Emilie et moi (3)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Emilie et moi (3)
Les vacances de Noel passèrent. Elles furent longues tant Emilie avait marqué ma mémoire. Et mon corps. Le simple souvenir de notre première nuit provoquait une érection que j'étais obligé de soulager d'une branlette. A la rentrée je la retrouvais et sans attendre elle vint m'embrasser. Notre couple était officialisé aux yeux de tous.. Elle me raconta ses vacances qui ressemblait aux miennes. Nous nous étions tous les deux fait jouir en pensant à l’autre.
Si nous restions discret devant les autres, nos envies étaient insatiables. Il nous fallait nous voir chaque jour pour faire l’amour. Mais, très vite il nous fallut pimenter nos ébats. Emilie proposa un jour que nous sortions de nos chambre et d’aller dans des endroits public.
La première fois eu lieu lors d’une des première belle journée de printemps. Le lycée était presque désert pendant la pause de midi. Nos camarades ayant décidé de profiter du soleil revenu pour aller déjeuner dans un jardin public tout proche. Emilie et moi pretextâmes un travail à finir pour rester. Une fois tout le sorti, j'allais dans les toilettes du dernier étage. Un endroit calme où Emilie me rejoint. J'entendis la porte s'ouvrir et une main gratter la cloison de ma cabine.
- Tu es occupé ou je peux entrer te sucer
La proposition était trop belle pour que je décline. Je la laissais entrer. Elle referma le verrou et me poussa sur la cuvette. Elle se mit a genou, déboutonna ma braguette sortit ma bite et commença a me sucer comme elle savait si bien le faire. Elle se caressais en même temps.
Elle du s'interrompre lorsqu'un "intrus" pénétra dans les toilettes. Je me plaquais une mai sur la bouche. Emilie retenais son souffle après avoir laisse tombe ma bite. Un bruit de chasse d'eau et de robinet marqua la fin de la visite de notre inconnu qui ne semblait pas s'être inquiété de notre présence. Une fois de nouveau seul Emilie se jeta sur moi. Plus chaude que jamais.
- Baises moi, baise moi fort, baises moi comme jamais, dit-elle en se retenant de hurler.
Elle s'empala sur moi. Son sexe était chaud, plus humide que jamais. L'excitation était a son comble. Le risque de se faire prendre décuplait nos pulsions. L'intrusion de l'inconnu l'avait rendue concrète.
Emilie se tendit, se plaqua une main pour ne pas hurler son plaisir. Je sentais sa chatte se contracter par vague sur ma bite et ne pus me retenir de jouir en elle. Elle m'embrassa. Me serra dans ses bras. En se levant elle tenta de retenir mon sperme dans sa main mais il en tomba sur le sol. Preuve de notre passage. Nous aurions aimé le laisser là. Par provocation.
Si nos jeu sexuel par la suite furent à chaque fois intense nous avions du mal a retrouver l'excitation de cette baise dans les toilettes. Pas question pourtant dans faire une habitude.
Nous sortîmes au cinéma Emilie et moi un soir. La salle était clairsemée. Dans notre rangée un couple s'était installé a six ou sept fauteuils de nous. Le film débuta. J´étais plongé dedans quand la main d.Emilie vint se poser sur mon entre jambe. Je tournais la tête vers elle. Elle ne bougea pas son regard toujours fixé sur l'écran. Elle me massait la bite au travers du tissu jusqu'a ce que je bande. Alors elle défit les bouton de ma braguette et alla chercher mon membre dur pour le branler. Le film ne m'intéressais plus du tout. Je regardais discrètement autour de moi mais personne ne semblait avoir repérer le petit jeu de ma branleuse. Elle continua doucement tout en ne quittant pas le film, se calant sur ma respiration pour augmenter petit a petit le rythme. Je retenais un cri lorsque je fini par éjaculer dans la main. Le sperme coula entre ses doigts, sur mon jean, et comme je le découvris ensuite un jet avait frappé le dossier en velours du siège devant moi. Emilie suça ses doigts couvert de foutre. Elle n'avait pas quitté l'écran des yeux une seule seconde.
- C'était bien, me demanda-t-elle en sortant du cinéma ?
- le film pas trop. Le reste super.
Elle m'embrassa et nous partîmes main dans la main jusque chez elle où bien entendu nous fîmes l'amour.
Emilie fit longtemps de la danse et son corps en portait les traces. Grande, fine, élégante. Et elle savait jouer de son corps pas simplement en juste au corps.
Je la regardais depuis les coulisses. J'admirais sa chorégraphie et la façon dont son juste au corps mettait en valeur son cul et ses seins. Quand elle sorti de scène elle se jeta dans mes bras pour m'embrasser. Je la pris par la main et sans lui dire un mot je la conduisis dans un coin des coulisses que j'avais repéré plus tôt. Je l'embrassais, lui ôtais sa tenue de scène qui je laissais glisser jusqu'a ses chevilles, ouvris ma braguette, sortis ma bite et après avoir retourne Emilie contre le mur la pénétrais sans préliminaire. Elle gémit lors de min premier coup de rein. Dans la pénombre de l'endroit je regrettais de ne pas voir ses seins balloter a chaque coup de bite, mais les petits cris qu'elle poussait compensaient cela. Tout comme l'excitation de la baiser ainsi, en risquant a tout moment de se faire surprendre. Je la sentis se tendre comme une arc juste avant de jouir. J'éjaculais en sentant sa chatte se contracter autour de mon sexe. Mon foutre lui coula le long des jambes. Elle s'essuya avant de remonter ses collants. Elle m'embrassa et me remercia avant de rejoindre ses copines en me demandant qu'elle excuse elle trouverait pour les taches sur ses collants.
Si nous restions discret devant les autres, nos envies étaient insatiables. Il nous fallait nous voir chaque jour pour faire l’amour. Mais, très vite il nous fallut pimenter nos ébats. Emilie proposa un jour que nous sortions de nos chambre et d’aller dans des endroits public.
La première fois eu lieu lors d’une des première belle journée de printemps. Le lycée était presque désert pendant la pause de midi. Nos camarades ayant décidé de profiter du soleil revenu pour aller déjeuner dans un jardin public tout proche. Emilie et moi pretextâmes un travail à finir pour rester. Une fois tout le sorti, j'allais dans les toilettes du dernier étage. Un endroit calme où Emilie me rejoint. J'entendis la porte s'ouvrir et une main gratter la cloison de ma cabine.
- Tu es occupé ou je peux entrer te sucer
La proposition était trop belle pour que je décline. Je la laissais entrer. Elle referma le verrou et me poussa sur la cuvette. Elle se mit a genou, déboutonna ma braguette sortit ma bite et commença a me sucer comme elle savait si bien le faire. Elle se caressais en même temps.
Elle du s'interrompre lorsqu'un "intrus" pénétra dans les toilettes. Je me plaquais une mai sur la bouche. Emilie retenais son souffle après avoir laisse tombe ma bite. Un bruit de chasse d'eau et de robinet marqua la fin de la visite de notre inconnu qui ne semblait pas s'être inquiété de notre présence. Une fois de nouveau seul Emilie se jeta sur moi. Plus chaude que jamais.
- Baises moi, baise moi fort, baises moi comme jamais, dit-elle en se retenant de hurler.
Elle s'empala sur moi. Son sexe était chaud, plus humide que jamais. L'excitation était a son comble. Le risque de se faire prendre décuplait nos pulsions. L'intrusion de l'inconnu l'avait rendue concrète.
Emilie se tendit, se plaqua une main pour ne pas hurler son plaisir. Je sentais sa chatte se contracter par vague sur ma bite et ne pus me retenir de jouir en elle. Elle m'embrassa. Me serra dans ses bras. En se levant elle tenta de retenir mon sperme dans sa main mais il en tomba sur le sol. Preuve de notre passage. Nous aurions aimé le laisser là. Par provocation.
Si nos jeu sexuel par la suite furent à chaque fois intense nous avions du mal a retrouver l'excitation de cette baise dans les toilettes. Pas question pourtant dans faire une habitude.
Nous sortîmes au cinéma Emilie et moi un soir. La salle était clairsemée. Dans notre rangée un couple s'était installé a six ou sept fauteuils de nous. Le film débuta. J´étais plongé dedans quand la main d.Emilie vint se poser sur mon entre jambe. Je tournais la tête vers elle. Elle ne bougea pas son regard toujours fixé sur l'écran. Elle me massait la bite au travers du tissu jusqu'a ce que je bande. Alors elle défit les bouton de ma braguette et alla chercher mon membre dur pour le branler. Le film ne m'intéressais plus du tout. Je regardais discrètement autour de moi mais personne ne semblait avoir repérer le petit jeu de ma branleuse. Elle continua doucement tout en ne quittant pas le film, se calant sur ma respiration pour augmenter petit a petit le rythme. Je retenais un cri lorsque je fini par éjaculer dans la main. Le sperme coula entre ses doigts, sur mon jean, et comme je le découvris ensuite un jet avait frappé le dossier en velours du siège devant moi. Emilie suça ses doigts couvert de foutre. Elle n'avait pas quitté l'écran des yeux une seule seconde.
- C'était bien, me demanda-t-elle en sortant du cinéma ?
- le film pas trop. Le reste super.
Elle m'embrassa et nous partîmes main dans la main jusque chez elle où bien entendu nous fîmes l'amour.
Emilie fit longtemps de la danse et son corps en portait les traces. Grande, fine, élégante. Et elle savait jouer de son corps pas simplement en juste au corps.
Je la regardais depuis les coulisses. J'admirais sa chorégraphie et la façon dont son juste au corps mettait en valeur son cul et ses seins. Quand elle sorti de scène elle se jeta dans mes bras pour m'embrasser. Je la pris par la main et sans lui dire un mot je la conduisis dans un coin des coulisses que j'avais repéré plus tôt. Je l'embrassais, lui ôtais sa tenue de scène qui je laissais glisser jusqu'a ses chevilles, ouvris ma braguette, sortis ma bite et après avoir retourne Emilie contre le mur la pénétrais sans préliminaire. Elle gémit lors de min premier coup de rein. Dans la pénombre de l'endroit je regrettais de ne pas voir ses seins balloter a chaque coup de bite, mais les petits cris qu'elle poussait compensaient cela. Tout comme l'excitation de la baiser ainsi, en risquant a tout moment de se faire surprendre. Je la sentis se tendre comme une arc juste avant de jouir. J'éjaculais en sentant sa chatte se contracter autour de mon sexe. Mon foutre lui coula le long des jambes. Elle s'essuya avant de remonter ses collants. Elle m'embrassa et me remercia avant de rejoindre ses copines en me demandant qu'elle excuse elle trouverait pour les taches sur ses collants.
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