Émilie joue les entremetteuses pour Christiane en recherche de sensations.
Récit érotique écrit par André Bernard24 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Émilie joue les entremetteuses pour Christiane en recherche de sensations.
Depuis notre soirée en club avec Christiane la femme de mon patron, elle n’avait de cesse de me faire part de l’intense jouissance qu’elle avait éprouvée et qui lui manquait terriblement.
Daniel et moi avions un principe. Nos aventures érotiques et sensuelles avec de nouveaux partenaires devaient rester uniques et sans suite.
Notre relation, avec la femme de mon patron, pour nous, n’était plus désormais qu’un tendre souvenir.
Pour autant la situation affective de Christiane était revenue au point de départ. Un mari toujours en déplacement, et qui ne la faisait plus « grimper aux rideaux » depuis bien des années.
Elle me confiait que la soirée où nous lui avions fait découvrir les plaisirs de la sodomie, hantait ces nuits.
• — Tu sais Émilie, les nombreuses nuits où je suis seule, je me caresse et me donne un plaisir solitaire en repensant à l’immense plaisir que vous m’avez procuré, toi et Dan.
• — Je sais Christiane, mais comme je te l’ai dit, nous ne renouvellerons jamais cette soirée qui doit rester unique.
• — Je suis tellement en manque de sexe Émilie, si tu savais.
• — Je sais laisse-moi quelques jours, promis, je ne t’abandonnerai pas.
• — Vous êtes tellement gentils Dan et toi.
L’IDÉE D’UNE SOIRÉE RÉUNISSANT NOS DEUX COPAINS ET CHRISTIANE
Le soir même, je faisais part à Daniel du désarroi affectif de Christiane.
• — Tu sais chéri, je suis un peu désemparée devant cette femme qui implore des relations intimes que son mari ne lui offre plus.
-C’est simple mon ange, trouvons-lui un partenaire.
• — Tu crois, pas si simple tu penses à quelqu’un en particulier.
• — Ben Christiane à 45 ans et Claude et Jean ne cessent de nous rabattre les oreilles avec leur attirance pour les femmes mûres. En plus, à ma connaissance ils n’ont jamais franchi le pas.
• — Tu la vois plutôt avec Claude ou Jean.
• — Les deux. Qui peut le plus peu le moins.
• — Tu es sérieux, c’est chaud non. Tu vois ça comment.
• — Eh bien, nous organisons un repas bien arrosé ici. Après coupe de champagne en main, nous proposons un petit jeu ludique dont j’ai le secret.
• — Ouah, ça m’excite grave. Tu en parles avec eux, je me charge de préparer Christiane.
Le lendemain, Dan avait vanté la beauté de la belle mâture à nos deux amis. De mon côté pendant la pose de midi j’en parlais à Christiane.
Christiane.
• — Tu confirmes que Patrick est bien absent pour la quinzaine.
• — Oui pourquoi ?
• — Nous organisons un repas entre amis avec Dan. Tu pourrais te joindre à nous.
• — Pourquoi pas, qui sera présent ?
• — Tu n’as pas été déçu par ta première soirée avec nous. Laisse-nous te faire la surprise. Tu ne seras pas déçu. Fais-toi belle et viens à la maison vendredi soir pour 20 h.
• — Tu as raison Émilie, je me pose bien trop de questions. C’est d’accord, je me ferais délicieusement attirante et je serais à l’heure. Vous connaissant, je suis déjà fébrile à l’idée de cette soirée surprise.
LA RENCONTRE DE NOS AMIS AVEC LA BELLE MATURE
Dans les années 70 la mode était aux salons poires. En simili-cuir, ils étaient remplis de bille de polystyrène et existaient en fauteuil ou mini-banquettes deux ou trois places. Notre salon disposait des trois.
J’étais dans l’un des fauteuils, confortablement installée, je pensais à la réaction de Christiane à la vue de nos deux invités masculins.
Claude à 23 ans n’était pas très grand. Brun aux yeux gris, il était doté de larges épaules, et de pectoraux dont les tétons dardaient toujours au travers de ses teeshirts serrés. Ses pantalons fuseaux mettaient en valeur un petit cul et laissaient deviner parfois les formes d’un phallus gourmand.
Jean lui avait 25 ans. C’était un grand et beau blond aux yeux bleus. Sportif, il faisait penser à ces statues grecques qui font souvent rêver certaines femmes.
Bien que séduisant, je n’avais jamais éprouvé pour eux aucune quelconque attirance. Ils étaient pour nous simplement deux bons copains.
Je sortais de ma rêverie à l’arrivée de nos deux compères qui me claquaient la bise.
• — Alors Émilie, Dan nous a vanté les charmes de la compagne de ton patron.
• — Tu sais Jean, c’est une amie et elle traverse en ce moment la crise de la quarantaine
• — Ne t’inquiètes pas, nous allons être si gentils et si prévenants, que nous allons lui faire passer une bonne soirée.
• — Je n’en doute pas Claude.
LA CHAUDE SOIRÉE
À ce moment j’entendais Daniel dans le couloir qui accueillait Christiane. Sa tenue était au-delà de mes espérances.
Un maquillage divin, ses cheveux longs tombaient sur ses épaules laissées nues par son chemisier blanc. Par transparence il nous laissait deviner ses deux seins dont les larges aréoles mettaient en avant les arrogants petits tétons dressés.
Chris avait choisi une jupe noire, d’un style asiatique évident, qui lui arrivait à mi-cuisses.
Elle était ornée d’un dragon brodé d’or. Sa flamme soulignait la longue fente du tissu, qui découvrait totalement sa cuisse droite jusqu’à la naissance de sa culotte de satin rouge.
Elle n’avait pas mis de bas. Ses longues jambes nues étaient soulignées par deux escarpins à talons hauts bleu nuit, qui ajourés nous laissaient voir ses jolies doigt de pieds finement manucurés.
• — Bonjour, je suis Christiane, très heureuse de faire votre connaissance.
• — Bienvenue je suis Jean enchanté de vous rencontrer. Daniel m’avait parlé de votre beauté, il était en-dessous de la vérité
• — Moi c’est Claude, la vérité Christiane, c’est que même en rêve je n’imaginais pas une beauté si envoutante que la vôtre.
• — Eh bien dites donc, notre couple d’amis m’avait caché votre présence à cette soirée. M’assurant que j’aurais une agréable surprise. Franchement je ne suis pas déçue.
• — Allez les amis installez donc Christiane entre-vous, pour prendre l’apéritif.
• — Ouah tes fauteuils sont redoutables Émilie.
Dans un fou rire généralisé, Christiane s’était retrouvée les jambes en l’air en prenant place dans la banquette poire trois places.
Nos deux compères s’étaient empressés de la rattraper, non sans profiter de poser leurs mains sur l’adorable créature.
Manifestement Chris ton retourné acrobatique à séduit tes deux chevaliers servants.
Effectivement Daniel, c’est bien la première fois que j’ai deux hommes à mes pieds.
Le repas s’était déroulé merveilleusement bien, ponctué par les blagues des hommes. Daniel me lançait des coups d’œils discrets m’indiquant que nos deux amis dévoraient des yeux Christiane qui manifestement était sous le charme.
J’invitais tout le monde à rejoindre le salon avec un alcool de poire redoutable qui venait de la ferme de ma grand-mère.
Daniel s’adressa alors à l’assistance.
UN PETIT JEU ENTRE AMIS
Les amis un peu d’attention. Ce soir Christiane, avec tes innombrables questions à l’adresse de Jean et de Claude, je suppose que tu les connais parfaitement.
Parfaitement je ne sais pas, mais en tout cas je connais bien leurs différences au travers de nos sympathiques échanges.
OK mais serais-tu capable de les reconnaître dans le noir ?
Comment ça dans le noir, tu m’intrigues Daniel ?
Serais-tu d’accord pour te prêter à un petit jeu, dont je serai l’animateur ?
Après ce que nous avons vécu, je te fais confiance.
OK alors mets toi debout, face à nos deux amis tu peux me dire qui est à ta droite et à ta gauche ?
Dan tu es sérieux ! À ma gauche Jean à ma droite Claude.
Daniel passait derrière elle et lui installait sur les yeux un bandeau de satin noir. Puis il me faisait signe pour démarrer le petit jeu que nous avions mis au point. Je faisais silencieusement signe à nos amis de se lever et de se positionner devant Christiane. Installer entre-eux je leur chuchotais à l’oreille
• — Mettez-vous entièrement nus.
Daniel leur adressait un signe de tête pour qu’ils s’exécutent.
Je découvrais alors chez Claude, une belle paire de testicules velus, surmonté d’un pénis pas très long mais dont la circonférence était importante.
Jean lui affichait des couilles parfaitement épilées, surmonté par un sexe long et fin.
Christiane, tu vas devoir reconnaître Jean et Claude au toucher pour ce faire, je vais guider tes mains. Tu me diras alors qui tu reconnais
OK Daniel
Daniel guidait alors sa main gauche sous les couilles de Nicolas et sa main droite sous celle de Jean
Oh non c’est trop chou Dan, ton jeu est excitant à souhait. Je dirais Jean à gauche Claude à droite
Faux ma belle, alors je vais t’aider
Daniel lui enlevait délicatement son chemisier laissant ses magnifiques seins à portée de main de nos deux mâles. Je les invitais alors, à sucer les petits tétons qui se dressaient, tout comme l’érection qui animait leurs sexes.
Christiane les mains dans la chevelure des deux gourmands gémissait
Hum, comme c’est bon, vos langues sont douces et chaudes.
Daniel dégrafait sa superbe jupe qui laissait la belle uniquement parée de sa culotte de satin et de ses escarpins à talons hauts.
Puis il laissait l’initiative à nos deux amis, m’invitant à m’installer à ses côtés sur le tapis.
Immédiatement Jean s’installait dans le dos de Christiane. Il caressait ses seins de sa main gauche. De la droite, index et petit doigt recourbé sur chaque fesse, son majeur et annulaire regroupés, titillaient sa chatte et son petit œillet brun.
J’avais encore l’image de Daniel à qui j’avais offert le privilège d’investir pour la toute première fois l’anus de notre amie.
Claude à genoux, léchait les lèvres humides du sexe de la belle. Il aspirait délicieusement le petit bouton rose qui sortait de son écrin, pour rouler sous cette langue gourmande.
• — Jean se penchait alors vers l’oreille de cette femme dont il avait si souvent rêvé.
• — Mets-toi à genoux ma beauté s’il te plait.
Christiane s’exécutait. Immédiatement, les deux lascars présentaient leurs sexes en totale érection devant ses lèvres humides.
Elle prenait sans hésitation ses verges qui s’offraient à elle.
Elle décalottait délicatement leurs glands turgescents, pour les glisser ensemble et amoureusement dans sa bouche accueillante.
Ouah, tu es fantastique Christiane, tu vois ça Jean
Oui Claude, elle mérite bien qui nous lui enlevions son bandeau.
Tu as raison, je veux voir ses jolis yeux pendant cette merveilleuse fellation, ta bouche est chaude et douce ma belle.
Merci, vous êtes adorables et je vois enfin vos jolies queues. Prenez ma gorge je brûle de désir.
Daniel et moi nous étions mis à l’aise, dévêtus nous nous caressions assistant à ce merveilleux spectacle de nos amis enfonçant leurs verges de plus en plus profondément dans la gorge de Christiane. Elle caressait de ses mains gourmandes leurs testicules avides de plaisirs.
• — Mes beaux amants venez, prenez-moi, venez.
Claude s’allongeait alors sur le tapis, son sexe pointait fièrement vers le ciel.
- Viens sur moi ma belle, chevauche-moi ma douce.
Christiane s’installait à califourchon sur lui. Elle écartait les lèvres de sa chatte, afin de faire pénétrer le gland luisant de Claude au plus profond de son vagin.
Cette lente et délicieuse pénétration s’accompagnait de petits gémissements doublés de paroles d’excitations.
- Hum, elle est grosse et chaude ta queue mon Claude. Baise-moi, baise moi fort.
Claude la tenait fermement par les hanches et lui offrait de larges coups de reins projetant profondément son sexe au fond de son vagin qui ruisselait de plaisir.
Ses mains se posaient à présent sur ses deux fesses qu’il écartait au maximum.
Il offrait ainsi, une vue imprenable à son copain Jean, sur la raie culière de la belle dont le petit anus frémissait.
Jean masturbait très lentement sa longue et fine verge. Ses yeux étaient hypnotisés par cette vue d’un érotisme torride. Il s’approchait de ce magnifique cul qui lui faisait face.
Il se penchait en avant, et administrait à Christiane un anulingus, dont il avait le secret. De sa langue, il décrivait de petits cercles sur l’œillet brun.
Christiane, forte de sa première expérience, par de petites poussées, ouvrait sa corolle en une véritable invitation à la pénétration.
Christiane, tu es la première femme qui m’offre ce trésor.
• — Viens Jean, viens vite.
Jean tendrement positionnait son gland qui pénétrait sans peine au fond de ce puits d’amour.
• — Ton cul est merveilleux, chaud et serré
• — Viens à fond viens encule-moi oui, comme ça encore oui
J’étais maintenant allongée sur le dos, ma main gauche touchait celle de Christiane. Dan m’avait relevé les jambes me tenant par les chevilles, son sexe faisait de grands allers-retours dans ma chatte qui ruisselait de bonheur. Ses mains descendaient sous mes genoux qui touchaient mes seins. Il pouvait ainsi me pénétrer au plus profond, je sentais avec bonheur ses testicules frappés mes fesses.
Je sentais la main de Christiane me serrer au rythme de la double pénétration dont ses deux amants la gratifiaient.
Notre salon n’était plus que gémissements et mes narines frémissaient du mélange de nos parfums et de ses effluves de sexes qui décuplaient les plaisirs de notre petit groupe de jouisseurs.
Notre trio se libérait de leur jouissance dans de longs gémissements de plaisir.
Claude inondait généreusement la matrice de Christiane. Jean lui tapissait l’anus à plusieurs reprises, projetant en déculant, un jet dernier jet de sperme habillant le dos de la belle jusqu’à la naissance de la nuque.
Daniel éjaculait à plusieurs reprises dans ma chatte et sexe à la main, gratifiait mes seins d’une dernière giclée douce et chaude.
Le salon après avoir résonné de nos cris de jouissance, ne faisait plus entendre que nos respirations courtes.
Je voyais les yeux de nos trois amis humides et brillants. Nul besoin de mots pour comprendre que par ces regards, ils nous remerciaient de les avoir conviés à cette soirée. Christiane nous dit :
• — Dan, Émilie, vous en avez d’autres des jeux comme ça.
• — Ne soit pas si curieuse, laisse-nous nos petits secrets
• — En tout cas je vois que Jean et Claude ont apprécié cette partie
• — Allez les amis douche et champagne pour tous.
Une fois de plus en évoquant ce souvenir, Daniel et moi sommes convaincus que la jouissance et l’épanouissement se trouve dans le partage amoureux.
Ce goût du partage allait nous amener dans de nouvelles aventures érotiques et sexuelles.
Daniel et moi avions un principe. Nos aventures érotiques et sensuelles avec de nouveaux partenaires devaient rester uniques et sans suite.
Notre relation, avec la femme de mon patron, pour nous, n’était plus désormais qu’un tendre souvenir.
Pour autant la situation affective de Christiane était revenue au point de départ. Un mari toujours en déplacement, et qui ne la faisait plus « grimper aux rideaux » depuis bien des années.
Elle me confiait que la soirée où nous lui avions fait découvrir les plaisirs de la sodomie, hantait ces nuits.
• — Tu sais Émilie, les nombreuses nuits où je suis seule, je me caresse et me donne un plaisir solitaire en repensant à l’immense plaisir que vous m’avez procuré, toi et Dan.
• — Je sais Christiane, mais comme je te l’ai dit, nous ne renouvellerons jamais cette soirée qui doit rester unique.
• — Je suis tellement en manque de sexe Émilie, si tu savais.
• — Je sais laisse-moi quelques jours, promis, je ne t’abandonnerai pas.
• — Vous êtes tellement gentils Dan et toi.
L’IDÉE D’UNE SOIRÉE RÉUNISSANT NOS DEUX COPAINS ET CHRISTIANE
Le soir même, je faisais part à Daniel du désarroi affectif de Christiane.
• — Tu sais chéri, je suis un peu désemparée devant cette femme qui implore des relations intimes que son mari ne lui offre plus.
-C’est simple mon ange, trouvons-lui un partenaire.
• — Tu crois, pas si simple tu penses à quelqu’un en particulier.
• — Ben Christiane à 45 ans et Claude et Jean ne cessent de nous rabattre les oreilles avec leur attirance pour les femmes mûres. En plus, à ma connaissance ils n’ont jamais franchi le pas.
• — Tu la vois plutôt avec Claude ou Jean.
• — Les deux. Qui peut le plus peu le moins.
• — Tu es sérieux, c’est chaud non. Tu vois ça comment.
• — Eh bien, nous organisons un repas bien arrosé ici. Après coupe de champagne en main, nous proposons un petit jeu ludique dont j’ai le secret.
• — Ouah, ça m’excite grave. Tu en parles avec eux, je me charge de préparer Christiane.
Le lendemain, Dan avait vanté la beauté de la belle mâture à nos deux amis. De mon côté pendant la pose de midi j’en parlais à Christiane.
Christiane.
• — Tu confirmes que Patrick est bien absent pour la quinzaine.
• — Oui pourquoi ?
• — Nous organisons un repas entre amis avec Dan. Tu pourrais te joindre à nous.
• — Pourquoi pas, qui sera présent ?
• — Tu n’as pas été déçu par ta première soirée avec nous. Laisse-nous te faire la surprise. Tu ne seras pas déçu. Fais-toi belle et viens à la maison vendredi soir pour 20 h.
• — Tu as raison Émilie, je me pose bien trop de questions. C’est d’accord, je me ferais délicieusement attirante et je serais à l’heure. Vous connaissant, je suis déjà fébrile à l’idée de cette soirée surprise.
LA RENCONTRE DE NOS AMIS AVEC LA BELLE MATURE
Dans les années 70 la mode était aux salons poires. En simili-cuir, ils étaient remplis de bille de polystyrène et existaient en fauteuil ou mini-banquettes deux ou trois places. Notre salon disposait des trois.
J’étais dans l’un des fauteuils, confortablement installée, je pensais à la réaction de Christiane à la vue de nos deux invités masculins.
Claude à 23 ans n’était pas très grand. Brun aux yeux gris, il était doté de larges épaules, et de pectoraux dont les tétons dardaient toujours au travers de ses teeshirts serrés. Ses pantalons fuseaux mettaient en valeur un petit cul et laissaient deviner parfois les formes d’un phallus gourmand.
Jean lui avait 25 ans. C’était un grand et beau blond aux yeux bleus. Sportif, il faisait penser à ces statues grecques qui font souvent rêver certaines femmes.
Bien que séduisant, je n’avais jamais éprouvé pour eux aucune quelconque attirance. Ils étaient pour nous simplement deux bons copains.
Je sortais de ma rêverie à l’arrivée de nos deux compères qui me claquaient la bise.
• — Alors Émilie, Dan nous a vanté les charmes de la compagne de ton patron.
• — Tu sais Jean, c’est une amie et elle traverse en ce moment la crise de la quarantaine
• — Ne t’inquiètes pas, nous allons être si gentils et si prévenants, que nous allons lui faire passer une bonne soirée.
• — Je n’en doute pas Claude.
LA CHAUDE SOIRÉE
À ce moment j’entendais Daniel dans le couloir qui accueillait Christiane. Sa tenue était au-delà de mes espérances.
Un maquillage divin, ses cheveux longs tombaient sur ses épaules laissées nues par son chemisier blanc. Par transparence il nous laissait deviner ses deux seins dont les larges aréoles mettaient en avant les arrogants petits tétons dressés.
Chris avait choisi une jupe noire, d’un style asiatique évident, qui lui arrivait à mi-cuisses.
Elle était ornée d’un dragon brodé d’or. Sa flamme soulignait la longue fente du tissu, qui découvrait totalement sa cuisse droite jusqu’à la naissance de sa culotte de satin rouge.
Elle n’avait pas mis de bas. Ses longues jambes nues étaient soulignées par deux escarpins à talons hauts bleu nuit, qui ajourés nous laissaient voir ses jolies doigt de pieds finement manucurés.
• — Bonjour, je suis Christiane, très heureuse de faire votre connaissance.
• — Bienvenue je suis Jean enchanté de vous rencontrer. Daniel m’avait parlé de votre beauté, il était en-dessous de la vérité
• — Moi c’est Claude, la vérité Christiane, c’est que même en rêve je n’imaginais pas une beauté si envoutante que la vôtre.
• — Eh bien dites donc, notre couple d’amis m’avait caché votre présence à cette soirée. M’assurant que j’aurais une agréable surprise. Franchement je ne suis pas déçue.
• — Allez les amis installez donc Christiane entre-vous, pour prendre l’apéritif.
• — Ouah tes fauteuils sont redoutables Émilie.
Dans un fou rire généralisé, Christiane s’était retrouvée les jambes en l’air en prenant place dans la banquette poire trois places.
Nos deux compères s’étaient empressés de la rattraper, non sans profiter de poser leurs mains sur l’adorable créature.
Manifestement Chris ton retourné acrobatique à séduit tes deux chevaliers servants.
Effectivement Daniel, c’est bien la première fois que j’ai deux hommes à mes pieds.
Le repas s’était déroulé merveilleusement bien, ponctué par les blagues des hommes. Daniel me lançait des coups d’œils discrets m’indiquant que nos deux amis dévoraient des yeux Christiane qui manifestement était sous le charme.
J’invitais tout le monde à rejoindre le salon avec un alcool de poire redoutable qui venait de la ferme de ma grand-mère.
Daniel s’adressa alors à l’assistance.
UN PETIT JEU ENTRE AMIS
Les amis un peu d’attention. Ce soir Christiane, avec tes innombrables questions à l’adresse de Jean et de Claude, je suppose que tu les connais parfaitement.
Parfaitement je ne sais pas, mais en tout cas je connais bien leurs différences au travers de nos sympathiques échanges.
OK mais serais-tu capable de les reconnaître dans le noir ?
Comment ça dans le noir, tu m’intrigues Daniel ?
Serais-tu d’accord pour te prêter à un petit jeu, dont je serai l’animateur ?
Après ce que nous avons vécu, je te fais confiance.
OK alors mets toi debout, face à nos deux amis tu peux me dire qui est à ta droite et à ta gauche ?
Dan tu es sérieux ! À ma gauche Jean à ma droite Claude.
Daniel passait derrière elle et lui installait sur les yeux un bandeau de satin noir. Puis il me faisait signe pour démarrer le petit jeu que nous avions mis au point. Je faisais silencieusement signe à nos amis de se lever et de se positionner devant Christiane. Installer entre-eux je leur chuchotais à l’oreille
• — Mettez-vous entièrement nus.
Daniel leur adressait un signe de tête pour qu’ils s’exécutent.
Je découvrais alors chez Claude, une belle paire de testicules velus, surmonté d’un pénis pas très long mais dont la circonférence était importante.
Jean lui affichait des couilles parfaitement épilées, surmonté par un sexe long et fin.
Christiane, tu vas devoir reconnaître Jean et Claude au toucher pour ce faire, je vais guider tes mains. Tu me diras alors qui tu reconnais
OK Daniel
Daniel guidait alors sa main gauche sous les couilles de Nicolas et sa main droite sous celle de Jean
Oh non c’est trop chou Dan, ton jeu est excitant à souhait. Je dirais Jean à gauche Claude à droite
Faux ma belle, alors je vais t’aider
Daniel lui enlevait délicatement son chemisier laissant ses magnifiques seins à portée de main de nos deux mâles. Je les invitais alors, à sucer les petits tétons qui se dressaient, tout comme l’érection qui animait leurs sexes.
Christiane les mains dans la chevelure des deux gourmands gémissait
Hum, comme c’est bon, vos langues sont douces et chaudes.
Daniel dégrafait sa superbe jupe qui laissait la belle uniquement parée de sa culotte de satin et de ses escarpins à talons hauts.
Puis il laissait l’initiative à nos deux amis, m’invitant à m’installer à ses côtés sur le tapis.
Immédiatement Jean s’installait dans le dos de Christiane. Il caressait ses seins de sa main gauche. De la droite, index et petit doigt recourbé sur chaque fesse, son majeur et annulaire regroupés, titillaient sa chatte et son petit œillet brun.
J’avais encore l’image de Daniel à qui j’avais offert le privilège d’investir pour la toute première fois l’anus de notre amie.
Claude à genoux, léchait les lèvres humides du sexe de la belle. Il aspirait délicieusement le petit bouton rose qui sortait de son écrin, pour rouler sous cette langue gourmande.
• — Jean se penchait alors vers l’oreille de cette femme dont il avait si souvent rêvé.
• — Mets-toi à genoux ma beauté s’il te plait.
Christiane s’exécutait. Immédiatement, les deux lascars présentaient leurs sexes en totale érection devant ses lèvres humides.
Elle prenait sans hésitation ses verges qui s’offraient à elle.
Elle décalottait délicatement leurs glands turgescents, pour les glisser ensemble et amoureusement dans sa bouche accueillante.
Ouah, tu es fantastique Christiane, tu vois ça Jean
Oui Claude, elle mérite bien qui nous lui enlevions son bandeau.
Tu as raison, je veux voir ses jolis yeux pendant cette merveilleuse fellation, ta bouche est chaude et douce ma belle.
Merci, vous êtes adorables et je vois enfin vos jolies queues. Prenez ma gorge je brûle de désir.
Daniel et moi nous étions mis à l’aise, dévêtus nous nous caressions assistant à ce merveilleux spectacle de nos amis enfonçant leurs verges de plus en plus profondément dans la gorge de Christiane. Elle caressait de ses mains gourmandes leurs testicules avides de plaisirs.
• — Mes beaux amants venez, prenez-moi, venez.
Claude s’allongeait alors sur le tapis, son sexe pointait fièrement vers le ciel.
- Viens sur moi ma belle, chevauche-moi ma douce.
Christiane s’installait à califourchon sur lui. Elle écartait les lèvres de sa chatte, afin de faire pénétrer le gland luisant de Claude au plus profond de son vagin.
Cette lente et délicieuse pénétration s’accompagnait de petits gémissements doublés de paroles d’excitations.
- Hum, elle est grosse et chaude ta queue mon Claude. Baise-moi, baise moi fort.
Claude la tenait fermement par les hanches et lui offrait de larges coups de reins projetant profondément son sexe au fond de son vagin qui ruisselait de plaisir.
Ses mains se posaient à présent sur ses deux fesses qu’il écartait au maximum.
Il offrait ainsi, une vue imprenable à son copain Jean, sur la raie culière de la belle dont le petit anus frémissait.
Jean masturbait très lentement sa longue et fine verge. Ses yeux étaient hypnotisés par cette vue d’un érotisme torride. Il s’approchait de ce magnifique cul qui lui faisait face.
Il se penchait en avant, et administrait à Christiane un anulingus, dont il avait le secret. De sa langue, il décrivait de petits cercles sur l’œillet brun.
Christiane, forte de sa première expérience, par de petites poussées, ouvrait sa corolle en une véritable invitation à la pénétration.
Christiane, tu es la première femme qui m’offre ce trésor.
• — Viens Jean, viens vite.
Jean tendrement positionnait son gland qui pénétrait sans peine au fond de ce puits d’amour.
• — Ton cul est merveilleux, chaud et serré
• — Viens à fond viens encule-moi oui, comme ça encore oui
J’étais maintenant allongée sur le dos, ma main gauche touchait celle de Christiane. Dan m’avait relevé les jambes me tenant par les chevilles, son sexe faisait de grands allers-retours dans ma chatte qui ruisselait de bonheur. Ses mains descendaient sous mes genoux qui touchaient mes seins. Il pouvait ainsi me pénétrer au plus profond, je sentais avec bonheur ses testicules frappés mes fesses.
Je sentais la main de Christiane me serrer au rythme de la double pénétration dont ses deux amants la gratifiaient.
Notre salon n’était plus que gémissements et mes narines frémissaient du mélange de nos parfums et de ses effluves de sexes qui décuplaient les plaisirs de notre petit groupe de jouisseurs.
Notre trio se libérait de leur jouissance dans de longs gémissements de plaisir.
Claude inondait généreusement la matrice de Christiane. Jean lui tapissait l’anus à plusieurs reprises, projetant en déculant, un jet dernier jet de sperme habillant le dos de la belle jusqu’à la naissance de la nuque.
Daniel éjaculait à plusieurs reprises dans ma chatte et sexe à la main, gratifiait mes seins d’une dernière giclée douce et chaude.
Le salon après avoir résonné de nos cris de jouissance, ne faisait plus entendre que nos respirations courtes.
Je voyais les yeux de nos trois amis humides et brillants. Nul besoin de mots pour comprendre que par ces regards, ils nous remerciaient de les avoir conviés à cette soirée. Christiane nous dit :
• — Dan, Émilie, vous en avez d’autres des jeux comme ça.
• — Ne soit pas si curieuse, laisse-nous nos petits secrets
• — En tout cas je vois que Jean et Claude ont apprécié cette partie
• — Allez les amis douche et champagne pour tous.
Une fois de plus en évoquant ce souvenir, Daniel et moi sommes convaincus que la jouissance et l’épanouissement se trouve dans le partage amoureux.
Ce goût du partage allait nous amener dans de nouvelles aventures érotiques et sexuelles.
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