir, elle veut les sucer les trois et les laisser abuser d’elle pour enfin soulager toute la tension sexuelle qu’elle accumule depuis deux jours.
La gamine parvient à se ressaisir :
-Merde putain Enzo, faut toujours que t’ailles trop loin !
Mais le tos n’est pas dupe, il sait qu’il a fait mouche ! Elle fait mine d’être en colère contre lui et se réfugie sur son lit en remballant sa marchandise à la peau rosit de marques de doigts.
C’est au tour d’Enzo, et il sait déjà ce qu’il va lui poser comme question :
-Elo ….
-Nan mais putain ! Pourquoi toujours moi ?
-TSK TSK TSK …. Elo, est-ce que tu es jalouse de …. Béa ?
Vibration du téléphone, elle esquive de nouveau :
-Mais elle sont toutes à chier vos questions !
Enzo est trop content de choisir le gage de la gamine lorsqu’elle refuse de répondre à sa “question débile” !
-Tu dois nous sucer tous les trois pendant 5 minutes ! Et il sort sa queue trapue et encore molle, malgré les attouchements précédents.
“Putain ils attaquent fort ce soir ! Y sont en manque ou quoi ?” L’adolescente replace ses nattes derrière ses épaules et s’approche à quatre pattes, féline du sexe à moitié bandé. Ses gros seins étirent le tissu élastique sous leur poids, Enzo ne rate pas l’occasion de les peloter à travers le stretch, lorsqu’Élodie lui aspire le gland bruyamment pour bien le chauffer.
“Beurk ! Il aurait pu se laver le porc !” L’adolescente réfrène un haut le cœur, le goût anormalement âpre de la queue qu’elle avale a bien du mal à l’exciter. Mais dès qu’Enzo la contraint de l’avaler en entier en appuyant sur son crâne et qu’il lui pince les tétons, la gamine sent le feu reprendre du volume dans sa chatte. Est-ce qu’elle en est réduite à prendre du plaisir à se faire malmener comme une chienne ? Où s'arrêtera sa plongée dans la débauche ?
Pour l’instant le goût ne la dérange plus, elle n’a plus qu’un objectif : le faire bander en moins de 2 minutes. Elle y met tout son cœur et lui caresse les couilles tout en lui gobant le gland qu’elle titille en faisant tourner sa langue adroite autour de la collerette. Elle joue avec le frein et fait glisser ses doigts fermés autour de sa hampe lubrifiée de bave. Mission réussie, le tos bande comme un taureau entre ses lèvres pulpeuses et brillantes de gloss.
Élodie s’attelle ensuite à faire durcir les deux bites tout aussi puantes de Mathieu et Quentin ! Grâce aux attouchements des trois garçons sur son corps, étonnamment toujours couvert de la mini robe, elle parvient à les astiquer tous les trois et à nettoyer leurs bites dégueu par la seule utilisation de sa bouche. Elle les suce et les branle avec douceur et délicatesse pendant une dizaine de minutes. Seul Enzo essaie à plusieurs reprises de forcer une gorge profonde. Mais la belle parvient à le calmer à chaque d’un sourire gourmand :
-Pas maintenant mon cochon ! Mais t’inquiète je m’occupe de vous si vous vous occupez de moi !
L’invitation est lancée, la gamine n’en peut plus, elle choisit directement “action” espérant qu’ils aient compris !
Comme un seul homme ils entonnent en cœur :
-A poil! A poil! A poil!
Élodie fait mine de s’offusquer et la main sur la poitrine elle leur répond :
-Nan mais vous abusez hein ?
Elle se lève et leur fait un nouveau défilé encore plus langoureux que le premier. Elle se déhanche en accentuant chacun de ses pas, perchée en équilibre un peu précaire sur ses talons aiguilles. Arrivée à proximité du voilage semi transparent de sa porte fenêtre, elle se retourne pour leur faire face et cache les trois quart de son corps derrière le rideau. Elle laisse juste apparaître une de ses jambes rose et commence à se tortiller pour faire remonter la base de sa robe sur ses fesses dénudées.
Leur tournant le dos, elle ondule du bassin, s’accroupit en écartant les cuisses, et remontant en cambrant langoureusement les reins. Elle joue ensuite avec le haut de sa micro-robe, et tire dessus pour faire ressortir ses mamelles. Lorsque la robe se résume à une simple bande de tissu blanc sur ses hanches, elle se retourne de trois quart, pudique, les mains sur les seins et sur le pubis elle les rejoint vers le lit.
-Pas debout, p’tite pute ! A quatre pattes ! Enzo durcit le ton.
L’adolescente s’exécute, elle s’accroupit devant ses mecs les cuisses grandes ouvertes, mais la chatte et les seins toujours cachés par ses fines mains.
-Reste comme ça et mets tes mains sur la tête ! Lui ordonne Quentin qui semble prendre goût à l’humiliation de la belle brune.
Élodie baisse le regard en un faux air résigné, et d’une petite moue gamine, elle glisse ses mains le long de sa peau, exposant enfin sa vulve ouverte et luisante. Refermant ses mains au-dessus de sa tête, formant une sorte de cœur avec l’arc de ses bras repliés. Un restant de réflexe pudique, et elle commence à refermer ses cuisses :
-Eh dis donc, garde les ouvertes encore un peu.
Ses cuisses commencent à la brûler, elle a du mal à conserver la position sur ses plateformes, mais la douleur l’excite autant qu’elle la fait souffrir. Elle se mord les lèvres pour retenir un gémissement, mais les garçons l’entendent, Enzo éructe un ordre sans concession :
-Attrapez la cette petite salope !
Mathieu et Quentin se jettent sur le petit gabarit, la soulèvent comme un fétu de paille et la plaquent sur son lit. Élodie se débat comme une folle, mais retient ses cris pour ne pas alerter ses parents. Ce qu’Enzo interprète naturellement comme un consentement :
-Eh ben c’est ça, t’es une petite salope qui en redemande toujours, hein ?
L’air dur du portugais transforme ses trait, il ne la voit plus que comme leur jouet sexuel.
-Vas-y Mathieu tiens lui bien les bras au-dessus de sa tête et toi Quentin, écarte lui bien les cuisses à cette chienne !
-Non, non, lâchez moi, putain ! Y a mes parents à côté !
Enzo se cale entre les cuisses ouvertes et plaque son dos contre la cuisse gauche. Il écarte les lèvres vaginales de son pouce et de son index et lui plante deux doigts au fond de la chatte, lui arrachant un cri qu’elle essaye d’étouffer en se mordant les lèvres.
-Non Enzo ! Putain …. Il lui pistonne la chatte épilée en frottant le haut de son vagin du bout des doigts, arrachant un nouveau cri à demi étouffé à la gamine ; HAAAAN …. Non mais putain Enzo …. Il accélère le pistonnage …. Elle se cambre en criant …. HAN !
-Allez les mecs putain ! Gardez lui les cuisses ouvertes ! Attendez !
Il se penche vers la table de nuit et sort la lampe torche de la gamine qu’il lui plante tout au fond de la chatte :
-HAAAAN …. Nan mais Enzo putain, fait chier, y a mes parents j’te dis …. HAN HAN HAN HAN ….
La gamine gémit à chaque coup de lampe claquant au fond de sa chatte en chaleur.
-Putain elle mouille la salope ! R’gardez ça, ça gicle de partout ! Nettoie salope ! Et il lui plante deux doigts entre les lèvres.
Elle voudrait les mordre, mais ses jus sont un véritable aphrodisiaque pour la gamine. Elle ferme les yeux sur ses odeurs et aspire les doigts brutaux entre ses lèvres. Il reprend le pistonnage de la petite chatte gluante et se satisfait de sentir sa copine lui aspirer goulûment les doigts en gémissant de plaisir.
-Allez-y les mecs, je pense qu’elle est prête !
“Prête ? Mais prête pour quoi ?” Élodie ne met pas longtemps à recevoir sa réponse, Mathieu et Quentin la tournent pour laisser la tête de la gamine pendre dans le vide. Quentin plaque ses mains sur les joues roses de la belle et lui fourre sa bite tendue au fond de la bouche. Il attrape les gros seins libres et les agrippe à pleine main en commençant à lui ramoner la bouche à longs et puissants coup de reins, forçant rapidement le passage de la luette serrée.
-Oh la chienne, elle est profonde ! Sa mère !
Le gland apparaît en relief dans l’œsophage tendu de la belle, ce qui les excitent tous les trois. Mathieu tire fermement sur la cuisse gauche d’Élodie qui s’étouffe à moitié sous les coups de pine profonds de Quentin. Enzo maintient la cuisse droite ouverte et burine le vagin rougit et humide à force de se faire ramoner par la lampe torche.
Quentin tire sur les tétons durs comme le bois, et les tord régulièrement pour faire cambrer la gamine. *CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC* Il assène des allers et retours sur les deux seins qui rougissent rapidement.
-HUMPH HUMPH HUMPH HUMPH ….
La gamine gémit des cris étouffés, la gorge entravée régulièrement par le gland gonflé de Quentin. Mathieu se place entre les cuisses ouvertes lorsqu’Enzo se retire pour lui laisser la place. Il aligne sa bite tendue avec le trou rougit et luisant de la chatte imberbe et se plante en elle en un seul et violent coup de reins. Élodie se cambre de plaisir, son désir enfin combler par les deux bites qui lui ramonent la chatte et la bouche simultanément. Elle voudrait se soulager en branlant son clitoris mais Quentin lui maintient les bras tendus et douloureux vers le sol.
On lui refuse encore sa jouissance mais le plaisir est bien là, gonflant et grondant au creux de son ventre et de sa chatte. Mathieu prend étonnamment la direction des opérations, il se retire et s’allonge sur le dos, alors que Quentin se retire, la bite tendue et couverte de glaires baveuses.
-Encule toi sur ma bite salope ! Lui ordonne Mathieu.
Le ton directeur du gentil Mathieu perturbe un peu Élodie qui se redresse difficilement sur son lit, la gorge ravagée par les allers et retours brutaux du beau Quentin. Elle enjambe le rouquin et aligne sa pastille serrée sur la queue tendue et luisante de sa mouille. Elle prend ensuite appui sur le torse de Mathieu et s’assoit sur le gland tendu que le rouquin guide de sa main droite. La gamine sent alors la tête de la bite contre sa corolle anale et pousse légèrement pour détendre ses sphincters. Impatient, Mathieu l’attrape par la taille et tire vers le bas pour l’empaler jusqu’au frein :
-Allez putain, laisse toi descendre sur ma bite !
Élodie laisse faire la pesanteur et descend de tout son poids pour s’enfiler jusqu’à la garde. Elle sent la tête se frayer un chemin dans ses muqueuses serrées.
-HUN …. Elle se mord les lèvres, prises de spasmes de douleur et de plaisir mélangés.
Une fois empalée, Quentin, qui a fait le tour du lit, lui attrape les chevilles et rabat les cuisses de la belle sur son torse. Il s’agenouille sur le lit et enfile la chatte détrempée en un long et puissant coup de reins, arrachant une longue plainte de plaisir à la belle, qui a du mal à se contenir malgré la présence de ses parents tous proches. Tous trois en sandwich, la tête en dehors du lit, Mathieu passe ses mains sous le fessier tendu de sa belle et Quentin lui écarte les cuisses en la tenant par les talons aiguille.
Le beau blond entreprend de baiser la petite brune en faisant coulisser lentement sa longue queue entre ses lèvres vaginales rougie de la masturbation à la lampe torche. Élodie gémit de longues plaintes de plaisir peu contenu. Enzo profite de la situation comme d’habitude, Il fourre deux doigts dans la bouche ouverte de l’adolescente et les fait coulisser pour les humidifier au mieux. Une fois bien lubrifiés, il les retire et joue avec un téton en l’étirant vers le haut, en le pinçant et en le tordant lentement pendant qu’il plante deux autres doigts entre les lèvres brillantes de gloss pour s’attaquer ensuite au deuxième téton.
Ils durcissent rapidement entre ses doigts habiles alors que Quentin et Mathieu s’activent simultanément dans leurs trous respectifs. Élodie est en extase, la double pénétration, les caresses de ses seins, elle gémit et laisse la pression retomber pour se donner complètement à son plaisir grandissant dans ses entrailles pilonnées. Enzo se place juste derrière la tête secouée dans le vide de la belle et attend le moment précis où la gamine se cambre de plaisir pour pincer et tordre violemment les deux tétons de la belle, lui arrachant un cri rauque de plaisir douloureux. Il plante alors son sexe trapu tout au fond de sa bouche grande ouverte, étouffant instantanément le cri de l’adolescente.
Il tire sur les deux nattes pour forcer la tête de la gamine le plus en arrière possible et lui ouvrir la gorge au maximum. Il plante son gland gonflé tout au fond de la gorge ouverte et y reste quelques instants empêchant Élodie de respirer. Rapidement en manque d’air, des spasmes gagnent rapidement la gorge obstruée, pour le plus grand plaisir du portugais qui en profite pour claquer violemment les deux seins secoués de la belle.
*GUH* *CLAC* *CLAC* *GRRRGL* *CLAC* *CLAC*
A chaque gargouillement de la gamine, il lui claque violemment les deux seins, forçant la gamine à se cambrer pour chercher de l’air et à contracter ses deux trous autour des queue qui la pilonnent en force. Il se retire enfin, Élodie prend un grand bol d’air, le corps agité de spasmes elle jouit violemment éjaculant de mouille sur le ventre musclé de Quentin qui n’interrompt pas son martelage. La cyprine éclabousse sur le pubis et les cuisses fraîchement épilés, et Enzo plante à nouveau sa bite au fond de la gorge torturée de la gamine. Il lui baise la bouche en rythme avec Quentin, les *GUAH* *GUAH* faisant écho au gargouillis humides de la chatte pilonnée de coups de marteau piqueur.
Élodie n’en peut plus, c’est la deuxième fois qu’ils la font jouir violemment. Son corps se contracte de spasmes continus sous les assauts insatiable des trois potes. Elle jouit par la chatte et l’anus simultanément alors que le tos lui burine la gorge et claque violemment ses seins rougis sous les coups. Alors que le portugais vient de lui tordre violemment les mamelons sensibilisés par les coups répétés, Élodie lâche un nouveau râle de plaisir étouffé par la gorge profonde, lorsque Quentin aspire goulûment un de ses tétons tendus. La douceur du contact chaud des lèvres humides lui procure un nouveau spasme de plaisir qui explose dans son ventre pour se propager jusque dans sa chatte en une nouvelle éjaculation violente de cyprine.
Les spasmes de ses trous ont raison des garçons qui ne peuvent plus contenir leur jouissance plus longtemps. Quentin ralentit un peu pour durer un peu plus et jouir en même temps que ses potes, il imprime alors de longues et lentes pénétrations entraînant Élodie dans une nouvelle jouissance douce et puissante à la fois. Enzo et Mathieu de leur côté accélèrent les vas et viens pour faire jouir encore une fois la belle en explosant au fond de leurs trous respectifs.
Les cadences différentes de ces trois belles queues mènent rapidement l’adolescente vers une nouvelle jouissance étouffée par la bite dans sa gorge. Mais le portugais lui réserve une dernière surprise. Lorsque Quentin libère les tétons de la jeune délurée, le portugais lui caresse les seins avec douceur observant les réactions de la gamine qui fond sous les caresses mélangées au pilonnage intensif de ses orifices. Au moment où Élodie se cambre de plaisir et que lui et ses potes sont sur le point de cracher, il pince violemment ses tétons sensibles et lui arrache un nouveau cri de jouissance douloureuse en se retirant instantanément de sa gorge.
-HAAAAANNNNNN ….
Élodie se cambre sans retenue, et jouit violemment lorsque simultanément Quentin et Mathieu explosent au fond de ses trous, leurs bites gonflant en crachant leur foutre chaud dans ses entrailles chaudes et humides.
Enzo, se termine au-dessus du visage enfantin de la gamine, et tartine de sperme chaud et gluant son doux visage encadré de ses nattes torsadées.
Élodie s’écroule sur Mathieu, exténuée par les jouissances à répétition qu’elle vient de subir. Quentin et Enzo se redressent et se félicitent de l’avoir bien baisée, et Mathieu la repousse négligemment sur le côté afin de rejoindre ses potes.
Comme un pantin désarticulé, Élodie ne bouge plus, affalée sur son lit, la robe autour de la taille et les pieds terminés de ses stilettos brillants, elle caresse doucement sa chatte dégoulinante de sperme et fait glisser ses doigts sur son doux visage pour récupérer un maximum de foutre chaud qu’elle avale avec gourmandise.
Les trois potes immortalisent le moment sur leur smartphone, et Enzo conclut la séance, avec toujours la même touche sadique :
-J’vous l’avais dit qu’elle serait meilleure que Béa !
-Ouais ! …. D’ailleurs si on allait la rejoindre au repère ? Elle doit encore y être après ce qu’on lui a mis tout à l’heure !
Encore à moitié dans son délire jouissif et les yeux pétillants de plaisir, Élodie réalise qu’ils ont baiser l’autre salope avant de la rejoindre et qu’elle les a sucés alors qu’ils étaient encore couverts des jus intimes de la belle blonde.
-Bande de salops ! Arrive-t’elle tout juste à articuler, alors que ses mâles se renfroquent et repartent par son balcon.
Alors que Quentin et Mathieu sont déjà repartis, Enzo fait demi-tour après la remarque de la belle et il la rejoint sur son lit. Lui caressant doucement la peau couverte de sueur, la sienne et celle de ses potes. Il aspire un téton et caresse son autre sein, extirpant de nouveaux gémissement à la belle brune aux nattes détendues. Élodie passe sa main droite sur le crâne de son homme et glisse son autre main entre ses cuisses pour reprendre le massage de sa chatte dégoulinante de foutre et de mouille.
-Alors tu viens ? Putain ! C’est Quentin qui appelle le portugais depuis la rue.
Enzo s’interrompt et lui répond :
-Allez-y, je vous rejoins après !
Et il reprend le masticage des tétons humides, arrachant de nouveaux gémissement à la gamine qui n’est toujours pas rassasiée des plaisir sadique de son portugais.
-Suce moi la bite !
L’ordre est cinglant, mais Élodie est trop chaude pour s’en plaindre. Il s’allonge sur le dos, la tête dans le vide, à l’opposé de la porte de la chambre qui vient de s’entrouvrir en silence. L’adolescente se penche sur la queue à moitié bandée et l’aspire en douceur, tout en la caressant du bout des doigts. Elle ne peut s'empêcher de penser aux trous de Béa dans lesquels la tige de chair a dû plonger il y a tout juste quelques heures, et cette image relance son excitation perverse.
Ni l’un ni l’autre n’ont entendu Serge qui vient d’abandonner sa femme toujours attachée au pied du lit. Le dernier cri d’Élodie l’a coupé dans son élan. Alors que sa femme était sur le point de jouir par le cul, la cri de jouissance de sa belle-fille l’a coupé net. Piqué par la curiosité, il observe maintenant les deux jeunes, Élodie astiquant passionnément la jeune bite qui reprend vie entre ses lèvres épaisses et brillantes de gloss.
Serge astique sa trique odorante en observant la tête de la petite brune montant et descendant en une oscillation envoûtante : “Petite salope ! C’est comme ça que tu défies ta mère ?” Il se branle en imaginant le genre de punition qu’il pourrait infliger à cette petite pute, comment il martyrisait ces grosses loches au tétons magnifiquement gonflés et tendus, comment il punirait ce bon gros cul bien musclé et tendu !
Il ouvre un peu plus la porte pour mieux l’observer. Il en est convaincu maintenant, la petite se touche depuis au moins deux jours en les matant par sa porte, c’est bien sa mouille qu’il a retrouvé sur le pas de sa chambre il y a une heure !
Toute à son astiquage en règle, la gamine n’a pas encore remarqué son beau-père. Elle pompe avec gourmandise cette grosse queue épaisse et lui caresse les couilles qui se contractent à son contact. Le sperme dégouline encore le long de ses joues roses, mais elle en veut encore ! Une fois le jeune bien dur entre ses lèvres, elle se redresse et l’enjambe pour caresser sa queue entre ses lèvres vaginales luisantes de mouille et de foutre.
Elle passe sa main entre ses cuisses et dirige le gland trapu du portugais contre sa pastille à nouveau serrée mais débordante de sperme. Elle se cambre avec volupté, les yeux fermés en le recevant dans ses entrailles. Le regard brillant et pétillant de désir, elle s’interrompt soudain :
-Continue p’tite pute ! T’arrête pas ! J’veux cracher dans ton cul d’salope ! Râle le gros portugais qui ne peut rien voir dans sa position.
Mais Élodie reste figée, interdite devant le quadra qui les observe en se branlant sans vergogne dans le couloir. La gamine observe la grosse bite trapue de son beau-père, la même qui pilonnait le trou de balle de sa mère il n’y a pas une heure !
L’adolescente remonte son regard pétillant jusqu’à croisé celui, glacial et dur, de son beau-père. Elle ne peut alors retenir sa main gauche de caresser sa vulve luisante tout en reprenant sa sodomie, empalée sur la bite tendue du portugais. Des papillons virevoltent dans son ventre tendu de désir pour cette belle bite apparaissant et disparaissant alternativement dans la paluche musclée du quadra.
Montant et descendant en douceur sur le vit de chair, la belle fait glisser sa main droite sur son ventre, sur ses seins qu’elle tiraille entre ses doigts tout en se masturbant en s’enculant sur son tos. Elle se cambre, se donne en spectacle pour Serge qui continue de se branler en déglutissant de désir pour ce jeune corps cambré de plaisir dans la lumière tamisée de la chambre rose et enfantine.
Le spectacle est trop intense pour Serge, sa belle-fille l’allume comme une salope, il n’a qu’une envie : succomber à ses pulsions et virer le gamin pour défoncer les trous de sa pute de belle fille. Au lieu de ça, il contient sa pulsion et se retire sans fermer la porte d’Élodie, puis il rejoint sa femme qui va lui servir d’exutoire pour toute la tension que lui insuffle la petite salope !
Enzo, toujours ignorant de la scène qui vient de se produire entre sa pute et le quadra, s’impatiente sous la gamine. Il la retourne violemment en la déculant et la balance à quatre pattes le visage poupon dans les oreillers. Il plaque les épaules de la gamine contre son lit pour bien lui cambrer le cul, et s’enfonce dans ses entrailles offertes, lui arrachant un cri étouffé par les coussins.
*CLAC* Il agrippe la fesse droite de la gamine et la malaxe en la besognant violemment.
Élodie gémit sous les coups de queue qui la burine comme un marteau piqueur, mais sa jouissance ne vient pas du sexe bandé du portugais. Son beau-père sait, il la vue dans toute sa débauche, il s’est branlé pour elle. Soudain elle l’entend, elle en est sûre ! Faisant écho à ses propres soupirs, les cris de plaisir de sa mère enculée violemment par le quadra parviennent dans sa chambre.
Enzo râle trop fort, pris dans son propre désir, il n’entend pas le couple baiser dans le salon, à quelques mètres de la chambre rose. Il est persuadé de faire jouir la petite brune, mais la belle est en train de jouir à l’idée que son beau-père se défoule sur sa mère sachant que sa belle-fille se fait baiser sous son propre toit !
La chaleur monte et gonfle à nouveau dans les entrailles en feu de la gamine. Les papillons qui virevoltent dans son ventre se transforment en une explosion de feu d’artifice alors qu’Enzo se vide en elle. Il se retire instantanément et la tire par les nattes pour coller sa bite puante et gluante de ses jus et de sperme rance.
Il se vide entre les lèvres brillantes et gicle trois doses épaisses de foutre que la gamine déglutit avec gourmandise, imaginant la grosse bite de son beau-père s’évider dans sa bouche. Elle se masturbe violemment, explosant d’une nouvelle jouissance, son corps convulsant violemment alors qu’Enzo crache dans sa bouche gourmande, persuadé de l’avoir à nouveau faite jouir comme une folle.
Alors qu’Élodie s'effondre sur son lit, terrassée par sa jouissance intense, Enzo file en douce rejoindre ses potes pour baiser la belle blonde. Ce n’est qu’un peu plus tard qu’elle se réveille, une forte odeur de jus intimes accompagnant un *FLOC* *FLOC* hystérique ….
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
Elle se lève dans la pénombre de la nuit tombée et passe ses formes volutes dans la petite robe stretch, puis elle monte sur ses stilettos et retend ses deux nattes indiennes avant d’aller ouvrir la porte fenêtre, elle a rarement été si heureuse de voir ses hommes. Comme un joyau dans son écrin de verre, elle allume les appliques murales pour illuminer de manière diffuse et tamisée l’ambiance de sa chambre de gamine avec tous ses posters félins et enfantins sur fond rose pâle et blanc.
Les mecs sont comme des fous sur le balcon, si proches et si loin de la gamine perchée sur ses talons aiguilles de 18 cm et enveloppée dans le minuscule morceau de stretch blanc/transparent moulant ses formes généreuses en un “8” très sexy. Lorsqu’elle fait finalement glisser la porte coulissante pour les laisser entrer, ils la félicitent un peu bruyamment sur sa beauté, à quel point elle est canon. La gamine a bien du mal à les modérer pour qu’ils ne réveillent pas toute la maison :
-Zêtes des amours, mais faites doucement, mes parents sont rentrés et ma mère m’a punie pour une connerie ….
Quentin et Mathieu comprennent vite la situation, malgré les verres qu’ils ont apparemment ingurgités avant de venir la voir. Enzo, par contre, a du mal à calmer son excitation, et il se colle régulièrement à la gamine pour lui remonter le bas de la robe ou essayer d’extraire les grosses mamelles de la gamine.
Les deux derniers jours de privation et de frustration finissent par rattraper la belle brune. Élodie est assez vite chauffée par les attouchements du portugais et sa chatte à nue sous le stretch de la micro-robe commence déjà à goutter le long de ses cuisses lisses. Elle tente bien de repousser les avances d’Enzo et l’insistance du portugais finit par lui mettre la puce à l’oreille. A son instinct s’ajoute une odeur particulière qui pèse dans l’air de la petite chambre. Profitant de l’ébriété avancée de ses amis, elle leur propose un “action ou vérité” afin de tirer ça au clair.
A genou sur son lit après avoir remis sa robe en place pour la nième fois, elle pose la première question :
-Est ce que vous avez bu ce soir ?
Elle a tout juste fini de poser la question qu’elle se rend compte de sa connerie : “Putain la conne ! Bien sûr qu’ils ont bu !”
-Juste un peu …. Si peu ….
Ils rient, et elle les rappelle encore à l’ordre :
-Putain Enzo ! T’es chiant je t’ai dit : y a mes parents là !
Mathieu prend la parole, lorsque la gamine choisit “vérité” prenant le risque d’un gage si elle ne veut pas répondre :
-Est-ce que tu es contrainte à porter des vêtements aussi sexy ou est-ce que tu choisis de les porter pour nous allumer ?
Élodie est prise au piège, elle sait que le corbeau l’observe et elle n’y coupe pas, son téléphone vibre :
“numéro inconnu” : <Ne répond pas !>
Mathieu choisit donc le premier gage :
-Fait nous un défilé sexy !
“Facile !” Elle sourit devant la gentillesse de son Mathieu. La gamine se lève et commence à se dandiner dans la chambre en ondulant du bassin pour ses hommes. Elle fait quelques pas se déhanchant langoureusement sur ses loubous, la robe n’arrête pas de remonter, mais cette fois elle en joue, et s’accroupit en tordant les fesses, cuisses serrées. Elle leur montre ses fesses potelées et musclée sous le plis ultra tendu du stretch, et parvient à ne pas dévoiler sa vulve qui commence à s'humidifier de désir.
Le brun à grande gueule commence de nouveau à s'échauffer, mais un taquet de Quentin lui remet les idées en place :
-Tu que son daron mous vire à coups de pompes ?
Cette fois c’est Quentin qui pose sa question :
-Est-ce que tu t’es fait sauter par Romu ?
Nouvelle vibration dans sa main, nouvelle interdiction de répondre, elle esquive la question :
-Ça se pose pas comme question ça ! Tu crains putain !
Enzo brûle d’envie de gueuler “Un gage, un gage” mais il semble reprendre ses esprits et se contente de soupirer !
Quentin fait mine de réfléchir :
-On te snappe dans nos stories, les seins à l’air sur ton balcon !
“Au moins ils pourront se lâcher un peu !” Les garçons se placent sur le balcon et prépare l’enregistrement. Élodie prend une grande inspiration, gonflant sa poitrine, elle tire sur le haut de sa robe et sort sur le balconnet les mamelles pendouillantes à l’air frais du soir. Quentin referme la porte vitrée coulissante derrière elle et ils filment tous les trois les seins frissonnant aux mamelons tendus par la fraîcheur de l’air.
-Allez, penche toi par-dessus la rambarde et agite tes insses ! La défie Enzo qui peut enfin s’exprimer.
Chauffée par ses nouvelles tendances exhibitionnistes, la belle brune se penche en avant et, en appui sur la rambarde froide, agite sa poitrine sous son torse au-dessus du vide. Bien entendu le portugais ne peut pas se retenir et il lui attrape les mamelons gonflés au tétons bandés et les secoue pour les vidéos. Élodie retient un gémissement en se mordant les lèvres. C’est qu’ils commencent à grave l’exciter !
Il se met ensuite à les frapper sèchement du plat des doigts, provoquant des spasmes de douleur sur la peau douce de l'adolescente qui se cambre machinalement sous les coups de claque. Le salop les caresse adroitement après chaque claque, alternant entre douleur et douceur pour voir comment la belle va réagir.
Il a bien compris comment sa petite salope fonctionne sous ses airs de gamine sage, et il parvient à ses fins, elle ne peut réprimer des soupirs de plaisir naissant partout dans son corps à la limite d’exploser de plaisir. Élodie n’a qu’une seule envie qu’elle a toutes les peines à contenir, elle veut les sucer les trois et les laisser abuser d’elle pour enfin soulager toute la tension sexuelle qu’elle accumule depuis deux jours.
La gamine parvient à se ressaisir :
-Merde putain Enzo, faut toujours que t’ailles trop loin !
Mais le tos n’est pas dupe, il sait qu’il a fait mouche ! Elle fait mine d’être en colère contre lui et se réfugie sur son lit en remballant sa marchandise à la peau rosit de marques de doigts.
C’est au tour d’Enzo, et il sait déjà ce qu’il va lui poser comme question :
-Elo ….
-Nan mais putain ! Pourquoi toujours moi ?
-TSK TSK TSK …. Elo, est-ce que tu es jalouse de …. Béa ?
Vibration du téléphone, elle esquive de nouveau :
-Mais elle sont toutes à chier vos questions !
Enzo est trop content de choisir le gage de la gamine lorsqu’elle refuse de répondre à sa “question débile” !
-Tu dois nous sucer tous les trois pendant 5 minutes ! Et il sort sa queue trapue et encore molle, malgré les attouchements précédents.
“Putain ils attaquent fort ce soir ! Y sont en manque ou quoi ?” L’adolescente replace ses nattes derrière ses épaules et s’approche à quatre pattes, féline du sexe à moitié bandé. Ses gros seins étirent le tissu élastique sous leur poids, Enzo ne rate pas l’occasion de les peloter à travers le stretch, lorsqu’Élodie lui aspire le gland bruyamment pour bien le chauffer.
“Beurk ! Il aurait pu se laver le porc !” L’adolescente réfrène un haut le cœur, le goût anormalement âpre de la queue qu’elle avale a bien du mal à l’exciter. Mais dès qu’Enzo la contraint de l’avaler en entier en appuyant sur son crâne et qu’il lui pince les tétons, la gamine sent le feu reprendre du volume dans sa chatte. Est-ce qu’elle en est réduite à prendre du plaisir à se faire malmener comme une chienne ? Où s'arrêtera sa plongée dans la débauche ?
Pour l’instant le goût ne la dérange plus, elle n’a plus qu’un objectif : le faire bander en moins de 2 minutes. Elle y met tout son cœur et lui caresse les couilles tout en lui gobant le gland qu’elle titille en faisant tourner sa langue adroite autour de la collerette. Elle joue avec le frein et fait glisser ses doigts fermés autour de sa hampe lubrifiée de bave. Mission réussie, le tos bande comme un taureau entre ses lèvres pulpeuses et brillantes de gloss.
Élodie s’attelle ensuite à faire durcir les deux bites tout aussi puantes de Mathieu et Quentin ! Grâce aux attouchements des trois garçons sur son corps, étonnamment toujours couvert de la mini robe, elle parvient à les astiquer tous les trois et à nettoyer leurs bites dégueu par la seule utilisation de sa bouche. Elle les suce et les branle avec douceur et délicatesse pendant une dizaine de minutes. Seul Enzo essaie à plusieurs reprises de forcer une gorge profonde. Mais la belle parvient à le calmer à chaque d’un sourire gourmand :
-Pas maintenant mon cochon ! Mais t’inquiète je m’occupe de vous si vous vous occupez de moi !
L’invitation est lancée, la gamine n’en peut plus, elle choisit directement “action” espérant qu’ils aient compris !
Comme un seul homme ils entonnent en cœur :
-A poil! A poil! A poil!
Élodie fait mine de s’offusquer et la main sur la poitrine elle leur répond :
-Nan mais vous abusez hein ?
Elle se lève et leur fait un nouveau défilé encore plus langoureux que le premier. Elle se déhanche en accentuant chacun de ses pas, perchée en équilibre un peu précaire sur ses talons aiguilles. Arrivée à proximité du voilage semi transparent de sa porte fenêtre, elle se retourne pour leur faire face et cache les trois quart de son corps derrière le rideau. Elle laisse juste apparaître une de ses jambes rose et commence à se tortiller pour faire remonter la base de sa robe sur ses fesses dénudées.
Leur tournant le dos, elle ondule du bassin, s’accroupit en écartant les cuisses, et remontant en cambrant langoureusement les reins. Elle joue ensuite avec le haut de sa micro-robe, et tire dessus pour faire ressortir ses mamelles. Lorsque la robe se résume à une simple bande de tissu blanc sur ses hanches, elle se retourne de trois quart, pudique, les mains sur les seins et sur le pubis elle les rejoint vers le lit.
-Pas debout, p’tite pute ! A quatre pattes ! Enzo durcit le ton.
L’adolescente s’exécute, elle s’accroupit devant ses mecs les cuisses grandes ouvertes, mais la chatte et les seins toujours cachés par ses fines mains.
-Reste comme ça et mets tes mains sur la tête ! Lui ordonne Quentin qui semble prendre goût à l’humiliation de la belle brune.
Élodie baisse le regard en un faux air résigné, et d’une petite moue gamine, elle glisse ses mains le long de sa peau, exposant enfin sa vulve ouverte et luisante. Refermant ses mains au-dessus de sa tête, formant une sorte de cœur avec l’arc de ses bras repliés. Un restant de réflexe pudique, et elle commence à refermer ses cuisses :
-Eh dis donc, garde les ouvertes encore un peu.
Ses cuisses commencent à la brûler, elle a du mal à conserver la position sur ses plateformes, mais la douleur l’excite autant qu’elle la fait souffrir. Elle se mord les lèvres pour retenir un gémissement, mais les garçons l’entendent, Enzo éructe un ordre sans concession :
-Attrapez la cette petite salope !
Mathieu et Quentin se jettent sur le petit gabarit, la soulèvent comme un fétu de paille et la plaquent sur son lit. Élodie se débat comme une folle, mais retient ses cris pour ne pas alerter ses parents. Ce qu’Enzo interprète naturellement comme un consentement :
-Eh ben c’est ça, t’es une petite salope qui en redemande toujours, hein ?
L’air dur du portugais transforme ses trait, il ne la voit plus que comme leur jouet sexuel.
-Vas-y Mathieu tiens lui bien les bras au-dessus de sa tête et toi Quentin, écarte lui bien les cuisses à cette chienne !
-Non, non, lâchez moi, putain ! Y a mes parents à côté !
Enzo se cale entre les cuisses ouvertes et plaque son dos contre la cuisse gauche. Il écarte les lèvres vaginales de son pouce et de son index et lui plante deux doigts au fond de la chatte, lui arrachant un cri qu’elle essaye d’étouffer en se mordant les lèvres.
-Non Enzo ! Putain …. Il lui pistonne la chatte épilée en frottant le haut de son vagin du bout des doigts, arrachant un nouveau cri à demi étouffé à la gamine ; HAAAAN …. Non mais putain Enzo …. Il accélère le pistonnage …. Elle se cambre en criant …. HAN !
-Allez les mecs putain ! Gardez lui les cuisses ouvertes ! Attendez !
Il se penche vers la table de nuit et sort la lampe torche de la gamine qu’il lui plante tout au fond de la chatte :
-HAAAAN …. Nan mais Enzo putain, fait chier, y a mes parents j’te dis …. HAN HAN HAN HAN ….
La gamine gémit à chaque coup de lampe claquant au fond de sa chatte en chaleur.
-Putain elle mouille la salope ! R’gardez ça, ça gicle de partout ! Nettoie salope ! Et il lui plante deux doigts entre les lèvres.
Elle voudrait les mordre, mais ses jus sont un véritable aphrodisiaque pour la gamine. Elle ferme les yeux sur ses odeurs et aspire les doigts brutaux entre ses lèvres. Il reprend le pistonnage de la petite chatte gluante et se satisfait de sentir sa copine lui aspirer goulûment les doigts en gémissant de plaisir.
-Allez-y les mecs, je pense qu’elle est prête !
“Prête ? Mais prête pour quoi ?” Élodie ne met pas longtemps à recevoir sa réponse, Mathieu et Quentin la tournent pour laisser la tête de la gamine pendre dans le vide. Quentin plaque ses mains sur les joues roses de la belle et lui fourre sa bite tendue au fond de la bouche. Il attrape les gros seins libres et les agrippe à pleine main en commençant à lui ramoner la bouche à longs et puissants coup de reins, forçant rapidement le passage de la luette serrée.
-Oh la chienne, elle est profonde ! Sa mère !
Le gland apparaît en relief dans l’œsophage tendu de la belle, ce qui les excitent tous les trois. Mathieu tire fermement sur la cuisse gauche d’Élodie qui s’étouffe à moitié sous les coups de pine profonds de Quentin. Enzo maintient la cuisse droite ouverte et burine le vagin rougit et humide à force de se faire ramoner par la lampe torche.
Quentin tire sur les tétons durs comme le bois, et les tord régulièrement pour faire cambrer la gamine. *CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC* Il assène des allers et retours sur les deux seins qui rougissent rapidement.
-HUMPH HUMPH HUMPH HUMPH ….
La gamine gémit des cris étouffés, la gorge entravée régulièrement par le gland gonflé de Quentin. Mathieu se place entre les cuisses ouvertes lorsqu’Enzo se retire pour lui laisser la place. Il aligne sa bite tendue avec le trou rougit et luisant de la chatte imberbe et se plante en elle en un seul et violent coup de reins. Élodie se cambre de plaisir, son désir enfin combler par les deux bites qui lui ramonent la chatte et la bouche simultanément. Elle voudrait se soulager en branlant son clitoris mais Quentin lui maintient les bras tendus et douloureux vers le sol.
On lui refuse encore sa jouissance mais le plaisir est bien là, gonflant et grondant au creux de son ventre et de sa chatte. Mathieu prend étonnamment la direction des opérations, il se retire et s’allonge sur le dos, alors que Quentin se retire, la bite tendue et couverte de glaires baveuses.
-Encule toi sur ma bite salope ! Lui ordonne Mathieu.
Le ton directeur du gentil Mathieu perturbe un peu Élodie qui se redresse difficilement sur son lit, la gorge ravagée par les allers et retours brutaux du beau Quentin. Elle enjambe le rouquin et aligne sa pastille serrée sur la queue tendue et luisante de sa mouille. Elle prend ensuite appui sur le torse de Mathieu et s’assoit sur le gland tendu que le rouquin guide de sa main droite. La gamine sent alors la tête de la bite contre sa corolle anale et pousse légèrement pour détendre ses sphincters. Impatient, Mathieu l’attrape par la taille et tire vers le bas pour l’empaler jusqu’au frein :
-Allez putain, laisse toi descendre sur ma bite !
Élodie laisse faire la pesanteur et descend de tout son poids pour s’enfiler jusqu’à la garde. Elle sent la tête se frayer un chemin dans ses muqueuses serrées.
-HUN …. Elle se mord les lèvres, prises de spasmes de douleur et de plaisir mélangés.
Une fois empalée, Quentin, qui a fait le tour du lit, lui attrape les chevilles et rabat les cuisses de la belle sur son torse. Il s’agenouille sur le lit et enfile la chatte détrempée en un long et puissant coup de reins, arrachant une longue plainte de plaisir à la belle, qui a du mal à se contenir malgré la présence de ses parents tous proches. Tous trois en sandwich, la tête en dehors du lit, Mathieu passe ses mains sous le fessier tendu de sa belle et Quentin lui écarte les cuisses en la tenant par les talons aiguille.
Le beau blond entreprend de baiser la petite brune en faisant coulisser lentement sa longue queue entre ses lèvres vaginales rougie de la masturbation à la lampe torche. Élodie gémit de longues plaintes de plaisir peu contenu. Enzo profite de la situation comme d’habitude, Il fourre deux doigts dans la bouche ouverte de l’adolescente et les fait coulisser pour les humidifier au mieux. Une fois bien lubrifiés, il les retire et joue avec un téton en l’étirant vers le haut, en le pinçant et en le tordant lentement pendant qu’il plante deux autres doigts entre les lèvres brillantes de gloss pour s’attaquer ensuite au deuxième téton.
Ils durcissent rapidement entre ses doigts habiles alors que Quentin et Mathieu s’activent simultanément dans leurs trous respectifs. Élodie est en extase, la double pénétration, les caresses de ses seins, elle gémit et laisse la pression retomber pour se donner complètement à son plaisir grandissant dans ses entrailles pilonnées. Enzo se place juste derrière la tête secouée dans le vide de la belle et attend le moment précis où la gamine se cambre de plaisir pour pincer et tordre violemment les deux tétons de la belle, lui arrachant un cri rauque de plaisir douloureux. Il plante alors son sexe trapu tout au fond de sa bouche grande ouverte, étouffant instantanément le cri de l’adolescente.
Il tire sur les deux nattes pour forcer la tête de la gamine le plus en arrière possible et lui ouvrir la gorge au maximum. Il plante son gland gonflé tout au fond de la gorge ouverte et y reste quelques instants empêchant Élodie de respirer. Rapidement en manque d’air, des spasmes gagnent rapidement la gorge obstruée, pour le plus grand plaisir du portugais qui en profite pour claquer violemment les deux seins secoués de la belle.
*GUH* *CLAC* *CLAC* *GRRRGL* *CLAC* *CLAC*
A chaque gargouillement de la gamine, il lui claque violemment les deux seins, forçant la gamine à se cambrer pour chercher de l’air et à contracter ses deux trous autour des queue qui la pilonnent en force. Il se retire enfin, Élodie prend un grand bol d’air, le corps agité de spasmes elle jouit violemment éjaculant de mouille sur le ventre musclé de Quentin qui n’interrompt pas son martelage. La cyprine éclabousse sur le pubis et les cuisses fraîchement épilés, et Enzo plante à nouveau sa bite au fond de la gorge torturée de la gamine. Il lui baise la bouche en rythme avec Quentin, les *GUAH* *GUAH* faisant écho au gargouillis humides de la chatte pilonnée de coups de marteau piqueur.
Élodie n’en peut plus, c’est la deuxième fois qu’ils la font jouir violemment. Son corps se contracte de spasmes continus sous les assauts insatiable des trois potes. Elle jouit par la chatte et l’anus simultanément alors que le tos lui burine la gorge et claque violemment ses seins rougis sous les coups. Alors que le portugais vient de lui tordre violemment les mamelons sensibilisés par les coups répétés, Élodie lâche un nouveau râle de plaisir étouffé par la gorge profonde, lorsque Quentin aspire goulûment un de ses tétons tendus. La douceur du contact chaud des lèvres humides lui procure un nouveau spasme de plaisir qui explose dans son ventre pour se propager jusque dans sa chatte en une nouvelle éjaculation violente de cyprine.
Les spasmes de ses trous ont raison des garçons qui ne peuvent plus contenir leur jouissance plus longtemps. Quentin ralentit un peu pour durer un peu plus et jouir en même temps que ses potes, il imprime alors de longues et lentes pénétrations entraînant Élodie dans une nouvelle jouissance douce et puissante à la fois. Enzo et Mathieu de leur côté accélèrent les vas et viens pour faire jouir encore une fois la belle en explosant au fond de leurs trous respectifs.
Les cadences différentes de ces trois belles queues mènent rapidement l’adolescente vers une nouvelle jouissance étouffée par la bite dans sa gorge. Mais le portugais lui réserve une dernière surprise. Lorsque Quentin libère les tétons de la jeune délurée, le portugais lui caresse les seins avec douceur observant les réactions de la gamine qui fond sous les caresses mélangées au pilonnage intensif de ses orifices. Au moment où Élodie se cambre de plaisir et que lui et ses potes sont sur le point de cracher, il pince violemment ses tétons sensibles et lui arrache un nouveau cri de jouissance douloureuse en se retirant instantanément de sa gorge.
-HAAAAANNNNNN ….
Élodie se cambre sans retenue, et jouit violemment lorsque simultanément Quentin et Mathieu explosent au fond de ses trous, leurs bites gonflant en crachant leur foutre chaud dans ses entrailles chaudes et humides.
Enzo, se termine au-dessus du visage enfantin de la gamine, et tartine de sperme chaud et gluant son doux visage encadré de ses nattes torsadées.
Élodie s’écroule sur Mathieu, exténuée par les jouissances à répétition qu’elle vient de subir. Quentin et Enzo se redressent et se félicitent de l’avoir bien baisée, et Mathieu la repousse négligemment sur le côté afin de rejoindre ses potes.
Comme un pantin désarticulé, Élodie ne bouge plus, affalée sur son lit, la robe autour de la taille et les pieds terminés de ses stilettos brillants, elle caresse doucement sa chatte dégoulinante de sperme et fait glisser ses doigts sur son doux visage pour récupérer un maximum de foutre chaud qu’elle avale avec gourmandise.
Les trois potes immortalisent le moment sur leur smartphone, et Enzo conclut la séance, avec toujours la même touche sadique :
-J’vous l’avais dit qu’elle serait meilleure que Béa !
-Ouais ! …. D’ailleurs si on allait la rejoindre au repère ? Elle doit encore y être après ce qu’on lui a mis tout à l’heure !
Encore à moitié dans son délire jouissif et les yeux pétillants de plaisir, Élodie réalise qu’ils ont baiser l’autre salope avant de la rejoindre et qu’elle les a sucés alors qu’ils étaient encore couverts des jus intimes de la belle blonde.
-Bande de salops ! Arrive-t’elle tout juste à articuler, alors que ses mâles se renfroquent et repartent par son balcon.
Alors que Quentin et Mathieu sont déjà repartis, Enzo fait demi-tour après la remarque de la belle et il la rejoint sur son lit. Lui caressant doucement la peau couverte de sueur, la sienne et celle de ses potes. Il aspire un téton et caresse son autre sein, extirpant de nouveaux gémissement à la belle brune aux nattes détendues. Élodie passe sa main droite sur le crâne de son homme et glisse son autre main entre ses cuisses pour reprendre le massage de sa chatte dégoulinante de foutre et de mouille.
-Alors tu viens ? Putain ! C’est Quentin qui appelle le portugais depuis la rue.
Enzo s’interrompt et lui répond :
-Allez-y, je vous rejoins après !
Et il reprend le masticage des tétons humides, arrachant de nouveaux gémissement à la gamine qui n’est toujours pas rassasiée des plaisir sadique de son portugais.
-Suce moi la bite !
L’ordre est cinglant, mais Élodie est trop chaude pour s’en plaindre. Il s’allonge sur le dos, la tête dans le vide, à l’opposé de la porte de la chambre qui vient de s’entrouvrir en silence. L’adolescente se penche sur la queue à moitié bandée et l’aspire en douceur, tout en la caressant du bout des doigts. Elle ne peut s'empêcher de penser aux trous de Béa dans lesquels la tige de chair a dû plonger il y a tout juste quelques heures, et cette image relance son excitation perverse.
Ni l’un ni l’autre n’ont entendu Serge qui vient d’abandonner sa femme toujours attachée au pied du lit. Le dernier cri d’Élodie l’a coupé dans son élan. Alors que sa femme était sur le point de jouir par le cul, la cri de jouissance de sa belle-fille l’a coupé net. Piqué par la curiosité, il observe maintenant les deux jeunes, Élodie astiquant passionnément la jeune bite qui reprend vie entre ses lèvres épaisses et brillantes de gloss.
Serge astique sa trique odorante en observant la tête de la petite brune montant et descendant en une oscillation envoûtante : “Petite salope ! C’est comme ça que tu défies ta mère ?” Il se branle en imaginant le genre de punition qu’il pourrait infliger à cette petite pute, comment il martyrisait ces grosses loches au tétons magnifiquement gonflés et tendus, comment il punirait ce bon gros cul bien musclé et tendu !
Il ouvre un peu plus la porte pour mieux l’observer. Il en est convaincu maintenant, la petite se touche depuis au moins deux jours en les matant par sa porte, c’est bien sa mouille qu’il a retrouvé sur le pas de sa chambre il y a une heure !
Toute à son astiquage en règle, la gamine n’a pas encore remarqué son beau-père. Elle pompe avec gourmandise cette grosse queue épaisse et lui caresse les couilles qui se contractent à son contact. Le sperme dégouline encore le long de ses joues roses, mais elle en veut encore ! Une fois le jeune bien dur entre ses lèvres, elle se redresse et l’enjambe pour caresser sa queue entre ses lèvres vaginales luisantes de mouille et de foutre.
Elle passe sa main entre ses cuisses et dirige le gland trapu du portugais contre sa pastille à nouveau serrée mais débordante de sperme. Elle se cambre avec volupté, les yeux fermés en le recevant dans ses entrailles. Le regard brillant et pétillant de désir, elle s’interrompt soudain :
-Continue p’tite pute ! T’arrête pas ! J’veux cracher dans ton cul d’salope ! Râle le gros portugais qui ne peut rien voir dans sa position.
Mais Élodie reste figée, interdite devant le quadra qui les observe en se branlant sans vergogne dans le couloir. La gamine observe la grosse bite trapue de son beau-père, la même qui pilonnait le trou de balle de sa mère il n’y a pas une heure !
L’adolescente remonte son regard pétillant jusqu’à croisé celui, glacial et dur, de son beau-père. Elle ne peut alors retenir sa main gauche de caresser sa vulve luisante tout en reprenant sa sodomie, empalée sur la bite tendue du portugais. Des papillons virevoltent dans son ventre tendu de désir pour cette belle bite apparaissant et disparaissant alternativement dans la paluche musclée du quadra.
Montant et descendant en douceur sur le vit de chair, la belle fait glisser sa main droite sur son ventre, sur ses seins qu’elle tiraille entre ses doigts tout en se masturbant en s’enculant sur son tos. Elle se cambre, se donne en spectacle pour Serge qui continue de se branler en déglutissant de désir pour ce jeune corps cambré de plaisir dans la lumière tamisée de la chambre rose et enfantine.
Le spectacle est trop intense pour Serge, sa belle-fille l’allume comme une salope, il n’a qu’une envie : succomber à ses pulsions et virer le gamin pour défoncer les trous de sa pute de belle fille. Au lieu de ça, il contient sa pulsion et se retire sans fermer la porte d’Élodie, puis il rejoint sa femme qui va lui servir d’exutoire pour toute la tension que lui insuffle la petite salope !
Enzo, toujours ignorant de la scène qui vient de se produire entre sa pute et le quadra, s’impatiente sous la gamine. Il la retourne violemment en la déculant et la balance à quatre pattes le visage poupon dans les oreillers. Il plaque les épaules de la gamine contre son lit pour bien lui cambrer le cul, et s’enfonce dans ses entrailles offertes, lui arrachant un cri étouffé par les coussins.
*CLAC* Il agrippe la fesse droite de la gamine et la malaxe en la besognant violemment.
Élodie gémit sous les coups de queue qui la burine comme un marteau piqueur, mais sa jouissance ne vient pas du sexe bandé du portugais. Son beau-père sait, il la vue dans toute sa débauche, il s’est branlé pour elle. Soudain elle l’entend, elle en est sûre ! Faisant écho à ses propres soupirs, les cris de plaisir de sa mère enculée violemment par le quadra parviennent dans sa chambre.
Enzo râle trop fort, pris dans son propre désir, il n’entend pas le couple baiser dans le salon, à quelques mètres de la chambre rose. Il est persuadé de faire jouir la petite brune, mais la belle est en train de jouir à l’idée que son beau-père se défoule sur sa mère sachant que sa belle-fille se fait baiser sous son propre toit !
La chaleur monte et gonfle à nouveau dans les entrailles en feu de la gamine. Les papillons qui virevoltent dans son ventre se transforment en une explosion de feu d’artifice alors qu’Enzo se vide en elle. Il se retire instantanément et la tire par les nattes pour coller sa bite puante et gluante de ses jus et de sperme rance.
Il se vide entre les lèvres brillantes et gicle trois doses épaisses de foutre que la gamine déglutit avec gourmandise, imaginant la grosse bite de son beau-père s’évider dans sa bouche. Elle se masturbe violemment, explosant d’une nouvelle jouissance, son corps convulsant violemment alors qu’Enzo crache dans sa bouche gourmande, persuadé de l’avoir à nouveau faite jouir comme une folle.
Alors qu’Élodie s'effondre sur son lit, terrassée par sa jouissance intense, Enzo file en douce rejoindre ses potes pour baiser la belle blonde. Ce n’est qu’un peu plus tard qu’elle se réveille, une forte odeur de jus intimes accompagnant un *FLOC* *FLOC* hystérique ….
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
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