Emilie et moi (1)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Emilie et moi (1)
Cette soirée étrange resta sans lendemain. Je sentais que le regard de certains avait
changé mais personne ne me parla de l'événement. Jusqu'a une nouvelle sortie de
classe.
Veille des vacances de Noel, nouveau repas. J'arrivais un peu en retard. Il ne restait
qu'une seule place en boute de table à coté d'Emilie. Elle passa une bonne partie du
repas a discuter avec sa voisine, m'ignorant ouvertement. Jusqu'a ce qu'elle me
demande si je voulais sortir fumer.
Dehors, assis sur un banc devant le restaurant, Emilie me demanda si je fumais, je lui
répondis que non, et comme elle non plus nous éclatâmes de rire. Ce petit stratagème
démasqué, elle pu me dire le but de tout cela: me mettre dans son lit.
Certes elle ne l'exprima pas aussi ouvertement, mais il fut tout à fait clair, quand
elle me posa sa deuxième question qu'elle avait une idée précise en tête.
- Tu comptes baiser une inconnue dans les chiottes après ce repas ?
- Non, non ce n'est pas du tout mon genre.
- Dommage. D'un autre cote je ne suis pas une inconnue donc....
- Donc quoi ? Je viens de te dire que je ne baise pas les inconnues, tu as donc
toutes tes chances.
Elle éclata de rire. Le second de la soirée. Un rire magnifique qui augurait du
meilleur. Elle se leva, me prit par la main et m'entraina a sa suite. La nuit était
froide, elle se serra contre moi et me demanda de lui raconter mes expériences
sexuelles car, si elle devait passer la nuit avec moi, elle voulait savoir si j'avais
du repondant.
- Tu risques d'être déçue dans ce cas. Avant la fille des toilettes je n'ai eu qu'une
aventure. Et c'était avec un garçon.
Je lui racontais alors mon histoire avec Marc. Je sentis son étreinte sur mon bras se
raffermir. Emilie était, je m'en rendis compte en arrivant au bout de mon histoire et
devant chez elle, la première personne à qui je parlais de Marc et de ce que nous
avions partagé. Elle pris mon visage entre ses mains et m'embrassa. Un long et profond
baiser. Aussi doux et intense que ceux que j'échangeais avec Marc. Elle me dit qu'elle
était seule chez elle ce soir et qu'elle détestait cela. De plus elle avait elle aussi
une histoire à me raconter.
"Tous les étés je passe quelques semaines a la campagne chez ma grand-mère avec mon
frère et parfois ma mère. J'y retrouve chaque année Sandra. Je ne peux pas dire que
c'est une amie. Bous passons du temps ensemble, nous faisons des balades en vélo, nous
baignons dans la rivière mais le reste de l'année nous ne nous parlons pas, ne nous
écrivons pas. Nous nous retrouvons avec plaisir et nous partageons ces quelques jours
d'été.
C'est un village un peu a l'écart mais il y a toit de même quelques touristes et
quelques jeunes qui y trainent. C'est là que j'ai connu ma première presque expérience
sexuelle. Avec un belge. Un truc limite glauque. Une pipe vite fait sur le parking de
la supérette. A la lueur d'un réverbère. Il a éjaculé en moins d'une minute. Je lui
ai recraché son foutre sur les pieds avant de partir en l'engueulant.
"Bref c'est une autre histoire. Mais comme l'incident c'était passe après le départ de
Sandra l'été précèdent je me fis une joie de le lui raconter lors de nos
retrouvailles. Elle rigola avec moi de bon coeur.
"L'été ressemblait aux autres. La routine de ces petits village a quelque chose de
rassurant. C'est donc en toute logique qu'arriva la fête du village quelques jours
avant le départ de Sandra. Nous y allâmes ensemble. Bal de village tout ce qu'il y a
de plus classique. Orchestre ringard. Lampions. Et jeunes qui boivent des bières
tièdes accoudés au comptoir en bois de la buvette. Nous dansions quandJe fis remarquer
à Sandra que l'un des types était mon belge ejaculateur précoce.
- On va lui faire mouiller son slip me dit-elle à l'oreille.
"Elle se pencha vers moi et m'embrassa à pleine bouche. J'opposais une résistance
minime quand je sentis sa langue forcer le barrage de mes lèvres. Et encore moins
quand sa langue joua avec la mienne. Nous nous séparâmes. Jetâmes un regard au groupe
de mecs bouche bée et partîmes en courant et en riant.
"Nous nous sommes arrêté quand la musique n'était plus qu'une rumeur lointaine. Nous
reprimes notre souffle. Je pris alors le visage de Sandra et lui rendit son baiser
avec encore plus de fougue.
- Merci, me dit-elle après que nous nous sommes séparée, j'avais peur que tu me gifle.
Ou pire que tu m'en veuille à mort et que tu ne me parles plus. Ça fait longtemps que
j'ai envie de t'embrasser.
Je l'écoutais sans rien dire. Je pensais la même chose qu'elle. Je sentais des
papillons dans mon ventre et ma culotte humide de penser a ce baiser. Moi aussi
j'avais envie d'elle. Elle me prit par la main et marchâmes jusqu'a une bâtisse
abandonnée au bord de la rivière. Nous y avions déjà bu et fumé. Il y avait des
matelas un peu sale.
"Le décor était loin d'être romantique mais nous nous en fichions. Sandra m'allongea
sur une serviette de plage qu'elle avait dans son sac. Elle se coucha sur moi. Je
sentis toit son corps contre le mien. Nous réprimes nos baiser. Ses mains se
glissèrent sous mon tee-shirt, remontèrent vers mes seins qu'elle caressèrent
doucement. J'avais posé les miennes sur ses fesses. Sans nous en rendre compte nous
nous retrouvâmes nues, nos vêtements éparpilles sur le sol. Sandra quitta ma bouche et
fit glisser ses lèvres sur mes seins, mon ventre pour enfin venir se poser sur mon
sexe dégoulinant de désir. Je frissonnais de plaisir au fur et à mesure qu'elle
explorait ma chatte de sa langue. Mon corps entier vibrait de ses caresses buccales.
Elle glissa un doigt en moi et me branla tout en me léchant jusqu'a ce que tout mon
corps se tende et que je pousse un long cri de jouissance. Je retombais sur le sol
comblée. Couverte de sueur.
"Sandra s'allongea a mes cotés. Attendit que je redescende de mon extase et guida ma
main vers son sexe. Je la branlais un moment tout en l'embrassant, goutant le jus de
ma chatte qu'elle gardait sur ses lèvres. Elle m'invita ensuite a descendre et lui
donner à mon tour du plaisir avec ma langue. Novice dans la pratique je tachais
d'imiter les gestes et caresses de Sandra.Me laissant guider par les réactions de mon
amante, je m'enhardissais, et lui bouffais la chatte avec délectation. J'aimais son
gout, son odeur. J'aimais sentir son corps réagir sous ma langue, sous mes doigts sui
explorait son intimité. J'aimais la sentir offerte à moi. A son tour elle éclata de
plaisir, et inonda la bouche de son jus.
"Nous étions en sueur toutes les deux. La poussière de la cabane s'accrochais a nos
peau.En courant nous traversâmes nue la foret pour nous jeter dans la rivière. Nous
étions heureuse et malgré la fraicheur de l'eau nous restâmes longtemps enlacées.
"Sandra est repartie la semaine suivante. Chaque jour nous avons fait l'amour.
Plusieurs fois par jour. Découvrant nos corps, nos envies, nos désirs. La nuit nous
allions dans la cabane. Parfois dans la journée nous nous risquions a baiser dans ma
chambre. Sandra, la veille de son départ me fit jouir dans les toilettes publiques.
"Je sais que je ne suis pas lesbienne. Après le départ de Sandra je me suis branlée en
pensant a elle. Dans notre cabane. Et un soir j'ai baisé avec un mecs. A l'arrière de
la voiture de ses parents. Sur un parking. C'était glauque.Je l'ai sucé après qu'il
m'a pris en levrette. Il m'a balancé son foutre sur les seins. Mais j'ai pris mon
pied. Pas de la même façon qu'avec Sandra. Ce que je sais, c'est que j'aime le sexe.
"Pour tout te dire, j'aime le fait que ta première expérience sexuelle ce soit passée
avec un mec. Et que tu te soit éclaté a baiser une inconnue dans des chiottes. Ça
m'excite un max. Et comme mon histoire a fini de te chauffer, sort ta bite que je te
suce"
changé mais personne ne me parla de l'événement. Jusqu'a une nouvelle sortie de
classe.
Veille des vacances de Noel, nouveau repas. J'arrivais un peu en retard. Il ne restait
qu'une seule place en boute de table à coté d'Emilie. Elle passa une bonne partie du
repas a discuter avec sa voisine, m'ignorant ouvertement. Jusqu'a ce qu'elle me
demande si je voulais sortir fumer.
Dehors, assis sur un banc devant le restaurant, Emilie me demanda si je fumais, je lui
répondis que non, et comme elle non plus nous éclatâmes de rire. Ce petit stratagème
démasqué, elle pu me dire le but de tout cela: me mettre dans son lit.
Certes elle ne l'exprima pas aussi ouvertement, mais il fut tout à fait clair, quand
elle me posa sa deuxième question qu'elle avait une idée précise en tête.
- Tu comptes baiser une inconnue dans les chiottes après ce repas ?
- Non, non ce n'est pas du tout mon genre.
- Dommage. D'un autre cote je ne suis pas une inconnue donc....
- Donc quoi ? Je viens de te dire que je ne baise pas les inconnues, tu as donc
toutes tes chances.
Elle éclata de rire. Le second de la soirée. Un rire magnifique qui augurait du
meilleur. Elle se leva, me prit par la main et m'entraina a sa suite. La nuit était
froide, elle se serra contre moi et me demanda de lui raconter mes expériences
sexuelles car, si elle devait passer la nuit avec moi, elle voulait savoir si j'avais
du repondant.
- Tu risques d'être déçue dans ce cas. Avant la fille des toilettes je n'ai eu qu'une
aventure. Et c'était avec un garçon.
Je lui racontais alors mon histoire avec Marc. Je sentis son étreinte sur mon bras se
raffermir. Emilie était, je m'en rendis compte en arrivant au bout de mon histoire et
devant chez elle, la première personne à qui je parlais de Marc et de ce que nous
avions partagé. Elle pris mon visage entre ses mains et m'embrassa. Un long et profond
baiser. Aussi doux et intense que ceux que j'échangeais avec Marc. Elle me dit qu'elle
était seule chez elle ce soir et qu'elle détestait cela. De plus elle avait elle aussi
une histoire à me raconter.
"Tous les étés je passe quelques semaines a la campagne chez ma grand-mère avec mon
frère et parfois ma mère. J'y retrouve chaque année Sandra. Je ne peux pas dire que
c'est une amie. Bous passons du temps ensemble, nous faisons des balades en vélo, nous
baignons dans la rivière mais le reste de l'année nous ne nous parlons pas, ne nous
écrivons pas. Nous nous retrouvons avec plaisir et nous partageons ces quelques jours
d'été.
C'est un village un peu a l'écart mais il y a toit de même quelques touristes et
quelques jeunes qui y trainent. C'est là que j'ai connu ma première presque expérience
sexuelle. Avec un belge. Un truc limite glauque. Une pipe vite fait sur le parking de
la supérette. A la lueur d'un réverbère. Il a éjaculé en moins d'une minute. Je lui
ai recraché son foutre sur les pieds avant de partir en l'engueulant.
"Bref c'est une autre histoire. Mais comme l'incident c'était passe après le départ de
Sandra l'été précèdent je me fis une joie de le lui raconter lors de nos
retrouvailles. Elle rigola avec moi de bon coeur.
"L'été ressemblait aux autres. La routine de ces petits village a quelque chose de
rassurant. C'est donc en toute logique qu'arriva la fête du village quelques jours
avant le départ de Sandra. Nous y allâmes ensemble. Bal de village tout ce qu'il y a
de plus classique. Orchestre ringard. Lampions. Et jeunes qui boivent des bières
tièdes accoudés au comptoir en bois de la buvette. Nous dansions quandJe fis remarquer
à Sandra que l'un des types était mon belge ejaculateur précoce.
- On va lui faire mouiller son slip me dit-elle à l'oreille.
"Elle se pencha vers moi et m'embrassa à pleine bouche. J'opposais une résistance
minime quand je sentis sa langue forcer le barrage de mes lèvres. Et encore moins
quand sa langue joua avec la mienne. Nous nous séparâmes. Jetâmes un regard au groupe
de mecs bouche bée et partîmes en courant et en riant.
"Nous nous sommes arrêté quand la musique n'était plus qu'une rumeur lointaine. Nous
reprimes notre souffle. Je pris alors le visage de Sandra et lui rendit son baiser
avec encore plus de fougue.
- Merci, me dit-elle après que nous nous sommes séparée, j'avais peur que tu me gifle.
Ou pire que tu m'en veuille à mort et que tu ne me parles plus. Ça fait longtemps que
j'ai envie de t'embrasser.
Je l'écoutais sans rien dire. Je pensais la même chose qu'elle. Je sentais des
papillons dans mon ventre et ma culotte humide de penser a ce baiser. Moi aussi
j'avais envie d'elle. Elle me prit par la main et marchâmes jusqu'a une bâtisse
abandonnée au bord de la rivière. Nous y avions déjà bu et fumé. Il y avait des
matelas un peu sale.
"Le décor était loin d'être romantique mais nous nous en fichions. Sandra m'allongea
sur une serviette de plage qu'elle avait dans son sac. Elle se coucha sur moi. Je
sentis toit son corps contre le mien. Nous réprimes nos baiser. Ses mains se
glissèrent sous mon tee-shirt, remontèrent vers mes seins qu'elle caressèrent
doucement. J'avais posé les miennes sur ses fesses. Sans nous en rendre compte nous
nous retrouvâmes nues, nos vêtements éparpilles sur le sol. Sandra quitta ma bouche et
fit glisser ses lèvres sur mes seins, mon ventre pour enfin venir se poser sur mon
sexe dégoulinant de désir. Je frissonnais de plaisir au fur et à mesure qu'elle
explorait ma chatte de sa langue. Mon corps entier vibrait de ses caresses buccales.
Elle glissa un doigt en moi et me branla tout en me léchant jusqu'a ce que tout mon
corps se tende et que je pousse un long cri de jouissance. Je retombais sur le sol
comblée. Couverte de sueur.
"Sandra s'allongea a mes cotés. Attendit que je redescende de mon extase et guida ma
main vers son sexe. Je la branlais un moment tout en l'embrassant, goutant le jus de
ma chatte qu'elle gardait sur ses lèvres. Elle m'invita ensuite a descendre et lui
donner à mon tour du plaisir avec ma langue. Novice dans la pratique je tachais
d'imiter les gestes et caresses de Sandra.Me laissant guider par les réactions de mon
amante, je m'enhardissais, et lui bouffais la chatte avec délectation. J'aimais son
gout, son odeur. J'aimais sentir son corps réagir sous ma langue, sous mes doigts sui
explorait son intimité. J'aimais la sentir offerte à moi. A son tour elle éclata de
plaisir, et inonda la bouche de son jus.
"Nous étions en sueur toutes les deux. La poussière de la cabane s'accrochais a nos
peau.En courant nous traversâmes nue la foret pour nous jeter dans la rivière. Nous
étions heureuse et malgré la fraicheur de l'eau nous restâmes longtemps enlacées.
"Sandra est repartie la semaine suivante. Chaque jour nous avons fait l'amour.
Plusieurs fois par jour. Découvrant nos corps, nos envies, nos désirs. La nuit nous
allions dans la cabane. Parfois dans la journée nous nous risquions a baiser dans ma
chambre. Sandra, la veille de son départ me fit jouir dans les toilettes publiques.
"Je sais que je ne suis pas lesbienne. Après le départ de Sandra je me suis branlée en
pensant a elle. Dans notre cabane. Et un soir j'ai baisé avec un mecs. A l'arrière de
la voiture de ses parents. Sur un parking. C'était glauque.Je l'ai sucé après qu'il
m'a pris en levrette. Il m'a balancé son foutre sur les seins. Mais j'ai pris mon
pied. Pas de la même façon qu'avec Sandra. Ce que je sais, c'est que j'aime le sexe.
"Pour tout te dire, j'aime le fait que ta première expérience sexuelle ce soit passée
avec un mec. Et que tu te soit éclaté a baiser une inconnue dans des chiottes. Ça
m'excite un max. Et comme mon histoire a fini de te chauffer, sort ta bite que je te
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