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Récit érotique écrit par Ethelrede [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 1 744 fois depuis sa publication.
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Serge travaille d’arrache-pied à ses révisions en vue des examens qui approchent dangereusement. Notions ultra précises d’anatomie, nom des plus petits os du squelette, bases du travail sur les parties molles… N’importe quoi peut tomber. Il relève la tête :
- Dis, Agathe, j’ai une question… Est-ce que tu aimes vraiment ça ?
Agathe, enfermée dans ses propres révisions, a entendu mais pas tout de suite analysé le contenu. Elle se lève, vient s’adosser au mur de la chambre de Serge, à côté de son bureau, et regarde son frère.
- Aimer quoi ? Faire l’amour ? Ça, oui, j’en raffole, même. J’ai du mal à ne pas le faire chaque jour… et les jours où je ne peux pas, je me contente de mes doigts, ce qui n’est pas triste non plus, d’ailleurs !
- Non, mais je veux dire…
- Ah ! Je vois : comme nous avons fait l’autre jour ? Heuh… oui, j’aime assez. Je ne le fais pas très souvent, mais je sais que presque tous les garçons fantasment sur ça ! Alors, une bonne sodomie, de temps en temps, je prends, j’aime bien ! Tu as aimé, toi ?
- Hé bien… oui, plutôt. C’était inattendu. D’ailleurs, le tout était inattendu…
- Rien de tel que l’improvisation, frérot !
- Oui, mais tu es ma sœur…
- J’avais remarqué ! Mais tu te souviens, nous sommes bien convenus que ce serait pour l’hygiène, pour dégager nos cerveaux des parasites libidineux et nous permettre de travailler sereinement… C’est un peu comme se laver !
- Tu as de drôles de toilettes, toi !
- Tu te souviens, quand nous prenions le bain ensemble, marmots ? Tu avais sept ans, moi cinq, à peine. On jouait déjà à touche pipi !
Rires chargés d’émotion, les souvenirs de près de vingt années remontent, avec leur cortèges d’images, dont bien des situations incomprises, alors, qui s’éclairent différemment à la lumière de l’âge adulte.
- Tu te souviens de cette fois où j’avais pris ton petit robinet dans ma bouche… je l’avais aspiré et je t’avais demandé "On dirait un téton ! Dis, tu crois que si je le tète, il sortira du lait ?" On avait ri, mais ri…
- Oui, je me souviens…
- Tu étais devenu tout dur, j’ai cru que je t’avais fait mal !
Rires, encore, émotion toujours. Agathe s’agenouille, dégage doucement la ceinture de Serge, ouvre son pantalon et en extrait le robinet évoqué à l’instant. Au repos. Elle le prend dans sa bouche, lui faisant vite acquérir une ampleur plus enviable. Elle l’avale presque en entier, le lèche, gobe à nouveau la prune violacée qui le termine, s’écarte en prenant son air le plus candide :
- Dis, tu crois que si je le tète, il sortira du lait ?
Air congestionné sur le visage de Serge, respiration sifflante…
- Ça… ça se pourrait bien…
Les jointures de se poings blanchissent, ses yeux se ferment. Soudain, une violente contraction de ses abdominaux lui fait souffler tout son air en un AAAAAHHHHH long et plaintif, tandis qu’Agathe reçoit sur sa langue la récompense de son effort. Souriante, ravie, elle se redresse, tenant toujours en main le sexe de Serge. Entre ses doigts, la hampe de Serge est encore parcourue de spasmes saccadés, faisant apparaitre en son extrémité quelques gouttes de la divine rosée, qu’Agathe s’empresse de cueillir d’une langue gourmande.
- Hmm, j’adore ça !!! Quel bonheur…
Serge, refait surface. Il veut faire s’asseoir sa sœur sur le bureau pour lui renvoyer l’ascenseur… Négation de la tête de la belle.
- Non ! Je retourne travailler, je suis une fille sérieuse, moi, qu’est-ce que tu crois !
- Ça, alors,… j’aurai tout entendu !
Ambiance studieuse, pas un bruit, sinon celui des pages qui se tournent et des stylos grattant fébrilement le papier. Le temps passe… Voix d’Agathe, soudain :
- Merde, il est plus de vingt-et-une heures… On n’a pas pensé au dîner…
- C’est vrai… Tu as faim, toi ?
- Hé, ho… à part un petit apéro, tout à l’heure, j’ai le ventre vide, moi, j’ai les crocs !
Agathe part en exploration : le frigo est vide, ou presque, un sachet de fromage râpé semble avoir survécu à la razzia de la semaine. Dans les placards, il reste des coquillettes, pas grand-chose d’autre… même pas de sauce tomate. Elle met les coquillettes à cuire, les égoutte, y ajoute un filet d’huile d’olive et sort le fromage râpé. Deux assiettes et deux cuillers à soupe :
- À table, frérot.
Dégustation de ce mets de roi, sourires complices, retour en force des souvenirs d’enfance :
- Ah, les noix de Saint-Jacques sur purée de brocoli, c’est vraiment mon plat de prédilection…
- C’est vrai que c’est divin… Tu aurais dû essayer mes ris de veau sauce Madère sur boulgour de sarrasin… C’est divin !
Nouveaux rires : Agathe attrape la cruche d’eau :
- Je te ressers un peu de délicieux Chablis ?
- J’aurais un petit faible pour le Vosne-Romanée, personnellement…
- Attends, c’est un Preuses 2015, tout de même…
- Ah, toi tu sais parler aux hommes… vas-y !
L’ersatz de repas terminé, Agathe débarrasse la table, porte verres et couverts à l’évier et revient en minaudant, sourire commercial aux lèvres :
- Monsieur prendra-t-il un dessert ?
- Ah… qu’avez-vous à la carte, chère madame ?
- Alors, nous avons les profiteroles au Gianduja vanille Bourbon, le flan soufflé au Grand-Marnier et sa poêlée de pommes façon Tatin, le très classique tiramisu…
- Ah, ça, le tiramisu, c’est un must…
- Sinon, c’est le dessert surprise Maison…
- Là vous me tentez…
- C’est frais du jour, le plaisir est garanti, vous pouvez me croire !
- Alors on y va…
Sans façon, Agathe s’assied sur la table juste en face de Serge et relève sa jupe, sous laquelle aucun tissu ne vient parasiter l’aimable vue qui lui est offerte.
- Magnifiquement présenté… Mes félicitations au chef !
Serge écarte un peu sa chaise et se penche, hume longuement, s’enivre du bouquet émanant avec puissance du buissonnant "dessert".
- Hmm, on voit bien et on sent que c’est préparé avec amour !
- Ça… Je l’ai fait mijoter plus de trois heures, en remuant très souvent, alors vous pensez !
- Ah ! Je crois que je vais le dévorer dans le plat, tel quel, sans la cuiller !
Serge écarte largement les cuisses d’Agathe et vient plonger sa langue dans la merveilleuse crème onctueuse dont il se régale. Il suce au passage la jolie petite griotte qui en émerge, la flattant de sa langue agile, puis replonge au plus profond, rapportant au creux de sa langue une nouvelle lampée de pur plaisir.
- C’est dommage que les portions soient si petites…
- Je… Je vais voir s’il m’en reste encore un peu… Aidez-moi à chercher… Ouiiii comme ça, vous allez trouver, c’est sûr…. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Agathe se retient au plateau de la table, essayant de ne pas tomber, renversée par l’immense plaisir qui vient de lancer sa fulgurance au travers de son corps. Elle retrouve péniblement son souffle, se relève et rajuste sa jupette… Serge se met debout, son membre battant la mesure devant lui.
- Madame prendra bien un petit digestif ?
- Oh, écoutez, ce n’est pas très raisonnable, j’ai déjà beaucoup bu !
- C’est offert par la maison, Madame… Et maintenant que la bouteille est ouverte…
- Bon, d’accord, mais très peu, alors !
À son tour, Serge s’est assis sur la table et c’est Agathe qui se met à l’œuvre, puissamment, avec toute se détermination, sa science et son envie. En quelques minutes, elle peut crier victoire en s’offrant un ultime gargarisme.
- Toujours aussi bon, miam ! Allez, je retourne au travail, une petite heure et puis dodo. Elle aime que ce soit elle qui mène la danse !
Une heure plus tard, elle va se brosser les dents et hèle son frère.
- Je file au lit, frérot.
- D’acc bonne nuit Agathe.
Nue, elle passe derrière lui et se couche dans son lit, un regard carnassier dans le coin de l’œil. Le garçon comprend que sa journée de travail s’achève ici, à cet instant même. Il se brosse les dents et, dans la même tenue qu’elle, rejoint le lit. Agathe, gourmande :
- On le refait ? Je veux dire comme l’autre fois ?
- Tu veux ?
- Oui, j’ai envie de ça, ce soir. Ton dessert était fameux, j’ai envie de varier. Cette fois, c’est toi qui diriges les opérations…
Elle se met sur le côté, tournant le dos à Serge. Lui, passe une main sous le bras de sa sœur et va caresser sa jolie poitrine. Agathe frémit : s’il avait pu voir son visage, il aurait vu ses narines se mettre à palpiter, comme les naseaux de la jument sentant l’étalon approcher.
Serge se rapproche, de plus en plus près, son bassin arrivant en butée sur les fesses de sa partenaire. Comprend qu’il ne va pas arriver à grand-chose. Il lâche les seins d’Agathe, écarte son buste du sien à angle droit. Là, il soulève la jolie cuisse galbée de la grande nageuse, l’avance et découvre son trésor caché. Tout est maintenant possible. Il présente son sexe devant l’étoile rosée dissimulée au fond du profond sillon : ça va, il reste un peu de marge ! Saisissant les hanches d’Agathe, il commence à pousser, avec une lenteur, une douceur toute calculée, effectuant de minuscules allers et retours. Trois millimètres dans un sens, deux dans l’autre, guère plus. En une minute, son gland n’est entré que un petit centimètre, à peine. Et pourtant, déjà, Agathe ronronne, émet de petits miaulements.
Serge poursuit sa lente progression, un peu plus fermement toutefois : à la troisième minute, le gland est entré en totalité. Agathe n’en peut plus. D’elle-même, elle donne une ruade vers l’arrière et se retrouve avec le pubis de Serge contre son coccyx. Elle lâche un feulement d’approbation et de plaisir, faisant ondoyer son bassin avec une grande amplitude. Elle se laisse coulisser avec ravissement d’avant en arrière et d’arrière en avant le long de la hampe qui a pris possession d’elle. Si seulement ce moment pouvait ne jamais prendre fin…
Tout s’agite, Serge commence à respirer plus fort. Agathe lance sa main entre ses cuisses et se ravise : elle veut un anal pur, ce soir alors, elle accélère encore et serre tous ses muscles, sphincters et périnée, de toutes ses forces. Un embrasement descend sur elle et lorsqu’elle sent les jets du plaisir de Serge frapper la paroi rectale, elle crie son plaisir, saisie par un orgasme rarement atteint jusqu’à ce soir.
Le calme est revenu, les souffles maintenant se mêlent en douceur. Regards, un peu gênés parfois… petits baisers d’Agathe sur le front de son frère, soucieux :
- Je ne pense pas que les parents seraient bien d’accord avec ce que nous faisons, sœurette… Je crois qu’il faudra faire attention de ne jamais rien laisser filtrer…
- Ne t’en fais pas, frérot, je vais en parler moi-même à maman. Elle n’aura rien à redire, elle qui s’envoie en l’air avec toutes les jolies femmes qu’elle peut croiser ! Elle me dira si elle approuve notre pacte hygiénique… Et en parlera ou non à Papa…
- M’ouais… Tu ne m’as pas convaincu, là.
- Allez, on fait dodo. Je peux rester avec toi pour la nuit ?
- Non, Agathe… D’abord, si on fait ça, qu’on dort ensemble, un jour, forcément, ça va devenir de l’amour, notre hygiène. Là, on serait mal… Et puis si on se réveille demain à poil dans le même lit, as-tu idée de ce qu’il va nécessairement se passer ?
- Vu ! Tu as raison, je file. Bonne nuit, bel étalon ! C’est vrai que tu es un super coup, au pieu. J’envie la nana qui va te mettre le grappin dessus !
Un rapide bisou sur les lèvres, Agathe disparait et saute dans son lit où elle s’endort aussitôt.
Serge travaille d’arrache-pied à ses révisions en vue des examens qui approchent dangereusement. Notions ultra précises d’anatomie, nom des plus petits os du squelette, bases du travail sur les parties molles… N’importe quoi peut tomber. Il relève la tête :
- Dis, Agathe, j’ai une question… Est-ce que tu aimes vraiment ça ?
Agathe, enfermée dans ses propres révisions, a entendu mais pas tout de suite analysé le contenu. Elle se lève, vient s’adosser au mur de la chambre de Serge, à côté de son bureau, et regarde son frère.
- Aimer quoi ? Faire l’amour ? Ça, oui, j’en raffole, même. J’ai du mal à ne pas le faire chaque jour… et les jours où je ne peux pas, je me contente de mes doigts, ce qui n’est pas triste non plus, d’ailleurs !
- Non, mais je veux dire…
- Ah ! Je vois : comme nous avons fait l’autre jour ? Heuh… oui, j’aime assez. Je ne le fais pas très souvent, mais je sais que presque tous les garçons fantasment sur ça ! Alors, une bonne sodomie, de temps en temps, je prends, j’aime bien ! Tu as aimé, toi ?
- Hé bien… oui, plutôt. C’était inattendu. D’ailleurs, le tout était inattendu…
- Rien de tel que l’improvisation, frérot !
- Oui, mais tu es ma sœur…
- J’avais remarqué ! Mais tu te souviens, nous sommes bien convenus que ce serait pour l’hygiène, pour dégager nos cerveaux des parasites libidineux et nous permettre de travailler sereinement… C’est un peu comme se laver !
- Tu as de drôles de toilettes, toi !
- Tu te souviens, quand nous prenions le bain ensemble, marmots ? Tu avais sept ans, moi cinq, à peine. On jouait déjà à touche pipi !
Rires chargés d’émotion, les souvenirs de près de vingt années remontent, avec leur cortèges d’images, dont bien des situations incomprises, alors, qui s’éclairent différemment à la lumière de l’âge adulte.
- Tu te souviens de cette fois où j’avais pris ton petit robinet dans ma bouche… je l’avais aspiré et je t’avais demandé "On dirait un téton ! Dis, tu crois que si je le tète, il sortira du lait ?" On avait ri, mais ri…
- Oui, je me souviens…
- Tu étais devenu tout dur, j’ai cru que je t’avais fait mal !
Rires, encore, émotion toujours. Agathe s’agenouille, dégage doucement la ceinture de Serge, ouvre son pantalon et en extrait le robinet évoqué à l’instant. Au repos. Elle le prend dans sa bouche, lui faisant vite acquérir une ampleur plus enviable. Elle l’avale presque en entier, le lèche, gobe à nouveau la prune violacée qui le termine, s’écarte en prenant son air le plus candide :
- Dis, tu crois que si je le tète, il sortira du lait ?
Air congestionné sur le visage de Serge, respiration sifflante…
- Ça… ça se pourrait bien…
Les jointures de se poings blanchissent, ses yeux se ferment. Soudain, une violente contraction de ses abdominaux lui fait souffler tout son air en un AAAAAHHHHH long et plaintif, tandis qu’Agathe reçoit sur sa langue la récompense de son effort. Souriante, ravie, elle se redresse, tenant toujours en main le sexe de Serge. Entre ses doigts, la hampe de Serge est encore parcourue de spasmes saccadés, faisant apparaitre en son extrémité quelques gouttes de la divine rosée, qu’Agathe s’empresse de cueillir d’une langue gourmande.
- Hmm, j’adore ça !!! Quel bonheur…
Serge, refait surface. Il veut faire s’asseoir sa sœur sur le bureau pour lui renvoyer l’ascenseur… Négation de la tête de la belle.
- Non ! Je retourne travailler, je suis une fille sérieuse, moi, qu’est-ce que tu crois !
- Ça, alors,… j’aurai tout entendu !
Ambiance studieuse, pas un bruit, sinon celui des pages qui se tournent et des stylos grattant fébrilement le papier. Le temps passe… Voix d’Agathe, soudain :
- Merde, il est plus de vingt-et-une heures… On n’a pas pensé au dîner…
- C’est vrai… Tu as faim, toi ?
- Hé, ho… à part un petit apéro, tout à l’heure, j’ai le ventre vide, moi, j’ai les crocs !
Agathe part en exploration : le frigo est vide, ou presque, un sachet de fromage râpé semble avoir survécu à la razzia de la semaine. Dans les placards, il reste des coquillettes, pas grand-chose d’autre… même pas de sauce tomate. Elle met les coquillettes à cuire, les égoutte, y ajoute un filet d’huile d’olive et sort le fromage râpé. Deux assiettes et deux cuillers à soupe :
- À table, frérot.
Dégustation de ce mets de roi, sourires complices, retour en force des souvenirs d’enfance :
- Ah, les noix de Saint-Jacques sur purée de brocoli, c’est vraiment mon plat de prédilection…
- C’est vrai que c’est divin… Tu aurais dû essayer mes ris de veau sauce Madère sur boulgour de sarrasin… C’est divin !
Nouveaux rires : Agathe attrape la cruche d’eau :
- Je te ressers un peu de délicieux Chablis ?
- J’aurais un petit faible pour le Vosne-Romanée, personnellement…
- Attends, c’est un Preuses 2015, tout de même…
- Ah, toi tu sais parler aux hommes… vas-y !
L’ersatz de repas terminé, Agathe débarrasse la table, porte verres et couverts à l’évier et revient en minaudant, sourire commercial aux lèvres :
- Monsieur prendra-t-il un dessert ?
- Ah… qu’avez-vous à la carte, chère madame ?
- Alors, nous avons les profiteroles au Gianduja vanille Bourbon, le flan soufflé au Grand-Marnier et sa poêlée de pommes façon Tatin, le très classique tiramisu…
- Ah, ça, le tiramisu, c’est un must…
- Sinon, c’est le dessert surprise Maison…
- Là vous me tentez…
- C’est frais du jour, le plaisir est garanti, vous pouvez me croire !
- Alors on y va…
Sans façon, Agathe s’assied sur la table juste en face de Serge et relève sa jupe, sous laquelle aucun tissu ne vient parasiter l’aimable vue qui lui est offerte.
- Magnifiquement présenté… Mes félicitations au chef !
Serge écarte un peu sa chaise et se penche, hume longuement, s’enivre du bouquet émanant avec puissance du buissonnant "dessert".
- Hmm, on voit bien et on sent que c’est préparé avec amour !
- Ça… Je l’ai fait mijoter plus de trois heures, en remuant très souvent, alors vous pensez !
- Ah ! Je crois que je vais le dévorer dans le plat, tel quel, sans la cuiller !
Serge écarte largement les cuisses d’Agathe et vient plonger sa langue dans la merveilleuse crème onctueuse dont il se régale. Il suce au passage la jolie petite griotte qui en émerge, la flattant de sa langue agile, puis replonge au plus profond, rapportant au creux de sa langue une nouvelle lampée de pur plaisir.
- C’est dommage que les portions soient si petites…
- Je… Je vais voir s’il m’en reste encore un peu… Aidez-moi à chercher… Ouiiii comme ça, vous allez trouver, c’est sûr…. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Agathe se retient au plateau de la table, essayant de ne pas tomber, renversée par l’immense plaisir qui vient de lancer sa fulgurance au travers de son corps. Elle retrouve péniblement son souffle, se relève et rajuste sa jupette… Serge se met debout, son membre battant la mesure devant lui.
- Madame prendra bien un petit digestif ?
- Oh, écoutez, ce n’est pas très raisonnable, j’ai déjà beaucoup bu !
- C’est offert par la maison, Madame… Et maintenant que la bouteille est ouverte…
- Bon, d’accord, mais très peu, alors !
À son tour, Serge s’est assis sur la table et c’est Agathe qui se met à l’œuvre, puissamment, avec toute se détermination, sa science et son envie. En quelques minutes, elle peut crier victoire en s’offrant un ultime gargarisme.
- Toujours aussi bon, miam ! Allez, je retourne au travail, une petite heure et puis dodo. Elle aime que ce soit elle qui mène la danse !
Une heure plus tard, elle va se brosser les dents et hèle son frère.
- Je file au lit, frérot.
- D’acc bonne nuit Agathe.
Nue, elle passe derrière lui et se couche dans son lit, un regard carnassier dans le coin de l’œil. Le garçon comprend que sa journée de travail s’achève ici, à cet instant même. Il se brosse les dents et, dans la même tenue qu’elle, rejoint le lit. Agathe, gourmande :
- On le refait ? Je veux dire comme l’autre fois ?
- Tu veux ?
- Oui, j’ai envie de ça, ce soir. Ton dessert était fameux, j’ai envie de varier. Cette fois, c’est toi qui diriges les opérations…
Elle se met sur le côté, tournant le dos à Serge. Lui, passe une main sous le bras de sa sœur et va caresser sa jolie poitrine. Agathe frémit : s’il avait pu voir son visage, il aurait vu ses narines se mettre à palpiter, comme les naseaux de la jument sentant l’étalon approcher.
Serge se rapproche, de plus en plus près, son bassin arrivant en butée sur les fesses de sa partenaire. Comprend qu’il ne va pas arriver à grand-chose. Il lâche les seins d’Agathe, écarte son buste du sien à angle droit. Là, il soulève la jolie cuisse galbée de la grande nageuse, l’avance et découvre son trésor caché. Tout est maintenant possible. Il présente son sexe devant l’étoile rosée dissimulée au fond du profond sillon : ça va, il reste un peu de marge ! Saisissant les hanches d’Agathe, il commence à pousser, avec une lenteur, une douceur toute calculée, effectuant de minuscules allers et retours. Trois millimètres dans un sens, deux dans l’autre, guère plus. En une minute, son gland n’est entré que un petit centimètre, à peine. Et pourtant, déjà, Agathe ronronne, émet de petits miaulements.
Serge poursuit sa lente progression, un peu plus fermement toutefois : à la troisième minute, le gland est entré en totalité. Agathe n’en peut plus. D’elle-même, elle donne une ruade vers l’arrière et se retrouve avec le pubis de Serge contre son coccyx. Elle lâche un feulement d’approbation et de plaisir, faisant ondoyer son bassin avec une grande amplitude. Elle se laisse coulisser avec ravissement d’avant en arrière et d’arrière en avant le long de la hampe qui a pris possession d’elle. Si seulement ce moment pouvait ne jamais prendre fin…
Tout s’agite, Serge commence à respirer plus fort. Agathe lance sa main entre ses cuisses et se ravise : elle veut un anal pur, ce soir alors, elle accélère encore et serre tous ses muscles, sphincters et périnée, de toutes ses forces. Un embrasement descend sur elle et lorsqu’elle sent les jets du plaisir de Serge frapper la paroi rectale, elle crie son plaisir, saisie par un orgasme rarement atteint jusqu’à ce soir.
Le calme est revenu, les souffles maintenant se mêlent en douceur. Regards, un peu gênés parfois… petits baisers d’Agathe sur le front de son frère, soucieux :
- Je ne pense pas que les parents seraient bien d’accord avec ce que nous faisons, sœurette… Je crois qu’il faudra faire attention de ne jamais rien laisser filtrer…
- Ne t’en fais pas, frérot, je vais en parler moi-même à maman. Elle n’aura rien à redire, elle qui s’envoie en l’air avec toutes les jolies femmes qu’elle peut croiser ! Elle me dira si elle approuve notre pacte hygiénique… Et en parlera ou non à Papa…
- M’ouais… Tu ne m’as pas convaincu, là.
- Allez, on fait dodo. Je peux rester avec toi pour la nuit ?
- Non, Agathe… D’abord, si on fait ça, qu’on dort ensemble, un jour, forcément, ça va devenir de l’amour, notre hygiène. Là, on serait mal… Et puis si on se réveille demain à poil dans le même lit, as-tu idée de ce qu’il va nécessairement se passer ?
- Vu ! Tu as raison, je file. Bonne nuit, bel étalon ! C’est vrai que tu es un super coup, au pieu. J’envie la nana qui va te mettre le grappin dessus !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci aux deux premiers avis.
Je réalise la portée de cet écrit, je n'en tire aucune fierté...
J'ai reçu cette histoire de l'épouse d'un ami qui m'avait confessé avoir eu des relations entre frères et sœurs dans sa jeunesse, dans les années 1960... J'avoue n'avoir pas pleinement mesuré le risque de choquer -gravement même- en la relatant. Je me poserai cette question et m'abstiendrai à l'avenir de relater des choses de cette nature, ou tout autre nature trop perverse risquant de heurter la sensibilité des lecteurs.
Encore toutes mes excuses à celles et ceux qui auraient eu à en souffrir.
Je réalise la portée de cet écrit, je n'en tire aucune fierté...
J'ai reçu cette histoire de l'épouse d'un ami qui m'avait confessé avoir eu des relations entre frères et sœurs dans sa jeunesse, dans les années 1960... J'avoue n'avoir pas pleinement mesuré le risque de choquer -gravement même- en la relatant. Je me poserai cette question et m'abstiendrai à l'avenir de relater des choses de cette nature, ou tout autre nature trop perverse risquant de heurter la sensibilité des lecteurs.
Encore toutes mes excuses à celles et ceux qui auraient eu à en souffrir.
Ah ! y'en a qui suivent... C'est bien !
C'est vrai que comme souligne une lectrice, c'est pas top, cet épisode... dérapage certain, zone plus que rouge, je suis bien d'accord.
Ceci étant, on ne sait pas ce qu'ont vécu les gens, quelles pensées parasites ils doivent sortir de leur tête pour pouvoir penser plus sainement. Mais a minima, gardez-les pour vous, ou jetez-les sans les publier...
Perso, je préférais le style du début, "la"première marche".
C'est vrai que comme souligne une lectrice, c'est pas top, cet épisode... dérapage certain, zone plus que rouge, je suis bien d'accord.
Ceci étant, on ne sait pas ce qu'ont vécu les gens, quelles pensées parasites ils doivent sortir de leur tête pour pouvoir penser plus sainement. Mais a minima, gardez-les pour vous, ou jetez-les sans les publier...
Perso, je préférais le style du début, "la"première marche".
Tant que ça ne sort pas de la famille (!..)
L'inceste ne te choque pas visiblement, il t'excite au contraire...
Je te conseille une thérapie pour analyser et modérer tes pulsions, ça évitera peut-être un jour une grossesse non désirée d'un enfant malformé physiquement et intellectuellement...
Tu n'es pas dans l'érotisme mais dans la perversion.
L'inceste ne te choque pas visiblement, il t'excite au contraire...
Je te conseille une thérapie pour analyser et modérer tes pulsions, ça évitera peut-être un jour une grossesse non désirée d'un enfant malformé physiquement et intellectuellement...
Tu n'es pas dans l'érotisme mais dans la perversion.