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Récit érotique écrit par Ethelrede [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Élise arriva à son bureau, Estelle était déjà là depuis un petit moment, seule. Grands sourires, clins d’œil… Mais prenant soin de ne rien entreprendre sous les caméras de vidéosurveillance, les choses restent des plus anodines.
- -Tu veux un café, Élise ? J’en fais pour moi !
- Ah oui, avec plaisir, Estelle, sans sucre, s’il te plaît, très court… Je vais aux toilettes ôter mes bottines et mettre mes escarpins de bureau…
Estelle lance la préparation des cafés et se dirige vers les toilettes. Retrouvailles hors caméras : embrassade, baisers torrides et mains baladeuses un peu partout…
- Tu crois qu’on a le temps ?
- Faut voir…
- Chiche !
Élise se met à genoux et lève la jupe droite hyper serrée d’Estelle. Elle a bien raison de l’avoir choisie serrée, sans culotte ! Elle colle son visage aussitôt dans le délicieux triangle d’or, lèche à tout va et amène en renforts trois doigts qui investissent la place. Va-et-vient salaces dans son antre en plus de la succion sur son bouton de bonheur, Élise fait monter les enchère en apportant dans la corbeille de la jouissance en vue un index fureteur qui vient se ficher à point nommé entre les magnifiques fesses de la belle Estelle qui ne peut plus, du coup, retenir plus longtemps la libération d’un discret sanglot de plaisir. Elle se rajuste et, très digne, le visage tout à fait impassible, si on excepte une rougeur de bon aloi :
- Tu avais raison, il y avait le temps… mais tout juste !
Dans la salle commune des bureaux, des voix se saluent et la machine à café ronronne déjà !
SMS entre Élise et Estelle :
Au fait, Estelle, tu me dois un orgasme !
No problem, darling. C’est avec joie. Tu le veux tout de suite ?
Pas cap.
Ne me tente pas…
Dis, c’était comment avec ton petit nouveau ? Tu as conclu ? Raconte :
Non, je ne raconte pas. Mais c’était chouette. Non, merveilleux.
Attends, tu ne me dis tout de même pas que tu es amoureuse !
D’après toi ?
Naaaaaan ! j’y crois pas.
Et toi, tu n’aimes pas ton Bernard ?
Siiiii ! Bien sûr. Mais c’est pas pareil….
Ah oui, tu crois ? Comment le sais-tu ?
Mais… Heu… Je ne sais pas. Mais tu ne l’avais jamais vu !
Et toi, ton Bernard, avant la première rencontre, tu l’avais beaucoup vu ?
Mais, ça n’a rien à voir ! Bernard… c’est un homme unique… exceptionnel…
Alexandre aussi. Excuse, moi, je dois bosser !
OK moi aussi, à toute.
À la pause déjeuner, les femmes n’ont pas d’appétit, font un peu grise mine. Estelle sort de son sac un petit sachet de biscuits tandis qu’Élise, de son côté, affirme qu’elle va manger les quelques chips qui lui restent, le temps de terminer un rapport très en retard avant d’aller aux archives chercher ce qui lui manque pour le travail suivant.
Elle met en ligne le rapport (fini depuis une paire d’heures !) et monte aux archives. Estelle s’y rend, innocemment, quelques minutes plus tard. Embrassades et rires des plus joyeux. En moins d’une demie minute, Estelle a baissé le pantalon couleur ardoise d’Élise. Elle dépose des centaines de petits baisers en remontant la face interne de la jolie cuisse galbée. Élise fredonne à mi-voix la jolie chanson de Maxime Leforestier :
"Là où la peau est plus tendre, Juste à côté de ces grains d’or et d’ambre, Là où mes doigts, glissent sur la soie, Vers cet émoi, que je pressens, dans un tremblement…"
En effet, Bien vite survient le cri de sa délivrance… Retour de l’ascenseur : un majestueux 69 couronne leurs ébats et permet à Estelle de rattraper son retard en jouissant follement tout en terminant la toilette de son amante.
- Estelle, tu es une déesse du sexe ! Toi seule me porte aux confins de l’absolu plaisir. Tu es le nirvana à toi tout seule !
- Et toi, tu en es l’impératrice ! Sans rire, j’adore faire l’amour avec toi, c’est chaque fois une explosion de mes sens, et en même temps une découverte absolue, un scénario toujours renouvelé !
- Bon, le déjeuner de ces messieurs et leurs secrétaires est surement terminé, il faut redescendre…
Élise prend sur une étagère une boite de documents prudemment préparés à l’avance et descend. Estelle fait un peu de rangement dans les boites et descend une demi-heure plus tard, après une courte sieste.
19 heures. De manière très anormale, ce soir tout le monde a prétexté avoir un sanglier sur le feu. Pratiquement tout le bureau s’est vidé. Il n’est resté qu’Élise, Estelle, et ce colle-aux-pattes de Robert, le fayot de la boite que tout le monde déteste, même le directeur… qui se sert tout de même de lui comme indic ! On ne sait jamais…
Estelle se fait un café, pour bien annoncer la couleur, puis se rend dans son bureau et en ferme la porte.
Élise va se préparer un autre café et vient dire Robert :
- Dis, Bobby, on va rester sans doute toute la nuit avec Estelle pour parachever le dossier Lepetit, elle a besoin d’un coup de main. Tu ne voudrais pas rester avec nous pour nous aider, sortir les dossiers manquants et faire les photocopies ? Ça, ce serait chouette, ça nous rendrait service et on serait super heureuses de t’avoir avec nous !
Le Robert n’était pas très fin, mais pas non plus idiot. Il comprit tout de suite qu’i allait se faire une nuit où rien ne se passerait et où il serait le larbin de ces deux dépravées… Il battit en retraite.
- Désolé Élise, j’ai promis à ma belle de l’emmener au théâtre pour 21 heures, il faut que je me dépêche, si je veux pouvoir me changer ! Travaillez bien, et à demain : je vous apporterai les croissants, promis !
La voie est libre ! Non seulement les deux amies vont pouvoir travailler mais en plus, elles vont pouvoir parler librement… à condition d’éviter les zones sous vidéo-audio-surveillance ! Et plus si affinités, allez savoir ?
- Allez raconte, Estelle, dis, je suis sur les charbons ardents, moi !
Estelle raconte Alexandre, en oubliant beaucoup de détails. Ne pas tout dévoiler… La déclaration maladroite, mais, tellement romantique, et amoureuse, faite à la plus belle femme qu’il ait jamais vue de sa vie.
Leur repas, leur arrivée chez elle, bref, tout... ou presque. Leur première étreinte, le plaisir fou… Elle n’invente rien… et s’en étonne ! Élise est presque jalouse !
- Oh, dis… tu me le prêteras, ton Alexandre ?
- Élise, enfin… reprends-toi ! Nous sommes en lune de miel depuis seulement hier, Alexandre et moi ! Tu ne voudrais pas nous laisser le temps de nous connaître un peu mieux, avant de prétendre me le piquer ?
- Il n’est pas question de piquer mais de partager, tu noteras…
- Tout de même. Prends conscience que je l’aime… qu’il m’aime, tout cela est si nouveau, si fragile…
- Oui, tu as raison, nous le ferons entrer dans notre dans d’ici quelque temps !
- Pas gagné… Je crois qu’il est l’homme d’une seule femme.
- C’est des âneries, ça ! Tous les hommes le disent quand ils en rencontrent une nouvelle !
- Pas lui… Dis Élise, es-tu capable de garder un vrai secret ? Je ne déconne pas, là… Et puis non, oublie.
- Houah ! Un vrai secret ! Pour toi, je le garderai, ma chérie…
- Jusqu’au verre de trop…
- Non ! Je tiens trop à toi… Et je sais que si je te trahis, je casse tout… et c’est fini, nous deux... Ça, jamais !
- Hm… C’est crédible…Plus ou moins. Bon je te fais confiance, notre amitié en dépend. Et nos orgasmes à venir aussi, n’oublie pas !
- Tu ne seras pas déçue, je te le promets.
- Je suis sa première…
- Non !
- Si.
- Il était… comment dirais-je…
- Oui… Je l’ai déniaisé hier. Et je l’avoue : c’est mon premier et j’en suis tellement heureuse… et fière !
Rires… Les deux femmes parlent encore et Estelle se livre un peu plus. Bon, sérieux, nous sommes restées pour bosser… Elles travaillent une grande partie de la nuit et, au petit jour, décident d’aller chez Estelle pour une douche et se rafraîchir… Tant qu’à faire, s’il faut reporter les vêtements de la veille, autant se sentir propre dessous.
Douche, baisers sensuels, étreinte renouvelée… Les deux femmes sont réellement en situation d’addiction au sexe entre elles ! Estelle prête quelques vêtements assez amples à Élise et les voilà reparties au travail.
Dix-sept heures : Estelle commence à avoir les yeux qui se ferment devant son écran. Élise ne vaut pas beaucoup plus cher. Elles n’ont qu’un rêve : rentrer se coucher. Béatrice, la femme du président, l’avocat qui dirige ce bureau, arrive, pimpante, gloussante, montée sur ses talons trop hauts. Elle réclame son mari Norbert qui est précisément au tribunal. Pas de chance…
Elle ne l’entend pas de cette oreille.
- Non mais c’est toujours la même chanson que vous me servez, chaque fois que j’ai besoin de lui, Monsieur plaide… ça suffit : allez me le chercher.
Estelle et Élise la regardent, se regardent… Clin d’œil : elle est plutôt bien fichue, même si elle est hyper casse-pieds, et tellement méprisante… Allez, on y va. Élise s’avance la première :
- Bonjour chère Madame Ribon. Quel plaisir de vous voir parmi nous ! Mon nom est Élise Chamson. Permettez-moi de vous présenter ma collègue Estelle Martin. Votre époux est actuellement en train de plaider. Une sordide affaire de captation d’héritage, nous avons toutes les preuves, Maître Ribon joue sur du velours !
- Certes mais j’ai grand besoin de le voir, tout de suite…
- Suivez-nous, madame.
La chose la plus certaine dans l’esprit d’Élise, c’est que lorsqu’on est confronté à une personne qui se refuse à entendre la chose qu’on lui dit, la meilleure politique est de cesser de la lui dire. Il faut trouver une parade, un faux fuyant.
Un clin d’œil à Estelle : le bureau du chef est libre, et probablement jusqu’au lendemain matin. Elles y emmènent la pintade gloussante.
Les politesses s’enchaînent "Chère madame, vous devez être bien seule avec un mari tellement occupé"… "N’en parlez pas très chère, ma vie est un calvaire". "Quelle pitié, qu’un homme séduisant comme l’est votre époux ne puisse consacrer le temps qu’il devrait à une aussi belle épouse"… "Pensez-vous ? "…
Les compliments vont bon train, comme quoi, oui, "vous êtes très belle"… rengorgement… Preuve à l’appui, les mains des deux avocates viennent souligner les courbes de son corps parfait… Soupir… autres soulignements, mains sur un bras, autres mains sur les bas… Madame se laisse envahir
Vingt heures : madame est nue sur le bureau de son époux et deux dames tout aussi nues s’occupent de lui procurer du plaisir. Estelle l’embrasse à bouche que veux-tu tandis qu’Élise lui savoure le minou qu’elle a d’ailleurs assez joli, avec un cœur savamment taillé sur le pubis. Les danses les plus sensuelles vont se succéder sur cette femme qui ne semble pas mesurer ni ce qui lui arrive, ni avec quelle intensité.
Vingt-et-une heures, Madame Ribon jouit pour la quatrième fois sous la langue d’Estelle, cette fois, mais avec l’index et l’annulaire d’Élise coulissant dans son conduit anal: elle n’en peut plus.
- Mes chères amies, je ne saurais vous dire la gratitude que m’inspirent les bons soins dont je viens d’être l’objet de votre part.
Elle se lève et vient les embrasser assez goulument, à la mode roturière, d’une manière qui détonne donc sur son style aristocratique.
- Je vais devoir prendre congé, mais soyez remerciées mille fois pour votre sollicitude. Sachez que j’ai réellement apprécié vos efforts pour m’être agréable.
Pas un mot sur son plaisir, pas une allusion au sexe magnifique qu’elle vient de vivre. Élise et Estelle se regardent : elle est vraiment con ! Mais ça devrait nous rapporter un peu d’avancement, normalement !
- -Tu veux un café, Élise ? J’en fais pour moi !
- Ah oui, avec plaisir, Estelle, sans sucre, s’il te plaît, très court… Je vais aux toilettes ôter mes bottines et mettre mes escarpins de bureau…
Estelle lance la préparation des cafés et se dirige vers les toilettes. Retrouvailles hors caméras : embrassade, baisers torrides et mains baladeuses un peu partout…
- Tu crois qu’on a le temps ?
- Faut voir…
- Chiche !
Élise se met à genoux et lève la jupe droite hyper serrée d’Estelle. Elle a bien raison de l’avoir choisie serrée, sans culotte ! Elle colle son visage aussitôt dans le délicieux triangle d’or, lèche à tout va et amène en renforts trois doigts qui investissent la place. Va-et-vient salaces dans son antre en plus de la succion sur son bouton de bonheur, Élise fait monter les enchère en apportant dans la corbeille de la jouissance en vue un index fureteur qui vient se ficher à point nommé entre les magnifiques fesses de la belle Estelle qui ne peut plus, du coup, retenir plus longtemps la libération d’un discret sanglot de plaisir. Elle se rajuste et, très digne, le visage tout à fait impassible, si on excepte une rougeur de bon aloi :
- Tu avais raison, il y avait le temps… mais tout juste !
Dans la salle commune des bureaux, des voix se saluent et la machine à café ronronne déjà !
SMS entre Élise et Estelle :
Au fait, Estelle, tu me dois un orgasme !
No problem, darling. C’est avec joie. Tu le veux tout de suite ?
Pas cap.
Ne me tente pas…
Dis, c’était comment avec ton petit nouveau ? Tu as conclu ? Raconte :
Non, je ne raconte pas. Mais c’était chouette. Non, merveilleux.
Attends, tu ne me dis tout de même pas que tu es amoureuse !
D’après toi ?
Naaaaaan ! j’y crois pas.
Et toi, tu n’aimes pas ton Bernard ?
Siiiii ! Bien sûr. Mais c’est pas pareil….
Ah oui, tu crois ? Comment le sais-tu ?
Mais… Heu… Je ne sais pas. Mais tu ne l’avais jamais vu !
Et toi, ton Bernard, avant la première rencontre, tu l’avais beaucoup vu ?
Mais, ça n’a rien à voir ! Bernard… c’est un homme unique… exceptionnel…
Alexandre aussi. Excuse, moi, je dois bosser !
OK moi aussi, à toute.
À la pause déjeuner, les femmes n’ont pas d’appétit, font un peu grise mine. Estelle sort de son sac un petit sachet de biscuits tandis qu’Élise, de son côté, affirme qu’elle va manger les quelques chips qui lui restent, le temps de terminer un rapport très en retard avant d’aller aux archives chercher ce qui lui manque pour le travail suivant.
Elle met en ligne le rapport (fini depuis une paire d’heures !) et monte aux archives. Estelle s’y rend, innocemment, quelques minutes plus tard. Embrassades et rires des plus joyeux. En moins d’une demie minute, Estelle a baissé le pantalon couleur ardoise d’Élise. Elle dépose des centaines de petits baisers en remontant la face interne de la jolie cuisse galbée. Élise fredonne à mi-voix la jolie chanson de Maxime Leforestier :
"Là où la peau est plus tendre, Juste à côté de ces grains d’or et d’ambre, Là où mes doigts, glissent sur la soie, Vers cet émoi, que je pressens, dans un tremblement…"
En effet, Bien vite survient le cri de sa délivrance… Retour de l’ascenseur : un majestueux 69 couronne leurs ébats et permet à Estelle de rattraper son retard en jouissant follement tout en terminant la toilette de son amante.
- Estelle, tu es une déesse du sexe ! Toi seule me porte aux confins de l’absolu plaisir. Tu es le nirvana à toi tout seule !
- Et toi, tu en es l’impératrice ! Sans rire, j’adore faire l’amour avec toi, c’est chaque fois une explosion de mes sens, et en même temps une découverte absolue, un scénario toujours renouvelé !
- Bon, le déjeuner de ces messieurs et leurs secrétaires est surement terminé, il faut redescendre…
Élise prend sur une étagère une boite de documents prudemment préparés à l’avance et descend. Estelle fait un peu de rangement dans les boites et descend une demi-heure plus tard, après une courte sieste.
19 heures. De manière très anormale, ce soir tout le monde a prétexté avoir un sanglier sur le feu. Pratiquement tout le bureau s’est vidé. Il n’est resté qu’Élise, Estelle, et ce colle-aux-pattes de Robert, le fayot de la boite que tout le monde déteste, même le directeur… qui se sert tout de même de lui comme indic ! On ne sait jamais…
Estelle se fait un café, pour bien annoncer la couleur, puis se rend dans son bureau et en ferme la porte.
Élise va se préparer un autre café et vient dire Robert :
- Dis, Bobby, on va rester sans doute toute la nuit avec Estelle pour parachever le dossier Lepetit, elle a besoin d’un coup de main. Tu ne voudrais pas rester avec nous pour nous aider, sortir les dossiers manquants et faire les photocopies ? Ça, ce serait chouette, ça nous rendrait service et on serait super heureuses de t’avoir avec nous !
Le Robert n’était pas très fin, mais pas non plus idiot. Il comprit tout de suite qu’i allait se faire une nuit où rien ne se passerait et où il serait le larbin de ces deux dépravées… Il battit en retraite.
- Désolé Élise, j’ai promis à ma belle de l’emmener au théâtre pour 21 heures, il faut que je me dépêche, si je veux pouvoir me changer ! Travaillez bien, et à demain : je vous apporterai les croissants, promis !
La voie est libre ! Non seulement les deux amies vont pouvoir travailler mais en plus, elles vont pouvoir parler librement… à condition d’éviter les zones sous vidéo-audio-surveillance ! Et plus si affinités, allez savoir ?
- Allez raconte, Estelle, dis, je suis sur les charbons ardents, moi !
Estelle raconte Alexandre, en oubliant beaucoup de détails. Ne pas tout dévoiler… La déclaration maladroite, mais, tellement romantique, et amoureuse, faite à la plus belle femme qu’il ait jamais vue de sa vie.
Leur repas, leur arrivée chez elle, bref, tout... ou presque. Leur première étreinte, le plaisir fou… Elle n’invente rien… et s’en étonne ! Élise est presque jalouse !
- Oh, dis… tu me le prêteras, ton Alexandre ?
- Élise, enfin… reprends-toi ! Nous sommes en lune de miel depuis seulement hier, Alexandre et moi ! Tu ne voudrais pas nous laisser le temps de nous connaître un peu mieux, avant de prétendre me le piquer ?
- Il n’est pas question de piquer mais de partager, tu noteras…
- Tout de même. Prends conscience que je l’aime… qu’il m’aime, tout cela est si nouveau, si fragile…
- Oui, tu as raison, nous le ferons entrer dans notre dans d’ici quelque temps !
- Pas gagné… Je crois qu’il est l’homme d’une seule femme.
- C’est des âneries, ça ! Tous les hommes le disent quand ils en rencontrent une nouvelle !
- Pas lui… Dis Élise, es-tu capable de garder un vrai secret ? Je ne déconne pas, là… Et puis non, oublie.
- Houah ! Un vrai secret ! Pour toi, je le garderai, ma chérie…
- Jusqu’au verre de trop…
- Non ! Je tiens trop à toi… Et je sais que si je te trahis, je casse tout… et c’est fini, nous deux... Ça, jamais !
- Hm… C’est crédible…Plus ou moins. Bon je te fais confiance, notre amitié en dépend. Et nos orgasmes à venir aussi, n’oublie pas !
- Tu ne seras pas déçue, je te le promets.
- Je suis sa première…
- Non !
- Si.
- Il était… comment dirais-je…
- Oui… Je l’ai déniaisé hier. Et je l’avoue : c’est mon premier et j’en suis tellement heureuse… et fière !
Rires… Les deux femmes parlent encore et Estelle se livre un peu plus. Bon, sérieux, nous sommes restées pour bosser… Elles travaillent une grande partie de la nuit et, au petit jour, décident d’aller chez Estelle pour une douche et se rafraîchir… Tant qu’à faire, s’il faut reporter les vêtements de la veille, autant se sentir propre dessous.
Douche, baisers sensuels, étreinte renouvelée… Les deux femmes sont réellement en situation d’addiction au sexe entre elles ! Estelle prête quelques vêtements assez amples à Élise et les voilà reparties au travail.
Dix-sept heures : Estelle commence à avoir les yeux qui se ferment devant son écran. Élise ne vaut pas beaucoup plus cher. Elles n’ont qu’un rêve : rentrer se coucher. Béatrice, la femme du président, l’avocat qui dirige ce bureau, arrive, pimpante, gloussante, montée sur ses talons trop hauts. Elle réclame son mari Norbert qui est précisément au tribunal. Pas de chance…
Elle ne l’entend pas de cette oreille.
- Non mais c’est toujours la même chanson que vous me servez, chaque fois que j’ai besoin de lui, Monsieur plaide… ça suffit : allez me le chercher.
Estelle et Élise la regardent, se regardent… Clin d’œil : elle est plutôt bien fichue, même si elle est hyper casse-pieds, et tellement méprisante… Allez, on y va. Élise s’avance la première :
- Bonjour chère Madame Ribon. Quel plaisir de vous voir parmi nous ! Mon nom est Élise Chamson. Permettez-moi de vous présenter ma collègue Estelle Martin. Votre époux est actuellement en train de plaider. Une sordide affaire de captation d’héritage, nous avons toutes les preuves, Maître Ribon joue sur du velours !
- Certes mais j’ai grand besoin de le voir, tout de suite…
- Suivez-nous, madame.
La chose la plus certaine dans l’esprit d’Élise, c’est que lorsqu’on est confronté à une personne qui se refuse à entendre la chose qu’on lui dit, la meilleure politique est de cesser de la lui dire. Il faut trouver une parade, un faux fuyant.
Un clin d’œil à Estelle : le bureau du chef est libre, et probablement jusqu’au lendemain matin. Elles y emmènent la pintade gloussante.
Les politesses s’enchaînent "Chère madame, vous devez être bien seule avec un mari tellement occupé"… "N’en parlez pas très chère, ma vie est un calvaire". "Quelle pitié, qu’un homme séduisant comme l’est votre époux ne puisse consacrer le temps qu’il devrait à une aussi belle épouse"… "Pensez-vous ? "…
Les compliments vont bon train, comme quoi, oui, "vous êtes très belle"… rengorgement… Preuve à l’appui, les mains des deux avocates viennent souligner les courbes de son corps parfait… Soupir… autres soulignements, mains sur un bras, autres mains sur les bas… Madame se laisse envahir
Vingt heures : madame est nue sur le bureau de son époux et deux dames tout aussi nues s’occupent de lui procurer du plaisir. Estelle l’embrasse à bouche que veux-tu tandis qu’Élise lui savoure le minou qu’elle a d’ailleurs assez joli, avec un cœur savamment taillé sur le pubis. Les danses les plus sensuelles vont se succéder sur cette femme qui ne semble pas mesurer ni ce qui lui arrive, ni avec quelle intensité.
Vingt-et-une heures, Madame Ribon jouit pour la quatrième fois sous la langue d’Estelle, cette fois, mais avec l’index et l’annulaire d’Élise coulissant dans son conduit anal: elle n’en peut plus.
- Mes chères amies, je ne saurais vous dire la gratitude que m’inspirent les bons soins dont je viens d’être l’objet de votre part.
Elle se lève et vient les embrasser assez goulument, à la mode roturière, d’une manière qui détonne donc sur son style aristocratique.
- Je vais devoir prendre congé, mais soyez remerciées mille fois pour votre sollicitude. Sachez que j’ai réellement apprécié vos efforts pour m’être agréable.
Pas un mot sur son plaisir, pas une allusion au sexe magnifique qu’elle vient de vivre. Élise et Estelle se regardent : elle est vraiment con ! Mais ça devrait nous rapporter un peu d’avancement, normalement !
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