Emmanuelle (1)
Récit érotique écrit par Jerome68 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Emmanuelle (1)
Bonjour à toutes et tous. Je vous propose ce récit, perdu quelque part entre réalité et fiction. Je vous laisserais déterminer où se situe la frontière entre les deux. Bonne lecture à vous.
Je vais commencer par me présenter brièvement. Je m’appel Jérôme, j’ai la quarantaine, je suis actuellement célibataire, après une relation d’une grosse dizaine d’années. Physiquement, en toute honnêteté je suis ‘’banal’’ je pense. J’ai un certain charme parait-il mais je ne suis pas un tombeur pour autant. Je mesure 1m93, un poids en rapport avec peut-être un petit surplus. Je suis cadre dans les métiers de la Supply-Chain, ce qui m’accorde un petit confort de vie. Après ma séparation, je me suis installé dans cet appartement, spacieux, calme, qui bénéficie d’une belle terrasse sans vis-à-vis.
Enfin, je dis calme, dans l’ensemble c’est plutôt vrai, mais depuis un peu plus d’un mois, j’ai de nouveaux voisins. Et elle, elle a le don de m’agacer le soir quand elle rentre, avec ses talons bruyants. Je n’ai pas encore eu l’opportunité de la croiser dans les couloirs, juste son mec que j’ai aperçu peut-être deux trois fois quand il rentrait. C’est un petit bonhomme tout frêle, peut-être 1m60, blondinet. Il ne doit pas être très bavard car quand je l’ai croisé, à chaque fois il s’est dépêché de rentrer chez lui. Bref, l’essentiel c’est qu’ils ne brisent pas ma tranquillité tous les deux.
La belle saison s’étant installée, je profite pleinement de ma terrasse tous les soirs. En me penchant je peux apercevoir la cour de la résidence, et quand on circule j’entends assez bien ceux qui passent. Je pense apercevoir de temps en temps ma voisine justement. Je trouve étrange, malgré le beau temps des derniers jours, celle que je pense être ma voisine se balade quand même avec un manteau. Je vois aussi que quelquefois, elle fait une sortie rapide, le soir, pas plus d’une heure je dirais. Peut-être une course ? j’en profites un peu au passage, même si je ne vois pas grand-chose, pour la regarder. Elle a une belle silhouette, plutôt fine. Malgré le manteau je peux voir qu’elle porte souvent une jupe, ou bien une robe. Et toujours ces talons…
Un vendredi, alors que je rentre un peu plus tôt, j’arrive en même temps que mon voisin. Cette fois il est coincé, il ne pourra pas m’esquiver. Je ne vais pas tout de suite lui faire la morale sur les bruits de voisinages non plus, mais au moins, faire un premier contact. On se retrouve dans le hall en même temps, à attendre l’ascenseur, j’en profites pour briser la glace
- Vous devez être mon nouveau voisin, enchanté, je m’appelle Jérôme
- Heu, oui, je, enfin c’est moi, enchanté aussi, moi c’est Emmanuel
- Ravi de vous rencontrer enfin. Vous êtes bien installés vous et votre copine ?
- Ma copine ? ha heu oui, heu bien sûr, oui, c’est super, merci
- Dites, ça vous dirait de venir boire l’apéro, afin de faire connaissance tous les trois ? c’est toujours mieux d’avoir des voisins qu’on connait un peu non ?
- Heu oui, ben pourquoi pas, un de ces 4
- Ben tiens, pourquoi pas ce soir ? si on repousse on ne le fera jamais, passez donc chez moi tout à l’heure tous les deux
- Heu, oui mais non, merci, je, enfin on ne va pas pouvoir ce soir
- Demain alors ?
- Demain aussi ça n’ira pas. En fait, heu, ma copine n’est pas là ces prochains jours
- Ha, ben tant pis, passez ce soir tout seul
L’ascenseur s’ouvre à cet instant, à notre étage. Je ne lui laisse pas le temps de répondre et quitte la cabine en lui lançant :
- Aller, à tout à l’heure, venez pour 19h, vous connaissez le chemin.
Je traverse le couloir sans me retourner pour rentrer chez moi en le laissant un peu décontenancé. J’ai le temps avant, de prendre mon temps, une douche, quelques préparatifs rapides. Quelques minutes après 19h, ma sonnette retentie. Derrière la porte se trouve le petit Emmanuel qui fait tout penaud.
- Salut, aller, viens. Ça ne te dérange pas si on se tutoie ?
- Salut, heu non, pas de problème
Je le laisse entrer et en profites pour mieux l’observer au passage. Silhouette fine, pas musclé pour un sou, il porte un T-shirt blanc simple, un bermuda blanc aussi, des baskets blanches. Je m’aperçois que ses cheveux blonds sont longs en fait, mais attachés en une espèce de chignon à l’arrière de la tête. Ses jambes nues ne laissent voir aucuns poils, soit ils sont très clair en tant que blond, soit extrêmement rares.
- Viens, on va s’installer sur la terrasse.
- Ok
Je le guide à travers l’appartement vers la terrasse et l’invite à s’installer. Il choisit de s’assoir sur un des petits tabourets, dos à la porte fenêtre.
- Du Prosecco ça te dit ? Par ce temps c’est sympa, bien frais. Ou tu veux boire autre chose ?
- Non, c’est bien merci.
Je fais l’aller-retour pour chercher la bouteille et les verres et reviens m’installer sur la terrasse, face à lui.
- Alors, bien installés ? Ça fait quoi un mois ?
- Oui très bien, merci, oui un mois
- Avoir son chez soi c’est toujours agréable. Tu bosse dans quoi ?
- Je suis aide-comptable
- Ha bien ça te plait ?
- Oui ça va
- Et ta copine ?
- Elle heu, ben elle… secrétaire, voilà oui, secrétaire
- Ok ok, vous êtes ensemble depuis longtemps ?
- C’est-à-dire que, oui, enfin, plus ou moins, quelques temps
- D’accord. Et vous avez quels âges ?
- J’ai 20 ans, enfin, je… nous avons 20 ans
Nous continuons de papoter, enfin, à dire vrai, ça ressemble presque à un interrogatoire. Je pose des questions, il répond, je lance des sujets auxquels il acquiesce sans trop s’étendre. Je le sens nerveux, et souvent, pour meubler il boit une gorgée. Ce qui fait qu’à force de vider son verre, c’est la bouteille qui se vide. Je sens que tout doucement, les bulles lui montent à la tête, mais je vais tout de même chercher une seconde bouteille. Quand je me rassois, après nous être resservis, je relance la discussion, d’une manière un peu différente.
- Je peux te partager une théorie que j’ai depuis peu ?
- Oui, bien entendu
- Ma théorie, c’est que ta copine n’existe pas
- Mais, enfin, pourquoi tu dis ça ?
- Ho pour plusieurs raisons. La première, c’est que je ne l’ai jamais vraiment vu, juste aperçu, le soir quand il fait nuit. La seconde raison, c’est qu’en te regardant de près maintenant, que ce soit ta façon de t’assoir, jambes croisées comme tu es actuellement, ta gestuelle, légère, maniérée, tes jambes où on voit clairement que tu entretiens ta pilosité. Et la troisième raison, qui m’a conforté dans mon idée, c’est le joli shorty mauve en dentelle que tu portes.
Tandis qu’il tente de réajuster son T-shirt, il essai d’y répondre
- Mais, heu, enfin, non, pas du tout. C’est heu non pas du tout ça
Je me lève alors, pour venir m’assoir à côté de lui
- Tirer sur ton t-shirt comme ça ne sert à rien. Non seulement ton bermuda blanc est un tout petit peu trop transparent pour que ça ne se voit pas, et surtout, depuis tout à l’heure, il dépasse… Allons, tu n’as pas à en avoir honte, au contraire. Ça fait longtemps que tu te travestis ?
- Mais non, ça n’a rien à voir
- Aller, ne sois pas gêné, je ne te juge pas. Et puis, je dois reconnaitre que j’aime beaucoup te regarder quand tu passes dans la cour.
- Bon, ok… oui c’est vrai… pff, c’est hyper gênant… Personne ne le sait… J’ai commencé je sais plus trop vers quel âge, peut-être 15 ou 16, en piquant des affaires ici ou là… Ou en achetant des trucs vite fait en magasin…
- Et du coup, maintenant que tu vis seul, c’est plus simple j’imagine
- Oui c’est vrai… après j’aimerais avoir plus d’affaires mais bon, ça coute toujours cher.
- Et donc tu n’en n’as jamais parlé à personne ? je suis flatté d’être le premier
- C’est embarrassant…
- Y’a pas de raison… et du coup, pas de copine ? un copain peut-être ?
- Je… non, personne
- Et tu préfèrerais quoi ? Copine ou copain ?
- Je…. Plutôt copain ...
- Tu n’as jamais eu personne ?
- J’ai plus ou moins fréquenté 2 garçons. Le premier j’étais jeune, ça n’a pas trop duré. Le second, ça n’a pas duré non plus longtemps, et en fait ce n’était pas vraiment mon copain non plus.
- Plus des aventures rapides ?
- Oui et non, le premier on découvrait un peu tous les deux sans comprendre ce qui nous arrivait et finalement ça nous a fait peur donc on a vite stoppé. Le second, c’était différent… On va dire qu’il voulait juste un truc de moi…
- Ha bon ? quoi donc ?
- Ben, tu sais bien…
- Non je ne vois pas
- Ben… il espérait me baiser
- Ha ok, et il y est arrivé ?
- Non… disons que j’ai repoussé en le faisant patienter…
- Ha oui ? Comment tu l’as fait patienter ?
- Ben… pfff c’est super gênant tout ça… Ben juste en… le suçant quoi
- Ha oui ok, je vois. Je vais te faire un aveu aussi, j’aime beaucoup les personnes comme toi, et toi je te trouve vraiment très mignon, ou plutôt, mignonne
- Merci, me répond-il en rougissant
- Tu sais quoi, j’aimerais beaucoup mieux voir ce petit shorty…
Je me suis levé, en le faisant se lever aussi tout en disant ça
- Faut peut-être pas exagérer non ?
- Pourquoi exagérer ? tu es lancé dans les confidences, autant aller jusqu’au bout.
Tout en continuant à lui parler, je suis passé derrière lui. Une main posée sur sa hanche, l‘autre sur son ventre faisant remonter doucement son t-shirt. Il est tendu mais malgré tout ne semble pas opposer de résistance. Lentement, son t-shirt finit par passer au-dessus de sa tête, et au passage, cela défait son chignon. Ses cheveux blonds se relâchent donc en une longue crinière dorée lui arrivant juste sous les épaules. Ma main revient se poser sur son ventre et l’autre, lentement, commence à ouvrir le bouton de son bermuda sans résistance là aussi. Lentement, il finit par lui glisser aux pieds.
- Tu devrais le retirer complètement, ainsi que tes baskets
- Ok, murmure-t ’il
Il s’accroupie, délicatement et gracieusement pour défaire ses lacets et retirer ses baskets.
- Mignon comme tout ton vernis rose sur les orteils
Il laisse filer un merci dans un petit souffle. Quand il se redresse, je l’attire contre moi, une main revient sur son ventre, l’autre remonte doucement vers ses tétons. Il les a sensibles et rapidement, je sens sa respiration s‘accélérer. Je joue délicatement avec, ce qui ne le laisse pas insensible
- Tu es vraiment très sexy tu sais ma belle ?
- Merci
Me penchant en avant, je cherche sa bouche qui sans hésiter vient s’offrir à la mienne. Une de ses mains vient s’enrouler derrière ma nuque tandis que sa langue vient s’offrir à la mienne dans une danse sensuelle. Un long baiser langoureux s’ensuit. Lorsque nos bouches se séparent
- Tu as l’air d’aimer ça
- Oui… je… je t’ai remarqué le jour de mon arrivée, et je t’ai trouvé à mon gout de suite… tu es le genre d’homme que j’aime… pas ces clichés de magazines, mais masculins, grands… être comme ça dans tes bras me fait tellement de bien
- Et toi, tu sens ce que tu provoque chez moi ?
Tout en poussant un peu plus ses fesses contre moi, contre ma queue dressée sous mon jean il me répond
- Oui…
- Et ça aussi ça te plait ?
- Oui…
- Tu sais quoi ? j’aimerais que moi aussi tu me fasses ‘’patienter’’
- Je… Je n’ai fait ça qu’avec un homme… et dès le premier soir ?
- Ho oui, ne te prive pas, je sens que tu en as envie aussi, rien qu’en sentant comment tes petites fesses se frottes à moi depuis avant…
Sans me répondre, je le vois alors se laisser glisser au sol, dos à moi, puis, une fois à genoux, se retourner. Son regard, aux yeux verts profonds, se plonge dans le mien, tandis que ses mains s’affairent à me déboutonner. Le jean ouvert, il me le fait glisser doucement. Je l’aide à me l’enlever en retirant mes chaussures et le faisant s’enlever. Jean retiré, il fixe la bosse sous mon caleçon. Il en saisit l’élastique et le fait descendre doucement, et ce qui doit arriver arrive, ma bite finit par lui sauter au visage, illuminant son visage d’un immense sourire. Sa main vient s’en saisir, timidement et commence de très légers mouvements. Je vois la pointe de sa langue venir humidifier ses lèvres tandis que ses yeux ne lâchent pas ma queue dressée. Puis lentement je vois sa tête se rapprocher, ses lèvres se mettre en cœur et venir déposer un baiser sur mon gland. Sa langue vient ensuite me le caresser délicatement. Elle en fait le tour, passe sur mon méat, puis vient glisser vers le bas le long de ma hampe tendue. Sa seconde main vient de saisir mes bourses qui a leur tour se font couvrir de baisers. Puis lentement, la langue appuyée à plat sur ma queue, il remonte et dans un unique mouvement mon gland se retrouve au chaud dans sa bouche. Par de lentes succions, sa bouche remonte et redescend, à chaque fois un peu plus bas. Bientôt c’est les 2 tiers de ma queue qui logent dans sa bouche. Je n’ai pas un braquemart énorme, pourtant sa petite bouche étroite a du mal à tout gober. Ajustée à ma queue sa bouche s’active plus énergiquement et c’est d’une pipe des plus gourmandes que je peux profiter. Ses mains ne sont pas en reste, l’une me masturbant, tantôt lentement, tantôt plus vite, l’autre me malaxant les couilles. Il semble sentir les moments où je suis au bord de la rupture et ralentit pour prolonger sa pipe. Enfin, en accrochant mon regard de façon perverse il s’active et cette fois sans ralentir jusqu’à me faire juter au fond de sa bouche. Je me vide de plusieurs jets fournis sur sa langue. Quand j’en ai fini, il cherche à attraper son verre pour se vider la bouche. L’attrapant par le menton fermement je lui dis juste « avale », ce qu’il fait après un bref moment d’hésitation.
- Et maintenant nettoie la bien
Il replonge alors ma queue dans sa bouche et nettoie la moindre trace de sperme qui pouvait y rester. Ma queue propre je l’aide à se relever et lui tend son verre.
- Bois pour te rincer la bouche, je n’ai pas envie d’avoir le goût de mon sperme dans ta bouche
Emmanuel boit d’une traite sa coupe. Je m’aperçois que l’avant de son shorty présente une auréole humide.
- Ça t’a excité on dirait
- Oui, beaucoup
- Baisse-le
Je le regarde se saisir de l’élastique de ses 2 pouces, et timidement le baisser à mi-cuisses. M’apparaît alors un tout petit asticot, minuscule, et tout lisse
- Tu as un clito tout mignon
Je m’aperçois alors qu’au fond de son shorty c’est une petite flaque de sperme qui l’a mouillé
- Tu as joui ?
- Oui, me répond il en baissant les yeux
- Juste à me sucer ?
- Oui j’ai vraiment beaucoup aimé…
- Je vois ça. Dis-moi, tu as quoi de prévu demain ?
- Rien… c’est samedi je n’ai rien à faire
- Très bien, demain matin à 9h je passe chez toi. Mais je veux que tu me présentes ton alter égo. D’ailleurs quel est ton prénom ma petite blondinette ?
- Ben… Emmanuelle…
- Très bien Emmanuelle, demain je veux faire ta connaissance. Fais toi belle pour moi
- Je, non, je ne me suis jamais montré à personne…
- Il faut une première fois à tout ma belle. Et je ne crois pas t’avoir demandé ce que tu en pensais, je me trompe ?
- Non, en effet. C’est d’accord
- Très bien, maintenant tu vas rentrer chez toi et passer une bonne nuit de repos
- D’accord. Jérôme ?
- Oui ?
- Tu veux bien m’embrasser encore ?
Je me rapproche alors, face à face, jusqu’à ce que nos corps se touchent. Je la domine de plus d’une tête. Je lève sa tête en soulevant son menton, me penche légèrement. Alors que mes lèvres allaient toucher les siennes, ses bras s’enroulent autour de mon cou, amoureusement et sensuellement, provoquant le contact de nos bouches. Lorsque nos bouches se décollent je vois ses yeux pétiller.
- Maintenant file, et demain soit fraîche et propre… de partout…
Elle allait se pencher pour ramasser ses habits quand je l’ai interrompue lui disant que le shorty suffirait, n’ayant même pas 10m à faire dans le couloir et que nous sommes seuls sur le pallier. Elle acquiesce, avec un sourire malicieux, se retourne et dandinant son délicieux petit cul, s’en va.
Je vais commencer par me présenter brièvement. Je m’appel Jérôme, j’ai la quarantaine, je suis actuellement célibataire, après une relation d’une grosse dizaine d’années. Physiquement, en toute honnêteté je suis ‘’banal’’ je pense. J’ai un certain charme parait-il mais je ne suis pas un tombeur pour autant. Je mesure 1m93, un poids en rapport avec peut-être un petit surplus. Je suis cadre dans les métiers de la Supply-Chain, ce qui m’accorde un petit confort de vie. Après ma séparation, je me suis installé dans cet appartement, spacieux, calme, qui bénéficie d’une belle terrasse sans vis-à-vis.
Enfin, je dis calme, dans l’ensemble c’est plutôt vrai, mais depuis un peu plus d’un mois, j’ai de nouveaux voisins. Et elle, elle a le don de m’agacer le soir quand elle rentre, avec ses talons bruyants. Je n’ai pas encore eu l’opportunité de la croiser dans les couloirs, juste son mec que j’ai aperçu peut-être deux trois fois quand il rentrait. C’est un petit bonhomme tout frêle, peut-être 1m60, blondinet. Il ne doit pas être très bavard car quand je l’ai croisé, à chaque fois il s’est dépêché de rentrer chez lui. Bref, l’essentiel c’est qu’ils ne brisent pas ma tranquillité tous les deux.
La belle saison s’étant installée, je profite pleinement de ma terrasse tous les soirs. En me penchant je peux apercevoir la cour de la résidence, et quand on circule j’entends assez bien ceux qui passent. Je pense apercevoir de temps en temps ma voisine justement. Je trouve étrange, malgré le beau temps des derniers jours, celle que je pense être ma voisine se balade quand même avec un manteau. Je vois aussi que quelquefois, elle fait une sortie rapide, le soir, pas plus d’une heure je dirais. Peut-être une course ? j’en profites un peu au passage, même si je ne vois pas grand-chose, pour la regarder. Elle a une belle silhouette, plutôt fine. Malgré le manteau je peux voir qu’elle porte souvent une jupe, ou bien une robe. Et toujours ces talons…
Un vendredi, alors que je rentre un peu plus tôt, j’arrive en même temps que mon voisin. Cette fois il est coincé, il ne pourra pas m’esquiver. Je ne vais pas tout de suite lui faire la morale sur les bruits de voisinages non plus, mais au moins, faire un premier contact. On se retrouve dans le hall en même temps, à attendre l’ascenseur, j’en profites pour briser la glace
- Vous devez être mon nouveau voisin, enchanté, je m’appelle Jérôme
- Heu, oui, je, enfin c’est moi, enchanté aussi, moi c’est Emmanuel
- Ravi de vous rencontrer enfin. Vous êtes bien installés vous et votre copine ?
- Ma copine ? ha heu oui, heu bien sûr, oui, c’est super, merci
- Dites, ça vous dirait de venir boire l’apéro, afin de faire connaissance tous les trois ? c’est toujours mieux d’avoir des voisins qu’on connait un peu non ?
- Heu oui, ben pourquoi pas, un de ces 4
- Ben tiens, pourquoi pas ce soir ? si on repousse on ne le fera jamais, passez donc chez moi tout à l’heure tous les deux
- Heu, oui mais non, merci, je, enfin on ne va pas pouvoir ce soir
- Demain alors ?
- Demain aussi ça n’ira pas. En fait, heu, ma copine n’est pas là ces prochains jours
- Ha, ben tant pis, passez ce soir tout seul
L’ascenseur s’ouvre à cet instant, à notre étage. Je ne lui laisse pas le temps de répondre et quitte la cabine en lui lançant :
- Aller, à tout à l’heure, venez pour 19h, vous connaissez le chemin.
Je traverse le couloir sans me retourner pour rentrer chez moi en le laissant un peu décontenancé. J’ai le temps avant, de prendre mon temps, une douche, quelques préparatifs rapides. Quelques minutes après 19h, ma sonnette retentie. Derrière la porte se trouve le petit Emmanuel qui fait tout penaud.
- Salut, aller, viens. Ça ne te dérange pas si on se tutoie ?
- Salut, heu non, pas de problème
Je le laisse entrer et en profites pour mieux l’observer au passage. Silhouette fine, pas musclé pour un sou, il porte un T-shirt blanc simple, un bermuda blanc aussi, des baskets blanches. Je m’aperçois que ses cheveux blonds sont longs en fait, mais attachés en une espèce de chignon à l’arrière de la tête. Ses jambes nues ne laissent voir aucuns poils, soit ils sont très clair en tant que blond, soit extrêmement rares.
- Viens, on va s’installer sur la terrasse.
- Ok
Je le guide à travers l’appartement vers la terrasse et l’invite à s’installer. Il choisit de s’assoir sur un des petits tabourets, dos à la porte fenêtre.
- Du Prosecco ça te dit ? Par ce temps c’est sympa, bien frais. Ou tu veux boire autre chose ?
- Non, c’est bien merci.
Je fais l’aller-retour pour chercher la bouteille et les verres et reviens m’installer sur la terrasse, face à lui.
- Alors, bien installés ? Ça fait quoi un mois ?
- Oui très bien, merci, oui un mois
- Avoir son chez soi c’est toujours agréable. Tu bosse dans quoi ?
- Je suis aide-comptable
- Ha bien ça te plait ?
- Oui ça va
- Et ta copine ?
- Elle heu, ben elle… secrétaire, voilà oui, secrétaire
- Ok ok, vous êtes ensemble depuis longtemps ?
- C’est-à-dire que, oui, enfin, plus ou moins, quelques temps
- D’accord. Et vous avez quels âges ?
- J’ai 20 ans, enfin, je… nous avons 20 ans
Nous continuons de papoter, enfin, à dire vrai, ça ressemble presque à un interrogatoire. Je pose des questions, il répond, je lance des sujets auxquels il acquiesce sans trop s’étendre. Je le sens nerveux, et souvent, pour meubler il boit une gorgée. Ce qui fait qu’à force de vider son verre, c’est la bouteille qui se vide. Je sens que tout doucement, les bulles lui montent à la tête, mais je vais tout de même chercher une seconde bouteille. Quand je me rassois, après nous être resservis, je relance la discussion, d’une manière un peu différente.
- Je peux te partager une théorie que j’ai depuis peu ?
- Oui, bien entendu
- Ma théorie, c’est que ta copine n’existe pas
- Mais, enfin, pourquoi tu dis ça ?
- Ho pour plusieurs raisons. La première, c’est que je ne l’ai jamais vraiment vu, juste aperçu, le soir quand il fait nuit. La seconde raison, c’est qu’en te regardant de près maintenant, que ce soit ta façon de t’assoir, jambes croisées comme tu es actuellement, ta gestuelle, légère, maniérée, tes jambes où on voit clairement que tu entretiens ta pilosité. Et la troisième raison, qui m’a conforté dans mon idée, c’est le joli shorty mauve en dentelle que tu portes.
Tandis qu’il tente de réajuster son T-shirt, il essai d’y répondre
- Mais, heu, enfin, non, pas du tout. C’est heu non pas du tout ça
Je me lève alors, pour venir m’assoir à côté de lui
- Tirer sur ton t-shirt comme ça ne sert à rien. Non seulement ton bermuda blanc est un tout petit peu trop transparent pour que ça ne se voit pas, et surtout, depuis tout à l’heure, il dépasse… Allons, tu n’as pas à en avoir honte, au contraire. Ça fait longtemps que tu te travestis ?
- Mais non, ça n’a rien à voir
- Aller, ne sois pas gêné, je ne te juge pas. Et puis, je dois reconnaitre que j’aime beaucoup te regarder quand tu passes dans la cour.
- Bon, ok… oui c’est vrai… pff, c’est hyper gênant… Personne ne le sait… J’ai commencé je sais plus trop vers quel âge, peut-être 15 ou 16, en piquant des affaires ici ou là… Ou en achetant des trucs vite fait en magasin…
- Et du coup, maintenant que tu vis seul, c’est plus simple j’imagine
- Oui c’est vrai… après j’aimerais avoir plus d’affaires mais bon, ça coute toujours cher.
- Et donc tu n’en n’as jamais parlé à personne ? je suis flatté d’être le premier
- C’est embarrassant…
- Y’a pas de raison… et du coup, pas de copine ? un copain peut-être ?
- Je… non, personne
- Et tu préfèrerais quoi ? Copine ou copain ?
- Je…. Plutôt copain ...
- Tu n’as jamais eu personne ?
- J’ai plus ou moins fréquenté 2 garçons. Le premier j’étais jeune, ça n’a pas trop duré. Le second, ça n’a pas duré non plus longtemps, et en fait ce n’était pas vraiment mon copain non plus.
- Plus des aventures rapides ?
- Oui et non, le premier on découvrait un peu tous les deux sans comprendre ce qui nous arrivait et finalement ça nous a fait peur donc on a vite stoppé. Le second, c’était différent… On va dire qu’il voulait juste un truc de moi…
- Ha bon ? quoi donc ?
- Ben, tu sais bien…
- Non je ne vois pas
- Ben… il espérait me baiser
- Ha ok, et il y est arrivé ?
- Non… disons que j’ai repoussé en le faisant patienter…
- Ha oui ? Comment tu l’as fait patienter ?
- Ben… pfff c’est super gênant tout ça… Ben juste en… le suçant quoi
- Ha oui ok, je vois. Je vais te faire un aveu aussi, j’aime beaucoup les personnes comme toi, et toi je te trouve vraiment très mignon, ou plutôt, mignonne
- Merci, me répond-il en rougissant
- Tu sais quoi, j’aimerais beaucoup mieux voir ce petit shorty…
Je me suis levé, en le faisant se lever aussi tout en disant ça
- Faut peut-être pas exagérer non ?
- Pourquoi exagérer ? tu es lancé dans les confidences, autant aller jusqu’au bout.
Tout en continuant à lui parler, je suis passé derrière lui. Une main posée sur sa hanche, l‘autre sur son ventre faisant remonter doucement son t-shirt. Il est tendu mais malgré tout ne semble pas opposer de résistance. Lentement, son t-shirt finit par passer au-dessus de sa tête, et au passage, cela défait son chignon. Ses cheveux blonds se relâchent donc en une longue crinière dorée lui arrivant juste sous les épaules. Ma main revient se poser sur son ventre et l’autre, lentement, commence à ouvrir le bouton de son bermuda sans résistance là aussi. Lentement, il finit par lui glisser aux pieds.
- Tu devrais le retirer complètement, ainsi que tes baskets
- Ok, murmure-t ’il
Il s’accroupie, délicatement et gracieusement pour défaire ses lacets et retirer ses baskets.
- Mignon comme tout ton vernis rose sur les orteils
Il laisse filer un merci dans un petit souffle. Quand il se redresse, je l’attire contre moi, une main revient sur son ventre, l’autre remonte doucement vers ses tétons. Il les a sensibles et rapidement, je sens sa respiration s‘accélérer. Je joue délicatement avec, ce qui ne le laisse pas insensible
- Tu es vraiment très sexy tu sais ma belle ?
- Merci
Me penchant en avant, je cherche sa bouche qui sans hésiter vient s’offrir à la mienne. Une de ses mains vient s’enrouler derrière ma nuque tandis que sa langue vient s’offrir à la mienne dans une danse sensuelle. Un long baiser langoureux s’ensuit. Lorsque nos bouches se séparent
- Tu as l’air d’aimer ça
- Oui… je… je t’ai remarqué le jour de mon arrivée, et je t’ai trouvé à mon gout de suite… tu es le genre d’homme que j’aime… pas ces clichés de magazines, mais masculins, grands… être comme ça dans tes bras me fait tellement de bien
- Et toi, tu sens ce que tu provoque chez moi ?
Tout en poussant un peu plus ses fesses contre moi, contre ma queue dressée sous mon jean il me répond
- Oui…
- Et ça aussi ça te plait ?
- Oui…
- Tu sais quoi ? j’aimerais que moi aussi tu me fasses ‘’patienter’’
- Je… Je n’ai fait ça qu’avec un homme… et dès le premier soir ?
- Ho oui, ne te prive pas, je sens que tu en as envie aussi, rien qu’en sentant comment tes petites fesses se frottes à moi depuis avant…
Sans me répondre, je le vois alors se laisser glisser au sol, dos à moi, puis, une fois à genoux, se retourner. Son regard, aux yeux verts profonds, se plonge dans le mien, tandis que ses mains s’affairent à me déboutonner. Le jean ouvert, il me le fait glisser doucement. Je l’aide à me l’enlever en retirant mes chaussures et le faisant s’enlever. Jean retiré, il fixe la bosse sous mon caleçon. Il en saisit l’élastique et le fait descendre doucement, et ce qui doit arriver arrive, ma bite finit par lui sauter au visage, illuminant son visage d’un immense sourire. Sa main vient s’en saisir, timidement et commence de très légers mouvements. Je vois la pointe de sa langue venir humidifier ses lèvres tandis que ses yeux ne lâchent pas ma queue dressée. Puis lentement je vois sa tête se rapprocher, ses lèvres se mettre en cœur et venir déposer un baiser sur mon gland. Sa langue vient ensuite me le caresser délicatement. Elle en fait le tour, passe sur mon méat, puis vient glisser vers le bas le long de ma hampe tendue. Sa seconde main vient de saisir mes bourses qui a leur tour se font couvrir de baisers. Puis lentement, la langue appuyée à plat sur ma queue, il remonte et dans un unique mouvement mon gland se retrouve au chaud dans sa bouche. Par de lentes succions, sa bouche remonte et redescend, à chaque fois un peu plus bas. Bientôt c’est les 2 tiers de ma queue qui logent dans sa bouche. Je n’ai pas un braquemart énorme, pourtant sa petite bouche étroite a du mal à tout gober. Ajustée à ma queue sa bouche s’active plus énergiquement et c’est d’une pipe des plus gourmandes que je peux profiter. Ses mains ne sont pas en reste, l’une me masturbant, tantôt lentement, tantôt plus vite, l’autre me malaxant les couilles. Il semble sentir les moments où je suis au bord de la rupture et ralentit pour prolonger sa pipe. Enfin, en accrochant mon regard de façon perverse il s’active et cette fois sans ralentir jusqu’à me faire juter au fond de sa bouche. Je me vide de plusieurs jets fournis sur sa langue. Quand j’en ai fini, il cherche à attraper son verre pour se vider la bouche. L’attrapant par le menton fermement je lui dis juste « avale », ce qu’il fait après un bref moment d’hésitation.
- Et maintenant nettoie la bien
Il replonge alors ma queue dans sa bouche et nettoie la moindre trace de sperme qui pouvait y rester. Ma queue propre je l’aide à se relever et lui tend son verre.
- Bois pour te rincer la bouche, je n’ai pas envie d’avoir le goût de mon sperme dans ta bouche
Emmanuel boit d’une traite sa coupe. Je m’aperçois que l’avant de son shorty présente une auréole humide.
- Ça t’a excité on dirait
- Oui, beaucoup
- Baisse-le
Je le regarde se saisir de l’élastique de ses 2 pouces, et timidement le baisser à mi-cuisses. M’apparaît alors un tout petit asticot, minuscule, et tout lisse
- Tu as un clito tout mignon
Je m’aperçois alors qu’au fond de son shorty c’est une petite flaque de sperme qui l’a mouillé
- Tu as joui ?
- Oui, me répond il en baissant les yeux
- Juste à me sucer ?
- Oui j’ai vraiment beaucoup aimé…
- Je vois ça. Dis-moi, tu as quoi de prévu demain ?
- Rien… c’est samedi je n’ai rien à faire
- Très bien, demain matin à 9h je passe chez toi. Mais je veux que tu me présentes ton alter égo. D’ailleurs quel est ton prénom ma petite blondinette ?
- Ben… Emmanuelle…
- Très bien Emmanuelle, demain je veux faire ta connaissance. Fais toi belle pour moi
- Je, non, je ne me suis jamais montré à personne…
- Il faut une première fois à tout ma belle. Et je ne crois pas t’avoir demandé ce que tu en pensais, je me trompe ?
- Non, en effet. C’est d’accord
- Très bien, maintenant tu vas rentrer chez toi et passer une bonne nuit de repos
- D’accord. Jérôme ?
- Oui ?
- Tu veux bien m’embrasser encore ?
Je me rapproche alors, face à face, jusqu’à ce que nos corps se touchent. Je la domine de plus d’une tête. Je lève sa tête en soulevant son menton, me penche légèrement. Alors que mes lèvres allaient toucher les siennes, ses bras s’enroulent autour de mon cou, amoureusement et sensuellement, provoquant le contact de nos bouches. Lorsque nos bouches se décollent je vois ses yeux pétiller.
- Maintenant file, et demain soit fraîche et propre… de partout…
Elle allait se pencher pour ramasser ses habits quand je l’ai interrompue lui disant que le shorty suffirait, n’ayant même pas 10m à faire dans le couloir et que nous sommes seuls sur le pallier. Elle acquiesce, avec un sourire malicieux, se retourne et dandinant son délicieux petit cul, s’en va.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres jolie histoire
J aimerai la remplacer
Hello, vraiment sympa ce début. Cette manière de découvrir un travesti sensuel.
Vite, j'attaque le deuxième !
Vite, j'attaque le deuxième !
Bonjour , cette histoire me rappel ma première fois avec mon voisin âgé de 35 ans moi 17 ans il y’a 2 ans
très belle histoire
J'aimerais être ta petite blondinette et que tu me demandes de me faire belle pour toi
Belle histoire, le fond et la forme sont agréables et demandent bien sûr rapidement la suite !
Bravo !!
Bravo !!