Eloïse, ma belle-mère octogénaire 1
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Eloïse, ma belle-mère octogénaire 1
Éloïse***Ma belle-mère s’était installée depuis quelque temps à proximité de sa fille.
Habitant la région parisienne, loin de toute sa famille, elle venait d’avoir quatre-vingts ans et voulait se rapprocher. Son pavillon de banlieue était devenu trop grand et elle avait envie de se retrouver dans un appartement.
Même si ma femme n’était pas enchantée de l’avoir trop près d’elle, car elle pourrait se révéler envahissante. L’affaire avait été rondement menée et elle avait aménagé dans l’appartement tout neuf d’une résidence en plein cœur du quartier commerçant de notre ville.
Finalement, ni trop loin, ni trop près, les premiers mois ont permis de se rendre compte que la proximité n’avait pas provoqué l’envahissement. Chacun restant chez soi. Quelques fêtes regroupent la famille, mais sans plus. Bien sûr, on avait des contacts, en bon voisinage, mais sans interférence dans la vie des uns et des autres. Tout se passait pour le mieux.
Un jour, j'ai rencontré Éloïse, c’est le prénom de ma belle-mère, au supermarché du coin. Je suis surpris quand elle m’apparaît nerveuse, ce qui m’étonne d’elle qui est plutôt une femme sûre d’elle.
« Vous allez-bien ?
O… Oui et vous ! Vous ne travaillez pas aujourd’hui ?
J’ai pris une RTT. Je vais chercher un colis pour faire une surprise à votre fille. Surtout ne lui dites rien avant ce soir !
Ah ! Euh… D’accord…Mais, vous êtes sûre que ça va ?
O… Oui ! Pourquoi me dites-vous ça ?
Il me semblait que… mais non. A bientôt ! Je dois y aller !
Oui, à bientôt ! »
Je termine rapidement mes courses et au moment où je passe en caisse, je l’aperçois dans le magasin en compagnie d’un jeune homme. Je n’y prête pas plus d’attention sur le moment.
Un peu plus tard, alors qu’en voiture je retourne à la maison avec mon colis - Un fauteuil télé massant et chauffant que je dois monter et installer – j’aperçois ma belle-mère. Elle donne le bras au jeune homme du supermarché qui tire le caddie à provisions. Rien de bien curieux, si ce n’est que ma belle mère lui sourit, ce qui lui arrive rarement, et alors que je suis arrêté au feu rouge, elle lui prend la main en le regardant tendrement.
Je suis abasourdi ! Ce n’est pas possible ! Cet homme a tout juste la trentaine, ma belle-mère est octogénaire. Non, je rêve ! J’hallucine ! Un coup de klaxon derrière moi, me sort de ma contemplation. Je redémarre, la tête embrumée par la vision de ce couple étrange.
Mû par une curiosité malsaine, je fais le tour du pâté de maison et me poste aux aguets pour surveiller l’entrée de son immeuble. J’ai laissé ma voiture repérable, un peu plus loin et fais semblant de lire dans un angle de rue qui me permet de voir sans être vu.
Éloïse et son accompagnateur ne tardent pas à apparaître. C’est lui qui tape le code d’accès à l’immeuble, au moment de passer la porte, il laisse passer Eloïse devant et pose sa main sur le haut d’une fesse sans qu’elle ne réagisse !
Sans trop savoir pourquoi, je reste un moment à mon poste sans voir ressortir l’homme. Enfin, de retour chez moi, j’ai un peu de mal à terminer mon montage, la tête pleine de la vision de ma belle-mère.
Au retour de la déchetterie, où j’ai été jeter l’emballage du fauteuil, je repasse, sans que cela soit nécessaire, devant l’immeuble d’Éloïse. Hasard ou coïncidence, je vois sortir l’homme. Je me gare. Il se rend à la boulangerie toute proche, ressort avec une baguette et revient vers l’immeuble.
Arrivé devant la porte, il ne s’arrête pas et continue son chemin, il passe juste à côté de moi, sans me remarquer, concentré sur l’usage son Smartphone.
Je peux le détailler un peu. Il a le type maghrébin et doit avoir une trentaine d’années, plutôt beau gosse et bien habillé. Il s’éloigne et s’engage dans une rue pour disparaître de ma vue.
Cet épisode m'a malgré tout intrigué. Quelles sont les relations de ma belle-mère avec cet homme ? Ils ont l’air très proches, malgré la différence de culture et d’âge.
J’ai le souvenir de ma belle-mère assez réticente vis-à-vis de la population immigrée, notamment maghrébine. Comment en est-elle arrivée à côtoyer cet homme, et semble-t-il, à l’accepter chez elle ? Voire plus !
De ce jour, sans vraiment la surveiller, j’observe Éloïse. Son comportement est de plus en plus enjoué. Ses tenues sont plus seyantes, elle se maquille un peu plus, change légèrement sa coiffure. Bref, elle rajeunit. J’en fais la remarque à ma femme, en lui glissant que depuis qu’elle vit près de nous, sa mère va beaucoup mieux. Elle qui se plaignait auparavant, n’hésite pas à sortir pour se promener et même utiliser les transports en commun dont elle avait horreur, pour aller au théâtre en ville.
Ma femme en est très heureuse et même soulagée que contrairement à ses craintes, sa mère n’envahisse pas notre vie. J’en rajoute un peu en suggérant qu’elle a peut-être trouvé un amoureux !
« Tu es fou ! A son âge !
Oh, tu sais, il n’y a pas d’âge pour ça !
Tout de même ! Tu es un grand malade toi ! Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
Tu ne la trouve pas plus gaie ? Plus enjouée ? Mieux habillée ?
Oui, c’est vrai, mais… Non ! Elle est simplement bien ici !
Sûrement. Tu as raison.
Tu vois toujours de ces trucs toi… »La conversation s’arrête là, jusqu'au jour où Éloïse débarque à la maison, accompagnée du maghrébin. Ils sont arrivés à pied.
« Je vous présente Rachid ! C’est un jeune voisin qui me tient parfois compagnie. Il m’aide quand je vais faire des courses – elle se tourne vers moi, semblant justifier notre rencontre – Il connaît bien le quartier et les habitants. Il m’aide beaucoup.
Enchanté ! Dis-je en lui tendant la main que je serre franchement. Je le regarde dans les yeux. Il ne baisse pas son regard.
Enchantée dit ma femme. Mais comment avez-vous fait connaissance ?
Un jour qu’il pleuvait, j’étais au supermarché, il m’a proposé de m’aider à porter mon sac. Je le voyais régulièrement à la boulangerie. Il était toujours poli et prévenant. Ce jour-là, il y avait trois jeunes sous l’auvent de l’entrée, qui chahutent les clients et surtout les clientes comme moi.
Rachid est intervenu pour les faire cesser et me protéger. Il m’a raccompagnée à la porte. Je lui ai bien sûr proposé de monter prendre un verre, mais il n’a pas voulu.ça ne se fait pas chez nous interrompt le jeune homme.
Oui ! Ensuite, nous nous sommes revus, reprend Éloïse et nous avons sympathisé. Il a fini par accepter de prendre un café au bistrot à côté.
Depuis, avec lui, nous nous promenons dans le quartier. Il m’a fait découvrir les allées dans le bois derrière. C’est par là que nous sommes arrivés ce matin »Ma femme leur propose alors de rester à déjeuner. Ils hésitent, se regardent.
Rachid acquiesce et Éloïse donne alors son accord. J’ai eu l’impression fugace qu’elle attendait la décision de l’homme.
Je prépare la table, aidé de Rachid alors que les femmes sont en cuisine.
J’en profite pour l’interroger un petit peu.
« Vous désirez un apéritif ?
Non, merci jamais.
Pas de vin non plus ?
Ah si ! Je ne suis pas un intégriste et j’apprécie le vin, mais avec modération comme on dit !
Bien. Je vais trouver une bonne bouteille. Et l’ouvrir tout de suite. » Je choisis un Morgon, qui est à la fois léger et fruité. « Vous vous entendez bien avec Éloïse ?
Oui ! Elle est très gentille.
Oui. Elle sait tout de même ce qu’elle veut.
C’est sûr ! C’est normal aussi, à son âge.
Si je ne suis pas indiscret, vous avez quel âge ?
Trente deux ans.
Ah ok ! Et la compagnie d’une octogénaire ne vous embête pas ?
Vous savez, Éloïse est jeune d’esprit. On a plein de choses en commun !
Ah bon ?
Euh oui… Les livres, le théâtre, le cinéma, la promenade et puis j’aime bien sa compagnie. Je lui apprends quelques mots d’arabe et elle adore ça !»Le repas se passe bien ensuite et après le café, ils repartent tous les deux à pied pour retourner chez Eloïse.
Ma femme est enchantée de la visite. Elle trouve Rachid très sympathique et cultivé. Elle est heureuse que sa mère ait trouvé de la compagnie.
Toute à sa discussion, elle n’a pas remarqué quelques regards entre sa mère et Rachid. Elle n’a pas vu le geste de ce dernier, qui dans son dos, à discrètement porté la main sur les fesses d’Éloïse qui n’a rien dit. Pour ma part, j’ai senti une certaine tension parfois quand des questions plus personnelles étaient posées. Rachid a l’art de l’esquive et a souvent répondu aux questions, parfois à la place d’Éloïse.
Je me garde bien de faire état de mes doutes auprès de ma femme. Je ne veux pas l’inquiéter, mais j’ai l’art de sentir quand il se passe quelque chose de curieux. Je décide de mener discrètement mon enquête sur les relations véritables entre ma belle-mère et Rachid.
Quelques jours plus tard, je prends une semaine de congés pour faire des travaux de bricolage et jardinage à la maison. Je choisis de travailler tôt le matin. Vers dix heures je prends mon vélo et je me dirige vers la résidence d’Éloïse. Je m’installe dans le bistrot en face avec un café et un journal de manière à apercevoir l’entrée de l’immeuble.
Une demi-heure passe et je vois Rachid sortir seul. Il va à la boulangerie et contrairement à l’autre fois, retourne dans la résidence avec une baguette et un journal.
Le temps passe, je reprends un café-croissant de plus et alors que j’allais partir, la porte s’ouvre sur le couple qui sort. Éloïse donne le bras à Rachid. Rien que de très naturel pour une dame âgée qui trouve ainsi un soutien. Ils tournent aussitôt dans la rue qui fait l’angle de la résidence et disparaissent de ma vue. Je sors tranquillement, reprends mon vélo à la main et les suis discrètement. Ils marchent assez lentement vers le petit bois au fond de la rue. Je mets mon casque de cycliste et les grandes lunettes. J’ai enfilé un jogging. Le tout me rend méconnaissable. Ma belle-mère ne m’a jamais vu ainsi. En vélo, je les dépasse rapidement pour arriver en premier à l’entrée du bois. J’attache le vélo et m’enfonce dans les taillis. Je me dissimule derrière un buisson.
De là, je vois l’arrivée de la rue et je ne peux pas les louper. En effet, ils ne tardent pas à apparaître et comme je l’avais pensé, prennent le sentier qui serpente entre les arbres. Je peux les suivre sans me faire repérer. Après cinq minutes de marche, les habitations ont disparu derrière la végétation. Le couple s’approche d’un banc installé comme d’autres, tout au long de la promenade.
Je suis assez proche pour les voir mais pas assez pour entendre leur conversation. Leur attitude a changé. Ils se tiennent par la main en regardant la nature autour d’eux, se regardent et se parlent Je vais pour les laisser, lorsque Rachid passe un bras autour de l’épaule de ma belle-mère.
Elle se tourne alors vers lui et les bras m’en tombent !
Ils s’embrassent sur la bouche ! Ma belle-mère qui a passé les quatre-vingts ans, est en train de rouler une pelle à un homme qui a cinquante ans de moins qu’elle ! Un arabe en plus ! Communauté qu’elle n’appréciait guère auparavant !
L’autre main de Rachid qui s’est posée sur la jambe d’Éloïse, remonte sur sa poitrine pour la caresser. Il déboutonne le haut de sa robe et glisse la main dans le corsage ! La vieille se pâme ! Ma belle-mère se laisse peloter en pleine nature ! Et ce n’est pas fini. Une main d’Éloïse va se poser sur le devant du pantalon et caresse ce qui doit être la bosse de son sexe !
J’hallucine ! J’hallucine et je bande ! Voir ma belle-mère dans les bras du maghrébin m’excite ! Les deux amants n’arrêtent pas de s’embrasser à bouche que veux-tu ! Indifférents au monde autour d’eux. Éloïse, quasiment dépoitraillée tente de glisser sa main dans l’ouverture de la braguette qu’elle a descendue !
Comment une vieille femme collet-monté se laisse aller comme une adolescente, dans les bras d’un homme qui pourrait être son petit fils ?
Comment un homme dans la force de l’âge, plutôt beau gosse, peut-il bander pour une vieille comme elle ?
Je le soupçonne, lui, d'une machination. Il va abuser Éloïse et lui soutirer de l’argent. La dépouiller dans tous les sens, la ruiner et ruiner sa réputation. Spolier sa famille et donc... Que sais-je ?
Dans un brouillard, je retourne sur mes pas, retrouve mon vélo et repart à la maison. Heureusement, ma femme ne rentre pas déjeuner et j’ai du temps pour réfléchir et me reprendre. Que dois-je faire ? Comment sortir de cette histoire sans faire de scandale, sans mettre en danger Eloïse et sa famille ?
J’échafaude un plan. Je vais parler d’abord à ma belle-mère, ensuite éventuellement à Rachid. Je ne sais absolument pas où ça va nous mener, mais je ne peux pas rester comme ça.
Dans un premier temps je décide de ne rien dire à ma femme. Si cela s’arrête sans qu’elle n’en sache rien, ce sera mieux pour tout le monde.
L'après-midi même, j'appelle Éloïse sous prétexte de lui demander des nouvelles et si elle n’a pas besoin de moi pour faire des courses, puisque je suis en congés. Elle me dit que non, mais que je peux passer prendre le thé vers dix-sept heures si je veux.
A l’heure dite, je me présente chez elle. Première surprise. Elle me reçoit dans une robe d’intérieur longue, style djellaba, chaussée de babouches. Je me fais la réflexion qu’il ne lui manque qu’un foulard pour ressembler à une femme arabe. Deuxième surprise. Son salon est meublé à l’orientale : des sofas, une table basse, une banquette, un canapé profond et bas avec des gros coussins et des poufs! J’ai la sensation de me retrouver dans une maison algérienne !
Lorsque Éloïse se déplace vers la cuisine, je peux deviner en semi-transparence qu'elle est nue sous sa robe. Au retour, je vois nettement ses gros seins ballotter libres sous le tissu léger. Je bande en découvrant ma belle-mère nue sous sa robe !
En quelques semaines, nous étions venus avec ma femme il y a deux ou trois mois, quel changement ! Pour finir, bien sûr, le thé est à la menthe.
« Je me suis mise à l’orientale me déclare Éloïse le sourire aux lèvres. Et je m’y sens très bien !
C’est vrai que vous êtes rayonnante !
Vous trouvez ?
Oui ! Est-ce l’influence de votre ami Rachid ?
O… Oui ! Je… Je suis confuse !
Ne le soyez pas ! Je trouve qu’il a une influence positive sur vous !
C’est vrai ? Vous êtes gentil ! A vrai dire, j’avais un peu peur de ce que vous pensiez de ma relation avec lui.
Pour dire vrai, chère Éloïse, je voudrais vous demander quelques précisions.
Ceci bien sûr, restera entre nous et je n’en parlerai pas à votre fille.
Que voulez-vous savoir ?
Je vais être direct, je peux ?
O… Oui, allez-y !
Avez-vous des relations… intimes avec Rachid ? … Pardonnez-moi !
Oh ! … Je vous… Je ne vous permets… Je ne sais… Mais… Bon, d’accord ! C'est vrai ! Je... je suppose que ça vous choque ?
Ce n’est pas la question ! Vous êtes libre de faire ce que vous voulez. Je vais dire que je suis plus étonné qu’autre chose. Je vais être franc avec vous. Quand vous êtes passée l’autre jour à la maison avec lui, j’ai remarqué, et je vous rassure je suis le seul, quelques gestes et quelques regards entre vous.
Ce… J’ai remarqué aussi que vous attendiez souvent qu’il réponde pour vous deux.
Vous êtes très observateur mon gendre et… très coquin ! Puisque vous semblez curieux, puis-je vous demander ce que vous en pensez ?
Je me garderais bien de vous conseiller ! Si au début j’étais effectivement curieux, je dois dire que quand je vous ai vue ce matin dans le bois, j’ai été estomaqué !
Je… Vous… Vous nous avez espionnés ?
Disons que le hasard (il a bon dos), a fait que je me promenais dans le bois ce matin. J’ai vu arriver un cycliste qui est parti ensuite faire un jogging à pied. C’est juste après, que je vous aie vu arriver, vous et … Rachid.
Comme j’avais été intrigué l’autre jour, je vous ai observé discrètement.
Quand vous vous êtes assis sur le banc et que je vous ai vu vous embrasser, je suis resté « scotché» !
Je vous fais honte ? A mon âge n’est-ce pas !
Ce n'est pas ça ! C’est vrai que je me suis posé des questions, surtout que je ne vous ai jamais vue comme ça et que… enfin bref… Et puis Rachid est jeune.
Que voulez-vous dire ? Vous pensez que je suis trop vieille ?
Pardon ! Non, non, ce n’est pas ça. Je pensais surtout à la différence… pardon encore ! A la différence d’âge et … de …culture ! En fait je m’interroge surtout sur les motivations de votre « chéri ». Je ne voudrais pas qu’il vous spolie, ni vous, ni votre famille.
Vous savez… À mon âge… donc, on ne se laisse pas avoir tout de même. Mais vous avez raison ! Je ne me reconnais pas. Je suis folle. Je croyais tout cela enfoui et terminé. Rachid a réveillé mes instincts et mes... désirs de femme. Il est jeune ! Il est beau ! Il est beau n’est-ce pas ? Je n’en reviens pas qu’il … qu’il me… enfin vous comprenez ?
Oui, oui ! Je … comprends. Je remarque quand même qu’il a modifié votre intérieur et … votre tenue.
O… Oui ! C’est vrai !
Il y a d’autres choses ? Vous dépensez beaucoup pour lui ?
Il y a … Oui... Mais non, je ne paye pas grand-chose. Quelques sorties, la nourriture. De toutes façons, il ne veut pas autre chose, ni même que je lui donne de l’argent de poche… enfin...»Il ne travaille pas ? Il n’a pas des revenus ?
Je… Non ! Il est au chômage mais … Bon ! De toute façon, ça ne me regarde pas. Puisque cela vous convient, je suis rassuré. Comptez aussi sur ma discrétion Je vous remercie… Pour l’instant je ne voudrais pas que ça s’ébruite… surtout pour ma fille…Je comprends. Pas de problème !
Nous buvons du thé. Je laisse ensuite Éloïse en lui promettant à nouveau de ne pas en parler à ma femme.
J’ai un peu de temps justement, avant le retour de ma femme. Je décide de tenter de parler à Rachid. Je suppose qu’il ne devrait pas tarder à venir retrouver « sa belle » Je reprends mon poste d’observation favori au café.
Après un moment, je le vois arriver à pied. Je m’avance pour le saluer et je lui propose de prendre un café. Il accepte et nous nous retrouvons à la table où je me trouvais le matin même.
« Je voudrais parler un peu avec vous de votre relation avec ma belle-mère ».
Je l’empêche de protester « N’ayez crainte, je n’ai rien contre ! Je sais aussi que vous avez des rapports… disons… intimes. Je ne juge pas, mais je voudrais que vous me précisiez quelques points.
Je sais que ça peut vous paraître curieux. ça l’est tout autant pour moi. Je n’aurais jamais pensé avoir de rapports … enfin… avec une … vieille dame. Je ne sais pas comment ça s’est fait, mais je veux vous rassurer. Je ne cherche pas à profiter d’elle … pécuniairement... comme vous pourriez le penser.
Certes elle paye lorsque nous sortons, car je n’ai pas d’emploi. mais cela se limite à ça. Elle ne m’achète rien… Bon d’accord, une fois elle m’a offert une chemise, le lendemain de… de la première fois... Enfin... vous voyez ?
Je comprends que notre relation soit un peu spéciale, mais de ma part elle est … disons… honnête. Nous avons un arrangement… Je ne peux pas vous en dire plus, mais … Nous ne nous sommes rien promis. Elle m’a dit qu’elle voulait profiter de ses dernières années et qu’elle comprendra bien si je me lasse d'elle.
Je dois te dire…Tu permets que je te tutoie ?
Oui, bien sûr !
Toi aussi, n’hésite pas. Je dois donc te dire que je viens de parler avec elle. Elle m’a à peu près confirmé ce que tu viens de me dire. Pour l’instant, il n’y a que moi qui suis au courant. Néanmoins, j’ai aussi constaté que son intérieur avait changé et qu’elle portait une tenue, disons… orientale. C’est la première fois que je la vois ainsi et qu’elle n’est pas tirée à quatre épingles.
Vous … Tu as peur que je …« l’arabise » ?
Je ne sais pas, mais c’est… curieux.
En fait, c’est Éloïse qui me l’a demandé. D’abord cela a été la tenue d’intérieur que nous avons achetée ensemble. Un jour, elle est venue chez moi et a découvert mon décor. Elle a beaucoup aimé et a voulu retrouver la même ambiance chez elle. Rassurez-vous... toi, tous ses meubles sont stockés dans un garde-meubles.
ça c’est de son ressort. Pour ma part, j’aime bien le style.
Je dois quand même te dire une chose... particulière... Éloïse est très portée sur le sexe ! On dirait une boulimie. Elle me sollicite plusieurs fois par jour ou la nuit.
Tu es jeune ! Tu dois pouvoir assurer ! Dis-je en riant.
Oui, mais … Nous avons... disons... un arrangement, comme je t'ai dis…Elle m’a demandé de faire venir… d’autres hommes ! Elle m’a aussi demandé d’être son maître et...
Non ? Tu me fais marcher là ?
Je t’assure ! Écoute, si tu ne me crois pas, on va aller la voir ensemble.
Je... Je n’ai pas beaucoup de temps, mais allons-y »A l’entrée de l’immeuble, Rachid tape directement le code d’accès, nous prenons l’ascenseur. Rachid sonne – je me dis qu’il n’a tout de même pas la clé de l’appartement. Il me le confirme. Eloïse est un peu surprise de nous voir arriver tous les deux.
Nous entrons et alors qu’elle se dirige vers le salon, le contre jour nous offre sa silhouette à travers son vêtement. Rachid remarque mon regard et me cligne de l’œil ! Nous nous asseyons et curieusement Éloïse reste debout« Éloïse. - Dit-il alors. Nous avons discuté à l’instant avec Jean. Il me dit qu’il t’a parlé et qu’il connaît notre relation.
O... Oui ! Il nous a vus ce matin, dans le bois ! Il se doutait de quelque chose. Pardon... J’ai été obligée… de ...
Ce n’est rien ! Je lui ai aussi dit que tu m’es soumise et que tu reçois aussi d’autres hommes.
Oh mon dieu ! J'ai honte ! Elle se tourne vers moi. Qu’allez-vous penser de moi ? S’il vous plaît, n’en dites rien à ma fille ! Mais… Je ne sais pas ce qui m’arrive… J’aime ça ! Il me faut du sexe ! Toujours plus ! Rachid me... satisfait très bien, mais... Maintenant... je dois vous avouer que je me prostitue aussi et que j'aime ça ! Ne me demandez pas pourquoi, mais c'est moi qui ai demandé à Rachid s'il ne connaissait pas des hommes, car le pauvre ! Je... l'épuise ! Ne me jugez pas ! Il m'a dit que des hommes de sa.... communauté étaient... en manque et que mon âge ne serait pas un obstacle. Ce qu'ils voulaient, c'était « tirer » une femme peu importe qu'elle soit vieille ! En plus, une « roumia », il était sûr que cela ne poserait pas de problème. Il m'a alors dit qu'il les ferait payer, que c'était normal. Je ne veux pas voir cet argent mais puisqu'il le veut...
N’ayez crainte ! Je voulais simplement l’entendre de votre voix et savoir que vous étiez consentante dans ce jeu. Rassurez-vous tous les deux. Ce que vous faites ici ne me regarde pas. Tant que cela reste secret pour votre famille et que cela n’entraîne pas d’autres conséquences, cela ne me dérange pas et je n’ai rien à redire. Promettez-moi d’être discrets avec le voisinage, surtout pour ce qui est des... particularités ... pour le reste, si vous voulez rendre publique votre relation, je n’y vois personnellement aucun problème. Ceci dit. Tout le monde n’est pas aussi tolérant que moi vis-à-vis de … rapports comme les vôtres ! Entre… la différence d’âge et… de… culture !
Enfin, vous voyez !
Oui ! Merci Jean. Comment vous remercier ?
Mais de rien Eloïse. Je tenais simplement et discrètement à m’assurer de votre entente dans le couple et de votre consentement. On entend et on voit tellement de choses, que je voulais me rassurer.
Pour vous prouver ce que l'on vient de vous dévoiler, me dit alors Rachid, je vais vous montrer qu' Éloïse est soumise et obéissante. D’abord, ma chérie, vous allez confirmer à votre gendre que c’est bien vous qui m’avez demandé de recevoir d'autres hommes.
Oui ! C’est vrai ! J’ai honte, mais cela m’excite…. !
Bien ! Maintenant, vous allez montrer à votre gendre que, comme vous me l’avez demandé, vous m’êtes totalement soumise. D’accord ?
Je... O… Oui ! Je veux vous obéir mon chéri. Je veux être votre servante dévouée ! Vous me donnez tant de bonheur que je ne peux rien vous refuser.
Regarde comme elle m'obéit ! Me dit-il. il lance un ordre en arabe.
Sans un mot, ma belle-mère se penche, saisi le bas de sa robe d’intérieur, la relève, la passe par-dessus la tête et se retrouve nue au milieu de son salon !
Je reste sans voix ! Ma belle-mère, qui a plus de quatre vingt ans, se déshabille et se montre nue devant moi, sans broncher, uniquement parce que son homme le lui a demandé ! Tout cela sans manifester la moindre hésitation, à ce que je suppose être un ordre donné par Rachid en arabe !
Je découvre son corps. Malgré ses quatre-vingts ans, elle est plutôt mieux ainsi que habillée habituellement. Ses énormes seins tombent certes sur son ventre, mais leurs pointes dressées et les larges aréoles brunes leur donnent un aspect attendrissant et plutôt beau. Le ventre est arrondi mais n'est pas déplaisant même si elle est loin des canons de beauté.
Ses hanches larges et ses grosses cuisses sont extrêmement sensuelles. Je note que, à l’orientale, elle est entièrement épilée. Sûrement une demande de son homme.
Eloïse reste sans bouger. Les bras ballants face à nous. Elle est nue, debout au milieu de la pièce face à deux hommes qui la regardent, dont l'un est son propre gendre. Je ne sais quelle attitude prendre. Il lance alors un autre ordre.. Éloïse tourne sur elle-même, nous présentant son gros cul. Un mot et elle se penche, écarte ses fesses des mains et présente son anus. J’hallucine totalement ! Éloïse, plutôt rigide habituellement, se montre à moi nue, pire ! Soumise, pire encore ! Obscène !
Le silence est pesant dans la pièce. Je bande comme un fou, les yeux exorbités, je regarde le gros cul de ma belle-mère au centre duquel son anus écartelé me nargue de son œil sombre. Je ne sais pas ce qui me retient de plonger derrière elle pour lui lécher le trou. Je dois avoir un air halluciné. Non ! Je ne dois pas franchir le pas ! Je suis à deux doigts de me lever...
- « Je vous laisse ! lance alors Rachid. Vous pouvez discuter sans moi.
Éloïse va vous expliquer pourquoi elle est consentante. »Quand Rachid quitte l’appartement, un silence pesant s’installe entre nous.
Éloïse s'est relevée, mais est toujours debout et nue face à moi. Je me lève alors et lui prends les mains.
« Rhabillez-vous Éloïse... Ce sera plus facile.
Non. Je vis nue et ne mets ma robe que quand il y a des visiteurs. Cela ne doit pas vous gêner, puisque Rachid m’a demandé de me dévêtir. Vous êtes d’ailleurs le seul, en dehors de lui, à me voir ainsi. C’est vrai, je suis vieille et le spectacle ne doit pas être beau à voir !
Pas du tout ! Au contraire, je… vous êtes… Mieux… Pardon ! Mais vous voir comme ça... Je ne suis pas de boisVous êtes gentil mais je sais comme je suis. Bien. Je dois vous dire, que me montrer ainsi, surtout à vous, cela m’excite ! Je ne devrais pas le dire, mais depuis que Rachid m’a « révélée » Il me faut peu de chose. Maintenant, je me prostitue ! Je fais la pute ! De dire ça, m’excite ! Quand ces hommes viennent me « tirer » comme ils disent, ça m’excite ! Au moment où Rachid m’a ordonné de me mettre nue devant vous, j’ai mouillé aussitôt ! Vous vous rendez compte ? Et de vous parler comme ça, je ne vous dis pas comment je suis ! »Éloïse se colle à moi et me serre dans ses bras ! A travers ma chemise, je sens ses seins qui se pressent contre ma poitrine. Je respire son odeur. Son corps est chaud-bouillant ! Je ne sais quoi faire de mes mains que je finis par poser dans son dos ! Ma main droite est trop basse dans le creux de ses reins ! A la limite de ses fesses ! Je caresse sa peau sans m'en rendre compte.
Éloïse colle son ventre au mien et peut sentir mon érection ! Je bande pour ma belle-mère de quatre vingt ans qui est nue dans mes bras ! Moi aussi j’ai chaud !
« Si vous voulez… Dit-elle, la tête dans mon épaule.
Non ! Je crie en tentant de la repousser.
Je suis trop vieille ! Vous avez raison ! Pourtant vous avez envie ! Je le sens ! » Elle pose sa main sur mon sexe et le caresse à travers le pantalon.
« Ce n’est… Pas ça ! On ne peut pas ! Comment nous regarder ensuite ? Comment regarder votre fille ? Vous y pensez ?
Vous avez raison ! C’est vous qui êtes sage ! C'est moi qui suis folle ! Mes sens me trahissent ! Mais si un jour, vous changez d’avis, sachez que pour moi ce sera oui !
Je ne vous le demanderai jamais voyons ! Soyez assurée que dans tous les cas, je saurai rester discret !
Pourtant je le sens bien. Vous bandez mon gendre !
Oui ! Mais il ne faut pas que...»Ma belle-mère me serre à nouveau dans ses bras et me donne alors sa bouche.
Je ne recule plus. Je l'embrasse. J'oublie qu'elle a plus de quatre vingt ans, qu'elle est ma belle-mère. C'est une femme en chaleur qui est dans mes bras. Ma main est sur sa fesse et la pétrie sans retenue. Je glisse même un doigt dans sa raie et elle ne fait rien pour s'y opposer. Mon autre main part à la recherche de son sein qu'elle m'offre. Je le malaxe, elle titube dans mes bras. Ne pouvant la tenir je la laisse s'asseoir dans le divan profond où elle s'étale en arrière, impudique, jambes écartées elle se masse les seins, puis tend ses bras vers moi comme pour m'encourager à venir sur elle.
Un dernier sursaut de conscience m'empêche de me déshabiller et de la prendre là, comme la femelle qu'elle est alors et qui s'offre au mâle. Je tombe à genoux entre ses cuisses et plonge mon visage sur sa moule béante qui ruisselle. Je me délecte de ses sucs, j'oublie qu'elle est octogénaire, j'oublie qu'elle est ma belle-mère !. Elle sent bon. C'est une femme comme une autre.
Je trouve son clitoris tendu en haut de sa chatte soigneusement épilée. Je fourre ma langue dans sa figue onctueuse. Elle pose ses mains sur ma tête, m'encourageant de la voix.
- « Oh oui ! C'est bon ! Bouffe-moi bien comme ça ! Mets-moi tes doigts !
Branle-moi fort ! Viens ! « J'enfonce trois doigts sans difficulté et baratte son sexe gluant qui clapote. Elle attrape ses jambes derrière les genoux et s'écarte complètement. Elle grogne, soupire puis d'un coup se relâche, anéantie par un orgasme puissant qui la fait couler dans ma bouche. Je lape sa jouissance.
J'ai le visage barbouillé. Elle s'étale alors que je relève mon buste. Je la découvre alors nue et transpirante. Elle est exténuée par son plaisir.
Ce bref instant de répit me permet de me reprendre. C'est ma belle-mère que je viens de lécher ! Elle me regarde et sourit. Elle ouvre encore ses bras « Viens ! J'ai envie de ta queue ! Baise-moi ! Tu en as trop fait ! Cela ne changera rien. Tu sais, c'est la première fois qu'on me... Avec la langue !
Que c'est bon ! Rachid ne fais que me prendre ! Si tu ne veux pas me baiser, laisse-moi te sucer ! J'adore ça aussi et puis je dois te remercier !
Ce n'est pas la peine. Je... Je n'aurais pas dû vous....
Tu recommenceras dis ? Mon dieu ! Je suis folle ! Te demander ça ! »
Habitant la région parisienne, loin de toute sa famille, elle venait d’avoir quatre-vingts ans et voulait se rapprocher. Son pavillon de banlieue était devenu trop grand et elle avait envie de se retrouver dans un appartement.
Même si ma femme n’était pas enchantée de l’avoir trop près d’elle, car elle pourrait se révéler envahissante. L’affaire avait été rondement menée et elle avait aménagé dans l’appartement tout neuf d’une résidence en plein cœur du quartier commerçant de notre ville.
Finalement, ni trop loin, ni trop près, les premiers mois ont permis de se rendre compte que la proximité n’avait pas provoqué l’envahissement. Chacun restant chez soi. Quelques fêtes regroupent la famille, mais sans plus. Bien sûr, on avait des contacts, en bon voisinage, mais sans interférence dans la vie des uns et des autres. Tout se passait pour le mieux.
Un jour, j'ai rencontré Éloïse, c’est le prénom de ma belle-mère, au supermarché du coin. Je suis surpris quand elle m’apparaît nerveuse, ce qui m’étonne d’elle qui est plutôt une femme sûre d’elle.
« Vous allez-bien ?
O… Oui et vous ! Vous ne travaillez pas aujourd’hui ?
J’ai pris une RTT. Je vais chercher un colis pour faire une surprise à votre fille. Surtout ne lui dites rien avant ce soir !
Ah ! Euh… D’accord…Mais, vous êtes sûre que ça va ?
O… Oui ! Pourquoi me dites-vous ça ?
Il me semblait que… mais non. A bientôt ! Je dois y aller !
Oui, à bientôt ! »
Je termine rapidement mes courses et au moment où je passe en caisse, je l’aperçois dans le magasin en compagnie d’un jeune homme. Je n’y prête pas plus d’attention sur le moment.
Un peu plus tard, alors qu’en voiture je retourne à la maison avec mon colis - Un fauteuil télé massant et chauffant que je dois monter et installer – j’aperçois ma belle-mère. Elle donne le bras au jeune homme du supermarché qui tire le caddie à provisions. Rien de bien curieux, si ce n’est que ma belle mère lui sourit, ce qui lui arrive rarement, et alors que je suis arrêté au feu rouge, elle lui prend la main en le regardant tendrement.
Je suis abasourdi ! Ce n’est pas possible ! Cet homme a tout juste la trentaine, ma belle-mère est octogénaire. Non, je rêve ! J’hallucine ! Un coup de klaxon derrière moi, me sort de ma contemplation. Je redémarre, la tête embrumée par la vision de ce couple étrange.
Mû par une curiosité malsaine, je fais le tour du pâté de maison et me poste aux aguets pour surveiller l’entrée de son immeuble. J’ai laissé ma voiture repérable, un peu plus loin et fais semblant de lire dans un angle de rue qui me permet de voir sans être vu.
Éloïse et son accompagnateur ne tardent pas à apparaître. C’est lui qui tape le code d’accès à l’immeuble, au moment de passer la porte, il laisse passer Eloïse devant et pose sa main sur le haut d’une fesse sans qu’elle ne réagisse !
Sans trop savoir pourquoi, je reste un moment à mon poste sans voir ressortir l’homme. Enfin, de retour chez moi, j’ai un peu de mal à terminer mon montage, la tête pleine de la vision de ma belle-mère.
Au retour de la déchetterie, où j’ai été jeter l’emballage du fauteuil, je repasse, sans que cela soit nécessaire, devant l’immeuble d’Éloïse. Hasard ou coïncidence, je vois sortir l’homme. Je me gare. Il se rend à la boulangerie toute proche, ressort avec une baguette et revient vers l’immeuble.
Arrivé devant la porte, il ne s’arrête pas et continue son chemin, il passe juste à côté de moi, sans me remarquer, concentré sur l’usage son Smartphone.
Je peux le détailler un peu. Il a le type maghrébin et doit avoir une trentaine d’années, plutôt beau gosse et bien habillé. Il s’éloigne et s’engage dans une rue pour disparaître de ma vue.
Cet épisode m'a malgré tout intrigué. Quelles sont les relations de ma belle-mère avec cet homme ? Ils ont l’air très proches, malgré la différence de culture et d’âge.
J’ai le souvenir de ma belle-mère assez réticente vis-à-vis de la population immigrée, notamment maghrébine. Comment en est-elle arrivée à côtoyer cet homme, et semble-t-il, à l’accepter chez elle ? Voire plus !
De ce jour, sans vraiment la surveiller, j’observe Éloïse. Son comportement est de plus en plus enjoué. Ses tenues sont plus seyantes, elle se maquille un peu plus, change légèrement sa coiffure. Bref, elle rajeunit. J’en fais la remarque à ma femme, en lui glissant que depuis qu’elle vit près de nous, sa mère va beaucoup mieux. Elle qui se plaignait auparavant, n’hésite pas à sortir pour se promener et même utiliser les transports en commun dont elle avait horreur, pour aller au théâtre en ville.
Ma femme en est très heureuse et même soulagée que contrairement à ses craintes, sa mère n’envahisse pas notre vie. J’en rajoute un peu en suggérant qu’elle a peut-être trouvé un amoureux !
« Tu es fou ! A son âge !
Oh, tu sais, il n’y a pas d’âge pour ça !
Tout de même ! Tu es un grand malade toi ! Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
Tu ne la trouve pas plus gaie ? Plus enjouée ? Mieux habillée ?
Oui, c’est vrai, mais… Non ! Elle est simplement bien ici !
Sûrement. Tu as raison.
Tu vois toujours de ces trucs toi… »La conversation s’arrête là, jusqu'au jour où Éloïse débarque à la maison, accompagnée du maghrébin. Ils sont arrivés à pied.
« Je vous présente Rachid ! C’est un jeune voisin qui me tient parfois compagnie. Il m’aide quand je vais faire des courses – elle se tourne vers moi, semblant justifier notre rencontre – Il connaît bien le quartier et les habitants. Il m’aide beaucoup.
Enchanté ! Dis-je en lui tendant la main que je serre franchement. Je le regarde dans les yeux. Il ne baisse pas son regard.
Enchantée dit ma femme. Mais comment avez-vous fait connaissance ?
Un jour qu’il pleuvait, j’étais au supermarché, il m’a proposé de m’aider à porter mon sac. Je le voyais régulièrement à la boulangerie. Il était toujours poli et prévenant. Ce jour-là, il y avait trois jeunes sous l’auvent de l’entrée, qui chahutent les clients et surtout les clientes comme moi.
Rachid est intervenu pour les faire cesser et me protéger. Il m’a raccompagnée à la porte. Je lui ai bien sûr proposé de monter prendre un verre, mais il n’a pas voulu.ça ne se fait pas chez nous interrompt le jeune homme.
Oui ! Ensuite, nous nous sommes revus, reprend Éloïse et nous avons sympathisé. Il a fini par accepter de prendre un café au bistrot à côté.
Depuis, avec lui, nous nous promenons dans le quartier. Il m’a fait découvrir les allées dans le bois derrière. C’est par là que nous sommes arrivés ce matin »Ma femme leur propose alors de rester à déjeuner. Ils hésitent, se regardent.
Rachid acquiesce et Éloïse donne alors son accord. J’ai eu l’impression fugace qu’elle attendait la décision de l’homme.
Je prépare la table, aidé de Rachid alors que les femmes sont en cuisine.
J’en profite pour l’interroger un petit peu.
« Vous désirez un apéritif ?
Non, merci jamais.
Pas de vin non plus ?
Ah si ! Je ne suis pas un intégriste et j’apprécie le vin, mais avec modération comme on dit !
Bien. Je vais trouver une bonne bouteille. Et l’ouvrir tout de suite. » Je choisis un Morgon, qui est à la fois léger et fruité. « Vous vous entendez bien avec Éloïse ?
Oui ! Elle est très gentille.
Oui. Elle sait tout de même ce qu’elle veut.
C’est sûr ! C’est normal aussi, à son âge.
Si je ne suis pas indiscret, vous avez quel âge ?
Trente deux ans.
Ah ok ! Et la compagnie d’une octogénaire ne vous embête pas ?
Vous savez, Éloïse est jeune d’esprit. On a plein de choses en commun !
Ah bon ?
Euh oui… Les livres, le théâtre, le cinéma, la promenade et puis j’aime bien sa compagnie. Je lui apprends quelques mots d’arabe et elle adore ça !»Le repas se passe bien ensuite et après le café, ils repartent tous les deux à pied pour retourner chez Eloïse.
Ma femme est enchantée de la visite. Elle trouve Rachid très sympathique et cultivé. Elle est heureuse que sa mère ait trouvé de la compagnie.
Toute à sa discussion, elle n’a pas remarqué quelques regards entre sa mère et Rachid. Elle n’a pas vu le geste de ce dernier, qui dans son dos, à discrètement porté la main sur les fesses d’Éloïse qui n’a rien dit. Pour ma part, j’ai senti une certaine tension parfois quand des questions plus personnelles étaient posées. Rachid a l’art de l’esquive et a souvent répondu aux questions, parfois à la place d’Éloïse.
Je me garde bien de faire état de mes doutes auprès de ma femme. Je ne veux pas l’inquiéter, mais j’ai l’art de sentir quand il se passe quelque chose de curieux. Je décide de mener discrètement mon enquête sur les relations véritables entre ma belle-mère et Rachid.
Quelques jours plus tard, je prends une semaine de congés pour faire des travaux de bricolage et jardinage à la maison. Je choisis de travailler tôt le matin. Vers dix heures je prends mon vélo et je me dirige vers la résidence d’Éloïse. Je m’installe dans le bistrot en face avec un café et un journal de manière à apercevoir l’entrée de l’immeuble.
Une demi-heure passe et je vois Rachid sortir seul. Il va à la boulangerie et contrairement à l’autre fois, retourne dans la résidence avec une baguette et un journal.
Le temps passe, je reprends un café-croissant de plus et alors que j’allais partir, la porte s’ouvre sur le couple qui sort. Éloïse donne le bras à Rachid. Rien que de très naturel pour une dame âgée qui trouve ainsi un soutien. Ils tournent aussitôt dans la rue qui fait l’angle de la résidence et disparaissent de ma vue. Je sors tranquillement, reprends mon vélo à la main et les suis discrètement. Ils marchent assez lentement vers le petit bois au fond de la rue. Je mets mon casque de cycliste et les grandes lunettes. J’ai enfilé un jogging. Le tout me rend méconnaissable. Ma belle-mère ne m’a jamais vu ainsi. En vélo, je les dépasse rapidement pour arriver en premier à l’entrée du bois. J’attache le vélo et m’enfonce dans les taillis. Je me dissimule derrière un buisson.
De là, je vois l’arrivée de la rue et je ne peux pas les louper. En effet, ils ne tardent pas à apparaître et comme je l’avais pensé, prennent le sentier qui serpente entre les arbres. Je peux les suivre sans me faire repérer. Après cinq minutes de marche, les habitations ont disparu derrière la végétation. Le couple s’approche d’un banc installé comme d’autres, tout au long de la promenade.
Je suis assez proche pour les voir mais pas assez pour entendre leur conversation. Leur attitude a changé. Ils se tiennent par la main en regardant la nature autour d’eux, se regardent et se parlent Je vais pour les laisser, lorsque Rachid passe un bras autour de l’épaule de ma belle-mère.
Elle se tourne alors vers lui et les bras m’en tombent !
Ils s’embrassent sur la bouche ! Ma belle-mère qui a passé les quatre-vingts ans, est en train de rouler une pelle à un homme qui a cinquante ans de moins qu’elle ! Un arabe en plus ! Communauté qu’elle n’appréciait guère auparavant !
L’autre main de Rachid qui s’est posée sur la jambe d’Éloïse, remonte sur sa poitrine pour la caresser. Il déboutonne le haut de sa robe et glisse la main dans le corsage ! La vieille se pâme ! Ma belle-mère se laisse peloter en pleine nature ! Et ce n’est pas fini. Une main d’Éloïse va se poser sur le devant du pantalon et caresse ce qui doit être la bosse de son sexe !
J’hallucine ! J’hallucine et je bande ! Voir ma belle-mère dans les bras du maghrébin m’excite ! Les deux amants n’arrêtent pas de s’embrasser à bouche que veux-tu ! Indifférents au monde autour d’eux. Éloïse, quasiment dépoitraillée tente de glisser sa main dans l’ouverture de la braguette qu’elle a descendue !
Comment une vieille femme collet-monté se laisse aller comme une adolescente, dans les bras d’un homme qui pourrait être son petit fils ?
Comment un homme dans la force de l’âge, plutôt beau gosse, peut-il bander pour une vieille comme elle ?
Je le soupçonne, lui, d'une machination. Il va abuser Éloïse et lui soutirer de l’argent. La dépouiller dans tous les sens, la ruiner et ruiner sa réputation. Spolier sa famille et donc... Que sais-je ?
Dans un brouillard, je retourne sur mes pas, retrouve mon vélo et repart à la maison. Heureusement, ma femme ne rentre pas déjeuner et j’ai du temps pour réfléchir et me reprendre. Que dois-je faire ? Comment sortir de cette histoire sans faire de scandale, sans mettre en danger Eloïse et sa famille ?
J’échafaude un plan. Je vais parler d’abord à ma belle-mère, ensuite éventuellement à Rachid. Je ne sais absolument pas où ça va nous mener, mais je ne peux pas rester comme ça.
Dans un premier temps je décide de ne rien dire à ma femme. Si cela s’arrête sans qu’elle n’en sache rien, ce sera mieux pour tout le monde.
L'après-midi même, j'appelle Éloïse sous prétexte de lui demander des nouvelles et si elle n’a pas besoin de moi pour faire des courses, puisque je suis en congés. Elle me dit que non, mais que je peux passer prendre le thé vers dix-sept heures si je veux.
A l’heure dite, je me présente chez elle. Première surprise. Elle me reçoit dans une robe d’intérieur longue, style djellaba, chaussée de babouches. Je me fais la réflexion qu’il ne lui manque qu’un foulard pour ressembler à une femme arabe. Deuxième surprise. Son salon est meublé à l’orientale : des sofas, une table basse, une banquette, un canapé profond et bas avec des gros coussins et des poufs! J’ai la sensation de me retrouver dans une maison algérienne !
Lorsque Éloïse se déplace vers la cuisine, je peux deviner en semi-transparence qu'elle est nue sous sa robe. Au retour, je vois nettement ses gros seins ballotter libres sous le tissu léger. Je bande en découvrant ma belle-mère nue sous sa robe !
En quelques semaines, nous étions venus avec ma femme il y a deux ou trois mois, quel changement ! Pour finir, bien sûr, le thé est à la menthe.
« Je me suis mise à l’orientale me déclare Éloïse le sourire aux lèvres. Et je m’y sens très bien !
C’est vrai que vous êtes rayonnante !
Vous trouvez ?
Oui ! Est-ce l’influence de votre ami Rachid ?
O… Oui ! Je… Je suis confuse !
Ne le soyez pas ! Je trouve qu’il a une influence positive sur vous !
C’est vrai ? Vous êtes gentil ! A vrai dire, j’avais un peu peur de ce que vous pensiez de ma relation avec lui.
Pour dire vrai, chère Éloïse, je voudrais vous demander quelques précisions.
Ceci bien sûr, restera entre nous et je n’en parlerai pas à votre fille.
Que voulez-vous savoir ?
Je vais être direct, je peux ?
O… Oui, allez-y !
Avez-vous des relations… intimes avec Rachid ? … Pardonnez-moi !
Oh ! … Je vous… Je ne vous permets… Je ne sais… Mais… Bon, d’accord ! C'est vrai ! Je... je suppose que ça vous choque ?
Ce n’est pas la question ! Vous êtes libre de faire ce que vous voulez. Je vais dire que je suis plus étonné qu’autre chose. Je vais être franc avec vous. Quand vous êtes passée l’autre jour à la maison avec lui, j’ai remarqué, et je vous rassure je suis le seul, quelques gestes et quelques regards entre vous.
Ce… J’ai remarqué aussi que vous attendiez souvent qu’il réponde pour vous deux.
Vous êtes très observateur mon gendre et… très coquin ! Puisque vous semblez curieux, puis-je vous demander ce que vous en pensez ?
Je me garderais bien de vous conseiller ! Si au début j’étais effectivement curieux, je dois dire que quand je vous ai vue ce matin dans le bois, j’ai été estomaqué !
Je… Vous… Vous nous avez espionnés ?
Disons que le hasard (il a bon dos), a fait que je me promenais dans le bois ce matin. J’ai vu arriver un cycliste qui est parti ensuite faire un jogging à pied. C’est juste après, que je vous aie vu arriver, vous et … Rachid.
Comme j’avais été intrigué l’autre jour, je vous ai observé discrètement.
Quand vous vous êtes assis sur le banc et que je vous ai vu vous embrasser, je suis resté « scotché» !
Je vous fais honte ? A mon âge n’est-ce pas !
Ce n'est pas ça ! C’est vrai que je me suis posé des questions, surtout que je ne vous ai jamais vue comme ça et que… enfin bref… Et puis Rachid est jeune.
Que voulez-vous dire ? Vous pensez que je suis trop vieille ?
Pardon ! Non, non, ce n’est pas ça. Je pensais surtout à la différence… pardon encore ! A la différence d’âge et … de …culture ! En fait je m’interroge surtout sur les motivations de votre « chéri ». Je ne voudrais pas qu’il vous spolie, ni vous, ni votre famille.
Vous savez… À mon âge… donc, on ne se laisse pas avoir tout de même. Mais vous avez raison ! Je ne me reconnais pas. Je suis folle. Je croyais tout cela enfoui et terminé. Rachid a réveillé mes instincts et mes... désirs de femme. Il est jeune ! Il est beau ! Il est beau n’est-ce pas ? Je n’en reviens pas qu’il … qu’il me… enfin vous comprenez ?
Oui, oui ! Je … comprends. Je remarque quand même qu’il a modifié votre intérieur et … votre tenue.
O… Oui ! C’est vrai !
Il y a d’autres choses ? Vous dépensez beaucoup pour lui ?
Il y a … Oui... Mais non, je ne paye pas grand-chose. Quelques sorties, la nourriture. De toutes façons, il ne veut pas autre chose, ni même que je lui donne de l’argent de poche… enfin...»Il ne travaille pas ? Il n’a pas des revenus ?
Je… Non ! Il est au chômage mais … Bon ! De toute façon, ça ne me regarde pas. Puisque cela vous convient, je suis rassuré. Comptez aussi sur ma discrétion Je vous remercie… Pour l’instant je ne voudrais pas que ça s’ébruite… surtout pour ma fille…Je comprends. Pas de problème !
Nous buvons du thé. Je laisse ensuite Éloïse en lui promettant à nouveau de ne pas en parler à ma femme.
J’ai un peu de temps justement, avant le retour de ma femme. Je décide de tenter de parler à Rachid. Je suppose qu’il ne devrait pas tarder à venir retrouver « sa belle » Je reprends mon poste d’observation favori au café.
Après un moment, je le vois arriver à pied. Je m’avance pour le saluer et je lui propose de prendre un café. Il accepte et nous nous retrouvons à la table où je me trouvais le matin même.
« Je voudrais parler un peu avec vous de votre relation avec ma belle-mère ».
Je l’empêche de protester « N’ayez crainte, je n’ai rien contre ! Je sais aussi que vous avez des rapports… disons… intimes. Je ne juge pas, mais je voudrais que vous me précisiez quelques points.
Je sais que ça peut vous paraître curieux. ça l’est tout autant pour moi. Je n’aurais jamais pensé avoir de rapports … enfin… avec une … vieille dame. Je ne sais pas comment ça s’est fait, mais je veux vous rassurer. Je ne cherche pas à profiter d’elle … pécuniairement... comme vous pourriez le penser.
Certes elle paye lorsque nous sortons, car je n’ai pas d’emploi. mais cela se limite à ça. Elle ne m’achète rien… Bon d’accord, une fois elle m’a offert une chemise, le lendemain de… de la première fois... Enfin... vous voyez ?
Je comprends que notre relation soit un peu spéciale, mais de ma part elle est … disons… honnête. Nous avons un arrangement… Je ne peux pas vous en dire plus, mais … Nous ne nous sommes rien promis. Elle m’a dit qu’elle voulait profiter de ses dernières années et qu’elle comprendra bien si je me lasse d'elle.
Je dois te dire…Tu permets que je te tutoie ?
Oui, bien sûr !
Toi aussi, n’hésite pas. Je dois donc te dire que je viens de parler avec elle. Elle m’a à peu près confirmé ce que tu viens de me dire. Pour l’instant, il n’y a que moi qui suis au courant. Néanmoins, j’ai aussi constaté que son intérieur avait changé et qu’elle portait une tenue, disons… orientale. C’est la première fois que je la vois ainsi et qu’elle n’est pas tirée à quatre épingles.
Vous … Tu as peur que je …« l’arabise » ?
Je ne sais pas, mais c’est… curieux.
En fait, c’est Éloïse qui me l’a demandé. D’abord cela a été la tenue d’intérieur que nous avons achetée ensemble. Un jour, elle est venue chez moi et a découvert mon décor. Elle a beaucoup aimé et a voulu retrouver la même ambiance chez elle. Rassurez-vous... toi, tous ses meubles sont stockés dans un garde-meubles.
ça c’est de son ressort. Pour ma part, j’aime bien le style.
Je dois quand même te dire une chose... particulière... Éloïse est très portée sur le sexe ! On dirait une boulimie. Elle me sollicite plusieurs fois par jour ou la nuit.
Tu es jeune ! Tu dois pouvoir assurer ! Dis-je en riant.
Oui, mais … Nous avons... disons... un arrangement, comme je t'ai dis…Elle m’a demandé de faire venir… d’autres hommes ! Elle m’a aussi demandé d’être son maître et...
Non ? Tu me fais marcher là ?
Je t’assure ! Écoute, si tu ne me crois pas, on va aller la voir ensemble.
Je... Je n’ai pas beaucoup de temps, mais allons-y »A l’entrée de l’immeuble, Rachid tape directement le code d’accès, nous prenons l’ascenseur. Rachid sonne – je me dis qu’il n’a tout de même pas la clé de l’appartement. Il me le confirme. Eloïse est un peu surprise de nous voir arriver tous les deux.
Nous entrons et alors qu’elle se dirige vers le salon, le contre jour nous offre sa silhouette à travers son vêtement. Rachid remarque mon regard et me cligne de l’œil ! Nous nous asseyons et curieusement Éloïse reste debout« Éloïse. - Dit-il alors. Nous avons discuté à l’instant avec Jean. Il me dit qu’il t’a parlé et qu’il connaît notre relation.
O... Oui ! Il nous a vus ce matin, dans le bois ! Il se doutait de quelque chose. Pardon... J’ai été obligée… de ...
Ce n’est rien ! Je lui ai aussi dit que tu m’es soumise et que tu reçois aussi d’autres hommes.
Oh mon dieu ! J'ai honte ! Elle se tourne vers moi. Qu’allez-vous penser de moi ? S’il vous plaît, n’en dites rien à ma fille ! Mais… Je ne sais pas ce qui m’arrive… J’aime ça ! Il me faut du sexe ! Toujours plus ! Rachid me... satisfait très bien, mais... Maintenant... je dois vous avouer que je me prostitue aussi et que j'aime ça ! Ne me demandez pas pourquoi, mais c'est moi qui ai demandé à Rachid s'il ne connaissait pas des hommes, car le pauvre ! Je... l'épuise ! Ne me jugez pas ! Il m'a dit que des hommes de sa.... communauté étaient... en manque et que mon âge ne serait pas un obstacle. Ce qu'ils voulaient, c'était « tirer » une femme peu importe qu'elle soit vieille ! En plus, une « roumia », il était sûr que cela ne poserait pas de problème. Il m'a alors dit qu'il les ferait payer, que c'était normal. Je ne veux pas voir cet argent mais puisqu'il le veut...
N’ayez crainte ! Je voulais simplement l’entendre de votre voix et savoir que vous étiez consentante dans ce jeu. Rassurez-vous tous les deux. Ce que vous faites ici ne me regarde pas. Tant que cela reste secret pour votre famille et que cela n’entraîne pas d’autres conséquences, cela ne me dérange pas et je n’ai rien à redire. Promettez-moi d’être discrets avec le voisinage, surtout pour ce qui est des... particularités ... pour le reste, si vous voulez rendre publique votre relation, je n’y vois personnellement aucun problème. Ceci dit. Tout le monde n’est pas aussi tolérant que moi vis-à-vis de … rapports comme les vôtres ! Entre… la différence d’âge et… de… culture !
Enfin, vous voyez !
Oui ! Merci Jean. Comment vous remercier ?
Mais de rien Eloïse. Je tenais simplement et discrètement à m’assurer de votre entente dans le couple et de votre consentement. On entend et on voit tellement de choses, que je voulais me rassurer.
Pour vous prouver ce que l'on vient de vous dévoiler, me dit alors Rachid, je vais vous montrer qu' Éloïse est soumise et obéissante. D’abord, ma chérie, vous allez confirmer à votre gendre que c’est bien vous qui m’avez demandé de recevoir d'autres hommes.
Oui ! C’est vrai ! J’ai honte, mais cela m’excite…. !
Bien ! Maintenant, vous allez montrer à votre gendre que, comme vous me l’avez demandé, vous m’êtes totalement soumise. D’accord ?
Je... O… Oui ! Je veux vous obéir mon chéri. Je veux être votre servante dévouée ! Vous me donnez tant de bonheur que je ne peux rien vous refuser.
Regarde comme elle m'obéit ! Me dit-il. il lance un ordre en arabe.
Sans un mot, ma belle-mère se penche, saisi le bas de sa robe d’intérieur, la relève, la passe par-dessus la tête et se retrouve nue au milieu de son salon !
Je reste sans voix ! Ma belle-mère, qui a plus de quatre vingt ans, se déshabille et se montre nue devant moi, sans broncher, uniquement parce que son homme le lui a demandé ! Tout cela sans manifester la moindre hésitation, à ce que je suppose être un ordre donné par Rachid en arabe !
Je découvre son corps. Malgré ses quatre-vingts ans, elle est plutôt mieux ainsi que habillée habituellement. Ses énormes seins tombent certes sur son ventre, mais leurs pointes dressées et les larges aréoles brunes leur donnent un aspect attendrissant et plutôt beau. Le ventre est arrondi mais n'est pas déplaisant même si elle est loin des canons de beauté.
Ses hanches larges et ses grosses cuisses sont extrêmement sensuelles. Je note que, à l’orientale, elle est entièrement épilée. Sûrement une demande de son homme.
Eloïse reste sans bouger. Les bras ballants face à nous. Elle est nue, debout au milieu de la pièce face à deux hommes qui la regardent, dont l'un est son propre gendre. Je ne sais quelle attitude prendre. Il lance alors un autre ordre.. Éloïse tourne sur elle-même, nous présentant son gros cul. Un mot et elle se penche, écarte ses fesses des mains et présente son anus. J’hallucine totalement ! Éloïse, plutôt rigide habituellement, se montre à moi nue, pire ! Soumise, pire encore ! Obscène !
Le silence est pesant dans la pièce. Je bande comme un fou, les yeux exorbités, je regarde le gros cul de ma belle-mère au centre duquel son anus écartelé me nargue de son œil sombre. Je ne sais pas ce qui me retient de plonger derrière elle pour lui lécher le trou. Je dois avoir un air halluciné. Non ! Je ne dois pas franchir le pas ! Je suis à deux doigts de me lever...
- « Je vous laisse ! lance alors Rachid. Vous pouvez discuter sans moi.
Éloïse va vous expliquer pourquoi elle est consentante. »Quand Rachid quitte l’appartement, un silence pesant s’installe entre nous.
Éloïse s'est relevée, mais est toujours debout et nue face à moi. Je me lève alors et lui prends les mains.
« Rhabillez-vous Éloïse... Ce sera plus facile.
Non. Je vis nue et ne mets ma robe que quand il y a des visiteurs. Cela ne doit pas vous gêner, puisque Rachid m’a demandé de me dévêtir. Vous êtes d’ailleurs le seul, en dehors de lui, à me voir ainsi. C’est vrai, je suis vieille et le spectacle ne doit pas être beau à voir !
Pas du tout ! Au contraire, je… vous êtes… Mieux… Pardon ! Mais vous voir comme ça... Je ne suis pas de boisVous êtes gentil mais je sais comme je suis. Bien. Je dois vous dire, que me montrer ainsi, surtout à vous, cela m’excite ! Je ne devrais pas le dire, mais depuis que Rachid m’a « révélée » Il me faut peu de chose. Maintenant, je me prostitue ! Je fais la pute ! De dire ça, m’excite ! Quand ces hommes viennent me « tirer » comme ils disent, ça m’excite ! Au moment où Rachid m’a ordonné de me mettre nue devant vous, j’ai mouillé aussitôt ! Vous vous rendez compte ? Et de vous parler comme ça, je ne vous dis pas comment je suis ! »Éloïse se colle à moi et me serre dans ses bras ! A travers ma chemise, je sens ses seins qui se pressent contre ma poitrine. Je respire son odeur. Son corps est chaud-bouillant ! Je ne sais quoi faire de mes mains que je finis par poser dans son dos ! Ma main droite est trop basse dans le creux de ses reins ! A la limite de ses fesses ! Je caresse sa peau sans m'en rendre compte.
Éloïse colle son ventre au mien et peut sentir mon érection ! Je bande pour ma belle-mère de quatre vingt ans qui est nue dans mes bras ! Moi aussi j’ai chaud !
« Si vous voulez… Dit-elle, la tête dans mon épaule.
Non ! Je crie en tentant de la repousser.
Je suis trop vieille ! Vous avez raison ! Pourtant vous avez envie ! Je le sens ! » Elle pose sa main sur mon sexe et le caresse à travers le pantalon.
« Ce n’est… Pas ça ! On ne peut pas ! Comment nous regarder ensuite ? Comment regarder votre fille ? Vous y pensez ?
Vous avez raison ! C’est vous qui êtes sage ! C'est moi qui suis folle ! Mes sens me trahissent ! Mais si un jour, vous changez d’avis, sachez que pour moi ce sera oui !
Je ne vous le demanderai jamais voyons ! Soyez assurée que dans tous les cas, je saurai rester discret !
Pourtant je le sens bien. Vous bandez mon gendre !
Oui ! Mais il ne faut pas que...»Ma belle-mère me serre à nouveau dans ses bras et me donne alors sa bouche.
Je ne recule plus. Je l'embrasse. J'oublie qu'elle a plus de quatre vingt ans, qu'elle est ma belle-mère. C'est une femme en chaleur qui est dans mes bras. Ma main est sur sa fesse et la pétrie sans retenue. Je glisse même un doigt dans sa raie et elle ne fait rien pour s'y opposer. Mon autre main part à la recherche de son sein qu'elle m'offre. Je le malaxe, elle titube dans mes bras. Ne pouvant la tenir je la laisse s'asseoir dans le divan profond où elle s'étale en arrière, impudique, jambes écartées elle se masse les seins, puis tend ses bras vers moi comme pour m'encourager à venir sur elle.
Un dernier sursaut de conscience m'empêche de me déshabiller et de la prendre là, comme la femelle qu'elle est alors et qui s'offre au mâle. Je tombe à genoux entre ses cuisses et plonge mon visage sur sa moule béante qui ruisselle. Je me délecte de ses sucs, j'oublie qu'elle est octogénaire, j'oublie qu'elle est ma belle-mère !. Elle sent bon. C'est une femme comme une autre.
Je trouve son clitoris tendu en haut de sa chatte soigneusement épilée. Je fourre ma langue dans sa figue onctueuse. Elle pose ses mains sur ma tête, m'encourageant de la voix.
- « Oh oui ! C'est bon ! Bouffe-moi bien comme ça ! Mets-moi tes doigts !
Branle-moi fort ! Viens ! « J'enfonce trois doigts sans difficulté et baratte son sexe gluant qui clapote. Elle attrape ses jambes derrière les genoux et s'écarte complètement. Elle grogne, soupire puis d'un coup se relâche, anéantie par un orgasme puissant qui la fait couler dans ma bouche. Je lape sa jouissance.
J'ai le visage barbouillé. Elle s'étale alors que je relève mon buste. Je la découvre alors nue et transpirante. Elle est exténuée par son plaisir.
Ce bref instant de répit me permet de me reprendre. C'est ma belle-mère que je viens de lécher ! Elle me regarde et sourit. Elle ouvre encore ses bras « Viens ! J'ai envie de ta queue ! Baise-moi ! Tu en as trop fait ! Cela ne changera rien. Tu sais, c'est la première fois qu'on me... Avec la langue !
Que c'est bon ! Rachid ne fais que me prendre ! Si tu ne veux pas me baiser, laisse-moi te sucer ! J'adore ça aussi et puis je dois te remercier !
Ce n'est pas la peine. Je... Je n'aurais pas dû vous....
Tu recommenceras dis ? Mon dieu ! Je suis folle ! Te demander ça ! »
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