Elodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 29
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 29
La nuit de la jeune fille est très agitée, et les rêves érotiques se succèdent dans son cerveau confus par toutes les tensions sexuelles de la journée précédente. Ses deux amants secrets du hammam font rapidement place aux rapaces sexuels de son bureau, les ébats tendres et puissants sont substitués par des actes violents et malsains des pervers qui lui malaxent les seins et les fesses, glissent leurs mains puissantes sur ses chairs tendres.
Dans son calvaire, les sensations se font plus précises, plus réelles. Les odeurs presque trop présentes de mouille fraîche, les doigts qui s’insèrent entre les muqueuses glissantes et gorgées de sang de sa chatte en chaleur, un gland volumineux qui s’immisce entre ses lèvres gourmandes, les râles de plaisir au dessus de son visage.
Dans une semi conscience, Élodie se force hors de son rêve et réalise que les doigts qui lui donnent tant de plaisir à lui fouiller la vulve gluante sont bien réels. Le cerveau embrumé par le plaisir de se faire branler par deux doigts puissants coulissant en elle, l’adolescente se met à aspirer avec gourmandise la queue puissante et tendue entre ses lèvres pulpeuses.
-Oh oui putain ! Vas y petite salope ! Aspire moi la bite !
***
Serge vient de baiser Brigitte, l’excitation et l’anticipation de venir se vider les couilles entre les douces lèvres de cette petite salope d’Elo ont décuplé sa fougue et il a fait jouir sa femme comme jamais. Il la ligotée au pied de son lit, il l’a baisée, enculée, un nouveau vibro planté dans sa chatte à lui procurer de nouveaux plaisirs à travers la paroi vaginale de sa femme.
Dopé grâce à une petite pilule bleue, il ont baisé avec fougue deux heures durant, et le bougre a lutter par quatre fois pour réprimer une forte envie de jouir dans les entrailles de sa belle.
Lorsque Brigitte s’est effondrée de fatigue au pied du lit nuptial, il s’est retiré de son cul béant et les doigts serrés à la base de sa bite parcourue de grosses veines saillantes, il s’est rendu dans la chambre de la gamine qui dormait à point fermé, le sommeil apparemment troublé de rêves érotiques.
Il a retiré en douceur la couette, libérant les fragrances de chatte en chaleur et de sperme rance. Le jeune corps se tortillant de plaisir dans la pénombre de la chambre éclairée par les lumières de la rue. Quel plaisir de sentir la peau douce et tendre de la jeune fille sous ses doigts puissants.
Élodie avait naturellement écarté les cuisses lorsqu’il avait approché ses doigts de son pubis ondulant sous ses caresses, et il ne lui avait as fallu longtemps pour écarter ses lèvres vaginales et lui fouiller la chatte complètement éclose et humide de cyprine chaude et gluante.
Maintenant à califourchon, les cuisses puissantes écartées, au-dessus du visage angélique de sa salope de belle fille. Il se branle la queue, le gland au bord des lèvres charnues de l’adolescente. Un petit gémissement et un léger souffle de plaisir glissant sur son pénis tendu, Serge perçoit le changement subtil qui s’opère sur la gamine en train de sortir de sa torpeur.
Il commence un peu à paniquer mais lorsque Élodie se met à onduler du bassin pour planter sa chatte sur ses doigts et qu’elle aspire goulûment son gros dard au bord de l’explosion, il presse sa chance et passe sa main libre derrière le crâne de la jeune fille pour planter sa bite sous pression au fond de la bouche gourmande, et dans un râle de plaisir, il l’incite à le sucer :
-Oh oui putain ! Vas y petite salope ! Aspire moi la bite !
***
Tout juste consciente de la masse de Serge au dessus de son visage, Élodie se concentre uniquement sur la grosse tige de chair couverte de veines saillantes qui coulisse entre ses lèvres serrées. Dans son délire nymphomaniaque et encore chaude comme une chienne en chaleur, elle l’aspire avec gourmandise la queue de son beau-père.
Les odeurs chaudes du sexe épais transportent la gamine dans une nouvelle torpeur douce. Dans son demi sommeil, Élodie se laisse enivrer par les odeurs intimes de sa mère portées par la queue de Serge coulissant dans sa bouche.
Les doigts qui lui massent habilement l’intérieur de la vulve secondés par une paume massive appuyant et massant en cercles concentriques son clitoris gorgé de sang et de plaisir, mènent la gamine déjà dans un état second, dans de nouvelle sphères de plaisir intense.
Machinalement, elle attrape la base épaisse du pénis de Serge et le masse en rythme avec sa fellation son pouce et son index glissant en « O » sur la peau épaisse et lubrifiée de la cyprine et des jus intimes de Brigitte.
-Oui c’est ça petite salope ! Branle moi et suce moi bien ! Je vais gicler mes doses de foutre dans ta belle bouche de pute.
-SLURP …. SLURP …. SLURP….
Élodie l’avale en profondeur, le gland de son beau-père taquinant sa glotte détendue à chaque pénétration. Lorsqu’elle sent la main de Serge appuyer sur l’arrière de sa nuque pour lui incliner la tête vers l’arrière, la jeune fille ouvre entièrement sa gorge et sort sa langue pour l’avaler en gorge profonde.
Serge plante un troisième doigts dans la vulve en chaleur et accélère le pistonnage de sa belle-fille claquant violemment sa paume sur le pubis au clitoris dégagé. Prenant appui dans la chatte de l’adolescente et s’agrippant à la nuque tendue, il baise la gorge de l’adolescente à grands coups de reins longs et profonds, la base de son gland frôlant avec ses lèvres à chaque sortie de sa queue.
Au bord de l’explosion, le gros quadra plante sa bite au plus profond de la gorge détendue pour mener la jeune fille au bord de l’asphyxie. Il accélère le pilonnage de la chatte gonflée et huileuse autour de ses doigts et se contente de faire coulisser son gland tendu dans la gorge ouverte.
Élodie est à bout de souffle, elle se cambre violemment sur son lit, uniquement guidée par ses instincts animaux. Sa gorge convulse en spasmes désordonnés autour de la tige de chair dure comme une barre de fer. Elle sent alors le gland tuméfié gonfler dans sa gorge tendue.
-HUMPH …. Putain, bouffe ça petite chienne !
Au bord de l’explosion, Serge retire sa verge couverte de glaires et se branle dans des FOUIC FOUIC obscènes. Élodie, aux abois, ouvre grand la bouche, tend la langue entre ses lèvres et accueille avec délectation la première giclée épaisse de sperme chaud et gluant.
Elle tend le visage et aspire le gland de son beau-père, il convulse dans sa bouche lorsque la gamine le branle de sa main douce. Les décharges gonflent les joues juvéniles sous la pression et Élodie a bien du mal à déglutir les doses importantes de foutre qui l’inonde par vagues chaudes et gluantes.
Alors que Serge se retire lentement de la bouche chaude et douce, la bite couverte de salive et de sperme mélangés, il tape son sexe dégonflant au bord des lèvres charnues comme on tape une cuiller au bord d’un saladier, puis il se retire de la chambre sans un mot, ni un regard pour Élodie.
La jeune fille encore à moitié endormie reste entière dans son délire nymphomane et se délecte de la dose de foutre chaud et odorant qui tapisse encore sa langue gourmande de ce nectar si particulier.
Le majeur gauche glissant et coulissant avec volupté entre ses lèvres vaginales, elle se met à sucer son index puis son majeur droit en un simulacre de fellation, allongée nue, les cuisses écartées, sur son lit défait.
Ses doigts coulissent lentement entre ses lèvres et jouent avec le sperme qu’elle a en bouche avant qu’elle ne le déglutisse avec gourmandise. Élodie se recroqueville ensuite et se rendort dans son lit défait, la tête pleine de rêves sexuels dans les fragrances de sperme et de cyprine mélangés.
Quelques heures plus tard, la jeune fille se réveille, emmitouflée dans sa couette, les idées un peu embrumées par le réveil inopiné de la nuit. Tout d’abord avec une vague impression d’avoir rêvé la fellation nocturne, les relents de foutre rance confirment la visite de son paternel.
La jeune fille profite de la jeunesse de la matinée pour se faufiler dans la salle de bain avant le réveil de ses parents. Elle prend une longue douche chaude et décontractante, profitant de ce moment pour se détendre. Les longues minutes passées sous l’eau bouillante lui permettent de réfléchir à ces derniers jours.
Ses réflexions font remonter les moments de sexe intenses et brutaux qui ont fait naître en elle tellement de nouvelles sensations. Les mains savonneuses glissent sur sa peau douce et toutes ces sensations à fleur de peau font renaître en elle cette douce chaleur gonflant et enflant au creux de son ventre.
Sur le point de succomber à nouveau à toutes ces sensations charnelles et sensuelles, son esprit dérive et la jeune fille ne peut s’empêcher de penser : « Et dire que tout ça a démarré à cause de ce maître chanteur ! », à y repenser, son cerveau cartésien essaye de recoller les morceaux d’un puzzle complexe.
Alors que sa main droite dérive doucement entre ses cuisses, Élodie commence inconsciemment à caresser son pubis lisse et doux, laissant même ses doigts s’immiscer entre ses lèvres vaginales écloses et déjà huileuses. Toutes les pistes qu’elle a pu identifier pointent inexorablement vers le grand livreur de ses parents.
Le souvenir de la grosse queue tendue contre son cul dans l’arrière boutique réveille à son tour les sentiments d’impuissance et de soumission dans lesquels l’adolescente avait bien failli succomber sans l’intervention de Mr. Jean.
« Mais qu’est-ce qui m’arrive putain ? » Impuissante à pouvoir se contrôler, Élodie se laisse aller à titiller ses tétons durs et sensibles entre pouce et index alors que deux doigts de sa main libre s’enfoncent en elle, déclenchant de nouvelles vagues de plaisir.
Elle commence à prendre son pied, rien qu’à imaginer le jeune livreur bien monté la photographier, la faire chanter, choisir toutes ces tenues sexy et allumeuses, la mettre en scène dans toutes ces situations humiliantes et pourtant si jouissives.
« Putain ! Ressaisit toi ma fille ! » HUN …. Elle tire sur ses tétons bandés et fouille ses muqueuses avec douceur et volupté lorsqu’un bruit dans le couloir la ramène à la raison :
BOUM BOUM BOUM
-Elooooo ! Bouge ton cul, on va être à la bourre ! Brigitte frappe violemment à la porte de la salle de bain, coupant instantanément l’excitation de la gamine.
***
La pauvre jeune fille en proie à ses démons et incapable d’assouvir ses plaisirs matinaux termine sa douche et se retire dans sa chambre sans même saluer Serge qu’elle croise dans le salon uniquement vêtue de sa serviette de bain.
Une fois seule dans sa chambre, pressée par le temps, et toujours sans nouvelles de son corbeau, la petite brunette sèche ses cheveux qu’elle laisse pendre libres le long de ses épaules et délaisse ses lunettes au profit de ses lentilles de contact.
Fard à paupières légèrement brunâtre, trait d’eyeliner avec virgule au coin de l’œil, blush rosé sur les pommettes et brillant à lèvre rappelant la poudre de ses joues, elle s’engonce dans une paire de jean slim blanc en coupe bootcut soulignant le joli galbe de ses cuisses et de son joli cul et se grandit d’une parie d’escarpins noirs à bouts ouverts, perchée sur ses 13cm de talons aiguilles à semelle compensée de 5cm.
L’adolescente parfait son look d’un petit croptop blanc immaculé, shoulderless à manches courtes, il se lace entre ses gros seins pointant d’excitation à retrouver Mr. Chevaleraud. Avant de partir, elle se contemple dans son miroir plein pied, et réajuste les froufrous de son haut avant d’enfiler son cuir blanc et d’attraper son casque bol.
D’un simple :
-À ce soir !
Élodie attrape son sac à dos dans l’entrée et dévale les escaliers pour retrouver son boss qui l’attend déjà, la sportive vrombissante devant la lourde porte de fer forgé.
***
Sur la route Élodie sent l’air frais du matin s’immiscer entre la base de sa veste et la ceinture de son taille basse, pour glisser subtilement entre ses lobes fessiers. La sensation déclenche de légers frissons le long de l’épine dorsale de la gamine qui sent instantanément ses tétons durcir sous le doux coton de son croptop.
L’air frais glisse le long de sa raie culière pour caresser son œilleton anal. C’est la première fois que la gamine expérimente cette douce caresse fraîche, ce qui la chauffe sensiblement, alors qu’elle va bientôt retrouver les quatre pervers de son bureau.
Comme un hasard malheureux, Martin, Danny, Mick et Tony sortent de leur minibus au moment où Élodie descend de la moto et retire son cuir. Leur sourire prédateur excite la jeune fille autant qu’elle la stresse, elle va devoir passer la journée avec ces animaux qui se régalent apparemment du spectacle de ses gros nichons pointant sous le fin coton blanc.
Et la gamine ne s’y est pas trompée, toute la journée, elle a passé son temps à éviter les quatre pervers qui ne manquèrent pas de poser leurs mains sur ses hanches dénudées pour « l’aider à ranger de lourds classeurs », à glisser leurs paluches inquisitrices le long de ses cuisses gainées dans le jean tendu, à lui peloter le cul lorsqu’elle transférait les fournitures d’une étagère à une autre, à mater ses gros nichons dans le décolleté lacé lorsqu’elle avait besoin d’un coup main sur son ordinateur « récalcitrant ».
Heureusement, Serge a eu besoin d’eux dans l’après midi, et une demi heure avant la fin de sa journée, Mr. Coulomb vient de charger Élodie de déposer le courrier à la Poste. La gamine ayant laissé ses affaires de moto dans le topcase de Serge, se rend simplement vêtue de blanc au bureau de Poste juste en face du Sauna où elle a tant pris de plaisir la veille.
Lorsqu’elle ressort quelques quinze minutes plus tard, un détails inhabituel attire son attention de l’autre côté de la rue. En effet, le Kangoo de Raphaël se trouve garé juste devant l’entrée de service du bâtiment aux bains libertins.
***
Sur le chemin du retour, Élodie ne peut s’empêcher de ressasser ce qu’elle suppose depuis quelques temps déjà. En effet, ce n’est pas la première fois qu’elle repère l’utilitaire du livreur non loin d’où elle se trouve. « Putain, mais est-ce que c’est lui ? » Comment peut-elle confirmer ce qu’elle suspecte depuis peu ?
De retour chez elle, après cette journée à se faire peloter par les quatre pervers du bureau, l’adolescente est bien contente de retrouver le bien-être de l’appartement familial. Elle ne peut pourtant pas empêcher de repenser à la présence de Raphaël en livraison dans le sauna.
Pour elle, confirmer l’identité de son maître chanteur consiste déjà à vérifier s’il la suit d’une manière ou d’une autre. Ensuite, il lui faudrait confirmer qu’il la suit de son propre chef, et pour ça Élodie ne voit pas d’autre moyen que de consulter le portable du livreur. La jeune fille entrevoit déjà le cheminement des étapes de son plan.
Ainsi préoccupée par cette petite « enquête » pour enfin identifier son corbeau, l’adolescente est moins esclave de ses sens et même si les quatre repris de justice l’ont bien chauffée toute la journée, elle parvient à garder la tête froide pour mettre son plan en œuvre.
***
Le lendemain, c’est vêtue d’une jolie combinaison en jean slim et au profond décolleté qu’elle se rend au bureau avec Serge. Perchée sur une fine paire d’escarpins ouverts à talons, elle se farde d’un blush aux douces teintes marron pour rehausser ses pommettes saillantes, surligne son large regard d’un trait de mascara noir et agrémente son sourire poupon d’un brillant à lèvres rose pailleté, elle sollicite Mr. Coulomb dès son arrivée.
Enfermée dans le bureau du breton, elle use de ses charmes pour convaincre le gros bougon de la libérer une demi-heure plus tôt tous les soirs si elle réduit sa pause déjeuner du même temps.
D’abord réticent, le gros patron lui concède la demi heure si elle s’occupe du courrier en échange. La jeune fille n’en demandait pas tant, ça lui donne l’occasion de repasser devant le sauna et par la même occasion, elle pourra confirmer ses doutes au sujet de Raphaël. Si le livreur la suit vraiment, elle ne le manquera pas.
C’est ainsi que le soir même, après une nouvelle longue journée à supporter les railleries et les attouchements de plus en plus entreprenant du quatuor, Élodie se rend au bureau de Poste voisin dans l’espoir de confirmer ses doutes.
Quelle n’est pas sa déception lorsque, après quinze longues minutes d’attente elle sort enfin à l’air libre pour surprendre le jeune livreur. Mais pas de trace du Kangoo ni du grand rouquin. « Eh ben v’la l’enquêtrice ! » se dit-elle bougonne et contrainte de rentrer à pied.
Alors qu’elle remonte l’avenue toute à ses pensées et quelque peu chauffée par les avances de ses collègues, elle s’imagine avec ses potes Quentin, Enzo et Matthieu en train de les sucer dans leur repère.
Elle repense à leurs belles bites tendues, la brutalité d’Enzo, la douceur de Matthieu et la virilité de Quentin. Leurs queues tendues et gonflées à bloc coulissant entre ses lèvres couvertes de brillant.
Les râles de ses jolis mâles lorsque enfin ils lui délivrent leurs doses de sperme chaud et gluant, couvrant sa langue gourmande, débordant de ses lèvres suaves, dégoulinant le long de sa nuque pour glisser doucement sur ses gros seins et terminer en goutte à goutte sur la pointe de ses tétons rigides.
La jeune fille n’en revient pas de s’exciter seule de la sorte au milieu de la foule des employer quittant leurs bureaux pour retourner à leurs vies monotones. Elle sent bien la pointe de ses seins durcir sous le tissu tendu de sa combi, et la couture de son entrejambe qui s’immisce entre les lèvres suaves et gluantes de sa chatte en chaleur.
C’est alors que toute absorbée à son plaisir naissant, elle le voit, le véhicule utilitaire du livreur n’est pas si loin finalement. « HUM ! Je suppose qu’il ne peut pas toujours livrer au même endroit ! Il doit sûrement brouiller les pistes ! » Ou du moins, c’est ce qu’elle ferait si elle était dans la situation du jeune corbeau.
Profitant de l’absence du jeune homme, la belle se glisse dans le véhicule ouvert et s’empare du portable que Raphaël a l’habitude de laisser sur la base collée sur le tableau de bord.
Nerveuse à l’idée de se faire surprendre, elle n’arrête pas de jeter des coups d’œil furtifs en direction du restaurant qu’elle imagine être le client en livraison. Son propre smartphone en main, elle recherche dans ses historiques, les dates et heures des messages de chantage qu’elle a reçu, elle parcourt les messages du jeune homme sans succès.
S’il est l’auteur des messages, c’est d’un autre portable qu’il les a envoyé. « Ou peut-être ? » Et s’il les avait effacé ? Se demande la gamine qui parcourt maintenant la bibliothèque d’images. Mais nouvel échec, aucune photo de la brunette, ni dans la librairie, ni dans la corbeille, mis à part quelques photos de lui nu, et de sa grosse bite, « Putain, il est quand même sacrément monté l’enculé ! » finit-elle par conclure.
Elle est sur le point d’abandonner quand lui vient une idée, lorsqu’elle aperçoit l’app de livraison : « Et si ce n’était pas lui ? Et si on voulait me faire croire que c’est lui ? » En effet, l’app historise toutes les commandes, donc si quelqu’un voulait piéger Raphaël, Élodie devrait pouvoir retrouver qui a passer les commandes à chaque fois qu’elle a repéré l’utilitaire.
Elle ouvre alors l’application et vérifie la première date. « Putain c’est pas vrai ! » La jeune fille est estomaquée, ! Les mains tremblantes et la gorge sèche, elle veut en avoir le cœur net et vérifie la deuxième date : « Nan mais j’y crois pas ! »
Nerveuse, elle fait défiler les jours et vérifie les deux dernières dates, incrédule. Elle a tout juste le temps de lire le nom du commanditaire des deux dernières livraison, le cœur défaillant et les mains moites, qu’une voix l’interpelle. Elle manque de faire tomber son smartphone en fermant l’app complètement paniquée :
-Eh ben qu’est ce que tu fous là ma vieille ? Surprise, elle se retourne, le visage mort de honte tant par sa découverte que par le fait de se faire surprendre :
-Euh … Je … En fait, je rentrais du boulot à pied,tu vois ?
-Oui, et … ? l’interroge t’il le regard sombre.
-Ben rien, j’ai mal aux pieds dans mes nouvelles shoes et j’ai vu ton fourgon …
-Et tu t’es dit que t’allais profiter du larbin de tes vieux, c’est ça ? La coupe t’il avant qu’elle ne puisse finir sa phrase.
-Mais nan ! Mais c’est pas ça ! Répond t’elle dans une complainte de gamine gâtée.
-Putain t’es chiante, j’ai encore deux courses à faire et je suis pas rentré encore !
-Ouais bon ça va ! Va te faire foutre putain ! J’me débrouillerai toute seule !
Elle éructe sa dernière phrase, sort du véhicule comme une furie et s’éloigne d’un pas décidé, non sans lui faire un doigt. Elle avait besoin de faire exploser sa colère, comment avait-elle pu se laisser manipuler de la sorte ?
Et alors qu’elle s’éloigne du jeune livreur, qui ne peut détourner son regard gourmand du joli cul qui se déhanche devant lui, Élodie reconstruit le puzzle de ces derniers jours si éprouvant nerveusement, physiquement, sexuellement et même si elle doit bien s’avouer avoir grandement profiter des nombreux orgasmes et des situations extrêmes qui l’ont tant faite jouir, elle n’arrive toujours pas à se faire à l’idée de l’identité de son maître chanteur !
Et pourtant maintenant tout fait sens dans sa tête, seule lui manque une réponse : « Pourquoi ? Mais putain ; Pourquoi ? …. MAMAN ? »
***
De retour à l’appartement, et toujours en colère devant la réalisation de l’identité de son corbeau, il lui faut tout de même une preuve irréfutable, ou à défaut, au moins un début d’explication !
Comment est-ce que sa propre mère a pu la faire chanter de la sorte et pourquoi l’avoir ainsi exposée à tous ces pervers et à toutes ces situations si dégradantes ? Non pas que la jeune fille n’ait pas apprécié découvrir une sexualité si intense, mais comment une mère peut-elle livrer sa propre chair à de telles extrêmes ?
Si Élodie veut trouver un début d’explication, c’est dans la chambre de sa mère qu’elle doit chercher. En effet, la jeune fille est tombée sur une série de journaux intimes l’été dernier, et elle n’avait jamais eu le courage de « violer » l’intimité de sa propre mère.
Mais après ce qu’elle vient de découvrir, la jeune brunette a beaucoup moins d’état d’âme à creuser le passé de Brigitte. Seulement voilà, les journaux ne sont plus où Élodie les avait trouvés.
Après une bonne demi heure passée à fouiller les recoins de la chambre, et quelque peu stressée de se faire surprendre par ses parents, l’adolescente s’octroie une dernière tentative, et « BINGO ! »
C’est dans le faux plafond du dressing de sa mère qu’Élodie trouve la boîte à chaussure contenant les fameux journaux. Prise par le temps, elle parcourt rapidement les plus anciens remontant à l’enfance de Brigitte dans sa petite bourgade de province, mais rien d’intéressant ne saute aux yeux de l’adolescente qui arrive vite fait aux années collèges.
Et là c’est le graall ! 12 ans les premiers crush, les premières masturbations, « un baiser sur la bouche avec sa meilleure copine ? » Élodie n’en revient pas ! Elle a bien du mal à reconnaître sa mère !
Premiers jeux de « touche pipi » avec les copains, et « NAAANNNN J’y crois pas ! » première fellation avec un « grand de troisième » ! Brigitte décrit précisément comment le « grand » lui a montré comment on embrasse avec le langue, et à quoi d’autre pouvait lui servir ses lèvres et sa langue.
Élodie découvre au fil des lignes et des pages manuscrites comment sa mère à commencer de lécher la tige bandée et frétillante de Gaëtan, elle y détaille même le goût de pipi et les vas et vients saccadés du jeune homme qui finit par éjaculer « par accident » dans la bouche de l’ado prépubert.
« Pas étonnant qu’elle ne veuille plus avaler de foutre ! » Se dit la petite brunette complètement excitée par ce qu’elle découvre de sa propre mère. La manière dont la toute jeune Brigitte décrit le goût rance et la viscosité fait contraste avec le nectar qu’Élodie a appris à apprécier ces derniers jours.
Mais apparemment ça n’a pas freiné les ardeurs de sa mère qui apparemment a rapidement apprécié donner du plaisir à ses petits camarades qui l’auraient baptisée à l’époque la « suceuse du collège » !
« Eh ben ma salope ! » Se dit Élodie qui n’en revient pas des découvertes qu’elle déterre. Toujours aux aguets du retour de ses parents, elle poursuit tout de même sa lecture et passé les quatre années au collège, c’est apparemment au lycée que sa mère s’est éclatée puisqu’elle serait alors passée au rang de « salope du bahut » à se faire sauter par les élèves, les étudiants en soirée, et même certains profs pour obtenir de bonne appréciations.
C’est à ce moment qu’Élodie entend la clé dans le verrou de la porte d’entrée. « C’est fou ce qu’on entend comme bruit lorsqu’on est en stress ! » conclue l’adolescente qui balance les journaux dans la boîte en carton qu’elle s’empresse de remettre à sa place avant de déguerpir dans la salle de bain sans demander son reste.
Encore toute chamboulée par ses découvertes, l’adolescente comprend un peu mieux l’état d’esprit de sa mère, qui apparemment est tombée enceinte durant cette période de forte activité sexuelle. À côté d’elle, sa fille devait faire pâle figure à cette chaudasse de « salope du bahut » !
Est-ce que sa propre mère était désespérée au point de monter ce stratagème bizarre pour lui faire découvrir les véritables plaisir de la chair ? Si elle meurt d’envie de poser la question à la première intéressée, Élodie n’en fera jamais rien !
Mais d’une certaine manière, la brunette qui se dénude maintenant pour entrer sous une douche chaude et satisfaire un petit plaisir solitaire bien mérité après l’ascenseur émotionnel dont elle a été victime toute cette journée, est bien contente de pouvoir enfin comprendre ce qui lui arrive depuis quelques jours.
Elle est même soulagée d’une certaine manière de constater que sa mère soit prête à de telle extrême pour libérer la jeune fille fille prisonnière du carcan féministe qui bride la plupart des filles de sa génération. Si en plus elle peut retourner la pareille à sa propre mère en permettant à son vicelard de mari de venir se vider les couilles entre ses lèvres gourmandes plutôt que celle d’une Brigitte récalcitrante !
Forte de ce nouveau sentiment de se rendre utile à celle qui l’a élevée seule durant toutes ces années avant de tomber sur un étalon de la catégorie d’un Serge vicieux et bien monté, l’adolescente se laisse doucement aller à la torpeur d’une douce et longue masturbation la peau ruisselante sous l’eau bouillante d’une bonne douche réparatrice.
Ce soir là, Élodie se sera faite jouir trois fois dans la douce chaleur de son foyer aimant et sans abnégation. Acceptant enfin qui elle est, et remerciant sa mère, discrètement et sans jamais le lui avouer, de l’avoir « contrainte » à accepter son côté petite salope en chaleur.
Lorsqu’elle se réveille le lendemain après avoir encore servi de réservoir à foutre pour son beau père, Élodie sélectionne une toute nouvelle tenue dans le seul but de finalement séduire le livreur bien monté de ses parents.
C’est donc perchée sur ses Nike à talons de 8cm à plateforme noires et violettes qu’Eodie fait une apparition fracassante dans le salon où petit déjeune ses parents. Elle est vêtue d’un micro short denim taille basse maintenu sur les hanches par un lacet de soie laissant apparaître sa peau laiteuse et dénuée de string ou autre culotte.
Quant au haut, c’est d’un simple bandeau de cuir fermé sur l’avant par une fermeture éclair du plus joli effet, qu’elle recouvre sa poitrine généreuse. Les reins cambré par la hauteur de ses talons, elle arbore fièrement ses atouts et remercie une Brigitte, surprise mais pas peu fière d’avoir enfanté, pour la deuxième fois, d’une si jolie bombasse.
D’un simple sourire complice, comme si elle savait que sa fille a finalement découvert le pot aux roses de sa petite machination, Brigitte observe le doux visage poupon de sa fille mis en valeur par des sourcils parfaitement dessiné, soulignés par un fard d’un doux marron estompé magnifiquement sur le haut de la paupière et joliment terminé d’un trait de crayon un peu plus foncé.
Les pommettes de sa fille ressortent dans un magnifique blush et mettent bien en valeur ses lèvres pulpeuses parfaitement dessinées par un doux rose à lèvres aux contours délicatement surlignés au crayon rose.
-Eh ben ma fille, quelle transformation !
-Merci M’man ! Par contre m’attendez pas ce soir, je vais sûrement sortir ! Conclue t’elle en sortant de l’appartement dans son cuir blanc et casque à la main pour rejoindre Mr. Chevaleraud.
Toute excitée de ce qu’elle a prévu pour sa journée, cette dernière n’aurait pas pu mieux commencer si elle n’avait pas rencontrer, pas vraiment par hasard, un Raphaël surpris et estomaqué par la beauté de la gamine.
Élodie lui fait une bise sur la joue avant de conclure :
-Encore désolée pour hier ! Et elle le laisse en plan avant de rejoindre son chauffeur et de chevauchée sa monture son joli cul parfaitement moulé par le mini short tendu sur ses formes.
Car c’est bien pour Raphaël et sa grosse queue que la gamine s’est ainsi parée et prend le risque de se faire peloter comme jamais par les quatre gros porcs du bureau, mais elle ne veut pas lui dévoiler la surprise qu’elle lui réserve pour la fin de journée.
Comme elle s’y attendait, les quatre compères ne manquent pas de lui faire payer une tenue aussi provocante, mais la jeune fille parvient tout de même à leur échapper à plusieurs reprises, non sans quelques incidents ; entre les mains aux fesses, les chutes inopinées et les rattrapages de justesse en s’agrippant à ses gros nichons et en tirant par inadvertance sur la légère fermeture éclair.
Mais c’est lorsqu’ils s’y sont mis à trois pour la piéger que tout à bien failli déraper. C’est en effet après avoir obtenu de sa mère qu’elle accepte de libérer Raphaël un peu plus tôt qu’Élodie s’est retrouvée dans le besoin d’un coup de main informatique sur la gestion des stocks sous la responsabilité de Tony.
Le trentenaire s’était alors accroupi à sa droite lorsque Martin et Dany n’ont rien trouvé de mieux que de lui tirer son téléphone qu’elle a eut le malheur de laisser sur son bureau. Les deux salops l’ont alors inciter à venir le récupérer elle même en se le lançant mutuellement. Piquée au vif, et de peur de se le faire casser avant d’avoir pu inviter Raphaël à la rejoindre.
Élodie s’était levée en trombe sans remarquer que la main de Tony avait glisser de sa jambe dénudée pour attraper le bout de la boucle en soie. Le ruban s’était alors instantanément fait la malle, glissant sans contrainte dans les anneaux rivetés.
Dans son élan et les bras tendus en avant pour récupérer son portable, l’adolescente avait tout juste senti les deux pans en jean s’ouvrir sur sa hanche dénudée. Lorsqu’elle s’était rendu compte qu’elle perdait son short il était déjà trop tard, le lourd tissu de coton avait déjà glissé sur ses cuisses fraîchement épilées.
À la vue de ce joli cul et de son pubis lisse et imberbe, les trois hommes se sont immobilisés instantanément. La gamine avait tout de même pu rattraper les deux pans qu’elle plaquait de son mieux :
-Putain mais bande de connards ! Vous z’avez pas fini avec vos conneries merde !
Mais non en effet, ils n’en avaient apparemment pas fini, puisque Tony la toisait de son regard prédateur, secouant le ruban blanc sous le nez de la gamine en mauvaise posture.
-Eh ben non ma petite salope ! On est loin d’en avoir fini avec une petite allumeuse comme toi !
Et ses deux acolytes d’en rajouter, la main sur l’entrejambe :
-Eh oui ma belle ! Va falloir passer à la vitesse supérieure !
-C’est bien beau de nous allumer! Maintenant faut assumer ! Conclue Dany qui dans un sourire carnassier s’est approcher de la jeune fille et commence à faire glisser le zip de la fermeture fermant le bandeau de cuir et laissant déjà entrevoir les formes arrondies de ses gros nichons.
La jeune fille en mauvaise posture fût sauver de justesse par l’arrivée inopinée de Serge et de Mick qui avait vu leur rendez vous de l’après midi annulé à la dernière minute.
-Eh vous faites quoi là les gars ? Avait hurler Serge en entrant dans le bureau.
-Euh …. Nan mais c’est rien patron, on s’amuse avec la petite ! Hein Elo ? S’était défendu Tony pris la main dans le sac.
Gênée et perturbée, mais pourtant un peu excitée, de s’être faite surprendre de la sorte par son mateur de voisin, Élodie avait attraper ruban et smartphone avant de filer se réfugier dans les toilettes pour se rhabiller. Mais elle avait eût le temps d’entendre Serge leur passer un véritable savon.
Rassurée par l’attitude de son patron, l’adolescente fût contente de le retrouver. Il l’attendait, protecteur, à la sortie des toilettes pour tenter d’excuser l’attitude de ses hommes, et avait fini par l’inviter à rentrer chez elle.
-Merci Serge, mais vous savez c’était pas si grave ! Avait elle ajouté avant de prendre congé .
-Bon OK, si tu le dis ! Mais fait tout de même attention, ce sont pas des tendres !
***
C’est donc une jeune Élodie toute tremblante et un goût métallique au fond de la gorge à cause de la soudaine poussée d’adrénaline qui déambule maintenant, qui déambule dans la rue, l’esprit préoccupé mais un peu plus léger à l’idée de retrouver Raphaël devant le sauna libertin.
« Eh ben ma vieille, y s’en est fallu de peu ! » Elle tente de se rassurer et de prendre du recul par rapport à la situation à laquelle elle vient juste d’échapper, mais ne peut pourtant pas s’empêcher de fantasmer sur ce que ces trois gaillards auraient pu lui faire.
S’imaginant aux prises avec les trio infernal, elle sentirait presque leurs mains sur sa peau, son ventre, ses seins, ses … et il n’en faut pas plus à la jeune fille pour sentir une nouvelle bouffée de chaleur envahir son corps.
« Putain mais je vais vraiment pas bien moi ! » ça c’est ce qu’elle aurait pensé encore hier, mais aujourd’hui, elle se contente d’un sourire gourmand à l’idée de s’offrir à ces trois voir quatre brutes. Mais à cet instant, c’est pour une toute autre raison que son sourire s’illumine, elle aperçoit le grand rouquin qui l’attend devant la brasserie qui fait l’angle de la rue du sauna libertin.
Lorsqu’il l’aperçoit approcher, perchée sur ces petits talons, et la poitrine à peine couverte du bandeau de cuir, il ne peut réprimer un sourire carnassier :
-Eh ben, qu’est ce qui est arrivé à ton cuir ? Il a rétréci ou quoi ?
Un peu surprise, Élodie a oublié que Raph ne l’avait pas encore vue ainsi fagotée, elle était « équipée » moto lorsqu’elle l’a croisé ce matin. Elle jette un coup d’œil à sa poitrine par réflexe avant d’ajouter :
-Ah oui, ça te plaît ?
-Ouais bon tu sais déjà que j’te trouve bonne ! Si tu m’disais ce que tu veux ? Déjà que j’perds des courses à cause de toi !
D’abord surprise par la remarque, c’est avec une étincelle de colère dans les yeux, que Élodie a un mouvement de recul :
-Eh mais ça va ! J’m’étais juste dit que ça te f’rait plaisir que je t’offre un verre !
La jeune fille piquée au vif par la remarque se bat de toutes ses forces pour ne pas lui avouer qu’elle s’est faite belle pour lui. Elle a même bravé une partie du quatuor infernal pour se présenter à lui dans ses plus beaux atours. Loin de se défiler, elle approche du jeune homme un regard profond et sensuel ancré dans les grands yeux verts du livreur.
-Bon allez gros nigaud, est ce qu’un bisou te mettrait de meilleur humeur ?
Elle passe ses bras autour de la nuque du jeune homme et lui colle un gros SMACK sur la joue. En déséquilibre sur la pointe des pieds, elle écrase sa grosse poitrine sur le torse du livreur et glisse ses doigts dans ses doux cheveux couleur de feu.
Décollant son visage de celui du jeune livreur afin de noyer son regard dans les grands yeux émeraudes du rouquin avant de l’inviter :
-Alors ? Est ce qu’un verre avec la fille de tes patrons préférée te ferait oublier ce « manque à gagner » ?
Elle lui sourit glisse intentionnellement ses doigts fins le longs des bras nu de son rouquin, afin de maintenir le contact avec le jeune homme. Il éclate de rire et lui claque le cul, avant de conclure :
-T’as d’la chance d’avoir un beau cul ! Rien que ça …. HUM …. Il ne cache même pas le regard gourmand qu’il jette sur le magnifique cul prisonnier du micro denim.
Les deux adolescents entrent dans le troquets, et on peut dire que l’arrivée de la jeune bombasse ne passe pas inaperçue entre les ouvriers qui peuvent se rincer l’œil à l’entrée de la jeune bombasse.
Jouant les fausse pudiques, Élodie se cramponne au bras de son partenaire d’un soir et colle son corps presque dénudé au jeune corps viril. Ils s’assoient dans un coin du bar et commande leurs boissons respectives.
Élodie joue de tous ses charmes durant la plus longue conversation qu’elle n’ait jamais eue avec le jeune homme. Elle y apprend qu’il est lui aussi passionné de moto et qu’il passe ses week-end sur les circuits, et lorsqu’il parle avec passion de son hobby, elle plonge intentionnellement son regard profond dans les grands yeux verts du jeune homme tout en lui caressant doucement l’avant bras.
Elle s’amuse à séduire ce grand gaillard par un doux jeu d’intérêt à ses histoires souligné de grands sourires charmeurs et de doux contacts de ses doigts fins sur les avant-bras aux muscles noueux et puissants du livreur qu’elle laisse doucement glisser sur le dos de sa main.
L’adolescente s’amuse à observer les réactions du jeune homme à ses douces attention. Elle ne manque pas de noter la chair de poule qui pigmente la peau blanchâtre du rouquin lorsqu’elle lui caresse le dos de la main en se mordillant la lèvre inférieure, en le tentant de son regard de braise.
Mais elle taquine le livreur en se retirant subitement, simulant une fausse pudeur en rougissant, l’index taquin entre ses lèvres pulpeuses. Elle le laisse parler encore un peu puis l’invite finalement en lui enserrant la main :
-Et si on décollait ? J’ai eu une grosse journée et un petit jacuzzi me ferait du bien !
Il n’en faut guère plus à Raphaël qui lui attrape la main pour se diriger vers la sortie du troquet en réglant lui-même la note. « Et voilà comment on se fait inviter ! » se félicite secrètement la coquine.
***
Lorsque les deux adolescents sortent de la brasserie, Élodie entraîne Raphaël derrière elle et prend la direction du sauna dans lequel elle a pris tant de plaisir il y a juste quelques jours.
Comme beaucoup de jeunes, persuadée d’avoir la priorité, elle se lance sur la chaussée sans même regarder, quand soudain Raphaël l’attire violemment en arrière :
TUUUUUUUUUUT – Nan mais ça va pas bande de malades !
La jeune fille est tétanisée, le cœur pulsant violemment jusque dans ses tempes. Hypnotisée par l’expérience d’avoir tout juste échappé à un accident, sa vision se tunnelise et elle ne voit plus que le sauna et le plaisir dont elle compte bien se délecter.
C’est ainsi, qu’avec un peu plus de précautions, ils traversent l’avenue ombragée par les grands peupliers filtrant la lumière du jour descendant. Aucun des deux ne remarque l’arrivée de Enzo, Quentin et Matthieu qui, sortant tout juste d’une nouvelle journée harassante, sont attiré parle bruit soudain et se réjouissent de la vision sexy de leur copine s’engouffrant dans le bain libertin.
Sans se doutée que le trio vient de la repérer, Elo paye l’entrée et récupère la serviette que lui tend le gros gérant de l’établissement. Sans trop s’attarder dans l’entrée qu’elle trouve toujours aussi glauque, Élodie passe le tourniquet, suivie de Raphaël.
Bien décidée à passer du bon temps avec le jeune livreur, elle n’a même pas remarqué que Raph a une serviette de bain beaucoup plus épaisse que la sienne. Ce n’est que lorsqu’elle sort du vestiaire des filles, le corps tout juste couvert par le rectangle de coton, qu’elle s’aperçoit que le rouquin est confortablement enveloppé dans sa grande serviette blanche.
-HA HA HA Eh ben ma vieille, ils sont radins sur les serviettes ou quoi ?
Raph éclate de rire en tirant doucement sur un coin de la serviette d’Élodie. La gamine est obligée de la maintenir plaquée sur sa poitrine pour ne pas qu’elle se fasse la malle :
-EH mais vas y ! Te gêne pas surtout !
Avec la fausse pudeur dont elle apprend tout juste à se servir, Élodie croise timidement les jambes, et d’une main bloquant la serviette sur ses gros seins, elle prend la main du rouquin est ils se dirigent tous deux dans la salle rose.
Dès l’entrée dans le hammam ils sont submergés par la lourde chaleur humide et enveloppés dans l’ambiance cotonneuse de la vapeur en suspension. Leurs corps se couvrent presque instantanément d’une lourde sueur brillante. Les boucle de la gamine se plaque sur son front perlant de transpiration et les paumes enlacées deviennent glissantes.
Élodie imagine déjà la tige rigide de la grosse queue glisser dans le creux de sa paume gluante. « HUM calme toi ma fille ! T’as le temps, il va pas filer maintenant ! »
***
Profitant de l’opacité et de l’intimité fournie par la vapeur d’eau dense, Élodie passe sa main gauche sur le dos humide de Raphaël, elle le sent frissonner malgré la lourde chaleur ambiante.
Un sourire gourmand se dessine instinctivement sur ses lèvres, il a envie d’elle autant qu’elle veut de lui. Elle se bat de toute ses forces pour ne pas aller trop loin, trop vite, elle veut apprécier cette intimité le plus longtemps, le plus lentement possible.
-Vient avec moi ! Lui dit elle en se dirigeant avec lui vers le bassin du jacuzzi au centre de la pièce rose.
En appui contre le rebord du bain à remous, elle se tourne face à Raph et lui attrape les mains pour les plaquer sur le nœud tendu de sa propre mini serviette :
-Déshabille moi !
Le grand rouquin attrape le nœud très tendu au dessus de la poitrine de la gamine. Élodie passe sa main droite dans les cheveux de feux, collés par l’humidité et la sueur. Elle le laisse faire, embrasse le haut de son torse, caresse son bras droit de sa main libre.
Alors qu’elle sent le lourd coton glisser le long de son corps et terminer sa course sur ses pieds, elle glisse sa main gauche le long des hanches musclées du livreur et laisse courir ses doigts le long du morceau de coton tendu sur la bassin jusqu’aux poils pubien reliant son nombril à la base de sa verge.
La main droite de la jeune fille caresse, griffe doucement le torse légèrement poilu, elle en dessine les contours pectoraux musclés, embrasse de ses lèvres pulpeuses le haut des épaules, et laisse descendre sa main droite sur la bosse qui tend maintenant le carré de coton couvrant encore l’intimité du rouquin.
Elle joue avec le jeune homme qui voit sa respiration s’accélérer au rythme de ses propres mouvements cardiaques. La chaleur du souffle de la gamine dans sa nuque le rend dingue, il veut la posséder, lui agripper les seins, lui bouffer la chatte, la prendre brutalement par tous les trous. Mais la gamine sait y faire, elle le chauffe, l’excite, le comble, le dompte.
« Tu perds rien pour attendre petite allumeuse ! Ce soir tu es à moi ! »
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
Dans son calvaire, les sensations se font plus précises, plus réelles. Les odeurs presque trop présentes de mouille fraîche, les doigts qui s’insèrent entre les muqueuses glissantes et gorgées de sang de sa chatte en chaleur, un gland volumineux qui s’immisce entre ses lèvres gourmandes, les râles de plaisir au dessus de son visage.
Dans une semi conscience, Élodie se force hors de son rêve et réalise que les doigts qui lui donnent tant de plaisir à lui fouiller la vulve gluante sont bien réels. Le cerveau embrumé par le plaisir de se faire branler par deux doigts puissants coulissant en elle, l’adolescente se met à aspirer avec gourmandise la queue puissante et tendue entre ses lèvres pulpeuses.
-Oh oui putain ! Vas y petite salope ! Aspire moi la bite !
***
Serge vient de baiser Brigitte, l’excitation et l’anticipation de venir se vider les couilles entre les douces lèvres de cette petite salope d’Elo ont décuplé sa fougue et il a fait jouir sa femme comme jamais. Il la ligotée au pied de son lit, il l’a baisée, enculée, un nouveau vibro planté dans sa chatte à lui procurer de nouveaux plaisirs à travers la paroi vaginale de sa femme.
Dopé grâce à une petite pilule bleue, il ont baisé avec fougue deux heures durant, et le bougre a lutter par quatre fois pour réprimer une forte envie de jouir dans les entrailles de sa belle.
Lorsque Brigitte s’est effondrée de fatigue au pied du lit nuptial, il s’est retiré de son cul béant et les doigts serrés à la base de sa bite parcourue de grosses veines saillantes, il s’est rendu dans la chambre de la gamine qui dormait à point fermé, le sommeil apparemment troublé de rêves érotiques.
Il a retiré en douceur la couette, libérant les fragrances de chatte en chaleur et de sperme rance. Le jeune corps se tortillant de plaisir dans la pénombre de la chambre éclairée par les lumières de la rue. Quel plaisir de sentir la peau douce et tendre de la jeune fille sous ses doigts puissants.
Élodie avait naturellement écarté les cuisses lorsqu’il avait approché ses doigts de son pubis ondulant sous ses caresses, et il ne lui avait as fallu longtemps pour écarter ses lèvres vaginales et lui fouiller la chatte complètement éclose et humide de cyprine chaude et gluante.
Maintenant à califourchon, les cuisses puissantes écartées, au-dessus du visage angélique de sa salope de belle fille. Il se branle la queue, le gland au bord des lèvres charnues de l’adolescente. Un petit gémissement et un léger souffle de plaisir glissant sur son pénis tendu, Serge perçoit le changement subtil qui s’opère sur la gamine en train de sortir de sa torpeur.
Il commence un peu à paniquer mais lorsque Élodie se met à onduler du bassin pour planter sa chatte sur ses doigts et qu’elle aspire goulûment son gros dard au bord de l’explosion, il presse sa chance et passe sa main libre derrière le crâne de la jeune fille pour planter sa bite sous pression au fond de la bouche gourmande, et dans un râle de plaisir, il l’incite à le sucer :
-Oh oui putain ! Vas y petite salope ! Aspire moi la bite !
***
Tout juste consciente de la masse de Serge au dessus de son visage, Élodie se concentre uniquement sur la grosse tige de chair couverte de veines saillantes qui coulisse entre ses lèvres serrées. Dans son délire nymphomaniaque et encore chaude comme une chienne en chaleur, elle l’aspire avec gourmandise la queue de son beau-père.
Les odeurs chaudes du sexe épais transportent la gamine dans une nouvelle torpeur douce. Dans son demi sommeil, Élodie se laisse enivrer par les odeurs intimes de sa mère portées par la queue de Serge coulissant dans sa bouche.
Les doigts qui lui massent habilement l’intérieur de la vulve secondés par une paume massive appuyant et massant en cercles concentriques son clitoris gorgé de sang et de plaisir, mènent la gamine déjà dans un état second, dans de nouvelle sphères de plaisir intense.
Machinalement, elle attrape la base épaisse du pénis de Serge et le masse en rythme avec sa fellation son pouce et son index glissant en « O » sur la peau épaisse et lubrifiée de la cyprine et des jus intimes de Brigitte.
-Oui c’est ça petite salope ! Branle moi et suce moi bien ! Je vais gicler mes doses de foutre dans ta belle bouche de pute.
-SLURP …. SLURP …. SLURP….
Élodie l’avale en profondeur, le gland de son beau-père taquinant sa glotte détendue à chaque pénétration. Lorsqu’elle sent la main de Serge appuyer sur l’arrière de sa nuque pour lui incliner la tête vers l’arrière, la jeune fille ouvre entièrement sa gorge et sort sa langue pour l’avaler en gorge profonde.
Serge plante un troisième doigts dans la vulve en chaleur et accélère le pistonnage de sa belle-fille claquant violemment sa paume sur le pubis au clitoris dégagé. Prenant appui dans la chatte de l’adolescente et s’agrippant à la nuque tendue, il baise la gorge de l’adolescente à grands coups de reins longs et profonds, la base de son gland frôlant avec ses lèvres à chaque sortie de sa queue.
Au bord de l’explosion, le gros quadra plante sa bite au plus profond de la gorge détendue pour mener la jeune fille au bord de l’asphyxie. Il accélère le pilonnage de la chatte gonflée et huileuse autour de ses doigts et se contente de faire coulisser son gland tendu dans la gorge ouverte.
Élodie est à bout de souffle, elle se cambre violemment sur son lit, uniquement guidée par ses instincts animaux. Sa gorge convulse en spasmes désordonnés autour de la tige de chair dure comme une barre de fer. Elle sent alors le gland tuméfié gonfler dans sa gorge tendue.
-HUMPH …. Putain, bouffe ça petite chienne !
Au bord de l’explosion, Serge retire sa verge couverte de glaires et se branle dans des FOUIC FOUIC obscènes. Élodie, aux abois, ouvre grand la bouche, tend la langue entre ses lèvres et accueille avec délectation la première giclée épaisse de sperme chaud et gluant.
Elle tend le visage et aspire le gland de son beau-père, il convulse dans sa bouche lorsque la gamine le branle de sa main douce. Les décharges gonflent les joues juvéniles sous la pression et Élodie a bien du mal à déglutir les doses importantes de foutre qui l’inonde par vagues chaudes et gluantes.
Alors que Serge se retire lentement de la bouche chaude et douce, la bite couverte de salive et de sperme mélangés, il tape son sexe dégonflant au bord des lèvres charnues comme on tape une cuiller au bord d’un saladier, puis il se retire de la chambre sans un mot, ni un regard pour Élodie.
La jeune fille encore à moitié endormie reste entière dans son délire nymphomane et se délecte de la dose de foutre chaud et odorant qui tapisse encore sa langue gourmande de ce nectar si particulier.
Le majeur gauche glissant et coulissant avec volupté entre ses lèvres vaginales, elle se met à sucer son index puis son majeur droit en un simulacre de fellation, allongée nue, les cuisses écartées, sur son lit défait.
Ses doigts coulissent lentement entre ses lèvres et jouent avec le sperme qu’elle a en bouche avant qu’elle ne le déglutisse avec gourmandise. Élodie se recroqueville ensuite et se rendort dans son lit défait, la tête pleine de rêves sexuels dans les fragrances de sperme et de cyprine mélangés.
Quelques heures plus tard, la jeune fille se réveille, emmitouflée dans sa couette, les idées un peu embrumées par le réveil inopiné de la nuit. Tout d’abord avec une vague impression d’avoir rêvé la fellation nocturne, les relents de foutre rance confirment la visite de son paternel.
La jeune fille profite de la jeunesse de la matinée pour se faufiler dans la salle de bain avant le réveil de ses parents. Elle prend une longue douche chaude et décontractante, profitant de ce moment pour se détendre. Les longues minutes passées sous l’eau bouillante lui permettent de réfléchir à ces derniers jours.
Ses réflexions font remonter les moments de sexe intenses et brutaux qui ont fait naître en elle tellement de nouvelles sensations. Les mains savonneuses glissent sur sa peau douce et toutes ces sensations à fleur de peau font renaître en elle cette douce chaleur gonflant et enflant au creux de son ventre.
Sur le point de succomber à nouveau à toutes ces sensations charnelles et sensuelles, son esprit dérive et la jeune fille ne peut s’empêcher de penser : « Et dire que tout ça a démarré à cause de ce maître chanteur ! », à y repenser, son cerveau cartésien essaye de recoller les morceaux d’un puzzle complexe.
Alors que sa main droite dérive doucement entre ses cuisses, Élodie commence inconsciemment à caresser son pubis lisse et doux, laissant même ses doigts s’immiscer entre ses lèvres vaginales écloses et déjà huileuses. Toutes les pistes qu’elle a pu identifier pointent inexorablement vers le grand livreur de ses parents.
Le souvenir de la grosse queue tendue contre son cul dans l’arrière boutique réveille à son tour les sentiments d’impuissance et de soumission dans lesquels l’adolescente avait bien failli succomber sans l’intervention de Mr. Jean.
« Mais qu’est-ce qui m’arrive putain ? » Impuissante à pouvoir se contrôler, Élodie se laisse aller à titiller ses tétons durs et sensibles entre pouce et index alors que deux doigts de sa main libre s’enfoncent en elle, déclenchant de nouvelles vagues de plaisir.
Elle commence à prendre son pied, rien qu’à imaginer le jeune livreur bien monté la photographier, la faire chanter, choisir toutes ces tenues sexy et allumeuses, la mettre en scène dans toutes ces situations humiliantes et pourtant si jouissives.
« Putain ! Ressaisit toi ma fille ! » HUN …. Elle tire sur ses tétons bandés et fouille ses muqueuses avec douceur et volupté lorsqu’un bruit dans le couloir la ramène à la raison :
BOUM BOUM BOUM
-Elooooo ! Bouge ton cul, on va être à la bourre ! Brigitte frappe violemment à la porte de la salle de bain, coupant instantanément l’excitation de la gamine.
***
La pauvre jeune fille en proie à ses démons et incapable d’assouvir ses plaisirs matinaux termine sa douche et se retire dans sa chambre sans même saluer Serge qu’elle croise dans le salon uniquement vêtue de sa serviette de bain.
Une fois seule dans sa chambre, pressée par le temps, et toujours sans nouvelles de son corbeau, la petite brunette sèche ses cheveux qu’elle laisse pendre libres le long de ses épaules et délaisse ses lunettes au profit de ses lentilles de contact.
Fard à paupières légèrement brunâtre, trait d’eyeliner avec virgule au coin de l’œil, blush rosé sur les pommettes et brillant à lèvre rappelant la poudre de ses joues, elle s’engonce dans une paire de jean slim blanc en coupe bootcut soulignant le joli galbe de ses cuisses et de son joli cul et se grandit d’une parie d’escarpins noirs à bouts ouverts, perchée sur ses 13cm de talons aiguilles à semelle compensée de 5cm.
L’adolescente parfait son look d’un petit croptop blanc immaculé, shoulderless à manches courtes, il se lace entre ses gros seins pointant d’excitation à retrouver Mr. Chevaleraud. Avant de partir, elle se contemple dans son miroir plein pied, et réajuste les froufrous de son haut avant d’enfiler son cuir blanc et d’attraper son casque bol.
D’un simple :
-À ce soir !
Élodie attrape son sac à dos dans l’entrée et dévale les escaliers pour retrouver son boss qui l’attend déjà, la sportive vrombissante devant la lourde porte de fer forgé.
***
Sur la route Élodie sent l’air frais du matin s’immiscer entre la base de sa veste et la ceinture de son taille basse, pour glisser subtilement entre ses lobes fessiers. La sensation déclenche de légers frissons le long de l’épine dorsale de la gamine qui sent instantanément ses tétons durcir sous le doux coton de son croptop.
L’air frais glisse le long de sa raie culière pour caresser son œilleton anal. C’est la première fois que la gamine expérimente cette douce caresse fraîche, ce qui la chauffe sensiblement, alors qu’elle va bientôt retrouver les quatre pervers de son bureau.
Comme un hasard malheureux, Martin, Danny, Mick et Tony sortent de leur minibus au moment où Élodie descend de la moto et retire son cuir. Leur sourire prédateur excite la jeune fille autant qu’elle la stresse, elle va devoir passer la journée avec ces animaux qui se régalent apparemment du spectacle de ses gros nichons pointant sous le fin coton blanc.
Et la gamine ne s’y est pas trompée, toute la journée, elle a passé son temps à éviter les quatre pervers qui ne manquèrent pas de poser leurs mains sur ses hanches dénudées pour « l’aider à ranger de lourds classeurs », à glisser leurs paluches inquisitrices le long de ses cuisses gainées dans le jean tendu, à lui peloter le cul lorsqu’elle transférait les fournitures d’une étagère à une autre, à mater ses gros nichons dans le décolleté lacé lorsqu’elle avait besoin d’un coup main sur son ordinateur « récalcitrant ».
Heureusement, Serge a eu besoin d’eux dans l’après midi, et une demi heure avant la fin de sa journée, Mr. Coulomb vient de charger Élodie de déposer le courrier à la Poste. La gamine ayant laissé ses affaires de moto dans le topcase de Serge, se rend simplement vêtue de blanc au bureau de Poste juste en face du Sauna où elle a tant pris de plaisir la veille.
Lorsqu’elle ressort quelques quinze minutes plus tard, un détails inhabituel attire son attention de l’autre côté de la rue. En effet, le Kangoo de Raphaël se trouve garé juste devant l’entrée de service du bâtiment aux bains libertins.
***
Sur le chemin du retour, Élodie ne peut s’empêcher de ressasser ce qu’elle suppose depuis quelques temps déjà. En effet, ce n’est pas la première fois qu’elle repère l’utilitaire du livreur non loin d’où elle se trouve. « Putain, mais est-ce que c’est lui ? » Comment peut-elle confirmer ce qu’elle suspecte depuis peu ?
De retour chez elle, après cette journée à se faire peloter par les quatre pervers du bureau, l’adolescente est bien contente de retrouver le bien-être de l’appartement familial. Elle ne peut pourtant pas empêcher de repenser à la présence de Raphaël en livraison dans le sauna.
Pour elle, confirmer l’identité de son maître chanteur consiste déjà à vérifier s’il la suit d’une manière ou d’une autre. Ensuite, il lui faudrait confirmer qu’il la suit de son propre chef, et pour ça Élodie ne voit pas d’autre moyen que de consulter le portable du livreur. La jeune fille entrevoit déjà le cheminement des étapes de son plan.
Ainsi préoccupée par cette petite « enquête » pour enfin identifier son corbeau, l’adolescente est moins esclave de ses sens et même si les quatre repris de justice l’ont bien chauffée toute la journée, elle parvient à garder la tête froide pour mettre son plan en œuvre.
***
Le lendemain, c’est vêtue d’une jolie combinaison en jean slim et au profond décolleté qu’elle se rend au bureau avec Serge. Perchée sur une fine paire d’escarpins ouverts à talons, elle se farde d’un blush aux douces teintes marron pour rehausser ses pommettes saillantes, surligne son large regard d’un trait de mascara noir et agrémente son sourire poupon d’un brillant à lèvres rose pailleté, elle sollicite Mr. Coulomb dès son arrivée.
Enfermée dans le bureau du breton, elle use de ses charmes pour convaincre le gros bougon de la libérer une demi-heure plus tôt tous les soirs si elle réduit sa pause déjeuner du même temps.
D’abord réticent, le gros patron lui concède la demi heure si elle s’occupe du courrier en échange. La jeune fille n’en demandait pas tant, ça lui donne l’occasion de repasser devant le sauna et par la même occasion, elle pourra confirmer ses doutes au sujet de Raphaël. Si le livreur la suit vraiment, elle ne le manquera pas.
C’est ainsi que le soir même, après une nouvelle longue journée à supporter les railleries et les attouchements de plus en plus entreprenant du quatuor, Élodie se rend au bureau de Poste voisin dans l’espoir de confirmer ses doutes.
Quelle n’est pas sa déception lorsque, après quinze longues minutes d’attente elle sort enfin à l’air libre pour surprendre le jeune livreur. Mais pas de trace du Kangoo ni du grand rouquin. « Eh ben v’la l’enquêtrice ! » se dit-elle bougonne et contrainte de rentrer à pied.
Alors qu’elle remonte l’avenue toute à ses pensées et quelque peu chauffée par les avances de ses collègues, elle s’imagine avec ses potes Quentin, Enzo et Matthieu en train de les sucer dans leur repère.
Elle repense à leurs belles bites tendues, la brutalité d’Enzo, la douceur de Matthieu et la virilité de Quentin. Leurs queues tendues et gonflées à bloc coulissant entre ses lèvres couvertes de brillant.
Les râles de ses jolis mâles lorsque enfin ils lui délivrent leurs doses de sperme chaud et gluant, couvrant sa langue gourmande, débordant de ses lèvres suaves, dégoulinant le long de sa nuque pour glisser doucement sur ses gros seins et terminer en goutte à goutte sur la pointe de ses tétons rigides.
La jeune fille n’en revient pas de s’exciter seule de la sorte au milieu de la foule des employer quittant leurs bureaux pour retourner à leurs vies monotones. Elle sent bien la pointe de ses seins durcir sous le tissu tendu de sa combi, et la couture de son entrejambe qui s’immisce entre les lèvres suaves et gluantes de sa chatte en chaleur.
C’est alors que toute absorbée à son plaisir naissant, elle le voit, le véhicule utilitaire du livreur n’est pas si loin finalement. « HUM ! Je suppose qu’il ne peut pas toujours livrer au même endroit ! Il doit sûrement brouiller les pistes ! » Ou du moins, c’est ce qu’elle ferait si elle était dans la situation du jeune corbeau.
Profitant de l’absence du jeune homme, la belle se glisse dans le véhicule ouvert et s’empare du portable que Raphaël a l’habitude de laisser sur la base collée sur le tableau de bord.
Nerveuse à l’idée de se faire surprendre, elle n’arrête pas de jeter des coups d’œil furtifs en direction du restaurant qu’elle imagine être le client en livraison. Son propre smartphone en main, elle recherche dans ses historiques, les dates et heures des messages de chantage qu’elle a reçu, elle parcourt les messages du jeune homme sans succès.
S’il est l’auteur des messages, c’est d’un autre portable qu’il les a envoyé. « Ou peut-être ? » Et s’il les avait effacé ? Se demande la gamine qui parcourt maintenant la bibliothèque d’images. Mais nouvel échec, aucune photo de la brunette, ni dans la librairie, ni dans la corbeille, mis à part quelques photos de lui nu, et de sa grosse bite, « Putain, il est quand même sacrément monté l’enculé ! » finit-elle par conclure.
Elle est sur le point d’abandonner quand lui vient une idée, lorsqu’elle aperçoit l’app de livraison : « Et si ce n’était pas lui ? Et si on voulait me faire croire que c’est lui ? » En effet, l’app historise toutes les commandes, donc si quelqu’un voulait piéger Raphaël, Élodie devrait pouvoir retrouver qui a passer les commandes à chaque fois qu’elle a repéré l’utilitaire.
Elle ouvre alors l’application et vérifie la première date. « Putain c’est pas vrai ! » La jeune fille est estomaquée, ! Les mains tremblantes et la gorge sèche, elle veut en avoir le cœur net et vérifie la deuxième date : « Nan mais j’y crois pas ! »
Nerveuse, elle fait défiler les jours et vérifie les deux dernières dates, incrédule. Elle a tout juste le temps de lire le nom du commanditaire des deux dernières livraison, le cœur défaillant et les mains moites, qu’une voix l’interpelle. Elle manque de faire tomber son smartphone en fermant l’app complètement paniquée :
-Eh ben qu’est ce que tu fous là ma vieille ? Surprise, elle se retourne, le visage mort de honte tant par sa découverte que par le fait de se faire surprendre :
-Euh … Je … En fait, je rentrais du boulot à pied,tu vois ?
-Oui, et … ? l’interroge t’il le regard sombre.
-Ben rien, j’ai mal aux pieds dans mes nouvelles shoes et j’ai vu ton fourgon …
-Et tu t’es dit que t’allais profiter du larbin de tes vieux, c’est ça ? La coupe t’il avant qu’elle ne puisse finir sa phrase.
-Mais nan ! Mais c’est pas ça ! Répond t’elle dans une complainte de gamine gâtée.
-Putain t’es chiante, j’ai encore deux courses à faire et je suis pas rentré encore !
-Ouais bon ça va ! Va te faire foutre putain ! J’me débrouillerai toute seule !
Elle éructe sa dernière phrase, sort du véhicule comme une furie et s’éloigne d’un pas décidé, non sans lui faire un doigt. Elle avait besoin de faire exploser sa colère, comment avait-elle pu se laisser manipuler de la sorte ?
Et alors qu’elle s’éloigne du jeune livreur, qui ne peut détourner son regard gourmand du joli cul qui se déhanche devant lui, Élodie reconstruit le puzzle de ces derniers jours si éprouvant nerveusement, physiquement, sexuellement et même si elle doit bien s’avouer avoir grandement profiter des nombreux orgasmes et des situations extrêmes qui l’ont tant faite jouir, elle n’arrive toujours pas à se faire à l’idée de l’identité de son maître chanteur !
Et pourtant maintenant tout fait sens dans sa tête, seule lui manque une réponse : « Pourquoi ? Mais putain ; Pourquoi ? …. MAMAN ? »
***
De retour à l’appartement, et toujours en colère devant la réalisation de l’identité de son corbeau, il lui faut tout de même une preuve irréfutable, ou à défaut, au moins un début d’explication !
Comment est-ce que sa propre mère a pu la faire chanter de la sorte et pourquoi l’avoir ainsi exposée à tous ces pervers et à toutes ces situations si dégradantes ? Non pas que la jeune fille n’ait pas apprécié découvrir une sexualité si intense, mais comment une mère peut-elle livrer sa propre chair à de telles extrêmes ?
Si Élodie veut trouver un début d’explication, c’est dans la chambre de sa mère qu’elle doit chercher. En effet, la jeune fille est tombée sur une série de journaux intimes l’été dernier, et elle n’avait jamais eu le courage de « violer » l’intimité de sa propre mère.
Mais après ce qu’elle vient de découvrir, la jeune brunette a beaucoup moins d’état d’âme à creuser le passé de Brigitte. Seulement voilà, les journaux ne sont plus où Élodie les avait trouvés.
Après une bonne demi heure passée à fouiller les recoins de la chambre, et quelque peu stressée de se faire surprendre par ses parents, l’adolescente s’octroie une dernière tentative, et « BINGO ! »
C’est dans le faux plafond du dressing de sa mère qu’Élodie trouve la boîte à chaussure contenant les fameux journaux. Prise par le temps, elle parcourt rapidement les plus anciens remontant à l’enfance de Brigitte dans sa petite bourgade de province, mais rien d’intéressant ne saute aux yeux de l’adolescente qui arrive vite fait aux années collèges.
Et là c’est le graall ! 12 ans les premiers crush, les premières masturbations, « un baiser sur la bouche avec sa meilleure copine ? » Élodie n’en revient pas ! Elle a bien du mal à reconnaître sa mère !
Premiers jeux de « touche pipi » avec les copains, et « NAAANNNN J’y crois pas ! » première fellation avec un « grand de troisième » ! Brigitte décrit précisément comment le « grand » lui a montré comment on embrasse avec le langue, et à quoi d’autre pouvait lui servir ses lèvres et sa langue.
Élodie découvre au fil des lignes et des pages manuscrites comment sa mère à commencer de lécher la tige bandée et frétillante de Gaëtan, elle y détaille même le goût de pipi et les vas et vients saccadés du jeune homme qui finit par éjaculer « par accident » dans la bouche de l’ado prépubert.
« Pas étonnant qu’elle ne veuille plus avaler de foutre ! » Se dit la petite brunette complètement excitée par ce qu’elle découvre de sa propre mère. La manière dont la toute jeune Brigitte décrit le goût rance et la viscosité fait contraste avec le nectar qu’Élodie a appris à apprécier ces derniers jours.
Mais apparemment ça n’a pas freiné les ardeurs de sa mère qui apparemment a rapidement apprécié donner du plaisir à ses petits camarades qui l’auraient baptisée à l’époque la « suceuse du collège » !
« Eh ben ma salope ! » Se dit Élodie qui n’en revient pas des découvertes qu’elle déterre. Toujours aux aguets du retour de ses parents, elle poursuit tout de même sa lecture et passé les quatre années au collège, c’est apparemment au lycée que sa mère s’est éclatée puisqu’elle serait alors passée au rang de « salope du bahut » à se faire sauter par les élèves, les étudiants en soirée, et même certains profs pour obtenir de bonne appréciations.
C’est à ce moment qu’Élodie entend la clé dans le verrou de la porte d’entrée. « C’est fou ce qu’on entend comme bruit lorsqu’on est en stress ! » conclue l’adolescente qui balance les journaux dans la boîte en carton qu’elle s’empresse de remettre à sa place avant de déguerpir dans la salle de bain sans demander son reste.
Encore toute chamboulée par ses découvertes, l’adolescente comprend un peu mieux l’état d’esprit de sa mère, qui apparemment est tombée enceinte durant cette période de forte activité sexuelle. À côté d’elle, sa fille devait faire pâle figure à cette chaudasse de « salope du bahut » !
Est-ce que sa propre mère était désespérée au point de monter ce stratagème bizarre pour lui faire découvrir les véritables plaisir de la chair ? Si elle meurt d’envie de poser la question à la première intéressée, Élodie n’en fera jamais rien !
Mais d’une certaine manière, la brunette qui se dénude maintenant pour entrer sous une douche chaude et satisfaire un petit plaisir solitaire bien mérité après l’ascenseur émotionnel dont elle a été victime toute cette journée, est bien contente de pouvoir enfin comprendre ce qui lui arrive depuis quelques jours.
Elle est même soulagée d’une certaine manière de constater que sa mère soit prête à de telle extrême pour libérer la jeune fille fille prisonnière du carcan féministe qui bride la plupart des filles de sa génération. Si en plus elle peut retourner la pareille à sa propre mère en permettant à son vicelard de mari de venir se vider les couilles entre ses lèvres gourmandes plutôt que celle d’une Brigitte récalcitrante !
Forte de ce nouveau sentiment de se rendre utile à celle qui l’a élevée seule durant toutes ces années avant de tomber sur un étalon de la catégorie d’un Serge vicieux et bien monté, l’adolescente se laisse doucement aller à la torpeur d’une douce et longue masturbation la peau ruisselante sous l’eau bouillante d’une bonne douche réparatrice.
Ce soir là, Élodie se sera faite jouir trois fois dans la douce chaleur de son foyer aimant et sans abnégation. Acceptant enfin qui elle est, et remerciant sa mère, discrètement et sans jamais le lui avouer, de l’avoir « contrainte » à accepter son côté petite salope en chaleur.
Lorsqu’elle se réveille le lendemain après avoir encore servi de réservoir à foutre pour son beau père, Élodie sélectionne une toute nouvelle tenue dans le seul but de finalement séduire le livreur bien monté de ses parents.
C’est donc perchée sur ses Nike à talons de 8cm à plateforme noires et violettes qu’Eodie fait une apparition fracassante dans le salon où petit déjeune ses parents. Elle est vêtue d’un micro short denim taille basse maintenu sur les hanches par un lacet de soie laissant apparaître sa peau laiteuse et dénuée de string ou autre culotte.
Quant au haut, c’est d’un simple bandeau de cuir fermé sur l’avant par une fermeture éclair du plus joli effet, qu’elle recouvre sa poitrine généreuse. Les reins cambré par la hauteur de ses talons, elle arbore fièrement ses atouts et remercie une Brigitte, surprise mais pas peu fière d’avoir enfanté, pour la deuxième fois, d’une si jolie bombasse.
D’un simple sourire complice, comme si elle savait que sa fille a finalement découvert le pot aux roses de sa petite machination, Brigitte observe le doux visage poupon de sa fille mis en valeur par des sourcils parfaitement dessiné, soulignés par un fard d’un doux marron estompé magnifiquement sur le haut de la paupière et joliment terminé d’un trait de crayon un peu plus foncé.
Les pommettes de sa fille ressortent dans un magnifique blush et mettent bien en valeur ses lèvres pulpeuses parfaitement dessinées par un doux rose à lèvres aux contours délicatement surlignés au crayon rose.
-Eh ben ma fille, quelle transformation !
-Merci M’man ! Par contre m’attendez pas ce soir, je vais sûrement sortir ! Conclue t’elle en sortant de l’appartement dans son cuir blanc et casque à la main pour rejoindre Mr. Chevaleraud.
Toute excitée de ce qu’elle a prévu pour sa journée, cette dernière n’aurait pas pu mieux commencer si elle n’avait pas rencontrer, pas vraiment par hasard, un Raphaël surpris et estomaqué par la beauté de la gamine.
Élodie lui fait une bise sur la joue avant de conclure :
-Encore désolée pour hier ! Et elle le laisse en plan avant de rejoindre son chauffeur et de chevauchée sa monture son joli cul parfaitement moulé par le mini short tendu sur ses formes.
Car c’est bien pour Raphaël et sa grosse queue que la gamine s’est ainsi parée et prend le risque de se faire peloter comme jamais par les quatre gros porcs du bureau, mais elle ne veut pas lui dévoiler la surprise qu’elle lui réserve pour la fin de journée.
Comme elle s’y attendait, les quatre compères ne manquent pas de lui faire payer une tenue aussi provocante, mais la jeune fille parvient tout de même à leur échapper à plusieurs reprises, non sans quelques incidents ; entre les mains aux fesses, les chutes inopinées et les rattrapages de justesse en s’agrippant à ses gros nichons et en tirant par inadvertance sur la légère fermeture éclair.
Mais c’est lorsqu’ils s’y sont mis à trois pour la piéger que tout à bien failli déraper. C’est en effet après avoir obtenu de sa mère qu’elle accepte de libérer Raphaël un peu plus tôt qu’Élodie s’est retrouvée dans le besoin d’un coup de main informatique sur la gestion des stocks sous la responsabilité de Tony.
Le trentenaire s’était alors accroupi à sa droite lorsque Martin et Dany n’ont rien trouvé de mieux que de lui tirer son téléphone qu’elle a eut le malheur de laisser sur son bureau. Les deux salops l’ont alors inciter à venir le récupérer elle même en se le lançant mutuellement. Piquée au vif, et de peur de se le faire casser avant d’avoir pu inviter Raphaël à la rejoindre.
Élodie s’était levée en trombe sans remarquer que la main de Tony avait glisser de sa jambe dénudée pour attraper le bout de la boucle en soie. Le ruban s’était alors instantanément fait la malle, glissant sans contrainte dans les anneaux rivetés.
Dans son élan et les bras tendus en avant pour récupérer son portable, l’adolescente avait tout juste senti les deux pans en jean s’ouvrir sur sa hanche dénudée. Lorsqu’elle s’était rendu compte qu’elle perdait son short il était déjà trop tard, le lourd tissu de coton avait déjà glissé sur ses cuisses fraîchement épilées.
À la vue de ce joli cul et de son pubis lisse et imberbe, les trois hommes se sont immobilisés instantanément. La gamine avait tout de même pu rattraper les deux pans qu’elle plaquait de son mieux :
-Putain mais bande de connards ! Vous z’avez pas fini avec vos conneries merde !
Mais non en effet, ils n’en avaient apparemment pas fini, puisque Tony la toisait de son regard prédateur, secouant le ruban blanc sous le nez de la gamine en mauvaise posture.
-Eh ben non ma petite salope ! On est loin d’en avoir fini avec une petite allumeuse comme toi !
Et ses deux acolytes d’en rajouter, la main sur l’entrejambe :
-Eh oui ma belle ! Va falloir passer à la vitesse supérieure !
-C’est bien beau de nous allumer! Maintenant faut assumer ! Conclue Dany qui dans un sourire carnassier s’est approcher de la jeune fille et commence à faire glisser le zip de la fermeture fermant le bandeau de cuir et laissant déjà entrevoir les formes arrondies de ses gros nichons.
La jeune fille en mauvaise posture fût sauver de justesse par l’arrivée inopinée de Serge et de Mick qui avait vu leur rendez vous de l’après midi annulé à la dernière minute.
-Eh vous faites quoi là les gars ? Avait hurler Serge en entrant dans le bureau.
-Euh …. Nan mais c’est rien patron, on s’amuse avec la petite ! Hein Elo ? S’était défendu Tony pris la main dans le sac.
Gênée et perturbée, mais pourtant un peu excitée, de s’être faite surprendre de la sorte par son mateur de voisin, Élodie avait attraper ruban et smartphone avant de filer se réfugier dans les toilettes pour se rhabiller. Mais elle avait eût le temps d’entendre Serge leur passer un véritable savon.
Rassurée par l’attitude de son patron, l’adolescente fût contente de le retrouver. Il l’attendait, protecteur, à la sortie des toilettes pour tenter d’excuser l’attitude de ses hommes, et avait fini par l’inviter à rentrer chez elle.
-Merci Serge, mais vous savez c’était pas si grave ! Avait elle ajouté avant de prendre congé .
-Bon OK, si tu le dis ! Mais fait tout de même attention, ce sont pas des tendres !
***
C’est donc une jeune Élodie toute tremblante et un goût métallique au fond de la gorge à cause de la soudaine poussée d’adrénaline qui déambule maintenant, qui déambule dans la rue, l’esprit préoccupé mais un peu plus léger à l’idée de retrouver Raphaël devant le sauna libertin.
« Eh ben ma vieille, y s’en est fallu de peu ! » Elle tente de se rassurer et de prendre du recul par rapport à la situation à laquelle elle vient juste d’échapper, mais ne peut pourtant pas s’empêcher de fantasmer sur ce que ces trois gaillards auraient pu lui faire.
S’imaginant aux prises avec les trio infernal, elle sentirait presque leurs mains sur sa peau, son ventre, ses seins, ses … et il n’en faut pas plus à la jeune fille pour sentir une nouvelle bouffée de chaleur envahir son corps.
« Putain mais je vais vraiment pas bien moi ! » ça c’est ce qu’elle aurait pensé encore hier, mais aujourd’hui, elle se contente d’un sourire gourmand à l’idée de s’offrir à ces trois voir quatre brutes. Mais à cet instant, c’est pour une toute autre raison que son sourire s’illumine, elle aperçoit le grand rouquin qui l’attend devant la brasserie qui fait l’angle de la rue du sauna libertin.
Lorsqu’il l’aperçoit approcher, perchée sur ces petits talons, et la poitrine à peine couverte du bandeau de cuir, il ne peut réprimer un sourire carnassier :
-Eh ben, qu’est ce qui est arrivé à ton cuir ? Il a rétréci ou quoi ?
Un peu surprise, Élodie a oublié que Raph ne l’avait pas encore vue ainsi fagotée, elle était « équipée » moto lorsqu’elle l’a croisé ce matin. Elle jette un coup d’œil à sa poitrine par réflexe avant d’ajouter :
-Ah oui, ça te plaît ?
-Ouais bon tu sais déjà que j’te trouve bonne ! Si tu m’disais ce que tu veux ? Déjà que j’perds des courses à cause de toi !
D’abord surprise par la remarque, c’est avec une étincelle de colère dans les yeux, que Élodie a un mouvement de recul :
-Eh mais ça va ! J’m’étais juste dit que ça te f’rait plaisir que je t’offre un verre !
La jeune fille piquée au vif par la remarque se bat de toutes ses forces pour ne pas lui avouer qu’elle s’est faite belle pour lui. Elle a même bravé une partie du quatuor infernal pour se présenter à lui dans ses plus beaux atours. Loin de se défiler, elle approche du jeune homme un regard profond et sensuel ancré dans les grands yeux verts du livreur.
-Bon allez gros nigaud, est ce qu’un bisou te mettrait de meilleur humeur ?
Elle passe ses bras autour de la nuque du jeune homme et lui colle un gros SMACK sur la joue. En déséquilibre sur la pointe des pieds, elle écrase sa grosse poitrine sur le torse du livreur et glisse ses doigts dans ses doux cheveux couleur de feu.
Décollant son visage de celui du jeune livreur afin de noyer son regard dans les grands yeux émeraudes du rouquin avant de l’inviter :
-Alors ? Est ce qu’un verre avec la fille de tes patrons préférée te ferait oublier ce « manque à gagner » ?
Elle lui sourit glisse intentionnellement ses doigts fins le longs des bras nu de son rouquin, afin de maintenir le contact avec le jeune homme. Il éclate de rire et lui claque le cul, avant de conclure :
-T’as d’la chance d’avoir un beau cul ! Rien que ça …. HUM …. Il ne cache même pas le regard gourmand qu’il jette sur le magnifique cul prisonnier du micro denim.
Les deux adolescents entrent dans le troquets, et on peut dire que l’arrivée de la jeune bombasse ne passe pas inaperçue entre les ouvriers qui peuvent se rincer l’œil à l’entrée de la jeune bombasse.
Jouant les fausse pudiques, Élodie se cramponne au bras de son partenaire d’un soir et colle son corps presque dénudé au jeune corps viril. Ils s’assoient dans un coin du bar et commande leurs boissons respectives.
Élodie joue de tous ses charmes durant la plus longue conversation qu’elle n’ait jamais eue avec le jeune homme. Elle y apprend qu’il est lui aussi passionné de moto et qu’il passe ses week-end sur les circuits, et lorsqu’il parle avec passion de son hobby, elle plonge intentionnellement son regard profond dans les grands yeux verts du jeune homme tout en lui caressant doucement l’avant bras.
Elle s’amuse à séduire ce grand gaillard par un doux jeu d’intérêt à ses histoires souligné de grands sourires charmeurs et de doux contacts de ses doigts fins sur les avant-bras aux muscles noueux et puissants du livreur qu’elle laisse doucement glisser sur le dos de sa main.
L’adolescente s’amuse à observer les réactions du jeune homme à ses douces attention. Elle ne manque pas de noter la chair de poule qui pigmente la peau blanchâtre du rouquin lorsqu’elle lui caresse le dos de la main en se mordillant la lèvre inférieure, en le tentant de son regard de braise.
Mais elle taquine le livreur en se retirant subitement, simulant une fausse pudeur en rougissant, l’index taquin entre ses lèvres pulpeuses. Elle le laisse parler encore un peu puis l’invite finalement en lui enserrant la main :
-Et si on décollait ? J’ai eu une grosse journée et un petit jacuzzi me ferait du bien !
Il n’en faut guère plus à Raphaël qui lui attrape la main pour se diriger vers la sortie du troquet en réglant lui-même la note. « Et voilà comment on se fait inviter ! » se félicite secrètement la coquine.
***
Lorsque les deux adolescents sortent de la brasserie, Élodie entraîne Raphaël derrière elle et prend la direction du sauna dans lequel elle a pris tant de plaisir il y a juste quelques jours.
Comme beaucoup de jeunes, persuadée d’avoir la priorité, elle se lance sur la chaussée sans même regarder, quand soudain Raphaël l’attire violemment en arrière :
TUUUUUUUUUUT – Nan mais ça va pas bande de malades !
La jeune fille est tétanisée, le cœur pulsant violemment jusque dans ses tempes. Hypnotisée par l’expérience d’avoir tout juste échappé à un accident, sa vision se tunnelise et elle ne voit plus que le sauna et le plaisir dont elle compte bien se délecter.
C’est ainsi, qu’avec un peu plus de précautions, ils traversent l’avenue ombragée par les grands peupliers filtrant la lumière du jour descendant. Aucun des deux ne remarque l’arrivée de Enzo, Quentin et Matthieu qui, sortant tout juste d’une nouvelle journée harassante, sont attiré parle bruit soudain et se réjouissent de la vision sexy de leur copine s’engouffrant dans le bain libertin.
Sans se doutée que le trio vient de la repérer, Elo paye l’entrée et récupère la serviette que lui tend le gros gérant de l’établissement. Sans trop s’attarder dans l’entrée qu’elle trouve toujours aussi glauque, Élodie passe le tourniquet, suivie de Raphaël.
Bien décidée à passer du bon temps avec le jeune livreur, elle n’a même pas remarqué que Raph a une serviette de bain beaucoup plus épaisse que la sienne. Ce n’est que lorsqu’elle sort du vestiaire des filles, le corps tout juste couvert par le rectangle de coton, qu’elle s’aperçoit que le rouquin est confortablement enveloppé dans sa grande serviette blanche.
-HA HA HA Eh ben ma vieille, ils sont radins sur les serviettes ou quoi ?
Raph éclate de rire en tirant doucement sur un coin de la serviette d’Élodie. La gamine est obligée de la maintenir plaquée sur sa poitrine pour ne pas qu’elle se fasse la malle :
-EH mais vas y ! Te gêne pas surtout !
Avec la fausse pudeur dont elle apprend tout juste à se servir, Élodie croise timidement les jambes, et d’une main bloquant la serviette sur ses gros seins, elle prend la main du rouquin est ils se dirigent tous deux dans la salle rose.
Dès l’entrée dans le hammam ils sont submergés par la lourde chaleur humide et enveloppés dans l’ambiance cotonneuse de la vapeur en suspension. Leurs corps se couvrent presque instantanément d’une lourde sueur brillante. Les boucle de la gamine se plaque sur son front perlant de transpiration et les paumes enlacées deviennent glissantes.
Élodie imagine déjà la tige rigide de la grosse queue glisser dans le creux de sa paume gluante. « HUM calme toi ma fille ! T’as le temps, il va pas filer maintenant ! »
***
Profitant de l’opacité et de l’intimité fournie par la vapeur d’eau dense, Élodie passe sa main gauche sur le dos humide de Raphaël, elle le sent frissonner malgré la lourde chaleur ambiante.
Un sourire gourmand se dessine instinctivement sur ses lèvres, il a envie d’elle autant qu’elle veut de lui. Elle se bat de toute ses forces pour ne pas aller trop loin, trop vite, elle veut apprécier cette intimité le plus longtemps, le plus lentement possible.
-Vient avec moi ! Lui dit elle en se dirigeant avec lui vers le bassin du jacuzzi au centre de la pièce rose.
En appui contre le rebord du bain à remous, elle se tourne face à Raph et lui attrape les mains pour les plaquer sur le nœud tendu de sa propre mini serviette :
-Déshabille moi !
Le grand rouquin attrape le nœud très tendu au dessus de la poitrine de la gamine. Élodie passe sa main droite dans les cheveux de feux, collés par l’humidité et la sueur. Elle le laisse faire, embrasse le haut de son torse, caresse son bras droit de sa main libre.
Alors qu’elle sent le lourd coton glisser le long de son corps et terminer sa course sur ses pieds, elle glisse sa main gauche le long des hanches musclées du livreur et laisse courir ses doigts le long du morceau de coton tendu sur la bassin jusqu’aux poils pubien reliant son nombril à la base de sa verge.
La main droite de la jeune fille caresse, griffe doucement le torse légèrement poilu, elle en dessine les contours pectoraux musclés, embrasse de ses lèvres pulpeuses le haut des épaules, et laisse descendre sa main droite sur la bosse qui tend maintenant le carré de coton couvrant encore l’intimité du rouquin.
Elle joue avec le jeune homme qui voit sa respiration s’accélérer au rythme de ses propres mouvements cardiaques. La chaleur du souffle de la gamine dans sa nuque le rend dingue, il veut la posséder, lui agripper les seins, lui bouffer la chatte, la prendre brutalement par tous les trous. Mais la gamine sait y faire, elle le chauffe, l’excite, le comble, le dompte.
« Tu perds rien pour attendre petite allumeuse ! Ce soir tu es à moi ! »
********************
Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
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