Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 16
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 16
Secouée de spasmes de jouissance extrêmes, Élodie déglutit les trois doses de sperme que son étalon portugais vient de cracher entre ses lèvres gourmandes. Elle s’écroule sur ses draps en sueur et, complètement essoufflée, a beaucoup de mal à reprendre sa respiration. Exténuée, elle ne voit pas Enzo détaler par le balcon, et n’a même pas la force de tirer la couette sur son corps à la peau sensibilisée par les fessées à répétition du sadique qui vient de la démonter sous le regard vicieux de son beau-père.
Elle s’endort, Louboutin aux pieds, les draps tachés du sperme et de la cyprine qui dégorgent encore de ses trous humides. Les convulsions de son ventre ont expulsé des jets de mouille comme elle n’en a jamais connu. De base, l’adolescente mouille vite et beaucoup, ce qui lui a permis d’encaisser les assauts de ces derniers jours sans trop souffrir des frottements de toutes ces queues, mais jamais elle n’aurait pensé être une telle fontaine.
Ce n’est qu’un peu plus tard dans la nuit, que la gamine se réveille en sursaut, son sommeil perturbé par des rêves érotiques intenses. L’esprit embrumé et la bouche pâteuse aux relents de foutre rance, elle sent comme une caresse un peu brutale entre ses cuisses écartées. Les secousses grinçantes de son lit et les odeurs fortes de fluides corporels déclenchent un mécanisme de défense dans son esprit qui analyse instantanément qu’un homme se branle en lui doigtant la chatte.
Lorsqu’elle essaye de se recroqueviller sur elle-même pour échapper à son prédateur, elle se retrouve dans l’impossibilité de bouger. La tête écrasée dans son oreiller, les poings bizarrement étirés et bloqués entre ses cuisses écartées et le cul tendu en l’air dans une position de levrette forcée, elle réalise qu’elle est entravée dans le pilori d’acier reçu le matin même. Paniquée, elle se sent entièrement à la merci de l’intrus ; “Qu’est-ce qui m’arrive ? Est-ce que le maître chanteur a enfin décidé de se montrer ?” Elle tente de se débattre sans succès, elle ne peut que deviner l’ombre d’un homme dans l’obscurité de sa chambre, à peine éclairée par les lumières de la rue.
La gamine tourne la tête sur son oreiller pour essayer de faire face à l’intrus, qui fait un mouvement sur le côté, libérant ainsi son trou douloureux :
-Je vois que tu es réveillée petite pute ! Alors comme ça tu aimes t’exhiber en train de te faire sauter par tes potes ?
Le visage de Serge apparaît dans une rai de lumière, souriant, sadique, il a l’air d’apprécier la contrainte à laquelle il soumet sa belle-fille.
-Et j’ai aussi trouvé cette jolie barre de contrainte ! Tu aurais pu faire un effort pour mieux la planquer …. HUM ! Maintenant que j’y pense, si tu es en possession de ce genre de truc, je me demande bien ce que tu peux cacher d’autre !
Les yeux révulsés dans le noir, la gamine panique et son cœur se met à battre à tout rompre dans sa poitrine, résonnant jusque dans ses tempes. Elle n’ose plus bouger, ni même émettre le moindre son, sa gorge se noue et des larmes commencent à se former au coin de ses grands yeux en amande :
-Mais bon, de toute façon j’ai pas le temps de chercher ce soir, ta mère peut se réveiller d’un instant à l’autre !
La gamine se détend un peu, il n’a pas vraiment cherché, et elle reconnaît qu’elle aurait dû faire un effort pour planquer cet objet de torture qui commence à faire mal à ses articulations. Élodie émet un cri de gorge raclée lorsqu’il lui tire violemment la tête en arrière :
-Ecoute moi bien petite traînée, ta mère est un très bon coup au pieu donc j’ai aucune raison de venir défoncer des trous de gamines inexpérimentée ! Mais toute talentueuse qu’elle est, elle refuse toujours de me sucer la bite après que je me sois occupé de ses trous, et elle continue à refuser que je lui crache dans la bouche ou même de me sucer au réveil.
Il fait une pause afin que sa belle-fille prenne pleinement conscience des limites imposées par sa mère à son étalon, avant de reprendre :
-Mais voilà, moi j’ai besoin qu’on me pompe le dard après une bonne baise ou le matin quand j’me réveille. Tu comprends ?
Élodie reste figée, interdite, jusqu’à ce qu’il tire à nouveau violemment sur les tresses :
-Tu as compris ? Répond moi p’tite traînée !
-Oui …. Oui, je comprends !
-Bien …. Donc je vais te libérer, mais t’as intérêt à bien t’occuper de moi et de ma bite ! Et qui sait, si tu te montres coopérative, je pourrai peut-être faire lever ta punition.
Trop inconfortable pour apprécier le geste “généreux” de Serge, Élodie se contente de hocher la tête malgré l’étau de la poigne de son bourreau. Il approche son visage et dans un souffle rauque, il susurre à l’oreille de l’adolescente :
-Par contre t’avise pas à jouer la maligne, ou alors je te laisse le cul en l’air et je m’arrange pour que ta mère te trouve comme ça en se levant.
“Mais c’est pas possible, qu’est-ce qui m’arrive ?” Malgré la menace, la petite ne peut s’empêcher de sentir une nouvelle vague de chaleur envahir son ventre et sa petite fente qui se met à suinter instinctivement ! Pour couronner le tout, son esprit embrumé semble se détacher de son corps qui commence à disparaître de son conscient. Elle trouve tout de même la force et la lucidité de lui répondre, un trémolo de panique dans la voix :
-Non pitié, Serge ! Je te sucerai la bite quand tu veux, comme tu veux, mais me laisse pas comme ça ….
Elle ne peut le voir, mais le visage de son nouveau bourreau s’illumine d’un sourire vicieux et gourmand :
-OK ! Je te libère mais tu as intérêt à pas me faire regretter ma décision !
*CLIC* Le mécanisme de retenue du pilori se déclenche et Serge en écarte les mâchoires, libérant la belle qui se recroqueville instinctivement, comme un petit animal qu’on vient de battre. La voix autoritaire de Serge ne lui laisse pas le temps de soulager ses articulations meurtries :
-Viens à quatre pattes au bord de ton pieu et avale moi la queue, et sans les mains, je veux que tu bouges d’avant en arrière pour me faire la meilleure pipe de ta vie !
Élodie a encore du mal à accepter d’être excitée à l’idée de sucer ce gros morceau de chair qui limait les trous de sa mère il y a peu, et pourtant, son corps se met à ramper sensuellement vers l’homme debout au pied de son lit rose bonbon. Comme il le lui a ordonné, elle reste à quatre pattes devant lui, soumise, et se baisse pour aspirer la grosse tige flasque qui pend entre ses cuisses musclées. Elle cambre au mieux ses reins lorsqu’elle remonte son visage en lui avalant la bite. Les goûts salés et rances s’entremêlent en un conglomérat presque doux sur les terminaisons nerveuses de sa langue. Le goût de cette bite crade et meilleur que l’odeur qu’elle dégage.
Ses gros seins commencent à s’agiter d’avant en arrière sous sa poitrine alors qu’elle oscille en aspirant le sexe mou de son beau-père. Elle le gobe dans des *SLURP* gluants et se réjouit de le sentir gonfler et durcir entre ses lèvres et sur sa langue. “Putain il est épais le salop !” La largeur de cette tige de chair tire sur les lèvres de la gamine qui s’évertue à pomper son beau-père avec passion et gourmandise. Sa chatte commence même à sérieusement à la titiller ! Est-ce parce qu'il lui a garanti qu’il ne la sauterait pas, mais la gamine meurt d’envie de le sentir lui ramoner la chatte ! Elle souhaite que ce salop l’encule comme une traînée !
Sa vulve suinte abondamment à l’idée qu’elle ne sentira jamais cette belle bite longue et épaisse en elle. S’ajoutant à cet interdit, la gamine ne peut même pas se soulager en se branlant, toute à quatre pattes à s’agiter devant son bourreau qui se régale du spectacle nocturne :
-C’est ça, petite pute, sale traînée, nettoie bien la grosse bite qui ne se lasse pas de défoncer les trous de ta chienne de mère ! Aspire moi bien la bite à fond …. AAAAAHHHH Oui c’est bon ma salope !
Élodie vient de l’avaler en gorge profonde, luttant contre les odeurs se dégageant des poils pubiens de son vicelard de beau-père, elle est parvenue à relâcher suffisamment sa gorge pour y glisser le gros gland trapu. Elle regrette instantanément son choix, son crâne se retrouve entravé entre l’étau puissant des grosses paluches de Serge.
Il plaque le visage poupon contre le gras de son bas ventre et maintient sa queue au fond de la gorge juvénile, écartelée par le morceau de chair. Au bout de quelques secondes, Élodie, qui n’avait pas anticipé cette gorge profonde forcée, commence à manquer d’air et à se débattre. Serge se retire pour la laisser respirer, un filet de bave épaisse luisant dans la pénombre.
Élodie essaye de reprendre sa respiration lorsque soudain son beau-père tire violemment sur ses nattes, lui arrachant un bruit aigu. Il se penche à son oreille et lui souffle un ordre entre ses dents serrées :
-Tu essayes de me faire gicler dans ta gorge espèce de petite trainée, hein ?
Il tire à nouveau sur les nattes hirsutes :
-Aïe …. SNIF …. Les larmes humidifient ses yeux de poupée ; Non non j’te jure!
-Bien ! Tu vas me sucer comme une bonne salope, mais tu me fais pas jouir ! Tu as intérêt à te retirer à temps, sinon je m’arrange avec ta mère pour durcir ta punition ! Compris ?
-Oui …. J’ai compris …. Slurp
Et la gamine se jette sur la bite, gourmande, en la suçant bruyamment dans la lumière tamisée de sa chambre. Toujours à quatre pattes sur son pieu, elle oscille son corps d’avant en arrière, empalant ses lèvres généreuses sur le morceau de chair tendu et brillant de salive.
Serge se régale devant le spectacle du cul de la gamine qui le pompe avec avidité. Il observe le corps fin de sa belle-fille, son joli cul joufflu et tendu, la forme de cœur parfaite qui oscille sous son regard pervers. Il ne peut se retenir de le claquer bruyamment du plat de la main. Le quadra l’imagine rosir puis rougir sous les fessées répétées, mais il doit s’arrêter. Les gémissements étouffés de la brunette qui le pompe ne trompent pas, cette petite pute aime le traitement et la pipe qu’elle lui administre est sur le point de le forcer à lui inonder la bouche.
La gamine réagit immédiatement lorsqu’elle le sent frétiller et gonfler sur sa langue gourmande. Elle se retire, et l’observe les yeux dans les yeux afin de jauger de ses réactions. De son regard poupon et gourmand, elle le laisse la dévorer des yeux, elle se sent comme une petite fille incapable de dire non à l’adulte qui la domine. Un tantinet intimidée, et morte de peur qu’il lâche la purée, elle titille du bout de la langue la queue tendue devant son visage rond et juvénile. Son souffle chaud tapisse le gland trapu et gonflé, sa langue glisse sous le freins, une goutte de liquide séminal coule lentement sur ses lèvres lorsqu’elle l’embrasse.
Élodie encercle la tige du morceau de chair bandée de ses doigts fins et le regard fixé dans celui de son beau-père, elle fait glisser sa langue rose le long de la hampe pulsant sous le flux de sang. La gamine branle ensuite lentement, si lentement, la tige gluante de bave alors qu’elle embrasse, gobe, et titille les bourses poilues et pleine du nectar qui lui est interdit. Les halètement de son beau-père, l’odeur forte des fluides intimes de sa mère encore mélangés au sperme refroidi, l souvenir encore récent de ses récents ébats brutaux avec le portugais, son corps se gonfle à nouveau de désir pour une bonne bite qui la ramonerait avec force et vigueur.
Le plaisir prend forme au creux de son ventre et se propage lentement jusque dans son vagin béant du désir de se faire emplir. Ses lèvres vaginales commencent à la chatouiller, ses seins douloureux des traitements ingrats de ses amants se couvre de frissons, ses tétons durcissent à mesure que son propre souffle s’alourdit de désir. Pourtant derrière ce besoin oppressant d’une bonne grosse queue qui lui ramonerait ses trous serrés, et le râles rauques de Serge, la jeune fille entend le parquet de son couloir grincer de l’autre côté de sa porte entrouverte. Le mélange de ces sensations est insupportable pour la gamine ; elle doit combler les besoins lubriques de son beau-père tout en se privant de son doux et chaud nectar qu’elle imagine exquis. A la peur de le faire gicler entre ses lèvres ou sur sa peau satinée, s’ajoute la frustration de ne pouvoir combler ses propres pulsions naissantes et gonflantes au fond de son être torturé. Comme si cela ne suffisait pas, Élodie est maintenant persuadée que sa mère est en train d’errer dans l’appartement à la recherche de son mari. “La honte ultime si elle me grille en train de lui pomper la queue !”
-Suce moi et branle moi bien espèce de petite putain ! Lui souffle-t’ il à l’oreille, lui aussi à l’affût des bruits de l’autre côté de la porte.
-Et ne t’arrête pas jusqu’à ce que tu me sentes sur le point d’exploser entre tes lèvres de petite chienne !
*SLURP* *SLURP* *FLOC* FLOC* *FLOC* Élodie se concentre sur l’aspiration goulue du gros gland gonflé de plaisir. Sa fine main blanche comme l'albâtre glisse le long de la queue brillante. Son autre main glisse sous les bourses tendues et pleines de foutre.
-Branle toi et pistonne toi la chatte ! Je veux entendre tes jus inonder ta moule gonflée de désir pour cette grosse bite que tu n’auras jamais pour toi !
Désespérée, et l’oreille tendue vers le couloir, Élodie glisse sa main gauche entre ses cuisses ouvertes et se met à caresser ses lèvres humides entre majeur et annulaire. Elle comprime son clitoris gonflé de sang entre ses doigts et le branle en mouvements puissants et circulaires. Elle joue un peu avec sa proie, plaque le gland dégoulinant de liquide pré-séminal à l’intérieur de sa joue, et branle la queue tendue en l’aspirant à nouveau, au moment où elle plante deux doigts au fond de sa chatte béante. Elle se cambre de plaisir en pistonnant ses chairs enflées, les vas et viens de sa main le long de cette belle bite tendue fait sursauter son énorme 85D sur sa poitrine. La gamine le sent frémir entre ses lèvres charnues juste au moment où un grincement de planches se fait entendre de l’autre côté de la porte.
Elle se recule pour relâcher la pression et le libère de la prison de ses lèvres, mais ne peut s’arrêter de se branler en pinçant la pointe des seins entre ses doigts luisant de bave lubrifiante.
*FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* haaaannnnn *HUMPH* *HUMPH* Élodie essaye d'étouffer ses petits cris de jouissance entre ses dents serrées :
-C’est ça petite salope continue de te branler comme une petite traînée en manque pendant que je m’occupe de ta mère ! Lui soupire-t’il à l’oreille avant de se diriger vers le couloir.
Serge remballe son attirail dans son caleçon tendu ; “Elle a bien failli me faire cracher cette petite pute!” Il sourit encore lorsqu’il ouvre la porte sur la belle Martine encore à moitié endormie dans sa chemise de nuit trop courte, les bruit lointain des chairs humides entretiennent son érection, qu’il essaye de cacher derrière le battant de la porte :
-Qu’est-ce que tu fais dans la chambre d’Elo mon chéri ?
-C’est rien ma belle, elle s’est réveillée lorsque je buvais un coup à la cuisine ! Ta fille se sent mal après ta punition (*fouic* *fouic* *fouic* han …. ouh .… humph …. *fouic* *fouic* *fouic*) elle voudrait se faire pardonner !
-Bon allez vient on en reparle demain, je vais y réfléchir, mais là je suis trop naze, et qui sait …. Lui dit-elle d’un sourire gourmand …. Maintenant qu’on est réveillé …. Et elle glisse sa main sur la poitrine velue de son mari avant de l’embrasser chaleureusement.
Il attrape la main de sa femme avant qu’elle ne découvre la dureté de sa virilité :
-Hum tu sais parler à ton homme petite cochonne ! File je te rejoins (*fouic* *fouic* *fouic* han ….) lui répond-il l’oreille distraite, et il lui claque doucement la fesse alors qu’elle s’en retourne dans leur chambre.
Il rejoint alors Élodie, la petite brune est à genou sur son matelas, les fesses sur les talons, en appui sur la main gauche, les cuisses charnues écartelées et le ventre tendu de désir alors qu’elle s’astique et se pistonne la chatte. Les yeux à moitié fermés et luisant de plaisir encore contenu, la belle brune sent le feu d’artifice gonfler en elle alors qu’elle glisse ses doigts courbés sur son point G, claquant la paume ouverte contre son pubis tendu, au clito exagérément gonflé.
Serge glisse sa main sur le ventre et la poitrine haletante de la petite en chaleur, il soupèse son gros sein et le sert violemment, lui arrachant un nouveau cri de plaisir et de douleur mélangés. Il l’attrape alors violemment par les cheveux, interrompant brusquement son orgasme naissant. Le quadra la projette sur son lit et arrache les taies d’oreiller pour en faire des liens qu’il utilise pour immobiliser la belle en croix sur son lit. Comme si l’interruption du plaisir de sa belle-fille ne suffisait pas, le pervers écarte les cuisses de la jeune fille haletante et encore essoufflée du plaisir qui lui est encore interdit. Il plonge ensuite sur le vagin luisant et prodigue un cuni d’expert à l’adolescente qui se cambre de plaisir sous les coups de langue maîtrisés.
Le vieux pervers sait y faire, il fait renaître le plaisir dont il l’a privée à l’instant, il fourre sa langue entre les muqueuses gonflées de plaisir, et la mène à nouveau aux portes d’un orgasme encore plus puissant. L’enfoiré plante même deux doigts dans sa chatte serrée et un troisième dans sa pastille striée. La double caresse vaginale et anale, le cuni gourmand, les bruits et les odeurs de cyprine mélangés au relents de sperme portent la petite aux frontières d’un orgasme comme elle n’a jamais connu. La chaleur gonflante dans son ventre et se propageant dans sa chatte bouillante de plaisir est sur le point d’exploser au plus profond de son être. Son esprit se détache de son corps, elle perd le contrôle de son esprit conscient et laisse son inconscient prendre possession de son corps au bord de l’explosion. Prise de spasmes incontrôlables, elle mord ses lèvres pour contenir les cris de plaisir qui alerteraient à coup sur sa mère.
Mais son cruel beau-père ne l’entend pas de la même oreille, il accélère le double pistonnage et lui aspire le clito pour amener la gamine vers une explosion de jouissance ultime quand soudain, il se retire et se redresse abandonnant la petite à sa jouissance inassouvie. Élodie n’en peut plus, essoufflée et haletante comme une chienne, elle le supplie du regard ; “Non! Ne me laisse pas comme ça salop !” Mais l’enfoiré se contente de sourire et de l’embrasser sur les lèvres, lui laissant comme seul souvenir le goût métallique de sa mouille. Il se retire ensuite, sans même se retourner, en refermant la porte derrière lui. Élodie est complètement perdue, seule, les mains écartelées, au supplice et au bord de sa jouissance perdue, la chatte dégoulinante de cyprine chaude et gluante. Désespérée et dans l’impossibilité même de se soulager, elle succombe à son sommeil et s’effondre absente et perdue.
Le lendemain matin, la belle brune se réveille, la peau caressée par les raies de lumière chaleureuses qui baignent sa chambre. Ses mains sont libérées de leurs attaches et ses loubou sont bien rangées au pied de son lit. Encore aux prises avec ses multiples jouissances dont tous ces porcs la privent quasi continuellement, et la bouche un peu pâteuse, elle se lève le corps tout courbaturé par les assauts de la veille. Sa chatte et son cul la brûlent, la morsure des fessées et des tétons torturés est encore vive sur sa peau douce de jeune fille. La gamine défait ses nattes et apprécie la douce caresse de sa brosse à cheveux. Elle soulage ensuite ses douleurs avec une crème adoucissante avant de couvrir son corps d’une simple nuisette fantaisie rose aux bretelles fines et couverte d’une Betty Boop toute mignonne. Le vêtement qu’elle s’était offerte il y a deux ans contient tout juste son généreux bonnet D, et couvre à peine son joli cul bien ferme, mais elle veut être sexy pour son beau-père, sans compter le corbeau qui doit encore être en train de l’observer.
Réflexe du matin, elle consulte ses réseaux et tombe sur un snap de son beau Franck. Elle sourit en consultant les photos que le beau gosse lui a envoyé, il prend carrément la pose pour elle, le torse nu aux muscles saillants, le caleçon dévoilant le haut imberbe de son pubis, tout en lui joignant des petits message coquins.
Elle ouvre la porte de sa chambre, la tête encore pleine des images du beau gosse dont elle ferait volontiers son quatre heure, et rejoint Serge dans la cuisine, comme tous les matins. Une douce odeur de pancakes emplit alors ses narines. C’est donc avec un sourire non dissimulé qu’elle rejoint le quadra :
-Ah ben te voilà enfin p’ti cul ! Il l’accueille lui aussi chaleureusement, pas mécontent de la vision sexy que lui retourne sa belle-fille.
-HUM, des pancakes, ça faisait longtemps dis-moi ?
Élodie avait un peu peur de la réaction du quadra après la séance de la veille, mais elle se réjouit de la tournure de la situation, ils se parlent comme tous les matins sans aucune gêne. Serge se retourne vers la gamine, vêtu comme souvent d’un marcel un peu trop court et dévoilant le bas de son ventre bedonnant, et d’un short, plutôt court ce matin. Il rejoint sa belle-fille à la salle à manger alors que cette dernière s’assoit, un peu gênée que sa nuisette ne couvre que très peu son intimité. Lorsque Serge dépose l'assiette de crêpes, la gamine ne peut s’empêcher de lorgner la virilité de son beau-père, qui déforme son short de sa grosse tige de chair tendue. C’est alors qu’il la surprend en soulevant la base du vêtement pour en sortir sa queue à moitié bandée, en ajoutant :
-Aujourd’hui j’ai un nouveau jus à te proposer à la place du sirop d’érable !
Élodie ne peut contenir un léger soupir de désir pour cette belle bite, dont elle avait tout juste deviner les contours dans la pénombre de sa chambre. Ce matin, elle peut enfin l’admirer à la lumière du jour, les grosses veines saillantes, le gros canal proéminent de la base de ses bourses tendues au frein de son gland gonflé. La belle queue oscille de haut en base sous l'afflux de sang que la vue de la belle provoque chez le quadra vicieux. Elle se mord les lèvres en croisant le regard de son beau-père, avant de lui répondre :
-Eh ben mon salop, tu démérites pas !
La gamine ne peut s'empêcher de remarquer les traces sur la peau de la bite aux fortes odeurs qui s’approche de son visage. Elle comprend alors, lorsqu’il ajoute, un sourire lubrique aux lèvres :
-C’est grâce à toi que j’ai pu encore monter ta chienne de mère après notre petite séance. Je me suis retenu pour toi ce matin, alors fait honneur à cette belle queue, tu veux ?
Les odeurs mélangées de l’intimité de sa mère et du sperme qui emplissait encore ses trous lorsqu’il l’a montée il y a tout juste quelques heures, déclenchent une vague d’hormones qui envahit le cerveau embrumé de la gamine qui ouvre instinctivement la bouche pour aspirer le morceau de chair tendu. Elle caresse les bourses gonflées et poilues de la main droite et entoure la base de la bite de sa main libre avant d’aspirer son gland gonflé, son regard poupon ancré dans les yeux bleu acier de Serge.
*MMMMWACK* Elle fait ventouse avec ses lèvres autour du gland et joue à lui titiller le frein du but de la langue. La gamine se régale de jouer avec la virilité fragile du quadra, elle lui lèche la bite à pleine langue et sur toute la longueur pour bien la nettoyer des traces de jus intimes avant de l’engloutir entièrement, luttant contre les nausées provoquées par le passage de sa luette.
*SLURP* *GUAH* *GUAH* *GUAH* La petite dévoile maintenant l’étendue de ses talents de pompeuse de bite pour son paternel, elle l’avale en gorge profonde, frotte le gland à l’intérieure de ses joues en le regardant bien dans les yeux pour lui montrer comment il lui déforme la bouche. Élodie arrose copieusement la belle grosse bite de salive afin que ses doigts glissent tout seul lorsqu’elle le branle sur toute sa longueur alors qu’elle lui tète le gland pour le traire comme une petite chienne.
“Putain, quelle chienne cette salope !” Serge n’en revient pas des talents de suceuse de sa belle-fille, tantôt il l’attrape par le crâne pour lui buriner la gorge à grands coups de queue, claquant son gros bide poilu contre le petit nez retroussé de la belle, tantôt il l laisse le sucer comme une gourmande, dégageant sa grosse poitrine juvénile du balcon de cette petite nuisette si sexy. Il lèche ses gros doigts pour les lubrifier de salive avant de jouer avec les gros tétons tendus de la petite salope, il les branle, les pince, les vrille, provoquant diverses réactions chez la gamine qui s’applique à lui faire la meilleure pipe qu’on lui ait jamais administrer.
Lorsque la pression est trop forte et qu’il est sur le point d’exploser, il se retire de lui-même et lui présente ses grosses bourses pleines de foutre pour qu’elle les lèche et les avale une à une, puis il repart à l’assaut de ces grosses lèvres charnues. Mais il sait aussi que sa femme ne va pas tarder à les rejoindre pour partager le petit déjeuner. A nouveau au bord de l’explosion, il laisse la petite lui prodiguer ses talents.
Élodie sent à nouveau la bite frétiller entre ses lèvres, le gland gonfler sur sa langue gourmande, elle sait qu’il va bientôt exploser. La gamine se concentre alors sur le gland qu’elle aspire au chaud entre ses lèvres alors que sa main lui astique le manche dans un *FOUIC* *FOUIC* humide et gourmand :
-C’est ça p’tte pute, branle moi bien la queue ! Ah oui ! Oooooh Putain je vens, je vais cracher, oh putaaaiiiiiiin !!!!
C’est alors qu’il retire son gland dans un gonflement ultime. Les yeux un peu dans le vague par les asphyxies à répétition des gorges profondes violentes, Élodie l’observe, les seins nus, le cul humide de cyprine détrempant l’assise de sa chaise, il se branle au-dessus de l’assiette de pancakes et explose dans un râle rauque d’animal en rut. Il recouvre les trois pancakes encore fumant d’une dizaine d’éjaculats blanc et visqueux. La petite Elo est comme hypnotisée par la quantité de foutre dont le quadra la gâte ce matin, et lorsqu’il termine de se vider, elle ne peut s'empêcher d’aspirer la bite mollissante pour se délecter des dernières gouttes dont il la gratifie. Elle le débouche dans un *MWACK* gourmand avant de le remercier presque tendrement d’un petit bisou sur le gland :
-Bon appétit ma petite ! Lui sourit-il avant de s’assoir en face d’elle afin de l’observer manger ses bons pancakes au sirop de Serge !
Élodie est tout de même un peu perdue lorsque la tension sexuelle se relâche. Elle est assise dans une flaque de sa propre mouille et se retrouve face à ces crêpes couvertes de nectar gluant, chaud et visqueux. Elle prend fourchette et couteau et commence à manger comme si les galettes étaient recouvertes de sirop d’érable. Elle croise alors le regard gourmand de son beau-père, et son petit esprit vicieux reprend le contrôle. Elle se met alors à jouer avec le quadra en faisant mine de se régaler comme si elle lui offrait le meilleur porno de toute sa vie. La gamine se régale du regard de son paternel lorsqu’elle pique le dernier morceau de pancake qu’elle utilise pour racler les dernière traces de foutre chaud dans son assiette, et le met en bouche comme une petite vicieuse juste au moment où sa mère les rejoint tous les deux pour prendre un petit déjeuner familial.
Élodie a tout juste le temps de ranger ses grosses mamelles dans sa nuisette et de couvrir son intimité avec une serviette lorsque Martine entre pour les rejoindre à table. Elle embrasse Serge sur les lèvres et colle un baiser sur le front d’Élodie avant d’aller se laver les mains dans la cuisine, complètement inconsciente que sa fille vient de pomper la bite de son mari et de s’engouffrer trois pancakes couvert de son sperme gluant.
-Alors mes amours, bien réveillés ? Et toi ma belle, ça va mieux ce matin ? Leur demande-t’elle en les rejoignant à table.
-Oui merci maman, ça va !
Et les trois discutent comme si de rien n’était, oubliant les tensions de la veille, et Élodie enfin rassasiée de bon foutre bien chaud. Martine tente une nouvelle approche avec sa fille :
-Bon ma chérie, Serge a réussi à me convaincre de lever ta punition ….
-Oh merci maman, je t…. Mais sa mère l’interrompt en levant la main, magnanime :
-Maiiiis, à une condition !
-J’me disais bien aussi, lui répond-t’elle l’air renfrogné.
-Ecoute moi au lieu de faire tout de suite la gueule ! Elle est sur le point de s’énerver lorsqu’elle sent la main rassurante de son mari sur la sienne, avant d’ajouter ; Je lève ta punition, mais tu te trouves un job pour les vacances ! Tu as jusqu’à la fin de la semaine !
Élodie n’en revient pas, c’est plutôt un bon compromis ; “Ça aurait pu être pire !” Finit-elle par s’avouer, mais pour ne pas laisser sa mère gagner si facilement, elle ne peut s’empêcher de lâcher :
-Bon ça va, j’ai bien compris que tu me laisserais pas profiter de mes vacances, mais je suis prête à faire un effort, j’te promets.
Le petit déjeuner se termine sans plus de heurts et plutôt dans une ambiance détendue et familiale. Élodie prend bien garde de ne pas se lever tant que sa mère et Serge ne sont pas partis et propose de tout ranger après leur départ. “OUF, putain, enfin seule !” La gamine peut se détendre de la pression familiale, rassasiée de sperme mais toujours en manque d’un bon gros orgasme, elle range la table et nettoie la cuisine.
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
Elle s’endort, Louboutin aux pieds, les draps tachés du sperme et de la cyprine qui dégorgent encore de ses trous humides. Les convulsions de son ventre ont expulsé des jets de mouille comme elle n’en a jamais connu. De base, l’adolescente mouille vite et beaucoup, ce qui lui a permis d’encaisser les assauts de ces derniers jours sans trop souffrir des frottements de toutes ces queues, mais jamais elle n’aurait pensé être une telle fontaine.
Ce n’est qu’un peu plus tard dans la nuit, que la gamine se réveille en sursaut, son sommeil perturbé par des rêves érotiques intenses. L’esprit embrumé et la bouche pâteuse aux relents de foutre rance, elle sent comme une caresse un peu brutale entre ses cuisses écartées. Les secousses grinçantes de son lit et les odeurs fortes de fluides corporels déclenchent un mécanisme de défense dans son esprit qui analyse instantanément qu’un homme se branle en lui doigtant la chatte.
Lorsqu’elle essaye de se recroqueviller sur elle-même pour échapper à son prédateur, elle se retrouve dans l’impossibilité de bouger. La tête écrasée dans son oreiller, les poings bizarrement étirés et bloqués entre ses cuisses écartées et le cul tendu en l’air dans une position de levrette forcée, elle réalise qu’elle est entravée dans le pilori d’acier reçu le matin même. Paniquée, elle se sent entièrement à la merci de l’intrus ; “Qu’est-ce qui m’arrive ? Est-ce que le maître chanteur a enfin décidé de se montrer ?” Elle tente de se débattre sans succès, elle ne peut que deviner l’ombre d’un homme dans l’obscurité de sa chambre, à peine éclairée par les lumières de la rue.
La gamine tourne la tête sur son oreiller pour essayer de faire face à l’intrus, qui fait un mouvement sur le côté, libérant ainsi son trou douloureux :
-Je vois que tu es réveillée petite pute ! Alors comme ça tu aimes t’exhiber en train de te faire sauter par tes potes ?
Le visage de Serge apparaît dans une rai de lumière, souriant, sadique, il a l’air d’apprécier la contrainte à laquelle il soumet sa belle-fille.
-Et j’ai aussi trouvé cette jolie barre de contrainte ! Tu aurais pu faire un effort pour mieux la planquer …. HUM ! Maintenant que j’y pense, si tu es en possession de ce genre de truc, je me demande bien ce que tu peux cacher d’autre !
Les yeux révulsés dans le noir, la gamine panique et son cœur se met à battre à tout rompre dans sa poitrine, résonnant jusque dans ses tempes. Elle n’ose plus bouger, ni même émettre le moindre son, sa gorge se noue et des larmes commencent à se former au coin de ses grands yeux en amande :
-Mais bon, de toute façon j’ai pas le temps de chercher ce soir, ta mère peut se réveiller d’un instant à l’autre !
La gamine se détend un peu, il n’a pas vraiment cherché, et elle reconnaît qu’elle aurait dû faire un effort pour planquer cet objet de torture qui commence à faire mal à ses articulations. Élodie émet un cri de gorge raclée lorsqu’il lui tire violemment la tête en arrière :
-Ecoute moi bien petite traînée, ta mère est un très bon coup au pieu donc j’ai aucune raison de venir défoncer des trous de gamines inexpérimentée ! Mais toute talentueuse qu’elle est, elle refuse toujours de me sucer la bite après que je me sois occupé de ses trous, et elle continue à refuser que je lui crache dans la bouche ou même de me sucer au réveil.
Il fait une pause afin que sa belle-fille prenne pleinement conscience des limites imposées par sa mère à son étalon, avant de reprendre :
-Mais voilà, moi j’ai besoin qu’on me pompe le dard après une bonne baise ou le matin quand j’me réveille. Tu comprends ?
Élodie reste figée, interdite, jusqu’à ce qu’il tire à nouveau violemment sur les tresses :
-Tu as compris ? Répond moi p’tite traînée !
-Oui …. Oui, je comprends !
-Bien …. Donc je vais te libérer, mais t’as intérêt à bien t’occuper de moi et de ma bite ! Et qui sait, si tu te montres coopérative, je pourrai peut-être faire lever ta punition.
Trop inconfortable pour apprécier le geste “généreux” de Serge, Élodie se contente de hocher la tête malgré l’étau de la poigne de son bourreau. Il approche son visage et dans un souffle rauque, il susurre à l’oreille de l’adolescente :
-Par contre t’avise pas à jouer la maligne, ou alors je te laisse le cul en l’air et je m’arrange pour que ta mère te trouve comme ça en se levant.
“Mais c’est pas possible, qu’est-ce qui m’arrive ?” Malgré la menace, la petite ne peut s’empêcher de sentir une nouvelle vague de chaleur envahir son ventre et sa petite fente qui se met à suinter instinctivement ! Pour couronner le tout, son esprit embrumé semble se détacher de son corps qui commence à disparaître de son conscient. Elle trouve tout de même la force et la lucidité de lui répondre, un trémolo de panique dans la voix :
-Non pitié, Serge ! Je te sucerai la bite quand tu veux, comme tu veux, mais me laisse pas comme ça ….
Elle ne peut le voir, mais le visage de son nouveau bourreau s’illumine d’un sourire vicieux et gourmand :
-OK ! Je te libère mais tu as intérêt à pas me faire regretter ma décision !
*CLIC* Le mécanisme de retenue du pilori se déclenche et Serge en écarte les mâchoires, libérant la belle qui se recroqueville instinctivement, comme un petit animal qu’on vient de battre. La voix autoritaire de Serge ne lui laisse pas le temps de soulager ses articulations meurtries :
-Viens à quatre pattes au bord de ton pieu et avale moi la queue, et sans les mains, je veux que tu bouges d’avant en arrière pour me faire la meilleure pipe de ta vie !
Élodie a encore du mal à accepter d’être excitée à l’idée de sucer ce gros morceau de chair qui limait les trous de sa mère il y a peu, et pourtant, son corps se met à ramper sensuellement vers l’homme debout au pied de son lit rose bonbon. Comme il le lui a ordonné, elle reste à quatre pattes devant lui, soumise, et se baisse pour aspirer la grosse tige flasque qui pend entre ses cuisses musclées. Elle cambre au mieux ses reins lorsqu’elle remonte son visage en lui avalant la bite. Les goûts salés et rances s’entremêlent en un conglomérat presque doux sur les terminaisons nerveuses de sa langue. Le goût de cette bite crade et meilleur que l’odeur qu’elle dégage.
Ses gros seins commencent à s’agiter d’avant en arrière sous sa poitrine alors qu’elle oscille en aspirant le sexe mou de son beau-père. Elle le gobe dans des *SLURP* gluants et se réjouit de le sentir gonfler et durcir entre ses lèvres et sur sa langue. “Putain il est épais le salop !” La largeur de cette tige de chair tire sur les lèvres de la gamine qui s’évertue à pomper son beau-père avec passion et gourmandise. Sa chatte commence même à sérieusement à la titiller ! Est-ce parce qu'il lui a garanti qu’il ne la sauterait pas, mais la gamine meurt d’envie de le sentir lui ramoner la chatte ! Elle souhaite que ce salop l’encule comme une traînée !
Sa vulve suinte abondamment à l’idée qu’elle ne sentira jamais cette belle bite longue et épaisse en elle. S’ajoutant à cet interdit, la gamine ne peut même pas se soulager en se branlant, toute à quatre pattes à s’agiter devant son bourreau qui se régale du spectacle nocturne :
-C’est ça, petite pute, sale traînée, nettoie bien la grosse bite qui ne se lasse pas de défoncer les trous de ta chienne de mère ! Aspire moi bien la bite à fond …. AAAAAHHHH Oui c’est bon ma salope !
Élodie vient de l’avaler en gorge profonde, luttant contre les odeurs se dégageant des poils pubiens de son vicelard de beau-père, elle est parvenue à relâcher suffisamment sa gorge pour y glisser le gros gland trapu. Elle regrette instantanément son choix, son crâne se retrouve entravé entre l’étau puissant des grosses paluches de Serge.
Il plaque le visage poupon contre le gras de son bas ventre et maintient sa queue au fond de la gorge juvénile, écartelée par le morceau de chair. Au bout de quelques secondes, Élodie, qui n’avait pas anticipé cette gorge profonde forcée, commence à manquer d’air et à se débattre. Serge se retire pour la laisser respirer, un filet de bave épaisse luisant dans la pénombre.
Élodie essaye de reprendre sa respiration lorsque soudain son beau-père tire violemment sur ses nattes, lui arrachant un bruit aigu. Il se penche à son oreille et lui souffle un ordre entre ses dents serrées :
-Tu essayes de me faire gicler dans ta gorge espèce de petite trainée, hein ?
Il tire à nouveau sur les nattes hirsutes :
-Aïe …. SNIF …. Les larmes humidifient ses yeux de poupée ; Non non j’te jure!
-Bien ! Tu vas me sucer comme une bonne salope, mais tu me fais pas jouir ! Tu as intérêt à te retirer à temps, sinon je m’arrange avec ta mère pour durcir ta punition ! Compris ?
-Oui …. J’ai compris …. Slurp
Et la gamine se jette sur la bite, gourmande, en la suçant bruyamment dans la lumière tamisée de sa chambre. Toujours à quatre pattes sur son pieu, elle oscille son corps d’avant en arrière, empalant ses lèvres généreuses sur le morceau de chair tendu et brillant de salive.
Serge se régale devant le spectacle du cul de la gamine qui le pompe avec avidité. Il observe le corps fin de sa belle-fille, son joli cul joufflu et tendu, la forme de cœur parfaite qui oscille sous son regard pervers. Il ne peut se retenir de le claquer bruyamment du plat de la main. Le quadra l’imagine rosir puis rougir sous les fessées répétées, mais il doit s’arrêter. Les gémissements étouffés de la brunette qui le pompe ne trompent pas, cette petite pute aime le traitement et la pipe qu’elle lui administre est sur le point de le forcer à lui inonder la bouche.
La gamine réagit immédiatement lorsqu’elle le sent frétiller et gonfler sur sa langue gourmande. Elle se retire, et l’observe les yeux dans les yeux afin de jauger de ses réactions. De son regard poupon et gourmand, elle le laisse la dévorer des yeux, elle se sent comme une petite fille incapable de dire non à l’adulte qui la domine. Un tantinet intimidée, et morte de peur qu’il lâche la purée, elle titille du bout de la langue la queue tendue devant son visage rond et juvénile. Son souffle chaud tapisse le gland trapu et gonflé, sa langue glisse sous le freins, une goutte de liquide séminal coule lentement sur ses lèvres lorsqu’elle l’embrasse.
Élodie encercle la tige du morceau de chair bandée de ses doigts fins et le regard fixé dans celui de son beau-père, elle fait glisser sa langue rose le long de la hampe pulsant sous le flux de sang. La gamine branle ensuite lentement, si lentement, la tige gluante de bave alors qu’elle embrasse, gobe, et titille les bourses poilues et pleine du nectar qui lui est interdit. Les halètement de son beau-père, l’odeur forte des fluides intimes de sa mère encore mélangés au sperme refroidi, l souvenir encore récent de ses récents ébats brutaux avec le portugais, son corps se gonfle à nouveau de désir pour une bonne bite qui la ramonerait avec force et vigueur.
Le plaisir prend forme au creux de son ventre et se propage lentement jusque dans son vagin béant du désir de se faire emplir. Ses lèvres vaginales commencent à la chatouiller, ses seins douloureux des traitements ingrats de ses amants se couvre de frissons, ses tétons durcissent à mesure que son propre souffle s’alourdit de désir. Pourtant derrière ce besoin oppressant d’une bonne grosse queue qui lui ramonerait ses trous serrés, et le râles rauques de Serge, la jeune fille entend le parquet de son couloir grincer de l’autre côté de sa porte entrouverte. Le mélange de ces sensations est insupportable pour la gamine ; elle doit combler les besoins lubriques de son beau-père tout en se privant de son doux et chaud nectar qu’elle imagine exquis. A la peur de le faire gicler entre ses lèvres ou sur sa peau satinée, s’ajoute la frustration de ne pouvoir combler ses propres pulsions naissantes et gonflantes au fond de son être torturé. Comme si cela ne suffisait pas, Élodie est maintenant persuadée que sa mère est en train d’errer dans l’appartement à la recherche de son mari. “La honte ultime si elle me grille en train de lui pomper la queue !”
-Suce moi et branle moi bien espèce de petite putain ! Lui souffle-t’ il à l’oreille, lui aussi à l’affût des bruits de l’autre côté de la porte.
-Et ne t’arrête pas jusqu’à ce que tu me sentes sur le point d’exploser entre tes lèvres de petite chienne !
*SLURP* *SLURP* *FLOC* FLOC* *FLOC* Élodie se concentre sur l’aspiration goulue du gros gland gonflé de plaisir. Sa fine main blanche comme l'albâtre glisse le long de la queue brillante. Son autre main glisse sous les bourses tendues et pleines de foutre.
-Branle toi et pistonne toi la chatte ! Je veux entendre tes jus inonder ta moule gonflée de désir pour cette grosse bite que tu n’auras jamais pour toi !
Désespérée, et l’oreille tendue vers le couloir, Élodie glisse sa main gauche entre ses cuisses ouvertes et se met à caresser ses lèvres humides entre majeur et annulaire. Elle comprime son clitoris gonflé de sang entre ses doigts et le branle en mouvements puissants et circulaires. Elle joue un peu avec sa proie, plaque le gland dégoulinant de liquide pré-séminal à l’intérieur de sa joue, et branle la queue tendue en l’aspirant à nouveau, au moment où elle plante deux doigts au fond de sa chatte béante. Elle se cambre de plaisir en pistonnant ses chairs enflées, les vas et viens de sa main le long de cette belle bite tendue fait sursauter son énorme 85D sur sa poitrine. La gamine le sent frémir entre ses lèvres charnues juste au moment où un grincement de planches se fait entendre de l’autre côté de la porte.
Elle se recule pour relâcher la pression et le libère de la prison de ses lèvres, mais ne peut s’arrêter de se branler en pinçant la pointe des seins entre ses doigts luisant de bave lubrifiante.
*FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* haaaannnnn *HUMPH* *HUMPH* Élodie essaye d'étouffer ses petits cris de jouissance entre ses dents serrées :
-C’est ça petite salope continue de te branler comme une petite traînée en manque pendant que je m’occupe de ta mère ! Lui soupire-t’il à l’oreille avant de se diriger vers le couloir.
Serge remballe son attirail dans son caleçon tendu ; “Elle a bien failli me faire cracher cette petite pute!” Il sourit encore lorsqu’il ouvre la porte sur la belle Martine encore à moitié endormie dans sa chemise de nuit trop courte, les bruit lointain des chairs humides entretiennent son érection, qu’il essaye de cacher derrière le battant de la porte :
-Qu’est-ce que tu fais dans la chambre d’Elo mon chéri ?
-C’est rien ma belle, elle s’est réveillée lorsque je buvais un coup à la cuisine ! Ta fille se sent mal après ta punition (*fouic* *fouic* *fouic* han …. ouh .… humph …. *fouic* *fouic* *fouic*) elle voudrait se faire pardonner !
-Bon allez vient on en reparle demain, je vais y réfléchir, mais là je suis trop naze, et qui sait …. Lui dit-elle d’un sourire gourmand …. Maintenant qu’on est réveillé …. Et elle glisse sa main sur la poitrine velue de son mari avant de l’embrasser chaleureusement.
Il attrape la main de sa femme avant qu’elle ne découvre la dureté de sa virilité :
-Hum tu sais parler à ton homme petite cochonne ! File je te rejoins (*fouic* *fouic* *fouic* han ….) lui répond-il l’oreille distraite, et il lui claque doucement la fesse alors qu’elle s’en retourne dans leur chambre.
Il rejoint alors Élodie, la petite brune est à genou sur son matelas, les fesses sur les talons, en appui sur la main gauche, les cuisses charnues écartelées et le ventre tendu de désir alors qu’elle s’astique et se pistonne la chatte. Les yeux à moitié fermés et luisant de plaisir encore contenu, la belle brune sent le feu d’artifice gonfler en elle alors qu’elle glisse ses doigts courbés sur son point G, claquant la paume ouverte contre son pubis tendu, au clito exagérément gonflé.
Serge glisse sa main sur le ventre et la poitrine haletante de la petite en chaleur, il soupèse son gros sein et le sert violemment, lui arrachant un nouveau cri de plaisir et de douleur mélangés. Il l’attrape alors violemment par les cheveux, interrompant brusquement son orgasme naissant. Le quadra la projette sur son lit et arrache les taies d’oreiller pour en faire des liens qu’il utilise pour immobiliser la belle en croix sur son lit. Comme si l’interruption du plaisir de sa belle-fille ne suffisait pas, le pervers écarte les cuisses de la jeune fille haletante et encore essoufflée du plaisir qui lui est encore interdit. Il plonge ensuite sur le vagin luisant et prodigue un cuni d’expert à l’adolescente qui se cambre de plaisir sous les coups de langue maîtrisés.
Le vieux pervers sait y faire, il fait renaître le plaisir dont il l’a privée à l’instant, il fourre sa langue entre les muqueuses gonflées de plaisir, et la mène à nouveau aux portes d’un orgasme encore plus puissant. L’enfoiré plante même deux doigts dans sa chatte serrée et un troisième dans sa pastille striée. La double caresse vaginale et anale, le cuni gourmand, les bruits et les odeurs de cyprine mélangés au relents de sperme portent la petite aux frontières d’un orgasme comme elle n’a jamais connu. La chaleur gonflante dans son ventre et se propageant dans sa chatte bouillante de plaisir est sur le point d’exploser au plus profond de son être. Son esprit se détache de son corps, elle perd le contrôle de son esprit conscient et laisse son inconscient prendre possession de son corps au bord de l’explosion. Prise de spasmes incontrôlables, elle mord ses lèvres pour contenir les cris de plaisir qui alerteraient à coup sur sa mère.
Mais son cruel beau-père ne l’entend pas de la même oreille, il accélère le double pistonnage et lui aspire le clito pour amener la gamine vers une explosion de jouissance ultime quand soudain, il se retire et se redresse abandonnant la petite à sa jouissance inassouvie. Élodie n’en peut plus, essoufflée et haletante comme une chienne, elle le supplie du regard ; “Non! Ne me laisse pas comme ça salop !” Mais l’enfoiré se contente de sourire et de l’embrasser sur les lèvres, lui laissant comme seul souvenir le goût métallique de sa mouille. Il se retire ensuite, sans même se retourner, en refermant la porte derrière lui. Élodie est complètement perdue, seule, les mains écartelées, au supplice et au bord de sa jouissance perdue, la chatte dégoulinante de cyprine chaude et gluante. Désespérée et dans l’impossibilité même de se soulager, elle succombe à son sommeil et s’effondre absente et perdue.
Le lendemain matin, la belle brune se réveille, la peau caressée par les raies de lumière chaleureuses qui baignent sa chambre. Ses mains sont libérées de leurs attaches et ses loubou sont bien rangées au pied de son lit. Encore aux prises avec ses multiples jouissances dont tous ces porcs la privent quasi continuellement, et la bouche un peu pâteuse, elle se lève le corps tout courbaturé par les assauts de la veille. Sa chatte et son cul la brûlent, la morsure des fessées et des tétons torturés est encore vive sur sa peau douce de jeune fille. La gamine défait ses nattes et apprécie la douce caresse de sa brosse à cheveux. Elle soulage ensuite ses douleurs avec une crème adoucissante avant de couvrir son corps d’une simple nuisette fantaisie rose aux bretelles fines et couverte d’une Betty Boop toute mignonne. Le vêtement qu’elle s’était offerte il y a deux ans contient tout juste son généreux bonnet D, et couvre à peine son joli cul bien ferme, mais elle veut être sexy pour son beau-père, sans compter le corbeau qui doit encore être en train de l’observer.
Réflexe du matin, elle consulte ses réseaux et tombe sur un snap de son beau Franck. Elle sourit en consultant les photos que le beau gosse lui a envoyé, il prend carrément la pose pour elle, le torse nu aux muscles saillants, le caleçon dévoilant le haut imberbe de son pubis, tout en lui joignant des petits message coquins.
Elle ouvre la porte de sa chambre, la tête encore pleine des images du beau gosse dont elle ferait volontiers son quatre heure, et rejoint Serge dans la cuisine, comme tous les matins. Une douce odeur de pancakes emplit alors ses narines. C’est donc avec un sourire non dissimulé qu’elle rejoint le quadra :
-Ah ben te voilà enfin p’ti cul ! Il l’accueille lui aussi chaleureusement, pas mécontent de la vision sexy que lui retourne sa belle-fille.
-HUM, des pancakes, ça faisait longtemps dis-moi ?
Élodie avait un peu peur de la réaction du quadra après la séance de la veille, mais elle se réjouit de la tournure de la situation, ils se parlent comme tous les matins sans aucune gêne. Serge se retourne vers la gamine, vêtu comme souvent d’un marcel un peu trop court et dévoilant le bas de son ventre bedonnant, et d’un short, plutôt court ce matin. Il rejoint sa belle-fille à la salle à manger alors que cette dernière s’assoit, un peu gênée que sa nuisette ne couvre que très peu son intimité. Lorsque Serge dépose l'assiette de crêpes, la gamine ne peut s’empêcher de lorgner la virilité de son beau-père, qui déforme son short de sa grosse tige de chair tendue. C’est alors qu’il la surprend en soulevant la base du vêtement pour en sortir sa queue à moitié bandée, en ajoutant :
-Aujourd’hui j’ai un nouveau jus à te proposer à la place du sirop d’érable !
Élodie ne peut contenir un léger soupir de désir pour cette belle bite, dont elle avait tout juste deviner les contours dans la pénombre de sa chambre. Ce matin, elle peut enfin l’admirer à la lumière du jour, les grosses veines saillantes, le gros canal proéminent de la base de ses bourses tendues au frein de son gland gonflé. La belle queue oscille de haut en base sous l'afflux de sang que la vue de la belle provoque chez le quadra vicieux. Elle se mord les lèvres en croisant le regard de son beau-père, avant de lui répondre :
-Eh ben mon salop, tu démérites pas !
La gamine ne peut s'empêcher de remarquer les traces sur la peau de la bite aux fortes odeurs qui s’approche de son visage. Elle comprend alors, lorsqu’il ajoute, un sourire lubrique aux lèvres :
-C’est grâce à toi que j’ai pu encore monter ta chienne de mère après notre petite séance. Je me suis retenu pour toi ce matin, alors fait honneur à cette belle queue, tu veux ?
Les odeurs mélangées de l’intimité de sa mère et du sperme qui emplissait encore ses trous lorsqu’il l’a montée il y a tout juste quelques heures, déclenchent une vague d’hormones qui envahit le cerveau embrumé de la gamine qui ouvre instinctivement la bouche pour aspirer le morceau de chair tendu. Elle caresse les bourses gonflées et poilues de la main droite et entoure la base de la bite de sa main libre avant d’aspirer son gland gonflé, son regard poupon ancré dans les yeux bleu acier de Serge.
*MMMMWACK* Elle fait ventouse avec ses lèvres autour du gland et joue à lui titiller le frein du but de la langue. La gamine se régale de jouer avec la virilité fragile du quadra, elle lui lèche la bite à pleine langue et sur toute la longueur pour bien la nettoyer des traces de jus intimes avant de l’engloutir entièrement, luttant contre les nausées provoquées par le passage de sa luette.
*SLURP* *GUAH* *GUAH* *GUAH* La petite dévoile maintenant l’étendue de ses talents de pompeuse de bite pour son paternel, elle l’avale en gorge profonde, frotte le gland à l’intérieure de ses joues en le regardant bien dans les yeux pour lui montrer comment il lui déforme la bouche. Élodie arrose copieusement la belle grosse bite de salive afin que ses doigts glissent tout seul lorsqu’elle le branle sur toute sa longueur alors qu’elle lui tète le gland pour le traire comme une petite chienne.
“Putain, quelle chienne cette salope !” Serge n’en revient pas des talents de suceuse de sa belle-fille, tantôt il l’attrape par le crâne pour lui buriner la gorge à grands coups de queue, claquant son gros bide poilu contre le petit nez retroussé de la belle, tantôt il l laisse le sucer comme une gourmande, dégageant sa grosse poitrine juvénile du balcon de cette petite nuisette si sexy. Il lèche ses gros doigts pour les lubrifier de salive avant de jouer avec les gros tétons tendus de la petite salope, il les branle, les pince, les vrille, provoquant diverses réactions chez la gamine qui s’applique à lui faire la meilleure pipe qu’on lui ait jamais administrer.
Lorsque la pression est trop forte et qu’il est sur le point d’exploser, il se retire de lui-même et lui présente ses grosses bourses pleines de foutre pour qu’elle les lèche et les avale une à une, puis il repart à l’assaut de ces grosses lèvres charnues. Mais il sait aussi que sa femme ne va pas tarder à les rejoindre pour partager le petit déjeuner. A nouveau au bord de l’explosion, il laisse la petite lui prodiguer ses talents.
Élodie sent à nouveau la bite frétiller entre ses lèvres, le gland gonfler sur sa langue gourmande, elle sait qu’il va bientôt exploser. La gamine se concentre alors sur le gland qu’elle aspire au chaud entre ses lèvres alors que sa main lui astique le manche dans un *FOUIC* *FOUIC* humide et gourmand :
-C’est ça p’tte pute, branle moi bien la queue ! Ah oui ! Oooooh Putain je vens, je vais cracher, oh putaaaiiiiiiin !!!!
C’est alors qu’il retire son gland dans un gonflement ultime. Les yeux un peu dans le vague par les asphyxies à répétition des gorges profondes violentes, Élodie l’observe, les seins nus, le cul humide de cyprine détrempant l’assise de sa chaise, il se branle au-dessus de l’assiette de pancakes et explose dans un râle rauque d’animal en rut. Il recouvre les trois pancakes encore fumant d’une dizaine d’éjaculats blanc et visqueux. La petite Elo est comme hypnotisée par la quantité de foutre dont le quadra la gâte ce matin, et lorsqu’il termine de se vider, elle ne peut s'empêcher d’aspirer la bite mollissante pour se délecter des dernières gouttes dont il la gratifie. Elle le débouche dans un *MWACK* gourmand avant de le remercier presque tendrement d’un petit bisou sur le gland :
-Bon appétit ma petite ! Lui sourit-il avant de s’assoir en face d’elle afin de l’observer manger ses bons pancakes au sirop de Serge !
Élodie est tout de même un peu perdue lorsque la tension sexuelle se relâche. Elle est assise dans une flaque de sa propre mouille et se retrouve face à ces crêpes couvertes de nectar gluant, chaud et visqueux. Elle prend fourchette et couteau et commence à manger comme si les galettes étaient recouvertes de sirop d’érable. Elle croise alors le regard gourmand de son beau-père, et son petit esprit vicieux reprend le contrôle. Elle se met alors à jouer avec le quadra en faisant mine de se régaler comme si elle lui offrait le meilleur porno de toute sa vie. La gamine se régale du regard de son paternel lorsqu’elle pique le dernier morceau de pancake qu’elle utilise pour racler les dernière traces de foutre chaud dans son assiette, et le met en bouche comme une petite vicieuse juste au moment où sa mère les rejoint tous les deux pour prendre un petit déjeuner familial.
Élodie a tout juste le temps de ranger ses grosses mamelles dans sa nuisette et de couvrir son intimité avec une serviette lorsque Martine entre pour les rejoindre à table. Elle embrasse Serge sur les lèvres et colle un baiser sur le front d’Élodie avant d’aller se laver les mains dans la cuisine, complètement inconsciente que sa fille vient de pomper la bite de son mari et de s’engouffrer trois pancakes couvert de son sperme gluant.
-Alors mes amours, bien réveillés ? Et toi ma belle, ça va mieux ce matin ? Leur demande-t’elle en les rejoignant à table.
-Oui merci maman, ça va !
Et les trois discutent comme si de rien n’était, oubliant les tensions de la veille, et Élodie enfin rassasiée de bon foutre bien chaud. Martine tente une nouvelle approche avec sa fille :
-Bon ma chérie, Serge a réussi à me convaincre de lever ta punition ….
-Oh merci maman, je t…. Mais sa mère l’interrompt en levant la main, magnanime :
-Maiiiis, à une condition !
-J’me disais bien aussi, lui répond-t’elle l’air renfrogné.
-Ecoute moi au lieu de faire tout de suite la gueule ! Elle est sur le point de s’énerver lorsqu’elle sent la main rassurante de son mari sur la sienne, avant d’ajouter ; Je lève ta punition, mais tu te trouves un job pour les vacances ! Tu as jusqu’à la fin de la semaine !
Élodie n’en revient pas, c’est plutôt un bon compromis ; “Ça aurait pu être pire !” Finit-elle par s’avouer, mais pour ne pas laisser sa mère gagner si facilement, elle ne peut s’empêcher de lâcher :
-Bon ça va, j’ai bien compris que tu me laisserais pas profiter de mes vacances, mais je suis prête à faire un effort, j’te promets.
Le petit déjeuner se termine sans plus de heurts et plutôt dans une ambiance détendue et familiale. Élodie prend bien garde de ne pas se lever tant que sa mère et Serge ne sont pas partis et propose de tout ranger après leur départ. “OUF, putain, enfin seule !” La gamine peut se détendre de la pression familiale, rassasiée de sperme mais toujours en manque d’un bon gros orgasme, elle range la table et nettoie la cuisine.
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
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