Eloge de la sodomie

- Par l'auteur HDS Imagine -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Eloge de la sodomie Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Eloge de la sodomie
Après 15 ans de vie commune et de plaisir sexuel partagé, je craignais vraiment la sodomie.

J’avais bien essayé à de nombreuses reprises et malgré la douceur de mon partenaire j’étais bloquée, pétrifiée. J’avais l’impression d’être écartelée tant j’étais contractée, la douleur était insupportable et il arrêtait.

Pourtant au fil des expériences la douleur disparut mais le sentiment d’inconfort, de vague « honte » persistait. Je me demandais comment une femme pouvait tirer de la jouissance de ce genre d’expérience. Devant le plaisir intense qu’il ressentait à me prendre de la sorte, j’acceptais finalement de lui offrir mon cul de temps en temps par amour pour lui.

Un soir, je l’attendais au lit ; il rentrait après une longue route. J’avais allumé des bougies et fait brûler de l’encens, il y avait des boissons et des bricoles à grignoter.

Je portais, je crois, de la lingerie qu’il m’avait offerte. J’étais couchée, les jambes largement écartées ; mon string se tendait délicieusement sur mon clitoris. J’avais envie de jouir et de le faire jouir. J’avais pris les précautions d’hygiène afin de lui offrir mon cul pour qu’il s’y enfile.

En se déshabillant il mit au jour une queue en pleine érection puissamment veinée avec un gland satiné et rebondi.

Il aspira mon clitoris, le faisant rouler sous sa langue, le lécha copieusement ainsi que mes lèvres, enfonça sa langue dans mon vagin, alterna avec une branlette en règle de ma petite bite.

Il me mena en quelques instants plusieurs fois au bord de l’orgasme s’arrêtant juste à temps en me laissant planer de longues minutes dans un état tellement proche de la jouissance qu’on s’en contenterait presque.

Son érection ne faiblissait pas, que du contraire, j’avais beaucoup de mal à lui sucer la queue entière. J’aspirais goulûment son gland à genoux, tête-bêche, lui offrant mon entrejambe.

Pendant que je lui malaxais les couilles en le branlant fermement et en lui léchant le gland, il m’explorait d’une langue pointue et humide.

Je me retournai et, à califourchon sur son ventre m’empalai sur sa queue jusqu’à la garde. Ses couilles frappaient avec un bruit mat sur mes lèvres.

Je me cambrai pour offrir à ses mains mes seins généreux et mon clitoris. Il s’empressa de le titiller me menant une fois de plus au bord de l’extase.

Il me fit basculer, je me mis à 4 pattes offrant ma croupe à sa queue et à ses mains.

Il me sait très friande de fessées plus sonores que douloureuses.

Il me gratifia de quelques claques qui firent rosir mes fesses puis les empoigna afin de les écarter, de découvrir mon œillet. Et de cette langue pointue qui écartait tous les replis de ma chatte il y a quelques instants, il entreprit de me lécher la rondelle. L’effet de surprise fit place en quelques coups de langue à un plaisir intense, une extrême douceur. J’avais l’impression que mon anus se dépliait comme une fleur qui éclot déploie ses pétales. Une grande chaleur envahit mon périnée et j’avais furieusement envie que la langue pointue me pénétrât plus loin encore.

Il m’installa sur le bord du lit, les jambes dans le vide et un coussin pour surélever mon bassin.

Il s’agenouilla et je vins naturellement poser mes jambes sur ses épaules, découvrant impudiquement un œillet en quasi explosion, un vagin humide et un clitoris en pleine bandaison.

Il me chauffait doucement en me branlant le clito (je suis, ou plutôt j’étais, à 80 % clitoridienne).

Je l’aidais à lubrifier le pieu qu’il allait me ficher dans les arrières en frémissant.

Il glissa doucement, en tournant, son gland poli comme un galet dans mon cul. Le lubrifiant était appliqué si généreusement qu’il faisait un petit bruit de succion. Sa queue entrait, mm par mm, mais elle entrait me procurant une agréable chaleur dans tout le périnée. Les derniers cm, je les ai aspirés en m’agrippant à ses épaules pour m’enficher à fond sur son pal.

Il a commencé à bouger doucement en me branlant toujours, les coups de rein ont monté en puissance et en cadence. Ses couilles tendues venaient rebondir en cadence sur mes fesses.

Il a déchargé longuement et par saccades pendant que j’atteignais un orgasme d’une intensité et d’une longueur jamais atteintes.

Ca faisait longtemps que nous n’avions pas joui aussi violemment et d’une manière aussi synchrone.

Je venais de comprendre que je passais une étape capitale dans la quête du plaisir.

A suivre...

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