Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 8
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 8
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
*PLIP* .... *PLIP*
Les bip de son smartphone tirent Élodie de la torpeur dans laquelle ses élucubrations sexuelles et exhibitionnistes l’ont plongée. Fourbue, la peau des fesses, les mamelons, le sexe et l’anus hyper sensibles, les narines submergées des odeurs de sexe et de sperme qui règnent encore dans sa chambre.
Elle se roule dans sa couette à la recherche d’un contact doux et chaleureux. Les insultes et les fessées lui ont procuré de nouvelles sensations jusqu’alors inconnues, mais en cet instant, le contact chaleureux et bienveillant d’un homme serait le bienvenu.
L’écran du smartphone illuminé l’appelle, elle se doute que le maître chanteur ou Romu lui ont préparé tout un programme pour la soirée, mais elle veut profiter encore quelques instants de ce calme relatif.
Elle glisse le bout de ses doigts le long du gode à mange étalé sur le lit devant elle. Le contact doux du phallus veineux lui titille déjà la chatte : “Putain mais t’as un grain ma fille, c’est pas possible !”
L’adolescente force l’irrésistible envie de se caresser à nouveau pour attraper son mobile et savoir à quelle sauce elle va être mangée cette fois :
<eh ben alors comme ça on s’expose à de pauvres ouvriers qui ne peuvent même pas se payer une pute d’autoroute?>
Un deuxième message défile à la suite :
<tu trouveras un petit colis dans ta boîte aux lettres, t'as 3min pour aller chercher le colis juste vêtue d’une serviette et en talons>
Pour être conclu :
<j’y ai mis des fringues et 50 balles pour que tu apportes des bières à ces ouvriers méritants>
“Je me demandais justement quand ça allait me retomber dessus cette séance d’exhib, eh ben voilà t’es fixée ma fille !”
Soudain elle réalise et relit le message snap : <... t'as 3min pour aller chercher le colis juste vêtue d’une serviette et en talon>
-Trois minutes ? Putain .... putain ! Jure-t ’elle en jaillissant de dessous sa couette.
Elle traverse l’appartement, à poil, les seins rebondissant à chacun de ses pas. Elle arrive dans la salle de bain et ne trouve qu’une petite serviette qu’elle attache difficilement au-dessus de sa poitrine et tombant juste en-dessous de son pubis a la base de ses fesses.
Elle file ensuite dans le vestibule, enfile vite fait ses sandales plateformes et se précipite en dehors de l’appartement. En descendant l’escalier elle croise la sexagénaire du troisième qui la toise des pieds à la tête d’un air ; “Ah la jeunesse d’aujourd’hui !”
-Bonjour Madame Pinette ! Crie Élodie sans s’arrêter.
Lorsque la gamine arrive dans le vestibule, elle comprend le comportement de la vieille, une brise de début de soirée glisse sur son entrejambe. Un rapide coup d'œil dans l'immense miroir de l'entrée et Élodie aperçoit la longue fente ouverte du haut de la serviette a la naissance de ses fesses.
Stressée de se faire attraper ainsi, quasiment nue dans l'entrée de l'immeuble, la jeune fille a beaucoup de mal a se calmer pour introduire la petite clé dans la serrure de la boite aux lettres. Elle en sort un colis anonyme, ferme au scotch.
Le mouvement de ses gros seins en dévalant l’escalier, ajouté à la tension en haut de sa poitrine, lorsque la gamine attrape le colis et referme la boite aux lettres, elle sent le nœud se faire la malle.
Les deux mains prises, elle tente de ne pas faire de trop grands mouvements en espérant que la petite serviette reste en place. C’est dans cette situation précaire que la brunette entend la lourde porte d’entrée de l’immeuble grincer dans son dos.
-Eh ben ! Eh ben ! Qu’est-ce qu’on a là ? Demande soudain une grosse voix rocailleuse.
Élodie reconnait la voix particulière de son ancien prof de SVT, qui habite juste au-dessus de ses parents. “Putain le bol ! Il était pas chez lui cet après-midi !”
La gamine est à la fois soulagée et stressée. En effet si M. Pequeur ne l’a pas entendue ou vue s’exhiber sur le balcon, il arrive au mauvais moment. Mais c’est trop tard, le nœud se détend inexorablement et la serviette se fait définitivement la malle.
Paniquée, Élodie se tourne vers la voix et tend machinalement le paquet en avant :
-Est-ce que vous pouvez .... ?
Voyant la détresse de la petite, le gros nounours de prof/biker au crane rase et à la grosse moustache type Hulk Hogan débarrasse adroitement les mains de la gamine qui rattrape tout juste sa serviette. Elle la plaque au-dessus de ses seins, protégeant ainsi sa poitrine et son pubis du regard du biker, mais laissant son cul potelé complètement dévoilé.
-Eh ben dis-moi ! C’est pas vraiment une tenue pour sortir ça ? S’amuse le quadra qui en profite pour lui reluquer le cul.
-Oui .... c’est juste .... euuuh ....
-HA HA HA t’inquiète pas ! Je n’en parlerai pas en classe à la rentrée ! Lui promet-il d’un clin d’œil complice.
Elle lui sourit un peu gênée, tout en tentant de remettre le morceau de tissu en place sans se foutre entièrement à poil dans le vestibule. "Putain de connard ! Me mettre dans une situation pareil, bientôt il ne pourra plus me forcer, si ma mère apprend que j'me promène à poil dans l'immeuble mon compte est bon !"
-Bon allez, file te foutre un truc sur le cul, on va faire un tour !
Depuis trois ans que le motard a emménagé dans l'immeuble, il a initié la gamine aux plaisirs simples d'une virée en moto, et ayant éveillé une véritable passion en elle, il l'emmène régulièrement en sortie depuis. Mais aujourd'hui la jeune fille a, malgré elle, d'autres plans et se voit contrainte de refuser.
Elle récupère le paquet et remerciant le gros motard, elle se grouille de rentrer pour être dans les temps, mais en bon bavard, il rajoute :
-Bon OK, je vois ! Mais si ça te dit, demain je reçoit mon nouveau bolide, une prépa Harley en import direct des US ! Ça te tente de m'accompagner pour la réceptionner ?
Souhaitant mettre fin au plus vite a la conversation, et désireuse de chevaucher la nouvelle grosse cylindrée, Élodie lui répond :
-Oui M. Pequeur, à demain ....
-Je t'attends ici à 09h00 demain, OK ? Crie-t ‘il alors que la gamine remonte les escaliers.
-Oui OK ! Lui répond-elle de loin.
De retour dans l'appartement, elle attrape son smartphone qu'elle avait laissé sur le meuble d'entrée.
*PLIP*
"Putain de justesse !" Elle lit le nouveau message :
<Dans 10min les ouvriers sortent du chantier, tu as intérêt a être belle pour leur donner leur "collation">
"Qu'est-ce qu'il entend par belle, cet enculé ?" La gamine décide d'ouvrir le colis dans la salle de bain afin de gagner un peu de temps et pouvoir se maquiller. Elle se refait une beauté en nettoyant au plus vite les traces et les odeurs de foutre en prenant la douche la plus rapide de sa vie.
Elle prend tout de même le temps de se parfumer et d'hydrater sa peau avec une crème au monoï, puis farde ses paupières d'une teinte légèrement plus foncée que sa peau bronzée. Elle souligne ensuite son regard d'un trait d'eyeliner puis intensifie son regard en étendant au maximum ses cils. Après avoir changé ses lentilles de contact, elle blush légèrement ses joues dodues et complète son maquillage d'un rouge intense qu'elle dépose en plusieurs couches et surligne au crayon.
Avec tout juste 7 minutes, la gamine ouvre, fébrile, le colis scotché et sans se poser de question elle en déballe le contenu; un "short" en jeans déchiré, une paire de sabots sur plateforme de liège d'au moins 8cm d'épaisseur au talon pour 3cm à la pointe et maintenus sur le pied par une grosse lanière en cuir au niveau du coup de pied, et pour finir, une sorte de top en forme de losange, crocheté, d'un blanc immacule, bariole d'un arc en ciel qui semble s'attacher derrière la nuque et dans le dos d'une très très fines cordelette de coton.
Lorsqu'Élodie passe les jambes dans le mini short taille haute, elle a l'impression que son cul ne passera jamais tellement le vêtement est serré. Après quelques secondes, elle parvient enfin à l'enfiler, mais l'ourlet de l'entrejambe lui rentre, comme un string, très profondément dans la raie du cul, faisant ressortir presqu'entièrement ses fesses.
Une fois le short boutonné, elle attache vite fait, d'une simple boucle, la pointe du losange derrière sa nuque, et répète l'opération dans son dos. Ce haut est tellement échancré, que les lobes de ses seins apparaissent visiblement, et pour couronner le tout, le pointe de crochet est suffisamment large pour que l'on distingue le rose fonce de ses aréoles gonflées.
Sans une minute à perdre, elle enfile ses sabots et file dans la réserve remplir un cadi de différentes bières (brunes, blondes, rousses) qu'elle attrape dans la chambre froide. Et c'est le corps encore couvert de chair de poule, et les tétons durcis perçant le crochetage de son haut, qu'elle arrive par une porte de service dans l'impasse au pied de sa chambre pour accueillir, juste a temps la vingtaine d'ouvriers.
Une grosse natte sur le cote, le sourire écarlate, la jeune fille se positionne à la sortie du chantier prête a distribuer ses bières et a se barrer au plus vite, lorsque son téléphone vibre dans la toute petite poche arrière du min short. Elle lit le message avant d'accueillir les premiers ouvriers.
<Tu dois rester minimum 20 minutes avec ces messieurs !>
"20 minutes ? Mais il est dingue ! Ils vont me violer, c'est pas possible" Curieuse et inquiète elle jette un œil à son balcon afin d'avoir une idée de ce que les gars ont pu voir. Et là, catastrophe, elle aperçoit le haut de son gros gode ventouse ; "Mais quelle conne putain! J'ai oublié de le rentrer !"
Mais pas le temps de pavasser, les premiers ouvriers l'encerclent et la taquinent de vannes graveleuses :
-Ben tiens si c'est pas la petite salope du balcon ?
-Tes potes ne font pas l’affaire ? Tu as besoin de vrais hommes ? Lui sort un espagnol trapu qui gesticule sa bite épaisse à travers sa braguette ouverte.
-Y te faut une bonne grosse bite de black ! Lui sort le jeune africain, lui aussi la bite a l'air et le string hello kitty enroule autour de ce gros boudin long et veineux.
Alors que pas plus tard qu'hier elle les auraient tous trouvés vulgaires, et aurait passé son chemin, l'adolescente se trouve tout émoustillée devant les deux grosses bites. Mais, afin d'éviter un viol à la chaine, elle lutte pour contenir sa libido, malgré la chaleur qui menace de gonfler au creux de son ventre et sa chatte gourmande qui commence à sérieusement a la titiller.
Afin d'occuper les hommes en rut qui essaye les uns après les autres de la peloter en se pressant autour d'elle, Élodie distribue les bières une à une. Mais de grosses mains caleuses et anonymes trouvent le chemin de ses courbes voluptueuses. Elles glissent sur son cul expose, s'immiscent sous le losange en crochet pour agripper ses grosses mamelles, pincent, étirent, tordent ses gros mamelons gonfles et durcis par son propre désir naissant.
Son petit gabarit, au milieu de ces masses hautes et trapues ne l'avantage pas. Mais du haut de son mètre quarante-sept, elle parvient tout de même à les repousser tant bien que mal.
-Ne vous bousculez pas, il y en aura pour tout le monde ! Leur crie-t ‘elle de temps à autres.
-Passez nous voir quand vous le souhaitez, nous sommes ouverts tous les jours ! Leur sort elle plus par habitude, sans se douter de la porter de telles paroles.
Mais ce dernier commentaire ne passe pas inaperçu, et elle entend bientôt des remarques du types :
-Et c'est toi qui fait le service ?
-Combien pour une grosse saucisse ?
-Et la crème ? Tu avales ?
Pour éviter de se faire déborder, la jeune fille, en bonne marchande, décide de prendre les choses en main :
-Calmez-vous y en aura pour tout le monde ! Si vous venez un a un, vous pourrez toucher la marchandise ! Et si vous êtes vraiment gentil .... Elle marque une pause intentionnelle, et d’un sourire gourmand conclue ; y aura peut-être un petit bonus.
Ni une ni deux, les ouvriers se mettent en ordre de marche et passe deux par deux, maximum par trois, près de la gamine qui les sert.
Elle sort alors deux canettes de la glacières pour les tendres au premier groupe, deux pakistanais au sourire niais. Ils l’encadrent et commencent à glisser leurs mains caleuses et noueuses sur sa peau. Celui de derrière colle son bassin au cul dénudé de la petite brune et oscille entre ses fesses en glissant ses doigts sous le losange bariole pour lui peloter les miches a pleine poigne. Son collègue glisse ses doigts le long des cuisses de la gamine qui commence a haleter sous les caresses, et oscille contre son pubis. Élodie les laisse s’amuser un peu mais la maladresse du duo ne la fait pas triper. Elle met rapidement fin a leur ballet et leur colle les canettes glacées sur le torse pour les faire doucement se décaler.
Les duos suivants sont tout aussi peut inventifs. Elle s’en débarrasse tout aussi rapidement. “Bon ça en fait déjà six !”
Le groupe d’après est un trio, un portugais édenté, qui colle sa bouche aux lèvres de la gamine et commence a la fouiller avec sa langue baveuse. Son compatriote attrape un mamelle charnue de la main gauche alors qu’il glisse ses gros doigt entre les cuisses lisse de l’adolescent en lui frottant le pubis plutôt adroitement.
-Eh ben ma salope, on dirait que tu mouilles bien !
En effet, le connard sait appuyer aux bons endroit pour déclencher une vague de plaisir dans le ventre dénudé de la gamine. Elle cambre légèrement le bassin en arrière, non sans lâcher un petit soupir de plaisir.
*CLAC* Le troisième larron lui colle une fessée magistrale sur son cul déjà sensible. La décharge perçante se mêle au plaisir de la gamine qui gémit à nouveau dans la bouche du portugais édenté, qui rompt le baiser :
-Putain elle aime ça on dirait.
Le claqueur lui tire les cheveux arrière violemment et colle sa bouche moustachu sur les lèvres ouvertes de la gamine qui sent le contrôle lui échapper. Par un élan de volonté, elle parvient tout de même à hisser les canettes et rompre le contact avec le trio :
-Humph .... merci messieurs .... mais vos amis aussi veulent leur part. Mais n’hésitez pas à passer au magasin !
Les deux trios suivants sont guère plus inventifs, ils parviennent tout juste a maintenir le niveau d’excitation de la jeune fille.
Le duo qui suit est compose de l’africain au string, la queue tendue devant lui, enserrée à la base par la ficelle nouée du sous-vêtement. Gourmande et maintenant chaude comme la braise, Élodie attrape deux canettes de sa main droite, laissant glisser l’autre le long de la bite gonflée et aux veines hyper saillante : “Putain j’en f’rait bien mon quatre heure de celui-là !”
Son potes glisse ses deux grosses mains de maçon sous le losange crocheter et à l’inverse de tous les autres se concentre directement sur les mamelons gonflés par le plaisir. Il les pince directement entre ses doigts râpeux et les fait tourner déclenchant une énorme vague de plaisir sourd dans le ventre d’Élodie qui souffle et se cabre de plaisir.
La black au string, les deux mains claquant de concert les fesses ultra sensibles, écarte largement les deux lobes fessier pour y caler sa longue queue veinée et d’un mouvement du bassin commence à se branler sur la peau douce et sensible.
Il cale ses longues main sur les reins cambres, appuie pour en accentuer la courbure. L’adolescente, haletante de désir, et sur le point de craquer. Les ouvriers n’en reviennent pas, tous se demandent pourquoi ils n’ont pas aussi sorti leur bite.
Mais le black va un peu trop loin, dans l’impossibilité de se contrôler, il commence a tirer sur les ficelles dans le dos et dans la nuque de la gamine.
Élodie, le regard humide de plaisir, sent la tension sur le bustier léger. Elle reprend soudain le contrôle de son corps, qui se languit pourtant de plaisir à assouvir. Et d’une rotation des épaules, la gamine se dégage de l’étau des deux hommes. Elle toise l’africain et titille sa bite du bout du doigt avant de le défier de son regard de poupée :
-Dommage !
Elle se penche et aspire le gland un fois, sa langue nettoyant la goutte de sperme perlant du petit trou.
*MWAH* Elle libère le black dans un gros bruit de ventouse. Laissant la place au dernier trio, deux roumains barraques et trapu et l’espagnol qui avait tenté d’attraper ses fringues.
La jeune fille essaye de faire bonne figure. Malgré les vagues de plaisir qui parcourent son corps ultra-sensible, elle décide de ne pas trop chauffer les derniers ouvriers. Elle a peur de ne plus rien contrôler et de les laisser abuser d’elle. Ce qui, dans sa tête, déclencherait surement une partouze générale.
Elle maintient une distance avec les trois hommes, les laissant tout juste lui caresser la peau, et annulant dès le départ toute tentative de caresse de ses atours, pourtant à la limite d’exploser de plaisir.
C’est le corps torturer par un plaisir inassouvi que la jeune fille met fin a la distribution en saluant la foule d’ouvriers de baisers dans les airs. Elle ne remarque pas la frustration du dernier trio qui n’a même pas pu la peloter a leur convenance. Élodie est juste ravie d’avoir relevé le défi du corbeau sans s’être faite violer par le troupeau d’animaux aux instincts lubriques.
Elle se grouille d’aller ranger son cadi et se précipite chez elle, la chatte en feu, les seins gonflés de désir et le ventre grouillant de papillons.
Lorsqu’elle referme la porte derrière elle, la jeune fille n’a qu’une envie : soulager sa chatte et son cul en feu en se limant les trous dans le cocon de son lit. Qu’elle n’est pas sa surprise lorsqu’elle entend :
-Je croyais avoir été clair ! Lorsque tu sors, c’est à poil sous une robe sexy ou une mini-jupe !
Romuald attend la gamine, le regard sombre et sa grosse bite molle étalée de tout son long entre ses cuisses charnues ....
Élodie pantelante à l’entrée du couloir est estomaquée, interdite, prise la main dans le sac. Romuald s’est invite chez elle, il l’attend, le regard sombre. Perdue, sans mots, la gorge nouée, la petite brune sent son monde se dérober sous ses pieds.
Son corps lui crie de se jeter sur cette grosse bite, mais son esprit la met en garde, le regard du géant d’ébène la terrifie. Son ventre grouille et gronde, sa chatte la démange, elle se languit de se faire baiser par le monstre en face d’elle.
Pourquoi donc s’est-elle laissée entrainer dans cette galère, ces connards d’ouvriers l’ont chauffée comme jamais : “Putain mais je suis vraiment qu’une salope en manque de bite ! C’est pas vrai ? C’est pas moi ?” Son esprit lutte encore contre les pulsions animales de son corps.
Interdite, elle sursaute lorsque Romuald gueule à son attention :
-A quatre pattes espèce de p’tite salope ! Approche que j’te corrige comme tu l’mérites !
Timidement, la gamine s’agenouille sur le parquet, elle pose ses mains au sol et commence a avancer, craintive, vers cette masse sombre et impassible.
Lorsqu’elle entre dans le salon, le géant se lève et la toise de toute sa masse et de toute sa hauteur. Des vagues de peur et d’excitation s’emparent de la jeune fille, qui a encore tous les sens à fleur de peau après les évènements de l’après-midi.
Il s’approche d’elle, impassible, et appuie sur le creux de ses épaules de son 48, pour la forcer face contre terre et cul tendu en l’air :
-Voilà ta position naturelle espèce de chienne ! Cambre-moi ton cul d’salope !
Comme un automate, toute volonté évanouie de son esprit, soumise à ce mastodonte, elle cambre ses reins au maximum. Elle sent la peau de ses fesses se tendent et s’étirer :
-Allez p’tite pute ! Tu peux mieux faire, non ?
Le regard humide, les larmes menaçant de couler, la gamine s’exécute, elle écrase son torse au sol et tend son cul en l’air au maximum.
*CLAC* La première fessée la désarçonne, la douleur de sa fesse, déjà rougie par les coups, explose en décharges électriques dans tout son corps.
*CLAC* Le deuxième coup tombe sur l’autre fesse, un peu plus épargnée. La sensation est un peu plus sourde et plus diffuse, la faisant un peu moins réagir.
Romuald s’en rend compte, et au lieu de continuer du plat de la main, il sert trois doigts tendus et lui assène un nouveau coup, violent, cible, cinglant :
*CLAAAAAC* La gamine gémit ! Lui, sourit, apparemment satisfait de la nouvelle réaction de l’adolescente à ses pieds !
*CLAAAC* *CLAAAC* Romuald assène les coups jusqu’à faire rougir la fesse ultra-sensible.
-Alors p’tite pute ? Comment est-ce que tu dois sortir ?
L’adolescente lui répond timidement, le cul en feu, mais étrangement galvanisée:
-En robe sexy ou en mini-jupe ....
*CLAAAC* *CLAAAC*:
-J’entends rien salope !
Elle crie plus fort, en corrigeant :
-A poil sous une robe sexy ou une mini-jupe ....
Attendant un nouveau coup de fouet, Élodie est surprise de l’entendre s’éloigner. Il se dirige vers la cuisine, ouvre le frigo et prend une bière avant de se vautrer sur le canape.
-A poil p’tite pute et vient m’sucer !
Élodie se relève, honteuse de désirer que cette brute la fasse jouir. La chatte en feu, le ventre plein de désir, elle tire sur le jean et le jette dans l'entrée, l'entrejambe lourde de sa mouille. Élodie se relève, honteuse de désirer que cette brute la fasse jouir. Elle tire sur les deux lacets de son corsage et libère ses gros seins de leur carcan crocheté. Elle se dirige, féline, pleine de désir vers le male qui la dirige dans le confort de son appart perchée sur ces plateformes, elle tord du cul et elle voit dans le regard du jeune que ça lui plait.
Le souffle chaud, elle fait glisser ses mains le long de son corps offert et commence a caresser ses seins, emprisonnant ses mamelons entre ses pouces et ses index :
-Oui c'est bien ! t'es une bonne petite chienne, accroupie toi et doigte toi la chatte !
Élodie sent son esprit conscient quitter son corps pour ne laisser la place qu'a la chienne en manque de bite et de foutre chaud. Accroupie devant son homme, elle ouvre et écarte les cuisses face à son regard plein de désir pour sa chienne. Elle pose sa main gauche sur le parquet derrière elle et tend le bassin en avant pour se caresser la chatte entre index et majeur droits. Romuald ne peut retenir son gros boudin de gonfler entre ses cuisses. Élodie sourit devant la grosse saucisse. Elle remonte ses doigts, les glisse sur son ventre, entre ses seins, dessinant un trait luisant de mouille sur sa peau bronzée. Elle porte les doigts à sa bouche et les avale goulument. Les bruits humides envahissent la pièce. Elle accélère le va et vient de ses doigts entre ses lèvres, les humidifiant bien de bave:
-Allez doigte toi salope
Le congolais se régale du spectacle, il lutte pour ne pas se branler. Il se bat pour contenir au maximum son érection, la bite oscille de haut en bas a moitie tendue. Élodie plante alors ses deux doigts au fond de sa chatte étroite. Elle cambre son cul sous le plaisir qui se propage en elle
-T'as pas intérêt de jouir salope ! …. Accélère et doigte toi bien à fond mais ne jouit pas ou j'me barre !
Coupée dans son élan, la petite tente de ralentir le pistonnage espérant que le géant ne s'en aperçoive pas, mais ....
-J't'ai dit d'accélérer salope !
Il se lève, la gamine panique, "putain le salop, il va pas m'laisser comme ça ?" Elle accélère le pistonnage et se mord les lèvres pour contenir un gémissement incontrôlable. Pas mécontent de son tour de force, le jeune homme fait le tour de la gamine et la surplombe, le vit de chair gonflé et pendant à moitie au-dessus du visage de la gamine, contorsionnée et luttant contre la montée de plaisir :
-Suce moi le bout salope !
Il s'accroupit au-dessus de l'adolescente, son gros gland oscillant et effleurant a peine les lèvres encore rouges de maquillage. La gamine tend le visage vers le haut, et commence à téter le gros morceau de chair moelleux :
-Aaaaah putain, oui c'est p'tite salope, trait moi la bite avec ta bouche de suceuse !
Enivrée par le gout salé du gland, Élodie gémit en douceur tout en se doigtant la chatte :
*CLAC*
-HUM....
La claque violente sur le sein gauche de la gamine lui procure de nouvelles sensations. Elle a envie de se laisser aller à la jouissance, et ses lamentations se ressentent sur le gland tuméfié. Romuald pince alors violemment son téton gauche et le tourne entre ses doigts avant de claquer violemment le sein droit du coup de fouet de ses trois doigts tendus :
-Je t'ai dit d'pas jouir salope !
Il malaxe ensuite à pleine main la mamelle droite de la gamine et plonge sa main droite sur le pubis tendu vers le haut :
-Continue de te doigter salope, mais t'as pas intérêt à jouir !
Pour ajouter au calvaire de la gamine, Romuald appuie quatre doigts fortement sur le clitoris gonfle de l'adolescente et se met à frotter rapidement de droite a gauche le bouton déjà trempé de mouille. La jeune fille est aux abois, sa chatte et ses seins la mènent aux limites de la jouissance, mais elle ne peut pas exploser, de peur de voir partir son bourreau la privant ainsi de son plaisir.
Machinalement, et pour contenir son plaisir, elle ralentit à nouveau le pistonnage de sa chatte. Le mastodonte ne l'entend pas de la même oreille, il lâche la grosse mamelle, écarte les doigts de la gamine et les remplace par les siens au creux de sa chatte détrempée. Élodie se cambre de plus belle sous l'action combinée de la pénétration profonde des deux gros doigts boudinés et de la branlette en règle de son clito.
Le géant commence alors à osciller mécaniquement du bassin en pistonnant la gamine, sa bite s'enfonce alors et se met à glisser entre les lèvres de la gamine qui lutte contre les vagues de plaisir qui la gagnent. Lorsqu'il la sent sur le point de jouir, il retire ses doigts instantanément, laissant la gamine pantelante sous lui. Il se retire de sa bouche ouverte et haletante, lui tire les cheveux violemment vers l'arrière et lui plante ses deux doigts gluants de mouille dans la bouche. Il lui pistonne les lèvres :
-T'aimes ça hein, sale chienne ?
Il retire se doigts pour qu'elle lui réponde :
-Oui, j'aime ça, je suis ta chienne !
La maintenant dans cette position cambrée et humiliante, il lui plante à nouveau les doigts dans la chatte et la pistonne de plus belle. Élodie se mord à nouveau la lèvre pour contenir une plainte et Romuald se retire a nouveau juste à la limite de la jouissance de la gamine. Il se redresse, la toise a nouveau avant de lui ordonner :
-Fout toi a quatre patte sur le canapé et écarte bien ton cul relevé en direction de la fenêtre !
L'adolescente monte sur l'assise du canape et se penche en avant, le visage sur le coussin, les mains de part et d'autre de son cul à écarter ses fesses pour exposer ses deux trous a la fenêtre. A demi consciente, elle entend le grand black ouvrir la fenêtre de sa chambre et après quelques secondes, elle distingue des mots inaudibles. Il revient quelques instants plus tard et sans autre forme de procès, il lui plante le gode à manche veineux dans la bouche en un simulacre de pipe :
-Bave bien sale chienne !
Il retire le gode, s'installe, un genou sur le canape et l'autre pied bien ancré au sol :
*CLAC*
Il tape du plat de la main sur la fesse sensible de la gamine, écarte le petit cul ouvert et plante d'un trait le gode au fond de la chatte humide. Élodie se cambre violemment sous la vague de plaisir, et subit un nouveau pistonnage de sa chatte. Les décharges irradient dans son ventre prêt a exploser. Il lui tire les cheveux a nouveau et souffle brutalement a son oreille :
-T'as pas intérêt à jouir salope !
Mais le supplice est insoutenable, elle a besoin de jouir :
-Pitié Romu, pitié, laisse-moi jouir ! j'en peux plus !
Il retire alors le gode détrempé et le plante sans ménagement dans la pastille striée et toute tendue de l'adolescente qui se cabre et tord ses orteils sous la violence du coup :
-Putain, t'encaisse bien p'tite garce ! T'aimes ça hein, les bites dans le cul ?
-Oui oui, j'aime ça, je t'en supplie, laisse-moi jouir .... OUF ....
Il retire presqu'entièrement le chibre du cul de la gamine, et l’enfonce à nouveau avec force. Romuald se met à lui ramoner l'anus avec le gode bien lubrifié de mouille :
-Faut bien j'te prépare salope t'as deux admirateurs qui arrivent !
En panique, mais toujours submergée de vagues de plaisir, elle entend la porte d'entrée s'ouvrir. "La conne putain ! J'ai pas fermé !"
-HAAAN ....
Le déculage est presqu'aussi jouissif que le ramonage, elle manque de jouir sous les yeux amusés du duo de roumains qu'elle a laissé en plan avant de rentrer il y a quelques minutes :
-Alors les gars, z'avez pas eu votre compte on dirait ?
-Ouais, salope se fait toucher par les autres mais nous, non !
-C'est pour ça que vous attendez depuis tout a l'heure ?
-Ouais, nous baiser salope !
Élodie supplie le jeune congolais de ses grands yeux de biche apeurée, mais il soutient son regard et se tourne légèrement amusé vers les deux arrivants :
-OK vous la baisez, mais pas de coups, et pas de violence, ou j'vous défonce !
-Nous juste baiser ! Confirme le deuxième homme.
Élodie n'en revient pas, il va la livrer à ces deux hommes qu'elle vient de chauffer à cause du maitre chanteur "C'est un cauchemar putain !"
-OK alors c'est 30€ chacun !
"Quoi, en plus y fait de moi sa pute ?" Elle s'apprête a se rebeller, mais le jeune homme lui plante les doigts dans la chatte, déclenchant une nouvelle vague de chaleur dans le ventre de la gamine qui gémit d'extase :
-Tu vois bien que t'es qu'une chienne ! hein?
Finalement résignée, contrainte d'admettre sa faiblesse, Élodie abdique dans une supplique :
-HUN .... Oui, je suis qu'une chienne ! .... HAN .... Baisez moi comme une trainée !
Après avoir fouiller leurs poches, les roumains arrivent à rassembler les 60€ demandés. Le plus grand des deux prend la place de Romu et tire les cheveux de la gamine pour aligner son visage avec sa bite dodue. Sans attendre, il plante son bout dans la bouche de la gamine qui le sent grossir et durcir sur sa langue. Le petit trapu se place derrière la gamine et plante à nouveau le gode au fond de son cul. Élodie se cambre, ouvrant sa gorge au grand qui enfonce son gland au fond de la bouche pulpeuse :
-Putain ! Bonne salope !
Le petit trapu n'est pas en reste, il pistonne le cul de la gamine et plante sa bite, elle aussi d'un bon calibre, dans la chatte dégoulinante de la gamine. Élodie n'en revient pas, deux inconnus sont en train de la sauter comme l'autre salope de Béa, et elle sent malgré tout une nouvelle jouissance monter au creux de ses reins. Est-ce qu'elle est vraiment devenue une salope ? En tout cas ces gémissements ne trompent pas le jeune congolais qui se régale de l'entendre gémir :
-La faite pas jouir cette pute !
"Non non non, pitié, j'ai besoin de jouir !". Elle le supplie à nouveau du regard, la bite lui pistonnant toujours la bouche en train de frétiller sur sa langue. Les deux hommes se retirent instantanément, privant la gamine de sa jouissance. Le grand costaud s'assied sur le canapé alors que le petit trapu soulève la gamine comme un fétu de paille. Il la soulève sous les aisselles et son collègue, assis, attrape les cuisses de l'adolescente pour les écarter au-dessus de sa bite tendue à la verticale.
Élodie comprend leur manège et à demi consciente, elle s'empare de la bite derrière elle, et la guide vers l'orée de sa pastille striée. Elle s'embroche de tout son poids sur la bite tendue dans un soupir de plaisir. Le petit trapu s'installe entre les cuisses écartées et pousse le gland de son sexe contre le minou étroit de la gamine. Il se plante en elle d'un grand coup de rein, lui arrachant un long rale de plaisir, puis les deux hommes s'activent de concert entre les orifices de la belle. Elle sent leurs bites lui écarteler les chair à chaque coup de bite. Le petit gros écrasant le bout de sa queue contre son utérus à chaque poussée, et son collègue écartant les muqueuses tendues et délicieuses autour de son sexe trapu. Cette double pénétration amène rapidement la gamine aux portes de l'extase, elle qui ne s'était même pas doigter l'anus jusqu'a aujourd'hui.
Elle découvre de nouveaux plaisirs inavoués : exposée à ses voisins, baissée par des inconnus sous le regard d'un camarade de classe qui vient de la vendre pour une poignée de billets comme une vulgaire pute de quartier. L'adolescente est encore sur le point de jouir sous les coups synchronisés des deux bites qui s'agitent en elle. Les compères la sentent se contracter autour de leur bites et se retirent en même temps de leurs orifices respectifs.
Sur le point d'exploser, les deux ouvriers encadrent la gamine à genou entre eux. Le grand lui enfourne sa grosse saucisse odorante entre les lèvres. Il se met à lui baiser la bouche en profondeur en râlant sous les coups de langues de la petite.
Élodie prend la direction des opérations, galvanisée par les odeurs de ses fluides corporelles, mélangés aux goûts sucrés salés de ces deux morceaux de bidoche. Elle suce, elle aspire, elle pompe la bite qui l'enculait il y a quelques secondes et le branle vigoureusement tout en branlant son pote de sa main libre.
Elle sent le grand costaud se crisper, la bite se met à frétiller sur la langue fouineuse, son gland gonfle irrémédiablement. Puis c'est l'explosion, il se vide dans sa bouche d'une, puis de deux grosses giclées de foutre gluant que la gamine ingurgite instantanément.
Elle fait bien puisque deux nouvelles giclées abondante lui remplissent la bouche. Elle ne l'avale pas encore, mais ce concentre sur la deuxième bite qui frétille entre ses doigts. Elle le branle tout en appuyant le frein de son gland sur sa langue encore couverte du foutre gluant de son pote. Le petit trapu explose à son tour dans un râle salvateur, la première giclée s'écrase sur le petit nez retrousse de la gamine, elle gobe alors le gland pour finir de le vider dans sa bouche. Deux nouvelles giclées rejoignent les restes de son pote et l'adolescente se délecte de cette nouvelle rasade de foutre chaud. Les deux ouvriers se cambre une dernière fois chacun, étalant deux gouttes de spermes sur chacune des joues de la gamine.
Essoufflée, toujours pas rassasiée de jouissance, Élodie s'écroule sur le sol, alors que les deux ouvriers prennent conge du congolais qui les raccompagne vers la sortie
-Vous pouvez toujours passer au magasin ! Plaisante-t ‘il, reprenant mot pour mot ce que la gamine avait dit au groupe quelques dizaines de minutes plus tôt.
"Il a tout vu le salop !" Se dit la petite qui comprend mieux ce qui vient de se passer. Romuald revient dans la pièce puant le sexe et le foutre :
-Allez salope, va prendre une douche, tu pues le foutre !
Frustrée de ne pas avoir joui, mais le goût du sperme toujours présent sur sa langue, elle se relève, la chatte et le cul en feu, et ultra-sensible. Lorsqu’elle se savonne elle frisonne légèrement lorsqu’elle frotte ou frôle les zones sensibilisées, ses seins, ses tétons, ses fesses, son petit trou et sa chatte. Mais étrangement, la sensation n’est pas que douloureuse ....
Elle glisse ses doigts, frémit au contact, la chaleur reprenant possession de son corps :
-HUN ....
Ses doigts glissent sur sa vulve encore trempée : “Mais c’est pas vrai !”
-HAN ....
Elle vient de planter deux doigts dans sa chatte encore sensible des diverses bites qui l’ont remplie tout l’après-midi. Elle commence à comprendre Béa et les images de la soirée chez Romu affluent à nouveau dans son esprit :
-HUN .... HUN .... OUF .... OUIiiiii
Elle se fait du bien sous la douche, elle peut se faire jouir sans interruption .... enfin ....
-Mais t’es vraiment qu’une grosse chienne en chaleur ! La voix du congolais résonne dans la salle de bain
Il ouvre le rideau de douche, surprenant la gamine, adossée à la faïence, un téton entre les doigts, en train de se doigter la chatte
-Est ce que je t’ai autorisée à te soulager ?
Il entre dans le bac a douche le braquemart gonfle et tendu. Élodie reste interdite devant la taille impressionnante du sexe violace
-Tu la veux ma bite ? Hein espèce de chienne, tu la veux ma grosse bite de renoi ?
Prise sur le fait, honteuse, coupable, excitée, chaude comme la pute la pauvre gamine est submergée de sentiments opposés. Elle meurt d’envie de se faire défoncer comme Bea. Mais sa conscience la tiraille entre son souhait et son désir. Elle ne veut pas qu’on la catalogue comme la chienne qu’elle est devenue, et pourtant, sans aucune volonté, elle répond :
-Oui .... je la veux ....
-Quoi ? J’ai pas compris sale chienne !
Résignée, elle tend la main vers le sexe bande, elle s’accroupit dans le bac de douche et le regard fixé dans celui du jeune africain, elle succombe :
-Oui Romu, donne-moi ta grosse bite de renoi, fait de moi ta chienne, baise moi bien à fond!
Le sexe massif se tend alors à l’horizontal, le jeune homme a gagné, la petite est à lui, son excitation est à son comble. Il encadre de ses paluches le visage poupon en face de sa virilité, la gamine ouvre machinalement sa bouche et se laisse guider. Lorsque ses lèvres charnues entre en contact avec le gland gonfle, l’adolescente se met à téter la protubérance. Le jeune congolais sent les lèvres chaudes aspirer sa bite petit a petit. Il est aux anges, les lèvres se referment sur la base de son gland et la langue s’anime contre son frein tendu, aux abois.
La petite ferme sa main sur le contour de la grosse bite et commence à le masser sur la longueur tandis que sa main libre caresse les couilles grosses comme des kiwi. La gamine n’avait jamais vu de bite si longue et si large à part dans les porno qu’elle matait avec les garçons. Appliquée à donner du plaisir au jeune homme, Élodie salive abondamment sur la peau noire qui se met a luire sur son passage. La jeune fille aspire le chibre le plus loin qu’elle le peut, mais le calibre est trop important pour sa gorge.
-Me dit pas qu’avec ta gorge de salope tu peux pas m’avaler en entier ?
Habitué à ne pas pouvoir baiser le fond de gorge de ses victimes, Romuald applique toujours la même technique, et en bouchant le nez retroussé de la gamine pour l’obliger à chercher de l’air il espère pouvoir passer la barrière de la luette. “Bingo” la gamine ouvre sa gorge par reflexe et le gland s’enfonce librement écartant les muqueuses de l’œsophage de l’adolescente.
Cherchant désespérément de l’air, la gamine contracte sa gorge autour du jeune homme au cerveau noyé d’hormones. Il se retire précipitamment de peur d’éjaculer trop vite. Enfin libérée, Élodie cherche désespérément de l’air, la bouche attachée a la bite par un long filet de bave blanche :
-Je savais que t’avais le calibre d’une bonne suceuse. Je vais cracher dans la bouche comme dans celle d’une vulgaire trainée !
-Mais avant je vais baiser un a un tes trous de salope, tu vas me supplier de te laisser jouir ....
Sur ces paroles, il tire la gamine à lui, la surplombant d'au moins 50cm. Il se baisse et écrase ses grosses lèvres sur celle de l'adolescente avant de lui fouiller la bouche de sa grosse langue glaireuse. Élodie se perd dans ce baiser gluant, sentant le bout de la grosse bite taper sur la peau de son ventre. Elle glisse doucement le bout de ses doigts le long du chibre, provoquant des frétillement de la grosse saucisse a son contact. Il se recule avant d’ajouter :
-Je sens que j'vais te baiser bien à fond p'tite salope !
Il la soulève alors, passant ses bras puissants sous les genoux de la gamine qu'il écarte au maximum pour exposer les petite chatte sensible de la gamine. Élodie frémit au contact doux du gros gland trapu contre sa vulve sensible
-HUMPH .... Doucement …. Le supplie-t' elle ; doucement ….
Il la plaque violemment, dos contre la faïence froide, lui tire les cheveux en arrière et enfonce son gland entre les lèvres sensibles
-OUF ....
-HAN ....
La gamine se fait pénétrer par la grosse tige qui s'enfonce en elle sans aucune douceur. La progression est arrêtée lorsque le gland tape contre le col de la gamine qui frémit a nouveau à ce contact inhabituel. Déçu de ne pouvoir aller plus à fond dans l'étroite vulve, Romuald se retire et commence à limer la gamine en accélérant le rythme petit à petit. Il la pénètre à longs et grands coups de reins, de toute l'amplitude que peut supporter la gamine. Élodie n'en revient pas, quelle force, quelle vigueur.
Sa chatte se gonfle de sang et de désir, le plaisir monte en elle malgré la sensibilité de ses muqueuses. Le grand congolais sort de la cabine étriquée de la douche, et sans la démanchée, il retourne la jeune fille pour qu'elle soir le visage face à son miroir au-dessus du lavabo. Il la bascule en avant pour qu'elle prenne appui sur le bord du meuble et se met à la tringler en levrette :
-HAN .... HAN .... HAN .... HAN ....
La gamine gémit de plus en plus fort sous les coups de boutoirs. Elle sent enfin la jouissance gonfler en elle, prête à exploser. Il accélère, la secoue d'avant en arrière, secoue ses grosses mamelles qui tapent contre la vasque sous la puissance des coups de bite. Ça y est presque :
-OH Oui ..... Putain, vas-y continue ..... C'est bon .... HAAAAN .... Ouiiiii c'est bon baise moi bien à fond
Le jeune homme est sur le point de jouir en même temps que la gamine, son instinct lui dicte de pousser bien à fond pour exploser son foutre au fond de cet étroit vagin détrempé et gonfle de désir. Romuald sert les dents et se bat contre son instinct en se retirant juste avant l’explosion :
-HUMPH .... HUMPH .... HUMPH .... HUMPH .... Sale chienne, tu crois que tu peux me dire ce que je dois faire ?
Il laisse la gamine choir sur le sol, elle est essoufflée et frustrée d'avoir été si proche de cette jouissance ultime, l'explosion qu'elle attend depuis qu'elle a vu cette chienne de Bea couverte de tant de foutre. Il repart nonchalamment vers le salon, s'ouvre une nouvelle bière en se vautrant dans le canapé. Il fait nuit maintenant, les lumières des voisins éclairent légèrement le salon ouvert de leurs lumières diffuses. Le géant allume une petite lampe d'appoint, une liseuse à côté du canapé, et il appelle la gamine :
-Bon tu ramènes ton cul salope ? J't'ai demandé d'me sucer, j'attends toujours !
Confuse et frustrée, la gamine ne se rappelle plus de cet ordre, mais elle parvient à rassembler ses esprits et se relève pour rejoindre le géant :
-Et à quatre pattes ! Comme une bonne chienne !
Elle s'agenouille à nouveau à l'entrée du salon, pose ses mains devant elle et avance féline vers le morceau de bite déjà dégonflé :
-Et sans les mains cette fois !
Obéissante, elle s'agenouille entre les cuisses musclées largement ouvertes. Elle baisse son visage entre les jambes velues et aspire le gland au gout métallique, couvert de sa mouille. Elle le tète bruyamment et le sent déjà reprendre vie entre ses lèvres. Romuald boit nonchalamment sa bière pendant que la jeune fille suce sa grosse bite, salivant abondamment sur le vit de chair. Sa bière terminée, il se redresse et se lève, s'activant entre les lèvres gourmandes. La gamine suit le mouvement et présente maintenant son profil au gros sein pendant sous sa poitrine, à la baie vitrée, dans une ambiance de clair-obscur donnée par la liseuse.
Le jeune homme penche son torse au-dessus du dos de la gamine et lui doigte la chatte de son majeur. Il y enfonce un deuxième doigt arrachant une douce plainte étouffée à la gamine qui continue de le pomper. Il claque sa main libre sur le fessier rougit, et l'attrape à pleine main pour l'écarter. Romuald active alors un nouveau doigtage en règle de la chatte tuméfiée de plaisir. La réaction est immédiate, la gamine commence à osciller du bassin allant à la rencontre de ces doigts qui lui font un bien fou. Elle gémit, aspire et tète la grosse bite avec avidité.
Le géant lui claque le cul et retire à nouveau ses doigts au grand désespoir de la gamine qui commençait à prendre son pied. Maintenant les fesses d'Élodie largement écartées, il plante ses doigts lubrifiés dans l'anus tendu
-HUN .. HUN .. HUN .. HUN .. La gamine gémit par petits a coups bref lorsque Romuald se met à lui pomper le cul.
*CLAC*
-Oui c'est ça, un beau cul de chienne bonne à enculer !
-MWAH ....
Il se retire de la bouche de la gamine qui le libère en un bruit de succion. Ne bougeant pas de sa position, il attire le cul de la gamine a lui, toujours en position de levrette. Il écarte les grosses fesses de l'adolescente et glaviote un gros molard sur sa pastille déjà refermée. Il paque son gros gland sur l'entrée de l'anus et le lubrifie de son molard
-HAAAAAANNNNNNNNN ....
Il s'enfonce alors en une seule et très longue poussée arrachant un long cri à la gamine qui sent ses boyaux s'écarteler au passage de l'énorme bite. Inexorablement, le congolais s'enfonce encore dans le cul dilate de la gamine, sans même se retirer une fois, il parvient enfin à s'enfoncer jusqu'a la garde, au bout de longues secondes douloureuses. Élodie souffle comme une petite chienne, de petite respiration saccadée afin d'encaisser l'énorme gourdin qu'elle a dans le cul. Mais elle a tout juste le temps de s'adapter au calibre que Romuald se retire tout aussi lentement :
-Tu la sent bien ma grosse bite de ch'val, hein espèce de chienne ?
*CLAC*
-Répond salope
*CLAC*
Il s'enfonce à nouveau sans même attendre la réponse :
-Tiens sale chienne !
Et il se met à enculer la gamine à coups de bite forts et profonds. Le cul de la gamine se détend. La douleur initiale fait place à une nouvelle impression de plaisir et de douleur mélangés. Les coups de queue se font plus fort, le mastodonte se met à transpirer a enculer le petit cul encore trop serre
-T'aimes ça hein sale chienne ?
*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC* La peau trempe de sueur de son bide claque contre les fesses rembourrées de l'adolescente qui gémit de plus en plus de plaisir :
-OUI .... HAN .... HAN .... HAN .... Ouiii vas-y encule moi salop !
La gamine encaisse bien, il peut enfin la limer sur toute la longueur et en force
*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC*
-HAN HAN HAN HAN
Les gémissements de l'adolescente font directement écho aux coups de bite écrasés. Le cerveau du jeune homme est à nouveau envahi d'endorphine, il veut défoncer cette petite pute, la faire gémir de plaisir, la faire jouir sur sa grosse bite. Il s'active en elle, Élodie sent à nouveau la chaleur envahir son corps, gonfler dans son ventre, emplir sa chatte, prête à exploser en un feu d'artifice de plaisir. Elle s'étale sur le sol, tend son cul à l'arrière, s'empale d'elle-même sur le gourdin de chair.
Elle glisse ses mains sous son ventre, caresses les grosses couilles velue du bout de doigts et s'enfile trois doigts dans la chatte pour se branler en rythme avec son enculeur. Elle sent le gourdin lui envahir les chairs à travers la paroi vaginal. C'en est trop pour le jeune homme qui se fait surprendre par les petits doigts jouant avec ses grosse couilles et sa bite enfichée dans le petit trou tendu. Il tente de résister, enserre la base de sa bite entre ses doigts, mais rien y fait il va exploser. Les halètements de la gamine se transforment en complainte de jouissance :
-Oh oui ... Putain c'est bon .... vas-y encule moi à fond .... Baise moi bien, je suis ta chienne .... Putaaaaiiinnnnn !!!!
-HUN .... HUN .... HUN .... Tiens salope prends ça ! Sale chienne .... HUN .... HUN .... HUN ....
Et il éclate au fond du cul dilate de la gamine, lui arrachant un long cri de jouissance lorsqu'elle sent le gros gland gonfler et cracher la purée au fond de son cul défoncé. Il se retire, la base de la bite serrée dans son poing. Il tire la petite par les cheveux pour poster son visage de poupée devant sa bite odorante. La gamine ouvre la bouche, les yeux mi-clos et aspire la bite couverte de ses fluides
-HAN .... Oui prends ça grosse chienne ! ....
Il crache deux, trois nouvelles doses de jutes chaude et gluante entre les lèvres de la gamine qui l'aspire goulument et tète son gland odorant. Elle le termine en elle en branlant sa bite mollissante entre ses lèvres, et déglutit les doses de foutre lorsqu'elle s'écoule sur sa langue. Epuisée, elle s'écroule à ses pieds, le visage sur le côté, du sperme chaud s'écoulant à la commissure de ses lèvres pour terminer en une petite flaque blanche sur le parquet ciré.
Les sphincters distendus de son anus laissent aussi écouler une grosse quantité de foutre chaud entre les cuisses torturées de la jeune fille.
Il s'éloigne du corps meurtri de la gamine et va prendre une bonne douche avant de se rhabiller.
********************
Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
*PLIP* .... *PLIP*
Les bip de son smartphone tirent Élodie de la torpeur dans laquelle ses élucubrations sexuelles et exhibitionnistes l’ont plongée. Fourbue, la peau des fesses, les mamelons, le sexe et l’anus hyper sensibles, les narines submergées des odeurs de sexe et de sperme qui règnent encore dans sa chambre.
Elle se roule dans sa couette à la recherche d’un contact doux et chaleureux. Les insultes et les fessées lui ont procuré de nouvelles sensations jusqu’alors inconnues, mais en cet instant, le contact chaleureux et bienveillant d’un homme serait le bienvenu.
L’écran du smartphone illuminé l’appelle, elle se doute que le maître chanteur ou Romu lui ont préparé tout un programme pour la soirée, mais elle veut profiter encore quelques instants de ce calme relatif.
Elle glisse le bout de ses doigts le long du gode à mange étalé sur le lit devant elle. Le contact doux du phallus veineux lui titille déjà la chatte : “Putain mais t’as un grain ma fille, c’est pas possible !”
L’adolescente force l’irrésistible envie de se caresser à nouveau pour attraper son mobile et savoir à quelle sauce elle va être mangée cette fois :
<eh ben alors comme ça on s’expose à de pauvres ouvriers qui ne peuvent même pas se payer une pute d’autoroute?>
Un deuxième message défile à la suite :
<tu trouveras un petit colis dans ta boîte aux lettres, t'as 3min pour aller chercher le colis juste vêtue d’une serviette et en talons>
Pour être conclu :
<j’y ai mis des fringues et 50 balles pour que tu apportes des bières à ces ouvriers méritants>
“Je me demandais justement quand ça allait me retomber dessus cette séance d’exhib, eh ben voilà t’es fixée ma fille !”
Soudain elle réalise et relit le message snap : <... t'as 3min pour aller chercher le colis juste vêtue d’une serviette et en talon>
-Trois minutes ? Putain .... putain ! Jure-t ’elle en jaillissant de dessous sa couette.
Elle traverse l’appartement, à poil, les seins rebondissant à chacun de ses pas. Elle arrive dans la salle de bain et ne trouve qu’une petite serviette qu’elle attache difficilement au-dessus de sa poitrine et tombant juste en-dessous de son pubis a la base de ses fesses.
Elle file ensuite dans le vestibule, enfile vite fait ses sandales plateformes et se précipite en dehors de l’appartement. En descendant l’escalier elle croise la sexagénaire du troisième qui la toise des pieds à la tête d’un air ; “Ah la jeunesse d’aujourd’hui !”
-Bonjour Madame Pinette ! Crie Élodie sans s’arrêter.
Lorsque la gamine arrive dans le vestibule, elle comprend le comportement de la vieille, une brise de début de soirée glisse sur son entrejambe. Un rapide coup d'œil dans l'immense miroir de l'entrée et Élodie aperçoit la longue fente ouverte du haut de la serviette a la naissance de ses fesses.
Stressée de se faire attraper ainsi, quasiment nue dans l'entrée de l'immeuble, la jeune fille a beaucoup de mal a se calmer pour introduire la petite clé dans la serrure de la boite aux lettres. Elle en sort un colis anonyme, ferme au scotch.
Le mouvement de ses gros seins en dévalant l’escalier, ajouté à la tension en haut de sa poitrine, lorsque la gamine attrape le colis et referme la boite aux lettres, elle sent le nœud se faire la malle.
Les deux mains prises, elle tente de ne pas faire de trop grands mouvements en espérant que la petite serviette reste en place. C’est dans cette situation précaire que la brunette entend la lourde porte d’entrée de l’immeuble grincer dans son dos.
-Eh ben ! Eh ben ! Qu’est-ce qu’on a là ? Demande soudain une grosse voix rocailleuse.
Élodie reconnait la voix particulière de son ancien prof de SVT, qui habite juste au-dessus de ses parents. “Putain le bol ! Il était pas chez lui cet après-midi !”
La gamine est à la fois soulagée et stressée. En effet si M. Pequeur ne l’a pas entendue ou vue s’exhiber sur le balcon, il arrive au mauvais moment. Mais c’est trop tard, le nœud se détend inexorablement et la serviette se fait définitivement la malle.
Paniquée, Élodie se tourne vers la voix et tend machinalement le paquet en avant :
-Est-ce que vous pouvez .... ?
Voyant la détresse de la petite, le gros nounours de prof/biker au crane rase et à la grosse moustache type Hulk Hogan débarrasse adroitement les mains de la gamine qui rattrape tout juste sa serviette. Elle la plaque au-dessus de ses seins, protégeant ainsi sa poitrine et son pubis du regard du biker, mais laissant son cul potelé complètement dévoilé.
-Eh ben dis-moi ! C’est pas vraiment une tenue pour sortir ça ? S’amuse le quadra qui en profite pour lui reluquer le cul.
-Oui .... c’est juste .... euuuh ....
-HA HA HA t’inquiète pas ! Je n’en parlerai pas en classe à la rentrée ! Lui promet-il d’un clin d’œil complice.
Elle lui sourit un peu gênée, tout en tentant de remettre le morceau de tissu en place sans se foutre entièrement à poil dans le vestibule. "Putain de connard ! Me mettre dans une situation pareil, bientôt il ne pourra plus me forcer, si ma mère apprend que j'me promène à poil dans l'immeuble mon compte est bon !"
-Bon allez, file te foutre un truc sur le cul, on va faire un tour !
Depuis trois ans que le motard a emménagé dans l'immeuble, il a initié la gamine aux plaisirs simples d'une virée en moto, et ayant éveillé une véritable passion en elle, il l'emmène régulièrement en sortie depuis. Mais aujourd'hui la jeune fille a, malgré elle, d'autres plans et se voit contrainte de refuser.
Elle récupère le paquet et remerciant le gros motard, elle se grouille de rentrer pour être dans les temps, mais en bon bavard, il rajoute :
-Bon OK, je vois ! Mais si ça te dit, demain je reçoit mon nouveau bolide, une prépa Harley en import direct des US ! Ça te tente de m'accompagner pour la réceptionner ?
Souhaitant mettre fin au plus vite a la conversation, et désireuse de chevaucher la nouvelle grosse cylindrée, Élodie lui répond :
-Oui M. Pequeur, à demain ....
-Je t'attends ici à 09h00 demain, OK ? Crie-t ‘il alors que la gamine remonte les escaliers.
-Oui OK ! Lui répond-elle de loin.
De retour dans l'appartement, elle attrape son smartphone qu'elle avait laissé sur le meuble d'entrée.
*PLIP*
"Putain de justesse !" Elle lit le nouveau message :
<Dans 10min les ouvriers sortent du chantier, tu as intérêt a être belle pour leur donner leur "collation">
"Qu'est-ce qu'il entend par belle, cet enculé ?" La gamine décide d'ouvrir le colis dans la salle de bain afin de gagner un peu de temps et pouvoir se maquiller. Elle se refait une beauté en nettoyant au plus vite les traces et les odeurs de foutre en prenant la douche la plus rapide de sa vie.
Elle prend tout de même le temps de se parfumer et d'hydrater sa peau avec une crème au monoï, puis farde ses paupières d'une teinte légèrement plus foncée que sa peau bronzée. Elle souligne ensuite son regard d'un trait d'eyeliner puis intensifie son regard en étendant au maximum ses cils. Après avoir changé ses lentilles de contact, elle blush légèrement ses joues dodues et complète son maquillage d'un rouge intense qu'elle dépose en plusieurs couches et surligne au crayon.
Avec tout juste 7 minutes, la gamine ouvre, fébrile, le colis scotché et sans se poser de question elle en déballe le contenu; un "short" en jeans déchiré, une paire de sabots sur plateforme de liège d'au moins 8cm d'épaisseur au talon pour 3cm à la pointe et maintenus sur le pied par une grosse lanière en cuir au niveau du coup de pied, et pour finir, une sorte de top en forme de losange, crocheté, d'un blanc immacule, bariole d'un arc en ciel qui semble s'attacher derrière la nuque et dans le dos d'une très très fines cordelette de coton.
Lorsqu'Élodie passe les jambes dans le mini short taille haute, elle a l'impression que son cul ne passera jamais tellement le vêtement est serré. Après quelques secondes, elle parvient enfin à l'enfiler, mais l'ourlet de l'entrejambe lui rentre, comme un string, très profondément dans la raie du cul, faisant ressortir presqu'entièrement ses fesses.
Une fois le short boutonné, elle attache vite fait, d'une simple boucle, la pointe du losange derrière sa nuque, et répète l'opération dans son dos. Ce haut est tellement échancré, que les lobes de ses seins apparaissent visiblement, et pour couronner le tout, le pointe de crochet est suffisamment large pour que l'on distingue le rose fonce de ses aréoles gonflées.
Sans une minute à perdre, elle enfile ses sabots et file dans la réserve remplir un cadi de différentes bières (brunes, blondes, rousses) qu'elle attrape dans la chambre froide. Et c'est le corps encore couvert de chair de poule, et les tétons durcis perçant le crochetage de son haut, qu'elle arrive par une porte de service dans l'impasse au pied de sa chambre pour accueillir, juste a temps la vingtaine d'ouvriers.
Une grosse natte sur le cote, le sourire écarlate, la jeune fille se positionne à la sortie du chantier prête a distribuer ses bières et a se barrer au plus vite, lorsque son téléphone vibre dans la toute petite poche arrière du min short. Elle lit le message avant d'accueillir les premiers ouvriers.
<Tu dois rester minimum 20 minutes avec ces messieurs !>
"20 minutes ? Mais il est dingue ! Ils vont me violer, c'est pas possible" Curieuse et inquiète elle jette un œil à son balcon afin d'avoir une idée de ce que les gars ont pu voir. Et là, catastrophe, elle aperçoit le haut de son gros gode ventouse ; "Mais quelle conne putain! J'ai oublié de le rentrer !"
Mais pas le temps de pavasser, les premiers ouvriers l'encerclent et la taquinent de vannes graveleuses :
-Ben tiens si c'est pas la petite salope du balcon ?
-Tes potes ne font pas l’affaire ? Tu as besoin de vrais hommes ? Lui sort un espagnol trapu qui gesticule sa bite épaisse à travers sa braguette ouverte.
-Y te faut une bonne grosse bite de black ! Lui sort le jeune africain, lui aussi la bite a l'air et le string hello kitty enroule autour de ce gros boudin long et veineux.
Alors que pas plus tard qu'hier elle les auraient tous trouvés vulgaires, et aurait passé son chemin, l'adolescente se trouve tout émoustillée devant les deux grosses bites. Mais, afin d'éviter un viol à la chaine, elle lutte pour contenir sa libido, malgré la chaleur qui menace de gonfler au creux de son ventre et sa chatte gourmande qui commence à sérieusement a la titiller.
Afin d'occuper les hommes en rut qui essaye les uns après les autres de la peloter en se pressant autour d'elle, Élodie distribue les bières une à une. Mais de grosses mains caleuses et anonymes trouvent le chemin de ses courbes voluptueuses. Elles glissent sur son cul expose, s'immiscent sous le losange en crochet pour agripper ses grosses mamelles, pincent, étirent, tordent ses gros mamelons gonfles et durcis par son propre désir naissant.
Son petit gabarit, au milieu de ces masses hautes et trapues ne l'avantage pas. Mais du haut de son mètre quarante-sept, elle parvient tout de même à les repousser tant bien que mal.
-Ne vous bousculez pas, il y en aura pour tout le monde ! Leur crie-t ‘elle de temps à autres.
-Passez nous voir quand vous le souhaitez, nous sommes ouverts tous les jours ! Leur sort elle plus par habitude, sans se douter de la porter de telles paroles.
Mais ce dernier commentaire ne passe pas inaperçu, et elle entend bientôt des remarques du types :
-Et c'est toi qui fait le service ?
-Combien pour une grosse saucisse ?
-Et la crème ? Tu avales ?
Pour éviter de se faire déborder, la jeune fille, en bonne marchande, décide de prendre les choses en main :
-Calmez-vous y en aura pour tout le monde ! Si vous venez un a un, vous pourrez toucher la marchandise ! Et si vous êtes vraiment gentil .... Elle marque une pause intentionnelle, et d’un sourire gourmand conclue ; y aura peut-être un petit bonus.
Ni une ni deux, les ouvriers se mettent en ordre de marche et passe deux par deux, maximum par trois, près de la gamine qui les sert.
Elle sort alors deux canettes de la glacières pour les tendres au premier groupe, deux pakistanais au sourire niais. Ils l’encadrent et commencent à glisser leurs mains caleuses et noueuses sur sa peau. Celui de derrière colle son bassin au cul dénudé de la petite brune et oscille entre ses fesses en glissant ses doigts sous le losange bariole pour lui peloter les miches a pleine poigne. Son collègue glisse ses doigts le long des cuisses de la gamine qui commence a haleter sous les caresses, et oscille contre son pubis. Élodie les laisse s’amuser un peu mais la maladresse du duo ne la fait pas triper. Elle met rapidement fin a leur ballet et leur colle les canettes glacées sur le torse pour les faire doucement se décaler.
Les duos suivants sont tout aussi peut inventifs. Elle s’en débarrasse tout aussi rapidement. “Bon ça en fait déjà six !”
Le groupe d’après est un trio, un portugais édenté, qui colle sa bouche aux lèvres de la gamine et commence a la fouiller avec sa langue baveuse. Son compatriote attrape un mamelle charnue de la main gauche alors qu’il glisse ses gros doigt entre les cuisses lisse de l’adolescent en lui frottant le pubis plutôt adroitement.
-Eh ben ma salope, on dirait que tu mouilles bien !
En effet, le connard sait appuyer aux bons endroit pour déclencher une vague de plaisir dans le ventre dénudé de la gamine. Elle cambre légèrement le bassin en arrière, non sans lâcher un petit soupir de plaisir.
*CLAC* Le troisième larron lui colle une fessée magistrale sur son cul déjà sensible. La décharge perçante se mêle au plaisir de la gamine qui gémit à nouveau dans la bouche du portugais édenté, qui rompt le baiser :
-Putain elle aime ça on dirait.
Le claqueur lui tire les cheveux arrière violemment et colle sa bouche moustachu sur les lèvres ouvertes de la gamine qui sent le contrôle lui échapper. Par un élan de volonté, elle parvient tout de même à hisser les canettes et rompre le contact avec le trio :
-Humph .... merci messieurs .... mais vos amis aussi veulent leur part. Mais n’hésitez pas à passer au magasin !
Les deux trios suivants sont guère plus inventifs, ils parviennent tout juste a maintenir le niveau d’excitation de la jeune fille.
Le duo qui suit est compose de l’africain au string, la queue tendue devant lui, enserrée à la base par la ficelle nouée du sous-vêtement. Gourmande et maintenant chaude comme la braise, Élodie attrape deux canettes de sa main droite, laissant glisser l’autre le long de la bite gonflée et aux veines hyper saillante : “Putain j’en f’rait bien mon quatre heure de celui-là !”
Son potes glisse ses deux grosses mains de maçon sous le losange crocheter et à l’inverse de tous les autres se concentre directement sur les mamelons gonflés par le plaisir. Il les pince directement entre ses doigts râpeux et les fait tourner déclenchant une énorme vague de plaisir sourd dans le ventre d’Élodie qui souffle et se cabre de plaisir.
La black au string, les deux mains claquant de concert les fesses ultra sensibles, écarte largement les deux lobes fessier pour y caler sa longue queue veinée et d’un mouvement du bassin commence à se branler sur la peau douce et sensible.
Il cale ses longues main sur les reins cambres, appuie pour en accentuer la courbure. L’adolescente, haletante de désir, et sur le point de craquer. Les ouvriers n’en reviennent pas, tous se demandent pourquoi ils n’ont pas aussi sorti leur bite.
Mais le black va un peu trop loin, dans l’impossibilité de se contrôler, il commence a tirer sur les ficelles dans le dos et dans la nuque de la gamine.
Élodie, le regard humide de plaisir, sent la tension sur le bustier léger. Elle reprend soudain le contrôle de son corps, qui se languit pourtant de plaisir à assouvir. Et d’une rotation des épaules, la gamine se dégage de l’étau des deux hommes. Elle toise l’africain et titille sa bite du bout du doigt avant de le défier de son regard de poupée :
-Dommage !
Elle se penche et aspire le gland un fois, sa langue nettoyant la goutte de sperme perlant du petit trou.
*MWAH* Elle libère le black dans un gros bruit de ventouse. Laissant la place au dernier trio, deux roumains barraques et trapu et l’espagnol qui avait tenté d’attraper ses fringues.
La jeune fille essaye de faire bonne figure. Malgré les vagues de plaisir qui parcourent son corps ultra-sensible, elle décide de ne pas trop chauffer les derniers ouvriers. Elle a peur de ne plus rien contrôler et de les laisser abuser d’elle. Ce qui, dans sa tête, déclencherait surement une partouze générale.
Elle maintient une distance avec les trois hommes, les laissant tout juste lui caresser la peau, et annulant dès le départ toute tentative de caresse de ses atours, pourtant à la limite d’exploser de plaisir.
C’est le corps torturer par un plaisir inassouvi que la jeune fille met fin a la distribution en saluant la foule d’ouvriers de baisers dans les airs. Elle ne remarque pas la frustration du dernier trio qui n’a même pas pu la peloter a leur convenance. Élodie est juste ravie d’avoir relevé le défi du corbeau sans s’être faite violer par le troupeau d’animaux aux instincts lubriques.
Elle se grouille d’aller ranger son cadi et se précipite chez elle, la chatte en feu, les seins gonflés de désir et le ventre grouillant de papillons.
Lorsqu’elle referme la porte derrière elle, la jeune fille n’a qu’une envie : soulager sa chatte et son cul en feu en se limant les trous dans le cocon de son lit. Qu’elle n’est pas sa surprise lorsqu’elle entend :
-Je croyais avoir été clair ! Lorsque tu sors, c’est à poil sous une robe sexy ou une mini-jupe !
Romuald attend la gamine, le regard sombre et sa grosse bite molle étalée de tout son long entre ses cuisses charnues ....
Élodie pantelante à l’entrée du couloir est estomaquée, interdite, prise la main dans le sac. Romuald s’est invite chez elle, il l’attend, le regard sombre. Perdue, sans mots, la gorge nouée, la petite brune sent son monde se dérober sous ses pieds.
Son corps lui crie de se jeter sur cette grosse bite, mais son esprit la met en garde, le regard du géant d’ébène la terrifie. Son ventre grouille et gronde, sa chatte la démange, elle se languit de se faire baiser par le monstre en face d’elle.
Pourquoi donc s’est-elle laissée entrainer dans cette galère, ces connards d’ouvriers l’ont chauffée comme jamais : “Putain mais je suis vraiment qu’une salope en manque de bite ! C’est pas vrai ? C’est pas moi ?” Son esprit lutte encore contre les pulsions animales de son corps.
Interdite, elle sursaute lorsque Romuald gueule à son attention :
-A quatre pattes espèce de p’tite salope ! Approche que j’te corrige comme tu l’mérites !
Timidement, la gamine s’agenouille sur le parquet, elle pose ses mains au sol et commence a avancer, craintive, vers cette masse sombre et impassible.
Lorsqu’elle entre dans le salon, le géant se lève et la toise de toute sa masse et de toute sa hauteur. Des vagues de peur et d’excitation s’emparent de la jeune fille, qui a encore tous les sens à fleur de peau après les évènements de l’après-midi.
Il s’approche d’elle, impassible, et appuie sur le creux de ses épaules de son 48, pour la forcer face contre terre et cul tendu en l’air :
-Voilà ta position naturelle espèce de chienne ! Cambre-moi ton cul d’salope !
Comme un automate, toute volonté évanouie de son esprit, soumise à ce mastodonte, elle cambre ses reins au maximum. Elle sent la peau de ses fesses se tendent et s’étirer :
-Allez p’tite pute ! Tu peux mieux faire, non ?
Le regard humide, les larmes menaçant de couler, la gamine s’exécute, elle écrase son torse au sol et tend son cul en l’air au maximum.
*CLAC* La première fessée la désarçonne, la douleur de sa fesse, déjà rougie par les coups, explose en décharges électriques dans tout son corps.
*CLAC* Le deuxième coup tombe sur l’autre fesse, un peu plus épargnée. La sensation est un peu plus sourde et plus diffuse, la faisant un peu moins réagir.
Romuald s’en rend compte, et au lieu de continuer du plat de la main, il sert trois doigts tendus et lui assène un nouveau coup, violent, cible, cinglant :
*CLAAAAAC* La gamine gémit ! Lui, sourit, apparemment satisfait de la nouvelle réaction de l’adolescente à ses pieds !
*CLAAAC* *CLAAAC* Romuald assène les coups jusqu’à faire rougir la fesse ultra-sensible.
-Alors p’tite pute ? Comment est-ce que tu dois sortir ?
L’adolescente lui répond timidement, le cul en feu, mais étrangement galvanisée:
-En robe sexy ou en mini-jupe ....
*CLAAAC* *CLAAAC*:
-J’entends rien salope !
Elle crie plus fort, en corrigeant :
-A poil sous une robe sexy ou une mini-jupe ....
Attendant un nouveau coup de fouet, Élodie est surprise de l’entendre s’éloigner. Il se dirige vers la cuisine, ouvre le frigo et prend une bière avant de se vautrer sur le canape.
-A poil p’tite pute et vient m’sucer !
Élodie se relève, honteuse de désirer que cette brute la fasse jouir. La chatte en feu, le ventre plein de désir, elle tire sur le jean et le jette dans l'entrée, l'entrejambe lourde de sa mouille. Élodie se relève, honteuse de désirer que cette brute la fasse jouir. Elle tire sur les deux lacets de son corsage et libère ses gros seins de leur carcan crocheté. Elle se dirige, féline, pleine de désir vers le male qui la dirige dans le confort de son appart perchée sur ces plateformes, elle tord du cul et elle voit dans le regard du jeune que ça lui plait.
Le souffle chaud, elle fait glisser ses mains le long de son corps offert et commence a caresser ses seins, emprisonnant ses mamelons entre ses pouces et ses index :
-Oui c'est bien ! t'es une bonne petite chienne, accroupie toi et doigte toi la chatte !
Élodie sent son esprit conscient quitter son corps pour ne laisser la place qu'a la chienne en manque de bite et de foutre chaud. Accroupie devant son homme, elle ouvre et écarte les cuisses face à son regard plein de désir pour sa chienne. Elle pose sa main gauche sur le parquet derrière elle et tend le bassin en avant pour se caresser la chatte entre index et majeur droits. Romuald ne peut retenir son gros boudin de gonfler entre ses cuisses. Élodie sourit devant la grosse saucisse. Elle remonte ses doigts, les glisse sur son ventre, entre ses seins, dessinant un trait luisant de mouille sur sa peau bronzée. Elle porte les doigts à sa bouche et les avale goulument. Les bruits humides envahissent la pièce. Elle accélère le va et vient de ses doigts entre ses lèvres, les humidifiant bien de bave:
-Allez doigte toi salope
Le congolais se régale du spectacle, il lutte pour ne pas se branler. Il se bat pour contenir au maximum son érection, la bite oscille de haut en bas a moitie tendue. Élodie plante alors ses deux doigts au fond de sa chatte étroite. Elle cambre son cul sous le plaisir qui se propage en elle
-T'as pas intérêt de jouir salope ! …. Accélère et doigte toi bien à fond mais ne jouit pas ou j'me barre !
Coupée dans son élan, la petite tente de ralentir le pistonnage espérant que le géant ne s'en aperçoive pas, mais ....
-J't'ai dit d'accélérer salope !
Il se lève, la gamine panique, "putain le salop, il va pas m'laisser comme ça ?" Elle accélère le pistonnage et se mord les lèvres pour contenir un gémissement incontrôlable. Pas mécontent de son tour de force, le jeune homme fait le tour de la gamine et la surplombe, le vit de chair gonflé et pendant à moitie au-dessus du visage de la gamine, contorsionnée et luttant contre la montée de plaisir :
-Suce moi le bout salope !
Il s'accroupit au-dessus de l'adolescente, son gros gland oscillant et effleurant a peine les lèvres encore rouges de maquillage. La gamine tend le visage vers le haut, et commence à téter le gros morceau de chair moelleux :
-Aaaaah putain, oui c'est p'tite salope, trait moi la bite avec ta bouche de suceuse !
Enivrée par le gout salé du gland, Élodie gémit en douceur tout en se doigtant la chatte :
*CLAC*
-HUM....
La claque violente sur le sein gauche de la gamine lui procure de nouvelles sensations. Elle a envie de se laisser aller à la jouissance, et ses lamentations se ressentent sur le gland tuméfié. Romuald pince alors violemment son téton gauche et le tourne entre ses doigts avant de claquer violemment le sein droit du coup de fouet de ses trois doigts tendus :
-Je t'ai dit d'pas jouir salope !
Il malaxe ensuite à pleine main la mamelle droite de la gamine et plonge sa main droite sur le pubis tendu vers le haut :
-Continue de te doigter salope, mais t'as pas intérêt à jouir !
Pour ajouter au calvaire de la gamine, Romuald appuie quatre doigts fortement sur le clitoris gonfle de l'adolescente et se met à frotter rapidement de droite a gauche le bouton déjà trempé de mouille. La jeune fille est aux abois, sa chatte et ses seins la mènent aux limites de la jouissance, mais elle ne peut pas exploser, de peur de voir partir son bourreau la privant ainsi de son plaisir.
Machinalement, et pour contenir son plaisir, elle ralentit à nouveau le pistonnage de sa chatte. Le mastodonte ne l'entend pas de la même oreille, il lâche la grosse mamelle, écarte les doigts de la gamine et les remplace par les siens au creux de sa chatte détrempée. Élodie se cambre de plus belle sous l'action combinée de la pénétration profonde des deux gros doigts boudinés et de la branlette en règle de son clito.
Le géant commence alors à osciller mécaniquement du bassin en pistonnant la gamine, sa bite s'enfonce alors et se met à glisser entre les lèvres de la gamine qui lutte contre les vagues de plaisir qui la gagnent. Lorsqu'il la sent sur le point de jouir, il retire ses doigts instantanément, laissant la gamine pantelante sous lui. Il se retire de sa bouche ouverte et haletante, lui tire les cheveux violemment vers l'arrière et lui plante ses deux doigts gluants de mouille dans la bouche. Il lui pistonne les lèvres :
-T'aimes ça hein, sale chienne ?
Il retire se doigts pour qu'elle lui réponde :
-Oui, j'aime ça, je suis ta chienne !
La maintenant dans cette position cambrée et humiliante, il lui plante à nouveau les doigts dans la chatte et la pistonne de plus belle. Élodie se mord à nouveau la lèvre pour contenir une plainte et Romuald se retire a nouveau juste à la limite de la jouissance de la gamine. Il se redresse, la toise a nouveau avant de lui ordonner :
-Fout toi a quatre patte sur le canapé et écarte bien ton cul relevé en direction de la fenêtre !
L'adolescente monte sur l'assise du canape et se penche en avant, le visage sur le coussin, les mains de part et d'autre de son cul à écarter ses fesses pour exposer ses deux trous a la fenêtre. A demi consciente, elle entend le grand black ouvrir la fenêtre de sa chambre et après quelques secondes, elle distingue des mots inaudibles. Il revient quelques instants plus tard et sans autre forme de procès, il lui plante le gode à manche veineux dans la bouche en un simulacre de pipe :
-Bave bien sale chienne !
Il retire le gode, s'installe, un genou sur le canape et l'autre pied bien ancré au sol :
*CLAC*
Il tape du plat de la main sur la fesse sensible de la gamine, écarte le petit cul ouvert et plante d'un trait le gode au fond de la chatte humide. Élodie se cambre violemment sous la vague de plaisir, et subit un nouveau pistonnage de sa chatte. Les décharges irradient dans son ventre prêt a exploser. Il lui tire les cheveux a nouveau et souffle brutalement a son oreille :
-T'as pas intérêt à jouir salope !
Mais le supplice est insoutenable, elle a besoin de jouir :
-Pitié Romu, pitié, laisse-moi jouir ! j'en peux plus !
Il retire alors le gode détrempé et le plante sans ménagement dans la pastille striée et toute tendue de l'adolescente qui se cabre et tord ses orteils sous la violence du coup :
-Putain, t'encaisse bien p'tite garce ! T'aimes ça hein, les bites dans le cul ?
-Oui oui, j'aime ça, je t'en supplie, laisse-moi jouir .... OUF ....
Il retire presqu'entièrement le chibre du cul de la gamine, et l’enfonce à nouveau avec force. Romuald se met à lui ramoner l'anus avec le gode bien lubrifié de mouille :
-Faut bien j'te prépare salope t'as deux admirateurs qui arrivent !
En panique, mais toujours submergée de vagues de plaisir, elle entend la porte d'entrée s'ouvrir. "La conne putain ! J'ai pas fermé !"
-HAAAN ....
Le déculage est presqu'aussi jouissif que le ramonage, elle manque de jouir sous les yeux amusés du duo de roumains qu'elle a laissé en plan avant de rentrer il y a quelques minutes :
-Alors les gars, z'avez pas eu votre compte on dirait ?
-Ouais, salope se fait toucher par les autres mais nous, non !
-C'est pour ça que vous attendez depuis tout a l'heure ?
-Ouais, nous baiser salope !
Élodie supplie le jeune congolais de ses grands yeux de biche apeurée, mais il soutient son regard et se tourne légèrement amusé vers les deux arrivants :
-OK vous la baisez, mais pas de coups, et pas de violence, ou j'vous défonce !
-Nous juste baiser ! Confirme le deuxième homme.
Élodie n'en revient pas, il va la livrer à ces deux hommes qu'elle vient de chauffer à cause du maitre chanteur "C'est un cauchemar putain !"
-OK alors c'est 30€ chacun !
"Quoi, en plus y fait de moi sa pute ?" Elle s'apprête a se rebeller, mais le jeune homme lui plante les doigts dans la chatte, déclenchant une nouvelle vague de chaleur dans le ventre de la gamine qui gémit d'extase :
-Tu vois bien que t'es qu'une chienne ! hein?
Finalement résignée, contrainte d'admettre sa faiblesse, Élodie abdique dans une supplique :
-HUN .... Oui, je suis qu'une chienne ! .... HAN .... Baisez moi comme une trainée !
Après avoir fouiller leurs poches, les roumains arrivent à rassembler les 60€ demandés. Le plus grand des deux prend la place de Romu et tire les cheveux de la gamine pour aligner son visage avec sa bite dodue. Sans attendre, il plante son bout dans la bouche de la gamine qui le sent grossir et durcir sur sa langue. Le petit trapu se place derrière la gamine et plante à nouveau le gode au fond de son cul. Élodie se cambre, ouvrant sa gorge au grand qui enfonce son gland au fond de la bouche pulpeuse :
-Putain ! Bonne salope !
Le petit trapu n'est pas en reste, il pistonne le cul de la gamine et plante sa bite, elle aussi d'un bon calibre, dans la chatte dégoulinante de la gamine. Élodie n'en revient pas, deux inconnus sont en train de la sauter comme l'autre salope de Béa, et elle sent malgré tout une nouvelle jouissance monter au creux de ses reins. Est-ce qu'elle est vraiment devenue une salope ? En tout cas ces gémissements ne trompent pas le jeune congolais qui se régale de l'entendre gémir :
-La faite pas jouir cette pute !
"Non non non, pitié, j'ai besoin de jouir !". Elle le supplie à nouveau du regard, la bite lui pistonnant toujours la bouche en train de frétiller sur sa langue. Les deux hommes se retirent instantanément, privant la gamine de sa jouissance. Le grand costaud s'assied sur le canapé alors que le petit trapu soulève la gamine comme un fétu de paille. Il la soulève sous les aisselles et son collègue, assis, attrape les cuisses de l'adolescente pour les écarter au-dessus de sa bite tendue à la verticale.
Élodie comprend leur manège et à demi consciente, elle s'empare de la bite derrière elle, et la guide vers l'orée de sa pastille striée. Elle s'embroche de tout son poids sur la bite tendue dans un soupir de plaisir. Le petit trapu s'installe entre les cuisses écartées et pousse le gland de son sexe contre le minou étroit de la gamine. Il se plante en elle d'un grand coup de rein, lui arrachant un long rale de plaisir, puis les deux hommes s'activent de concert entre les orifices de la belle. Elle sent leurs bites lui écarteler les chair à chaque coup de bite. Le petit gros écrasant le bout de sa queue contre son utérus à chaque poussée, et son collègue écartant les muqueuses tendues et délicieuses autour de son sexe trapu. Cette double pénétration amène rapidement la gamine aux portes de l'extase, elle qui ne s'était même pas doigter l'anus jusqu'a aujourd'hui.
Elle découvre de nouveaux plaisirs inavoués : exposée à ses voisins, baissée par des inconnus sous le regard d'un camarade de classe qui vient de la vendre pour une poignée de billets comme une vulgaire pute de quartier. L'adolescente est encore sur le point de jouir sous les coups synchronisés des deux bites qui s'agitent en elle. Les compères la sentent se contracter autour de leur bites et se retirent en même temps de leurs orifices respectifs.
Sur le point d'exploser, les deux ouvriers encadrent la gamine à genou entre eux. Le grand lui enfourne sa grosse saucisse odorante entre les lèvres. Il se met à lui baiser la bouche en profondeur en râlant sous les coups de langues de la petite.
Élodie prend la direction des opérations, galvanisée par les odeurs de ses fluides corporelles, mélangés aux goûts sucrés salés de ces deux morceaux de bidoche. Elle suce, elle aspire, elle pompe la bite qui l'enculait il y a quelques secondes et le branle vigoureusement tout en branlant son pote de sa main libre.
Elle sent le grand costaud se crisper, la bite se met à frétiller sur la langue fouineuse, son gland gonfle irrémédiablement. Puis c'est l'explosion, il se vide dans sa bouche d'une, puis de deux grosses giclées de foutre gluant que la gamine ingurgite instantanément.
Elle fait bien puisque deux nouvelles giclées abondante lui remplissent la bouche. Elle ne l'avale pas encore, mais ce concentre sur la deuxième bite qui frétille entre ses doigts. Elle le branle tout en appuyant le frein de son gland sur sa langue encore couverte du foutre gluant de son pote. Le petit trapu explose à son tour dans un râle salvateur, la première giclée s'écrase sur le petit nez retrousse de la gamine, elle gobe alors le gland pour finir de le vider dans sa bouche. Deux nouvelles giclées rejoignent les restes de son pote et l'adolescente se délecte de cette nouvelle rasade de foutre chaud. Les deux ouvriers se cambre une dernière fois chacun, étalant deux gouttes de spermes sur chacune des joues de la gamine.
Essoufflée, toujours pas rassasiée de jouissance, Élodie s'écroule sur le sol, alors que les deux ouvriers prennent conge du congolais qui les raccompagne vers la sortie
-Vous pouvez toujours passer au magasin ! Plaisante-t ‘il, reprenant mot pour mot ce que la gamine avait dit au groupe quelques dizaines de minutes plus tôt.
"Il a tout vu le salop !" Se dit la petite qui comprend mieux ce qui vient de se passer. Romuald revient dans la pièce puant le sexe et le foutre :
-Allez salope, va prendre une douche, tu pues le foutre !
Frustrée de ne pas avoir joui, mais le goût du sperme toujours présent sur sa langue, elle se relève, la chatte et le cul en feu, et ultra-sensible. Lorsqu’elle se savonne elle frisonne légèrement lorsqu’elle frotte ou frôle les zones sensibilisées, ses seins, ses tétons, ses fesses, son petit trou et sa chatte. Mais étrangement, la sensation n’est pas que douloureuse ....
Elle glisse ses doigts, frémit au contact, la chaleur reprenant possession de son corps :
-HUN ....
Ses doigts glissent sur sa vulve encore trempée : “Mais c’est pas vrai !”
-HAN ....
Elle vient de planter deux doigts dans sa chatte encore sensible des diverses bites qui l’ont remplie tout l’après-midi. Elle commence à comprendre Béa et les images de la soirée chez Romu affluent à nouveau dans son esprit :
-HUN .... HUN .... OUF .... OUIiiiii
Elle se fait du bien sous la douche, elle peut se faire jouir sans interruption .... enfin ....
-Mais t’es vraiment qu’une grosse chienne en chaleur ! La voix du congolais résonne dans la salle de bain
Il ouvre le rideau de douche, surprenant la gamine, adossée à la faïence, un téton entre les doigts, en train de se doigter la chatte
-Est ce que je t’ai autorisée à te soulager ?
Il entre dans le bac a douche le braquemart gonfle et tendu. Élodie reste interdite devant la taille impressionnante du sexe violace
-Tu la veux ma bite ? Hein espèce de chienne, tu la veux ma grosse bite de renoi ?
Prise sur le fait, honteuse, coupable, excitée, chaude comme la pute la pauvre gamine est submergée de sentiments opposés. Elle meurt d’envie de se faire défoncer comme Bea. Mais sa conscience la tiraille entre son souhait et son désir. Elle ne veut pas qu’on la catalogue comme la chienne qu’elle est devenue, et pourtant, sans aucune volonté, elle répond :
-Oui .... je la veux ....
-Quoi ? J’ai pas compris sale chienne !
Résignée, elle tend la main vers le sexe bande, elle s’accroupit dans le bac de douche et le regard fixé dans celui du jeune africain, elle succombe :
-Oui Romu, donne-moi ta grosse bite de renoi, fait de moi ta chienne, baise moi bien à fond!
Le sexe massif se tend alors à l’horizontal, le jeune homme a gagné, la petite est à lui, son excitation est à son comble. Il encadre de ses paluches le visage poupon en face de sa virilité, la gamine ouvre machinalement sa bouche et se laisse guider. Lorsque ses lèvres charnues entre en contact avec le gland gonfle, l’adolescente se met à téter la protubérance. Le jeune congolais sent les lèvres chaudes aspirer sa bite petit a petit. Il est aux anges, les lèvres se referment sur la base de son gland et la langue s’anime contre son frein tendu, aux abois.
La petite ferme sa main sur le contour de la grosse bite et commence à le masser sur la longueur tandis que sa main libre caresse les couilles grosses comme des kiwi. La gamine n’avait jamais vu de bite si longue et si large à part dans les porno qu’elle matait avec les garçons. Appliquée à donner du plaisir au jeune homme, Élodie salive abondamment sur la peau noire qui se met a luire sur son passage. La jeune fille aspire le chibre le plus loin qu’elle le peut, mais le calibre est trop important pour sa gorge.
-Me dit pas qu’avec ta gorge de salope tu peux pas m’avaler en entier ?
Habitué à ne pas pouvoir baiser le fond de gorge de ses victimes, Romuald applique toujours la même technique, et en bouchant le nez retroussé de la gamine pour l’obliger à chercher de l’air il espère pouvoir passer la barrière de la luette. “Bingo” la gamine ouvre sa gorge par reflexe et le gland s’enfonce librement écartant les muqueuses de l’œsophage de l’adolescente.
Cherchant désespérément de l’air, la gamine contracte sa gorge autour du jeune homme au cerveau noyé d’hormones. Il se retire précipitamment de peur d’éjaculer trop vite. Enfin libérée, Élodie cherche désespérément de l’air, la bouche attachée a la bite par un long filet de bave blanche :
-Je savais que t’avais le calibre d’une bonne suceuse. Je vais cracher dans la bouche comme dans celle d’une vulgaire trainée !
-Mais avant je vais baiser un a un tes trous de salope, tu vas me supplier de te laisser jouir ....
Sur ces paroles, il tire la gamine à lui, la surplombant d'au moins 50cm. Il se baisse et écrase ses grosses lèvres sur celle de l'adolescente avant de lui fouiller la bouche de sa grosse langue glaireuse. Élodie se perd dans ce baiser gluant, sentant le bout de la grosse bite taper sur la peau de son ventre. Elle glisse doucement le bout de ses doigts le long du chibre, provoquant des frétillement de la grosse saucisse a son contact. Il se recule avant d’ajouter :
-Je sens que j'vais te baiser bien à fond p'tite salope !
Il la soulève alors, passant ses bras puissants sous les genoux de la gamine qu'il écarte au maximum pour exposer les petite chatte sensible de la gamine. Élodie frémit au contact doux du gros gland trapu contre sa vulve sensible
-HUMPH .... Doucement …. Le supplie-t' elle ; doucement ….
Il la plaque violemment, dos contre la faïence froide, lui tire les cheveux en arrière et enfonce son gland entre les lèvres sensibles
-OUF ....
-HAN ....
La gamine se fait pénétrer par la grosse tige qui s'enfonce en elle sans aucune douceur. La progression est arrêtée lorsque le gland tape contre le col de la gamine qui frémit a nouveau à ce contact inhabituel. Déçu de ne pouvoir aller plus à fond dans l'étroite vulve, Romuald se retire et commence à limer la gamine en accélérant le rythme petit à petit. Il la pénètre à longs et grands coups de reins, de toute l'amplitude que peut supporter la gamine. Élodie n'en revient pas, quelle force, quelle vigueur.
Sa chatte se gonfle de sang et de désir, le plaisir monte en elle malgré la sensibilité de ses muqueuses. Le grand congolais sort de la cabine étriquée de la douche, et sans la démanchée, il retourne la jeune fille pour qu'elle soir le visage face à son miroir au-dessus du lavabo. Il la bascule en avant pour qu'elle prenne appui sur le bord du meuble et se met à la tringler en levrette :
-HAN .... HAN .... HAN .... HAN ....
La gamine gémit de plus en plus fort sous les coups de boutoirs. Elle sent enfin la jouissance gonfler en elle, prête à exploser. Il accélère, la secoue d'avant en arrière, secoue ses grosses mamelles qui tapent contre la vasque sous la puissance des coups de bite. Ça y est presque :
-OH Oui ..... Putain, vas-y continue ..... C'est bon .... HAAAAN .... Ouiiiii c'est bon baise moi bien à fond
Le jeune homme est sur le point de jouir en même temps que la gamine, son instinct lui dicte de pousser bien à fond pour exploser son foutre au fond de cet étroit vagin détrempé et gonfle de désir. Romuald sert les dents et se bat contre son instinct en se retirant juste avant l’explosion :
-HUMPH .... HUMPH .... HUMPH .... HUMPH .... Sale chienne, tu crois que tu peux me dire ce que je dois faire ?
Il laisse la gamine choir sur le sol, elle est essoufflée et frustrée d'avoir été si proche de cette jouissance ultime, l'explosion qu'elle attend depuis qu'elle a vu cette chienne de Bea couverte de tant de foutre. Il repart nonchalamment vers le salon, s'ouvre une nouvelle bière en se vautrant dans le canapé. Il fait nuit maintenant, les lumières des voisins éclairent légèrement le salon ouvert de leurs lumières diffuses. Le géant allume une petite lampe d'appoint, une liseuse à côté du canapé, et il appelle la gamine :
-Bon tu ramènes ton cul salope ? J't'ai demandé d'me sucer, j'attends toujours !
Confuse et frustrée, la gamine ne se rappelle plus de cet ordre, mais elle parvient à rassembler ses esprits et se relève pour rejoindre le géant :
-Et à quatre pattes ! Comme une bonne chienne !
Elle s'agenouille à nouveau à l'entrée du salon, pose ses mains devant elle et avance féline vers le morceau de bite déjà dégonflé :
-Et sans les mains cette fois !
Obéissante, elle s'agenouille entre les cuisses musclées largement ouvertes. Elle baisse son visage entre les jambes velues et aspire le gland au gout métallique, couvert de sa mouille. Elle le tète bruyamment et le sent déjà reprendre vie entre ses lèvres. Romuald boit nonchalamment sa bière pendant que la jeune fille suce sa grosse bite, salivant abondamment sur le vit de chair. Sa bière terminée, il se redresse et se lève, s'activant entre les lèvres gourmandes. La gamine suit le mouvement et présente maintenant son profil au gros sein pendant sous sa poitrine, à la baie vitrée, dans une ambiance de clair-obscur donnée par la liseuse.
Le jeune homme penche son torse au-dessus du dos de la gamine et lui doigte la chatte de son majeur. Il y enfonce un deuxième doigt arrachant une douce plainte étouffée à la gamine qui continue de le pomper. Il claque sa main libre sur le fessier rougit, et l'attrape à pleine main pour l'écarter. Romuald active alors un nouveau doigtage en règle de la chatte tuméfiée de plaisir. La réaction est immédiate, la gamine commence à osciller du bassin allant à la rencontre de ces doigts qui lui font un bien fou. Elle gémit, aspire et tète la grosse bite avec avidité.
Le géant lui claque le cul et retire à nouveau ses doigts au grand désespoir de la gamine qui commençait à prendre son pied. Maintenant les fesses d'Élodie largement écartées, il plante ses doigts lubrifiés dans l'anus tendu
-HUN .. HUN .. HUN .. HUN .. La gamine gémit par petits a coups bref lorsque Romuald se met à lui pomper le cul.
*CLAC*
-Oui c'est ça, un beau cul de chienne bonne à enculer !
-MWAH ....
Il se retire de la bouche de la gamine qui le libère en un bruit de succion. Ne bougeant pas de sa position, il attire le cul de la gamine a lui, toujours en position de levrette. Il écarte les grosses fesses de l'adolescente et glaviote un gros molard sur sa pastille déjà refermée. Il paque son gros gland sur l'entrée de l'anus et le lubrifie de son molard
-HAAAAAANNNNNNNNN ....
Il s'enfonce alors en une seule et très longue poussée arrachant un long cri à la gamine qui sent ses boyaux s'écarteler au passage de l'énorme bite. Inexorablement, le congolais s'enfonce encore dans le cul dilate de la gamine, sans même se retirer une fois, il parvient enfin à s'enfoncer jusqu'a la garde, au bout de longues secondes douloureuses. Élodie souffle comme une petite chienne, de petite respiration saccadée afin d'encaisser l'énorme gourdin qu'elle a dans le cul. Mais elle a tout juste le temps de s'adapter au calibre que Romuald se retire tout aussi lentement :
-Tu la sent bien ma grosse bite de ch'val, hein espèce de chienne ?
*CLAC*
-Répond salope
*CLAC*
Il s'enfonce à nouveau sans même attendre la réponse :
-Tiens sale chienne !
Et il se met à enculer la gamine à coups de bite forts et profonds. Le cul de la gamine se détend. La douleur initiale fait place à une nouvelle impression de plaisir et de douleur mélangés. Les coups de queue se font plus fort, le mastodonte se met à transpirer a enculer le petit cul encore trop serre
-T'aimes ça hein sale chienne ?
*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC* La peau trempe de sueur de son bide claque contre les fesses rembourrées de l'adolescente qui gémit de plus en plus de plaisir :
-OUI .... HAN .... HAN .... HAN .... Ouiii vas-y encule moi salop !
La gamine encaisse bien, il peut enfin la limer sur toute la longueur et en force
*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC*
-HAN HAN HAN HAN
Les gémissements de l'adolescente font directement écho aux coups de bite écrasés. Le cerveau du jeune homme est à nouveau envahi d'endorphine, il veut défoncer cette petite pute, la faire gémir de plaisir, la faire jouir sur sa grosse bite. Il s'active en elle, Élodie sent à nouveau la chaleur envahir son corps, gonfler dans son ventre, emplir sa chatte, prête à exploser en un feu d'artifice de plaisir. Elle s'étale sur le sol, tend son cul à l'arrière, s'empale d'elle-même sur le gourdin de chair.
Elle glisse ses mains sous son ventre, caresses les grosses couilles velue du bout de doigts et s'enfile trois doigts dans la chatte pour se branler en rythme avec son enculeur. Elle sent le gourdin lui envahir les chairs à travers la paroi vaginal. C'en est trop pour le jeune homme qui se fait surprendre par les petits doigts jouant avec ses grosse couilles et sa bite enfichée dans le petit trou tendu. Il tente de résister, enserre la base de sa bite entre ses doigts, mais rien y fait il va exploser. Les halètements de la gamine se transforment en complainte de jouissance :
-Oh oui ... Putain c'est bon .... vas-y encule moi à fond .... Baise moi bien, je suis ta chienne .... Putaaaaiiinnnnn !!!!
-HUN .... HUN .... HUN .... Tiens salope prends ça ! Sale chienne .... HUN .... HUN .... HUN ....
Et il éclate au fond du cul dilate de la gamine, lui arrachant un long cri de jouissance lorsqu'elle sent le gros gland gonfler et cracher la purée au fond de son cul défoncé. Il se retire, la base de la bite serrée dans son poing. Il tire la petite par les cheveux pour poster son visage de poupée devant sa bite odorante. La gamine ouvre la bouche, les yeux mi-clos et aspire la bite couverte de ses fluides
-HAN .... Oui prends ça grosse chienne ! ....
Il crache deux, trois nouvelles doses de jutes chaude et gluante entre les lèvres de la gamine qui l'aspire goulument et tète son gland odorant. Elle le termine en elle en branlant sa bite mollissante entre ses lèvres, et déglutit les doses de foutre lorsqu'elle s'écoule sur sa langue. Epuisée, elle s'écroule à ses pieds, le visage sur le côté, du sperme chaud s'écoulant à la commissure de ses lèvres pour terminer en une petite flaque blanche sur le parquet ciré.
Les sphincters distendus de son anus laissent aussi écouler une grosse quantité de foutre chaud entre les cuisses torturées de la jeune fille.
Il s'éloigne du corps meurtri de la gamine et va prendre une bonne douche avant de se rhabiller.
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
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