Embauche (Démission 2)
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Embauche (Démission 2)
(Merci pour les commentaires qui motivent. N’hésitez-pas à laisser des messages, à moi ou aux autres, cela fait toujours plaisir aux auteurs!)
Nom d’un bretzel, les aminches, ça n’a pas traîné avec la Camille !
Sitôt embauchée, sitôt embrochée !
Cette petite salope sait y faire, j’vous l’dit.
La première semaine, elle a fait son job et se comportait comme une Sainte-Nitouche. Propre sur elle et pas du tout à s’affrioler le corsage. Non, non, une jupe longue et sage, des p’tits pulls un peu larges pour pas montrer ses nibards avantageux. Bref, l’assistante pro. Moi j’avais un peu oublié ce que m’avait dit sa tante en partant, surtout content d’avoir quelqu’un qui bosse bien.
Puis vendredi dernier, comme tout le monde décarre un peu plus tôt, elle est restée « pour finir un dossier, Monsieur Steve ».
Moi j’étais dans mon burlingue, occupé à mon bizness. Bon, au vrai, je matais une petite vidéo coquine et je m’étais même débraguetté pour donner de l’aisance à mon engin qui remontait la pente.
La voilà-t-y pas qui rentre dans mon bureau sans prévenir, et qui s’approche avec un dossier. Elle se plante devant moi, ses mirettes me vrillent. Elle a bien percuté qu’elle arrive à un moment un peu délicat, même si j’ai bien sûr zappé la page coquine. Tout en me matant, elle laisse tomber son stylo.
Elle se baisse pour le ramasser et là j’entends :
- Oh, Monsieur Steve, je vous trouve bien tendu vu de dessous votre bureau, je ne peux pas vous laisser dans cet état.
- De quoi ?
- Laissez-moi faire.
Avant que j’aie percuté, elle est passée sous mon bureau, m’a attrapé les couilles d’une main et mon bâton tendu de l’autre.
- C’est bien ce que j’avais vu, il faut vous détendre.
Ma queue déjà sortie, elle n’a plus qu’à s’avancer à genoux et hop, elle m’enfourne la queue.
Putain, la pipe de rêve. Elle sait y faire la jeunette, bien dégourdie des commissures, et sachant happer une tige comme le brochet de la friture.
Je ne pouvais pas m’en défaire, et faut dire, j’en avais plus l’envie !
Alors je l’ai regardée, ses longs cheveux sur mes cuisses et sa bouche me suçant à qui mieux-mieux.
J’ai commencé à sentir la sève se préparer au jet final, alors je me suis reculé et je lui ai dit :
- Petite salope, ta tante ne m’avait pas menti, t’es une pute en puissance toi ! Viens-là, montre-moi ton matériel que je l’estime.
Sans se dégonfler, elle s’est foutue à oilpé d’un coup.
Ventrebleu la belle fille ! Tout comme dans nos rêves de mâles.
Des seins commasse, un ventre plat surmontant un ticket de métro bien taillé et dessous, une fente de jeune fille, bien dessinée.
- Tu vas voir comment je traite les petites cochonnes, lui ai-je balancé. Pose ton ventre sur mon bureau et montre-moi ton cul, tu mérites une punition
- Oh oui, Monsieur Steve, oh oui a-t-elle minaudé en me montrant son derche.
J’ai saisi la règle sur mon bureau et j’ai commencé à lui donner des petits coups. Elle tortillait son postérieur en laissant échapper des petits cris quand je tapais un peu plus fort.
- Alors, Camille, tu entres dans mon bureau sans t’annoncer et tu viens me sucer direct ? Tu crois que ça marche comme ça ? Je vais t’apprendre la politesse, et si tu veux aller jusqu’au bout de ta période d’essai, t’as intérêt à suivre, vu ?
- Oui, Monsieur Steve, bien compris.
Ses fesses commençaient à être zébrées de rouge. Je me suis arrêté.
- Bon, puisque t’as l’air de comprendre, on va aller plus en douceur. Ecarte-toi le cul, que je puisse admirer ton petit trou.
Et j’ai pu admirer son trou de balle tout soyeux. J’ai craché dessus, je me suis craché sur la queue, et je me suis enfoncé d’un coup.
La petite cochonne n’a même pas gémi, faut croire que le ramonage de son vestibule arrière se faisait plus d’une fois par an.
- Oh, Monsieur Steve, enculez-moi bien à fond, s’il vous plait, j’adore sentir votre bâton.
- Tais-toi, salope, encaisse en silence pour l’instant, tu n’auras le droit de parler que quand je voudrai. Si t’obéis pas, t’as droit à une mornifle, t’as pigé ?
- Mmmm oui,
J’en ai profité, je l’avoue, la limant bien lentement pour voir ma queue entrer et sortir de son anus qui s’élargissait.
Je l’ai ensuite fait mettre sur le dos, pour voir ses nibards se balader pendant que je l’enculais derechef.
Quelle beauté, cette poulette, et je me disais que j’allais forcément craquer de nouveau. Mais il ne fallait pas que cela déborde sur le boulot.
Pendant que je lui baisais le cul, je lui ai donné toutes mes instructions pour que nos rapports intimes ne puissent pas être décelés par les autres salariées.
A chaque règle, je lui demandais de me donner son accord. Je sortais ma bite de son gouffre anal, la laissais répondre « Oui Monsieur Steve » et hop, je l’embrochais de nouveau.
J’ai abrégé les instructions parce que tout à coup, j’ai giclé dans son antre, lui tapissant les intestins de mon foutre.
- Viens me sucer pour nettoyer tout ça, ai-je exigé.
Elle s’est accroupie et m’a léché de haut en bas, recueillant une dernière goutte en signature de son accord.
- Mademoiselle Camille, vous êtes une vraie cochonne.
- Merci Monsieur Steve de ce compliment, ma tante m’a tant parlé de vous que je suis heureuse de travailler pour vous… et d’être votre parfaite soumise.
Soumise ? Soumise ? Voilà une idée qui ne m’était pas encore venue bien que j’aie adopté un ton autoritaire.
Mais cela me plaisait bien comme situation.
- Ok, tu seras ma soumise.
- Merci, merci, je vous serai toute dévouée.
- Pour l’instant, resape-toi et file.
Elle a décanillé rapidement.
Assis à mon bureau, je commençais à envisager notre collaboration d’un autre œil.
Si ça vous dit, j’vous tiens au jus bande de pervers(es), vu qu’cette gonzesse à mon sens elle a de l’avenir dans la gaudriole.
Nom d’un bretzel, les aminches, ça n’a pas traîné avec la Camille !
Sitôt embauchée, sitôt embrochée !
Cette petite salope sait y faire, j’vous l’dit.
La première semaine, elle a fait son job et se comportait comme une Sainte-Nitouche. Propre sur elle et pas du tout à s’affrioler le corsage. Non, non, une jupe longue et sage, des p’tits pulls un peu larges pour pas montrer ses nibards avantageux. Bref, l’assistante pro. Moi j’avais un peu oublié ce que m’avait dit sa tante en partant, surtout content d’avoir quelqu’un qui bosse bien.
Puis vendredi dernier, comme tout le monde décarre un peu plus tôt, elle est restée « pour finir un dossier, Monsieur Steve ».
Moi j’étais dans mon burlingue, occupé à mon bizness. Bon, au vrai, je matais une petite vidéo coquine et je m’étais même débraguetté pour donner de l’aisance à mon engin qui remontait la pente.
La voilà-t-y pas qui rentre dans mon bureau sans prévenir, et qui s’approche avec un dossier. Elle se plante devant moi, ses mirettes me vrillent. Elle a bien percuté qu’elle arrive à un moment un peu délicat, même si j’ai bien sûr zappé la page coquine. Tout en me matant, elle laisse tomber son stylo.
Elle se baisse pour le ramasser et là j’entends :
- Oh, Monsieur Steve, je vous trouve bien tendu vu de dessous votre bureau, je ne peux pas vous laisser dans cet état.
- De quoi ?
- Laissez-moi faire.
Avant que j’aie percuté, elle est passée sous mon bureau, m’a attrapé les couilles d’une main et mon bâton tendu de l’autre.
- C’est bien ce que j’avais vu, il faut vous détendre.
Ma queue déjà sortie, elle n’a plus qu’à s’avancer à genoux et hop, elle m’enfourne la queue.
Putain, la pipe de rêve. Elle sait y faire la jeunette, bien dégourdie des commissures, et sachant happer une tige comme le brochet de la friture.
Je ne pouvais pas m’en défaire, et faut dire, j’en avais plus l’envie !
Alors je l’ai regardée, ses longs cheveux sur mes cuisses et sa bouche me suçant à qui mieux-mieux.
J’ai commencé à sentir la sève se préparer au jet final, alors je me suis reculé et je lui ai dit :
- Petite salope, ta tante ne m’avait pas menti, t’es une pute en puissance toi ! Viens-là, montre-moi ton matériel que je l’estime.
Sans se dégonfler, elle s’est foutue à oilpé d’un coup.
Ventrebleu la belle fille ! Tout comme dans nos rêves de mâles.
Des seins commasse, un ventre plat surmontant un ticket de métro bien taillé et dessous, une fente de jeune fille, bien dessinée.
- Tu vas voir comment je traite les petites cochonnes, lui ai-je balancé. Pose ton ventre sur mon bureau et montre-moi ton cul, tu mérites une punition
- Oh oui, Monsieur Steve, oh oui a-t-elle minaudé en me montrant son derche.
J’ai saisi la règle sur mon bureau et j’ai commencé à lui donner des petits coups. Elle tortillait son postérieur en laissant échapper des petits cris quand je tapais un peu plus fort.
- Alors, Camille, tu entres dans mon bureau sans t’annoncer et tu viens me sucer direct ? Tu crois que ça marche comme ça ? Je vais t’apprendre la politesse, et si tu veux aller jusqu’au bout de ta période d’essai, t’as intérêt à suivre, vu ?
- Oui, Monsieur Steve, bien compris.
Ses fesses commençaient à être zébrées de rouge. Je me suis arrêté.
- Bon, puisque t’as l’air de comprendre, on va aller plus en douceur. Ecarte-toi le cul, que je puisse admirer ton petit trou.
Et j’ai pu admirer son trou de balle tout soyeux. J’ai craché dessus, je me suis craché sur la queue, et je me suis enfoncé d’un coup.
La petite cochonne n’a même pas gémi, faut croire que le ramonage de son vestibule arrière se faisait plus d’une fois par an.
- Oh, Monsieur Steve, enculez-moi bien à fond, s’il vous plait, j’adore sentir votre bâton.
- Tais-toi, salope, encaisse en silence pour l’instant, tu n’auras le droit de parler que quand je voudrai. Si t’obéis pas, t’as droit à une mornifle, t’as pigé ?
- Mmmm oui,
J’en ai profité, je l’avoue, la limant bien lentement pour voir ma queue entrer et sortir de son anus qui s’élargissait.
Je l’ai ensuite fait mettre sur le dos, pour voir ses nibards se balader pendant que je l’enculais derechef.
Quelle beauté, cette poulette, et je me disais que j’allais forcément craquer de nouveau. Mais il ne fallait pas que cela déborde sur le boulot.
Pendant que je lui baisais le cul, je lui ai donné toutes mes instructions pour que nos rapports intimes ne puissent pas être décelés par les autres salariées.
A chaque règle, je lui demandais de me donner son accord. Je sortais ma bite de son gouffre anal, la laissais répondre « Oui Monsieur Steve » et hop, je l’embrochais de nouveau.
J’ai abrégé les instructions parce que tout à coup, j’ai giclé dans son antre, lui tapissant les intestins de mon foutre.
- Viens me sucer pour nettoyer tout ça, ai-je exigé.
Elle s’est accroupie et m’a léché de haut en bas, recueillant une dernière goutte en signature de son accord.
- Mademoiselle Camille, vous êtes une vraie cochonne.
- Merci Monsieur Steve de ce compliment, ma tante m’a tant parlé de vous que je suis heureuse de travailler pour vous… et d’être votre parfaite soumise.
Soumise ? Soumise ? Voilà une idée qui ne m’était pas encore venue bien que j’aie adopté un ton autoritaire.
Mais cela me plaisait bien comme situation.
- Ok, tu seras ma soumise.
- Merci, merci, je vous serai toute dévouée.
- Pour l’instant, resape-toi et file.
Elle a décanillé rapidement.
Assis à mon bureau, je commençais à envisager notre collaboration d’un autre œil.
Si ça vous dit, j’vous tiens au jus bande de pervers(es), vu qu’cette gonzesse à mon sens elle a de l’avenir dans la gaudriole.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ca vaut la peine de la garder apres son stage , vite la suite :)
Tout à fait du même avis en ce qui concerne les commentaires, cela fait toujours plaisir de savoir que certains ou certaines ont aimé et de faire des efforts pour ceux dont ce n'est pas le cas.
Quand au récit à quand la suite?.....
Quand au récit à quand la suite?.....