Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 2
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 2
Une fois Mr. Grosbout disparu, Élodie se précipite sur le linge encore étendu et s'empresse de le rentrer chez elle.
Quelques instants plus tard, et pas vraiment en avance pour son rendez-vous avec ses "hommes", l'adolescente fulmine fouillant tous les recoins de sa chambre et de la salle de bain :
-mais c'est pas vrai putain ! j'étais persuader de l'avoir filer à maman ! où est-ce que t’es ?
Avec les chaleurs de ces dernières semaines, la petite consommait ses sous-vêtements à la vitesse grand "V" et malgré le retard de lessive elle était persuadée d'avoir laissé son string "Hello Kitty" à sa mère la veille. Mais impossible de mettre la main sur son dernier string propre ! "bon c'est pas grave ! place au plan B" elle ouvre un tiroir et en extrait ce qui ressemble vaguement à une pelote de ficelle. Après avoir démêler le foutoir de coton blanc la jeune fille étale le micro-bikini qu'elle s'était acheté pour bronzer à l'abri des regards.
"HUM ... j'espère que je fais pas une connerie !" se dit-elle pensive la main sous le menton, pourtant elle avait craqué sur le côté sexy du deux pièces composé d'un mini bandeau s'attachant sur l'avant et de son micro-string ficelle tenu sur les hanches par deux nœuds. Perchée sur ses sandales, elle laisse choir la robe légère au sol en écartant simplement les fines bretelles de sa robe, puis elle attache le micro-string haut sur ses hanches. Elle passe ensuite le bandeau autour de sa poitrine et le maintien en place d'un nœud entre ses deux seins.
Avant de passer sa robe et enfin pouvoir partir, elle se regarde dans son miroir de plein pied et ne peut retenir une moue coquine devant son reflet. Perchée maintenant en haut de son 1m57 grâce aux semelles compensées, elle sourit devant le spectacle des deux petits carrés de tissu blanc couvrant tout juste ses aréoles roses toutes gonflées et le tout petit triangle de la même couleur couvrant à peine la fine toison de son pubis.
"putain heureusement que je vais pas à la piscine comme ça, ce serait le viol assuré !" se dit-elle pensive et essayant vainement d'étirer les bouts de tissu. Devant l'heure tardive, elle rajuste sa mini robe de plage, attrape son petit sac à dos "Hello Kitty" et fonce attraper le bus pour retrouver ses potes au squat. À dix minutes en dehors de la ville, elle sourit intérieurement lorsqu'elle aperçoit les bâtiments de la vieille zone artisanale où elle va retrouver sa troupe.
Le "squat" n'est autre qu'un ancien atelier abandonné appartenant à Mr. Sylvain Michel, un des plus gros propriétaires du coin, elle se souvient encore du jour où il leur a proposé de "squatter" le petit atelier s'ils parvenaient à nettoyer complètement les cours intérieures. Le trio d'amis avait alors profité des trois semaines où Élodie avait été punie par son "paternel" pour avoir osé tenir tête à sa mère.
Mais maintenant, grâce au travail des garçons, ils avaient un petit local pour eux, et y avaient aménagé une vieille table de jardin, des chaises disparates et un vieux sommier matelas en guise de "canapé". Quelques minutes plus tard, elle entre dans la cour, l'adolescente a appris à adorer ce lieu éloigné de la ville et à l'abri des regard, et même si la zone reprend un peu d'activité, leur local reste isolé pour leur plus grand bonheur.
Comme elle, les garçons étaient peu habillés ; shorts, claquettes et torses nus, ils n'avaient pas attendu la gamine pour descendre quelques bières et écouter de la musique en fumant leur chicha. La soirée commence bien à l'abri de la cour intérieure, ils grillent quelques saucisses, déconnent sur leur semaine de travail et charrient l'adolescente qui n'a même pas pu se trouver un taf :
-tu tortilles pas assez du cul !
Avait simplement conclu Enzo en la charriant :
- Ta gueule salaud, je n’ai pas un daron qui peut me trouver du taf quand j'veux, moi !
-Eh j'vais t'apprendre à répondre moi, on va voir si tu s'ra aussi bavarde avec cette saucisse en bouche !
Et le gros baraqué démarre les hostilités en déballant son sexe à moitié bandé devant le visage poupon de la petite brune
-HA HA HA HA ...
Élodie éclate de rire devant le comportement de son portugais, assise sur son tabouret, son visage est à peine en dessous de la ceinture d'Enzo :
-et j'imagine que c'est toi qui va me faire taire, c'est ça ?
-eh ben oui ma p'tite salope
-c'est ça Enzo, vas-y fait la taire qu'on ait la paie ! enchéri Quentin avant de tirer une nouvelle bouffée de chicha et de les noyer de fumée
Mathieu, qui apporte une nouvelle une nouvelle tournée de saucisse, en ajoute une couche :
-fais lui bouffer ton p'tit boudin portugais qu'on ait plus de viande pour nous :
-et profite de sa bonne crème, il la garde exprès pour toi depuis le début de la s'maine
Elle éclate de rire:
-HA HA HA HA ... bon ben si tu t'es réservé pour moi, alors je peux pas refuser
Elle avale une rasade de bière, écarte la canette et ouvre la bouche pour aspirer le gland couvert de son prépuce. Elle le suce quelques instants avec ardeur, le branle pour le faire durcir entre ses lèvres
-eh et nous alors ?
Quentin et Mathieu se lève et approchent du couple, le grand rouquin déballe à son tour sa saucisse molle, et tire sur la tignasse brune :
-MWAC ... tirée vers l'arrière, la petite libère le sexe dur de son pote poilu dans un bruit de ventouse.
Elle tourne son attention sur la bite parsemée de taches de rousseur, et la gobe en continuant de masturber le gros brun. Le troisième larron se positionne à sa gauche et présente sa bite déjà bandée pour que sa copine le branle. Élodie suce le beau blond pour humidifier sa tige et repend le rouquin en bouche tout en branlant les deux autres :
-oh putain, toute une semaine qu'on attend que tu t'occupes de nous, tiens prend moi bien à fond !
Le rouquin attrape le visage joufflu et commence à lui baiser la bouche en profondeur :
-ooooh oui c'est ça ma belle, suce-moi bien ...
il engouffre sa queue jusqu'à la garde, titillant sa luette du bout du gland
Élodie s’amuse avec ses trois saucisses, toujours une en bouche elle branle les deux autres avec gourmandise. C’est qu’elle commence à les connaître ses mâles. Dès qu’elle commence à sentir celui en bouche frétiller sur sa langue elle le débouche pour s’amuser avec le suivant. Elle aime ses trois bout de chair qui frétillent sur sa langue, mais elle aime les faire durer, elle n’a pas envie de les faire gicler maintenant, la soirée est encore jeune, et bien qu’elle adore faire gicler ses mâles, elle aime aussi les faire languir, sentir leurs boules gonfler et se remplir entre ses doigts.
Alors qu’elle libère la bite de Mathieu d’entre ses lèvres, elle le regarde dans les yeux tout en branlant ses deux potes ; “Bon c’est pas tout ça les gars, mais j’ai les crocs moi ! J’veux d’la bonne saucisse ! HA HA HA...” elle éclate de rire en libérant ses hommes. Elle plaque les bites une à une contre le ventre de leur propriétaire et lèches tour à tour leurs bourses gonflées.
Les garçons se régalent de ce traitement et la regarde se tourner innocemment vers le plat de saucisses et riant à pleins poumons. Frustrés les garçons se regardent d’un air “tu perds rien pour attendre petite chienne”. Il faut dire que depuis trois ans qu’elle traine avec eux, la gamine leur fait toujours le même coup, malgré leur patience, leurs attentions et l’amitié profonde qu’ils ont pour elle, Élodie a toujours le chic de les couper au pic de la poussée d’hormones qu’elle leur distille à les chauffer, les branler, les sucer....
Ils n’ont jamais pu la peloter, la doigter, lui gicler dans la bouche, elle se contente de les sucer, et les branler jusqu’à zébrer le sol du local de leur foutre chaud et laiteux. Mais cette semaine, au chantier, ils ont décidé de forcer un peu leur destin, et ce soir ils vont préparer la gamine à une petite surprise pas volée. Pour l’heure les trois garçons, frustrés et les couilles tendues, remballent leur attirail et rejoignent la gamine espiègle et la soirée reprend son cour, rires, blagues, chahut.
Ils mangent, boivent, fument la chicha, et vers onze heure du soir, Mathieu propose un “poker gage” Quentin et Enzo affichent un sourire non dissimilé lorsque la jeune fille, un peu éméchée accepte la partie de carte. il faut dire qu'ils l'ont initiés au strip poker in y a un peu plus de deux ans lorsqu'Élodie s'était mise à danser langoureusement sur une table de fortune que les garçons avaient monté avec des palettes.
La gamine les allumait d'un regard félin et le gros vicieux d'Enzo avait alors saisi l'opportunité de dévergonder la petite. Chance du débutant ou veine de cocu Quentin et Mathieu avait terminé la partie en caleçon et Enzo avait dû se foutre à poil sur sa dernière main alors que la petite avait encore ses socquettes et ses sous-vêtements. mais c'est ce jour qu'ils ont compris que l'adolescente avait peu de pudeur, et c'est après quelques parties qu'ils avaient tous les quatre inventé le "poker gage" dans lequel en lieu et place de strip, les garçons et Élodie disposent de deux sacs contenant toutes une série de gages.
Élodie nourrit le sac des garçons de tout ce qui lui passe par la tête sur des petits papiers plié et les garçons font de même. Au début de chaque partie, chaque joueur tire un gage à l'aveugle et celui ou celle qui perd la dernière main doit s'acquitter du gage qu'il ou elle a tiré. Étonnement, mais au plus grand bonheur des mecs, Élodie a toujours jouer le jeu jusqu'au bout et au fur et à mesure des parties, ils ont tous les quatre pris de plus en plus de plaisir à se challenger les uns les autres.
Mais ce soir les garçons, las que la gamine se contente à chaque fois de les allumer sans aller jusqu'au bout, ont préparé le terrain, et profite que l'ado soit un peu guillerette pour se liguer les trois contre elle. Ils lui concèdent les trois premières parties et assument les gages comme courir à poil dans la cour ou embrasser un des autres garçon sur les lèvres. La quatrième partie, Élodie perd la main et doit tomber la robe.
Mathieu et Quentin, tous deux à poil, ne peuvent retenir une nouvelle érection devant le spectacle que leur offre la jeune fille. Si l'été précédent elle affichait encore ses rondeur de fin de préadolescence, ce soir, lorsque la petite robe légère tombe à ses pieds, sa taille fine, son ventre plat, le magnifique 85DD soutenu par les petits carrés de tissu blanc cachant ses tétons gonflés, et les belles hanches encadrent le tout petit triangle de tissu gonflé par le duvet pubien.
Du haut de son mètre cinquante allongé par la paire de plateforme, elle ressemble à une poupée manga ultra bandante aux courbes exagérées. Elle éclate de rire devant les érections simultanées et s'approche des garçons en tortillant du cul :
-ben alors bande de vilains garçons, qu'est-ce que je vois là ?
Espiègle, elle se penche au-dessus de leur virilité et les aspire les uns après les autres. Provocatrice, elle gobe les sexes tendus trois ou quatre fois chacun et termine dans un plop bruyant avant de retourner s'assoir en tortillant du cul. Les mecs admirent les fesses musclées et tendues de part et d'autre de la ficelle du string. Ils se regardent, complices et pour la dernière partie (il reste juste un papier chacun dans les deux sacs à gages), Mathieu et Quentin divertissent la belle pendant qu'Enzo échange le dernier gage de la gamine.
Pendant la partie, Mathieu "reçoit" un message d'un pote qui leur propose une pool partie le lendemain dans le jardin de son oncle et propose au groupe de s'y retrouver. La gamine qui en a marre de ces grosses chaleurs ne se fait pas prier et glousse comme une idiote avec un petit commentaire qu'elle croit anodin :
-par contre, je mettrai pas ça demain j'vous préviens !
Mine de rien les garçons mènent la partie et font perdre l'adolescente pour la forcer à s'acquitter du dernier gage. Ils se régalent de son expression de surprise lorsqu'elle lit le contenu du papier, intentionnellement placer dans la pile en dernier. Elle lit le texte à voix haute :
<sucer les trois garçons et les faire gicler au moins un sur les seins et un dans la bouche>
Le regard surpris, elle les regarde tour à tour, incrédule :
-z'êtes pas chier bande de p'tits cons, va !
Elle éclate de rire, mais elle ne peut cacher le stress dans sa voix. Les garçons la taquinent, essayent de dédramatiser la situation, et c'est Quentin, le beau gosse, qui prend le lead et lui propose avec son sourire charmeur :
-bon on te laisse le choix ; tu as trois minutes pour nous faire gicler et si tu y arrives pas c'est nous qui choisissons ton maillot de bain pour demain !
Élodie est d’abord surprise par la proposition, mais l’alcool anesthésiant son inhibition, elle accepte le challenge :
-allez, à poil les mecs, que je fasse gicler tout ça !
Les garçons se regardent, surpris et heureux que leur petite allumeuse accepte, et Mathieu de renchérir :
-eh ben t’es pas farouche au moins !
Et il éclate de rire, en branlant sa queue pour bien la faire durcir devant le visage poupon de la gamine déjà à genou devant ses hommes. Quentin démarre un timer de 3min alors que le vicelard de portugais dégaine son snap pour filmer la belle, qui fait une grimace lorsqu’elle aperçoit le flash allumé au-dessus de son visage :
-nan, putain enregistre pas !
Mais Mathieu ne lui laisse pas le choix :
-fais pas chier, et pis tes trois minutes s’écoulent, alors pompe nous au lieu de faire ta prude !
“Ah ouais il marque un point-là, allez ma vieille, au boulot !” Et la petite brune, à genou devant les trois bite s’attelle à la tâche. Elle les pompe chacun leur tour, salive abondamment, astique les manches avec ardeur, ils ne la reconnaissent pas, elle ne les a jamais sucer avec autant d’ardeur, elle aspire goulument chacune des tiges de chair, fini la petite brune timide qui suce pour chauffer les mecs, compétitrice elle veut leur prouver qu’elle est aussi une bonne suceuse.
Surtout qu’ils le méritent, ses trois chevaliers servants, Mathieu le gentil garçon au cœur généreux, Quentin le beau gosse au sourire charmeur et aux tatouages bad boy, et Enzo le protecteur sanguin !
Mais le temps s’écoule vite, et malgré l’application qu’elle met à la tâche, rien n’y fait, ils ne giclent toujours pas ! Elle leur aspire le gland, caresse leurs couilles encore plus gonflées qu’auparavant, les lèche, les fait se rétracter sous ses coups de langue. Elle les suce en salivant abondamment pour pouvoir les branler avec dextérité.
C’est Mathieu qui craque le premier et qui éclate en lui giclant son foutre chaud et gluant sur le visage, pile poil au moment où la gamine le retirait pour s’occuper de Quentin. Il décharge cinq grosses giclées brûlantes sur les joues charnues de l’adolescente, sur son petit nez retroussé, sur ses lèvres charnues encore ouvertes. Le cerveau baigné d’hormones, la gamine tire la langue par réflexe et pour la première fois, elle le laisse se terminer dans sa bouche.
Elle sent le sperme s’écouler sur sa langue et glisser vers sa gorge grande ouverte. Le foutre gluant s’écoule sur la peau douce de son visage enfantin, elle se sent pour la première fois de sa vie comme la chaudasse qu’ils souhaitent faire d’elle, et alors qu’elle va s’attaquer à la queue suivante pour renouveler son exploit, le timer se met à biper et les trois garçons se retirent de concert en la charriant comme une vulgaire salope de banlieue qui vient de se faire sauter en tournante :
-roooooh eh ben ma vieille, même pas capable de faire gicler trois lascars en rut ?
Un peu honteuse mais encore noyée dans son plaisir honteux de sentir le foutre chaud couler sur son visage elle tente de faire bonne figure :
-mais trois minutes c’est impossible !
Mais il en faut plus pour amadouer ses mâles, et Enzo enchérit :
-on ta pas forcer non plus ma vieille, t’as perdu, maintenant t’assume
Renfrognée, Élodie se redresse, faisant mine d’être en colère :
-et putain, arrête de filmer toi aussi !
Mathieu prend sa défense et tend la main vers le portugais :
-bon allez Enzo, c’est bon fais la pas chier, elle a joué le jeu !
Mais le brun trapu reste sur sa faim, il lui aurait bien aussi gicler au visage, ou mieux dans la bouche, et dans un dernier défi il lance :
-bon ça va j’arrête, mais j’vous préviens, c’est moi qui choisis son maillot de bain, et elle doit venir avec sa petite robe jaune sans rien en dessous!
Élodie tente de désamorcer la situation, elle essuie le sperme et de son visage d’ange, amadoue le brun colérique de son plus beau sourire :
-ok, je te promets de ne rien porter sous ma robe et je te laisse choisir mon maillot pour demain, c’est bon comme ça ?
Elle l’attire à elle et lui pose un bisou sur les lèvres, il sourit et range son smartphone, non sans rajouter :
-et pas de sous-vêtements de rechange ou de serviette de bain, on s’occupe de tout !
Les choses se tassent rapidement, et quelques bières plus tard, Quentin ramène tout le monde en voiture, il dépose Élodie en premier devant le magasin de son beau-père puis démarre en trombe. Elle les entend encore gueuler de joie alors qu’ils s’éloignent dans un bruit de pneus crissant sur le bitume encore chaud. Elle sourit intérieurement et rentre chez elle ravie. Elle les adore tellement ses petits cons à elle ! Il lui tarde de les revoir même si la pensée que Enzo va lui choisir son maillot de bain la stresse un peu.
Malgré le nettoyage rapide de son visage poupon avant de repartir de leur repère, Élodie sent le sperme séché tirer sur sa peau, et l'odeur est omniprésente à ses narines. Ça ne la dérange pas outre mesure, elle aime cette odeur chaude et épicée "HUM.... Et le goût, c'est pas si mal non plus!" se dit-elle en arrivant sur le palier de l'appartement.
"Heureusement qu'il y a personne à cette heure ! La honte sinon !" La gamine est perdue dans ses réflexions spermicides lorsqu'un détail attire son attention, "Qu'est-ce que ? ...."
Dans la pénombre projetée par la lumière des interrupteurs, elle remarque un truc blanchâtre pendre sur la poignée de sa porte. Lorsqu'elle identifie son string hello kitty, elle n'en revient pas. Par réflexe, elle finit par allumer la lumière de la cage d'escalier, et attrape au plus vite le morceau de tissu.
-Mais qu'est-ce que ? .... UURRGH ....
Le triangle de tissu à l'effigie de la petite chatte est couvert d'une matière toute poisseuse, gluante et froide. Une grimace, elle renifle vite fait et a un mouvement d'hésitation....
-Mais c'est du ....
-Bonsoir jeune fille ....
Quelques instants plus tard, et pas vraiment en avance pour son rendez-vous avec ses "hommes", l'adolescente fulmine fouillant tous les recoins de sa chambre et de la salle de bain :
-mais c'est pas vrai putain ! j'étais persuader de l'avoir filer à maman ! où est-ce que t’es ?
Avec les chaleurs de ces dernières semaines, la petite consommait ses sous-vêtements à la vitesse grand "V" et malgré le retard de lessive elle était persuadée d'avoir laissé son string "Hello Kitty" à sa mère la veille. Mais impossible de mettre la main sur son dernier string propre ! "bon c'est pas grave ! place au plan B" elle ouvre un tiroir et en extrait ce qui ressemble vaguement à une pelote de ficelle. Après avoir démêler le foutoir de coton blanc la jeune fille étale le micro-bikini qu'elle s'était acheté pour bronzer à l'abri des regards.
"HUM ... j'espère que je fais pas une connerie !" se dit-elle pensive la main sous le menton, pourtant elle avait craqué sur le côté sexy du deux pièces composé d'un mini bandeau s'attachant sur l'avant et de son micro-string ficelle tenu sur les hanches par deux nœuds. Perchée sur ses sandales, elle laisse choir la robe légère au sol en écartant simplement les fines bretelles de sa robe, puis elle attache le micro-string haut sur ses hanches. Elle passe ensuite le bandeau autour de sa poitrine et le maintien en place d'un nœud entre ses deux seins.
Avant de passer sa robe et enfin pouvoir partir, elle se regarde dans son miroir de plein pied et ne peut retenir une moue coquine devant son reflet. Perchée maintenant en haut de son 1m57 grâce aux semelles compensées, elle sourit devant le spectacle des deux petits carrés de tissu blanc couvrant tout juste ses aréoles roses toutes gonflées et le tout petit triangle de la même couleur couvrant à peine la fine toison de son pubis.
"putain heureusement que je vais pas à la piscine comme ça, ce serait le viol assuré !" se dit-elle pensive et essayant vainement d'étirer les bouts de tissu. Devant l'heure tardive, elle rajuste sa mini robe de plage, attrape son petit sac à dos "Hello Kitty" et fonce attraper le bus pour retrouver ses potes au squat. À dix minutes en dehors de la ville, elle sourit intérieurement lorsqu'elle aperçoit les bâtiments de la vieille zone artisanale où elle va retrouver sa troupe.
Le "squat" n'est autre qu'un ancien atelier abandonné appartenant à Mr. Sylvain Michel, un des plus gros propriétaires du coin, elle se souvient encore du jour où il leur a proposé de "squatter" le petit atelier s'ils parvenaient à nettoyer complètement les cours intérieures. Le trio d'amis avait alors profité des trois semaines où Élodie avait été punie par son "paternel" pour avoir osé tenir tête à sa mère.
Mais maintenant, grâce au travail des garçons, ils avaient un petit local pour eux, et y avaient aménagé une vieille table de jardin, des chaises disparates et un vieux sommier matelas en guise de "canapé". Quelques minutes plus tard, elle entre dans la cour, l'adolescente a appris à adorer ce lieu éloigné de la ville et à l'abri des regard, et même si la zone reprend un peu d'activité, leur local reste isolé pour leur plus grand bonheur.
Comme elle, les garçons étaient peu habillés ; shorts, claquettes et torses nus, ils n'avaient pas attendu la gamine pour descendre quelques bières et écouter de la musique en fumant leur chicha. La soirée commence bien à l'abri de la cour intérieure, ils grillent quelques saucisses, déconnent sur leur semaine de travail et charrient l'adolescente qui n'a même pas pu se trouver un taf :
-tu tortilles pas assez du cul !
Avait simplement conclu Enzo en la charriant :
- Ta gueule salaud, je n’ai pas un daron qui peut me trouver du taf quand j'veux, moi !
-Eh j'vais t'apprendre à répondre moi, on va voir si tu s'ra aussi bavarde avec cette saucisse en bouche !
Et le gros baraqué démarre les hostilités en déballant son sexe à moitié bandé devant le visage poupon de la petite brune
-HA HA HA HA ...
Élodie éclate de rire devant le comportement de son portugais, assise sur son tabouret, son visage est à peine en dessous de la ceinture d'Enzo :
-et j'imagine que c'est toi qui va me faire taire, c'est ça ?
-eh ben oui ma p'tite salope
-c'est ça Enzo, vas-y fait la taire qu'on ait la paie ! enchéri Quentin avant de tirer une nouvelle bouffée de chicha et de les noyer de fumée
Mathieu, qui apporte une nouvelle une nouvelle tournée de saucisse, en ajoute une couche :
-fais lui bouffer ton p'tit boudin portugais qu'on ait plus de viande pour nous :
-et profite de sa bonne crème, il la garde exprès pour toi depuis le début de la s'maine
Elle éclate de rire:
-HA HA HA HA ... bon ben si tu t'es réservé pour moi, alors je peux pas refuser
Elle avale une rasade de bière, écarte la canette et ouvre la bouche pour aspirer le gland couvert de son prépuce. Elle le suce quelques instants avec ardeur, le branle pour le faire durcir entre ses lèvres
-eh et nous alors ?
Quentin et Mathieu se lève et approchent du couple, le grand rouquin déballe à son tour sa saucisse molle, et tire sur la tignasse brune :
-MWAC ... tirée vers l'arrière, la petite libère le sexe dur de son pote poilu dans un bruit de ventouse.
Elle tourne son attention sur la bite parsemée de taches de rousseur, et la gobe en continuant de masturber le gros brun. Le troisième larron se positionne à sa gauche et présente sa bite déjà bandée pour que sa copine le branle. Élodie suce le beau blond pour humidifier sa tige et repend le rouquin en bouche tout en branlant les deux autres :
-oh putain, toute une semaine qu'on attend que tu t'occupes de nous, tiens prend moi bien à fond !
Le rouquin attrape le visage joufflu et commence à lui baiser la bouche en profondeur :
-ooooh oui c'est ça ma belle, suce-moi bien ...
il engouffre sa queue jusqu'à la garde, titillant sa luette du bout du gland
Élodie s’amuse avec ses trois saucisses, toujours une en bouche elle branle les deux autres avec gourmandise. C’est qu’elle commence à les connaître ses mâles. Dès qu’elle commence à sentir celui en bouche frétiller sur sa langue elle le débouche pour s’amuser avec le suivant. Elle aime ses trois bout de chair qui frétillent sur sa langue, mais elle aime les faire durer, elle n’a pas envie de les faire gicler maintenant, la soirée est encore jeune, et bien qu’elle adore faire gicler ses mâles, elle aime aussi les faire languir, sentir leurs boules gonfler et se remplir entre ses doigts.
Alors qu’elle libère la bite de Mathieu d’entre ses lèvres, elle le regarde dans les yeux tout en branlant ses deux potes ; “Bon c’est pas tout ça les gars, mais j’ai les crocs moi ! J’veux d’la bonne saucisse ! HA HA HA...” elle éclate de rire en libérant ses hommes. Elle plaque les bites une à une contre le ventre de leur propriétaire et lèches tour à tour leurs bourses gonflées.
Les garçons se régalent de ce traitement et la regarde se tourner innocemment vers le plat de saucisses et riant à pleins poumons. Frustrés les garçons se regardent d’un air “tu perds rien pour attendre petite chienne”. Il faut dire que depuis trois ans qu’elle traine avec eux, la gamine leur fait toujours le même coup, malgré leur patience, leurs attentions et l’amitié profonde qu’ils ont pour elle, Élodie a toujours le chic de les couper au pic de la poussée d’hormones qu’elle leur distille à les chauffer, les branler, les sucer....
Ils n’ont jamais pu la peloter, la doigter, lui gicler dans la bouche, elle se contente de les sucer, et les branler jusqu’à zébrer le sol du local de leur foutre chaud et laiteux. Mais cette semaine, au chantier, ils ont décidé de forcer un peu leur destin, et ce soir ils vont préparer la gamine à une petite surprise pas volée. Pour l’heure les trois garçons, frustrés et les couilles tendues, remballent leur attirail et rejoignent la gamine espiègle et la soirée reprend son cour, rires, blagues, chahut.
Ils mangent, boivent, fument la chicha, et vers onze heure du soir, Mathieu propose un “poker gage” Quentin et Enzo affichent un sourire non dissimilé lorsque la jeune fille, un peu éméchée accepte la partie de carte. il faut dire qu'ils l'ont initiés au strip poker in y a un peu plus de deux ans lorsqu'Élodie s'était mise à danser langoureusement sur une table de fortune que les garçons avaient monté avec des palettes.
La gamine les allumait d'un regard félin et le gros vicieux d'Enzo avait alors saisi l'opportunité de dévergonder la petite. Chance du débutant ou veine de cocu Quentin et Mathieu avait terminé la partie en caleçon et Enzo avait dû se foutre à poil sur sa dernière main alors que la petite avait encore ses socquettes et ses sous-vêtements. mais c'est ce jour qu'ils ont compris que l'adolescente avait peu de pudeur, et c'est après quelques parties qu'ils avaient tous les quatre inventé le "poker gage" dans lequel en lieu et place de strip, les garçons et Élodie disposent de deux sacs contenant toutes une série de gages.
Élodie nourrit le sac des garçons de tout ce qui lui passe par la tête sur des petits papiers plié et les garçons font de même. Au début de chaque partie, chaque joueur tire un gage à l'aveugle et celui ou celle qui perd la dernière main doit s'acquitter du gage qu'il ou elle a tiré. Étonnement, mais au plus grand bonheur des mecs, Élodie a toujours jouer le jeu jusqu'au bout et au fur et à mesure des parties, ils ont tous les quatre pris de plus en plus de plaisir à se challenger les uns les autres.
Mais ce soir les garçons, las que la gamine se contente à chaque fois de les allumer sans aller jusqu'au bout, ont préparé le terrain, et profite que l'ado soit un peu guillerette pour se liguer les trois contre elle. Ils lui concèdent les trois premières parties et assument les gages comme courir à poil dans la cour ou embrasser un des autres garçon sur les lèvres. La quatrième partie, Élodie perd la main et doit tomber la robe.
Mathieu et Quentin, tous deux à poil, ne peuvent retenir une nouvelle érection devant le spectacle que leur offre la jeune fille. Si l'été précédent elle affichait encore ses rondeur de fin de préadolescence, ce soir, lorsque la petite robe légère tombe à ses pieds, sa taille fine, son ventre plat, le magnifique 85DD soutenu par les petits carrés de tissu blanc cachant ses tétons gonflés, et les belles hanches encadrent le tout petit triangle de tissu gonflé par le duvet pubien.
Du haut de son mètre cinquante allongé par la paire de plateforme, elle ressemble à une poupée manga ultra bandante aux courbes exagérées. Elle éclate de rire devant les érections simultanées et s'approche des garçons en tortillant du cul :
-ben alors bande de vilains garçons, qu'est-ce que je vois là ?
Espiègle, elle se penche au-dessus de leur virilité et les aspire les uns après les autres. Provocatrice, elle gobe les sexes tendus trois ou quatre fois chacun et termine dans un plop bruyant avant de retourner s'assoir en tortillant du cul. Les mecs admirent les fesses musclées et tendues de part et d'autre de la ficelle du string. Ils se regardent, complices et pour la dernière partie (il reste juste un papier chacun dans les deux sacs à gages), Mathieu et Quentin divertissent la belle pendant qu'Enzo échange le dernier gage de la gamine.
Pendant la partie, Mathieu "reçoit" un message d'un pote qui leur propose une pool partie le lendemain dans le jardin de son oncle et propose au groupe de s'y retrouver. La gamine qui en a marre de ces grosses chaleurs ne se fait pas prier et glousse comme une idiote avec un petit commentaire qu'elle croit anodin :
-par contre, je mettrai pas ça demain j'vous préviens !
Mine de rien les garçons mènent la partie et font perdre l'adolescente pour la forcer à s'acquitter du dernier gage. Ils se régalent de son expression de surprise lorsqu'elle lit le contenu du papier, intentionnellement placer dans la pile en dernier. Elle lit le texte à voix haute :
<sucer les trois garçons et les faire gicler au moins un sur les seins et un dans la bouche>
Le regard surpris, elle les regarde tour à tour, incrédule :
-z'êtes pas chier bande de p'tits cons, va !
Elle éclate de rire, mais elle ne peut cacher le stress dans sa voix. Les garçons la taquinent, essayent de dédramatiser la situation, et c'est Quentin, le beau gosse, qui prend le lead et lui propose avec son sourire charmeur :
-bon on te laisse le choix ; tu as trois minutes pour nous faire gicler et si tu y arrives pas c'est nous qui choisissons ton maillot de bain pour demain !
Élodie est d’abord surprise par la proposition, mais l’alcool anesthésiant son inhibition, elle accepte le challenge :
-allez, à poil les mecs, que je fasse gicler tout ça !
Les garçons se regardent, surpris et heureux que leur petite allumeuse accepte, et Mathieu de renchérir :
-eh ben t’es pas farouche au moins !
Et il éclate de rire, en branlant sa queue pour bien la faire durcir devant le visage poupon de la gamine déjà à genou devant ses hommes. Quentin démarre un timer de 3min alors que le vicelard de portugais dégaine son snap pour filmer la belle, qui fait une grimace lorsqu’elle aperçoit le flash allumé au-dessus de son visage :
-nan, putain enregistre pas !
Mais Mathieu ne lui laisse pas le choix :
-fais pas chier, et pis tes trois minutes s’écoulent, alors pompe nous au lieu de faire ta prude !
“Ah ouais il marque un point-là, allez ma vieille, au boulot !” Et la petite brune, à genou devant les trois bite s’attelle à la tâche. Elle les pompe chacun leur tour, salive abondamment, astique les manches avec ardeur, ils ne la reconnaissent pas, elle ne les a jamais sucer avec autant d’ardeur, elle aspire goulument chacune des tiges de chair, fini la petite brune timide qui suce pour chauffer les mecs, compétitrice elle veut leur prouver qu’elle est aussi une bonne suceuse.
Surtout qu’ils le méritent, ses trois chevaliers servants, Mathieu le gentil garçon au cœur généreux, Quentin le beau gosse au sourire charmeur et aux tatouages bad boy, et Enzo le protecteur sanguin !
Mais le temps s’écoule vite, et malgré l’application qu’elle met à la tâche, rien n’y fait, ils ne giclent toujours pas ! Elle leur aspire le gland, caresse leurs couilles encore plus gonflées qu’auparavant, les lèche, les fait se rétracter sous ses coups de langue. Elle les suce en salivant abondamment pour pouvoir les branler avec dextérité.
C’est Mathieu qui craque le premier et qui éclate en lui giclant son foutre chaud et gluant sur le visage, pile poil au moment où la gamine le retirait pour s’occuper de Quentin. Il décharge cinq grosses giclées brûlantes sur les joues charnues de l’adolescente, sur son petit nez retroussé, sur ses lèvres charnues encore ouvertes. Le cerveau baigné d’hormones, la gamine tire la langue par réflexe et pour la première fois, elle le laisse se terminer dans sa bouche.
Elle sent le sperme s’écouler sur sa langue et glisser vers sa gorge grande ouverte. Le foutre gluant s’écoule sur la peau douce de son visage enfantin, elle se sent pour la première fois de sa vie comme la chaudasse qu’ils souhaitent faire d’elle, et alors qu’elle va s’attaquer à la queue suivante pour renouveler son exploit, le timer se met à biper et les trois garçons se retirent de concert en la charriant comme une vulgaire salope de banlieue qui vient de se faire sauter en tournante :
-roooooh eh ben ma vieille, même pas capable de faire gicler trois lascars en rut ?
Un peu honteuse mais encore noyée dans son plaisir honteux de sentir le foutre chaud couler sur son visage elle tente de faire bonne figure :
-mais trois minutes c’est impossible !
Mais il en faut plus pour amadouer ses mâles, et Enzo enchérit :
-on ta pas forcer non plus ma vieille, t’as perdu, maintenant t’assume
Renfrognée, Élodie se redresse, faisant mine d’être en colère :
-et putain, arrête de filmer toi aussi !
Mathieu prend sa défense et tend la main vers le portugais :
-bon allez Enzo, c’est bon fais la pas chier, elle a joué le jeu !
Mais le brun trapu reste sur sa faim, il lui aurait bien aussi gicler au visage, ou mieux dans la bouche, et dans un dernier défi il lance :
-bon ça va j’arrête, mais j’vous préviens, c’est moi qui choisis son maillot de bain, et elle doit venir avec sa petite robe jaune sans rien en dessous!
Élodie tente de désamorcer la situation, elle essuie le sperme et de son visage d’ange, amadoue le brun colérique de son plus beau sourire :
-ok, je te promets de ne rien porter sous ma robe et je te laisse choisir mon maillot pour demain, c’est bon comme ça ?
Elle l’attire à elle et lui pose un bisou sur les lèvres, il sourit et range son smartphone, non sans rajouter :
-et pas de sous-vêtements de rechange ou de serviette de bain, on s’occupe de tout !
Les choses se tassent rapidement, et quelques bières plus tard, Quentin ramène tout le monde en voiture, il dépose Élodie en premier devant le magasin de son beau-père puis démarre en trombe. Elle les entend encore gueuler de joie alors qu’ils s’éloignent dans un bruit de pneus crissant sur le bitume encore chaud. Elle sourit intérieurement et rentre chez elle ravie. Elle les adore tellement ses petits cons à elle ! Il lui tarde de les revoir même si la pensée que Enzo va lui choisir son maillot de bain la stresse un peu.
Malgré le nettoyage rapide de son visage poupon avant de repartir de leur repère, Élodie sent le sperme séché tirer sur sa peau, et l'odeur est omniprésente à ses narines. Ça ne la dérange pas outre mesure, elle aime cette odeur chaude et épicée "HUM.... Et le goût, c'est pas si mal non plus!" se dit-elle en arrivant sur le palier de l'appartement.
"Heureusement qu'il y a personne à cette heure ! La honte sinon !" La gamine est perdue dans ses réflexions spermicides lorsqu'un détail attire son attention, "Qu'est-ce que ? ...."
Dans la pénombre projetée par la lumière des interrupteurs, elle remarque un truc blanchâtre pendre sur la poignée de sa porte. Lorsqu'elle identifie son string hello kitty, elle n'en revient pas. Par réflexe, elle finit par allumer la lumière de la cage d'escalier, et attrape au plus vite le morceau de tissu.
-Mais qu'est-ce que ? .... UURRGH ....
Le triangle de tissu à l'effigie de la petite chatte est couvert d'une matière toute poisseuse, gluante et froide. Une grimace, elle renifle vite fait et a un mouvement d'hésitation....
-Mais c'est du ....
-Bonsoir jeune fille ....
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