Emma
Récit érotique écrit par Lord of Sitges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Emma
Une rencontreElle, 25 ans, brune aux reflets roux, me regarde sans honte avec ses yeux bleus et son petit nez en trompette.
Souvent en jean et chemisier blanc, son regard fait tourner les têtes comme il a fait tourner la mienne il y a quelques mois. Il faut dire qu’elle garder une ligne de rêve sans effort et que ses jeans lui offrent l’opportunité de mettre en valeur un petit cul aux formes de rêve.
Pour le moment, ce n’est pas lui pourtant qui me met dans tous mes états, c’est plutôt son absence. Il git sur le sol avec le chemisier blanc, une petite culotte de coton et un soutien-gorge assorti.
Ce dernier ne sert absolument à rien car la belle a aussi été dotée d’une paire de seins fermes et superbement dessinés. Un 95C qui se tient seul et qui pointe outrageusement en ce moment même sous mon nez. J’ai eu beau espérer qu’elle laisse ses seins libres quand nous sommes seuls, rien à faire. Depuis 4 ans que je la fréquente, jamais elle n’a cédé sur l’éducation que sa mère lui a inculquée.
Au début, ce n’était qu’une gamine, la copine d’une cousine dans le même lycée que moi. Je les avais rencontrées toutes les deux et j’étais de deux ans plus âgés, seulement une année devant elles en terminale. La conversation était banale, mais l’expérience marquante, … pour moi. Sans réelle expérience avec les filles, j’avais flashé sur celle-ci et en avait parlé avec ma cousine.
Hélas, Emma n’en avait cure. Elle ne s’est d’ailleurs pas souvenue plus tard de cette première rencontre et n’avait évidemment pas retenu mon prénom. Tout son esprit était alors concentré sur une autre cible de sa classe et je n’ai plus eu affaire à elle pendant près de deux années.
Il a fallu que bac en poche je termine ma première année en école de commerce pour que je la vois réapparaitre. Elle avait suivi ma voie, sans le savoir, et le hasard faisant bien les choses, je me suis retrouvé nommé son parrain pour l’assister dans sa première année. Le ciel m’avait béni, je n’avais cumulé que quelques expériences tièdes avec la gent féminine et m’étais surtout concentré sur les études.
En quelques mois, j’avais convaincu Emma de me laisser l’embrasser et nous nous fréquentions assez souvent. Elle vivait chez ses parents et moi chez les miens. Nous avions surtout des relations en soirée et chez des copains. Autant vous dire que l’intimité était réduite et que nos pratiques se résumaient le plus souvent à des caresses volées.
Mais les caresses étaient bien ce qu’Emma adorait par-dessus tout, et elle ne se privait pas pour les réclamer, ou se les offrir. C’était une adepte de l’auto satisfaction et je me plaisais à lui embrasser les mains par surprise pour détecter si elle s’était donnée du plaisir entre deux cours.
Quand elle a opté pour une alternance dans une grande entreprise de spiritueux, je disposais d’un studio dans le 10eme arrondissement de Paris et je l’ai invitée à me rejoindre autant que possible.
C’est pour cette raison qu’elle est devant moi, entièrement nue sur mon clic-clac, et me montre comment une fille se donne du plaisir quand elle en a l’occasion. Je suis resté un petit garçon et je bave littéralement devant sa beauté, moi qui n’ai pas eu de sœur. J’accepte la leçon et je la regarde activer habilement ses doigts autour de ses mamelons et de sa fente sans les malmener. Son sexe et ses seins montrent encore les traces blanches du maillot qui les a protégés tout l’été. C’est un stimulus supplémentaire qui me rappelle que je suis le seul à la contempler ainsi exposée.
Elle m’explique que le désir doit monter et qu’elle s’interdit de rentrer ses doigts tant qu’elle n’a pas la mouille qui dégouline entre ses fesses. Je guette l’arrivée de ce jus brillant sous l’éclairage faiblard de ma chambre et je bande. Elle m’a demandé de me toucher au même rythme qu’elle, et je peine à ne pas accélérer. J’ai envie de son corps si juvénile et si tendre, mais je sais aussi qu’à chaque fois que le pénètre, la jouissance vient trop rapidement pour elle, et pour moi. Nos meilleures expériences sont souvent celles où, comme maintenant, elle fixe les règles de ce jeu, et qu’elle en abuse pour me voir jouir avant elle.
En dehors de ces moments chauds, notre vie tourne au plan-plan. Elle travaille au plan de vente de son groupe et je fini ma mon master II en espérant une embauche bien rémunérée à son issue. Elle est sérieuse et aussi ambitieuse que moi. C’est aussi une féministe en herbe qui comme beaucoup de filles de son âge défend ses convictions à chaque occasion. C’est peut-être aussi pour cette raison que je n’ose pas lui confier mes rêves, mes fantasmes, mes pensées de peur de la braquer.
En ligne avec cette philosophie, Emma consacre toutes ses soirées du mercredi à ses copines. Elles se retrouvent pour boire ou manger ensemble. Je n’ai pas toujours de compte rendu, parfois des anecdotes, et j’en profite en symétrie pour retrouver mes potes. C’est un peu lourd parfois d’être seul alors qu’eux sont assez fréquemment en couple, même si ce n’est pas avec leur régulière.
L’anniversaireL’année est maintenant bien lancée et nous avons été conviés par ma fameuse cousine à une soirée d’anniversaire. Les filles se sont perdues de vue depuis le lycée, mais les relations familiales étant ce qu’elles sont, c’est en couple cette fois-ci que nous nous présentons dans la grande maison de mes Oncle et tante. Je connais bien ce lieu déserté par ma famille pour l’occasion et nous sommes probablement une cinquantaine à boire, danser et causer dans tous ses recoins. J’y retrouve quelques connaissances perdues de vue, mais Emma semble s’ennuyer en dehors de ses conversations avec ma cousine. Je m’en inquiète au moment où un grand type qui m’est inconnu lui adresse apparemment une invitation à danser. Cela me rassure, je vais peut-être éviter les reproches en rentrant, et je reprends ma conversation.
Quelques morceaux se succèdent à la sono et ma douce danse toujours avec son partenaire, ce qui me satisfait. Je n’aime pas vraiment danser moi-même à l’inverse d’Emma qui est toujours prompte à s’activer sur la piste. Son body est visible sous sa blouse. J’adore ce vêtement qui donne à sa poitrine une forme encore plus arrogante et qui me rappelle que seuls deux pressions assurent l’honneur de ma nana.
Je les repère un peu plus tard en train de rafraîchir un verre à la main. Elle m’amuse car il a une tête de plus qu’elle et elle le regarde cambrée en arrière comme une enfant discutant avec un adulte. Elle est si jolie, elle sourie et je suis rassuré.
Une heure, ou plus, plus tard, il est temps de partir. La soirée était agréable et j’appelle un taxi pour rentrer au studio. Emma est tout sourire, comme ivre alors qu’elle n’a pas abusé à ce que je sais. Elle me regarde interrogative et me demande si je ne lui en veux pas. Surpris par sa question, je ne suis pas capable de masquer mon étonnement : Mais de quoi mon Dieu ? Elle se reproche de m’avoir délaissé pour avoir si longtemps dansé avec un autre. L’occasion est trop belle pour moi de faire le brave et je l’assure que cela me paraît tout à fait normal. Non seulement je n’ai aucun reproche à lui faire, mais je trouve tout à fait sain qu’elle s’amuse même sans moi. Je suis moderne et donc je ne m’accorde aucun droit de propriété sur elle. De plus, je suis même heureux qu’elle ait du plaisir, au point de l’encourager à le trouver comme elle l’entend. Je l’aime assez pour ne pouvoir éprouver aucune jalousie et j’éprouve même une grande satisfaction à ce qu’elle se soit amusée ce soir sans moi.
Emma, me félicite pour mon esprit féministe et moderne et elle m’embrasse. Son baiser est long et sensuel. Nos langues se rencontrent comme elles ne le font que trop rarement, et j’en profite pour caresser ses seins durcis à travers le coton de son body.
Rendus au lit, après un lavage de dents prolongé, elle se love contre moi et s’endort rapidement à l’issue d’un « je t’aime » galvanisant.
Le piègeQuelques jours plus tard, Emma revient sur notre conversation, sur le ton « je sais que tu étais un peu pompette, mais tu pensais vraiment ce que tu m’as déclaré ? Si je passe une soirée avec un autre garçon, tu ne serais pas jaloux ? » Je dois assumer et je ne vois pas quoi argumenter sinon que la confiance est là quand rien n’est caché. A partir du moment où je suis au courant, je ne peux pas me sentir trompé. En plus mon bonheur est de la rendre heureuse avant toute chose. La brimer et risquer de la voir me quitter serait un vrai cauchemar, donc oui, je confirme et je signe.
Elle me dit que je suis un type formidable et se félicite de m’avoir trouvé, puis on en reste là.
Nos soirées reprennent avec nos jeux érotiques. Masturbation cuisses grandes écartées dans la douche quand je rentre dans la salle de bain et concours de gros mots. Elle n’en a pas l’habitude, mais je l’invite à utiliser des mots crus en privé. Je m’aperçois que cela décuple son plaisir, surtout quand elle joui sous ses doigts. Je lui invente des histoires de voyeurs alors qu’elle prend soin de protéger notre intimité durant ces séances. Je lui ai offert deux ensembles assez transparents et la voir les porter me procure une satisfaction immense. Malheureusement, les occasions ne lui paraissent que trop rarement adaptées. Ce n’est que lors de rare WE seuls qu’elle accepte de les porter sous ses jeans et pulls hivernaux. Il n’en ressort qu’une excitation psychologique.
Janvier arrive avec sa fatigue annuelle. L’année est loin d’être terminée, le jour ne semble jamais se lever et on espère avec impatience le retour des longues soirées et de la douce chaleur solaire. Mon niveau de stress augmente en prévision des examens de fin d’année et de cette discussion entamée avec un groupe hôtelier pour rejoindre leurs effectifs à la rentrée.
Emma me raconte que lors de sa dernière soirée entre copines, elle a retrouvé son danseur de l’anniversaire. Ils ont à nouveau dansé et il l’a invitée à diner vendredi.
Je suis piégé, mais je ne dois rien laisser voir. Je me réjouis faussement et je l’encourage à accepter l’invitation si elle en a envie. Ce n’est pas que je ne l’aurais pas accompagnée, mais je sens bien que ce n’était pas une option. Il ne me reste qu’à la regarder se préparer, troublé par cette situation incongrue. Il me semble qu’elle consacre un temps exagéré pour préparer son look. Le Jean laisse place à une jupe, puis une autre, avant qu’une troisième s’impose. Le haut est lui aussi l’objet d’une stricte sélection, et après sa douche, je remarque même avec un pincement au cœur qu’elle enfile sans hésiter l’une des deux parures de dessous transparents que je lui avais offertes. Elle est sublime et à croquer, et là, je commence à être jaloux. Rien à faire, je ne peux rien montrer.
Elle rentre assez tard cette nuit-là. Quand je la questionne dans un demi sommeil sur son diner et sur les raisons de ce retour si tardif, elle me semble un peu confuse. J’entends parler de promenade et de garçon vraiment mature, puis je me rendors rassuré par sa présence. Le lendemain, je me contrains à ne rien demander de plus et n’ai aucune information.
Deux semaines plus tard, elle m’avoue l’avoir à nouveau rencontré avec ses copines du mercredi, et m’annonce qu’il souhaite à nouveau qu’elle le rejoigne pour une seconde soirée. Je craque et ne peux me résoudre à laisser passer l’affaire sans entamer une conversation assez délicate.
Qu’attend-elle de ce type au juste ? Le trouve t’elle séduisant ? Est-ce que je ne lui plais plus ?
Raté pour la délicatesse, mais tant pis. Elle s’agace de mon inquisition contraire à ma ligne politique et me jure son amour tout en m’avouant qu’elle apprécie vraiment la fréquentation de quelqu’un si différent de moi, voir opposé. Je tente une diversion en lui demandant en quoi il peut être si différent, pour réentendre qu’il est très mûr voir autoritaire. Emma chercherait à expérimenter des relations qui pourraient lui bénéficier dans le travail et lui apprendre comment se positionner dans de telles conditions. Je calme le jeu et la laisse partir dans une tenue qui n’a rien à envier à la précédente fois.
Une nouvelle fois, elle rentre tard, et m’évite même en prenant garde de ne pas me réveiller et en se couchant immédiatement. Très tôt le matin, elle se précipite dans la douche et invente une course urgente.
Dans la semaine, je rentre dans la salle de bain en sa présence, comme je l’ai déjà fait tant de fois espérant la surprendre à se caresser, et je constate avec stupéfaction qu’elle a rasée entièrement sa toison pubienne. Son apparence me trouble au point d’en rester sans voix. Associé à son corps parfait, cette petite fente dégagée et toute fine la fait vraiment ressembler à une ado immature. Elle est excitante et je ressors de la salle de bain sans lui en avoir parlé.
Je tombe alors sur son sac à main renversé, et je repère des préservatifs dans la poche intérieure. J’en oublie ce que qui venait de m’exciter tant pour en profiter et poursuivre mon enquête. Je connais son code de téléphone et consulte les WhatsApp rapidement. Une conversation assez soutenue y est présente et il en ressort que les relations de ces deux là ne sont ni platoniques ni professionnelles. Je tente de me calmer et, ne trouvant pas comment aborder le sujet, je remets à plus tard les explications.
Mercredi, elle m’annonce qu’elle a rendez vous avec son amant en lieu et place de sa traditionnelle soirée entre filles. C’est la goute qui fait déborder le vase et j’exige une explication, car ce sacrifice d’une soirée établie est significatif.
Elle m’évoque tout d’abord son jardin secret et me presse à décider ce que je veux : Qu’elle me quitte ou qu’elle soit heureuse. Elle me rappelle qu’elle ne fait que d’appliquer les préceptes que je lui ai moi-même inculqués. Elle aime le changement et cela ne veut en aucun cas signifier qu’elle veut me perdre. Oui, elle a des relations avec lui, et depuis le début. Elle pensait que c’était évident.
Dès le premier soir, elle l’avait gratifié d’une fellation entre deux danses et elle en avait été très heureuse. Quand je pense qu’elle m’a embrassé si fort ensuite, je réalise à quel point j’ai été naïf. En plus, la fellation est un acte qu’elle ne m’a jamais offert. Je fulmine. Elle ajoute qu’elle ne le supporterait pas à plein temps, mais elle aime son côté autoritaire et sa façon de la diriger comme une petite fille qui lui donne du plaisir. C’est lui qui lui a exigé qu’elle se rase entièrement par exemple.
Clairement le dossier m’échappe. Je ne vois pas comment la ramener à moi, et je prends une soudaine trouille de la perdre à jamais. Je décide donc en bon commercial de tenter la négociation et je lâche du lest. « OK, tu fais ce que tu veux, mais à partir de maintenant je veux un rapport détaillé de tout ce que tu fais avec lui. C’était le deal dès le début et tu l’as rompu. Que cela ne se reproduise pas. »Ne demandant pas son reste, elle part à son rencart et se retourne après deux mètres dans le couloir. Elle passe ses mains sous sa jupe, et baisse sa culotte. Elle me la tend en m’embrassant puis me dit « Il veut aussi que je sois cul nu quand je vais le voir, alors… »Je sens une érection monumentale alors que je la regarde passer le pas de la porte et l’entend s’éloigner. Jamais je ne l’ai vue cul nu dehors.
Ma soirée est horrible. Je ressasse sans cesse ses aveux. Je la revois me tendre ses dessous, et je constate tout d’abord qu’ils sont plutôt humides. Je la revois dans la douche la fente à nu. Je me reproche tout. Lui avoir céder, ne pas l’avoir plus regardé, ne pas savoir la faire jouir plus fort. Peut-être devrais-je montrer plus d’autorité. Je suis faible.
Dans cette confusion mentale, je ne peux m’empêcher de saisir ma queue et de la caresser machinalement. La jouissance vient assez rapidement alors que j’imagine ce qu’elle peut faire de sa soirée. Je ne cesse de modifier les scénarios, et je ne peux me concentrer sur rien d’autre. Même couché, je ne trouve pas le sommeil, et vers 8h du matin, elle n’est toujours pas rentrée. Un SMS sonne. C’est elle qui m’annonce qu’elle va directement au travail, sans culotte donc. Nouvelle érection !
Impossible de me contrôler. Je merde toute la journée dans mon travail. Je prétends finalement un dérangement intestinal pour m’éclipser plus tôt. Vers 19h elle agite enfin ses clefs dans la serrure. Elle est souriante et semble épanouie comme au soir de l’anniversaire. Elle m’embrasse en me remerciant pour ma tolérance. Echaudé, j’hume son haleine, trop con que je suis. Après une journée de travail, je ne peux rien espérer. Je suis décontenancé par son assurance, et elle en profite pour se déshabiller et rentrer dans la douche sans explication.
Je sais que je vais les avoir, mais les interruptions se multiplient : téléphone de sa mère, voisin rencontrant une fuite, omission d’acheter du pain… ce n’est que vers 20h30 que le calme revient et que je me lance à lui rappeler notre accord. Elle s’exécute et commence par décrire le contexte de leurs relations. Elle m’avoue en cherchant ses mots, que c’est plutôt une domination qu’elle va chercher auprès de lui. Elle joue la petite fille, et il lui demande de se caresser devant lui comme elle aime le faire avec moi. Il la prend parfois en photo et parfois il la filme. Il lui donne des ordres et elle doit s’exécuter sans discuter. Il aime les fellations et elle reconnaît y avoir pris gout.
Je reste muet à l’écoute de cette liste. Je n’avais pas imaginé ces scènes et je sens à nouveau ma queue grossir. C’est quand elle aborde la notion de punition que je réagis : « Comment ça il te punit ? »C’est soft et plutôt symbolique : Il me donne des fessées, parfois.
Elle vient s’asseoir à côté de moi sur le clic clac et m’enlace. Elle m’embrasse en me disant que je suis l’amour de sa vie. Ses baisers me clouent le bec et sa main s’active sous ma ceinture. Elle sent à quel point je bande et s’en réjouit. Pour marquer le coup, je note qu’elle force le trait et commence à prendre ce langage cru avec lequel je l’avais encouragée à me parler. « Putain, tu bandes comme un âne. Ta bite n’a jamais été aussi dure. Je vais te sucer comme une salope que je suis »S’en suis une de mes premières pipes, en tous cas la plus mémorable. Sa bouche pour la première fois s’empare de ma queue et l’aspire en plusieurs fois presque entièrement. J’ai de la salive qui dégouline sur les couilles. Sa langue parvient à parfois me les caresser. J’ai le sentiment que j’atteins parfois sa gorge et ce qui arrive trop vite survient : Je lâche la purée en longues giclées dans sa bouche. A mon grand étonnement, elle ne me quitte pas, me regarde dans les yeux et avale tout ce que je peux lui donner. Le baiser qui s’en suit et son parfum me rappelle que le premier soir elle a dû peut-être lui faire le même plaisir, mais qu’importe. Je savoure le mien en cet instant magique.
Du coup je ne suis pas d’attaque au lit et ma nouvelle salope de copine s’endort rapidement à mes côtés.
Dès le vendredi suivant, elle déboule dans la pièce principale en m’annonçant qu’elle part à nouveau rejoindre son amant pour la soirée. J’ai beau protester que ce n’était pas au programme, elle me promet juste de me raconter tout.
Je tente de la saisir pour au moins la ralentir quand elle passe près de moi, mais tout ce que je réussi à faire c’est de tirer sa jupe et de me révéler à nouveau qu’elle n’a pas de culotte. Toutefois, j’ai repéré quelque chose d’étrange. Un reflet, un truc qui brille entre ses fesses. Je ne sais pas ce que c’est et ce n’est que plus tard dans la soirée que la révélation interviendra.
Alors que je me morfonds seul dans notre studio, je branche ma tablette, décidé à nourrir mon imaginaire sur ce qu’Emma peut faire en mon absence. Le mot clef « domination » étant rentré dans un site de photos connu, je parcours les résultats. Je refuse de croire à la plupart des scènes mais soudain, je remarque que des filles utilisent ce que j’apprends s’appeler un plug pour se préparer à la sodomie.
Le coup est sévère et je peine à respirer : Ma copine se préparait donc à prendre une queue dans sont petit cul si mignon ? Il est vrai que dans ma naïveté, je ne m’étais même pas confronté à l’évidence. Une fille comme Emma, ne pouvait se contenter de jouer à touche pipi avec son amant. Elle devait forcément lui offrir son corps en entier. J’ai honte de mon innocence et je m’excite à réaliser que ma chérie me dépasse de beaucoup déjà en expérience sexuelle. Elle se fait probablement profondément enculer en ce moment même alors que l’idée même de la pénétrer par ailleurs que devant ne m’avait même pas traversé l’esprit. Je me rappelle maintenant ses longues douches avant de le rejoindre lors de ses rendez-vous précédents et je l’imagine préparant son anus pour le rendre propre. Je ne suis plus à ma masturbation mécanique et l’éjaculation me surprend. Je m’en suis mis partout, y compris sur le visage. Je n’ai plus qu’à nettoyer honteux mes éclaboussures.
La nuit suivante, mon sommeil est agité. Elle n’est pas rentrée, mais je la rêve se faisant tringler, cambrée le cul en arrière, concentrée sur son plaisir et me dédaignant alors qu’elle me regardait avec amour au début de la scène.
Quand elle débarque les traits tirés au matin, elle va directement dans la douche sans m’embrasser. Une fois prête, elle revient vers moi nue et s’allonge sur le lit après m’avoir embrassé. Elle s’allonge sur le côté, la tête dans l’oreiller et moi, derrière elle, je peux admirer son postérieur sublime tel un voyeur. J’y cherche des traces de sa nuit et je remarque deux choses : Encadré par deux fesses écartées par la position, son anus me regarde fièrement. Il a été de toute évidence malmené et me paraît en cône, plus visible et plus large que jamais. Sans raison valable, cela me rend fier. La salope qui est dans mon lit est à moi, et elle se fait enculer. Je remarque aussi que la peau de ses fesses n’est pas comme je l’ai toujours aimée. Sa couleur n’est pas uniforme. Des traces rouges sont visibles, des traits et peu être même des traces de main.
Tu as reçu une fessée ? je lui demande.
Oui, par ta faute.
Je suis stupéfait. Comment pourrais-je en être responsable moi qui n’ai pas bougé du studio ?
Quand tu m’as questionnée hier, tu m’as mise en retard et il n’a pas apprécié.
J’ose alors poser la question qui me taraude maintenant et lui demande clairement s’il la prend par les deux côtés. Là encore, je me prends un coup dans le ventre et perd toute assurance quand elle me répond que non. Seulement par le cul.
Je suis dépassé, dévasté. Pourquoi cela m’aurait il paru plus acceptable qu’elle offre ses deux orifices ? Je ne sais pas. Mais le fait que seules les relations anales lui conviennent me laisse sans voix. Elle le sent bien et reprend son argumentation comme pour me rassurer. « Il sait que tu ne m’as jamais prise par le cul, alors il te laisse ma chatte et se réserve ma porte arrière »« Réserve » ? Il est gonflé ! Il m’empreinte ma nana sans rien me demander alors qu’il connait mon existence et il se réserve son cul ? Je me sens humilié, mais cette nouvelle me rend raide. Ce cul m’appelle, et je me surprends à l’embrasser. Des baisers sur les fesses rougies, un baiser sur sa moule toute lisse. Je n’avais jamais connu le toucher de sa peau à cet endroit. C’est d’une douceur exquise. Je me prends au jeu et glisse ma langue au centre. Elle grogne au début et progressivement elle écarte encore plus les cuisses, puis s’allonge sur le dos. Sa petite chatte s’ouvre devant moi. Son clitoris dépasse et dessous ses lèvres rosissent. Si ma salive la fait briller, j’entends à ses commentaires que le traitement lui plait,… beaucoup. Elle attrape ses genoux avec ses deux mains et m’offre un accès total à son con. « Bouffe moi la moule ! Tu es vraiment bon à ça ! Cela me manque quand ma cramouille se sent abandonnée. Mmmh… C’est vraiment toi le meilleurs »J’en retire une grande fierté et la fait reluire jusqu’à la jouissance. Ce n’est pas aussi rapide que d’accoutumé, mais peut être plus puissant. Quand elle reprend ses esprits et se relève, elle me saisie la queue sous le boxer et commence à son tour à m’astiquer.
- Qu’as-tu fait en mon absence ? Tu as pensé à moi ?
- Bien sûr. D’ailleurs, qu’avez-vous fait ? Tu te rappelles que tu me dois un rapport ?
- Je sais, mais c’est difficile. J’ai peur que ton avis sur moi change avec ce que je peux te raconter. Je ne suis pas très sage comme tu le sais déjà.
- En effet, je sais déjà que tu le laisse t’enculer, te filer des fessées et tu le suces probablement jusqu’au bout.
- Oui, c’est vrai. J’ai aussi commencé des jeux avec des cordes. C’est un adepte du shibari.
Je n’avais aucune idée encore de ce que c’était, mais l’évocation des cordes dans ce contexte me laissait supposer qu’il l’attachait.
- Comment connais-tu tous ces trucs ? Tu avais déjà fait ça avant ?
- Non, enfin sauf pour l’anal. Tu sais que j’ai eu d’autres mecs avant toi. Tu es le seul qui ne m’a jamais sollicitée par là. C’est ton charme. Le Shibari, tu en vois sur tous les sites de cul. Ce n’est pas confidentiel (Et paff pour ma gueule).
- Tu le laisses vraiment prendre des photos ?
- Oui, je ne lui ai pas demandé, mais c’est son truc. Il fait des gros plans sur ma chatte quand il me bouffe l’entre jambe.
- Et tu en as avec toi ?
- Non, ça ne m’intéresse pas, mais si tu veux je peux lui demander de t’en envoyer des softs.
- Pourquoi softs ? Tu me prends pour une petite nature ?
- On verra, me dit elle en accélérant le rythme de sa masturbation.
- Pourquoi ne m’as-tu jamais parlé de ces fantasmes ?
- Je ne pouvais pas parce que je ne les connaissais pas. C’est venu comme ça, sous son emprise. Lors de la soirée d’anniversaire, c’est lui qui m’a dit que j’allais lui faire une pipe. J’ai été choquée au début, même si j’ai cru que c’était une mauvaise plaisanterie. Et puis quand il m’a entrainée dehors, il a pris ma main et me la pressée contre sa queue. Il était raide comme une batte de baseball.
- Rien que ça ?
- Tu n’imagines pas ce qu’il a entre les jambes. Sur Internet, je croyais que c’était du photoshopé, mais non, maintenant je sais que ça existe. C’est presque handicapant. Il est obligé de mettre un slip spécial pour travailler pour ne pas être surpris par ses érections.
Quand il a entrepris la première fois de me la mettre, j’ai morflé grave et on n’y est jamais arrivé. Je voulais vraiment y arriver. C’est un vrai fantasme qui pouvait être réalisé, et c’est pour cela qu’il m’a conseillé de porter un plug pendant quelques temps. Je l’ai porté plusieurs jours pendant mon travail pour réussir à me faire mettre.
Encore une fois, les mots me manquaient. La réalité dépassait tout ce que j’avais pu imaginer pendant mes longues soirées seul. Le retour de ce langage cru et ces aveux achevaient ma volonté de résister à ses caresses. J’explosais dans sa main et sur le lit. Elle rit et me tendit sa main souillée.
- Goute ! Tu vas voir, c’est rigolo.
Devant ma tronche pas ragoutée, elle prit un air sévère que je ne lui connaissais pas.
- Eh, c’est bon ! Je le bouffe bien ton foutre ! Tu peux bien le gouter aussi !
Comme un gamin pris en faute, je sortais ma langue timidement et la regardais dans les yeux. Son regard était autoritaire. A peine avais-je touché du bout de la langue le jus blanchâtre qui commençait à couler qu’elle appuya sa main sur ma bouche en gueulant « lèche »La scène terminée, elle m’a regardé en riant.
- Tu verrais ta tête ! Ce n’est pourtant pas la fin du monde et ça me fait plaisir que tu sois capable de bouffer aussi du sperme. Je me sens moins seule après tout ce que j’ai pris ces dernières semaines.
Dégouté, je me retire dans la salle de bain pour me rincer la bouche et nettoyer les traces de mon éjaculation.
Les jours se sont succédé ainsi durant les mois de février et de Mars. Quand elle avait ses règles, jamais elle n’a manqué ses rancards avec son amant. Je savais que cela n’avait aucune influence sur leurs relations.
De mon côté, j’avais acquis un rôle de bouffeur de minou qui lui tenait à cœur. Presqu’à toutes les occasions elle exigeait ce traitement buccal en entrée, puis me suçait ou me branlait pour me faire manger mon propre jus, le plus souvent soigneusement récolté dans sa main, dans sa bouche ou même coulant de sa chatte.
J’étais d’autant plus heureux qu’elle était très gaie et me gratifiait maintenant des joies de voir son cul nu en public. Souvent elle avançait devant moi, appuyée sur un parapet ou une barrière et soulevait sa jupe. Son petit cul était maintenant très ouvert et parfois occupé par un jouet qu’elle sortait d’on ne sait où. Elle se masturbait volontiers pour moi, en tous lieu et avec divers objets. Quant aux photos, j’en ai reçu un petit nombre. La première représentait sa fente léchée par un visage dont je ne voyais que le menton. Sur une autre Emma était nue les yeux bandés, assise dans un fauteuil les jambes écartées maintenues comme ses poignets par des menottes. On voyait sa chatte ouverte de façon totalement obscène. D’autres la montraient le visage ou les seins couverts de sperme. Je crois que celle qui m’a fait le plus d’effet est une qui avait été prise alors qu’elle était en pleine sodomie. La photo avait été prise de toute évidence par son enculeur et on voyait son visage qui regardait l’objectif. Elle souriait, sans rictus de douleur. La queue énorme lui dilatait le cul mais pour elle tout semblait normal. Comme elle aimait à le rappeler, on aurait cru à l’intervention de photoshop, mais je savais, rien qu’en la regardant nue, que c’est réel.
Au printemps, elle a fait quelques balades en forêt avec lui. Les photos que j’en ai eu la montrent culotte aux genoux et s’écartant les fesses pour faire ressortir son trou de balle ouvert et dégoulinant de sperme. Elle portait aussi un collier de chien dont je devinais l’usage et la signification.
J’en ai aussi une autre que j’adore. Elle est prise du sol et sous sa jupe. Outre son entre-jambe glabre, on y voit la grande arche de la défense ses marches et quelques passants assis.
Toutes ces photos et les petits films qu’elle m’obtenait me satisfaisaient. Ajoutés à sa libido en constante ébullition, elle faisait mon éducation sexuelle et je m’abandonnais à ses directives jusqu’à la laisser m’encourager à lui faire un cuni alors qu’elle revenait de toute évidence de chez son amant. Ce jour là je ne voulais peut-être rien entendre. Elle me répétait qu’elle était sa pute et qu’elle avait honte, mais elle me tenait la tête pour s’asseoir sur moi en relevant sa jupe. Sa chatte était brulante et sentait la mouille. Elle était enivrante et elle m’encourageait à la fouiller de ma langue. Elle me traitait de cocu nettoyant sa salope enculée et pour la première fois elle a ondulé son corps jusqu’à présenter son anus sur ma bouche. Certes, ce n’était pas un Niagara, mais j’ai eu la conviction de gouter au sperme qui sortait encore de son cul. J’avais assez d’expérience maintenant pour en identifier le goût et c’était certain, sa rondelle venait d’être dilatée par le mandrin énorme de son amant. Elle chiait encore son sperme. J’aurais pu en être dégouté, mais cette étape m’est apparue logique dans mon évolution.
Un jour cependant, j’ai eu un doute. L’un des petits films que j’adorais regarder la montrait encore en train de se faire ramoner avec plaisir. Comme souvent je me branlais sans vergogne devant la vidéo. Elle le savait et s’en amusait. Elle m’avait même convaincu de me lécher systématiquement les mains après éjaculation. C’était avec le plug les deux trucs qu’elle adorait particulièrement avec moi. Oui, le plug c’était pour moi. A l’instar du foutre, elle m’avait un soir obligé à tester la sodomie. J’étais vraiment opposant, mais ses menaces ont réussi à me convaincre. La surprise a été le plaisir que j’y ai trouvé au contact de ma prostate. Si on me l’avait dit avant ! Du coup, j’acceptais avec joie son petit vice et j’appréciais qu’elle me mette son plus gros gode dans le fion. Ceci dit, la vidéo cette fois-ci m’avait laissé une impression bizarre, comme si quelque chose m’avait échappé.
Mais oui ! A force de regarder du porno avec ma copine en star principale, j’en avais fini par oublier que la caméra devait être positionnée correctement. Or cette fois ci, l’image n’était pas stable. Un tiers tenait la caméra, et cela ne pouvait être son amant puis qu’il était dans le champ à un distance raisonnable.
- Emmaaaaaaaa !
La rage me prenait à nouveau.
- Tu m’as pris pour un con !
- Jjejeeeje…. Bredouille t’elle.
- Avec qui baises tu aussi salope ? T’es une pute ou quoi ? Je viens de voir que sur ce film il y a quelqu’un qui vous filme.
Son visage s’empourpre. Elle n’avait apparemment pas l’intention de tout me dire.
- Alors ? Qui d’autre profite de ton petit cul de salope ? J’attend, tu ne vas pas t’en tirer comme ça cette fois ci. Ce film a deux mois, et tu ne m’as jamais parlé de quelqu’un d’autre.
- C’est, … heu, Lucy.
Lucy, c’est l’une de la bande du mercredi soir. J’entrevois une entourloupe.
- Qu’est ce qu’elle fou là Lucy ? Elle aussi elle se fait défoncer le cul par l’autre super-membré ?
- Non, enfin… oui, mais ce n’est pas pareil.
- En quoi ta copine est différente ? Elle est juste cinéaste ? Tu l’as conviée à partouzer ?
- En fait, c’est l’inverse. C’est son mec. Elle était avec lui avant moi. Elle me l’a présenté parceque l’anal, le shibari,… enfin tout ça, c’est pas trop son truc.
- …- Elle m’a demandé de lui rendre service au début. Comme je lui avais confié mes petits penchants, elle m’a convaincue de m’offrir à son mec pour la remplacer certains soirs et le laisser assouvir ses penchants.
- Du coup, elle tient la chandelle ?
- Ben oui … et non. Elle tient la caméra la plupart du temps et aussi sa queue parfois pour me la mettre. Lucy, c’est un peu une excitée du cul, mais différemment. Elle prend son pied en me dominant. C’est elle en fait ma maitresse. Elle me fou des fessées quand je résiste à son mec. Elle me force à lui sucer les couilles et la queue après la sodomie. Ça fait deux semaines qu’elle me bassine pour me faire percer la chatte et les tétons. Elle me traine parfois en laisse et surtout… elle est bi.
- QUOI ?!? TU TE GOUINES AUSSI AVEC ELLE ?
- … oui. … on a commencé au lycée, et puis quand elle est tombée sur ce type et moi sur toi, on a arrêté. Quand elle m’a offerte à son mec, c’était l’occasion et je n’ai jamais été contre. Elle fait des cunis presqu’aussi bien que toi.
Je pensais avoir gravi l’échelle du stupre avec ces derniers mois d’aventures poly amoureuses, mais les derniers échelons étaient encore devant moi. Je ne pouvais plus supporter ces mensonges et ces humiliations. On n’en a pas parlé, mais je pense maintenant que l’uro et la zoophilie devaient être dans ses pratiques.
- Que veux-tu ? La vérité c’est que j’aime baiser avec lui. J’adore sa bite énorme, j’adore me faire remplir le cul et les nombreux orgasmes qu’il me procure. J’aime le sucer et bouffer son foutre. Mais je ne l’aime pas. Je ne les aime pas. Ils m’exploitent. C’est toi que j’aime. Tu es le plus tolérant des maris, le plus extraordinaire, celui qui me laisse profiter de tout ça et pourtant celui auprès de qui je suis vraiment moi.
Il fallait que je change la musique. Jusque-là, elle avait la baguette et dirigeait l’orchestre. C’était fini. On allait jouer avec mes règles maintenant.
- Baisse ta culotte !
- Que veux-tu faire ?
- Obéi maintenant ! Baisse ta culotte tout de suite Emma !
- Timidement elle baisse son short et me regarde.
Je la bascule sur mes genoux et lève ma main droite.
- Non ! Tu n’as pas le droit de me donner une fessée !
- Si ! J’ai tous les droits maintenant que tu m’as trahi, tu t’es conduite en fieffée salope et en plus je crois que tu as aimé cela.
Je claque ses fesses de toutes mes forces. Elle cri. Ma main me chauffe, mais je continue. Je repère sans le croire qu’elle commence à mouiller. Je m’arrête un instant pour vérifier. Mais oui ! Cette petite dévergondée dégouline de la chatte sous mes claques.
Entre deux claques, elle m’interrompt « Attend ! je reviens » Elle se lève et va farfouiller dans son sac à main. Je la vois passer son bras derrière elle en revenant vers moi comme si elle calmait la douleur sur ses fesses, puis elle se remet en place me présentant son cul nu avec en son centre le plug anal. Constatant que je ne reprenais pas tout de suite, elle me regarde et me dit qu’elle sait qu’elle est lubrique, mais elle a besoin maintenant de sentir son cul ouvert pour jouir.
Effectivement, deux claques plus tard lui enfonçant probablement le plug au plus profond de son cul, elle est secouée par un orgasme dévastateur et se met à me pisser dessus. Je lui reproche en lui disant qu’elle est une sacrée cochonne, mais elle me regarde amusée :- Mais non, t’es con ! Je suis fontaine. Je sais que ça ne m’était jamais arrivé jusqu’à maintenant avec toi, mais ça m’arrive souvent quand je me fais enculer.
Je tente de la reprendre en main et de remplacer le plug par ma queue, mais elle se défend.
- Non, pas comme ça. Pas toi. D’abord je suis épuisée, et en plus je préfère que tu évite de me baiser par là. Ce n’est pas moi, c’est la trainée qui se fait enculer par des mecs. Je sais que j’en ai envie souvent, mais c’est l’autre moi, celle qui n’a aucun respect pour elle… Tu comprends ?
Sans attendre ma réponse, elle se jette sur ma queue et entame en quelques succions une chose qu’elle ne m’avait jamais faite. Je sens mon gland passer un étroit conduit et s’enfoncer dans sa gorge. Elle sait faire des gorges profondes. Sa bave dégouline déjà sur mes couilles qu’elle saisie de sa main droite. Ses yeux pleurent alors que d’ignobles bruit de déglutition se font entendre. Qu’importe, je sens la sève monter, et je lui éjacule le tout directement dans la gorge. C’est quand même diabolique. Je ne me vois pas renoncer à de tels plaisirs. Emma restera avec moi, mais plus question qu’elle retourne vers ses maîtres. Je lui dis, et elle l’accepte à regret.
- Tu sais Auré, je suis ce que je suis. Je t’aime, et je ne pourrais pas me passer de toi, mais j’ai aussi mes démons. Comment vais-je pouvoir les gérer ?
- Ecoute, j’ai compris que tu avais le feu au cul, et je veux te garder, alors ce que je te propose, c’est un nouveau programme : Je cherche des mecs qui pourraient te plaire et toi tu cherches des nanas qui pourraient me plaire. Ensuite on baise avec eux, mais ensemble. Plus question que tu fasses ça dans mon dos.
- T’es certain ? Tu penses que tu peux supporter ce genre de relations avec moi qui suis très… hum… salope.
- Je m’en arrangerais. Ça ne me dérangera pas si je ne peux pas participer, mais je ne te quitte plus des yeux.
- Ok alors, pour te remercier de ton amour, je vais te faire voir quelque chose que tu n’as encore jamais vu. Je vais me masturber pour toi comme tu aimes.
- J’aime ça, mais ça n’est pas nouveau.
- Si, car je vais m’enfiler un gode dans le cul et toi tu pourras me lécher le clito pendant ce temps-là.
Et la réconciliation était en marche.
Souvent en jean et chemisier blanc, son regard fait tourner les têtes comme il a fait tourner la mienne il y a quelques mois. Il faut dire qu’elle garder une ligne de rêve sans effort et que ses jeans lui offrent l’opportunité de mettre en valeur un petit cul aux formes de rêve.
Pour le moment, ce n’est pas lui pourtant qui me met dans tous mes états, c’est plutôt son absence. Il git sur le sol avec le chemisier blanc, une petite culotte de coton et un soutien-gorge assorti.
Ce dernier ne sert absolument à rien car la belle a aussi été dotée d’une paire de seins fermes et superbement dessinés. Un 95C qui se tient seul et qui pointe outrageusement en ce moment même sous mon nez. J’ai eu beau espérer qu’elle laisse ses seins libres quand nous sommes seuls, rien à faire. Depuis 4 ans que je la fréquente, jamais elle n’a cédé sur l’éducation que sa mère lui a inculquée.
Au début, ce n’était qu’une gamine, la copine d’une cousine dans le même lycée que moi. Je les avais rencontrées toutes les deux et j’étais de deux ans plus âgés, seulement une année devant elles en terminale. La conversation était banale, mais l’expérience marquante, … pour moi. Sans réelle expérience avec les filles, j’avais flashé sur celle-ci et en avait parlé avec ma cousine.
Hélas, Emma n’en avait cure. Elle ne s’est d’ailleurs pas souvenue plus tard de cette première rencontre et n’avait évidemment pas retenu mon prénom. Tout son esprit était alors concentré sur une autre cible de sa classe et je n’ai plus eu affaire à elle pendant près de deux années.
Il a fallu que bac en poche je termine ma première année en école de commerce pour que je la vois réapparaitre. Elle avait suivi ma voie, sans le savoir, et le hasard faisant bien les choses, je me suis retrouvé nommé son parrain pour l’assister dans sa première année. Le ciel m’avait béni, je n’avais cumulé que quelques expériences tièdes avec la gent féminine et m’étais surtout concentré sur les études.
En quelques mois, j’avais convaincu Emma de me laisser l’embrasser et nous nous fréquentions assez souvent. Elle vivait chez ses parents et moi chez les miens. Nous avions surtout des relations en soirée et chez des copains. Autant vous dire que l’intimité était réduite et que nos pratiques se résumaient le plus souvent à des caresses volées.
Mais les caresses étaient bien ce qu’Emma adorait par-dessus tout, et elle ne se privait pas pour les réclamer, ou se les offrir. C’était une adepte de l’auto satisfaction et je me plaisais à lui embrasser les mains par surprise pour détecter si elle s’était donnée du plaisir entre deux cours.
Quand elle a opté pour une alternance dans une grande entreprise de spiritueux, je disposais d’un studio dans le 10eme arrondissement de Paris et je l’ai invitée à me rejoindre autant que possible.
C’est pour cette raison qu’elle est devant moi, entièrement nue sur mon clic-clac, et me montre comment une fille se donne du plaisir quand elle en a l’occasion. Je suis resté un petit garçon et je bave littéralement devant sa beauté, moi qui n’ai pas eu de sœur. J’accepte la leçon et je la regarde activer habilement ses doigts autour de ses mamelons et de sa fente sans les malmener. Son sexe et ses seins montrent encore les traces blanches du maillot qui les a protégés tout l’été. C’est un stimulus supplémentaire qui me rappelle que je suis le seul à la contempler ainsi exposée.
Elle m’explique que le désir doit monter et qu’elle s’interdit de rentrer ses doigts tant qu’elle n’a pas la mouille qui dégouline entre ses fesses. Je guette l’arrivée de ce jus brillant sous l’éclairage faiblard de ma chambre et je bande. Elle m’a demandé de me toucher au même rythme qu’elle, et je peine à ne pas accélérer. J’ai envie de son corps si juvénile et si tendre, mais je sais aussi qu’à chaque fois que le pénètre, la jouissance vient trop rapidement pour elle, et pour moi. Nos meilleures expériences sont souvent celles où, comme maintenant, elle fixe les règles de ce jeu, et qu’elle en abuse pour me voir jouir avant elle.
En dehors de ces moments chauds, notre vie tourne au plan-plan. Elle travaille au plan de vente de son groupe et je fini ma mon master II en espérant une embauche bien rémunérée à son issue. Elle est sérieuse et aussi ambitieuse que moi. C’est aussi une féministe en herbe qui comme beaucoup de filles de son âge défend ses convictions à chaque occasion. C’est peut-être aussi pour cette raison que je n’ose pas lui confier mes rêves, mes fantasmes, mes pensées de peur de la braquer.
En ligne avec cette philosophie, Emma consacre toutes ses soirées du mercredi à ses copines. Elles se retrouvent pour boire ou manger ensemble. Je n’ai pas toujours de compte rendu, parfois des anecdotes, et j’en profite en symétrie pour retrouver mes potes. C’est un peu lourd parfois d’être seul alors qu’eux sont assez fréquemment en couple, même si ce n’est pas avec leur régulière.
L’anniversaireL’année est maintenant bien lancée et nous avons été conviés par ma fameuse cousine à une soirée d’anniversaire. Les filles se sont perdues de vue depuis le lycée, mais les relations familiales étant ce qu’elles sont, c’est en couple cette fois-ci que nous nous présentons dans la grande maison de mes Oncle et tante. Je connais bien ce lieu déserté par ma famille pour l’occasion et nous sommes probablement une cinquantaine à boire, danser et causer dans tous ses recoins. J’y retrouve quelques connaissances perdues de vue, mais Emma semble s’ennuyer en dehors de ses conversations avec ma cousine. Je m’en inquiète au moment où un grand type qui m’est inconnu lui adresse apparemment une invitation à danser. Cela me rassure, je vais peut-être éviter les reproches en rentrant, et je reprends ma conversation.
Quelques morceaux se succèdent à la sono et ma douce danse toujours avec son partenaire, ce qui me satisfait. Je n’aime pas vraiment danser moi-même à l’inverse d’Emma qui est toujours prompte à s’activer sur la piste. Son body est visible sous sa blouse. J’adore ce vêtement qui donne à sa poitrine une forme encore plus arrogante et qui me rappelle que seuls deux pressions assurent l’honneur de ma nana.
Je les repère un peu plus tard en train de rafraîchir un verre à la main. Elle m’amuse car il a une tête de plus qu’elle et elle le regarde cambrée en arrière comme une enfant discutant avec un adulte. Elle est si jolie, elle sourie et je suis rassuré.
Une heure, ou plus, plus tard, il est temps de partir. La soirée était agréable et j’appelle un taxi pour rentrer au studio. Emma est tout sourire, comme ivre alors qu’elle n’a pas abusé à ce que je sais. Elle me regarde interrogative et me demande si je ne lui en veux pas. Surpris par sa question, je ne suis pas capable de masquer mon étonnement : Mais de quoi mon Dieu ? Elle se reproche de m’avoir délaissé pour avoir si longtemps dansé avec un autre. L’occasion est trop belle pour moi de faire le brave et je l’assure que cela me paraît tout à fait normal. Non seulement je n’ai aucun reproche à lui faire, mais je trouve tout à fait sain qu’elle s’amuse même sans moi. Je suis moderne et donc je ne m’accorde aucun droit de propriété sur elle. De plus, je suis même heureux qu’elle ait du plaisir, au point de l’encourager à le trouver comme elle l’entend. Je l’aime assez pour ne pouvoir éprouver aucune jalousie et j’éprouve même une grande satisfaction à ce qu’elle se soit amusée ce soir sans moi.
Emma, me félicite pour mon esprit féministe et moderne et elle m’embrasse. Son baiser est long et sensuel. Nos langues se rencontrent comme elles ne le font que trop rarement, et j’en profite pour caresser ses seins durcis à travers le coton de son body.
Rendus au lit, après un lavage de dents prolongé, elle se love contre moi et s’endort rapidement à l’issue d’un « je t’aime » galvanisant.
Le piègeQuelques jours plus tard, Emma revient sur notre conversation, sur le ton « je sais que tu étais un peu pompette, mais tu pensais vraiment ce que tu m’as déclaré ? Si je passe une soirée avec un autre garçon, tu ne serais pas jaloux ? » Je dois assumer et je ne vois pas quoi argumenter sinon que la confiance est là quand rien n’est caché. A partir du moment où je suis au courant, je ne peux pas me sentir trompé. En plus mon bonheur est de la rendre heureuse avant toute chose. La brimer et risquer de la voir me quitter serait un vrai cauchemar, donc oui, je confirme et je signe.
Elle me dit que je suis un type formidable et se félicite de m’avoir trouvé, puis on en reste là.
Nos soirées reprennent avec nos jeux érotiques. Masturbation cuisses grandes écartées dans la douche quand je rentre dans la salle de bain et concours de gros mots. Elle n’en a pas l’habitude, mais je l’invite à utiliser des mots crus en privé. Je m’aperçois que cela décuple son plaisir, surtout quand elle joui sous ses doigts. Je lui invente des histoires de voyeurs alors qu’elle prend soin de protéger notre intimité durant ces séances. Je lui ai offert deux ensembles assez transparents et la voir les porter me procure une satisfaction immense. Malheureusement, les occasions ne lui paraissent que trop rarement adaptées. Ce n’est que lors de rare WE seuls qu’elle accepte de les porter sous ses jeans et pulls hivernaux. Il n’en ressort qu’une excitation psychologique.
Janvier arrive avec sa fatigue annuelle. L’année est loin d’être terminée, le jour ne semble jamais se lever et on espère avec impatience le retour des longues soirées et de la douce chaleur solaire. Mon niveau de stress augmente en prévision des examens de fin d’année et de cette discussion entamée avec un groupe hôtelier pour rejoindre leurs effectifs à la rentrée.
Emma me raconte que lors de sa dernière soirée entre copines, elle a retrouvé son danseur de l’anniversaire. Ils ont à nouveau dansé et il l’a invitée à diner vendredi.
Je suis piégé, mais je ne dois rien laisser voir. Je me réjouis faussement et je l’encourage à accepter l’invitation si elle en a envie. Ce n’est pas que je ne l’aurais pas accompagnée, mais je sens bien que ce n’était pas une option. Il ne me reste qu’à la regarder se préparer, troublé par cette situation incongrue. Il me semble qu’elle consacre un temps exagéré pour préparer son look. Le Jean laisse place à une jupe, puis une autre, avant qu’une troisième s’impose. Le haut est lui aussi l’objet d’une stricte sélection, et après sa douche, je remarque même avec un pincement au cœur qu’elle enfile sans hésiter l’une des deux parures de dessous transparents que je lui avais offertes. Elle est sublime et à croquer, et là, je commence à être jaloux. Rien à faire, je ne peux rien montrer.
Elle rentre assez tard cette nuit-là. Quand je la questionne dans un demi sommeil sur son diner et sur les raisons de ce retour si tardif, elle me semble un peu confuse. J’entends parler de promenade et de garçon vraiment mature, puis je me rendors rassuré par sa présence. Le lendemain, je me contrains à ne rien demander de plus et n’ai aucune information.
Deux semaines plus tard, elle m’avoue l’avoir à nouveau rencontré avec ses copines du mercredi, et m’annonce qu’il souhaite à nouveau qu’elle le rejoigne pour une seconde soirée. Je craque et ne peux me résoudre à laisser passer l’affaire sans entamer une conversation assez délicate.
Qu’attend-elle de ce type au juste ? Le trouve t’elle séduisant ? Est-ce que je ne lui plais plus ?
Raté pour la délicatesse, mais tant pis. Elle s’agace de mon inquisition contraire à ma ligne politique et me jure son amour tout en m’avouant qu’elle apprécie vraiment la fréquentation de quelqu’un si différent de moi, voir opposé. Je tente une diversion en lui demandant en quoi il peut être si différent, pour réentendre qu’il est très mûr voir autoritaire. Emma chercherait à expérimenter des relations qui pourraient lui bénéficier dans le travail et lui apprendre comment se positionner dans de telles conditions. Je calme le jeu et la laisse partir dans une tenue qui n’a rien à envier à la précédente fois.
Une nouvelle fois, elle rentre tard, et m’évite même en prenant garde de ne pas me réveiller et en se couchant immédiatement. Très tôt le matin, elle se précipite dans la douche et invente une course urgente.
Dans la semaine, je rentre dans la salle de bain en sa présence, comme je l’ai déjà fait tant de fois espérant la surprendre à se caresser, et je constate avec stupéfaction qu’elle a rasée entièrement sa toison pubienne. Son apparence me trouble au point d’en rester sans voix. Associé à son corps parfait, cette petite fente dégagée et toute fine la fait vraiment ressembler à une ado immature. Elle est excitante et je ressors de la salle de bain sans lui en avoir parlé.
Je tombe alors sur son sac à main renversé, et je repère des préservatifs dans la poche intérieure. J’en oublie ce que qui venait de m’exciter tant pour en profiter et poursuivre mon enquête. Je connais son code de téléphone et consulte les WhatsApp rapidement. Une conversation assez soutenue y est présente et il en ressort que les relations de ces deux là ne sont ni platoniques ni professionnelles. Je tente de me calmer et, ne trouvant pas comment aborder le sujet, je remets à plus tard les explications.
Mercredi, elle m’annonce qu’elle a rendez vous avec son amant en lieu et place de sa traditionnelle soirée entre filles. C’est la goute qui fait déborder le vase et j’exige une explication, car ce sacrifice d’une soirée établie est significatif.
Elle m’évoque tout d’abord son jardin secret et me presse à décider ce que je veux : Qu’elle me quitte ou qu’elle soit heureuse. Elle me rappelle qu’elle ne fait que d’appliquer les préceptes que je lui ai moi-même inculqués. Elle aime le changement et cela ne veut en aucun cas signifier qu’elle veut me perdre. Oui, elle a des relations avec lui, et depuis le début. Elle pensait que c’était évident.
Dès le premier soir, elle l’avait gratifié d’une fellation entre deux danses et elle en avait été très heureuse. Quand je pense qu’elle m’a embrassé si fort ensuite, je réalise à quel point j’ai été naïf. En plus, la fellation est un acte qu’elle ne m’a jamais offert. Je fulmine. Elle ajoute qu’elle ne le supporterait pas à plein temps, mais elle aime son côté autoritaire et sa façon de la diriger comme une petite fille qui lui donne du plaisir. C’est lui qui lui a exigé qu’elle se rase entièrement par exemple.
Clairement le dossier m’échappe. Je ne vois pas comment la ramener à moi, et je prends une soudaine trouille de la perdre à jamais. Je décide donc en bon commercial de tenter la négociation et je lâche du lest. « OK, tu fais ce que tu veux, mais à partir de maintenant je veux un rapport détaillé de tout ce que tu fais avec lui. C’était le deal dès le début et tu l’as rompu. Que cela ne se reproduise pas. »Ne demandant pas son reste, elle part à son rencart et se retourne après deux mètres dans le couloir. Elle passe ses mains sous sa jupe, et baisse sa culotte. Elle me la tend en m’embrassant puis me dit « Il veut aussi que je sois cul nu quand je vais le voir, alors… »Je sens une érection monumentale alors que je la regarde passer le pas de la porte et l’entend s’éloigner. Jamais je ne l’ai vue cul nu dehors.
Ma soirée est horrible. Je ressasse sans cesse ses aveux. Je la revois me tendre ses dessous, et je constate tout d’abord qu’ils sont plutôt humides. Je la revois dans la douche la fente à nu. Je me reproche tout. Lui avoir céder, ne pas l’avoir plus regardé, ne pas savoir la faire jouir plus fort. Peut-être devrais-je montrer plus d’autorité. Je suis faible.
Dans cette confusion mentale, je ne peux m’empêcher de saisir ma queue et de la caresser machinalement. La jouissance vient assez rapidement alors que j’imagine ce qu’elle peut faire de sa soirée. Je ne cesse de modifier les scénarios, et je ne peux me concentrer sur rien d’autre. Même couché, je ne trouve pas le sommeil, et vers 8h du matin, elle n’est toujours pas rentrée. Un SMS sonne. C’est elle qui m’annonce qu’elle va directement au travail, sans culotte donc. Nouvelle érection !
Impossible de me contrôler. Je merde toute la journée dans mon travail. Je prétends finalement un dérangement intestinal pour m’éclipser plus tôt. Vers 19h elle agite enfin ses clefs dans la serrure. Elle est souriante et semble épanouie comme au soir de l’anniversaire. Elle m’embrasse en me remerciant pour ma tolérance. Echaudé, j’hume son haleine, trop con que je suis. Après une journée de travail, je ne peux rien espérer. Je suis décontenancé par son assurance, et elle en profite pour se déshabiller et rentrer dans la douche sans explication.
Je sais que je vais les avoir, mais les interruptions se multiplient : téléphone de sa mère, voisin rencontrant une fuite, omission d’acheter du pain… ce n’est que vers 20h30 que le calme revient et que je me lance à lui rappeler notre accord. Elle s’exécute et commence par décrire le contexte de leurs relations. Elle m’avoue en cherchant ses mots, que c’est plutôt une domination qu’elle va chercher auprès de lui. Elle joue la petite fille, et il lui demande de se caresser devant lui comme elle aime le faire avec moi. Il la prend parfois en photo et parfois il la filme. Il lui donne des ordres et elle doit s’exécuter sans discuter. Il aime les fellations et elle reconnaît y avoir pris gout.
Je reste muet à l’écoute de cette liste. Je n’avais pas imaginé ces scènes et je sens à nouveau ma queue grossir. C’est quand elle aborde la notion de punition que je réagis : « Comment ça il te punit ? »C’est soft et plutôt symbolique : Il me donne des fessées, parfois.
Elle vient s’asseoir à côté de moi sur le clic clac et m’enlace. Elle m’embrasse en me disant que je suis l’amour de sa vie. Ses baisers me clouent le bec et sa main s’active sous ma ceinture. Elle sent à quel point je bande et s’en réjouit. Pour marquer le coup, je note qu’elle force le trait et commence à prendre ce langage cru avec lequel je l’avais encouragée à me parler. « Putain, tu bandes comme un âne. Ta bite n’a jamais été aussi dure. Je vais te sucer comme une salope que je suis »S’en suis une de mes premières pipes, en tous cas la plus mémorable. Sa bouche pour la première fois s’empare de ma queue et l’aspire en plusieurs fois presque entièrement. J’ai de la salive qui dégouline sur les couilles. Sa langue parvient à parfois me les caresser. J’ai le sentiment que j’atteins parfois sa gorge et ce qui arrive trop vite survient : Je lâche la purée en longues giclées dans sa bouche. A mon grand étonnement, elle ne me quitte pas, me regarde dans les yeux et avale tout ce que je peux lui donner. Le baiser qui s’en suit et son parfum me rappelle que le premier soir elle a dû peut-être lui faire le même plaisir, mais qu’importe. Je savoure le mien en cet instant magique.
Du coup je ne suis pas d’attaque au lit et ma nouvelle salope de copine s’endort rapidement à mes côtés.
Dès le vendredi suivant, elle déboule dans la pièce principale en m’annonçant qu’elle part à nouveau rejoindre son amant pour la soirée. J’ai beau protester que ce n’était pas au programme, elle me promet juste de me raconter tout.
Je tente de la saisir pour au moins la ralentir quand elle passe près de moi, mais tout ce que je réussi à faire c’est de tirer sa jupe et de me révéler à nouveau qu’elle n’a pas de culotte. Toutefois, j’ai repéré quelque chose d’étrange. Un reflet, un truc qui brille entre ses fesses. Je ne sais pas ce que c’est et ce n’est que plus tard dans la soirée que la révélation interviendra.
Alors que je me morfonds seul dans notre studio, je branche ma tablette, décidé à nourrir mon imaginaire sur ce qu’Emma peut faire en mon absence. Le mot clef « domination » étant rentré dans un site de photos connu, je parcours les résultats. Je refuse de croire à la plupart des scènes mais soudain, je remarque que des filles utilisent ce que j’apprends s’appeler un plug pour se préparer à la sodomie.
Le coup est sévère et je peine à respirer : Ma copine se préparait donc à prendre une queue dans sont petit cul si mignon ? Il est vrai que dans ma naïveté, je ne m’étais même pas confronté à l’évidence. Une fille comme Emma, ne pouvait se contenter de jouer à touche pipi avec son amant. Elle devait forcément lui offrir son corps en entier. J’ai honte de mon innocence et je m’excite à réaliser que ma chérie me dépasse de beaucoup déjà en expérience sexuelle. Elle se fait probablement profondément enculer en ce moment même alors que l’idée même de la pénétrer par ailleurs que devant ne m’avait même pas traversé l’esprit. Je me rappelle maintenant ses longues douches avant de le rejoindre lors de ses rendez-vous précédents et je l’imagine préparant son anus pour le rendre propre. Je ne suis plus à ma masturbation mécanique et l’éjaculation me surprend. Je m’en suis mis partout, y compris sur le visage. Je n’ai plus qu’à nettoyer honteux mes éclaboussures.
La nuit suivante, mon sommeil est agité. Elle n’est pas rentrée, mais je la rêve se faisant tringler, cambrée le cul en arrière, concentrée sur son plaisir et me dédaignant alors qu’elle me regardait avec amour au début de la scène.
Quand elle débarque les traits tirés au matin, elle va directement dans la douche sans m’embrasser. Une fois prête, elle revient vers moi nue et s’allonge sur le lit après m’avoir embrassé. Elle s’allonge sur le côté, la tête dans l’oreiller et moi, derrière elle, je peux admirer son postérieur sublime tel un voyeur. J’y cherche des traces de sa nuit et je remarque deux choses : Encadré par deux fesses écartées par la position, son anus me regarde fièrement. Il a été de toute évidence malmené et me paraît en cône, plus visible et plus large que jamais. Sans raison valable, cela me rend fier. La salope qui est dans mon lit est à moi, et elle se fait enculer. Je remarque aussi que la peau de ses fesses n’est pas comme je l’ai toujours aimée. Sa couleur n’est pas uniforme. Des traces rouges sont visibles, des traits et peu être même des traces de main.
Tu as reçu une fessée ? je lui demande.
Oui, par ta faute.
Je suis stupéfait. Comment pourrais-je en être responsable moi qui n’ai pas bougé du studio ?
Quand tu m’as questionnée hier, tu m’as mise en retard et il n’a pas apprécié.
J’ose alors poser la question qui me taraude maintenant et lui demande clairement s’il la prend par les deux côtés. Là encore, je me prends un coup dans le ventre et perd toute assurance quand elle me répond que non. Seulement par le cul.
Je suis dépassé, dévasté. Pourquoi cela m’aurait il paru plus acceptable qu’elle offre ses deux orifices ? Je ne sais pas. Mais le fait que seules les relations anales lui conviennent me laisse sans voix. Elle le sent bien et reprend son argumentation comme pour me rassurer. « Il sait que tu ne m’as jamais prise par le cul, alors il te laisse ma chatte et se réserve ma porte arrière »« Réserve » ? Il est gonflé ! Il m’empreinte ma nana sans rien me demander alors qu’il connait mon existence et il se réserve son cul ? Je me sens humilié, mais cette nouvelle me rend raide. Ce cul m’appelle, et je me surprends à l’embrasser. Des baisers sur les fesses rougies, un baiser sur sa moule toute lisse. Je n’avais jamais connu le toucher de sa peau à cet endroit. C’est d’une douceur exquise. Je me prends au jeu et glisse ma langue au centre. Elle grogne au début et progressivement elle écarte encore plus les cuisses, puis s’allonge sur le dos. Sa petite chatte s’ouvre devant moi. Son clitoris dépasse et dessous ses lèvres rosissent. Si ma salive la fait briller, j’entends à ses commentaires que le traitement lui plait,… beaucoup. Elle attrape ses genoux avec ses deux mains et m’offre un accès total à son con. « Bouffe moi la moule ! Tu es vraiment bon à ça ! Cela me manque quand ma cramouille se sent abandonnée. Mmmh… C’est vraiment toi le meilleurs »J’en retire une grande fierté et la fait reluire jusqu’à la jouissance. Ce n’est pas aussi rapide que d’accoutumé, mais peut être plus puissant. Quand elle reprend ses esprits et se relève, elle me saisie la queue sous le boxer et commence à son tour à m’astiquer.
- Qu’as-tu fait en mon absence ? Tu as pensé à moi ?
- Bien sûr. D’ailleurs, qu’avez-vous fait ? Tu te rappelles que tu me dois un rapport ?
- Je sais, mais c’est difficile. J’ai peur que ton avis sur moi change avec ce que je peux te raconter. Je ne suis pas très sage comme tu le sais déjà.
- En effet, je sais déjà que tu le laisse t’enculer, te filer des fessées et tu le suces probablement jusqu’au bout.
- Oui, c’est vrai. J’ai aussi commencé des jeux avec des cordes. C’est un adepte du shibari.
Je n’avais aucune idée encore de ce que c’était, mais l’évocation des cordes dans ce contexte me laissait supposer qu’il l’attachait.
- Comment connais-tu tous ces trucs ? Tu avais déjà fait ça avant ?
- Non, enfin sauf pour l’anal. Tu sais que j’ai eu d’autres mecs avant toi. Tu es le seul qui ne m’a jamais sollicitée par là. C’est ton charme. Le Shibari, tu en vois sur tous les sites de cul. Ce n’est pas confidentiel (Et paff pour ma gueule).
- Tu le laisses vraiment prendre des photos ?
- Oui, je ne lui ai pas demandé, mais c’est son truc. Il fait des gros plans sur ma chatte quand il me bouffe l’entre jambe.
- Et tu en as avec toi ?
- Non, ça ne m’intéresse pas, mais si tu veux je peux lui demander de t’en envoyer des softs.
- Pourquoi softs ? Tu me prends pour une petite nature ?
- On verra, me dit elle en accélérant le rythme de sa masturbation.
- Pourquoi ne m’as-tu jamais parlé de ces fantasmes ?
- Je ne pouvais pas parce que je ne les connaissais pas. C’est venu comme ça, sous son emprise. Lors de la soirée d’anniversaire, c’est lui qui m’a dit que j’allais lui faire une pipe. J’ai été choquée au début, même si j’ai cru que c’était une mauvaise plaisanterie. Et puis quand il m’a entrainée dehors, il a pris ma main et me la pressée contre sa queue. Il était raide comme une batte de baseball.
- Rien que ça ?
- Tu n’imagines pas ce qu’il a entre les jambes. Sur Internet, je croyais que c’était du photoshopé, mais non, maintenant je sais que ça existe. C’est presque handicapant. Il est obligé de mettre un slip spécial pour travailler pour ne pas être surpris par ses érections.
Quand il a entrepris la première fois de me la mettre, j’ai morflé grave et on n’y est jamais arrivé. Je voulais vraiment y arriver. C’est un vrai fantasme qui pouvait être réalisé, et c’est pour cela qu’il m’a conseillé de porter un plug pendant quelques temps. Je l’ai porté plusieurs jours pendant mon travail pour réussir à me faire mettre.
Encore une fois, les mots me manquaient. La réalité dépassait tout ce que j’avais pu imaginer pendant mes longues soirées seul. Le retour de ce langage cru et ces aveux achevaient ma volonté de résister à ses caresses. J’explosais dans sa main et sur le lit. Elle rit et me tendit sa main souillée.
- Goute ! Tu vas voir, c’est rigolo.
Devant ma tronche pas ragoutée, elle prit un air sévère que je ne lui connaissais pas.
- Eh, c’est bon ! Je le bouffe bien ton foutre ! Tu peux bien le gouter aussi !
Comme un gamin pris en faute, je sortais ma langue timidement et la regardais dans les yeux. Son regard était autoritaire. A peine avais-je touché du bout de la langue le jus blanchâtre qui commençait à couler qu’elle appuya sa main sur ma bouche en gueulant « lèche »La scène terminée, elle m’a regardé en riant.
- Tu verrais ta tête ! Ce n’est pourtant pas la fin du monde et ça me fait plaisir que tu sois capable de bouffer aussi du sperme. Je me sens moins seule après tout ce que j’ai pris ces dernières semaines.
Dégouté, je me retire dans la salle de bain pour me rincer la bouche et nettoyer les traces de mon éjaculation.
Les jours se sont succédé ainsi durant les mois de février et de Mars. Quand elle avait ses règles, jamais elle n’a manqué ses rancards avec son amant. Je savais que cela n’avait aucune influence sur leurs relations.
De mon côté, j’avais acquis un rôle de bouffeur de minou qui lui tenait à cœur. Presqu’à toutes les occasions elle exigeait ce traitement buccal en entrée, puis me suçait ou me branlait pour me faire manger mon propre jus, le plus souvent soigneusement récolté dans sa main, dans sa bouche ou même coulant de sa chatte.
J’étais d’autant plus heureux qu’elle était très gaie et me gratifiait maintenant des joies de voir son cul nu en public. Souvent elle avançait devant moi, appuyée sur un parapet ou une barrière et soulevait sa jupe. Son petit cul était maintenant très ouvert et parfois occupé par un jouet qu’elle sortait d’on ne sait où. Elle se masturbait volontiers pour moi, en tous lieu et avec divers objets. Quant aux photos, j’en ai reçu un petit nombre. La première représentait sa fente léchée par un visage dont je ne voyais que le menton. Sur une autre Emma était nue les yeux bandés, assise dans un fauteuil les jambes écartées maintenues comme ses poignets par des menottes. On voyait sa chatte ouverte de façon totalement obscène. D’autres la montraient le visage ou les seins couverts de sperme. Je crois que celle qui m’a fait le plus d’effet est une qui avait été prise alors qu’elle était en pleine sodomie. La photo avait été prise de toute évidence par son enculeur et on voyait son visage qui regardait l’objectif. Elle souriait, sans rictus de douleur. La queue énorme lui dilatait le cul mais pour elle tout semblait normal. Comme elle aimait à le rappeler, on aurait cru à l’intervention de photoshop, mais je savais, rien qu’en la regardant nue, que c’est réel.
Au printemps, elle a fait quelques balades en forêt avec lui. Les photos que j’en ai eu la montrent culotte aux genoux et s’écartant les fesses pour faire ressortir son trou de balle ouvert et dégoulinant de sperme. Elle portait aussi un collier de chien dont je devinais l’usage et la signification.
J’en ai aussi une autre que j’adore. Elle est prise du sol et sous sa jupe. Outre son entre-jambe glabre, on y voit la grande arche de la défense ses marches et quelques passants assis.
Toutes ces photos et les petits films qu’elle m’obtenait me satisfaisaient. Ajoutés à sa libido en constante ébullition, elle faisait mon éducation sexuelle et je m’abandonnais à ses directives jusqu’à la laisser m’encourager à lui faire un cuni alors qu’elle revenait de toute évidence de chez son amant. Ce jour là je ne voulais peut-être rien entendre. Elle me répétait qu’elle était sa pute et qu’elle avait honte, mais elle me tenait la tête pour s’asseoir sur moi en relevant sa jupe. Sa chatte était brulante et sentait la mouille. Elle était enivrante et elle m’encourageait à la fouiller de ma langue. Elle me traitait de cocu nettoyant sa salope enculée et pour la première fois elle a ondulé son corps jusqu’à présenter son anus sur ma bouche. Certes, ce n’était pas un Niagara, mais j’ai eu la conviction de gouter au sperme qui sortait encore de son cul. J’avais assez d’expérience maintenant pour en identifier le goût et c’était certain, sa rondelle venait d’être dilatée par le mandrin énorme de son amant. Elle chiait encore son sperme. J’aurais pu en être dégouté, mais cette étape m’est apparue logique dans mon évolution.
Un jour cependant, j’ai eu un doute. L’un des petits films que j’adorais regarder la montrait encore en train de se faire ramoner avec plaisir. Comme souvent je me branlais sans vergogne devant la vidéo. Elle le savait et s’en amusait. Elle m’avait même convaincu de me lécher systématiquement les mains après éjaculation. C’était avec le plug les deux trucs qu’elle adorait particulièrement avec moi. Oui, le plug c’était pour moi. A l’instar du foutre, elle m’avait un soir obligé à tester la sodomie. J’étais vraiment opposant, mais ses menaces ont réussi à me convaincre. La surprise a été le plaisir que j’y ai trouvé au contact de ma prostate. Si on me l’avait dit avant ! Du coup, j’acceptais avec joie son petit vice et j’appréciais qu’elle me mette son plus gros gode dans le fion. Ceci dit, la vidéo cette fois-ci m’avait laissé une impression bizarre, comme si quelque chose m’avait échappé.
Mais oui ! A force de regarder du porno avec ma copine en star principale, j’en avais fini par oublier que la caméra devait être positionnée correctement. Or cette fois ci, l’image n’était pas stable. Un tiers tenait la caméra, et cela ne pouvait être son amant puis qu’il était dans le champ à un distance raisonnable.
- Emmaaaaaaaa !
La rage me prenait à nouveau.
- Tu m’as pris pour un con !
- Jjejeeeje…. Bredouille t’elle.
- Avec qui baises tu aussi salope ? T’es une pute ou quoi ? Je viens de voir que sur ce film il y a quelqu’un qui vous filme.
Son visage s’empourpre. Elle n’avait apparemment pas l’intention de tout me dire.
- Alors ? Qui d’autre profite de ton petit cul de salope ? J’attend, tu ne vas pas t’en tirer comme ça cette fois ci. Ce film a deux mois, et tu ne m’as jamais parlé de quelqu’un d’autre.
- C’est, … heu, Lucy.
Lucy, c’est l’une de la bande du mercredi soir. J’entrevois une entourloupe.
- Qu’est ce qu’elle fou là Lucy ? Elle aussi elle se fait défoncer le cul par l’autre super-membré ?
- Non, enfin… oui, mais ce n’est pas pareil.
- En quoi ta copine est différente ? Elle est juste cinéaste ? Tu l’as conviée à partouzer ?
- En fait, c’est l’inverse. C’est son mec. Elle était avec lui avant moi. Elle me l’a présenté parceque l’anal, le shibari,… enfin tout ça, c’est pas trop son truc.
- …- Elle m’a demandé de lui rendre service au début. Comme je lui avais confié mes petits penchants, elle m’a convaincue de m’offrir à son mec pour la remplacer certains soirs et le laisser assouvir ses penchants.
- Du coup, elle tient la chandelle ?
- Ben oui … et non. Elle tient la caméra la plupart du temps et aussi sa queue parfois pour me la mettre. Lucy, c’est un peu une excitée du cul, mais différemment. Elle prend son pied en me dominant. C’est elle en fait ma maitresse. Elle me fou des fessées quand je résiste à son mec. Elle me force à lui sucer les couilles et la queue après la sodomie. Ça fait deux semaines qu’elle me bassine pour me faire percer la chatte et les tétons. Elle me traine parfois en laisse et surtout… elle est bi.
- QUOI ?!? TU TE GOUINES AUSSI AVEC ELLE ?
- … oui. … on a commencé au lycée, et puis quand elle est tombée sur ce type et moi sur toi, on a arrêté. Quand elle m’a offerte à son mec, c’était l’occasion et je n’ai jamais été contre. Elle fait des cunis presqu’aussi bien que toi.
Je pensais avoir gravi l’échelle du stupre avec ces derniers mois d’aventures poly amoureuses, mais les derniers échelons étaient encore devant moi. Je ne pouvais plus supporter ces mensonges et ces humiliations. On n’en a pas parlé, mais je pense maintenant que l’uro et la zoophilie devaient être dans ses pratiques.
- Que veux-tu ? La vérité c’est que j’aime baiser avec lui. J’adore sa bite énorme, j’adore me faire remplir le cul et les nombreux orgasmes qu’il me procure. J’aime le sucer et bouffer son foutre. Mais je ne l’aime pas. Je ne les aime pas. Ils m’exploitent. C’est toi que j’aime. Tu es le plus tolérant des maris, le plus extraordinaire, celui qui me laisse profiter de tout ça et pourtant celui auprès de qui je suis vraiment moi.
Il fallait que je change la musique. Jusque-là, elle avait la baguette et dirigeait l’orchestre. C’était fini. On allait jouer avec mes règles maintenant.
- Baisse ta culotte !
- Que veux-tu faire ?
- Obéi maintenant ! Baisse ta culotte tout de suite Emma !
- Timidement elle baisse son short et me regarde.
Je la bascule sur mes genoux et lève ma main droite.
- Non ! Tu n’as pas le droit de me donner une fessée !
- Si ! J’ai tous les droits maintenant que tu m’as trahi, tu t’es conduite en fieffée salope et en plus je crois que tu as aimé cela.
Je claque ses fesses de toutes mes forces. Elle cri. Ma main me chauffe, mais je continue. Je repère sans le croire qu’elle commence à mouiller. Je m’arrête un instant pour vérifier. Mais oui ! Cette petite dévergondée dégouline de la chatte sous mes claques.
Entre deux claques, elle m’interrompt « Attend ! je reviens » Elle se lève et va farfouiller dans son sac à main. Je la vois passer son bras derrière elle en revenant vers moi comme si elle calmait la douleur sur ses fesses, puis elle se remet en place me présentant son cul nu avec en son centre le plug anal. Constatant que je ne reprenais pas tout de suite, elle me regarde et me dit qu’elle sait qu’elle est lubrique, mais elle a besoin maintenant de sentir son cul ouvert pour jouir.
Effectivement, deux claques plus tard lui enfonçant probablement le plug au plus profond de son cul, elle est secouée par un orgasme dévastateur et se met à me pisser dessus. Je lui reproche en lui disant qu’elle est une sacrée cochonne, mais elle me regarde amusée :- Mais non, t’es con ! Je suis fontaine. Je sais que ça ne m’était jamais arrivé jusqu’à maintenant avec toi, mais ça m’arrive souvent quand je me fais enculer.
Je tente de la reprendre en main et de remplacer le plug par ma queue, mais elle se défend.
- Non, pas comme ça. Pas toi. D’abord je suis épuisée, et en plus je préfère que tu évite de me baiser par là. Ce n’est pas moi, c’est la trainée qui se fait enculer par des mecs. Je sais que j’en ai envie souvent, mais c’est l’autre moi, celle qui n’a aucun respect pour elle… Tu comprends ?
Sans attendre ma réponse, elle se jette sur ma queue et entame en quelques succions une chose qu’elle ne m’avait jamais faite. Je sens mon gland passer un étroit conduit et s’enfoncer dans sa gorge. Elle sait faire des gorges profondes. Sa bave dégouline déjà sur mes couilles qu’elle saisie de sa main droite. Ses yeux pleurent alors que d’ignobles bruit de déglutition se font entendre. Qu’importe, je sens la sève monter, et je lui éjacule le tout directement dans la gorge. C’est quand même diabolique. Je ne me vois pas renoncer à de tels plaisirs. Emma restera avec moi, mais plus question qu’elle retourne vers ses maîtres. Je lui dis, et elle l’accepte à regret.
- Tu sais Auré, je suis ce que je suis. Je t’aime, et je ne pourrais pas me passer de toi, mais j’ai aussi mes démons. Comment vais-je pouvoir les gérer ?
- Ecoute, j’ai compris que tu avais le feu au cul, et je veux te garder, alors ce que je te propose, c’est un nouveau programme : Je cherche des mecs qui pourraient te plaire et toi tu cherches des nanas qui pourraient me plaire. Ensuite on baise avec eux, mais ensemble. Plus question que tu fasses ça dans mon dos.
- T’es certain ? Tu penses que tu peux supporter ce genre de relations avec moi qui suis très… hum… salope.
- Je m’en arrangerais. Ça ne me dérangera pas si je ne peux pas participer, mais je ne te quitte plus des yeux.
- Ok alors, pour te remercier de ton amour, je vais te faire voir quelque chose que tu n’as encore jamais vu. Je vais me masturber pour toi comme tu aimes.
- J’aime ça, mais ça n’est pas nouveau.
- Si, car je vais m’enfiler un gode dans le cul et toi tu pourras me lécher le clito pendant ce temps-là.
Et la réconciliation était en marche.
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