Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 26
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 26
<On se retrouve aux bains ? Demande salle coin>
Élodie connaît bien le lieu où ses amis l’invitent à les rejoindre. Elle s’y rend, le cœur un peu plus léger à l’idée de retrouver ses loulous.
La jeune brunette se rend au hammam tenu par l’oncle de Enzo, l’esprit toujours hanté par le regard perçant de Danny, mais soulagée de retrouver ces hommes, elle ne peut s’empêcher de repenser au message éphémère du portugais.
« La salle du coin ? Bien sûr qu’elle va prendre la salle la plus éloignée, de l’entrée, celle dans le coin du bâtiment, la plus tranquille de toutes. Pourquoi a-t’il eut besoin de le spécifier ?
-Bref ! Sans vraiment y penser, elle entre.
Élodie ne reconnaît pas l’homme qui tient la caisse du hammam, apparemment un quinquagénaire trapu à la dégaine patibulaire. Le cheveux gras, la barbe hirsute, le regard fuyant, elle le dérange apparemment. Curieuse, elle aperçoit par réflexion un écran lumineux caché derrière le comptoir.
« Il doit mâter un film pour passer le temps ! » Le jeune fille pense comprendre pourquoi Enzo a tenu à préciser quelle salle demander à l’accueil. Si le caissier ne la connaît pas, il ne saura pas qu’il doit réserver la salle du fond au neveu de son patron et à ses amis.
La petite brunette tend sa carte bancaire et demande un accès au bain et une serviette. Elle précise à l’homme, apparemment surpris, qu’elle souhaite accéder à la salle du coin. La réaction du barbu étonne un peu Élodie mais sans plus, il doit être plus habitué à recevoir le trio de garçons, et comme il ne l’a jamais vue, il va sûrement fantasmer sur ce que les trois jeunes vont faire avec un si joli petit lot.
La pensée fait sourire l’adolescente qui attrape la petite serviette blanche et passe le tourniquet d’accès au vestiaire. Elle se met à poil, dépose ses fringues, son sac et ses lunettes dans le casier avant de s’envelopper dans la minuscule serviette :
-Oh putain ! Il m’a filé une serviette d’enfant ou quoi ?
Elle n’arrive pas à l’attacher autour de sa poitrine, et elle couvre tout juste son derrière, mais Élodie n’a pas la foi de se rhabiller pour aller en réclamer une plus grande. Par dépit et enjouée de retrouver ses mâles, elle fait contre mauvaise fortune bon cœur et jette un coup d’œil dans le couloir désert avant de se précipiter dans la salle tout au fond.
Lorsqu’elle s’engouffre dans la pièce, elle est prise à la gorge par la lourde atmosphère chaude et saturée de vapeur d’eau en suspension. Assurée de n’être qu’avec ses amis, elle dépose sa mini serviette sur le crochet de l’entrée. Sa myopie n’aidant pas elle ne voit absolument rien devant elle, sinon un nuage opaque et blanc.
À tâtons, elle traverse la pièce pourtant familière, elle ne veut pas se cogner dans le petit bassin d’eau froide au centre de la salle. Une fois le puits repéré, elle se dirige dans le coin au fond à droite pour y attendre, allongée et détendue, l’arrivée de ses potes.
L’atmosphère moite, la lourdeur de l’air parfumée qu’elle respire la détend enfin, après cette journée chargée en tension sexuelle depuis son réveil. Dans une torpeur bienvenue, elle se remémore la bite de son beau-père, les talents de son voisin, le regard de ses collègues, quand soudain le regard de prédateur la sort de sa torpeur.
Le regard perçant la hante et la perturbe, le simple fait d’y penser la ramène quelques heures auparavant à faire face au « bad boy » baraqué et tatoué. Elle soupire, le ventre gagné par une douce chaleur interne, elle se mord doucement la lèvre inférieure en soupirant. Sa main, en pilote automatique, glisse du bout des doigts le long de sa peau glissante de sueur.
-HUN ….
Son index et son majeur droits appuient doucement sur ses lèvres vaginales en manque de queue. La gorge sèche, le cœur lourd de désir, le ventre gonflé de plaisir, et les reins légèrement cambrés, elle les écarte en douceur et commence à faire rouler son clitoris gonflé sous ses doigts habiles.
Elle emprisonne son téton gauche déjà bandé et très sensible entre le pouce et l’index de sa main libre, et l’étire avant de le rouler entre ses doigts.
-HUN …. Ouiiii …. Oooooohhhhh ….
Elle vient de s’enfoncer deux doigts dans la chatte et commence à se branler en douceur tout en étirant et en pinçant son mamelon enflé et sensible.
FOUIC …. FOUIC …. FOUIC ….
Elle prend bien son temps pour glisser ses doigts entre les muqueuses déjà trempés de son vagin aux abois.
-HUMPH ….Ouiiii ….
Elle croise ses cuisses sur sa main et empoigne fermement son nichon en se cambrant de plaisir sur le banc froid couvert de petits carreaux de céramique. « Oh une bonne queue, putain ! » Elle enfourne un troisième doigt en elle dans l’espoir de combler ce besoin animal de se faire monter par une bonne queue bien dure.
Elle fouille adroitement les moindres recoins de sa vulve gluante et éveille en elle tous les points sensibles qu’elle connaît pour assouvir son plaisir charnel. Prisonnière de ses sens, elle n’entend pas les hommes passer la seuil de la pièce embrumée.
***
Pendant qu’Élodie se détend dans la salle du fond, Alain, Marco, Elder et Josué, quatre maçons travaillant sur le chantier du père d’Enzo se félicitent d’avoir enfin pu rendre la monnaie de sa pièce à ce petit con d’Enzo.
Le gamin, qui se sent protéger par son père fait beaucoup trop le con avec ses potes à leur goût, mais ce soir, ils sont parvenu à les faire bosser au moins une heure de plus, alors ils viennent se détendre un peu avant de rentrer s’emmerder avec leurs vielles.
-Salut totor ! Alors qu’est ce que tu as pour nous ce soir mon vieux ? Demande l’exubérant Marco au gérant du hammam.
Le vieux Victor, qui a fait l’acquisition de l’établissement thermal auprès du père d’Enzo, eut tôt fait d’installer des caméra dans les pièces de bain, pour en faire des zones de rencontre et d’exhibition pour son plaisir et celui de ses clients. L’ancien propriétaire ayant ouvert un sauna échangiste de l’autre côté de la ville, le « Diamond Soul Coin », de meilleure facture que ce « déversoir à foutre ».
-C’est plutôt calme ce soir ! Y a bien la salle du fond, mais bon, j’ai pas vérifié ! J’ai une grosse ‘touze dans la salle rose !
-Bof une partouze, on va voir la salle bleue ? Demande Marco à ses collègues.
-Ouais allez ! Bon on va au fond du coup ! Répondent Elder et Josué en cœur.
Alain se contente d’un « GRUMPH » et suit ses potes.
***
-Bon j’espère qu’Elo a bien reçu mon nouveau message ! Essaye de se rassurer Enzo.
Le jeune portugais l’a mauvaise, il vient de se rendre compte que le correcteur automatique de son smartphone a altérer le message qu’il avait envoyé rapidement à Élodie. Il s’est fait cueillir par le contremaître qui avait interdit tout téléphone portable sur le chantier.
-Putain tu crains quand même ! Renchérit Quentin, avant de se moquer de son pote ; « Demande salle coin » au lieu de « Diamond Soul Coin », faut pas être net !
-Ouais, je sais pas qui est le pire, ton père pour un nom aussi pourri, ou toi pour avoir merder le message pour Elo !
-Faites pas chier ! Dégaine Enzo à court d’arguments face à Mathieu et Quentin ; au pire on verra dans une heure, quand on la rejoindra !
Et les trois amis se remettent au boulot en espérant avoir prévenu le belle brune à temps.
***
Dans la salle rose complètement obscurcie par la vapeur épaisse et opaque, Élodie, dans son extase, devine tout juste les mouvements du quatuor de maçons. Persuadée que ce sont ses potes, elle n’arrête même pas de se faire du bien : « Enfin de bonnes bites, et pour moi toute seule en plus ! »
Décidée à faire une surprise à Quentin, Enzo et Mathieu, elle se masturbe avec vigueur tout en étouffant du mieux qu’elle le peut, les soupirs de plaisir qui parcourent son corps en spasmes presque incontrôlables.
Les bruits de pas nus sur le carrelage de céramique rose et blanche, la proximité de ses mâles qui ne savent peut-être pas qu’elle est déjà là, nue, et excitée à les attendre trois doigts coulissants entre ses lèvres humides d’excitation, augmentent la pression sexuelle qui a oppressée la jeune fille toute la journée.
Élodie soupire dans la brume du hammam, elle veut conserver l’effet de surprise pour ses amis et amants, mais elle veut être prête à encaisser les assauts de leurs bites vigoureuses. La main droite plantée dans la chatte, les yeux mi-clos, la main libre massant son sein gauche, elle se mordille la lèvre inférieure
Elle sort les doigts de sa vulve, les porte à sta bouche et se délecte en douceur de ses jus avant de replonger les doigts entre ses lèvres gluantes. Elle porte ensuite son majeur gauche à ses lèvres et le suce en anticipant l'arrivée de ses potes.
Une fois le doigt lubrifié, elle se tourne légèrement sur le côté pour les distinguer dans la vapeur. La gamine aperçoit tout juste les formes se dessiner à travers la lumière diffuse, les formes estompées des hommes entrant dans la pièce forment un conglomérat de chair gris dans le contre jour de la port ouverte.
Élodie anticipe déjà les mains sur son corps, les doigts inquisiteurs fouillant ses trous humidifiés, les langues léchant sa peau couverte de sueur doucement salée. Ces idées la rendent folle d’excitation, son majeur humide glisse sur la peau humide et en sueur. Elle écarte une cuisse pour exposer son minou tout lisse et éclos comme une fleur prête à se faire butiner.
Le bassin tendu, elle lève un pied et passe sa main gauche entre les lobes fessiers. De sa main droite elle se masse le clitoris de mouvements doux, amples et circulaires. Son majeur glisse entre les fesses rebondies se contractant puis se relâchant en spasmes de désir. Gourmande, elle débusque son petit trou strié, serré et hyper sensible.
De nouvelles vagues de plaisir explosent par intermittence dans le creux de son ventre, pour se répandre jusqu'à la pointe des seins, gonflés et bandés comme des petites bites.
Le bout de son doigt s'immisce dans le conduit tout serré de sa gaine anale, alors que deux doigts fouillent l'entrée de ta vulve glissante. Elle soulève son bassin, ondule sur le carrelage frais faisant contraste avec la vapeur chaude qui l'entoure
La jeune fille joue de ses doigts lubrifiés et les plante au plus profond de sa chatte en chaleur, en coordination avec le majeur frétillant dans son anus gourmand. Malgré la chaleur de la vapeur ambiante, elle frémit d’excitation pour la partouze anticipée.
***
Complètement inconscients de la présence de la jeune fille dans la salle rose, les quatre compères s’aventurent de concert dans l’épais brouillard qui envahit toujours la pièce. Persuadés d’être seuls, Marco, Elder et Josué plaisantent sur le sort des trois gamins bloqués une heure de plus sur le chantier.
Les bruits étouffés de leurs rires parviennent tout juste aux oreilles de l’adolescente qui, dans son extase montante, distingue tout juste trois mâles en train de plaisanter ; « HUM, c’est ça mes loulous, venez baiser votre petite Elo aux trous gourmands de vos belles queues ! »
De son côté, Alain, le solitaire de la bande, laisse ses trois collègues faire leurs ablutions d’eau froide aux abords du puits planté au milieu de la pièce.
SPLOSH ….
-Oh putain qu’est ce qu’elle est froide la vache ! S’esclaffe Marco, dans un rire sans retenue.
-Eh Alain ? T’es où vieux ? S’inquiète Elder, quand tout à coup …. SPLOSH …. Mais t’es con ou quoi Marco ?
-C’est bon les gars lâchez moi un peu !
« Marco, Alain ? Mais qu’est ce que … ? » Élodie est soudain coupée dans sa jouissance naissante. Au moins trois hommes inconnus s’interposent entre elle et la sortie de la salle rose. Elle réalise que ce ne sont absolument pas ses potes qui viennent de se joindre à elle dans l’épaisse vapeur d’eau.
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
Élodie connaît bien le lieu où ses amis l’invitent à les rejoindre. Elle s’y rend, le cœur un peu plus léger à l’idée de retrouver ses loulous.
La jeune brunette se rend au hammam tenu par l’oncle de Enzo, l’esprit toujours hanté par le regard perçant de Danny, mais soulagée de retrouver ces hommes, elle ne peut s’empêcher de repenser au message éphémère du portugais.
« La salle du coin ? Bien sûr qu’elle va prendre la salle la plus éloignée, de l’entrée, celle dans le coin du bâtiment, la plus tranquille de toutes. Pourquoi a-t’il eut besoin de le spécifier ?
-Bref ! Sans vraiment y penser, elle entre.
Élodie ne reconnaît pas l’homme qui tient la caisse du hammam, apparemment un quinquagénaire trapu à la dégaine patibulaire. Le cheveux gras, la barbe hirsute, le regard fuyant, elle le dérange apparemment. Curieuse, elle aperçoit par réflexion un écran lumineux caché derrière le comptoir.
« Il doit mâter un film pour passer le temps ! » Le jeune fille pense comprendre pourquoi Enzo a tenu à préciser quelle salle demander à l’accueil. Si le caissier ne la connaît pas, il ne saura pas qu’il doit réserver la salle du fond au neveu de son patron et à ses amis.
La petite brunette tend sa carte bancaire et demande un accès au bain et une serviette. Elle précise à l’homme, apparemment surpris, qu’elle souhaite accéder à la salle du coin. La réaction du barbu étonne un peu Élodie mais sans plus, il doit être plus habitué à recevoir le trio de garçons, et comme il ne l’a jamais vue, il va sûrement fantasmer sur ce que les trois jeunes vont faire avec un si joli petit lot.
La pensée fait sourire l’adolescente qui attrape la petite serviette blanche et passe le tourniquet d’accès au vestiaire. Elle se met à poil, dépose ses fringues, son sac et ses lunettes dans le casier avant de s’envelopper dans la minuscule serviette :
-Oh putain ! Il m’a filé une serviette d’enfant ou quoi ?
Elle n’arrive pas à l’attacher autour de sa poitrine, et elle couvre tout juste son derrière, mais Élodie n’a pas la foi de se rhabiller pour aller en réclamer une plus grande. Par dépit et enjouée de retrouver ses mâles, elle fait contre mauvaise fortune bon cœur et jette un coup d’œil dans le couloir désert avant de se précipiter dans la salle tout au fond.
Lorsqu’elle s’engouffre dans la pièce, elle est prise à la gorge par la lourde atmosphère chaude et saturée de vapeur d’eau en suspension. Assurée de n’être qu’avec ses amis, elle dépose sa mini serviette sur le crochet de l’entrée. Sa myopie n’aidant pas elle ne voit absolument rien devant elle, sinon un nuage opaque et blanc.
À tâtons, elle traverse la pièce pourtant familière, elle ne veut pas se cogner dans le petit bassin d’eau froide au centre de la salle. Une fois le puits repéré, elle se dirige dans le coin au fond à droite pour y attendre, allongée et détendue, l’arrivée de ses potes.
L’atmosphère moite, la lourdeur de l’air parfumée qu’elle respire la détend enfin, après cette journée chargée en tension sexuelle depuis son réveil. Dans une torpeur bienvenue, elle se remémore la bite de son beau-père, les talents de son voisin, le regard de ses collègues, quand soudain le regard de prédateur la sort de sa torpeur.
Le regard perçant la hante et la perturbe, le simple fait d’y penser la ramène quelques heures auparavant à faire face au « bad boy » baraqué et tatoué. Elle soupire, le ventre gagné par une douce chaleur interne, elle se mord doucement la lèvre inférieure en soupirant. Sa main, en pilote automatique, glisse du bout des doigts le long de sa peau glissante de sueur.
-HUN ….
Son index et son majeur droits appuient doucement sur ses lèvres vaginales en manque de queue. La gorge sèche, le cœur lourd de désir, le ventre gonflé de plaisir, et les reins légèrement cambrés, elle les écarte en douceur et commence à faire rouler son clitoris gonflé sous ses doigts habiles.
Elle emprisonne son téton gauche déjà bandé et très sensible entre le pouce et l’index de sa main libre, et l’étire avant de le rouler entre ses doigts.
-HUN …. Ouiiii …. Oooooohhhhh ….
Elle vient de s’enfoncer deux doigts dans la chatte et commence à se branler en douceur tout en étirant et en pinçant son mamelon enflé et sensible.
FOUIC …. FOUIC …. FOUIC ….
Elle prend bien son temps pour glisser ses doigts entre les muqueuses déjà trempés de son vagin aux abois.
-HUMPH ….Ouiiii ….
Elle croise ses cuisses sur sa main et empoigne fermement son nichon en se cambrant de plaisir sur le banc froid couvert de petits carreaux de céramique. « Oh une bonne queue, putain ! » Elle enfourne un troisième doigt en elle dans l’espoir de combler ce besoin animal de se faire monter par une bonne queue bien dure.
Elle fouille adroitement les moindres recoins de sa vulve gluante et éveille en elle tous les points sensibles qu’elle connaît pour assouvir son plaisir charnel. Prisonnière de ses sens, elle n’entend pas les hommes passer la seuil de la pièce embrumée.
***
Pendant qu’Élodie se détend dans la salle du fond, Alain, Marco, Elder et Josué, quatre maçons travaillant sur le chantier du père d’Enzo se félicitent d’avoir enfin pu rendre la monnaie de sa pièce à ce petit con d’Enzo.
Le gamin, qui se sent protéger par son père fait beaucoup trop le con avec ses potes à leur goût, mais ce soir, ils sont parvenu à les faire bosser au moins une heure de plus, alors ils viennent se détendre un peu avant de rentrer s’emmerder avec leurs vielles.
-Salut totor ! Alors qu’est ce que tu as pour nous ce soir mon vieux ? Demande l’exubérant Marco au gérant du hammam.
Le vieux Victor, qui a fait l’acquisition de l’établissement thermal auprès du père d’Enzo, eut tôt fait d’installer des caméra dans les pièces de bain, pour en faire des zones de rencontre et d’exhibition pour son plaisir et celui de ses clients. L’ancien propriétaire ayant ouvert un sauna échangiste de l’autre côté de la ville, le « Diamond Soul Coin », de meilleure facture que ce « déversoir à foutre ».
-C’est plutôt calme ce soir ! Y a bien la salle du fond, mais bon, j’ai pas vérifié ! J’ai une grosse ‘touze dans la salle rose !
-Bof une partouze, on va voir la salle bleue ? Demande Marco à ses collègues.
-Ouais allez ! Bon on va au fond du coup ! Répondent Elder et Josué en cœur.
Alain se contente d’un « GRUMPH » et suit ses potes.
***
-Bon j’espère qu’Elo a bien reçu mon nouveau message ! Essaye de se rassurer Enzo.
Le jeune portugais l’a mauvaise, il vient de se rendre compte que le correcteur automatique de son smartphone a altérer le message qu’il avait envoyé rapidement à Élodie. Il s’est fait cueillir par le contremaître qui avait interdit tout téléphone portable sur le chantier.
-Putain tu crains quand même ! Renchérit Quentin, avant de se moquer de son pote ; « Demande salle coin » au lieu de « Diamond Soul Coin », faut pas être net !
-Ouais, je sais pas qui est le pire, ton père pour un nom aussi pourri, ou toi pour avoir merder le message pour Elo !
-Faites pas chier ! Dégaine Enzo à court d’arguments face à Mathieu et Quentin ; au pire on verra dans une heure, quand on la rejoindra !
Et les trois amis se remettent au boulot en espérant avoir prévenu le belle brune à temps.
***
Dans la salle rose complètement obscurcie par la vapeur épaisse et opaque, Élodie, dans son extase, devine tout juste les mouvements du quatuor de maçons. Persuadée que ce sont ses potes, elle n’arrête même pas de se faire du bien : « Enfin de bonnes bites, et pour moi toute seule en plus ! »
Décidée à faire une surprise à Quentin, Enzo et Mathieu, elle se masturbe avec vigueur tout en étouffant du mieux qu’elle le peut, les soupirs de plaisir qui parcourent son corps en spasmes presque incontrôlables.
Les bruits de pas nus sur le carrelage de céramique rose et blanche, la proximité de ses mâles qui ne savent peut-être pas qu’elle est déjà là, nue, et excitée à les attendre trois doigts coulissants entre ses lèvres humides d’excitation, augmentent la pression sexuelle qui a oppressée la jeune fille toute la journée.
Élodie soupire dans la brume du hammam, elle veut conserver l’effet de surprise pour ses amis et amants, mais elle veut être prête à encaisser les assauts de leurs bites vigoureuses. La main droite plantée dans la chatte, les yeux mi-clos, la main libre massant son sein gauche, elle se mordille la lèvre inférieure
Elle sort les doigts de sa vulve, les porte à sta bouche et se délecte en douceur de ses jus avant de replonger les doigts entre ses lèvres gluantes. Elle porte ensuite son majeur gauche à ses lèvres et le suce en anticipant l'arrivée de ses potes.
Une fois le doigt lubrifié, elle se tourne légèrement sur le côté pour les distinguer dans la vapeur. La gamine aperçoit tout juste les formes se dessiner à travers la lumière diffuse, les formes estompées des hommes entrant dans la pièce forment un conglomérat de chair gris dans le contre jour de la port ouverte.
Élodie anticipe déjà les mains sur son corps, les doigts inquisiteurs fouillant ses trous humidifiés, les langues léchant sa peau couverte de sueur doucement salée. Ces idées la rendent folle d’excitation, son majeur humide glisse sur la peau humide et en sueur. Elle écarte une cuisse pour exposer son minou tout lisse et éclos comme une fleur prête à se faire butiner.
Le bassin tendu, elle lève un pied et passe sa main gauche entre les lobes fessiers. De sa main droite elle se masse le clitoris de mouvements doux, amples et circulaires. Son majeur glisse entre les fesses rebondies se contractant puis se relâchant en spasmes de désir. Gourmande, elle débusque son petit trou strié, serré et hyper sensible.
De nouvelles vagues de plaisir explosent par intermittence dans le creux de son ventre, pour se répandre jusqu'à la pointe des seins, gonflés et bandés comme des petites bites.
Le bout de son doigt s'immisce dans le conduit tout serré de sa gaine anale, alors que deux doigts fouillent l'entrée de ta vulve glissante. Elle soulève son bassin, ondule sur le carrelage frais faisant contraste avec la vapeur chaude qui l'entoure
La jeune fille joue de ses doigts lubrifiés et les plante au plus profond de sa chatte en chaleur, en coordination avec le majeur frétillant dans son anus gourmand. Malgré la chaleur de la vapeur ambiante, elle frémit d’excitation pour la partouze anticipée.
***
Complètement inconscients de la présence de la jeune fille dans la salle rose, les quatre compères s’aventurent de concert dans l’épais brouillard qui envahit toujours la pièce. Persuadés d’être seuls, Marco, Elder et Josué plaisantent sur le sort des trois gamins bloqués une heure de plus sur le chantier.
Les bruits étouffés de leurs rires parviennent tout juste aux oreilles de l’adolescente qui, dans son extase montante, distingue tout juste trois mâles en train de plaisanter ; « HUM, c’est ça mes loulous, venez baiser votre petite Elo aux trous gourmands de vos belles queues ! »
De son côté, Alain, le solitaire de la bande, laisse ses trois collègues faire leurs ablutions d’eau froide aux abords du puits planté au milieu de la pièce.
SPLOSH ….
-Oh putain qu’est ce qu’elle est froide la vache ! S’esclaffe Marco, dans un rire sans retenue.
-Eh Alain ? T’es où vieux ? S’inquiète Elder, quand tout à coup …. SPLOSH …. Mais t’es con ou quoi Marco ?
-C’est bon les gars lâchez moi un peu !
« Marco, Alain ? Mais qu’est ce que … ? » Élodie est soudain coupée dans sa jouissance naissante. Au moins trois hommes inconnus s’interposent entre elle et la sortie de la salle rose. Elle réalise que ce ne sont absolument pas ses potes qui viennent de se joindre à elle dans l’épaisse vapeur d’eau.
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