Eloïse, ma belle-mère octogénaire 3 : Fin

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Eloïse, ma belle-mère octogénaire 3 : Fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Eloïse, ma belle-mère octogénaire 3 : Fin
En reprenant mes histoires, je me suis rendu compte que je n'avais pas terminé celle avec ma vieille belle-mère.
Avec toutes mes excuses, voici donc la fin de l'histoire.

Elle a quatre-vingt ans, mais peu importe ! Comme un petit chien, le lèche toute la surface de son sexe en insistant sur son clitoris sensible. Éloïse monte vite vers son plaisir et appuie fortement ma tête contre son sexe. Je me régale de ses senteurs et de sa mouille. Par moment je me recule pour regarder la femelle qui se pâme, puis je replonge en elle. Elle est obscène ! Les grosses cuisses écartées les seins étalés de part et d'autre de sa poitrine comme deux grosses outres flasques . D'une main elle tient les lèvres de son sexe écartées et de l'autre se triture un téton. Je fais durer le moment. D'une main, je me branle pendant que de l'autre j’investis sa chatte de deux doigts. Je cherche son point G pour le frotter et lui apporter encore plus de plaisir. Elle se répand dans ma bouche m'offrant ainsi un apéro très particulier. Je la laisse se reprendre. Elle ouvre ses yeux en souriant.
« Merci ! Mais attend ! Viens sur moi. Je veux te sucer pendant que tu me lèches !
Tu es une coquine belle-maman !
Tu peux dire une cochonne tant que tu y es ! Ou une salope !
Oui ! Tu es une sacrée cochonne ! Si les gens savaient ça !
Ne t'occupe pas des gens! Allez, viens me donner ta belle bite à sucer et bouffe-moi encore la chatte espèce de sale gendre vicieux !
ça t'excite de dire ça n'est-ce pas ?
Oh oui ! Si j'avais pensé qu'un jour on serait comme ça !
Pour être plus à l'aise, j'étale une couverture sur le sol. Éloïse s'y couche sur le dos et je l'enjambe tête bêche pour son premier soixante neuf.
La séance dure longtemps. Attentif chacun au plaisir de l'autre, la jouissance ne vient pas vite. A un moment, je cherche à glisser un doigt dans son anus. J'ai vu qu'elle se faisait enculer sans problème. Comme elle a pû voir que j'aimais cela aussi, elle me pénètre à son tour. On s'encule mutuellement et très vite nous jouissons. Je me vide en grognant dans la bouche accueillante de ma belle-mère et elle coule son jus abondant que j'avale avec délectation.
Alors que nous récupérons, Éloïse me dit :« Je sais que tu ne veux pas me baiser, mais tu peux prendre mon cul au moins !
Ni ton cul, ni ta chatte. Je veux garder ça au moins. Tu sais que j'en meurs d'envie ! Tout à l'heure, quand tu as frotté ton bouton avec ma queue, il s'en est fallu de peu que je ne te pénètre, mais finalement je préfère que cela reste un fantasme. Je ne crois pas que ça apportera grand chose.
Il te reste des principes ! Mais franchement je ne vois pas ce que ça changerait !
C'est comme ça. Je resterai le seul qui te bouffe la chatte et le seul qui ne te baise pas. C'est pas mal non plus ?
Si tu le dis ! En attendant, mon cher gendre, je te rappelle que je dois recevoir des clients cet après-midi. Il faudrait que l'on mange avant que le premier n'arrive ! On n'a pas le temps d'aller prendre une douche et je préfère garder ton odeur sur moi pendant qu'ils me baiseront, eux !
C'est ça vieille salope ! Moi aussi je garde ton odeur de chatte en chaleur sur mes lèvres. Vieille pute que tu es ! Ma belle-mère est une putain et j'aime ça !
Salaud ! Tu en profites bien non ? »Nous arrêtons ce dialogue surréaliste pour déjeuner. En dehors de ces moments où on se lâche complètement en disant des obscénités incompatibles entre un gendre et sa belle-mère, nous nous comportons normalement.
Eloïse a préparé un repas rapide, comme elle le fera toute la semaine afin de profiter de la « pause apéritive» comme elle dira ensuite.
Pendant cette semaine, je n’ai jamais baisé ma belle-mère, ni plus tard d’ailleurs. Elle n’a connu, si on peut dire, que ma queue dans sa bouche et ma langue dans sa chatte ! Sans oublier nos doigts dans le cul !
Quand le dernier client s'en va on se retrouve à nouveau nus tous les deux pour une nouvelle séance entre nous. Éloïse aime aussi se retrouver au-dessus de moi. Elle gère ainsi sa fellation et la fait durer. La tête relevée par un coussin, je peux la lécher longuement et elle jouit plusieurs fois sous ma langue. Dans cette position, ma tête est coincée entre ses grosses cuisses et elle m'arrose abondamment de son jus. Et dire que certains croient qu'avec la vieillesse les femmes sont sujettes à la sécheresse vaginale ! Il faut dire que pendant que je lèche sa chatte onctueuse, je pénètre son cul avec le gode. Éloïse adore que je lui prenne le cul. Elle me réclame souvent ma bite mais je résiste toujours. En revanche, je ne la ménage pas avec la queue factice. Je suis couvert de ses sécrétions. Après son ultime orgasme, Eloïse se couche sur moi, terrassée par la violence de sa jouissance.
Après cette séance, il nous faut un moment de récupération, surtout pour Eloïse. Nous sommes couverts de ses sécrétions. Une douche s'impose, au moins pour moi, car je dois regagner mon domicile et je ne voudrais pas que ma femme sente quelque chose. Je fais découvrir à ma belle-mère les joies de la douche commune. La première fois, elle refuse et je dois l’entraîner de force. Pour elle, il s'agit d'un acte intime, d'autant qu'elle doit se laver la chatte et le cul. Me les dévoiler, chose qu'elle n'a jamais faite avant, ni avec son mari, ni avec les hommes fréquentés par la suite. A cette occasion, Éloïse va me révéler qu'après son veuvage, elle a connu pas mal d'hommes jusqu'à soixante dix ans et même plusieurs en même temps. Elle pensait s'être « rangée » après le décès de son dernier amant. La rencontre avec Rachid a bouleversé sa vie.
Pour cette première douche commune donc, j'ai forcé Éloïse à entrer sous l'eau avec moi. Lorsque je nous ai savonnés, elle a tout de suite aimé et s'est laissée aller contre moi. Ce n'est que quand j'ai atteint sa chatte qu'elle s'est récriée, mais quelques baisers et l'autre main sur un sein ont levé sa réticence. Elle a alors aussitôt adoré que je fasse sa toilette intime.
Deuxième moment de tension, quand bien sûr j'ai attaqué son anus. Eloïse a tenté de sortir de la douche mais a failli glisser. En se rattrapant elle a touché ma queue bandée. Elle a sourit puis :« J'accepte si je te le fais aussiMais bien sûr cochonne ! Je comptais bien que tu t'en occupes !
Tu es aussi un cochon mon gendre ! Tu vas voir comment je vais m'occuper de ton cul !
En attendant, donne-moi le tien vieille salope !
Oh ! Voyons ! On ne parle pas comme ça à sa belle-mère !
En ce moment, tu n'es pas ma belle-mère. Tu es une vieille putain qui vient de jouir et qui pue le foutre dans tous ses trous !
J'aime quand tu me parles comme ça ! C'est tellement différent de ce que nous sommes d'habitude !
Tu sais quand même que je fourre mes doigts et ma langue dans ton cul et même ton gros gode, alors c'est normal que je l'entretienne. Allez, penche-toi et écarte tes fesses vieille salope !
J'ai honte !
Rappelle-toi que la première fois quand ton amant-maître te l'a demandé, tu n'as pas hésité à montrer ton trou du cul.
Oh, c'est vrai ! » A genoux derrière elle j'enfile deux, puis trois doigts pleins de savon dans sa cavité anale. Éloïse se laisse faire et semble apprécier. Je suis sûr de pouvoir enfoncer un quatrième, voire tous les doigts tellement Eloïse est relâchée, mais je ne veux pas lui donner des idées. J'injecte de l'eau dans son rectum et honteuse elle doit l'évacuer.
Je me soumets alors à elle et elle savonne longuement ma queue, l'avalant après l'avoir rincée. Elle me laisse bandé, me retourne et me graisse le cul et insiste de deux doigts en titillant ma prostate. Je suis à deux doigts, c'est le cas de le dire, de jouir du cul quand heureusement elle arrête. Ce n'est que plus tard que je lui dévoilerai cette méthode qu'elle mettra en pratique me laissant chaque fois complètement « vidé »Le dernier tabou de ma belle-mère est effacé quand je l'oblige à pisser devant moi dans la douche. Pour finir de la convaincre, je pisse moi-même devant elle. J'arrose même ses pieds et ses mollets sans qu'elle ne s'y oppose. Pour qu'elle démarre sa miction, je la prends dans mes bras pour protéger ce qui lui reste de pudeur.
« Vas-y ! Lâche-toi ! Tu vas voir comme c'est bon de pisser devant quelqu'un.
Mais... Je vais t'arroser !
Je t'ai bien pissé sur les jambes ! Sache que si tu veux, une autre fois, je me mettrai à genoux devant toi et tu me pisseras sur la figure !
Tu... Tu fais ça avec ma... fille ?
Oui ! On adore ça ! Tu vois, il n'y a pas que toi de perverse dans la famille !»Le soir, après dix huit heures, ayant fini mon « travail » je rentrais chez moi, retrouver ma femme alors que sa mère m’avait vidé les couilles une ou deux fois dans la journée. J’appréciais particulièrement sa dernière pipe de la journée, quand le dernier client était parti. Éloïse enlevait alors son dentier, rendant plus douce encore la sensation.
La première fois je l’avais « forcée » en découvrant dans sa salle de bain, du produit pour appareil dentaire. J’avais autrefois apprécié ce traitement et je savais la douce sensation d’une fellation sans les dents.
Éloïse ne voulait pas. Déclarant « humiliant » d’ôter son dentier. Je l’ai convaincue en lui disant de ne l’enlever qu’au moment d’avaler ma bite et que je ne la verrai pas. Je crois qu’elle a tout de suite beaucoup aimé la sensation. Elle n’a plus protesté pour l’enlever après cette première fois. Je peux même dire que je suis le seul à profiter ainsi d’Éloïse. Elle n’a jamais voulu l’enlever devant Rachid, mais par la suite je bénéficierai des faveurs buccales et édentées de ma belle-mère !
La semaine a vite passé. A son retour, Rachid a parfaitement joué la surprise devant ma femme. Nous étions invités à cette « inauguration » avec ma belle-fille et son mari pour déguster un couscous royal dans le décor d’un appartement marocain.
Effet garanti, quand devant tout le monde, Eloïse m’a remercié chaleureusement pour l’aide apportée ! « C’est vrai que nous avons bien travaillé ensemble, n'est-ce pas ! »Rachid était le seul à apprécier la remarque à sa juste valeur, d’autant que sa chérie lui avait remis discrètement une enveloppe avec le montant des passes !
Deux ou trois semaines plus tard, Eloïse me demande de passer chez elle un soir. Elle me reçoit en compagnie d'une dame, un peu plus jeune qu'elle. Elle me présente comme un ami et non comme son gendre. Elle me fait l'article de la dame qui serait elle aussi « en manque d'homme ». Les deux femmes se sont fait des confidences quand la dame s'est félicitée de la forme affichée de l'octogénaire et que celle-ci lui en a donné la recette.
Je manifeste peu d'enthousiasme pour la dame qui s'éclipse assez vite. Éloïse est surprise. La dame est pourtant gironde, plutôt belle et bien fichue avec des « arguments » de poids.
« Qu'est-ce qui vous gêne ?
D'abord, belle-maman, je ne cherche pas à tromper votre fille à tout prix.
Mais...
Avec vous c'est particulier. Que vous soyez ma belle-mère m'excite. Je sais, en plus c'est limite. Mais cette dame a la peau moite et je ne supporte pas.
Vous savez ça comment ?
En lui touchant la main, j'ai senti. Ensuite je l'ai examinée un peu et elle avait des gouttes de sueur au-dessus de la lèvre.
L'émotion sûrement !
Oui, bien sûr ! Enfin je n'aime pas son parfum. Voilà toutes les raisons pour lesquelles je ne m'occuperais pas de cette dame.
Je pensais que...
La discussion est close. Mais si vous y tenez, j'ai une idée.
Dites-moi !
Ahmed !
Qu.. Qui est-ce ?
Vous ne vous rappelez pas du gars qui vous a enculé pour votre premier plan à trois, qui a fini à quatre d'ailleurs quand vous m'avez avalé.
Oh ! Ah ! Mais pourquoi lui ?
Je pense qu'il pourrait apprécier cette dame et lui apporter du plaisir. Il n'aura pas les mêmes blocages que moi. »Je voyais assez souvent Ahmed dans le café voisin. Il jouait aux courses et venait me saluer chaque fois. Un jour, j'ai branché la conversation sur les femmes et particulièrement sur la vieille d'en face.
- « Elle est bonne mais ça coûte cher !
Ah bon ? Tu ne payes pas vingt euros ?
Pour la tirer à genoux oui, mais quand on est venus avec Bachir, ça nous a coûté cent euros !
Pour les deux ?
Non, chacun !
Mais... pourquoi ?
Bachir voulait que la vieille soit à poil, alors Rachid a demandé cinquante. Ensuite il voulait la tirer « à cru » sans capote ! Alors le tarif est monté à cent euros !
Eh bien ! Il a gagné sa journée Rachid ! Moi qui croyais que vous étiez invités !
Et toi tu as payé pour qu'elle te suce ?
Non, c'était cadeau !
Tu as de la chance !
C'est un peu... spécial. Je suis le remplaçant de Rachid quand il s'absente.
Tu pourrais pas « m'arranger un coup » quelques fois ?
Ça me paraît difficile. Je ne sais pas s'il tient le compte des visites, mais je verrai »C'est en repensant à cette discussion que l'idée m'est venue de « dépanner » Ahmed. Je lui ai proposé de rencontrer l'amie d’Éloïse. En lui disant qu'elle a environ soixante, soixante cinq ans, ce qui ne le gênait pas vu qu'il tire Éloïse. Celle-ci a convenu d'un rendez-vous un vendredi chez Céline, son amie, où nous nous sommes rendus à trois avec Ahmed qui n'est pas pratiquant.
Au départ, elle n'était pas très « chaude . Le physique du maghrébin ne lui plaisait pas beaucoup. Pour la convaincre, Éloïse nous a demandé de sortir nos bites et nous a branlés, puis sucé un peu devant sa copine ébahie. La vue de l'engin d'Ahmed a impressionné la femme. Éloïse lui a fait signe d'approcher et lui a « cédé » la queue de l'arabe.
Céline n'a pas attendu longtemps avant de demander à l'homme s'il voulait bien la tirer.
- « Par contre, je voudrais aller dans ma chambre avec lui.... Pas devant vous ! Si vous voulez vous amuser, j'ai une chambre d'amis. » On se retrouve avec Éloïse pour ce que nous adorons, c'est-à-dire à poil en soixante neuf. A côté on entend les deux nouveaux amants manifester bruyamment leur plaisir. Nous sommes encore enlacés tête bêche lorsque la porte de la chambre s'ouvre sur Ahmed qui tire la femme par la main derrière lui.
« Dis-moi, Jean. Tu ne voudrais pas que ta pute montre à son amie ce que c'est de sucer une bite ?
Bien sûr ! Éloïse, régale-toiTa bite pue le foutre mon ami, dit ma belle-mère en s'approchant du long pieu de chair.
Le foutre et le jus de salope. Elle ne veut pas me sucer sans que je le lave. Alors lave-moi toi. Montre lui ce que c'est qu'une bonne femelle obéissante.
Vas-y ! Et lèche bien !» dis-je à Éloïse en attrapant ses cheveux pour diriger sa tête sur la queue de l'arabe. Docile, elle avale le long sexe à moitié bandé. Après avoir bien nettoyé le gland, elle s'occupe de la tige et va s'attaquer aux grosses couilles quand je l'arrête. Je m'adresse alors à sa copine qui n'a rien raté du spectacle.
A toi, salope ! Si tu veux continuer à te faire tirer par cette belle queue, met-toi au travail ! Lèche-lui les couilles et même dessous jusqu'à son cul ! Tu vas te régaler, putain ! »La femme ne refuse plus. Elle est matée. Avec Ahmed, on se couche côte à côte sur le lit et les deux femmes sont à genoux entre nos jambes. Éloïse est un peu le « professeur » et Céline calque ses actions sur celles de sa vieille amie.
Éloïse m'écarte les jambes pour atteindre le périnée, puis l'anus. Elle mouille ses doigts pour ensuite me les enfiler dans le cul. Céline répète ses gestes et constate que l'arabe aime aussi qu'on lui travaille le cul.
La seule différence est que Ahmed a tiré ensuite sa femelle par le vagin et par le cul, d'après ce que nous avons entendu, car il sont repartis dans l'autre chambre, nous laissant à nos tête-bêche et autres jeux sous la douche.
Ahmed est devenu l'amant officiel de Céline. Il est même installé chez elle au grand dam de sa belle-famille. En revanche, contrairement à Rachid, il ne prostitue pas sa femelle.
Il s'est confié à moi un jour. Il me remerciait toujours de lui avoir fait rencontrer Céline, qu'ils s'entendaient très bien sur le sexe. Mais dis-moi, c'est normal qu'on aime « sentir mauvais »« Comment cela ?
Eh bien, Céline sent fort et elle transpire beaucoup. J'adore ça ! J'adore la lécher partout. Maintenant, elle aussi adore ça. Elle me suce alors que je l'ai baisée ou enculée. Elle me lèche le cul et me demande de ne pas me laver après avoir baisé le soir. Je te dis pas l'odeur dans la chambre ! Mais le matin, ou parfois la nuit, elle est excitée à mort par ça. Finalement moi aussi j'aime ça ! Tu crois que c'est bien ?
Puisque cela vous plaît tous les deux, vous n'avez aucune raison de vous en passer.
Le matin tout de même, après... enfin tu vois. On se douche pour la journée.
Tu devrais essayer de t'amuser sous la douche, c'est pas mal non plus !
Comment ça ? »Je lui explique alors quelques jeux que l'on peut pratiquer et comme ils aiment les odeurs, jusqu'à se pisser dessus...
Nous restons toujours proches avec Ahmed, au grand dam de quelques-uns de ses amis, qui ne comprennent pas qu'il discute souvent avec un roumi. Finalement ils m'accepteront sans savoir pourquoi nous sommes si complices avec Ahmed. Il faut dire que mis à part Rachid dont ils connaissent l'activité, Ahmed est sûrement le plus respecté. Avant d'émigrer, il était professeur de français au Maroc et il s'occupe souvent de leurs papiers, gratuitement.
Pendant cinq ans, nous avons vécu ainsi. Je crois que finalement Rachid aimait Éloïse d’une certaine manière. Je ne lui ai jamais connu aucune autre maîtresse. Je le « remplaçais » parfois pour de courtes durées et je passais souvent le vendredi après-midi. C’était jour de prière et Rachid était à la mosquée. Les « clients » d’Éloïse aussi.
Ma belle-mère aimait tout particulièrement ce moment. Elle m’a dit un jour, car ça l’excitait « j’achète votre silence » disait-elle pour se justifier. Quand j’arrivais, elle se mettait nue. J’étais le seul avec Rachid à la voir ainsi. Elle savait que ça m’excitait.
Assise sur un pouf, elle attendait que je me déshabille pour enlever son dentier et me sucer. On changeait de position plusieurs fois. La séance se finissait sur le canapé. Ma belle-mère me faisait relever les jambes et m’enfilait un gode. Elle me pompait alors en m’enculant à fond pour que je jouisse au fond de sa gorge.
Elle avait compris assez vite que j’aimais recevoir son doigt entre mes fesses. Que je bandais plus fort, jouissais plus fort et même « mouillais » du cul ! Un jour, l’idée coquine lui est venue en voyant juste avant mon arrivée, le gode offert par Rachid. Elle l’a caché sous un coussin du canapé et l’a sorti au dernier moment.
Je l'ai bien sûr remerciée chaleureusement de sa trouvaille. Elle s’en est sortie par une pirouette « Comme ça, je venge un peu ma fille d’être cocue !»Éloïse est tombée un jour dans son appartement en grimpant sur une chaise. Rachid était absent et ce n’est que le lendemain qu’il l’a découverte par terre.
Fracture du col du fémur plus les souffrances de la nuit passée, le moral d’Éloïse en a pris un coup. Elle a mis du temps à se remettre. Rachid est resté auprès d’elle, mais les « visites » ont cessé. Éloïse avait besoin d’une canne et surtout ne pouvait plus rester à genoux !
L’épisode l’a « assagie » je pensais même qu’il avait mis un terme à ses relations sexuelles, pourtant un jour, je me suis retrouvé avec Éloïse et Rachid chez elle. Nous discutions depuis un moment et je ne sais plus pourquoi nous avons dévié vers la sexualité du troisième âge et son tabou. Voulant faire le malin je dis :« Voyez, vous, Éloïse, qui aurait pensé que vous aviez une sexualité si … intense ?
Je me suis bien calmée quand même !
Calmée ?
Vous croyez peut-être que mon chéri me laisse tranquille et que j’ai renoncé à tout ? » Je dois faire une drôle de tête, car elle rajoute - « Dites-lui, Rachid, que vous « tirez » toujours votre vieille roumia ! A lui, vous pouvez le dire !
Je… Oui... Bien sûr ! Éloïse a toujours bon appétit !»Nous rions tous les trois de sa formule.
- « Salauds que vous êtes tous les deux ! Vous m’avez excitée avec vos histoires ! Mon chéri, montrons-lui un peu à ce pervers de gendre, venez ici me donner votre belle queue à téter ! »Rachid se lève, s’approche d’Éloïse et relève sa djellaba. Sa bite n’est pas encore raide mais entre les doigts et les lèvres expertes de ma belle-mère elle se déploie rapidement.
Éloïse se lève alors, enlève sa robe ainsi que celle de son jeune amant. Son corps a vieilli. Elle a perdu des muscles. Ses jambes et ses bras sont maintenant plus flasques et sa poitrine tombe un peu plus, mais la vision de son corps nu m’excite encore.
Rachid la saisit sous ses fesses et la pose sur le coin de la table. Il n’a qu’à guider sa grosse queue entre les cuisses et, me semble-t-il, moins brutalement qu’auparavant. Il agrippe Éloïse par les épaules et lui tend son énorme langue à sucer comme un second phallus. Le couple ne se souci pas de moi et il se dégage une sensualité très forte entre ce jeune homme et cette vieille femme. La puissance qui se dégage du corps de l’arabe, la fragilité de celui d’Éloïse, leur attitude, font que je me lève à mon tour, descend mon pantalon et me branle à leurs côtés. C’est simplement une manière de participer à leur jeu.
Éloïse m’aperçoit et tend une main vers ma bite comme pour recevoir le jus qui devrait sortir. Je me laisse aller alors, accélère et me vide dans la paume tendue. Éloïse sourit puis porte sa main à la bouche pour lécher mon sperme. Elle n’a pas encore tout avalé quand Rachid lui présente à nouveau sa grosse langue à sucer. A peine l’a-t-elle en bouche, qu’il accélère alors. Sa grosse bite martèle la connasse baveuse de ma belle-mère. Elle apparaît encore plus énorme quand il lâche son flot dans les entrailles d’Éloïse.
Celle-ci épuisée, se laisse aller en arrière, couchée sur la table, inerte, alors que son jeune amant fini de se vider en elle.
C’est la dernière fois que je verrais ma belle-mère ainsi. Quelque temps plus tard, son état ne va plus lui permettre de se lever. Elle va rester dans un fauteuil. Je sais qu’au début au moins, elle a continué à satisfaire Rachid de la bouche, mais elle me confira tristement un jour : « J’en ai fini avec mes gamineries »Deux ans plus tard, à quelques jours de son quatre-vingt neuvième anniversaire, elle nous quittait, heureuse, ayant bien rempli, certes de façon un peu particulière, les dernières années de sa vie.
Elle a laissé un petit pécule à Rachid, qui ne l’a jamais abandonné. On dit que les rapports sont parfois difficiles entre un homme marié et sa belle-mère, ce ne fut pas mon cas ! Bien sûr, ma femme n’en a jamais rien su.
Je vois parfois Rachid, nous parlons de temps en temps. Il a rencontré une autre femme, moins âgée que Éloïse mais qui a tout de même plus soixante ans. Je lui apprends qu’il est gérontophile, ce qui ne le gêne pas. Il m’apprend que sa nouvelle maîtresse est dans les mêmes dispositions que Éloïse, sans être aussi « gourmande » Il me propose même de « l’essayer » gratuitement. Je lui réponds que l’expérience avec ma belle-mère était unique. Que je ne cherchais pas à tromper ma femme et que c’étaient surtout les circonstances qui avaient conduit à cet épisode.
Tout surpris, il apprend que je n’ai jamais baisé Éloïse et que notre seul « contact » était buccal !

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