Emmanuelle 2 - dans la tête d’Eppanuelle
Récit érotique écrit par Jerome68 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Emmanuelle 2 - dans la tête d’Eppanuelle
Je ferme ma porte, à bout de souffle. Je ne réalise pas tout ce qui vient de m’arriver. Je suis là, dans mon entrée, adossée à ma porte, portant juste mon shorty tout souillé. Je suis sonnée, effrayée, tremblante et pourtant heureuse… Je réalise que je souris, sans m’en rendre compte, j’ai un des plus grand sourire possible sur mon visage… Ha oui, je crois que je dois vous parler de moi. Officiellement je m’appelle Emmanuel, j’ai 20 ans. Je dis officiellement car depuis longtemps maintenant je ne me sens pas garçon… Je suis le plus jeune d’une famille de 3 enfants, j’ai deux sœurs aînées. Autant vous dire que toute mon enfance a baignée dans un monde plutôt féminin. Mon père n’était pas beaucoup à la maison, souvent en déplacement pour son travail. Automatiquement la teneur masculine était réduite. D’autant plus qu’on ne peut pas dire que j’ai un gabarit de mâle alpha… avec mes 1m61, mes 49 kg, je n’ai jamais été très chargé d’hormones masculines. En tant que cadet j’ai souvent hérité de vêtements de mes aînées, par soucis d’économie pour ma mère qui pourtant n’avait pas réellement besoin d’en faire. Ça ne m’a jamais dérangé dans la mesure où malgré tout j’avais mes propres vêtements de garçon. Je n’ai pas eu une enfance spéciale, plutôt heureuse dans l’ensemble si on oublie les périodes d’âge très bête ou j’ai été un peu chahuté à l’école. Vu mon physique j’étais la cible facile. Ça n’a jamais été hyper violent et ça s’est calmé naturellement. A la période du collège j’ai commencé à me poser de vraie question sur ma sexualité. Contrairement à mes copains je n’avais pas le même regard gourmand sur les filles, enfin si mais pas pour les mêmes raisons. Eux s’imaginaient se les faire, moi je m’imaginais avec leurs tenues… à cette période je me suis fait un bon ami, on trainait assez souvent ensemble, jouait aux jeux vidéo chez lui et tout ça. Sans vraiment comprendre comment c’est arrivé, un jour on s’est retrouvé à s’embrasser. Déboussolés tous les 2 on n’en a plus parlé, mais ça s’est reproduit. On ne comprenait pas trop mais ça nous plaisait, du moins tant qu’on était cachés. De mon côté j’ai vite compris que j’aimais les garçons, lui refusais de l’avouer. On a donc vécu cette « amourette » en secret. Surtout quand on se retrouvait chez lui à vrai dire. Chez moi c’était toujours trop animé avec mes sœurs, lui étant fils unique, on avait plus de tranquillité. Un soir, alors que je devais dormir chez lui, comme ça nous arrivait souvent depuis qu’on est copain, ça a un peu dérapé. On était dans son lit, lui penché sur moi, à s’embrasser. Il a commencé à se frotter a moi, et c’est la première fois où j’ai senti une bite dure. J’ai voulu explorer un peu plus et j’ai commencé à le caresser par-dessus son pantalon. J’ai tout de suite aimé sentir la chaleur qu’elle dégageait, même à travers le vêtement, sentir sa dureté sous mes doigts. Ça semblait aussi lui plaire bien qu’il avait l’air d’avoir un peu honte je crois. Il a quitté ma bouche, s’est levé pour éteindre les lumières. Quand il est revenu sur le lit, dans un murmure il m’a dit « on se met nus ? ». J’ai soufflé un petit oui et on s’est déshabillé et rapidement on s’est caché sous le drap. Il est revenu m’embrasser et là j’ai vraiment senti sa bite contre ma cuisse. J’ai descendu ma main pour lui la caresser. Et là quelle surprise, je réalise la taille, et lui fait remarquer
- Comment ça se fait qu’elle est si grosse ?
- Ben c’est parce que je suis excité
- Oui mais elle est très grande quand même
- Non, pas tellement
- Ben par rapport à moi, si
Il s’est alors tourné pour allumer la lampe de chevet, puis a doucement baissé le drap. J’ai alors vu ma première queue tendue de désir, et j’ai réalisé que je ne devais pas être normal. Là où sa queue, qu’on a mesurée quelques temps plus tard, faisait 18cm de long et 4 de diamètre, la mienne n’en faisait qu’à peine 10cm pour 2 de diamètre, et ça, au plus haut de mon excitation. Autant dire que même cette partie de mon corps n’était pas celle d’un vrai garçon. Après s’être comparé, il est revenu vers moi m’embrasser, et en prenant ma main l’a posé sur sa queue. J’ai alors pour la première fois branlé un autre garçon, et j’ai adoré. Tout en me laissant embrassé je l’ai astiqué, très maladroitement pour cette première fois, mais l’excitation faisant il a fini par éjaculer. J’ai adoré aussi cette sensation d’être à l’origine de ce plaisir. Son orgasme passé il s’est levé pour se nettoyer. De mon côté j’ai osé goutter la goutte que j’avais sur les doigts. Pas désagréable je me suis dit. Puis on s’est couché et c’est dans ses bras que je me suis endormi. Ça duré quelques mois comme ça, seuls on s’embrassait et les fois où je dormais chez lui je le branlais, il jouissait puis on dormait. Une seule fois il a voulu me rendre la pareille, j’ai joui en même pas 1 minute, sans plaisir énorme. J’en avais beaucoup plus à le faire jouir lui, et souvent jˋéjaculais une petite goutte lorsque lui se déversait dans ma main.
Un jour il m’a annoncé vouloir arrêter, qu’il ne voulait pas devenir « un petite tapette ». Bien sûr, j’ai été dévasté, mon premier chagrin d’amour. Quelques jours après, je l’ai vu en ville avec à son bras une fille. Ils se câlinaient, s’embrassaient, il avait l’air heureux… ce qui m’a en fait le plus surpris c’est que cette fille me ressemblait… on devait faire la même taille, elle est blonde comme moi, une silhouette semblable… ça a été comme un déclic pour moi. Je suis rentré chez moi, il n’y avait personne, et je me suis mis en quête de vêtements et sous vêtements dans les armoires de mes sœurs. Ça a été mes débuts de travestissement. Très vite j’avais chapardé plusieurs affaires et dès que je me trouvais seul à la maison, je me mettais dans la peau d’une fille. J’ai découvert que je me sentais mieux comme ça qu’en garçon. J’ai traversé les dernières années de collège puis de lycée comme ça, vivant en garçon au quotidien et dès que l’occasion s’offrait, en fille. J’ai commencé à entretenir ma pilosité, j’avais de la chance je n’en n’avais pas beaucoup, mais je rasais tout. J’aimais voir ma toute petite bite lisse, sentir mes jambes et mes aisselles lisses. Personne ne s’en rendait compte mais moi je le savais et le sentais et c’est ce qui importait le plus. Passé le bac, j’ai démarré un BTS en comptabilité. Non pas que le métier me passionnait mais, doué avec les chiffres c’est le seul cursus qui m’a attiré. Dans la classe j’y ai connu un garçon, on s’est rapproché sans s’en rendre compte. Alors qu’on buvait un verre chez lui on a fini par s’embrasser. Après ce premier baiser il a été clair avec moi, il n’a pas l’intention de se montrer avec moi. Il est bi non assumé et nous deux ça ne sera que passager. Naïvement je me suis dit qu’il finirait par changer d’avis. On s’est embrassé à nouveau et il s’est montré très entreprenant. Il m’a fait caresser sa bite par-dessus son pantalon, puis l’a déballée, et après un moment à le branler il a commencé à peser sur ma tête. Le message était clair, il voulait que je le suce. J’ai décidé d’accepter. Rapidement je me suis retrouvé avec sa bite en bouche. J’ai été très maladroit, je le sais aujourd’hui, mais je l’ai fais jouir dans ma bouche, et il m’a forcé à avaler. Dans l’ivresse de l’orgasme, car j’avais moi aussi joui en le sentant partir dans ma bouche, je l’ai fait. Il m’a alors dit que j’avais besoin d’entraînement mais que je serais un pro de la pipe bien vite. Et effectivement, dès qu’on se voyait seuls, je finissais presque à chaque fois avec sa bite en bouche. Il me prodiguait des conseils, je les appliquais. Souvent je le suçais même à l’école, dans les toilettes. A un moment il m’a fait comprendre qu’il en voulait plus. Même si une part de moi le voulait aussi, je ne me sentais pas prêt. Alors je l’ai encore plus souvent sucé. Je ne sais pas combien de litres de sperme j’ai bu, mais on remplirait pas mal de bouteille je pense. Il a fini par se lasser, peu de temps avant les examens. Étrangement je n’ai pas été anéanti plus que ça, je le voyais venir je pense. J’ai donc passé et eu mon diplôme. J’ai eu la chance de trouver rapidement un emploi, et j’ai donc décidé de m’installer seul. Ça a été une délivrance pour moi, je pouvais me changer en fille dès mon arrivé chez moi, et j’ai rapidement tenté des sorties, la nuit, couverte autant que possible pour qu’on ne me reconnaisse pas ou qu’on ne s’aperçoive pas de ce que je suis. Mais surtout, avec cet appartement est livré un bonus auquel je ne crois toujours pas, mon voisin. Comment vous expliquer la première fois où je l’ai vu… un mélange de sensation étonnant. Des papillons dans le ventre, les jambes molles, et le cerveau à l’arrêt. Après l’avoir croisé dans le couloir cette première fois, je n’ai pas cessé de penser à lui et de m’interroger. Mais qu’est-ce qui me plaît donc chez lui ? Il est plus âgé, un tout petit peu bedonnant, une barbe… alors oui il y a un moment que je sais que les mecs style mannequin ou cliché gay ne me plaisent pas, que j’ai plus tendance à fantasmer sur les hommes masculins, poilus, et là je trouve celui qui coche mes fantasmes… à chaque fois que je le croise, je fuis, effrayée de lui parler… alors, quand cette fois, on s’est retrouvé coincés dans l’ascenseur, j’ai cru que j’allais m’évanouir. Voilà qu’il engage la discussion, est-ce qu’on est bien installés ? On ??? Olala il pense que je vis avec une fille… alors que la fille, c’est moi… je m’en tire comme je peux et le temps de réaliser, je me retrouve invitée chez lui, ce soir. Je rentre chez moi, sonnée, mais qu’est-ce qui m’a pris d’accepter ? Enfin, en fait il ne m’a pas trop laissé le choix et... j’aime bien ça... Tel un robot je file à la salle de bain, une douche, je parfais mon épilation, même si je sais que je rêve en croyant que j’ai mes chances... Mais je me sens mieux ainsi. Viens le choix des vêtements, je crève d’envie de mettre une tenue féminine mais ça serait mal venu je pense. J’opte pour un bermuda et t-shirt blanc, en revanche pour les dessous j’ai peu de choix masculin donc je choisis un shorty mauve. Il sera discret. Le temps file et je me retrouve devant sa porte à sonner. Quand il ouvre, un tourbillon envahit mon ventre, qu’il est beau, grand… j’entre, la terrasse, à boire, je suis ailleurs… il nous sert, me questionne, moi je suis tétanisé, je bois ses mots mais je parle à peine et me rabats sur le Prosecco qui commence à me monter à la tête. Je suis sur un tel nuage que je ne comprends pas son histoire de théorie, et d’un coup je réalise, ça me fait comme un coup dans le ventre, je suis démasquée. Il sait ce que je suis, une petite tapette, un travelo, il va me foutre dehors, se foutre de moi, je stresse, tente de me cacher, je nie tout, puis il est à côté de moi… il me questionne encore, je n’en reviens pas, je dis tout, j’avoue tout… quoi ? Il veut voir mon shorty… je rêve, ou plutôt je vis mon rêve, je me retrouve debout, il retire mon t-shirt, mes cheveux longs se relâchent, Olala, il s’attaque à mon bermuda, qui atterrit sur mes chevilles. Je suis tétanisée, me voilà juste en shorty, il a repéré mon vernis, je me souviens vaguement qu’il a dit aimer les gens comme moi… ai-je rêvé ? Il me colle à lui, dans mon dos, ses mains sur mon corps me font frissonner, il joue avec un de mes tétons. Mais comment sait-il que j’aime ça ? Il se penche vers moi, sa bouche s’approche, ses lèvres se collent aux miennes. Mon dieu ce baiser est magique… sa langue fouille ma bouche, elle investie, domine ma langue...Que c’est bon… Collée contre lui je le sens bander contre le bas de mon dos, mon dieu, mon fantasme bande pour moi… je me rend compte que je me frotte à lui, lui aussi s’en est rendu compte. Quoi ? Je n’en reviens pas, il veut que je le suce… une occasion pareille ne se reproduira peut-être pas, alors oui, je vais le faire. Je me laisse glisser sensuellement au sol, je ne suis plus le petit gars gringalet, je me sens femme, femelle…je m’attaque à son jean, qui disparaît, puis à son caleçon. Ho mon dieu, sa queue se dresse là, droite, tendue de désir sous mes yeux, il est velu mais j’aime ça même si je sais qu’auprès de mes consœurs il y a débat, moi c’est comme ça que j’aime les hommes. Je cajole sa queue raide, l’embrasse, la lèche. Même si je n’ai pas sucé depuis un moment j’ai bien l’intention de déployer tout ce que m’a appris mon ex. Qu’elle est bonne cette bite, chaude, de belles dimensions sans être gigantesque. Je n’arrive pas à la prendre entière mais j’ai une petite bouche et plus trop d’entraînement. Je l’entends gémir, il a l’air d’aimer, et ça me plaît qu’il aime. Je m’active mettant en application tout ce que je sais qu’un homme peut aimer. Je le branle en même temps, caresse et masse ses belles couilles dont j’espère bien extraire le nectar. Il se tend un peu plus, je fais durer mais pas trop, je ne veux pas le frustrer mais bien le satisfaire. Et j’y arrive, la délivrance, il lâche son épais jus dans ma bouche. Ça déclenche mon propre orgasme, je sens ma petite bite lâcher son jus clair… mon shorty est trempé… par prudence je veux recracher son jus mais un ordre tombe, « Avale ! ». Le temps de réaliser et je déglutis avec un plaisir sans fin. J’aime avaler… Il m’ordonne alors de nettoyer sa queue, c’est vrai qu’il reste un peu de sperme dessus. Je me délecte à le nettoyer. Quand j’ai terminé il me demande de me rincer la bouche. Même si moi j’aurais adoré garder le goût de son jus sur ma langue je comprends que lui ne veuille pas. Sans que je comprenne pourquoi tout de suite, il me demande de baisser mon shorty. Ça me met mal à l’aise car ce bout de chair qui va se voir n’est pas la part de moi que je préfère. Mais voilà qu’il l’appel mon « clito » c’est marrant je ne l’avais jamais vu comme ça… oui j’ai joui et il le voit. Toujours sur un nuage, je vis la suite comme de loin. Il me demande mon prénom féminin, je n’ai pas eu à être creative ayant un prénom facilement féminisable. Ce que je fais demain ? C’est ce qu’il vient de me demander ? Rien, bien sur ! Ho mon dieu, il veut me voir en fille, dès le matin 9h. Ma tête n’arrive à rien répondre quelque chose d’autre que oui. Sans que je réalise toujours je me retrouve dans le couloir en shorty à me précipiter chez moi… je suis comme une midinette après son premier rendez-vous, à ceci près que les papillons que j’ai dans le ventre nagent dans son sperme… je m’écroule par terre et me questionne… que vais-je faire ? Est-ce raisonnable de le laisser venir chez moi ? De dévoiler cette part secrète de ma vie à cet homme que je ne connais pas ? Mais après tout, n’ai-je pas fantasmer sur lui depuis un mois ? N’ai-je pas une chance de trouver l’homme dont je rêve ? Au pire il profitera de moi et je pourrais à minima y prendre du plaisir ? Ma décision est prise, je vais sortir le grand jeu. Je veux cet homme et je veux qu’il me voie telle que je me sens le mieux. Je vais dans ma chambre, j’aurais besoin d’une douche mais j’ai envie de garder la sensation de ses mains sur mon corps. J’enfile une nuisette par-dessus mon shorty, que je tiens à garder pour la nuit voulant dormir dans la jouissance qu’il m’a donné.
6 :30, le réveil sonne ! Ça pique mais je veux prendre mon temps pour parfaire chaque détail. Je file aux WC pour soulager ma vessie. Le shorty me colle mais quel plaisir car ça me fait penser à hier. Je m’assoie pour faire pipi, comme je m’y suis habituée depuis longtemps. Même si j’ai fait des retouches hier, j’attrape me crème dépilatoire et m’en badigeonne afin de faire disparaître le moindre rebêle. Tandis que je me rince, je repense à sa remarque, d’être fraîche de « partout ». Je ne suis pas naïve et sais ce qu’il a voulut dire. Je suis encore vierge et pourtant je n’ai aucun doute sur le fait que si ça se présente je m’offrirais à lui. Le souci est que je n’ai pas de poire de lavement. Je me dis alors qu’en dévissant le pommeau de la douche je pourrais utiliser le tuyau pour me nettoyer. L’exercice est… étrange… mais je dois avouer aimer la sensation de mon ventre se remplir, puis se vider par mon anus… je pousse le vice à me remplir au maximum, ce qui fait arrondir mon ventre, me faisant penser que j’ai l’air enceinte. Je renouvelle jusqu’à ce que ce ne soit que de l’eau claire qui s’évacue. Je passe à la douche, abusant de mon gel douche fortement parfumé à la rose. Je sors de la douche, me sèche, un coup de deo et file dans ma chambre. Vient le difficile choix de la tenue. Je n’ai pas une garde-robe énorme, des affaires piquées à mes sœurs notamment et des vêtements bas de gamme achetés en supermarché à la sauvette… je décide d’opter sur un ensemble de lingerie blanc, string et soutien-gorge, une des rares parures que j’ai achetées. Une idée folle me vient alors. J’avais subtilisé un fer à friser que mes sœurs allaient jeter. Même si je ne l’ai jamais utilisé je les ai vu le faire tellement souvent que je me sens prise de confiance. Je travaille alors ma chevelure pour la faire boucler et lui donner du volume. Je suis plutôt fière du résultat. Pour une première fois. Je m’attaque ensuite au vernis de mes pieds, je retire celui que j’ai et en remets un rose flash. Je mets le même sur mes doigts. Ensuite maquillage, eye-liner, mascara, fard à paupière rose, dont j’ai décidé de faire la couleur dominante, une très légère couche de blush, et un gloss rose pailleté. La suite des vêtements, enfin il ne reste pas grand-chose. Je commence par remplir mon soutien-gorge par une paire de ballons remplis d’eau. C’est la seule astuce que j’ai trouvée pour donner un volume relativement beau à voir et qui me donne la sensation d’avoir une poitrine. Je ne les ai pas remplis à l’excès, juste assez pour être en rapport avec ma morphologie. J’enfile ensuite par-dessus une robe d’été. A dominance blanche elle est décorée de motifs fleuris. Elle me couvre le haut cachant mon absence de vraie poitrine. Sans manches, je trouve agréable de voir la finesse de mes bras et de mes épaules. Elle m’arrive un peu au-dessus de la mi-cuisse. Pour les chaussures, ce sera une paire, elle aussi achetée à la sauvette en grande surface, d’escarpins blancs, à bouts ouverts laissant voir mes ongles vernis et à talons de 8cm. Je me regarde dans le miroir et suis un peu bluffée moi-même. C’est vrai que je n’ai jamais apporté autant d’attention à ma préparation, et je suis vraiment satisfaite du résultat. J’y ai mis tellement d’attention qu’il est presque 9h. Juste le temps d’une touche de parfum, d’un petit pipi, que ma sonnette retentis. Une boule naît dans mon ventre, je stress à mort, j’hésite même à ouvrir mais finalement, avec très peu d’assurance, j’ouvre la porte derrière laquelle se trouve Jérôme, mon fantasme…
- Comment ça se fait qu’elle est si grosse ?
- Ben c’est parce que je suis excité
- Oui mais elle est très grande quand même
- Non, pas tellement
- Ben par rapport à moi, si
Il s’est alors tourné pour allumer la lampe de chevet, puis a doucement baissé le drap. J’ai alors vu ma première queue tendue de désir, et j’ai réalisé que je ne devais pas être normal. Là où sa queue, qu’on a mesurée quelques temps plus tard, faisait 18cm de long et 4 de diamètre, la mienne n’en faisait qu’à peine 10cm pour 2 de diamètre, et ça, au plus haut de mon excitation. Autant dire que même cette partie de mon corps n’était pas celle d’un vrai garçon. Après s’être comparé, il est revenu vers moi m’embrasser, et en prenant ma main l’a posé sur sa queue. J’ai alors pour la première fois branlé un autre garçon, et j’ai adoré. Tout en me laissant embrassé je l’ai astiqué, très maladroitement pour cette première fois, mais l’excitation faisant il a fini par éjaculer. J’ai adoré aussi cette sensation d’être à l’origine de ce plaisir. Son orgasme passé il s’est levé pour se nettoyer. De mon côté j’ai osé goutter la goutte que j’avais sur les doigts. Pas désagréable je me suis dit. Puis on s’est couché et c’est dans ses bras que je me suis endormi. Ça duré quelques mois comme ça, seuls on s’embrassait et les fois où je dormais chez lui je le branlais, il jouissait puis on dormait. Une seule fois il a voulu me rendre la pareille, j’ai joui en même pas 1 minute, sans plaisir énorme. J’en avais beaucoup plus à le faire jouir lui, et souvent jˋéjaculais une petite goutte lorsque lui se déversait dans ma main.
Un jour il m’a annoncé vouloir arrêter, qu’il ne voulait pas devenir « un petite tapette ». Bien sûr, j’ai été dévasté, mon premier chagrin d’amour. Quelques jours après, je l’ai vu en ville avec à son bras une fille. Ils se câlinaient, s’embrassaient, il avait l’air heureux… ce qui m’a en fait le plus surpris c’est que cette fille me ressemblait… on devait faire la même taille, elle est blonde comme moi, une silhouette semblable… ça a été comme un déclic pour moi. Je suis rentré chez moi, il n’y avait personne, et je me suis mis en quête de vêtements et sous vêtements dans les armoires de mes sœurs. Ça a été mes débuts de travestissement. Très vite j’avais chapardé plusieurs affaires et dès que je me trouvais seul à la maison, je me mettais dans la peau d’une fille. J’ai découvert que je me sentais mieux comme ça qu’en garçon. J’ai traversé les dernières années de collège puis de lycée comme ça, vivant en garçon au quotidien et dès que l’occasion s’offrait, en fille. J’ai commencé à entretenir ma pilosité, j’avais de la chance je n’en n’avais pas beaucoup, mais je rasais tout. J’aimais voir ma toute petite bite lisse, sentir mes jambes et mes aisselles lisses. Personne ne s’en rendait compte mais moi je le savais et le sentais et c’est ce qui importait le plus. Passé le bac, j’ai démarré un BTS en comptabilité. Non pas que le métier me passionnait mais, doué avec les chiffres c’est le seul cursus qui m’a attiré. Dans la classe j’y ai connu un garçon, on s’est rapproché sans s’en rendre compte. Alors qu’on buvait un verre chez lui on a fini par s’embrasser. Après ce premier baiser il a été clair avec moi, il n’a pas l’intention de se montrer avec moi. Il est bi non assumé et nous deux ça ne sera que passager. Naïvement je me suis dit qu’il finirait par changer d’avis. On s’est embrassé à nouveau et il s’est montré très entreprenant. Il m’a fait caresser sa bite par-dessus son pantalon, puis l’a déballée, et après un moment à le branler il a commencé à peser sur ma tête. Le message était clair, il voulait que je le suce. J’ai décidé d’accepter. Rapidement je me suis retrouvé avec sa bite en bouche. J’ai été très maladroit, je le sais aujourd’hui, mais je l’ai fais jouir dans ma bouche, et il m’a forcé à avaler. Dans l’ivresse de l’orgasme, car j’avais moi aussi joui en le sentant partir dans ma bouche, je l’ai fait. Il m’a alors dit que j’avais besoin d’entraînement mais que je serais un pro de la pipe bien vite. Et effectivement, dès qu’on se voyait seuls, je finissais presque à chaque fois avec sa bite en bouche. Il me prodiguait des conseils, je les appliquais. Souvent je le suçais même à l’école, dans les toilettes. A un moment il m’a fait comprendre qu’il en voulait plus. Même si une part de moi le voulait aussi, je ne me sentais pas prêt. Alors je l’ai encore plus souvent sucé. Je ne sais pas combien de litres de sperme j’ai bu, mais on remplirait pas mal de bouteille je pense. Il a fini par se lasser, peu de temps avant les examens. Étrangement je n’ai pas été anéanti plus que ça, je le voyais venir je pense. J’ai donc passé et eu mon diplôme. J’ai eu la chance de trouver rapidement un emploi, et j’ai donc décidé de m’installer seul. Ça a été une délivrance pour moi, je pouvais me changer en fille dès mon arrivé chez moi, et j’ai rapidement tenté des sorties, la nuit, couverte autant que possible pour qu’on ne me reconnaisse pas ou qu’on ne s’aperçoive pas de ce que je suis. Mais surtout, avec cet appartement est livré un bonus auquel je ne crois toujours pas, mon voisin. Comment vous expliquer la première fois où je l’ai vu… un mélange de sensation étonnant. Des papillons dans le ventre, les jambes molles, et le cerveau à l’arrêt. Après l’avoir croisé dans le couloir cette première fois, je n’ai pas cessé de penser à lui et de m’interroger. Mais qu’est-ce qui me plaît donc chez lui ? Il est plus âgé, un tout petit peu bedonnant, une barbe… alors oui il y a un moment que je sais que les mecs style mannequin ou cliché gay ne me plaisent pas, que j’ai plus tendance à fantasmer sur les hommes masculins, poilus, et là je trouve celui qui coche mes fantasmes… à chaque fois que je le croise, je fuis, effrayée de lui parler… alors, quand cette fois, on s’est retrouvé coincés dans l’ascenseur, j’ai cru que j’allais m’évanouir. Voilà qu’il engage la discussion, est-ce qu’on est bien installés ? On ??? Olala il pense que je vis avec une fille… alors que la fille, c’est moi… je m’en tire comme je peux et le temps de réaliser, je me retrouve invitée chez lui, ce soir. Je rentre chez moi, sonnée, mais qu’est-ce qui m’a pris d’accepter ? Enfin, en fait il ne m’a pas trop laissé le choix et... j’aime bien ça... Tel un robot je file à la salle de bain, une douche, je parfais mon épilation, même si je sais que je rêve en croyant que j’ai mes chances... Mais je me sens mieux ainsi. Viens le choix des vêtements, je crève d’envie de mettre une tenue féminine mais ça serait mal venu je pense. J’opte pour un bermuda et t-shirt blanc, en revanche pour les dessous j’ai peu de choix masculin donc je choisis un shorty mauve. Il sera discret. Le temps file et je me retrouve devant sa porte à sonner. Quand il ouvre, un tourbillon envahit mon ventre, qu’il est beau, grand… j’entre, la terrasse, à boire, je suis ailleurs… il nous sert, me questionne, moi je suis tétanisé, je bois ses mots mais je parle à peine et me rabats sur le Prosecco qui commence à me monter à la tête. Je suis sur un tel nuage que je ne comprends pas son histoire de théorie, et d’un coup je réalise, ça me fait comme un coup dans le ventre, je suis démasquée. Il sait ce que je suis, une petite tapette, un travelo, il va me foutre dehors, se foutre de moi, je stresse, tente de me cacher, je nie tout, puis il est à côté de moi… il me questionne encore, je n’en reviens pas, je dis tout, j’avoue tout… quoi ? Il veut voir mon shorty… je rêve, ou plutôt je vis mon rêve, je me retrouve debout, il retire mon t-shirt, mes cheveux longs se relâchent, Olala, il s’attaque à mon bermuda, qui atterrit sur mes chevilles. Je suis tétanisée, me voilà juste en shorty, il a repéré mon vernis, je me souviens vaguement qu’il a dit aimer les gens comme moi… ai-je rêvé ? Il me colle à lui, dans mon dos, ses mains sur mon corps me font frissonner, il joue avec un de mes tétons. Mais comment sait-il que j’aime ça ? Il se penche vers moi, sa bouche s’approche, ses lèvres se collent aux miennes. Mon dieu ce baiser est magique… sa langue fouille ma bouche, elle investie, domine ma langue...Que c’est bon… Collée contre lui je le sens bander contre le bas de mon dos, mon dieu, mon fantasme bande pour moi… je me rend compte que je me frotte à lui, lui aussi s’en est rendu compte. Quoi ? Je n’en reviens pas, il veut que je le suce… une occasion pareille ne se reproduira peut-être pas, alors oui, je vais le faire. Je me laisse glisser sensuellement au sol, je ne suis plus le petit gars gringalet, je me sens femme, femelle…je m’attaque à son jean, qui disparaît, puis à son caleçon. Ho mon dieu, sa queue se dresse là, droite, tendue de désir sous mes yeux, il est velu mais j’aime ça même si je sais qu’auprès de mes consœurs il y a débat, moi c’est comme ça que j’aime les hommes. Je cajole sa queue raide, l’embrasse, la lèche. Même si je n’ai pas sucé depuis un moment j’ai bien l’intention de déployer tout ce que m’a appris mon ex. Qu’elle est bonne cette bite, chaude, de belles dimensions sans être gigantesque. Je n’arrive pas à la prendre entière mais j’ai une petite bouche et plus trop d’entraînement. Je l’entends gémir, il a l’air d’aimer, et ça me plaît qu’il aime. Je m’active mettant en application tout ce que je sais qu’un homme peut aimer. Je le branle en même temps, caresse et masse ses belles couilles dont j’espère bien extraire le nectar. Il se tend un peu plus, je fais durer mais pas trop, je ne veux pas le frustrer mais bien le satisfaire. Et j’y arrive, la délivrance, il lâche son épais jus dans ma bouche. Ça déclenche mon propre orgasme, je sens ma petite bite lâcher son jus clair… mon shorty est trempé… par prudence je veux recracher son jus mais un ordre tombe, « Avale ! ». Le temps de réaliser et je déglutis avec un plaisir sans fin. J’aime avaler… Il m’ordonne alors de nettoyer sa queue, c’est vrai qu’il reste un peu de sperme dessus. Je me délecte à le nettoyer. Quand j’ai terminé il me demande de me rincer la bouche. Même si moi j’aurais adoré garder le goût de son jus sur ma langue je comprends que lui ne veuille pas. Sans que je comprenne pourquoi tout de suite, il me demande de baisser mon shorty. Ça me met mal à l’aise car ce bout de chair qui va se voir n’est pas la part de moi que je préfère. Mais voilà qu’il l’appel mon « clito » c’est marrant je ne l’avais jamais vu comme ça… oui j’ai joui et il le voit. Toujours sur un nuage, je vis la suite comme de loin. Il me demande mon prénom féminin, je n’ai pas eu à être creative ayant un prénom facilement féminisable. Ce que je fais demain ? C’est ce qu’il vient de me demander ? Rien, bien sur ! Ho mon dieu, il veut me voir en fille, dès le matin 9h. Ma tête n’arrive à rien répondre quelque chose d’autre que oui. Sans que je réalise toujours je me retrouve dans le couloir en shorty à me précipiter chez moi… je suis comme une midinette après son premier rendez-vous, à ceci près que les papillons que j’ai dans le ventre nagent dans son sperme… je m’écroule par terre et me questionne… que vais-je faire ? Est-ce raisonnable de le laisser venir chez moi ? De dévoiler cette part secrète de ma vie à cet homme que je ne connais pas ? Mais après tout, n’ai-je pas fantasmer sur lui depuis un mois ? N’ai-je pas une chance de trouver l’homme dont je rêve ? Au pire il profitera de moi et je pourrais à minima y prendre du plaisir ? Ma décision est prise, je vais sortir le grand jeu. Je veux cet homme et je veux qu’il me voie telle que je me sens le mieux. Je vais dans ma chambre, j’aurais besoin d’une douche mais j’ai envie de garder la sensation de ses mains sur mon corps. J’enfile une nuisette par-dessus mon shorty, que je tiens à garder pour la nuit voulant dormir dans la jouissance qu’il m’a donné.
6 :30, le réveil sonne ! Ça pique mais je veux prendre mon temps pour parfaire chaque détail. Je file aux WC pour soulager ma vessie. Le shorty me colle mais quel plaisir car ça me fait penser à hier. Je m’assoie pour faire pipi, comme je m’y suis habituée depuis longtemps. Même si j’ai fait des retouches hier, j’attrape me crème dépilatoire et m’en badigeonne afin de faire disparaître le moindre rebêle. Tandis que je me rince, je repense à sa remarque, d’être fraîche de « partout ». Je ne suis pas naïve et sais ce qu’il a voulut dire. Je suis encore vierge et pourtant je n’ai aucun doute sur le fait que si ça se présente je m’offrirais à lui. Le souci est que je n’ai pas de poire de lavement. Je me dis alors qu’en dévissant le pommeau de la douche je pourrais utiliser le tuyau pour me nettoyer. L’exercice est… étrange… mais je dois avouer aimer la sensation de mon ventre se remplir, puis se vider par mon anus… je pousse le vice à me remplir au maximum, ce qui fait arrondir mon ventre, me faisant penser que j’ai l’air enceinte. Je renouvelle jusqu’à ce que ce ne soit que de l’eau claire qui s’évacue. Je passe à la douche, abusant de mon gel douche fortement parfumé à la rose. Je sors de la douche, me sèche, un coup de deo et file dans ma chambre. Vient le difficile choix de la tenue. Je n’ai pas une garde-robe énorme, des affaires piquées à mes sœurs notamment et des vêtements bas de gamme achetés en supermarché à la sauvette… je décide d’opter sur un ensemble de lingerie blanc, string et soutien-gorge, une des rares parures que j’ai achetées. Une idée folle me vient alors. J’avais subtilisé un fer à friser que mes sœurs allaient jeter. Même si je ne l’ai jamais utilisé je les ai vu le faire tellement souvent que je me sens prise de confiance. Je travaille alors ma chevelure pour la faire boucler et lui donner du volume. Je suis plutôt fière du résultat. Pour une première fois. Je m’attaque ensuite au vernis de mes pieds, je retire celui que j’ai et en remets un rose flash. Je mets le même sur mes doigts. Ensuite maquillage, eye-liner, mascara, fard à paupière rose, dont j’ai décidé de faire la couleur dominante, une très légère couche de blush, et un gloss rose pailleté. La suite des vêtements, enfin il ne reste pas grand-chose. Je commence par remplir mon soutien-gorge par une paire de ballons remplis d’eau. C’est la seule astuce que j’ai trouvée pour donner un volume relativement beau à voir et qui me donne la sensation d’avoir une poitrine. Je ne les ai pas remplis à l’excès, juste assez pour être en rapport avec ma morphologie. J’enfile ensuite par-dessus une robe d’été. A dominance blanche elle est décorée de motifs fleuris. Elle me couvre le haut cachant mon absence de vraie poitrine. Sans manches, je trouve agréable de voir la finesse de mes bras et de mes épaules. Elle m’arrive un peu au-dessus de la mi-cuisse. Pour les chaussures, ce sera une paire, elle aussi achetée à la sauvette en grande surface, d’escarpins blancs, à bouts ouverts laissant voir mes ongles vernis et à talons de 8cm. Je me regarde dans le miroir et suis un peu bluffée moi-même. C’est vrai que je n’ai jamais apporté autant d’attention à ma préparation, et je suis vraiment satisfaite du résultat. J’y ai mis tellement d’attention qu’il est presque 9h. Juste le temps d’une touche de parfum, d’un petit pipi, que ma sonnette retentis. Une boule naît dans mon ventre, je stress à mort, j’hésite même à ouvrir mais finalement, avec très peu d’assurance, j’ouvre la porte derrière laquelle se trouve Jérôme, mon fantasme…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très bien,ça sent le vécu,ou alors excellente imagination