Emma en noir et blanche
Récit érotique écrit par Phily [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Emma en noir et blanche
Je m’appelle Emma et aujourd’hui j’ai 46 ans. J’ai été mariée à Pierre pendant 10 ans. A notre mariage, j’avais 25 ans et lui 28. Amoureuse et pour lui faire plaisir, j’ai cédé à son rêve de faire un safari pour notre voyage de noce. Moi, j’aurais préféré les Maldives ou les Seychelles. Avec la cagnotte de la jarretière et des chèques de la famille, nous avons pu prolonger d’une semaine.
Arrivées au Kenya, nous avons été accueillis par Moussa, francophone, qui nous servirait de guide durant les 15 jours de notre séjour. Pierre était aux anges de pouvoir admirer et photographier les animaux sauvages dans la réserve et parcs protégés à bord d’une jeep. Après une semaine en brousse, j’étais un peu lassée de ces escapades surtout que c’était loin d’être confortable.
Pour être encore plus dépaysés, Moussa nous proposa de nous sortir le soir pour nous montrer des lieux typiques.
Un soir, nous sommes allés dans un bar, si on peut appeler cet endroit comme ça. Nous étions les seuls blancs et les regards des hommes sur moi étaient presque malsain. Ils ne devaient pas voire souvent une blonde légèrement vêtue.
Je fis remarquer à Moussa mon malaise. Au lieu d’aller dans mon sens et d’être aussi offusqué, Pierre était fier d’avoir à son bras une jolie petite femme et ne voyait pas de mal à que je sois admirée. A cette remarque, Moussa haussa les épaules en me lançant un sourire.
Pour cette fois un dépaysement total, Moussa proposa d’aller voir comment la tribu Meru vivait. C’était une des rares tribus qui acceptait les touristes. Pierre n’était pas aussi enthousiaste que moi mais Moussa le rassura en lui disant qu’une fois dans l’ambiance, il ne regrettera pas cette expérience. Nous avons été accueillis par une danse typique des femmes en pagne et seins nus. Nous nous sommes assis et Moussa traduisait ce que disait le chef de la tribu. Pierre a bu un breuvage fort en alcool alors que le mien était sucré et amère à la fois. Moussa nous expliqua que les femmes du village ne buvaient pas d’alcool et que mon breuvage était leur boisson de fête. Le deuxième bol passa mieux et j’appréciais ce goût si particulier. Puis, on proposa à Pierre de fumer le fameux calumet.
La boisson me donnait envie de danser. J’étais entrainée par la musique et je me suis levée pour me tortiller à l’européenne sur le rythme. J’ai vu Pierre, qui visiblement ne sentait pas très bien, avant que les hommes de la tribu m’entourent. Après un moment, les hommes se sont écartés. Pierre était sur le siège mais je n’y préta pas plus d’attention que cela. En fait, j’étais subjuguée par le chef de la tribu qui était à quelques pas devant moi. J’étais seins nus et ne savais même pas si c’étaient les Meru ou si j’ai retiré moi-même mon débardeur. Inhibé par le breuvage, j’ai continué à danser. Le chef s’est approché de moi et s’est calé dans mon dos. Je me suis collé à lui en tortillant des fesses et en jouant régulièrement avec ma jupe que je faisais virevolter. Je voyais les hommes assis mater ma culotte en dentelles et au lieu d’avoir peur de ce qu’il pouvait se passer, ça m’excitait. Lorsque le chef a englobé mes seins, c’était presqu’un soulagement qui augmenta encore ma tension sexuelle. J’ai senti sur mes fesses son sexe qui me semblait hors norme. J’ai alors retiré ma jupe m’exposant en culotte face à l’ensemble de la tribu et de Moussa. Pierre n’était plus en état de voir ou de réagir. Le chef a alors descendu une main pour la passer dans ma culotte et moi, j’ai passé une main dans mon dos pour saisir son sexe. C’était exactement ce dont j’avais envie. Des hommes ont accouru vers nous pour étaler une couche. Le chef m’a allongé et a retiré ma culotte. Lorsqu’il a retiré son pagne et que j’ai vu son énorme sexe, j’ai écarté les jambes. J’avais une terrible envie de baiser comme jamais j’avais eu envie. Il s’est couché sur moi et j’ai moi-même dirigés son sexe en moi. J’étais si excité que j’allais à l’encontre de son sexe pour qu’il me prenne plus profond. Je ne sais pas si c’est le fait de baiser devant tout le monde ou si c’était le contraste de ma peau blanche sur sa peau noire ou surtout la taille de son sexe mais j’ai joui en continue. Plus il me baisait violemment, plus je criais. Mes jambes était écarté à la limite du grand écart et je lui tenais les hanches pour qu’il me pénètre encore et encore. Lorsqu’il a éjaculé en moi, j’étais lessivée mais avec le sourire aux lèvres. Les hommes sifflèrent pour célébrer le triomphe de leur chef sur la petite femme blanche.
Trente minutes plus tard, Moussa avait couché Pierre à l’arrière du véhicule et nous raccompagna à notre hôtel. J’étais encore dans un état second, vaseuse. Il m‘accompagna jusqu’à la chambre pour coucher Pierre. Après avoir déshabillé mon mari puis l’avoir recouvert d’un drap, Moussa me prit par la taille.
- Je sais qu’avec l’aphrodisiaque qu’ils t’ont donné, tu as encore envie et tu vas gouter la grosse bite noire de Moussa. Ne t’inquiète pas pour ton mari, il va dormir toute la nuit.
Il avait raison, c’était plus fort que moi. Je me suis retournée pour l’embrasser. J’ai dégrafé son pantalon et prit son sexe dans mes mains. Je me suis ensuite accroupi pour le prendre dans ma bouche. J’y ai mis tout mon savoir-faire mais impossible de le prendre entièrement. Lorsqu’il m’a relevé, je me suis déshabillée et couché sur le lit à côté de Pierre. J’ai regardé son sexe entrer lentement dans mon vagin. Là encore, j’ai joui autant qu’avec le chef Meru. Il me baisait presque violement en me disant que pour une blanche, je baisais bien. Il me triturait les seins, les prenait en bouche et lorsqu’il a voulu m’embrasser, j’ai accepté avec plaisir sa langue entremêlée à la mienne. Il a il a voulu jouir dans ma bouche et j’ai tout avalé avec délice. Nous avons repris les safaris. Moussa profitait de chaque occasion pour me toucher mais je le réprimandais à chaque fois.
Le lendemain matin, Pierre ne se souvenait de rien tandis que moi, je me rappelais bien ce qui s’était passé mais aussi que c’était l’aphrodisiaque qui ne me permit pas de contrôler la situation. Une chose était très claire à ce moment-là, c’est que j’aimais les gros sexes noirs. Je n’ai évidemment rien dit à Pierre malgré le sentiment d’une délicieuse trahison.
Cinq ans plus tard, mes parents ont gagné un séjour d’une semaine en Guadeloupe. Ne pouvant y aller, ils nous ont proposé d’en profiter. Pierre était pris par son travail et déclina la proposition, seulement, moi je voulais y aller. Une semaine à l’œil au soleil, ça ne se refuse pas. Après une explication un peu houleuse avec Pierre, j’ai proposé à ma meilleure amie de m’accompagner. Elise a réussi à prendre une semaine de congés et nous voilà prête pour le départ.
Nos maris nous ont accompagnés à l’aéroport sans enthousiasme, avec des regards presque réprobateurs. Leurs mots d’ordre étaient que l’on soit sage. Le mari d’Elise insistait lourdement. Il ne doutait pas que sa femme multipliait les aventures extraconjugales. Elle l’aime mais aime trop le sexe pour se contenter d’un seul homme.
Nous sommes arrivées à Point A Pitre à 17h heure locale. Nous avons été accueillies par le pot d’arrivée puis on nous a montré notre chambre. Elle était magnifique avec vue sur la piscine et la mer et un grand lit double. Après avoir défait nos valises, nous sommes descendues nous restaurer. Nous étions fatiguées du voyage et nous avons décidé d’aller se reposer pour être en forme me lendemain. Après avoir téléphoné à mon mari, je me suis allongé sur ce lit vêtue simplement d’un short de nuit. Elise s’est couchée à mes côtés. On parlait un peu de notre séjour lorsqu’Elise m’a embrassé. Ados, nous avions déjà joué à touche pipi mais sans aller très loin dans la découverte de nos corps. Elise m’a tété les seins en mordillant mes tétons tandis que moi, je lui caressais la tête. Puis, sa main s’est faufilée sous mon short. J’étais déjà humide et ses doigts ont accentuées mon excitation. Elle m’a de nouveau embrassé la bouche puis le reste de mon corps. En descendait, elle a retiré mon short. Arrivée à mon sexe, elle me fit le meilleur cunnilingus que j’ai connu jusqu’à lors. Elle me doigtait, mordillait mon clitoris, me léchait ma vulve et maintenant, je dégoulinais. Elle a pivoté pour se retrouver tête-bêche. Ainsi, je pouvais lui rendre le plaisir qu’elle me donnait. Après avoir réussi à se faire jouir, elle me positionna à genou et là, elle me fit un anulingus. Une fois bien humidifié, elle enfonça lentement un doigt dans mon anus. C’était une nouvelle sensation mais pas si désagréable bien qu’un peu douloureuse. Elle sortit de son sac, un lubrifiant. Avec, je sentais presque plus de douleur. Je me surprenais à me laisser faire ainsi mais j’avais une confiance aveugle en Elise. Tout à coup, je sentis un objet s’enfonçait. C’était un plug et elle me demanda de le garder toute la nuit. Au réveil, elle le retira lentement et la sensation du vide était spécial. Elise avait une idée en tête et elle m’en mit un plus gros. Surprenant mais je le supportais et j’ai dû aller déjeuner avec mon plug sous ma robe et heureusement, ça ne se voyait pas. J’ai pu l’enlever pour aller à la piscine mais Elise me la remis pour aller déjeuner. Non seulement je le supportais mais j’apprécier aussi les sensations qu’il me procurait.
Le soir, nous nous sommes préparés pour aller en boite. Nous avions toutes les deux des robes sexy assez courte et qui se portent sans soutien-gorge. Avant de partir, Elise m’a prévenu qu’elle avait l’intention de se faire baiser ce soir. Nous sommes directement aller sur la piste de danse. Les mecs tournaient autour de nous. Elise n’a pas tarder à se coller à un grand black, et il faut l’avouer était plutôt beau gosse. Nous avons enchainé les danses, les verres offerts et quelques attouchements. Un moment, Elise était à califourchon sur son black en train de le bécoter. De mon côté, j’étais draguée par 2 locaux. L’un d’eux effaça l’autre en me prenant par la main pour s’assoir en face d’Elise et son coup du soir. J’étais gênée mais la voix du mec qui n’arrêtait pas de me parler et sa main sur ma cuisse m’a détendu. Il tenta un baiser que j’accepta. Je me suis alors fait peloter les seins, sa main était loin sur ma cuisse. Elise se faisait sucer un sein en tenant la tête du mec. D’un coup, elle se rajusta, se leva me prit par la main et m’entraina en même temps que les deux mecs vers notre chambre. Là, tout s’enchaina, vite nues, nous nous sommes faites léchée avant de sucer les grosses bites de nos deux blacks. La pénétration fut jouissive dès les premiers mouvements. Elise était sur le mec et moi, jambes pliées en missionnaire. Ils nous baisaient bien et les gémissements emplissaient la pièce. Après plusieurs positions et autant de plaisir, Elise proposa d’échanger. Les mecs étaient ravis et ne m’ont pas laissé le temps de réagir. C’était repartit de plus belle, ils étaient endurants. Puis Elise sortie le tube de gel et le donna à son baiseur. Le message était clair et après quelques préparations, Elise avait la bite du mec entre les fesses. Tout en me faisant baiser en levrette, je regardais le sexe élargir le cul d’Elise qui prenait son pied. Ça m’excita et je laissai le mec me caresser l’anus. Je ne sais pas comment le gel et arrivé jusqu’à lui mais maintenant, il avait deux doigts dans mon petit cul, qui n’avait connu que depuis la veille un plug. Je l’ai regardé et lui dit que j’en avait envie. Ma première sodomie a été pénible au début avant de me faire découvrir un plaisir intense. Ils ont tous les deux joui dans nos fesses. Allongés tous les quatre sur le lit, c’était un mélange de baiser. Je me suis levé prendre un verre d’eau et en revenant, je découvrais Elise sucer les deux sexes. Je me suis assise pour regarder. Une fois les deux en forme, elle s’empala sur l’un d’eux, se coucha sur lui et écarta son cul. L’autre s’enfonça dans son cul et les deux se mirent en mouvement. L’orgasme qu’elle connue me rendait craintive mais un peu jalouse. Nous avons repris un verre d’alcool avant de s’endormir tous les quatre. Au réveil, ce fut petit déjeuner au bar. De retour dans la chambre, les mecs ne voulaient pas nous laisser comme ça et nous avons baisé un bon moment en changeant plusieurs fois de partenaire. Nous les avons ensuite sucés jusqu’à ils jouissent dans nos bouches.
L’après-midi, nous sommes retournées toutes les deux à la piscine. Elise était fière de moi et je lui ai avoué que j’avais aimé. Après le diner, Elise m’a laissé seule pour partir avec un mec qui l’avait dragué toute l’après-midi. Seule, je décidais de rentrer tranquillement à notre chambre. Là, les deux noirs étaient devant la porte. Je les ai fait rentrer. Pendant un moment, nous avons bu et j’ai beaucoup ri de leurs idioties. Puis, l’ambiance changea et je devenais l’attention de ces messieurs. Après caresses et baisers, je me suis retrouvée à genou devant le lit à les sucer à tour de rôle. En me forçant un peu, je réussie à les prendre au trois-quarts. Puis, ils m’ont déshabillée et l’un me faisait un cunnilingus et l’autre se faisait sucer. Je me suis fait pénétrer par les deux à tour de rôle. A ma demande et après m’être préparée en mettant du gel, j’ai été sodomisé. Rien avoir avec ma première sodomie. Je supportais très bien la pénétration anale et en jouissait sans complexe. Mon enculeur me fit pivotait et en voyant l’autre s’approcher, j’ai écarté les jambes. Ma première double pénétration fut merveilleuse. Je n’avais jamais ressenti une telle jouissance. Lorsqu’Elise est rentrée, les yeux cernés, j’étais nu sur le lit, un noir rhabillé et l’autre sous la douche. Une fois toute les deux, je lui ai raconté ma soirée et elle la sienne. On a rigolé en se traitant de salope.
Le reste du séjour, j’ai passé beaucoup de temps avec les deux noirs tandis qu’Elise changeait, tous les soirs, de partenaire.
Nous nous étions bien reposés avant le retour au bercail. Le seul reproche de Pierre a été que j’étais aussi bronzé des seins.
Les 4 années suivantes, je suis resté fidèle. Puis j’ai rencontré Valère, un client noir qui m’a subjugué et mis rapidement dans son lit. Après réflexion, j’ai décidé de divorcer. Je ne voulais pas trahir de nouveau Pierre et je voulais vivre avec Valère. Le divorce s’est passé sans heurt.
J’étais heureuse, la quarantaine m’allait bien. Un jour, Valère m’annonça que son fils de 19 ans allait venir vivre avec nous pendant un an. Il y avait une chambre pour lui à l’étage et donc ça ne nuirait pas à notre intimité. Donc je n’y voyais pas d’inconvénient. Je le respectais, lui faisait de même et nous nous entendions plutôt bien. Seulement voilà, mes vieux démons ressurgissent et depuis quelques temps, je le regardais différemment. J’ai appelé Elise pour lui en parler de vive voix. Ce n’était sûrement pas la bonne personne pour se confier et je suis revenu encore plus perturbée.
Un jour en rentrant du boulot, je suis allée lui dire que j’étais entrée. J’ai toqué à la porte de sa chambre mais sans réponse je l’ai légèrement ouverte. Orson avait son ordi devant lui et la bite à la main en se branlant. Alors sans réfléchir, je suis entrée en lui demandant ce qu’il regardait. Sans gêne et toujours la bite à la main, il m’a répondu un porno.je lui ai demandé si je pouvais le regarder aussi. Assise à côté de lui, je visionnais le porno tout en ne lâchant pas des yeux son sexe. Excitée par le film et la situation, j’ai remplacé sa main par la mienne. Il ne s’est pas fait prier pour se laisser faire. Quelques minutes plus tard, j’avais plein de sperme sur ma main. Je suis sortie de sa chambre un peu honteuse. Quelques jours plus tard, c’est lui qui m’a demandé si je voulais regarder un film x avec lui. Je l’ai branlé quelques minutes avant qu’il appui sur ma tête. Je me suis allongée et je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche. Nous avons continué notre petit jeu plusieurs fois. Petit à petit, il a commencé à me toucher, à libérer mes seins, à les malaxer, les mordiller. Une fois, il m’a couché et il m’a embrassé. J’ai répondu à son baiser avec volupté. Il m’a sucé mes seins tandis que sa main se faufila sous ma robe. Il me doigtait et j’étais très humide. Ensuite nous nous sommes déshabillés et lui s’est couché sur moi. On entendait en provenance du film des gémissements qui nous excitaient tous les deux. J’ai saisi son sexe et le dirigea en moi. Je lui malaxais les fesses pendant qu’il faisait des va et vient. Il me faisait l’amour tendrement alors que j’avais envie d’une bonne baise. Alors j’ai pris les choses en main et me suis empalée sur lui. Je montais et descendais sur son sexe tout en gesticulant de gauche à droite et d’avant en arrière. Ce traitement le fit éjaculer un peu trop vite. La fois d’après, plus besoin de film pour nous accompagner. Il avait compris ce que je voulais et m’a littéralement défoncée. Il ne me ménageait pas et buter au fond de ma matrice avec des coups violents. Et moi, je jouissais sans discontinuer. La fois suivante, je lui ai offert mon cul. Il n’avait jamais sodomisé une fille et il fallut l’aider. Il a vite pris le coup et prenait un plaisir certain à sodomiser sa belle-mère blanche. Il prenait de l’assurance et réclamait de plus en plus.
Un jour, lorsque je les rejoins dans la chambre, il était avec un copain. Ilse leva, m’embrassa devant son ami et collé dans mon dos, il disait à son copain comment j’étais belle tout en me déshabillant lentement. Je me laissais faire, sachant très bien où il voulait en venir. Une fois en culotte, il me déposa sur le lit, couchée à côté de son copain. J’étais peloté par quatre main avec deux beaux membres en main. Son copain a été le premier à me prendre. Chacun leur tour, ils m’ont baisé. Orson a été le premier à me sodomiser remplacer ensuite pas son copain. Sans opposition de ma part, ils m’ont prise en sandwich et j’ai revécu ce que j’avais fait avec mes deux blacks en Guadeloupe.
Ce petit manège a duré l’année où Orson a vécu avec nous. Après ces aventures avec Orson, j’ai repris ma liberté et j’en profite.
Arrivées au Kenya, nous avons été accueillis par Moussa, francophone, qui nous servirait de guide durant les 15 jours de notre séjour. Pierre était aux anges de pouvoir admirer et photographier les animaux sauvages dans la réserve et parcs protégés à bord d’une jeep. Après une semaine en brousse, j’étais un peu lassée de ces escapades surtout que c’était loin d’être confortable.
Pour être encore plus dépaysés, Moussa nous proposa de nous sortir le soir pour nous montrer des lieux typiques.
Un soir, nous sommes allés dans un bar, si on peut appeler cet endroit comme ça. Nous étions les seuls blancs et les regards des hommes sur moi étaient presque malsain. Ils ne devaient pas voire souvent une blonde légèrement vêtue.
Je fis remarquer à Moussa mon malaise. Au lieu d’aller dans mon sens et d’être aussi offusqué, Pierre était fier d’avoir à son bras une jolie petite femme et ne voyait pas de mal à que je sois admirée. A cette remarque, Moussa haussa les épaules en me lançant un sourire.
Pour cette fois un dépaysement total, Moussa proposa d’aller voir comment la tribu Meru vivait. C’était une des rares tribus qui acceptait les touristes. Pierre n’était pas aussi enthousiaste que moi mais Moussa le rassura en lui disant qu’une fois dans l’ambiance, il ne regrettera pas cette expérience. Nous avons été accueillis par une danse typique des femmes en pagne et seins nus. Nous nous sommes assis et Moussa traduisait ce que disait le chef de la tribu. Pierre a bu un breuvage fort en alcool alors que le mien était sucré et amère à la fois. Moussa nous expliqua que les femmes du village ne buvaient pas d’alcool et que mon breuvage était leur boisson de fête. Le deuxième bol passa mieux et j’appréciais ce goût si particulier. Puis, on proposa à Pierre de fumer le fameux calumet.
La boisson me donnait envie de danser. J’étais entrainée par la musique et je me suis levée pour me tortiller à l’européenne sur le rythme. J’ai vu Pierre, qui visiblement ne sentait pas très bien, avant que les hommes de la tribu m’entourent. Après un moment, les hommes se sont écartés. Pierre était sur le siège mais je n’y préta pas plus d’attention que cela. En fait, j’étais subjuguée par le chef de la tribu qui était à quelques pas devant moi. J’étais seins nus et ne savais même pas si c’étaient les Meru ou si j’ai retiré moi-même mon débardeur. Inhibé par le breuvage, j’ai continué à danser. Le chef s’est approché de moi et s’est calé dans mon dos. Je me suis collé à lui en tortillant des fesses et en jouant régulièrement avec ma jupe que je faisais virevolter. Je voyais les hommes assis mater ma culotte en dentelles et au lieu d’avoir peur de ce qu’il pouvait se passer, ça m’excitait. Lorsque le chef a englobé mes seins, c’était presqu’un soulagement qui augmenta encore ma tension sexuelle. J’ai senti sur mes fesses son sexe qui me semblait hors norme. J’ai alors retiré ma jupe m’exposant en culotte face à l’ensemble de la tribu et de Moussa. Pierre n’était plus en état de voir ou de réagir. Le chef a alors descendu une main pour la passer dans ma culotte et moi, j’ai passé une main dans mon dos pour saisir son sexe. C’était exactement ce dont j’avais envie. Des hommes ont accouru vers nous pour étaler une couche. Le chef m’a allongé et a retiré ma culotte. Lorsqu’il a retiré son pagne et que j’ai vu son énorme sexe, j’ai écarté les jambes. J’avais une terrible envie de baiser comme jamais j’avais eu envie. Il s’est couché sur moi et j’ai moi-même dirigés son sexe en moi. J’étais si excité que j’allais à l’encontre de son sexe pour qu’il me prenne plus profond. Je ne sais pas si c’est le fait de baiser devant tout le monde ou si c’était le contraste de ma peau blanche sur sa peau noire ou surtout la taille de son sexe mais j’ai joui en continue. Plus il me baisait violemment, plus je criais. Mes jambes était écarté à la limite du grand écart et je lui tenais les hanches pour qu’il me pénètre encore et encore. Lorsqu’il a éjaculé en moi, j’étais lessivée mais avec le sourire aux lèvres. Les hommes sifflèrent pour célébrer le triomphe de leur chef sur la petite femme blanche.
Trente minutes plus tard, Moussa avait couché Pierre à l’arrière du véhicule et nous raccompagna à notre hôtel. J’étais encore dans un état second, vaseuse. Il m‘accompagna jusqu’à la chambre pour coucher Pierre. Après avoir déshabillé mon mari puis l’avoir recouvert d’un drap, Moussa me prit par la taille.
- Je sais qu’avec l’aphrodisiaque qu’ils t’ont donné, tu as encore envie et tu vas gouter la grosse bite noire de Moussa. Ne t’inquiète pas pour ton mari, il va dormir toute la nuit.
Il avait raison, c’était plus fort que moi. Je me suis retournée pour l’embrasser. J’ai dégrafé son pantalon et prit son sexe dans mes mains. Je me suis ensuite accroupi pour le prendre dans ma bouche. J’y ai mis tout mon savoir-faire mais impossible de le prendre entièrement. Lorsqu’il m’a relevé, je me suis déshabillée et couché sur le lit à côté de Pierre. J’ai regardé son sexe entrer lentement dans mon vagin. Là encore, j’ai joui autant qu’avec le chef Meru. Il me baisait presque violement en me disant que pour une blanche, je baisais bien. Il me triturait les seins, les prenait en bouche et lorsqu’il a voulu m’embrasser, j’ai accepté avec plaisir sa langue entremêlée à la mienne. Il a il a voulu jouir dans ma bouche et j’ai tout avalé avec délice. Nous avons repris les safaris. Moussa profitait de chaque occasion pour me toucher mais je le réprimandais à chaque fois.
Le lendemain matin, Pierre ne se souvenait de rien tandis que moi, je me rappelais bien ce qui s’était passé mais aussi que c’était l’aphrodisiaque qui ne me permit pas de contrôler la situation. Une chose était très claire à ce moment-là, c’est que j’aimais les gros sexes noirs. Je n’ai évidemment rien dit à Pierre malgré le sentiment d’une délicieuse trahison.
Cinq ans plus tard, mes parents ont gagné un séjour d’une semaine en Guadeloupe. Ne pouvant y aller, ils nous ont proposé d’en profiter. Pierre était pris par son travail et déclina la proposition, seulement, moi je voulais y aller. Une semaine à l’œil au soleil, ça ne se refuse pas. Après une explication un peu houleuse avec Pierre, j’ai proposé à ma meilleure amie de m’accompagner. Elise a réussi à prendre une semaine de congés et nous voilà prête pour le départ.
Nos maris nous ont accompagnés à l’aéroport sans enthousiasme, avec des regards presque réprobateurs. Leurs mots d’ordre étaient que l’on soit sage. Le mari d’Elise insistait lourdement. Il ne doutait pas que sa femme multipliait les aventures extraconjugales. Elle l’aime mais aime trop le sexe pour se contenter d’un seul homme.
Nous sommes arrivées à Point A Pitre à 17h heure locale. Nous avons été accueillies par le pot d’arrivée puis on nous a montré notre chambre. Elle était magnifique avec vue sur la piscine et la mer et un grand lit double. Après avoir défait nos valises, nous sommes descendues nous restaurer. Nous étions fatiguées du voyage et nous avons décidé d’aller se reposer pour être en forme me lendemain. Après avoir téléphoné à mon mari, je me suis allongé sur ce lit vêtue simplement d’un short de nuit. Elise s’est couchée à mes côtés. On parlait un peu de notre séjour lorsqu’Elise m’a embrassé. Ados, nous avions déjà joué à touche pipi mais sans aller très loin dans la découverte de nos corps. Elise m’a tété les seins en mordillant mes tétons tandis que moi, je lui caressais la tête. Puis, sa main s’est faufilée sous mon short. J’étais déjà humide et ses doigts ont accentuées mon excitation. Elle m’a de nouveau embrassé la bouche puis le reste de mon corps. En descendait, elle a retiré mon short. Arrivée à mon sexe, elle me fit le meilleur cunnilingus que j’ai connu jusqu’à lors. Elle me doigtait, mordillait mon clitoris, me léchait ma vulve et maintenant, je dégoulinais. Elle a pivoté pour se retrouver tête-bêche. Ainsi, je pouvais lui rendre le plaisir qu’elle me donnait. Après avoir réussi à se faire jouir, elle me positionna à genou et là, elle me fit un anulingus. Une fois bien humidifié, elle enfonça lentement un doigt dans mon anus. C’était une nouvelle sensation mais pas si désagréable bien qu’un peu douloureuse. Elle sortit de son sac, un lubrifiant. Avec, je sentais presque plus de douleur. Je me surprenais à me laisser faire ainsi mais j’avais une confiance aveugle en Elise. Tout à coup, je sentis un objet s’enfonçait. C’était un plug et elle me demanda de le garder toute la nuit. Au réveil, elle le retira lentement et la sensation du vide était spécial. Elise avait une idée en tête et elle m’en mit un plus gros. Surprenant mais je le supportais et j’ai dû aller déjeuner avec mon plug sous ma robe et heureusement, ça ne se voyait pas. J’ai pu l’enlever pour aller à la piscine mais Elise me la remis pour aller déjeuner. Non seulement je le supportais mais j’apprécier aussi les sensations qu’il me procurait.
Le soir, nous nous sommes préparés pour aller en boite. Nous avions toutes les deux des robes sexy assez courte et qui se portent sans soutien-gorge. Avant de partir, Elise m’a prévenu qu’elle avait l’intention de se faire baiser ce soir. Nous sommes directement aller sur la piste de danse. Les mecs tournaient autour de nous. Elise n’a pas tarder à se coller à un grand black, et il faut l’avouer était plutôt beau gosse. Nous avons enchainé les danses, les verres offerts et quelques attouchements. Un moment, Elise était à califourchon sur son black en train de le bécoter. De mon côté, j’étais draguée par 2 locaux. L’un d’eux effaça l’autre en me prenant par la main pour s’assoir en face d’Elise et son coup du soir. J’étais gênée mais la voix du mec qui n’arrêtait pas de me parler et sa main sur ma cuisse m’a détendu. Il tenta un baiser que j’accepta. Je me suis alors fait peloter les seins, sa main était loin sur ma cuisse. Elise se faisait sucer un sein en tenant la tête du mec. D’un coup, elle se rajusta, se leva me prit par la main et m’entraina en même temps que les deux mecs vers notre chambre. Là, tout s’enchaina, vite nues, nous nous sommes faites léchée avant de sucer les grosses bites de nos deux blacks. La pénétration fut jouissive dès les premiers mouvements. Elise était sur le mec et moi, jambes pliées en missionnaire. Ils nous baisaient bien et les gémissements emplissaient la pièce. Après plusieurs positions et autant de plaisir, Elise proposa d’échanger. Les mecs étaient ravis et ne m’ont pas laissé le temps de réagir. C’était repartit de plus belle, ils étaient endurants. Puis Elise sortie le tube de gel et le donna à son baiseur. Le message était clair et après quelques préparations, Elise avait la bite du mec entre les fesses. Tout en me faisant baiser en levrette, je regardais le sexe élargir le cul d’Elise qui prenait son pied. Ça m’excita et je laissai le mec me caresser l’anus. Je ne sais pas comment le gel et arrivé jusqu’à lui mais maintenant, il avait deux doigts dans mon petit cul, qui n’avait connu que depuis la veille un plug. Je l’ai regardé et lui dit que j’en avait envie. Ma première sodomie a été pénible au début avant de me faire découvrir un plaisir intense. Ils ont tous les deux joui dans nos fesses. Allongés tous les quatre sur le lit, c’était un mélange de baiser. Je me suis levé prendre un verre d’eau et en revenant, je découvrais Elise sucer les deux sexes. Je me suis assise pour regarder. Une fois les deux en forme, elle s’empala sur l’un d’eux, se coucha sur lui et écarta son cul. L’autre s’enfonça dans son cul et les deux se mirent en mouvement. L’orgasme qu’elle connue me rendait craintive mais un peu jalouse. Nous avons repris un verre d’alcool avant de s’endormir tous les quatre. Au réveil, ce fut petit déjeuner au bar. De retour dans la chambre, les mecs ne voulaient pas nous laisser comme ça et nous avons baisé un bon moment en changeant plusieurs fois de partenaire. Nous les avons ensuite sucés jusqu’à ils jouissent dans nos bouches.
L’après-midi, nous sommes retournées toutes les deux à la piscine. Elise était fière de moi et je lui ai avoué que j’avais aimé. Après le diner, Elise m’a laissé seule pour partir avec un mec qui l’avait dragué toute l’après-midi. Seule, je décidais de rentrer tranquillement à notre chambre. Là, les deux noirs étaient devant la porte. Je les ai fait rentrer. Pendant un moment, nous avons bu et j’ai beaucoup ri de leurs idioties. Puis, l’ambiance changea et je devenais l’attention de ces messieurs. Après caresses et baisers, je me suis retrouvée à genou devant le lit à les sucer à tour de rôle. En me forçant un peu, je réussie à les prendre au trois-quarts. Puis, ils m’ont déshabillée et l’un me faisait un cunnilingus et l’autre se faisait sucer. Je me suis fait pénétrer par les deux à tour de rôle. A ma demande et après m’être préparée en mettant du gel, j’ai été sodomisé. Rien avoir avec ma première sodomie. Je supportais très bien la pénétration anale et en jouissait sans complexe. Mon enculeur me fit pivotait et en voyant l’autre s’approcher, j’ai écarté les jambes. Ma première double pénétration fut merveilleuse. Je n’avais jamais ressenti une telle jouissance. Lorsqu’Elise est rentrée, les yeux cernés, j’étais nu sur le lit, un noir rhabillé et l’autre sous la douche. Une fois toute les deux, je lui ai raconté ma soirée et elle la sienne. On a rigolé en se traitant de salope.
Le reste du séjour, j’ai passé beaucoup de temps avec les deux noirs tandis qu’Elise changeait, tous les soirs, de partenaire.
Nous nous étions bien reposés avant le retour au bercail. Le seul reproche de Pierre a été que j’étais aussi bronzé des seins.
Les 4 années suivantes, je suis resté fidèle. Puis j’ai rencontré Valère, un client noir qui m’a subjugué et mis rapidement dans son lit. Après réflexion, j’ai décidé de divorcer. Je ne voulais pas trahir de nouveau Pierre et je voulais vivre avec Valère. Le divorce s’est passé sans heurt.
J’étais heureuse, la quarantaine m’allait bien. Un jour, Valère m’annonça que son fils de 19 ans allait venir vivre avec nous pendant un an. Il y avait une chambre pour lui à l’étage et donc ça ne nuirait pas à notre intimité. Donc je n’y voyais pas d’inconvénient. Je le respectais, lui faisait de même et nous nous entendions plutôt bien. Seulement voilà, mes vieux démons ressurgissent et depuis quelques temps, je le regardais différemment. J’ai appelé Elise pour lui en parler de vive voix. Ce n’était sûrement pas la bonne personne pour se confier et je suis revenu encore plus perturbée.
Un jour en rentrant du boulot, je suis allée lui dire que j’étais entrée. J’ai toqué à la porte de sa chambre mais sans réponse je l’ai légèrement ouverte. Orson avait son ordi devant lui et la bite à la main en se branlant. Alors sans réfléchir, je suis entrée en lui demandant ce qu’il regardait. Sans gêne et toujours la bite à la main, il m’a répondu un porno.je lui ai demandé si je pouvais le regarder aussi. Assise à côté de lui, je visionnais le porno tout en ne lâchant pas des yeux son sexe. Excitée par le film et la situation, j’ai remplacé sa main par la mienne. Il ne s’est pas fait prier pour se laisser faire. Quelques minutes plus tard, j’avais plein de sperme sur ma main. Je suis sortie de sa chambre un peu honteuse. Quelques jours plus tard, c’est lui qui m’a demandé si je voulais regarder un film x avec lui. Je l’ai branlé quelques minutes avant qu’il appui sur ma tête. Je me suis allongée et je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche. Nous avons continué notre petit jeu plusieurs fois. Petit à petit, il a commencé à me toucher, à libérer mes seins, à les malaxer, les mordiller. Une fois, il m’a couché et il m’a embrassé. J’ai répondu à son baiser avec volupté. Il m’a sucé mes seins tandis que sa main se faufila sous ma robe. Il me doigtait et j’étais très humide. Ensuite nous nous sommes déshabillés et lui s’est couché sur moi. On entendait en provenance du film des gémissements qui nous excitaient tous les deux. J’ai saisi son sexe et le dirigea en moi. Je lui malaxais les fesses pendant qu’il faisait des va et vient. Il me faisait l’amour tendrement alors que j’avais envie d’une bonne baise. Alors j’ai pris les choses en main et me suis empalée sur lui. Je montais et descendais sur son sexe tout en gesticulant de gauche à droite et d’avant en arrière. Ce traitement le fit éjaculer un peu trop vite. La fois d’après, plus besoin de film pour nous accompagner. Il avait compris ce que je voulais et m’a littéralement défoncée. Il ne me ménageait pas et buter au fond de ma matrice avec des coups violents. Et moi, je jouissais sans discontinuer. La fois suivante, je lui ai offert mon cul. Il n’avait jamais sodomisé une fille et il fallut l’aider. Il a vite pris le coup et prenait un plaisir certain à sodomiser sa belle-mère blanche. Il prenait de l’assurance et réclamait de plus en plus.
Un jour, lorsque je les rejoins dans la chambre, il était avec un copain. Ilse leva, m’embrassa devant son ami et collé dans mon dos, il disait à son copain comment j’étais belle tout en me déshabillant lentement. Je me laissais faire, sachant très bien où il voulait en venir. Une fois en culotte, il me déposa sur le lit, couchée à côté de son copain. J’étais peloté par quatre main avec deux beaux membres en main. Son copain a été le premier à me prendre. Chacun leur tour, ils m’ont baisé. Orson a été le premier à me sodomiser remplacer ensuite pas son copain. Sans opposition de ma part, ils m’ont prise en sandwich et j’ai revécu ce que j’avais fait avec mes deux blacks en Guadeloupe.
Ce petit manège a duré l’année où Orson a vécu avec nous. Après ces aventures avec Orson, j’ai repris ma liberté et j’en profite.
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