Emeline vie selon
Récit érotique écrit par Gouineur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Emeline vie selon
Avec un bruit sourd Emeline s’enfonce sur la tige prêtée de son amant. Oui prêtée, c’est le mot. Emeline ne s’en lasse pas. Qu’il soit réveillé ou moitié endormi.
Son plaisir avant tout. Le temps qu’il lui faut.
Bon âme qu’il est, il se laisse faire. Il capitule en générale, après une séance torride d’une heure.
Le matin, il se sauve, va au boulot.
Emeline joue la femme au foyer. Si on peut le dire ainsi. Au chômage depuis une année, Emeline n’a aucune envie que cela change. Pourquoi donc.
Son régulier gagne assez.
Emeline, elle, préfère s’amuser avec ses copines.
Toute fois, elle ne néglige pas son homme. Et elle n’est triste de son sort. Ça pourrait aller plus mal. Ce matin elle a rendez-vous avec Peggy, une des ses consœurs sensuelle. Et oui, il faut vivre et le faire partager.
Elle prend quelques billets dans la caisse et s’en va avec Peggy.
Flâner, émoustiller, exciter des gars, afin le tourment habituel.
La paire de donzelles black and white.
Les deux font de la mousse par où elles passent.
Emeline est hollandaise, Peggy est un produit des States. Deux chômeuses qui ne chôment pas. Le regard sur elles, est un pur régale.
La paire est indissociable, selon les hommes quelles accostent. Et elles leurs rentrent dans lards. Chaudasses nées, chaudasses toujours, elles y plaisent et y ajoutent des couches.
Peggy s’est préservée célibataire. Mais cela n’empêche pas Emeline d’en faire autant… tout comme.
Elles atterrissent dans un magasin de lingerie, y rentrent.
Tiens, une nouvelle vendeuse, t’as vu Peggy, on la teste ?
Oui elles aiment prendre en friandise les inconnues comme amuse-gueule et la plus part de temps ça marche. Leurs trophée visées, est la culotte trempée de la proie. Pourquoi s’en soucier du chômage. Tout va bien.
Les deux sont des « candies » parfaites. Allumeuses, oui. Asservisseuses ?… au féminin, sans problème.
Le mannequinat aurait bien plus à l’une et l’autre. Malheureusement la nature les a trop bien desservit.
Elles s’installèrent sur une belle terrasse. Le patron italien, Luigi, aime bien quelles y prônent en rince l’œil, la consommation généreusement offerte. Et ça attire des clients. Bon pour du chiffre d’affaires.
Et c’est justement par lui, Emeline vient d’apprendre qu’une place s’offre à pourvoir dans la mode. Une marque italienne. Un copain à lui ou cousin éloigné. Il fait prendre quelques photos, lui encadré au milieu, les bisoutant.
Luigi est également bon copain avec son homme. Il saura où la trouver, si jamais...
L’après-midi s’achève, les deux amies se séparent, Emeline va préparer le dîner à son homme.
Elle est très bonne en cuisine, tient bien le ménage, et un sacré canon au lit.
Les trois engrainant réunis et l’absence de jalousie envers les nénettes complices, qui avaient incités son doudou à vivre en ménage. Emeline se sent bien avec lui, pas de raison que ça change. En plus qu’il est bel homme, bien doté, très sociable et compréhensif, généreux.
Son premier Dada est le boulot, pour le reste Emeline s’en charge. Elle sait créer l’ambiance qu’il lui faut, elle sait aussi quelle peut compter sur lui une heure d’un filet par jour. Emeline le connaît et s’en donne la suite à prendre…
Son plaisir avant tout. Le temps qu’il lui faut.
Bon âme qu’il est, il se laisse faire. Il capitule en générale, après une séance torride d’une heure.
Le matin, il se sauve, va au boulot.
Emeline joue la femme au foyer. Si on peut le dire ainsi. Au chômage depuis une année, Emeline n’a aucune envie que cela change. Pourquoi donc.
Son régulier gagne assez.
Emeline, elle, préfère s’amuser avec ses copines.
Toute fois, elle ne néglige pas son homme. Et elle n’est triste de son sort. Ça pourrait aller plus mal. Ce matin elle a rendez-vous avec Peggy, une des ses consœurs sensuelle. Et oui, il faut vivre et le faire partager.
Elle prend quelques billets dans la caisse et s’en va avec Peggy.
Flâner, émoustiller, exciter des gars, afin le tourment habituel.
La paire de donzelles black and white.
Les deux font de la mousse par où elles passent.
Emeline est hollandaise, Peggy est un produit des States. Deux chômeuses qui ne chôment pas. Le regard sur elles, est un pur régale.
La paire est indissociable, selon les hommes quelles accostent. Et elles leurs rentrent dans lards. Chaudasses nées, chaudasses toujours, elles y plaisent et y ajoutent des couches.
Peggy s’est préservée célibataire. Mais cela n’empêche pas Emeline d’en faire autant… tout comme.
Elles atterrissent dans un magasin de lingerie, y rentrent.
Tiens, une nouvelle vendeuse, t’as vu Peggy, on la teste ?
Oui elles aiment prendre en friandise les inconnues comme amuse-gueule et la plus part de temps ça marche. Leurs trophée visées, est la culotte trempée de la proie. Pourquoi s’en soucier du chômage. Tout va bien.
Les deux sont des « candies » parfaites. Allumeuses, oui. Asservisseuses ?… au féminin, sans problème.
Le mannequinat aurait bien plus à l’une et l’autre. Malheureusement la nature les a trop bien desservit.
Elles s’installèrent sur une belle terrasse. Le patron italien, Luigi, aime bien quelles y prônent en rince l’œil, la consommation généreusement offerte. Et ça attire des clients. Bon pour du chiffre d’affaires.
Et c’est justement par lui, Emeline vient d’apprendre qu’une place s’offre à pourvoir dans la mode. Une marque italienne. Un copain à lui ou cousin éloigné. Il fait prendre quelques photos, lui encadré au milieu, les bisoutant.
Luigi est également bon copain avec son homme. Il saura où la trouver, si jamais...
L’après-midi s’achève, les deux amies se séparent, Emeline va préparer le dîner à son homme.
Elle est très bonne en cuisine, tient bien le ménage, et un sacré canon au lit.
Les trois engrainant réunis et l’absence de jalousie envers les nénettes complices, qui avaient incités son doudou à vivre en ménage. Emeline se sent bien avec lui, pas de raison que ça change. En plus qu’il est bel homme, bien doté, très sociable et compréhensif, généreux.
Son premier Dada est le boulot, pour le reste Emeline s’en charge. Elle sait créer l’ambiance qu’il lui faut, elle sait aussi quelle peut compter sur lui une heure d’un filet par jour. Emeline le connaît et s’en donne la suite à prendre…
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