Emma si nous prenions un bain de soleil?
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Emma si nous prenions un bain de soleil?
- Emma si nous prenions un bain de soleil sur nos transats après déjeuner ?
- Très bonne idée Nicolas, prépare les matelas ce sera plus confortable !
- Je te vois venir toi
- Tu me prendras après la sieste comme d’habitude !
- Nous verrons cela …
Nicolas a trente ans et moi vingt sept, nous somment mariés depuis cinq ans, je vis
dans le bonheur a tel point que j’ai envie de le partager que tout le monde voient a
quel point nous somment complices, aussitôt la table desservie je vais enfiler mon
maillot de bain ainsi que Nicolas, allongés au soleil je commence à planer le sommeil
me gagne.
- Chérie ? tu dors ? ton portable vibre
- Haaa zut ! oh c’est ma frangine ! ….. allo ? …. Oui…. non….. que t’arrive t’il
? … ha bon ? ok je vois que ça ne va pas fort, arrive de suite nous allons en
parler….. mais non tu ne nous dérange pas ! a tout de suite Lucie
- C’est ta sœur ? qu’est ce qui lui arrive ?
- Elle a des emmerdes avec José, il est partit faire la fête avec des potes, il
parait que ça fait un moment que ça dure
- Quel conard celui là je me doutais un peu qu’il allait voir ailleurs
- Tu sais quelque chose ?
- Beeeennnn entre mecs on discute, il m’a fait comprendre qu’il avait une
maitresse … je n’en sais pas plus, on ne se rhabille pas elle ne va peut être pas
trainer longtemps
Vingt minutes plus tard Lucie mon ainée de trois ans arrive la mine défaite
- Vous voyez que je dérange vous vous faisiez bronzer
- Ça peut attendre, assied toi je te fais un café
Une fois le café servis je passe derrière ma sœur et lui pose mes mains sur les
épaules pour la réconforter …
- Hé bien dit donc tu es vachement nouée toi t’a les nerfs en boules !
- Ils le seraient a moins… je crois que je suis cocue
- Tu en es sûre ?
- Ça fait quelques samedis qu’il fout le camp pour ne rentrer qu’a la nuit
- Ça ne veut rien dire … José ? tu devrais masser les épaules de ma sœur elle
est contactée comme de la pierre
- Laisse ça va aller
- On voit que tu ne connais pas les mains de mon mari, il n’a jamais appris mais
il masse mieux qu’un pro ! aller laisse toi faire tu m’en diras des nouvelles
Nicolas s’approche et pose ses mains sur le cou de Lucie
- Houlàlà !... détend toi … je vais dénouer tout ça, ne pense plus a rien …..
Ses long doigts entrent en action je sais exactement ce qu’elle va ressentir bientôt …
j’en ai un pincement au cœur, mais je suis trop heureuse de lui faire plaisir, les
pouces remontent derrière les oreilles, lorsqu’il me fait ça des frissons agréables
traversent tout mon corps, généralement a ce moment là ma culotte recueille la
première goute ….. La respiration de ma sœur devient profonde, son dos se voute peu à
peu.
- Lucie ? tu devrais t’allonger se serait plus confortable car ce n’est pas fini
il va faire tes vertèbres du dos aussi
- Ha bon ?
- Oui je vais les libérer aussi mais tu devrais retirer ton teeshirt je n’ai pas
accès a ton épiderme
- Ila a raison retire le, nous somment en maillot tu seras en soutient gorge et
allongée sur le ventre tu ne risque rien et mon mari est un gentleman !
Cette réflexion lui arrache un premier rire, Lucie tire sur son vêtement, nous avons
le temps de voir des bonnets bien remplis avant qu’elle ne s’allonge, les grandes
mains de Nicolas parcourent le dos comme pour se repérer avant que les larges mains
pétrissent la peau, les pouces dénichent la jointure des vertèbres Lucie pousse de
petits cris aigus qui devienne bientôt des plaintes de bien être, je vois que la
brettelle de soutient gorge gène Nicolas mais il n’ose pas la faire sauter alors j’en
prend la décision sans demander l’avis de ma sœur.
- Hé ! que fais-tu ?
- C’est moi qui l’ai fait ça gène ! ça va sinon ?
- Huuuuummmmm un délice …..
J’adresse un clin d’œil a Nicolas qui se demande ce que je veux dire alors je lui
susurre a l’oreille
- Masse-lui les seins …..
Il écarquille les yeux, d’un mouvement de cils je réaffirme mon désir, les doigts
s’égarent sur les flancs de plus en plus prés de la naissance de la poitrine libérée,
Lucie ne trouve rien à redire, les poings sur son front elle voute ses épaules pour
libérer les demi-sphères, les doigts s’insinuent entre la poitrine et le matelas afin
de retirer entièrement le soutient gorge, je ne le vois pas mais a voir le
comportement de ma sœur Nicolas doit titiller les bouts de seins, elle se pâme de bien
être .
- Tu sais Lucie les dernières vertèbres sont des points ultras sensible pour les
‘émotions ‘
- Les émotions ?
- Oui celle qui libère la sensualité, tu devrais essayer tu verras pourquoi…
- …..et puis zut ! fait-le Nicolas….
- OK mais pour ça il faut baisser ton jean ….
- Je vais t’aider chéri…
Cette fois c’est son bassin qu’elle soulève pour que je puisse avoir accès à la
fermeture du jean, puis je tire sur les jambières, elle crie lorsque je retire
carrément le pantalon elle croyait que j’allais juste le baisser un peu, le string
roulé reste accroché sur ses hanches.
- Tout doux sœurette prend du bon temps, j’en connais un qui ne s’en prive pas
- Tu as raison ce con de José l’a bien cherché si je fais voir mes fesses a mon
beau frère
Je lève le pouce a l’intention de Nicolas qui a dût comprendre qu’il n’y avait plus de
limites……les pieds légèrement écartés ne se sont pas rapprochés, mon mari doit
distinguer le renflement de la vulve cachée par le fond du string marqué par une
longue trainée humide, le maillot de mon mari s’est manifestement déformé, j’avoue que
mon entre jambes est mouillé aussi, mon désir partageur fait doucement mais sûrement
son chemin…. Et si je faisais baiser ma sœur par son beau frère? Je peux ainsi
assister sans être gênée, cette femme en manque de sexe ne me causera pas de souci une
fois l’acte terminé, et je sais exactement ce qu’elle ressentira une fois la queue
emmanchée dans son vagin, nous avons toujours eues les mêmes réactions dans la vie.
Nicolas cherche la jointure de la vertèbre qui sur moi fait émerger des ondes qui
communiquent directement avec la chatte, il n’y a pas de raison que Lucie ne ressente
pas les même effets, ses longs soupirs prouvent que j’ai raison, son bassin se tord de
droite a gauche, le processus est déclenché ma sœur a envie de baiser, tout comme mon
mari, tout comme moi … une étrange atmosphère érotique règne, Nicolas change de
tactique.
Depuis derrière les genoux, les pouces à l’intérieur des cuisses les mains ‘rabotent’
la peau tendre, Lucie ouvre le compas de ses cuisses au fur et a mesure que les mains
progressent, arrivés a la fourche les pouces resserrent les lèvres sur elles-mêmes, je
les vois bouger sous la dentelle du string, mon vicieux de mari les frottent l’une sur
l’autre la tache humide s’agrandit a vue d’œil.
- Ôtez-moi ce maudit slip …..Emma ?
- Oui ma chérie ?
- ……. Je ne tiens plus …J’ai envie que Nicolas me caresse …juste un doigt ….
- Il allait justement le faire, tire sur sa culotte chéri
Lentement le triangle mouillé quitte les fesses rondes, des gouttelettes de rosée
féminine sont accrochées dans les poils bruns, une fois nue, d’un bond souple ma sœur
se retourne et expose sans complexe son anatomie a notre regard, les genoux écartés
laissent voir la fente nacrée entrebâillée.
Nicolas quitte son seul vêtement, je l’imite, non pas pour participer, ça ne ce fait
pas chez nous, mais pour me doigter aisément en observant le couple, mon mari a genoux
tire une jambe vers lui, sa main glisse sur la cuisse avant de caresser la touffe de
sa paume, Lucie ronronne come une chatte en chaleur, deux doigt se fraient un passage
dans les poils collés aux lèvres, soudain ma sœur arque son dos et ouvre grand la
bouche, Nicolas vient de faire pénétrer toutes les phalanges de l’index et du majeur
d’un coup.
Lucie les yeux fermés tend une main en direction de mon mari, visiblement elle cherche
sa queue, celui ci de déplace un peu afin qu’elle puisse serrer ses doigts sur son
membre, ils se branlent mutuellement, Nicolas secoue violement la chatte qui clapote
de plus en plus distinctement.
- Mange lui la chatte Nicolas ne la laisse pas souffrir ainsi
- Tu es sûre ?
- Regarde comme je mouille moi même ! vas-y !
Mon mari enjambe le transat et pose un genou a coté de ma sœur celle-ci ne perd pas
une seconde et avale le gland écarlate tandis qu’il se penche entre les cuisses
offertes, un soixante neuf déchainé commence, assise sur l’autre siège je me fourre
trois doigts dans le vagin et roule mon téton bandé, mes yeux embrumés distinguent a
peine le couple mais j’entends clairement les onomatopées rageuses soudain ma sœur se
tait elle pousse un cri strident suivie de prés par Nicolas, galvanisée par ces
jouissances communes je laisse échapper moi aussi un feulement de tigresse, lorsque
j’ouvre les yeux les deux amants sont assis et s’essuient la bouche dans un éclat de
rire collectif .
La queue de Nicolas est toujours aussi raide, émerveillée Lucie la reprend en main
- Vous savez ce qui me fait râler ?
- Non ? quoi ?
- La connasse qui se fait mon mec va s’apercevoir de quoi je suis obligée de me
contenter ! rien à voir avec celle de Nicolas ! tu en as de la chance ma chérie de te
faire baiser par un membre comme celui-là !
- Ça te dirait de te l’essayer ?
- Je ne voudrais pas t’en priver …
- C’est de bon cœur, il m’en restera a prés ne te fais pas de soucis ! mais ce
sera la seule et unique fois, trouve toi un amant après !
- Alors dans ce cas j’en profite !…. Je peux choisir ma position ?
- Laquelle te ferait plaisir ?
- En levrette …
- Ça tombe bien, comme beaucoup d’homme c’est celle que Nicolas préfère !
- Hé bien ce n’est pas le cas du mien il ne connait que la missionnaire, je me
mets au bord du transat comme ceci ?
- Houaaaa ! quelle vue tu m’offre ma chère belle sœur ! cambre toi davantage
afin que ta chatte soit en saillie, chérie tu me guide ? je lui tiens les hanches.
- D’accord mais une fois positionné je lâche aussitôt.
Prenant soin de ne pas toucher la chatte de Lucie je mets la tête de la bitte face au
trou qui laisse suinter des fils de cyprine, lentement le gland disparait dans la
grotte, je me retire mais reste assez prés pour voir la scène, resté debout, les
fesses de Nicolas avancent, le trait d’union qui les unis disparait dans la chatte
vorace il reste un court instant bloqué sur le cul de Lucie avant de se retirer
presqu’entièrement et de donner un coup de rein magistral qui fait hurler ma sœur , a
nouveau, les jambes fléchies je m’introduit plusieurs doigts , les deux corps
s’entrechoquent, ils poussent tous deux des cris d’animaux en rut et tout ça sans que
je n’éprouve aucune jalousie je suis même heureuse de faire plaisir a ma sœur, une
bague de mousse blanche s’est formée autour de la queue qui pistonne sans faiblir le
con éclaté tandis qu’elle se frotte le clitoris pour décupler sa jouissance, Lucie se
cambre sous l’orgasme brutal qui la terrasse, les contractions de sa moule achèvent
mon mari qui la maintient sous lui pour se vider, il lève les yeux au ciel en hurlant,
Lucie redouble de mugissements car les jets de foutre qui percutent le fond de son
vagin réalimentent sa jouissance.
Tous deux en sueurs, la respiration haletante, ils restent accouplés jusqu'à ce que la
queue ramollie glisse hors du trou qui recrache immédiatement une mayonnaise épaisse,
la magie du coït passée Lucie reprend un air sombre
- Que ferait tu a ma place ?
- Ou tu reste avec lui et tu continue une sexualité en berne et le risque d’être
cocue régulièrement ou tu le vire pour trouver un étalon comme Nicolas !
- Nous n’avons pas d’enfant … mon choix est fait ! je cherche un homme comme le
tien à moins que tu ne veuille le partager avec moi !!
- Haha le moral est revenu ! c’est bien … bon, tu reste assister a notre partie
de baisse ? car même si je me suis masturbée en vous regardant j’ai une grosse envie
de queue ! ou bien tu rentre chez toi pour effacer les traces de notre coup de folie
- Et si je gardais sur moi ces traces pour lui montrer ? rassurez vous je ne lui
dirais pas qui m’a fait ça !! au revoir et merci les amoureux, bonne baise !!
- Très bonne idée Nicolas, prépare les matelas ce sera plus confortable !
- Je te vois venir toi
- Tu me prendras après la sieste comme d’habitude !
- Nous verrons cela …
Nicolas a trente ans et moi vingt sept, nous somment mariés depuis cinq ans, je vis
dans le bonheur a tel point que j’ai envie de le partager que tout le monde voient a
quel point nous somment complices, aussitôt la table desservie je vais enfiler mon
maillot de bain ainsi que Nicolas, allongés au soleil je commence à planer le sommeil
me gagne.
- Chérie ? tu dors ? ton portable vibre
- Haaa zut ! oh c’est ma frangine ! ….. allo ? …. Oui…. non….. que t’arrive t’il
? … ha bon ? ok je vois que ça ne va pas fort, arrive de suite nous allons en
parler….. mais non tu ne nous dérange pas ! a tout de suite Lucie
- C’est ta sœur ? qu’est ce qui lui arrive ?
- Elle a des emmerdes avec José, il est partit faire la fête avec des potes, il
parait que ça fait un moment que ça dure
- Quel conard celui là je me doutais un peu qu’il allait voir ailleurs
- Tu sais quelque chose ?
- Beeeennnn entre mecs on discute, il m’a fait comprendre qu’il avait une
maitresse … je n’en sais pas plus, on ne se rhabille pas elle ne va peut être pas
trainer longtemps
Vingt minutes plus tard Lucie mon ainée de trois ans arrive la mine défaite
- Vous voyez que je dérange vous vous faisiez bronzer
- Ça peut attendre, assied toi je te fais un café
Une fois le café servis je passe derrière ma sœur et lui pose mes mains sur les
épaules pour la réconforter …
- Hé bien dit donc tu es vachement nouée toi t’a les nerfs en boules !
- Ils le seraient a moins… je crois que je suis cocue
- Tu en es sûre ?
- Ça fait quelques samedis qu’il fout le camp pour ne rentrer qu’a la nuit
- Ça ne veut rien dire … José ? tu devrais masser les épaules de ma sœur elle
est contactée comme de la pierre
- Laisse ça va aller
- On voit que tu ne connais pas les mains de mon mari, il n’a jamais appris mais
il masse mieux qu’un pro ! aller laisse toi faire tu m’en diras des nouvelles
Nicolas s’approche et pose ses mains sur le cou de Lucie
- Houlàlà !... détend toi … je vais dénouer tout ça, ne pense plus a rien …..
Ses long doigts entrent en action je sais exactement ce qu’elle va ressentir bientôt …
j’en ai un pincement au cœur, mais je suis trop heureuse de lui faire plaisir, les
pouces remontent derrière les oreilles, lorsqu’il me fait ça des frissons agréables
traversent tout mon corps, généralement a ce moment là ma culotte recueille la
première goute ….. La respiration de ma sœur devient profonde, son dos se voute peu à
peu.
- Lucie ? tu devrais t’allonger se serait plus confortable car ce n’est pas fini
il va faire tes vertèbres du dos aussi
- Ha bon ?
- Oui je vais les libérer aussi mais tu devrais retirer ton teeshirt je n’ai pas
accès a ton épiderme
- Ila a raison retire le, nous somment en maillot tu seras en soutient gorge et
allongée sur le ventre tu ne risque rien et mon mari est un gentleman !
Cette réflexion lui arrache un premier rire, Lucie tire sur son vêtement, nous avons
le temps de voir des bonnets bien remplis avant qu’elle ne s’allonge, les grandes
mains de Nicolas parcourent le dos comme pour se repérer avant que les larges mains
pétrissent la peau, les pouces dénichent la jointure des vertèbres Lucie pousse de
petits cris aigus qui devienne bientôt des plaintes de bien être, je vois que la
brettelle de soutient gorge gène Nicolas mais il n’ose pas la faire sauter alors j’en
prend la décision sans demander l’avis de ma sœur.
- Hé ! que fais-tu ?
- C’est moi qui l’ai fait ça gène ! ça va sinon ?
- Huuuuummmmm un délice …..
J’adresse un clin d’œil a Nicolas qui se demande ce que je veux dire alors je lui
susurre a l’oreille
- Masse-lui les seins …..
Il écarquille les yeux, d’un mouvement de cils je réaffirme mon désir, les doigts
s’égarent sur les flancs de plus en plus prés de la naissance de la poitrine libérée,
Lucie ne trouve rien à redire, les poings sur son front elle voute ses épaules pour
libérer les demi-sphères, les doigts s’insinuent entre la poitrine et le matelas afin
de retirer entièrement le soutient gorge, je ne le vois pas mais a voir le
comportement de ma sœur Nicolas doit titiller les bouts de seins, elle se pâme de bien
être .
- Tu sais Lucie les dernières vertèbres sont des points ultras sensible pour les
‘émotions ‘
- Les émotions ?
- Oui celle qui libère la sensualité, tu devrais essayer tu verras pourquoi…
- …..et puis zut ! fait-le Nicolas….
- OK mais pour ça il faut baisser ton jean ….
- Je vais t’aider chéri…
Cette fois c’est son bassin qu’elle soulève pour que je puisse avoir accès à la
fermeture du jean, puis je tire sur les jambières, elle crie lorsque je retire
carrément le pantalon elle croyait que j’allais juste le baisser un peu, le string
roulé reste accroché sur ses hanches.
- Tout doux sœurette prend du bon temps, j’en connais un qui ne s’en prive pas
- Tu as raison ce con de José l’a bien cherché si je fais voir mes fesses a mon
beau frère
Je lève le pouce a l’intention de Nicolas qui a dût comprendre qu’il n’y avait plus de
limites……les pieds légèrement écartés ne se sont pas rapprochés, mon mari doit
distinguer le renflement de la vulve cachée par le fond du string marqué par une
longue trainée humide, le maillot de mon mari s’est manifestement déformé, j’avoue que
mon entre jambes est mouillé aussi, mon désir partageur fait doucement mais sûrement
son chemin…. Et si je faisais baiser ma sœur par son beau frère? Je peux ainsi
assister sans être gênée, cette femme en manque de sexe ne me causera pas de souci une
fois l’acte terminé, et je sais exactement ce qu’elle ressentira une fois la queue
emmanchée dans son vagin, nous avons toujours eues les mêmes réactions dans la vie.
Nicolas cherche la jointure de la vertèbre qui sur moi fait émerger des ondes qui
communiquent directement avec la chatte, il n’y a pas de raison que Lucie ne ressente
pas les même effets, ses longs soupirs prouvent que j’ai raison, son bassin se tord de
droite a gauche, le processus est déclenché ma sœur a envie de baiser, tout comme mon
mari, tout comme moi … une étrange atmosphère érotique règne, Nicolas change de
tactique.
Depuis derrière les genoux, les pouces à l’intérieur des cuisses les mains ‘rabotent’
la peau tendre, Lucie ouvre le compas de ses cuisses au fur et a mesure que les mains
progressent, arrivés a la fourche les pouces resserrent les lèvres sur elles-mêmes, je
les vois bouger sous la dentelle du string, mon vicieux de mari les frottent l’une sur
l’autre la tache humide s’agrandit a vue d’œil.
- Ôtez-moi ce maudit slip …..Emma ?
- Oui ma chérie ?
- ……. Je ne tiens plus …J’ai envie que Nicolas me caresse …juste un doigt ….
- Il allait justement le faire, tire sur sa culotte chéri
Lentement le triangle mouillé quitte les fesses rondes, des gouttelettes de rosée
féminine sont accrochées dans les poils bruns, une fois nue, d’un bond souple ma sœur
se retourne et expose sans complexe son anatomie a notre regard, les genoux écartés
laissent voir la fente nacrée entrebâillée.
Nicolas quitte son seul vêtement, je l’imite, non pas pour participer, ça ne ce fait
pas chez nous, mais pour me doigter aisément en observant le couple, mon mari a genoux
tire une jambe vers lui, sa main glisse sur la cuisse avant de caresser la touffe de
sa paume, Lucie ronronne come une chatte en chaleur, deux doigt se fraient un passage
dans les poils collés aux lèvres, soudain ma sœur arque son dos et ouvre grand la
bouche, Nicolas vient de faire pénétrer toutes les phalanges de l’index et du majeur
d’un coup.
Lucie les yeux fermés tend une main en direction de mon mari, visiblement elle cherche
sa queue, celui ci de déplace un peu afin qu’elle puisse serrer ses doigts sur son
membre, ils se branlent mutuellement, Nicolas secoue violement la chatte qui clapote
de plus en plus distinctement.
- Mange lui la chatte Nicolas ne la laisse pas souffrir ainsi
- Tu es sûre ?
- Regarde comme je mouille moi même ! vas-y !
Mon mari enjambe le transat et pose un genou a coté de ma sœur celle-ci ne perd pas
une seconde et avale le gland écarlate tandis qu’il se penche entre les cuisses
offertes, un soixante neuf déchainé commence, assise sur l’autre siège je me fourre
trois doigts dans le vagin et roule mon téton bandé, mes yeux embrumés distinguent a
peine le couple mais j’entends clairement les onomatopées rageuses soudain ma sœur se
tait elle pousse un cri strident suivie de prés par Nicolas, galvanisée par ces
jouissances communes je laisse échapper moi aussi un feulement de tigresse, lorsque
j’ouvre les yeux les deux amants sont assis et s’essuient la bouche dans un éclat de
rire collectif .
La queue de Nicolas est toujours aussi raide, émerveillée Lucie la reprend en main
- Vous savez ce qui me fait râler ?
- Non ? quoi ?
- La connasse qui se fait mon mec va s’apercevoir de quoi je suis obligée de me
contenter ! rien à voir avec celle de Nicolas ! tu en as de la chance ma chérie de te
faire baiser par un membre comme celui-là !
- Ça te dirait de te l’essayer ?
- Je ne voudrais pas t’en priver …
- C’est de bon cœur, il m’en restera a prés ne te fais pas de soucis ! mais ce
sera la seule et unique fois, trouve toi un amant après !
- Alors dans ce cas j’en profite !…. Je peux choisir ma position ?
- Laquelle te ferait plaisir ?
- En levrette …
- Ça tombe bien, comme beaucoup d’homme c’est celle que Nicolas préfère !
- Hé bien ce n’est pas le cas du mien il ne connait que la missionnaire, je me
mets au bord du transat comme ceci ?
- Houaaaa ! quelle vue tu m’offre ma chère belle sœur ! cambre toi davantage
afin que ta chatte soit en saillie, chérie tu me guide ? je lui tiens les hanches.
- D’accord mais une fois positionné je lâche aussitôt.
Prenant soin de ne pas toucher la chatte de Lucie je mets la tête de la bitte face au
trou qui laisse suinter des fils de cyprine, lentement le gland disparait dans la
grotte, je me retire mais reste assez prés pour voir la scène, resté debout, les
fesses de Nicolas avancent, le trait d’union qui les unis disparait dans la chatte
vorace il reste un court instant bloqué sur le cul de Lucie avant de se retirer
presqu’entièrement et de donner un coup de rein magistral qui fait hurler ma sœur , a
nouveau, les jambes fléchies je m’introduit plusieurs doigts , les deux corps
s’entrechoquent, ils poussent tous deux des cris d’animaux en rut et tout ça sans que
je n’éprouve aucune jalousie je suis même heureuse de faire plaisir a ma sœur, une
bague de mousse blanche s’est formée autour de la queue qui pistonne sans faiblir le
con éclaté tandis qu’elle se frotte le clitoris pour décupler sa jouissance, Lucie se
cambre sous l’orgasme brutal qui la terrasse, les contractions de sa moule achèvent
mon mari qui la maintient sous lui pour se vider, il lève les yeux au ciel en hurlant,
Lucie redouble de mugissements car les jets de foutre qui percutent le fond de son
vagin réalimentent sa jouissance.
Tous deux en sueurs, la respiration haletante, ils restent accouplés jusqu'à ce que la
queue ramollie glisse hors du trou qui recrache immédiatement une mayonnaise épaisse,
la magie du coït passée Lucie reprend un air sombre
- Que ferait tu a ma place ?
- Ou tu reste avec lui et tu continue une sexualité en berne et le risque d’être
cocue régulièrement ou tu le vire pour trouver un étalon comme Nicolas !
- Nous n’avons pas d’enfant … mon choix est fait ! je cherche un homme comme le
tien à moins que tu ne veuille le partager avec moi !!
- Haha le moral est revenu ! c’est bien … bon, tu reste assister a notre partie
de baisse ? car même si je me suis masturbée en vous regardant j’ai une grosse envie
de queue ! ou bien tu rentre chez toi pour effacer les traces de notre coup de folie
- Et si je gardais sur moi ces traces pour lui montrer ? rassurez vous je ne lui
dirais pas qui m’a fait ça !! au revoir et merci les amoureux, bonne baise !!
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bravo belle histoire, sensuelle à souhait. Bise Love_
Georges, ce texte m'a beaucoup troublé .
Mon index sent le parfum décadent de mes caresses.
Hummm je t'adore, merci.
fee
Mon index sent le parfum décadent de mes caresses.
Hummm je t'adore, merci.
fee
J'aime beaucoup.
Bravo!
Bravo!