EMILE et BEA 3. Soumise
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 77 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Emile ont reçu un total de 799 458 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 6 957 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
EMILE et BEA 3. Soumise
Nota : Emile et Bea explorent de nouveaux horizons et se laissent aller à des pulsions jusqu’ici refoulées.
Emile sent Bea excitée en diable mais encore réticente à s’offrir à ce bel inconnu. Il se rappelle pourtant combien elle lui avait confié son violent désir de rencontre charnelle avec un bellâtre velu. Il se souvient aussi de son envie d’être soumise. Il comprend toutefois combien elle est pour l’instant bloquée par sa totale méconnaissance de l’identité de ce nouvel acteur et du risque potentiel qu’il représente. Il la maintient en position offerte et la caresse activement pour faire baisser son angoisse. Il la sent se détendre, se gonfler encore de désir sans être prête à se laisser toucher par le bucheron. Sans vergogne, il profite de la situation. Il se place derrière elle, lape goulument sa rondelle de sa langue détrempée qui peu à peu la pénètre avec fougue. Le bûcheron savoure la scène tout en branlant son sexe avec entrain. Bea aime que son regard plein de désir contemple ses formes attrayantes et s’échauffe encore d’être ainsi convoitée. N’y tenant plus Emile entre sa queue dans le cul de sa partenaire et s’agite violemment. Bea, peu coutumière de cette pratique, ressent positivement cet outrage grâce au surcroit d’excitation que lui procure la présence intéressée du troisième partenaire. Il faut avouer que son regard est sans équivoque possible. Bientôt les deux amants exultent. Ils entendent en écho la jouissance du nouvel arrivant qui éparpille sa semence dans l’eau de la rivière. Lorsque les compères s’effondrent au sol vaincus, le bucheron s’allonge auprès d’eux le flanc scellé à celui de Bea qui ne le repousse pas. Ils restent ainsi quelques minutes absolument immobiles jusqu’à ce que les mains de la coquine ne se posent sur leurs deux sexes et celles de ses amants sur ses cuisses. Autant le vit d’Emile est court et trapu ; autant celui du bucheron est long et fin. Désireuse de les voir tous deux prêts à l’action, elle les caresse doucement et les sent se dresser peu à peu alors que les mains inquisitrices lui remontent jusqu’à l’aine. Leurs exploits récents les a privés d’une partie de leur vigueur mais pas de leurs fantasmes largement inspirés par le physique généreux de Béa. Leurs sexes à demi dressés ils finissent par repousser ses mains bienfaitrices et se lèvent.
Emile la redresse vivement en la tenant sous les aisselles, sa queue lui laboure au passage le haut des fesses et le creux des reins. Il la tient le dos contre lui, les mains écrasant ses seins, obus proéminents et fermes, qui le fascinent. Le bucheron est occupé à fouiller dans sa sacoche de travail d’où il extrait de longues cordes de calibre modeste. Les deux hommes échangent un sourire pervers. Elle rêve bondage et soumission ; elle va être servie ! Le bucheron explique à Bea d’une voix grave : « Maintenant, tu vas te comporter comme la bonne salope que tu es et nous obéir en tout point. Tu ne pourras rien nous refuser même si cela te paraît insupportable. Nous serons tes maîtres et saurons te réduire à l’état d’esclave sexuelle lascive prête à tout pour nous servir. Compris ? » Sans attendre de réponse, il lui lie les mains à une corde qu’il lance par-dessus une haute branche. Il tire dessus jusqu’à ce que ses pieds quittent le sol et la fixe. Puis il se saisit d’une longue branche robuste et de cordelettes. Avec Emile, ils lui lient les pieds dessus de telle façon que ses jambes soient totalement écartées dévoilant son cul et plus largement son entrejambe glabre, fendu d’un sexe court aux grandes lèvres quasi invisibles. Lorsqu’ils la lâchent, elle commence à tourner lentement sur elle-même, privée de contact à la terre. Les deux hommes se munissent alors de badines souples et ils commencent à accélérer sa rotation en lui frappant sans force excessive ses seins magnifiquement denses malgré leur volume, son ventre et ses cuisses. Elle pousse des petits cris qui évoquent aussi bien la jouissance que la douleur et des traces rosâtres s’impriment sur sa peau laiteuse. Après quelques minutes, ses bourreaux s’intéressent à ses cuisses, ses larges fesses rebondies et son dos à la taille bien marquée; et son sens de rotation change. Ses cris se font plus rauques et elle commence à se tordre en offrant une vision encore plus directe sur son intimité. Les deux hommes profitent pleinement de la scène puis, voyant son visage rond et doux se crisper, relâchent la corde de suspension pour lui permettre de prendre appui sur ses pieds et de moins souffrir. Le bucheron aménage l’attache des bras avec une nouvelle branche pour leur permettre de s’écarter un peu. Elle forme maintenant avec son corps potelé un X évocateur. La flagellation reprend en alternance avec des caresses appuyées sur les zones sensibles. Celles-ci deviennent de plus en plus caressantes et pénétrantes. Ses fesses, ses seins et l’intérieur de ses cuisses sont massés sans ménagement, son cul et sa vulve visités. Elle se pâme à demi et se tord sous les assauts puis finit de s’évanouir lorsqu’ils la pénètrent en double et commencent à s’agiter rapidement en elle.
Lorsqu’elle se réveille enfin, elle est étendue nue sur le sol, sans corde, sans bucheron dans le fondement ni d’Emile dans la vulve. Elle est sur le flanc comme si un secouriste l’avait disposée en position latérale de sécurité. Sa robe est posée à côté d’elle comme une invite, toutefois, lorsqu’elle l’enfile, Emile l’oblige à en ressortir ses superbes seins entre deux bretelles tendues à l’extrême. Les deux hommes se sont rhabillés et la contemplent avec un empressement suspect. Le bucheron l’aide à se rechausser en caressant ses mollets. Il la prend par la main et l’amène dans une cabane en bois toute proche : un local qui sert habituellement à stocker des outils mais qui est, elle, équipée d’un grand lit confortable. Il lui dit : « Voici ton lieu de soumission. Nous sommes tes maîtres. Tous les mercredis matin tu viendras nous retrouver ici en robe courte ou en nuisette, sans aucun sous-vêtement et te plieras à tous nos caprices. En hiver tu seras totalement nue sous ton manteau. Avant de venir tu enduiras ton cul de lubrifiant de façon à ce que nous puissions entrer en toi sans crier gare. Si nous ne sommes pas arrivés, tu finiras de te dénuder, enfileras le collier de chien posé sur la table de nuit et te positionneras à quatre pattes, sur le lit, cuisses écartées et orifices offerts. Par temps chaud tu feras la même chose sur la table de bois extérieure. Parfois nous enverrons des amis s’occuper de toi, tu leur obéiras comme à nous-mêmes. Si tu manques un seul de nos rendez-vous, je viendrai chez toi le dimanche suivant avec les photos que nous avons pris lorsque tu étais inconsciente, enfichée sur nos deux queues. J’expliquerai à ta famille quelle salope tu es en plein repas dominical. Maintenant tu nous appartiens et plus rien ne défera cela. M’as-tu compris, sac à foutre, jolie pute, gracieuse petite salope ? » Prudemment elle hoche positivement de la tête avec conviction et est immédiatement récompensée d’une grande claque sur les fesses.
Le mercredi suivant il fait une chaleur terrible. Personne n’est encore arrivé lorsqu’elle atteint la cabane. Elle ôte sa frêle vêture, s’équipe comme prévu et s’expose lubrique sur la table ombragée à cette heure. Le bûcheron arrive et lui prodigue une caresse distraite. Il se saisit d’une laisse, l’attache au collier et s’engage sur un sentier en de grandes enjambées. Bea trottine derrière lui aussi vite qu’elle peut pour éviter d’être étranglée. Au bout de quelques minutes ils arrivent dans un bruyant chantier de coupe où s’activent une dizaine d’ouvriers. A sa vue ils arrêtent immédiatement de travailler et un silence pesant s’installe. Les dix regards concupiscents convergent sur sa nudité exposée et elle fait un pas en arrière. La laisse se tend et elle comprend le message. Elle se pose à quatre pattes au sol et attend, toujours liée au bucheron. Quelques instants plus tard la sarabande commence. Son asservissement est total. Les hommes se succèdent sans se dévêtir dans sa bouche sa chatte et son cul. A de petits sexes succèdent de gigantesques bites qui violent sa gorge, remontent dans ses viscères, envahissent son vagin. Ils opèrent souvent à deux, parfois même à trois. Elle se soumet à tout « pour éviter que le collier ne l’étrangle »... Plus d’un lui claque les fesses avec vigueur. A deux exceptions près, ils éjaculent tous sur son visage ou son dos, la salissent et la traitent de « serpillère ». Elle est presque reconnaissante de recevoir quelques grandes giclées aux tréfonds de ses viscères. Ça la change ! Lorsqu’ils ont satisfait leur désir, ils la trainent par la laisse et l’obligent en riant à courir à quatre pattes dans tout le chantier, sale et humiliée, lui provoquant plein de petites écorchures aux mains et aux genoux. A la fin ils se calment et reprennent leur bruyante besogne. Content d’elle, son « maître » le manifeste d’une tape amicale sur son sexe et la relâche, la laissant retourner chez elle nue et gluante de foutre.
Le mercredi suivant, Emile l’a précédée avec deux amis. Ils ont amené une bouteille de whisky et des verres. Courtoisement ils l’invitent à s’asseoir et à boire après avoir extrait ses superbes loches de leur gangue de tissu et ceint son cou. Lorsqu’elle finit son verre, le maître la prie de se coucher nue à plat dos sur la table. Immédiatement les six mains prennent possession de sa bouche, de ses seins et de son sexe. Elle écarte au maximum ses bras et ses cuisses comme pour leur signifier qu’elle leur est totalement offerte. Quelques caresses s’égarent sur ses cuisses ou son ventre. Ses grandes lèvres sont largement écartées comme pour en découvrir l’anatomie. Tandis qu’un doigt se glisse dans son cul, son clitoris commence à être vigoureusement branlé, sa chatte remplie de plus en plus en profondeur de deux puis trois doigts mobiles, alors que ses tétons sont étrillés avec application. Bea sent le plaisir monter en elle. Deux appendices dilatent désormais son cul. Elle se tortille sans cesse en une gestuelle spontanée toujours plus inconvenante. Les caresses s’accélèrent et elle se désunit comme pour faciliter encore l’accès à ses organes déjà très exposés. Finalement, possédée par cette pieuvre à six bras, elle hurle de bonheur alors que son corps entier vibre de toutes ses terminaisons nerveuses, qui contractent et relâchent à une vitesse folle toute sa musculature. Il lui semble que l’intérieur de son corps est en feu. La cyprine détrempe ses cuisses, un filet de bave coule au coin de sa bouche. C’est un tel bonheur que le reste lui paraît amusement. Quand ses amants se dénudent, l’un d’entre eux se couche sur la table le vit dressé. Elle s’enfiche sur lui tandis qu’un autre entre bientôt en son cul. Elle suce ce pauvre Emile resté debout à côté d’eux. Elle est heureuse de les sentir tous les trois s’agiter puis se vider en elle et ressent du bonheur à les entendre jouir en se libérant de leur foutre. De tous ses trous, lorsqu’ils se retirent, coule un filet blanchâtre et gluant. Peu lui importe puisque son corps entier est dilaté, exhibé à tous les habitants de la forêt. Elle conçoit une grande fierté d’être enfin capable de se laisser aller à son penchant exhibitionniste dans des conditions plus extrêmes qu’elle ne l’avait jamais imaginé.
Et les mercredis succèdent aux mercredis, les outrages aux outrages, au point que ses différents sphincters, lèvres et cols restent à demi irrités semaine après semaines. Il n’est de jour sans qu’elle ressente les outrages à l’intérieur de son corps. Sa sexualité de couple lui paraît fade et elle essaie d’entrainer son mari sur des chemins qui le choquent. Elle finit par ne plus faire l’effort de le solliciter et attend ces moments intenses à la cabane avec envie. Une fois elle y est même venue nue, le corps orné de ses plus beaux bijoux, maquillée plus qu’à l’habitue, comme si elle voulait confirmer son nouveau statut. Dès qu’elle pense à ces étranges séances, elle salive et son ventre se tord. Elle pourrait détremper sa petite culotte si elle en mettait encore. Elle n’en a plus jamais enfilé depuis le début de cette aventure et s’est séparée de tout vêtement trop couvrant. Minijupes, débardeurs très échancrés et vestes courtes portées à même la peau sont devenus la base de son habillement. Elle ne supporte le tissu qu’à la condition qu’il lui donne le sentiment de rester nue et exposée aux regards lubriques. Ses tenues mettent superbement en valeur ses seins de rêve et son cul rebondi à damner un évêque. Ces séances de sexe sont devenues sa seule préoccupation et sa raison d’exister. Elle se donne toutes les raisons pour ne jamais en manquer une. Il faut dire que ses maitres varient à chaque fois les scénarios pour la satisfaire. Une ou deux fois, elle va leur demander la permission de s’absenter pour une courte période. Elle en supportera difficilement les conséquences et vivra ces moments comme de grands temps de manque. Au gré des mois, le nombre de participants à ces outrages ne cesse de grandir. Toute la forêt et ses alentours bruissent de ses exploits. La rumeur la rend bien plus salope qu’elle ne l’est et cela la ravit. Au village, elle rencontre parfois un de ses partenaires en s’enorgueillit de son regard lourd posé sur elle, mais personne n’ose l’interpeller sur ses activités du milieu de semaine.
Emile, après de nombreux mois de ces émouvants exercices, a quitté la région. Il repense souvent à Bea qui a su repousser si loin les limites, donner à voir le tréfonds d’une âme tourmentée par le sexe, et l’a entrainé vers des chemins inexplorés. Il n’a jamais retrouvé de partenaire capable d’un si total abandon et rêve souvent encore d’elle. Pour lui Bea n’est pas « une bonne salope » mais un fantastique objet de désir dont le manque le fait souffrir…
Emile sent Bea excitée en diable mais encore réticente à s’offrir à ce bel inconnu. Il se rappelle pourtant combien elle lui avait confié son violent désir de rencontre charnelle avec un bellâtre velu. Il se souvient aussi de son envie d’être soumise. Il comprend toutefois combien elle est pour l’instant bloquée par sa totale méconnaissance de l’identité de ce nouvel acteur et du risque potentiel qu’il représente. Il la maintient en position offerte et la caresse activement pour faire baisser son angoisse. Il la sent se détendre, se gonfler encore de désir sans être prête à se laisser toucher par le bucheron. Sans vergogne, il profite de la situation. Il se place derrière elle, lape goulument sa rondelle de sa langue détrempée qui peu à peu la pénètre avec fougue. Le bûcheron savoure la scène tout en branlant son sexe avec entrain. Bea aime que son regard plein de désir contemple ses formes attrayantes et s’échauffe encore d’être ainsi convoitée. N’y tenant plus Emile entre sa queue dans le cul de sa partenaire et s’agite violemment. Bea, peu coutumière de cette pratique, ressent positivement cet outrage grâce au surcroit d’excitation que lui procure la présence intéressée du troisième partenaire. Il faut avouer que son regard est sans équivoque possible. Bientôt les deux amants exultent. Ils entendent en écho la jouissance du nouvel arrivant qui éparpille sa semence dans l’eau de la rivière. Lorsque les compères s’effondrent au sol vaincus, le bucheron s’allonge auprès d’eux le flanc scellé à celui de Bea qui ne le repousse pas. Ils restent ainsi quelques minutes absolument immobiles jusqu’à ce que les mains de la coquine ne se posent sur leurs deux sexes et celles de ses amants sur ses cuisses. Autant le vit d’Emile est court et trapu ; autant celui du bucheron est long et fin. Désireuse de les voir tous deux prêts à l’action, elle les caresse doucement et les sent se dresser peu à peu alors que les mains inquisitrices lui remontent jusqu’à l’aine. Leurs exploits récents les a privés d’une partie de leur vigueur mais pas de leurs fantasmes largement inspirés par le physique généreux de Béa. Leurs sexes à demi dressés ils finissent par repousser ses mains bienfaitrices et se lèvent.
Emile la redresse vivement en la tenant sous les aisselles, sa queue lui laboure au passage le haut des fesses et le creux des reins. Il la tient le dos contre lui, les mains écrasant ses seins, obus proéminents et fermes, qui le fascinent. Le bucheron est occupé à fouiller dans sa sacoche de travail d’où il extrait de longues cordes de calibre modeste. Les deux hommes échangent un sourire pervers. Elle rêve bondage et soumission ; elle va être servie ! Le bucheron explique à Bea d’une voix grave : « Maintenant, tu vas te comporter comme la bonne salope que tu es et nous obéir en tout point. Tu ne pourras rien nous refuser même si cela te paraît insupportable. Nous serons tes maîtres et saurons te réduire à l’état d’esclave sexuelle lascive prête à tout pour nous servir. Compris ? » Sans attendre de réponse, il lui lie les mains à une corde qu’il lance par-dessus une haute branche. Il tire dessus jusqu’à ce que ses pieds quittent le sol et la fixe. Puis il se saisit d’une longue branche robuste et de cordelettes. Avec Emile, ils lui lient les pieds dessus de telle façon que ses jambes soient totalement écartées dévoilant son cul et plus largement son entrejambe glabre, fendu d’un sexe court aux grandes lèvres quasi invisibles. Lorsqu’ils la lâchent, elle commence à tourner lentement sur elle-même, privée de contact à la terre. Les deux hommes se munissent alors de badines souples et ils commencent à accélérer sa rotation en lui frappant sans force excessive ses seins magnifiquement denses malgré leur volume, son ventre et ses cuisses. Elle pousse des petits cris qui évoquent aussi bien la jouissance que la douleur et des traces rosâtres s’impriment sur sa peau laiteuse. Après quelques minutes, ses bourreaux s’intéressent à ses cuisses, ses larges fesses rebondies et son dos à la taille bien marquée; et son sens de rotation change. Ses cris se font plus rauques et elle commence à se tordre en offrant une vision encore plus directe sur son intimité. Les deux hommes profitent pleinement de la scène puis, voyant son visage rond et doux se crisper, relâchent la corde de suspension pour lui permettre de prendre appui sur ses pieds et de moins souffrir. Le bucheron aménage l’attache des bras avec une nouvelle branche pour leur permettre de s’écarter un peu. Elle forme maintenant avec son corps potelé un X évocateur. La flagellation reprend en alternance avec des caresses appuyées sur les zones sensibles. Celles-ci deviennent de plus en plus caressantes et pénétrantes. Ses fesses, ses seins et l’intérieur de ses cuisses sont massés sans ménagement, son cul et sa vulve visités. Elle se pâme à demi et se tord sous les assauts puis finit de s’évanouir lorsqu’ils la pénètrent en double et commencent à s’agiter rapidement en elle.
Lorsqu’elle se réveille enfin, elle est étendue nue sur le sol, sans corde, sans bucheron dans le fondement ni d’Emile dans la vulve. Elle est sur le flanc comme si un secouriste l’avait disposée en position latérale de sécurité. Sa robe est posée à côté d’elle comme une invite, toutefois, lorsqu’elle l’enfile, Emile l’oblige à en ressortir ses superbes seins entre deux bretelles tendues à l’extrême. Les deux hommes se sont rhabillés et la contemplent avec un empressement suspect. Le bucheron l’aide à se rechausser en caressant ses mollets. Il la prend par la main et l’amène dans une cabane en bois toute proche : un local qui sert habituellement à stocker des outils mais qui est, elle, équipée d’un grand lit confortable. Il lui dit : « Voici ton lieu de soumission. Nous sommes tes maîtres. Tous les mercredis matin tu viendras nous retrouver ici en robe courte ou en nuisette, sans aucun sous-vêtement et te plieras à tous nos caprices. En hiver tu seras totalement nue sous ton manteau. Avant de venir tu enduiras ton cul de lubrifiant de façon à ce que nous puissions entrer en toi sans crier gare. Si nous ne sommes pas arrivés, tu finiras de te dénuder, enfileras le collier de chien posé sur la table de nuit et te positionneras à quatre pattes, sur le lit, cuisses écartées et orifices offerts. Par temps chaud tu feras la même chose sur la table de bois extérieure. Parfois nous enverrons des amis s’occuper de toi, tu leur obéiras comme à nous-mêmes. Si tu manques un seul de nos rendez-vous, je viendrai chez toi le dimanche suivant avec les photos que nous avons pris lorsque tu étais inconsciente, enfichée sur nos deux queues. J’expliquerai à ta famille quelle salope tu es en plein repas dominical. Maintenant tu nous appartiens et plus rien ne défera cela. M’as-tu compris, sac à foutre, jolie pute, gracieuse petite salope ? » Prudemment elle hoche positivement de la tête avec conviction et est immédiatement récompensée d’une grande claque sur les fesses.
Le mercredi suivant il fait une chaleur terrible. Personne n’est encore arrivé lorsqu’elle atteint la cabane. Elle ôte sa frêle vêture, s’équipe comme prévu et s’expose lubrique sur la table ombragée à cette heure. Le bûcheron arrive et lui prodigue une caresse distraite. Il se saisit d’une laisse, l’attache au collier et s’engage sur un sentier en de grandes enjambées. Bea trottine derrière lui aussi vite qu’elle peut pour éviter d’être étranglée. Au bout de quelques minutes ils arrivent dans un bruyant chantier de coupe où s’activent une dizaine d’ouvriers. A sa vue ils arrêtent immédiatement de travailler et un silence pesant s’installe. Les dix regards concupiscents convergent sur sa nudité exposée et elle fait un pas en arrière. La laisse se tend et elle comprend le message. Elle se pose à quatre pattes au sol et attend, toujours liée au bucheron. Quelques instants plus tard la sarabande commence. Son asservissement est total. Les hommes se succèdent sans se dévêtir dans sa bouche sa chatte et son cul. A de petits sexes succèdent de gigantesques bites qui violent sa gorge, remontent dans ses viscères, envahissent son vagin. Ils opèrent souvent à deux, parfois même à trois. Elle se soumet à tout « pour éviter que le collier ne l’étrangle »... Plus d’un lui claque les fesses avec vigueur. A deux exceptions près, ils éjaculent tous sur son visage ou son dos, la salissent et la traitent de « serpillère ». Elle est presque reconnaissante de recevoir quelques grandes giclées aux tréfonds de ses viscères. Ça la change ! Lorsqu’ils ont satisfait leur désir, ils la trainent par la laisse et l’obligent en riant à courir à quatre pattes dans tout le chantier, sale et humiliée, lui provoquant plein de petites écorchures aux mains et aux genoux. A la fin ils se calment et reprennent leur bruyante besogne. Content d’elle, son « maître » le manifeste d’une tape amicale sur son sexe et la relâche, la laissant retourner chez elle nue et gluante de foutre.
Le mercredi suivant, Emile l’a précédée avec deux amis. Ils ont amené une bouteille de whisky et des verres. Courtoisement ils l’invitent à s’asseoir et à boire après avoir extrait ses superbes loches de leur gangue de tissu et ceint son cou. Lorsqu’elle finit son verre, le maître la prie de se coucher nue à plat dos sur la table. Immédiatement les six mains prennent possession de sa bouche, de ses seins et de son sexe. Elle écarte au maximum ses bras et ses cuisses comme pour leur signifier qu’elle leur est totalement offerte. Quelques caresses s’égarent sur ses cuisses ou son ventre. Ses grandes lèvres sont largement écartées comme pour en découvrir l’anatomie. Tandis qu’un doigt se glisse dans son cul, son clitoris commence à être vigoureusement branlé, sa chatte remplie de plus en plus en profondeur de deux puis trois doigts mobiles, alors que ses tétons sont étrillés avec application. Bea sent le plaisir monter en elle. Deux appendices dilatent désormais son cul. Elle se tortille sans cesse en une gestuelle spontanée toujours plus inconvenante. Les caresses s’accélèrent et elle se désunit comme pour faciliter encore l’accès à ses organes déjà très exposés. Finalement, possédée par cette pieuvre à six bras, elle hurle de bonheur alors que son corps entier vibre de toutes ses terminaisons nerveuses, qui contractent et relâchent à une vitesse folle toute sa musculature. Il lui semble que l’intérieur de son corps est en feu. La cyprine détrempe ses cuisses, un filet de bave coule au coin de sa bouche. C’est un tel bonheur que le reste lui paraît amusement. Quand ses amants se dénudent, l’un d’entre eux se couche sur la table le vit dressé. Elle s’enfiche sur lui tandis qu’un autre entre bientôt en son cul. Elle suce ce pauvre Emile resté debout à côté d’eux. Elle est heureuse de les sentir tous les trois s’agiter puis se vider en elle et ressent du bonheur à les entendre jouir en se libérant de leur foutre. De tous ses trous, lorsqu’ils se retirent, coule un filet blanchâtre et gluant. Peu lui importe puisque son corps entier est dilaté, exhibé à tous les habitants de la forêt. Elle conçoit une grande fierté d’être enfin capable de se laisser aller à son penchant exhibitionniste dans des conditions plus extrêmes qu’elle ne l’avait jamais imaginé.
Et les mercredis succèdent aux mercredis, les outrages aux outrages, au point que ses différents sphincters, lèvres et cols restent à demi irrités semaine après semaines. Il n’est de jour sans qu’elle ressente les outrages à l’intérieur de son corps. Sa sexualité de couple lui paraît fade et elle essaie d’entrainer son mari sur des chemins qui le choquent. Elle finit par ne plus faire l’effort de le solliciter et attend ces moments intenses à la cabane avec envie. Une fois elle y est même venue nue, le corps orné de ses plus beaux bijoux, maquillée plus qu’à l’habitue, comme si elle voulait confirmer son nouveau statut. Dès qu’elle pense à ces étranges séances, elle salive et son ventre se tord. Elle pourrait détremper sa petite culotte si elle en mettait encore. Elle n’en a plus jamais enfilé depuis le début de cette aventure et s’est séparée de tout vêtement trop couvrant. Minijupes, débardeurs très échancrés et vestes courtes portées à même la peau sont devenus la base de son habillement. Elle ne supporte le tissu qu’à la condition qu’il lui donne le sentiment de rester nue et exposée aux regards lubriques. Ses tenues mettent superbement en valeur ses seins de rêve et son cul rebondi à damner un évêque. Ces séances de sexe sont devenues sa seule préoccupation et sa raison d’exister. Elle se donne toutes les raisons pour ne jamais en manquer une. Il faut dire que ses maitres varient à chaque fois les scénarios pour la satisfaire. Une ou deux fois, elle va leur demander la permission de s’absenter pour une courte période. Elle en supportera difficilement les conséquences et vivra ces moments comme de grands temps de manque. Au gré des mois, le nombre de participants à ces outrages ne cesse de grandir. Toute la forêt et ses alentours bruissent de ses exploits. La rumeur la rend bien plus salope qu’elle ne l’est et cela la ravit. Au village, elle rencontre parfois un de ses partenaires en s’enorgueillit de son regard lourd posé sur elle, mais personne n’ose l’interpeller sur ses activités du milieu de semaine.
Emile, après de nombreux mois de ces émouvants exercices, a quitté la région. Il repense souvent à Bea qui a su repousser si loin les limites, donner à voir le tréfonds d’une âme tourmentée par le sexe, et l’a entrainé vers des chemins inexplorés. Il n’a jamais retrouvé de partenaire capable d’un si total abandon et rêve souvent encore d’elle. Pour lui Bea n’est pas « une bonne salope » mais un fantastique objet de désir dont le manque le fait souffrir…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Emile
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...