EMELYNE PARTIE 5 - histoire érotique

Emeline est partie pour le mariage de son amie. Je vais vous faire une histoire de ce qu’elle m’a rapporté durant son séjour. Je vais tenter de rentrer rapidement dans les évènements les plus marquants.
A son arrivée, elle a été accueillie par la famille d’Aya son amie. Durant le séjour, elle a été hébergée chez une des sœurs d’Aya, dont la maison est à quelques mètre des parents ou loge son amie. Tout se passe bien, elle fait connaissance, partage les repas avec tout le monde et dors tous les soirs dans la maison de la sœur qui est marié. Il fait chaud, les nuits son courte du fait de la chaleur. Une nuit, elle est réveillée par des mouvement dans son dos, elle se réveille à moitié et sent un corps d’homme se blottir contre elle. Emeline tente de sortir du lit, mais l’homme la retient et lui pose la main sur la bouche pour l’empêcher de crier. Elle est surprise et un peu tétanisée par ce qu’il se passe. L’homme la sert contre lui et elle sent le membre de celui-ci déjà au garde à vous. Ne pouvant se débattre malgré tous ses efforts, elle est incapable de s’extraire ou d’appeler au secours. Emeline sent le sexe de l’homme tenté de la pénétré par l’intimité, elle se refuse, mais l’homme insiste. Cette situation déclenche en elle une certaine excitation, elle sent son sexe mouiller. L’homme réussit la pénétration intime et commence à s’activer en elle. Selon Emeline, ce moment à durée une quinzaine de minutes. L’homme c’est déchainé en elle, une main l’empêchant toujours de dire quoique ce soit. Elle a été prise sur toute la longueur du membre masculin qui la besognait. A un moment, elle a senti le liquide chaud se déverser en elle. Avant qu’elle ne réagisse vraiment, elle était déjà seule dans son lit.
Mais putain, je prends pas la pilule, c’est pas possible sans compter les autres risques.
Emeline a été ensemencé par le beau-frère d’Aya. Le matin, après cette nuit perturbée, elle se lève et elle constate qu’elle est seule dans la maison. Elle prend vite une douche, insistant sur son intimité pour essayer de se nettoyer de ce jus, puis prend son petit déjeuner. Le beau-frère rentre. Emeline lui saute au visage.
-t’es malade, cette nuit tu as abusé de moi et en plus sans protection, tu es complètement fou ou quoiL’homme la repousse un peu.
-tu tomberas pas enceinte, j’peux pas avoir d’enfant-ouais mais il n’y a pas que ça, et les maladies ?
-pas la peine de t’affoler, j’ai rien-oui c’est ça et tu veux que je te fasse confiance, pauvre maladeL’homme prend Emeline de force et la plaque face sur la table.
-je suis propre, no soucis, pas de craintesIl relève la robe et écarte la petite culotte pour la pénétrer d’un doigt.
-une blanche ça m’excite, tu es bien en chair avec tes gros seins, alors tu me fais envie.
-putain arrête ou je dis tout à ta femme-elle ne reviendra que ce soir, après cette journée avec moi tu ne pourras rien lui dire, regarde ça mouille déjàIl sort son membre et pénètre Emeline. Là commence un démontage en règle d’Emeline. L’homme la prend avec force et détermination, elle est labourée sur toute la longueur du sexe de l’homme. Il termine par se libérer en elle, déchargent une bonne dose de jus chaud.
-putain je suis folle et tu es complètement malade, mon mec à raison je suis une belle salopeIl remet correctement la petite culotte d’Emeline.
-garde bien au chaud ma semence de black-quoi ?
-garde tout en toi, la journée n’est pas terminée.
Durant la journée, Emeline à dû le lécher et le sucer. Elle a été prise et remplie quatre fois durant la journée, sa culotte était maculée de jus. Au retour de la sœur d’Aya, ils ont fait comme si de rien n’était, même si l’entrejambe d’Emeline était mouillé d’un mélange de cyprine et de sperme. Ce soir-là, elle a pu dormir sans la visite du beau-frère d’Aya.
Deux jours plus tard, c’était le mariage d’Aya. Emeline était à l’honneur, puisque témoin de la mariée. Dans l’après-midi, Emeline décide de faire un petit tour dans le parc, proche de la mer ou se déroule le mariage, mariage respectant les uses et coutumes du pays. Se promenant seule, histoire de décompressé un peu du bruit et de la musique, le beau-frère la rejoint.
-bah, qu’est-ce que tu fais là ?
-je viens te voir, -et ta femme ?
-oh pen broblèmeIl prend Emeline par le bras et ils se dirige vers un bosquet.
-ah oui, mais non, ça va pas toi, il faut que tu arrêtes-nan nan, tu vas me sucerIl sort son membre et l’applique devant la bouche d’Emeline.
-non, je t’ai dit -nan, regarde ce que j’ai sur le téléphoneElle découvre des photos d’elle en situation embarrassante.
-si je montre à ma femme et à Aya, imagine ce qui va se passer-quoi ?
-tu pourrais avoir des problèmes avec la famille et la police-mais oui, c’est ça-ok j’appelle ma femme et tu verras-arrêt putain, t’es malade, Aya est ma meilleure amie, je veux pas de problème-alors suceEmeline contrainte et forcée, pour éviter tout risque avec la famille et la police. Elle suce ce membre noir qui déjà est bien tendu. Rapidement il se déverse dans la bouche d’Emeline qui ne peut se retirer puisque sa tête est fortement maintenue par les deux mains du beau-frère et qui l’oblige à avaler son jus. Il la relève, sort les seins de la robe et les tritures.
-quand je t’ai vu ce matin, habillé comme ça j’ai de suite eu envie, une bonne blanche bien FrançaiseIl plaque Emeline, dos contre un arbre, la lève, écarte la petite culotte et empale son membre dans l’intimité. Le membre pas dur, mais pas débandé laboure Emeline.
-tu te rappelleras de ton séjour chez nous, hein la blanche, vous êtes toutes des….
Un bruit vient perturber l’ébat, silence ! Non ce n‘est qu’un chien qui passe dans le bosquet. Le beau-frère reprend de plus belle son labourage.
-ah ah oh oui, -t’es une chaude salope la blanche, hein, ton blanc ne te suffit pas ?
-ah ah si, il….hen hen, ohhhhh, Le beau-frère sort, entre, encore et encore, besognant Emeline, lui écartant l’intimité qui coule du plaisir qu’elle prend. Elle est écartelée, lui ne semble pas prêt à jouir, il en veut encore. Emeline ne sait pas combien de temps cela a duré, mais ça été long. Elle, elle à jouit une première fois durant l’ébat.
-raaaahhhhhhhhhhLe beau-frère se vide en elle, en continuant ses vas et vient. Le liquide chaud, la semence de l’homme qui se déverse abondamment en elle lui déclenche un deuxième plaisir. Sur le retour, elle rencontre Aya.
-ou étais-tu Emeline ?
-euh, je discutais avec ton beau-frère-c’est bien vous vous entendez bien, comme il va peut-être venir quelques en mois en France pour une formation, vous pourrez vous voir-oh !! oui peut-êtreLes quelques jours restant avant le retour, Emeline à subit régulièrement les assauts du beau-frère. Le jour du départ, la famille est venue accompagner les partants pour la France. Larmes, joie sont de mise. Lorsque le beau-frère dit au revoir à Emeline, il lâche discrètement au fond de son oreille quelques mots.
-au revoir la P*** blanche, j’espère que je te reverrais et puis peut-être que tu es enceinte…Emeline à ces mots pallie.
DE retour à la maison, Emeline me raconte tout. Immédiatement je préconise test de grossesse et analyse sanguine via mon médecin. Après quelques jours d’attente, toutes les analyses sont négatives, tout comme le test de grossesse. Soulagement pour Emeline qui durant ces jours n’était pas au mieux.
-bon maintenant que tout est en ordre et sans soucis, tu vas m’expliquer pourquoi tu t’es laissé faire ?
-tu es gentil, toi, presqu’un mois et demi sans me toucher.., bah oui, je sais, j’ai craqué en plus sans capote-et oui, comme quoi je ne peux pas te faire confiance et que tu es une belle salope-ouais, tu as certainement raison-tu veux que nous arrêtions là-quoi arrêter ? tu veux dire quoi ?
-chacun son chemin, vu ce tu as fait-ah non, mais non j’ai pas envie, tu vas pas me laisser-Très bien, alors, mais tu sais que la privation de sexe faisait partie du programme, alors maintenant je vais voir autrement.
-c’est-à-dire ?
-tu verras, allez déjà j’ai appelé un coiffeur rebeu pour qu’il te refasse bien ta coupe, tu as laissé repousser et ça ne va pas, allez habille toi et viens.
Une petite marche de 20 minutes et nous voila cher Baber, le salon de coiffure homme.
-mais c’est pour homme-oui il coiffe mieux que les femmesJe prends Emeline par le bras et nous entrons. La coupe est rapide et sans bavure. Un rasage à blanc est fait sur la nuque et toujours 2 cm sur les côtés. Pour sortir, j’oblige Emeline, malgré son mécontentement à conserver le chignon qui a été fait pour réaliser sa coupe, histoire que tout le monde puisse bien voir. Nous prenons un verre sur une terrasse de café.
-maintenant Emeline, écoute bien ce que je vais te dire, tu vas prendre rendez-vous chez ton gynéco et te faire prescrire la pilule, c’est sans condition, le temps que le traitement fasse effet zéro sexe, c’est bien compris, rien, nada, après nous verrons.
-ah bah oui carrément, tu profites de ce qui s’est passé pour décider pour moi…-je t’ai dit tu m’écoutes et tu ne dis rien, c’est sans condition, sinon je crois que nous devrions en rester làEmeline devient blême. Un long silence.
-je vois, je n’ai rien à dire…-non, rienNous rentrons à la maison, sans énormément de paroles.