Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 21

- Par l'auteur HDS Shazam4577 -
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 21 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2020 dans la catégorie Plus on est
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 21
-HAN HAN HAN HAN ….

*FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* ….

Élodie émerge lentement, recroquevillée sur le cuir froid d’un canapé. Son cerveau est encore embrumé des nombreuses jouissances qui l’ont exténuée. Petit à petit, l’adolescente prend conscience de son environnement, ce sont d’abord les courbatures et les élongations de ses articulations qui la “réconcilient” avec son corps meurtri.
Ensuite, viennent les relents et l’arrière goût de foutre sur sa langue pâteuse. La lumière blanche cingle ensuite sa vue avant que son odorat ne capte les fortes odeur de sexe sale qui flotte dans l’atmosphère clos de la pièce dans laquelle elle se réveille, perdue et désorientée. Viennent enfin les bruits de baise qui finissent de la réveiller.

Une fille est apparemment en train de se faire démonter non loin de l’adolescente, qui n’ose pas bouger. Elle ne sait toujours pas où elle se réveille, ce qui ne la rassure pas sur la précarité de sa situation, seule, perdue au milieu de cette cité. Son corps frissonne instinctivement, elle est complètement à poil, la peau exposée, et en contact direct avec le cuir froid et craquelé d’un vieux canapé. Quelqu’un bouge à ses côtés, les bruits ambiants se dévoilent les uns après les autres dans un capharnaüm inaudible :
-Mais vas-y putain couvre mes arrières connard!
-HUN HUN HUN …. Bouffe ma bite salope!
-Alors la “cum addict”, tu les aimes nos bites dans ton cul?
*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC*-Vas-y mec, tire dans l’tas, j’y suis presque ….
-Putain, mais arrête de te faire sucer, on s’fait décimer là! ….

Petit à petit, Élodie discerne la scène sonore, sans oser ouvrir les yeux. Quelques gamins sont en train de jouer à leur jeu en ligne, et quelqu’un est définitivement en train de baiser juste à côté d’elle. L’adolescente entrouvre timidement les yeux et dans sa position foetale parvient à discerner les formes mouvantes de deux jeunes blacks en train de farcir la belle asiatique au gros seins qui l’a tant fait jouir en la fistant quelques heures plus tôt.

Julie est à genou sur l’assise du canapé, la tête et les seins maltraités par un jeune black filiforme par dessus le dossier, pendant qu’un deuxième lascar lui laboure le derrière en lui claquant le cul violemment.

Alors qu’Élodie arrive à discerner les trois jeunes en train de s’exciter sur leur manette, elle distingue vaguement Iza se faire ramoner la chatte, allongée sur la méridienne qui étend le grand canapé au côtés des joueurs. Elle a les cuisses écartées par “Romu?” qui active violemment sa grosse carcasse au-dessus du corps écartelé de la jeune parisienne la tête dans le vide en train de pomper un des joueurs, qui a bien du mal à se concentrer sur la partie.

Les membres ankylosés de l’adolescente la contraignent à s’étirer. Elle n’en peut plus et va devoir dévoiler au groupe qui joue et baise sans vergogne juste à côté d’elle, qu’elle est réveillée. Lorsqu’à bout de sa résistance, Élodie étire ses membres endoloris, elle est un peu surprise de ne pas créer plus d’émoi autour d’elle. Un mouvement dans son dos attire son attention, c’est Moussa, nu, sa grosse et longue queue pendante nonchalamment entre ses cuisses musclées:
-Ca y est t’es réveillée p’ti cul?

Élodie reste un peu sur la réserve, et se recroqueville sur le dossier en cuir:
-Ca fait combien de temps que je suis là? S’enquiert la jeune fille qui couvre son corps nu derrière ses cuisses recroquevillées.

-T’inquiètes! Tu as été une belle salope et tu as tenu la distance, mais comme tu vois, tu n’es pas encore à la hauteur de ces deux salopes de Julie et d’Iza! Déclare Moussa en pointant du doigt les deux salopes en train de se faire défoncer.

Il tend une main à l’adolescente avant de rajouter:
-Comme promis, on t’a baisé pendant deux bonnes heures et personne ne t’a touché lorsque tu t’as tourné de l’œil.

Élodie se lève, un peu gênée d’être entièrement nue dans le salon où Iza et Julie continuent de subir les assauts du groupe de jeunes blacks. Elle planque timidement l’intimité de ses gros nichons derrière son bras droit et plaque sa main gauche sur son pubis imberbe, malgré la débauche de ces dernières heures.

Il ouvre alors la main, et tend quinze préservatifs plus ou moins emplis de foutre gluant:
-Voilà ce que tu es venu chercher, ma belle! Comme on en avait de trop, et que t’avais pas assez de plastique, on t’a fait un p’ti extra!

Il lui tend un mug thermos dont il ouvre le couvercle sur 6 gros glaçons blanchâtres pas tout à fait congelés en leur centre. Moussa le referme et le range avec les capotes dans la pochette de la gamine. Il arque un sourcil avant d’en ressortir la carte d’identité d’Élodie:
-Avril 2003? T’as du potentiel ma p’tite salope! Comme tu vois …. Il dirige son regard vers Iza qui se fait maintenant prendre en levrette, ses gros seins balancés d’avant en arrière sous sa poitrine, une bite dans la bouche et branlant les deux autres gamers ….
Je recrute des escort’ si t’es intéressée, v’là mon 06.

Il range la carte et sort le mobile de la gamine pour y enregistrer son numéro. Élodie récupère ses affaires et vérifie son portable; “Grosse bite du 93?”, elle lui sourit, complice:
-Ouais genre super discret quoi! Elle ramasse sa veste, ses cuissardes et les lambeaux de nylons et de dentelles qui étaient son body et ses bas: Et j’fais comment pour rentrer moi?

-Fallait pas nous chauffer, salope! Lui répond Moussa d’un air moqueur. Le deal c’était ta liberté pour deux heures de baise! T’as pas inclus le retour, faut t’en prendre qu’à toi! Maintenant dégage!

VLAM! L’adolescente se fait éjecter dans le couloir encore à poil, elle passe au plus vite le trench coat sur son corps encore meurtri des assauts qu’il a subi il y a tout juste quelques heures. Elle zippe ensuite ses cuissarde et balance les restes déchirés de son body et de ses dim’ up dans le monceau de détritus qui occupe l’appartement délabré en face du squat de Moussa.

Elle entend des bruits hanter les couloirs quasiment désert si tard dans la nuit. Elle marche le plus silencieusement possible afin de ne pas attirer l’attention des “locataires” en train de baiser dans les appartements à proximité. Elle assiste bien malgré elle à tout un tas de sévices auxquelles les filles de la cité sont soumises, tournantes dans les logements insalubres, zoo dans les enclos de fortune des pitbulls sous les yeux révulsés des tortionnaires souvent mineurs, camgirls dans des appartements segmentés en chambres de séduction, prostitution sous les porches du bâtiment.

Élodie est loin d’être rassurée lorsqu’elle doit traverser les cours qui la ramènent à la rue principale, et avec la pluie qui continue de tomber, son trench commence à plaquer sur ses formes voluptueuses. Le tissu commence à exposer sa nudité par transparence lorsqu’elle consulte son application Uber en priant d’y trouver un chauffeur si tard dans la nuit. “Bingo!” Il y a un a VTC pas très loin mais apparemment, elle va devoir partager la course.

“Oh merde! C’est le même chauffeur qui l’a conduite ici il y a quatre heures.
Malheureusement, c’est le seul chauffeur de disponible, et étant donné le voisinage dans lequel elle promène son petit cul meurtri, elle n’a pas énormément d’options.



Soit elle prend le risque d’un viol en réunion dans la rue ou dans le RER, soit elle fait appel au gros porc qui a empli sa première capote de la soirée, en lui pilonnant le cul avec son propre gode. Devant une décision plutôt simple à prendre, l’adolescente accepte la course du gros moustachu qui devrait être devant la cité d’ici moins d’une minute lorsqu’elle réalise: “Putain mes godes!”
Elle vérifie sa pochette, et à part ses papiers, les 16 préservatifs noués en tas et la thermos pleine de gros glaçons de foutre, elle ne trouve plus ses godes que les salops ont dû lui chourrer. Elle n’a ni le temps, ne le courage d’aller affronter le groupe de pervers du squat qu’elle vient de quitter. De peur de devoir repasser à la casserole elle se résigne à attendre le gros moustachu pervers, qu’elle a bizarrement hâte de voir arriver, non seulement pour décamper de ce lieu dépravé, glauque et dangereux, mais aussi quelque peu excitée de retrouver la grosse bite qu’elle a sucer en arrivant à Stains.

Transie de froid, et la peau parcourue d’une chaire de poule malsaine, elle voit enfin arriver les feux de la grosse berline. Elle croise les bras sur sa poitrine, le petit sac à main plein de ses trésors plaqué contre ses seins apparent presque en quasi transparence à travers le tissu détrempé de son trench. Ses cheveux trempés tombent sur les fines épaules recroquevillées, son maquillage délavé coule le long de ses joues gonflées d’adolescente, lorsque le gros moustachu se gare devant elle en baissant la vitre passager:
-Hey mais c’est ma petite suceuse de tout à l’heure! Monte devant, c’est plein derrière!

“Merci pour l’affiche, gros connard!” La jeune fille force un sourire faux à l’attention du chauffeur qui daigne enfin déverrouiller la portière:
-Bien sûr pas de problèmes!

-J’ai récupérer ces trois lascars en boîte, et toi ma p’tite, tu viens de où?

“Mais qu’est-ce qui m’fait chier ce con?” La gamine formule une réponse vague:
-J’étais chez des amis!

-HA HA HA HA Ouais j’imagine qu’ils étaient content de te voir! Hein les gars? Zêtes d’accord? C’est le genre “d’amie” qu’on aime bien voir débarquer!

-Carrément mec!
-Ouais j’me farcirais volontiers une “amie” comme toi ma belle!

“Putain les graveleux! Pourvu qu’il me ramène vite!” Se dit la gamine qui commencerait presque à regretter sa décision. Soudain, le gros moustachu se saisit de la pochette trempée sur les genoux de sa passagère qui l’a délaissée juste un instant le temps d’accrocher sa ceinture:
-Regardez ce qu’elle transporte de peur de se faire chier avec ses amis!

Il lance le petit sac au trio qui ne perd pas de temps à l’ouvrir pour le fouiller:
-Mais y a que des capotes usagées là-dedans! BEURK, balance moi ça par la fenêtre!

-NON! Élodie ne peut retenir un cri d’effroi, elle en a trop baver pour récolter tout son sperme, et elle n’a plus de temps pour refaire le plein avant l’échéance donnée par son maître chanteur.
Elle se détache vivement et se jette entre les sièges avant pour tenter de récupérer sa pochette. Mais les trentenaires n’ont pas l’intention de la laisser faire à sa guise et maintiennent le sac hors d’atteinte de l’adolescente qui en se débattant voit son imper s’ouvrir sur son corps dénudé. La ceinture se détend à la taille, et le V du décolleté laisse apparaître un de ses nichons à la peau humidifiée par la pluie.

-WOW! Du calme papillon! S’exclame le conducteur qui pose sa grosse paluche droite sur le haut de la cuisse dévoilée entre les pans lâches du vêtement.

Élodie sent la main du pervers glisser entre ses cuisses musclées, elle se rend compte que sa veste se fait la malle, et tente de retenir les pans du vêtement.:
-Putain, on dirait qu’elle y tient à ses capotes merdiques!
-HE HE - Et qu’est-ce que t’es prête à faire pour qu’on balance pas tout ça sur la route?

Elle aperçoit l’éclat dans les regards complices des trois compères, et ce gros porc de moustachu qui glisse toujours ses gros doigts inquisiteurs toujours plus loin entre ses cuisses lisses.

-Oui p’tite cochonne, qu’est-ce qui les empêche de balancer tout ça?

-J’vous en prie, faites pas les chiens! Rendez moi ça?

-Ah ouais on est des chiens? ll ouvre la fenêtre et balance une capote sans aucun remords.

-Nan putain! Z’êtes cons ou quoi?

Il s’apprête à en balancer une deuxième, quand Élodie abdique:
-OK Putain, z’avez gagné bande d’enflures!

Les sourires se dessinent dans l’ombre glissante de l’habitacle balayé par les éclairages alternés des lampadaires de la N301. Le conducteur fait quelques kilomètres de plus avant de traverser la nationale pour entrer dans un parc désert et se garer sur un cirque désert et entouré de fourrés leur assurant une discrétion absolue. Le chauffeur coupe le contact, ne laissant que le faisceau de ses feux éclairer la zone devant lui, un terre plein au centre duquel trône une aire de jeu pourvu d’un petit abri isolant le centre des battements de la pluie estivale:
-Allez p’tite salope, fait nous un petit strip!
-Un p’ti strip, un p’ti stip! Entonnent les trentenaires en cœur.

Élodie est un peu déroutée, elle n’a sur elle que son trench et ses cuissarde. Elle sort sous la pluie lui battant le visage et le haut de sa veste encore humide. Le moustachu met la musique à fond et ouvre les fenêtres. La gamine commence alors à faire onduler son corps, mimant un effeuillage au rythme de la musique. Elle ondule du bassin, découvre une épaule, puis l’autre, tourne sur elle même, dénude ses deux épaules et avance vers le véhicule en tortillant du cul de manière lancinante et légèrement envoûtante.

Les trentenaires s’aventurent à l’extérieur de la berline et bravent les éléments pour entourer la petite brune qui dance pour eux en les toisant sensuellement. Elle découvre un côté, le recouvre et découvre l’autre, jouant ainsi avec les deux hommes de chaque côté d’elle. Elle bloque les deux pans de son vêtement, les épaules toujours dénudées, et commence à promener son index droit d’un torse à l’autre, un sourire gourmand sur les lèvres.

Elle commence presque à aimer se donner ainsi en spectacle devant le groupe d'inconnus qu’elle prend un malin plaisir à séduire de son petit corps aux douces formes lancinantes. Elle sait maintenant qu’elle plait aux hommes, et elle aime être leur jouet, surtout lorsqu’ils ont une emprise sur elle.

Elle aime aussi sentir la pluie clapoter sur la peau de ses épaules nues, cette même haut qui glisse sur ses anglaises détendues, pour dégouliner ensuite le long de ses épaules et finir leur course sur le tissu saturé de son trench. Les gouttes d’eau se rassemblent sur le haut de sa poitrine dénudée et se concentrent en un filet dégoulinant entre ses gros seins, puis le long de la peau douce de son ventre.

Les hommes sont captivés par la jeune adolescente qui se dénude devant eux sous la pluie battante et chaude de cette fin d’été. Elle s’avance vers le guadeloupéen de la bande, il est déjà torse nu et l’attire à lui en attrapant les deux pans du vêtement. Élodie joue avec le jeune homme et fait demi tour, de manière à lui abandonner sa veste détrempée, se trouvant ainsi entièrement nue entre les trois hommes, uniquement vêtue de ses cuissardes luisantes d’humidité à la lumière des phares du VTC.

Elle ondule entre ses mâles et se retourne à nouveau vers le jeune métis qui a balancé la veste devant la voiture, et la gamine s’accroupit devant lui en baissant son caleçon sur sa fine bite tendue d’excitation: “Au moins il ne risque pas de me faire trop mal celui là!”


Accroupie, la chatte gourmande ouverte sous son bassin, et les cuisses pliées, engoncées dans les cuissardes qui se resserrent sur sa douce musculature, elle commence à lui sucer la queue qu’elle avale sans problème jusqu’à la garde. Le rouquin et le grand blond encerclent la belle qui s’empare immédiatement de la bite tendue du grand blond. Elle alterne ensuite suçant les deux queues l’une après l’autre, les branlant lorsqu’elle ne les a pas en bouche.

Ses lèvres charnues aspirent, sucent, avalent les deux morceaux de chair avec beaucoup de passion. Elle joue de sa langue le long des fines queues la tortillant autour de la base évasée des deux glands qui gonflent et laissent déjà écouler les premières gouttes de liquide pré séminal. “Ils sont mûrs!” Sourit intérieurement la gamine qui pense vite les finir pour enfin rentrer dans le confort de sa chambre d’ado.

Mais elle a oublié le troisième larron qui glisse ses mains exploratrices le long de sa peau couverte de l’eau ruisselante de la douce pluie estivale. Il agrippe ses grosses mamelles à pleines mains, et lui étire les tétons gonflés et tendus d’excitation. La gamine, qui sort à peine d’une lourde séance de baise en partouze hardcore, n’en revient pas d’être encore excitée par la situation.

-Mais qu’elle salope putain!
-Vas-y gourmande! Suce nous bien la bite!
-Ouais tu les aimes nos belles bites?

“Belles bites, faut le dire vite!” Se dit l’adolescente qui les débouche pour leur répondre en logeant son regard de biche dans les yeux des deux pervers:
-Oui j’les aime vos belles bites, bande de salops!

Et elle les avale à nouveau dans des SLURPS bruyants, alors que le troisième lascar s’accroupit aux côtés de la belle. Ses cuisses commencent à brûler, mais la belle tient le coup, et s’applique à les pomper comme une pro afin de mettre fin à son calvaire.
C’est alors que le grand blond lui plante deux doigts au fond de sa chatte largement ouverte et déjà huileuse de mouille.

*CLAC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* Il lui claque le cul violemment pour qu’elle tende ses muqueuses vaginales autour des doigts inquisiteurs qui s’activent et lui pistonne violemment la vulve, insistant sur son point G sur lequel il fait frotter ses doigts agiles et recroquevillés. Le blond est un véritable artiste de la chatte, il lui astique la vulve déclenchant des vagues intenses de plaisir au plus profond de la jeune brunette complètement trempée par la pluie battante.

Tout son corps convulse de plaisir lorsqu’elle se met à éjaculer sur la paume ouverte qui tape son clitoris gonflé:
-Putain, la chienne! Une vraie fontaine les mecs! *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC*
-HUN HUMPH HUMPH …. Le claquement des gouttes sur sa peau dénudée combiné aux assauts des doigts habiles du grand blond terrasse la petite brunette accroupie devant ses mâles les cuisses en feu, la chatte dégoulinante de jets de cyprine, et une nouvelle jouissance explosant au creux de son ventre juvénile.

Elle se met alors à pomper ses deux bites avec encore plus de fougue et les sent gonfler sur sa langue gourmande. Ils explosent l’un après l’autre, le premier inondant sa bouche avide et la forçant à déglutir les flots de foutre chaud qui la force à gonfler des joues pour encaisser la pression. Ce qu’il n’a pas en masse de chair, le rouquin le compense par la quantité phénoménale de foutre dont il lui emplit la bouche et les joues. La gamine a du mal à tout déglutir et un filet de sperme glisse le long de son menton pour perler en gouttes gluantes sur sa poitrine.

Le métis n’est pas en reste et lui inonde le visage et la poitrine de doux foutre chaud et très gluant. L’explosion de sperme sur sa peau l’excite autant que les odeurs suaves et lourdes du sexe qui se vide sur elle. Le doux liquide visqueux glisse lentement sur sa peau douce, et le contraste de chaleur et de viscosité entre le fluide séminal et la fraîcheur de la pluie procure de nouvelles sensation à la gamine qui jouit une nouvelle fois sous les frottements bien ciblés du grand blond au fond de sa vulve en chaleur:
-HAAAAAN AH AH AH …. Putain oui fait moi jouir salop! …. Aaaaaahhhhh Ouiiiiiii
Elle explose de nouveau de gros éjaculats de mouille sur la paume ouverte de son branleur, qui continue pourtant de lui astiquer la chatte:
*FOUIC* *FOUIC* *FOUIC*
Élodie, toujours accroupie, tend le ventre en avant comme si elle ne voulait pas laisser cette jouissance s’échapper et l’abandonner:
-Oh Oui PutAin! HAN HAN Vas-y
Elle glisse ses mains sur sa peau, libérées qu’elles sont des deux bites qu’elle vient d’évider dans sa bouche gourmande et sur son visage poupon. Puis elle pince ses deux tétons gonflés et tendus comme des petites bites pour les étirer, les rouler et les tordre entre ses doigts pendant que le blond lui arrache un troisième orgasme!

-Oh la vache! Putain! Ouiiiiiii ….

Elle se cambre sur ses cuisses tiraillées par la position extrême.

-HAN ….

C’est alors que les yeux encore dans le vague, une poigne inébranlable l’attrape par sa tignasse trempée et l’attire vers la chaleur de la lumière des phares. Élodie a beaucoup de mal à retrouver ses repères, encore sous l’emprise de sa dernière extase, et les cuisses tiraillée par une brûlure fulgurante suite aux fourmis qui les ont ankylosées alors qu’elle prodiguait ses talent buccaux.

*VLAN* Son torse est projeté sur le capot froid et humide de la berline, ses seins sont écrasés sous son torse par la main puissante qui la plaque dans un doggy style humiliant.
La pluie violente éclate en petit picots lui flagellant la peau du dos.

La gamine panique un peu en entendant le souffle rauque et animal du monstre qui détend la boucle de son ceinturon derrière elle. Élodie tente tout de même de se débattre jusqu’à ce qu’une douleur perçante lui fustige la fesse droite:
*CLAC* *CLAC* *CLAC*
Les fessées tombent en rythme, sa peau la brûle, puis elle sent le contact du jeans couvrant les cuisses puissantes du monstre dans son dos. On lui écarte violemment les jambes tendues et:
-HAN ….

Le râle guttural du gros moustachu accompagne la pénétration violente et puissante de sa grosse bite dans la vulve humide et très étroite de la gamine:
-Aaaaaaah …. Mais …. *CLAC*
-Ta gueule petite putain! …. HAN …. *FLOC*
Le gros pervers plante sa grosse bite trapue au plus profond de la chatte étroite de sa victime et se met à lui limer la vulve sans ménagement à grands coups de reins puissants.

Élodie subit les assauts brutaux du monstre de chair, et elle sent chaque millimètre du pieu de chair qui laboure sa petite chatte déjà meurtrie par tous les blacks de la cité.

La main dans son dos l'empêche complètement de bouger et la gamine ne peut que subir les violents coups de queue qui a maintenant atteint son rythme de croisière. Élodie essaye de détendre sa vulve au maximum pour permettre une pénétration moins douloureuse, quand elle sent le gland de son baiseur gonfler. Elle tente alors de resserrer les muqueuses de sa chatte en serrant son périné autour du pieu de chair, mais le gros pervers ralentit.

Il se retire enfin, pour relâcher un instant la pression, puis un nouveau *CLAC* résonne dans le parc. Il vient de lui asséner une nouvelle fessée monumentale du plat de sa grosse main, et malaxe les chair meurtrie entre ses doigts boudinés. Il écarte au maximum les fesses de sa victime, tirant même la peau de la raie du cul jusqu’à une douleur cinglante avant d’appuyer son gros gland tuméfié à l’orée de la pastille striée d’Élodie, qui a tout juste le temps de pousser pour lui faciliter la pénétration puissante de son anus lui aussi endolori par les assauts multiples dont il a fait les frais toute la soirée.

-Huuuuuun …. Élodie se mord les lèvres pour ne pas crier et offrir au chauffeur la satisfaction de la dominer.

-Putain qu’est-ce que t’es serrée salope!

-*CLAC* ….HAN …. *CLAC* …. Prends ça p’tite pute!

*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC*
Les claquements chair contre chair du bas ventre visqueux du moustachu pervers contre les fesses de sa victime emplissent la nuit, et sont uniquement entrecoupés par les râles de plaisir du gros sac, qui ne résiste pas très longtemps.

Il plaque sa main à plat sur les reins cambrés de la gamine et lui tire la tête en arrière en l'attrapant par les cheveux. Dans cette position, Élodie sent la pluie battre la peau douce de son dos, alors qu’il lui lime l’anus pendant quelques minutes qui paraissent interminables à la gamine qui encaisse les coups de queue. Elle sent enfin la bite tressaillir dans son cul et le gros gland gonfler par saccades,signe qu’il est bientôt à bout.

Il se retire et la tire en arrière, la forçant à se mettre accroupi devant sa virilité puante qu’il enfourne entre les lèvres charnues de la gamine. Il lui pistonne alors la bouche, et Élodie qui veut en finir, l’aspire avec beaucoup de gourmandise, lui tétant le gland comme une pro, lui branlant la queue luisante de jus intimes, et jouant de sa langue sur toutes les zones sensibles de ce sexe pourtant magnifique.

C’est alors qu’il se plante au plus profond de la bouche juvénile pour exploser dans un long râle de jouissance. Élodie s’évertue à déglutir le doux sperme gluant et s’applique à lui nettoyer la bite, les yeux fermés et la main roulant son clitoris gonflé contre son pubis afin de prendre un peu de plaisir dans cette aire de jeu déserte.

-Putain qu’est-ce que tu suces bien ma salope !

Et sans autre forme de remerciement, il retourne s'asseoir et démarre son moteur, avant d’ajouter :
-Bon allez, tu l’bouges ton p’ti cul ? Y en a qui sont crevés ici !

Élodie ramasse son trench complètement trempé et se couvre comme elle le peut pour le reste du voyage, son sac à main bien protégé contre elle !


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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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Texte coquin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 21
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