Emilie, sa cousine et moi; l’aveu d’Emilie - histoire érotique

Après avoir fini de manger Martine a voulu se coucher, alors nous lui avons préparer le clic clac du salon et nous nous sommes retrouvés dans la chambre d’Emilie, toujours entièrement nus. Une fois la porte fermée elle se jette directement sur mon sexe et le fait grossir avec sa main et sa bouche. Dès qu’il reprend une bonne taille, ce qui est assez rapide dans ce genre de situation, elle me pousse sur le lit, enjambe mon corps et attrape ma queue tendue pour s’empaler dessus. Une fois que j’ai totalement investi son sexe qui est déjà trempé, elle se penche vers moi et m’embrasse à pleine bouche avant de se remettre en Andromaque. Je pose ma main sur son ticket de métro et lui titille le clito pendant qu’elle monte et descend sur moi. Au bout de seulement 3 minutes son corps se crispe puis s’électrise, elle crie son orgasme comme rarement. Si sa cousine dort déjà on risque de l’avoir réveillé et si elle ne dort pas elle ne peut pas ne pas nous avoir entendu!
Emilie continue de me chevaucher ainsi pendant plusieurs minutes mais rapidement elle retire ma main de mon clito du coup je me concentre uniquement sur mon plaisir. Je repense à sa cousine, à sa toison dorée, à notre partie de jambes en l’air. Je suis tellement excité que sans sortir du con d’Emilie je la retourne et la fourre avec grande vigueur. Quand je sens que je vais venir, je me retire de sa grotte humide et place ma queue qui dégouline de son plaisir entre ses seins pour me finir en me masturbant entre eux. Emilie soulève la tête et se penche pour sucer mon gland à chaque fois qu’il ressort d’entre sa poitrine. Il ne faut qu’une dizaine de coups de langue pour que j’inonde sa bouche, son cou et un peu ses seins.

Je m’allonge à côté et nous continuons à nous tripoter pendant que nous reprenions nos esprits. Un ange passe. J’ai envie de lui poser des questions, j’ai envie de savoir comment elle a trouvé de s’occuper des seins, de la chatte et du cul d’une autre femme, j’ai envie de savoir si le fait que ça soit sa cousine elle trouvait ça plus excitant…
J’ose enfin ouvrir la bouche et parler. Ca me prend quand même un moment pour découvrir qu’en fait elle avait déjà couché ensemble il y a des années. Emilie avait 17 ans, elle n’était plus vierge, elles passaient des vacances ensemble chez la grand mère de Martine. Comme à chaque fois qu’elles se retrouvaient pour des vacances elles partageaient la même chambre. Une nuit Emilie n’arrivait à trouver le sommeil et Martine dormait depuis un moment, alors ma copine avait décidé de se faire une petite gâterie pour essayer de plonger plus rapidement dans les bras de Morphée. Elle se caressait énergiquement le clito avec 2 doigts quand elle senti Martine se retourner et que la main de sa cousine se déposa sur sa jambe. Honteuse elle arrêta immédiatement tous ses mouvements, en espérant que Martine dormait toujours. Mais elle senti la main remonter vers son entrejambe, puis un doigt de Martine commença à lui caresser les lèvres vaginales qui étaient trempées. Avec le plaisir que lui donnait ces doigts et elle ne réfléchis même pas au fait que c’était les doigts d’une autre femme et encore moins que cette femme était sa cousine, Emilie replaça immédiatement sa main sur son clito et reprit son massage. Quand Martine rentra 2 doigts dans la grotte inondée de ma copine, elle atteignit immédiatement l’orgasme. Une fois que son corps se calma, Martine retira ses doigts, se tourna sur le côté sans dire un mot et Emilie s’endormit comblé et satisfaite.
L’entendre me raconter cette histoire en imaginant leurs deux corps m’a excité à fond, ma main qui était sur sa cuisse remonte doucement vers son entrejambe pendant que je lui dis:
« Vous en avez parlé après? Vous n’avez plus jamais rien fait depuis ces vacances? »
Elle me sourit et en mettant sa main sur mon sexe , qui est fièrement dressé, elle me dit:
« Eh ben! Ca te fait sacrement de l’effet! » et me caresse alternativement les couilles et la bite et continue son récit.
Le lendemain matin quand elle se réveilla elle regretta immédiatement ce qui c’était passé. Elle eut peur que la relation avec sa cousine ne serait plus la même. Quand elle osa enfin se retourner, elle remarqua que Martine n’était plus dans le lit. Elle alla directement à la salle de bain pour se laver et s’habiller. Elle passa la journée à culpabiliser et éviter sa cousine. Le soir après le repas quand la grand mère alla se coucher elle sorti se promener seule et attendit que la lumière de leur chambre soit éteint depuis 30 minutes pour regagner la maison et sa chambre. Avant elle passa dans la salle de bain et enfila un pantalon de jogging et un t-shirt pour dormir, elle préféra éviter la nuisette maintenant! Elle se glissa dans le lit, en faisant le moins de bruit possible et s’allongea le plus possible au bord du lit. Elle était allongée depuis un bon quart sans réussir à trouver le sommeil, quand elle senti Martine se retourner. Emilie se tétanisa, mais la main de Martine ne s'approcha pas, du coup ma copine se calma. Deux minutes elle entendit Martine chuchoter
« Tu ne comptes pas me rendre la faveur! ». Emilie plus que gênée ne savait pas quoi répondre alors c’est Martine qui continua
« Il n’y a rien de honteux à ce que nous avons fait! Ca ne fait de nous des lesbiennes perverses mais juste 2 copines qui sans mec décide de se donner du plaisir! » Elle posa sa main sur la joue d’Emilie et commença à lui caresser le visage avant de s’approcher et de déposer ses lèvres à la place de sa main et de glisser jusqu’à la bouche de sa cousine. Ensuite Martine attrapa la main de sa cousine et la plaça directement sur sa moule. Emilie fut surprise de découvrir que sa cousine était entièrement nue mais décida de tenter l’expérience et caressa pour la première fois une autre chatte que la sienne en faisant les même mouvements que si elle se caressait elle même. Au bout de 5 min Martine retira la main qui lui donner du plaisir et commença a déshabiller ma copine. Une fois qu’elles furent toutes les deux entièrement nues, Martine vint se placer entre les jambes d’Emilie et commença à lui caresser les lèvres avec sa langue, à chaque fois les coups de langues remontaient plus haut jusqu’à atteindre le clito. Emilie m’avoua qu’elle prît beaucoup de plaisir à tout ça et fut elle même surprise d’attraper le corps de sa cousine pour la mettre sur elle en 69 et goûter à cette chatte qu’elle n’avait alors qu’effleuré. Même si elle était habituée à recevoir des cunis, elle ne savait pas trop comment s’y prendre alors elle décida de copier les mouvements de sa cousine. Elle déposa le bout de sa langue sur le clito qui était devant elle et commença à le titiller en le faisant tourner, en le pinçant entre ses lèvres ou encore en l’aspirant. En même temps qu’elle recevait ces caresses buccales, elle sentit un doigt qui vint lui effleurer les lèvres qui étaient déjà très humides, Emilie fut pareil avec les lèvres qui se trouvaient sous son menton. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier avant de s’introduire dans son vagin qui n’attendait que ça. Bien qu’elle eut déjà 2 doigts dans sa moule, elle n’osa pas en faire autant mais la chatte de sa cousine était tellement trempée qu’un première doigt fut rapidement aspiré. Elle commença à décrire des cercles avec son doigt et très rapidement il fut rejoint par un deuxième puis un troisième doigt.
Entre le récit d’Emilie, ses doigts qui n’arrête pas de courir le long de ma bite et de mes couilles et mon pouce qui caresse son clito alors que mon index, mon majeur et mon annulaire coulisse dans sa chatte, je sens l’orgasme monter alors je la plaque contre le matelas, je pose ses jambes sur mes épaules et rentre d’un coup sec dans sa grotte inondée de cyprine, qui n’attend que ma queue. Une fois bien au fond je fais de lents mouvements de vas et viens en elle alors que mon pousse caresse son clito et je lui demande de finir son histoire.
Elle a de plus en plus de mal à raconter la suite parce qu’elle gémit de plus en plus, mais je ne vais pour autant arrêter de la ramoner surtout que maintenant je sens les sécrétions de sa chatte couler le long de mes poils de couilles.
Maintenant Emilie retira ses doigts d’un coup de la moule de Martine pour les remplacer par ceux de son autre main et plaça son majeur qui était très humide sur le petit trou de Martine. Alors que son doigt fit des ronds autour de la rosette de Martine, elle sentit que son sexe s’élargissait par l’intrusion d’un troisième doigt. Elle n’hésita plus un instant et introduisit son majeur entre les fesses de sa cousine.
Nous sommes tous les deux trop excités, le corps d’Emilie ondule au rythme de mes coups de reins. Je sens sa peau se granuler de chair de poule et au moment ou elle plante ses ongles dans mon dos, nous jouissons tous les deux dans un grand râle. En me retirant de son vagin je sens une grande quantité de liquide sortir, c’est le mélange de nos deux jus. Nos corps sont littéralement épuisés, je m’allonges à côté d’elle et la prend dans mes bras. Elle se tourne vers moi, m’embrasse sur la bouche et me dit:
« Merci mon nounours, c’était divin à chaque fois ce soir ». Je lui souris et lui rend son baiser avant qu’elle n’ajoute: « Ce soir là Martine et moi avons joui en même temps, comme nous à l’instant ». Elle m’embrasse une dernière fois et ferme les yeux.

J’en avais appris beaucoup ce soir, du coup je n’aborderai plus nos parties de jambes en l’air à trois de la même façon maintenant! Mais épuisé par tous ces information et tout ce sexe, je m’écroule à mon tour ce qui va me permettre de reprendre des forces pour la suite…