En attendant Noël
Récit érotique écrit par Jolie Fée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 26 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Jolie Fée ont reçu un total de 61 133 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 667 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
En attendant Noël
Lors d’une très jolie soirée, j’ai découvert pour la première fois la sensation qu’un Rosebud pouvait me procurer en matière de plaisir ; pas dans l’insertion ni dans le ressenti interne, mais dans la démultiplication du plaisir lors de la jouissance que sa présence provoque.
Deux jours après avoir découvert la sensation unique de ce bijou au petit cœur rose, j’imagine une nouvelle façon de surprendre Alexandre, mon Homme, mon Monsieur, mon Amour. J’ai en tête tout le programme ainsi que sa mise en place.
J’ai prévu depuis plusieurs jours un moyen de fêter notre premier Noël ensemble, trois jours avant tout le monde certes, mais nous n’avons pas le choix, car nous ne pourrons être ensemble durant les fêtes.
Nous sommes à l’hôtel, le même, à chaque fois la même chambre, cette chambre qui est devenue notre « chez nous » quelques jours par mois. Pour ce dîner de Noël, je ne souhaite pas que l’on aille au restaurant, mais compte préparer un apéritif dînatoire avec une ambiance romantique.
Il part travailler vers huit heures trente et je range un peu nos affaires tout en faisant de la place sur le manteau de la cheminée, je descends chercher dans la voiture le sac contenant les petites décorations que j’ai prévu d’installer ainsi que ses cadeaux.
Me voici en train de disposer un petit sapin argenté et pailleté, je fais courir sur le bord du manteau de la cheminée une guirlande LED et positionne chacun de ses cadeaux de part et d’autre du sapin. Sur la table basse du coin salon, je glisse un chemin de table argenté et trois bougies à LED de tailles différentes. Le tout allumé fera très joli et cosy, comme je le souhaite.
Alexandre doit rentrer tôt de son rendez-vous aujourd’hui, vers quatorze heures, normalement, et en attendant le dîner j’ai prévu un goûter… disons… coquin. Pendant qu’il est sur la route, j’en profite pour aller au supermarché du coin acheter ce qu’il faut pour le dîner, et vite tout mettre dans le minuscule frigo de la chambre pour qu’il ne voie rien. Je file à la douche, enfile une combinaison intégrale en résille ouverte à l’entrejambe, et parce que je n’ai plus de crainte à présent, insère le petit Rosebud au cœur rose.
Je fais quelques pas avec et m’assois, tout est parfait… aucune douleur ni aucune gêne, je me dis même qu’il me sera possible un jour de le mettre en extérieur lors d’une sortie avec Alexandre, car maintenant qu’il sait que je le supporte et ne me fait pas mal, son esprit joueur et imaginatif ne tardera pas à fomenter un nouveau fantasme à assouvir ensemble. Je précise que si Monsieur m’impose le port d’un objet, comme les boules de geisha par exemple, il ne le fait que parce qu’il est certain du plaisir que j’en retire, m’infliger de la douleur n’est pas excitant pour lui ni pour moi, mais je sens avec un plaisir grandissant que le port du Rosebud imposé pour certaines circonstances ou sur consigne ne tardera pas et j’en suis très excitée en y pensant… Une chose est absolument certaine, il ne s’attend absolument pas à trouver ce bijou en moi…
Il est déjà en train d’ouvrir la porte… mince, je n’ai pas eu le temps de finir de me maquiller ni de me mettre en place, tant pis… je reste dans la salle de bain et n’en sors qu’au moment où il s’en approche. Visiblement, il apprécie la vision de moi dans cette combinaison que j’ai déjà portée et qu’il affectionne…
— Que tu es jolie, ma chérie !
Il me prend dans ses bras pour un câlin, un baiser ardent et passionné, et je lui laisse la place dans la salle de bain.
Vite, c’est le moment pour foncer sur le lit et me mettre en position de soumission « humble », genoux posés pliés, bras tendus, paumes vers le haut, cuisses écartées et fesses bien relevées. Je me positionne volontairement tête face à la salle de bain… je veux qu’il découvre le bijou lorsqu’il fera le tour du lit et qu’il viendra vers ma croupe offerte… et il viendra par là, j’en suis absolument certaine, je le connais par cœur.
___________________________
Dans la salle de bain, je profite du moment pour ôter mon slip… Les boxers seront pour plus tard… selon les recommandations de ma Soumise… Les échanges sont aussi bien vanille que D/S et c’est ainsi que nous les aimons tous les deux. J’apprécie ne pas porter de sous-vêtement. C’est quelque chose que je fais souvent, c’est plus agréable pour ma petite perverse soumise que j’affectionne tant, d’ouvrir ma braguette et d’avoir un accès direct à l’objet de sa convoitise… pour mon plus grand plaisir… disons-le.
Je sors de la salle de bain et prends le temps de découvrir la pièce tamisée éclairée par ses soins, devenue lieu à la fois festif et chargé d’érotisme, qui devient torride lorsque je la découvre dans une position d’attente de soumise.
Elle est à genoux sur le lit, les fesses bombées, la poitrine penchée vers l’avant, sa tête et ses bras devant elle, posés sur le lit… Elle s’offre, elle s’offre à moi avec une impudeur toute récente, avec une confiance que je ressens fort… Je prends le temps de la regarder de côté, puis tournant sur le bord du lit, je regarde son corps mis en valeur par cette combi résille avec un jeu d’ombres et de lumières qui fait deviner les formes de son corps que j’affectionne… Je me sens gourmand, désireux de la dévorer, mais c’est un mets si fin qui m’est offert qu’il faut le regarder, le toucher, le renifler, utilisant tous ses sens pour s’en imprégner… Ma main sur sa croupe glisse et découvre la vulve accessible. Je caresse son dos, ses fesses, ses cuisses… et continue ma découverte tactile de ce corps féminin dont elle me fait offrande…
Je découvre avec beaucoup de surprise le petit cœur… LE PETIT CŒUR ! Là ! Il est là… ! Elle a osé ! Elle a osé le mettre… pour moi.
Délicate attention qui ne sera pas prise comme une désobéissance, mais au contraire comme une volonté de découvrir ce que notre anus peut avoir d’agréable lorsque l’on joue avec… Oh, ce petit cœur, j’ose le toucher, mais n’ose pas le bouger… je crains de lui faire mal…
Je m’allonge près d’elle, lui parle, la tourne sur le côté, je veux ses seins, les toucher, les téter… Je redescends le long de son ventre… pour le baiser intime de ma bouche sur les lèvres de sa vulve, ma langue les ouvrant et cherchant le détonateur des gémissements… S’il y a des voisins dans la chambre d’à côté, ils doivent sourire, être excités, être envieux…
Je ferme les yeux, enfonce plus mon visage entre ces cuisses… entre ses lèvres, mon menton, ma langue qui tourne, qui va de haut en bas, ses gémissements me confirment que c’est agréable, bon ou délicieux, selon l’intensité sonore si importante pour moi.
Elle m’excite à gémir, et je n’ai qu’à ôter ma ceinture et ma chemise. J’aime le contact de sa vulve avec ma bouche… La chaleur, l’humidité, son parfum de femme qui est excitée, son miel qui coule et que je bois avec plaisir… Nectar de plaisir… Elle me l’offre… cette fente pleine de désirs et de sensations… Je mets mes mains derrière ses genoux, les remonte vers ses chevilles et l’ouvre encore plus… Je vois tout, je ressens son corps et par-dessus tout, j’adore la lécher… et elle adore se faire lécher !
— Viens, viens, prends-moi… !
Comment refuser une invitation pareille ? Une vulve offerte, un anus paré d’un joli bijou, une bouche délicatement maquillée, un corps sublimé par cette combinaison indécente…
Je la prends… Je m’enfonce en elle, lentement, doucement tout d’abord… Elle gémit… Elle est ma Soumise, elle était dans une position d’attente… Une offrande et des images gravées qui ne peuvent s’effacer de nos mémoires.
___________________________
Je le sens en moi, il me remplit toute entière, tout d’abord doux et délicat, car il garde en tête que j’ai le bijou dans mon anus et veut être sûr que de m’avoir pénétrée ne déclenche pas de douleur. Mais tout va bien, je suis bien et je n’ai pas mal… au contraire, je veux plus… je veux qu’il soit beaucoup plus virulent, je veux qu’il me baise sauvagement, là tout de suite c’est cela que je souhaite, mais je n’ose encore le lui dire si crûment, alors je le regarde, connecte mes yeux aux siens.
— Viens… Prends-moi fort… !
Il sait, il a compris mon regard suppliant et se libère alors de la crainte de me faire mal… Il me pénètre brutalement, ses coups de reins saccadés le font s’enfoncer en moi jusqu’à la garde, à chaque assaut il râle de plaisir et m’enserre les cuisses de plus en plus fort, c’est bon, Dieu que c’est bon de le sentir si dur en moi, mais je ne me concentre que sur lui… ses yeux devenus noirs et son plaisir qui augmente, non je ne pense plus au mien, en cet instant il m’importe peu, sa jouissance sera la mienne.
Ses coups de boutoir virulents accélèrent et je tends les mains vers ses tétons sensibles pour les caresser de mes pouces en sachant que je vais décupler son plaisir ; de son regard noir, il me fixe, et dans un râle rauque et sonore, jouit en moi… Oui, pour la première fois il a joui en moi, il s’est laissé aller… enfin… !
Apaisé il s’allonge sur moi pour reprendre son souffle, je suis heureuse de ne pas avoir joui, car j’ai profité de chaque instant, le regardant, lui si beau en moi… Je l’aime tant…
Le plaisir est une chose, mais il est rentré tôt et doit tout de même travailler un peu ; pendant qu’il s’installe pour sa visio, je reste allongée, apaisée à regarder mon amour travailler tandis que je m’endors…
Le frôlement d’une caresse sur mes fesses me fait sortir du doux sommeil dans lequel j’étais plongée et le corps chaud de mon Homme qui se glisse en cuillère derrière moi achève de me réveiller pleinement. Ses mains reprennent possession de mon corps dont chaque parcelle est imprégnée de lui.
Je me retourne sur le dos et sa bouche plonge sur un téton rose et tendu pour le sucer goulûment avant de passer à l’autre avec un appétit égal. Sa main droite glisse sur ma fente déjà toute chaude et humide, et son pouce joue avec délectation sur mon clitoris jusqu’à me faire gémir, entendre mes vocalises l’excite au plus haut point… et Dieu sait que je ne suis pas discrète…
Son pouce sur mon clitoris, je sens son index caresser et entrer dans mon vagin avec de petits mouvements circulaires, les deux doigts s’agitant de concert me font cambrer les reins, c’est le moment qu’il choisit pour insérer son majeur tout délicatement dans mon anus… qui l’accueille délicieusement et sans difficulté.
Maintenant, j’ai trois doigts en moi, s’agitant et remuant de concert, m’arrachant des gémissements de plus en plus forts. Je bouge le bassin au rythme des va-et-vient de ses trois doigts. Moi qui il y a encore quelques jours ne voulais pas qu’il s’approche trop près de mon anus, découvre le plaisir qu’un doigt agile et inquisiteur peut déclencher en moi.
Je sens son regard sur moi… Il observe la montée du plaisir et j’arrive vers le point de non-retour… La chaleur, telle une boule de lave incandescente, prend possession de mon bas ventre.
— Ohhh putain, c’est bonnn ! Ne t’arrête pas ! hurlé-je à bout de souffle…
— Jouis, ma chérie… Jouis… ! dit-il en plongeant son regard noir au fond du mien tandis que le cri de ma violente jouissance déchire le silence de la chambre…
___________________________
Je caresse sa peau, son téton droit dans ma bouche que j’aspire, je la sais sensible à mes succions et je n’en suis que plus excité à entendre ses gémissements qui me troublent, m’excitent… Ma main droite parcourt son corps, cherche son ventre, descend… Elle est bien éduquée et a ouvert ses cuisses dès que je m’approche de ses trésors féminins, de sa fente magique que je caresse… Mon index parcourt et suit la face externe de ses grandes lèvres vers le bas puis remonte, mais sans entrer, et ainsi de suite, en allant à chaque fois un tout petit peu plus profondément… Elle s’ouvre, s’offre à ma caresse, et je trouve enfin le contact avec son clitoris sorti de son capuchon…
La tête en arrière, elle s’offre totalement… Mes autres doigts se posent sur la zone… Toute ma main se pose comme un coquillage qui protégerait son sexe, ses fesses. Mon pouce glisse à l’intérieur, prend un peu de miel pour mieux lubrifier sa fente et remonte prendre en charge son clitoris d’un léger mouvement, alternant pression et rotation tout en maintenant le contact avec le capuchon. Mon index et mon majeur, plus longs, cherchent à glisser eux aussi plus bas… Humide, chaud…
Je glisse entre ses petites lèvres, dont celle de gauche est plus charnue que sa sœur de droite. J’entre doucement une phalange, et enfin le majeur continue son chemin au centre de ce délicieux corps chaud et offert, il descend vers la zone interdite qu’il me plaît d’explorer pour lui faire découvrir que là aussi le plaisir existe, et qu’il peut être différent, mais intense.
Mon majeur trouve son anus et se pose dessus… Humm… Ne pas pénétrer, juste le contact… juste le contact. Elle s’ouvre, encore, s’offre plus encore, et mon doigt glisse en elle, une phalange, juste une phalange… J’ai très envie de glisser au fond… J’insère complètement mon majeur dans son anus en même temps que mon index au fond de son vagin et la caresse des deux côtés de concert, oh oui, et très doucement, je lui pistonne ses orifices intimes, la fais gémir encore plus fort et lui fais découvrir cette combinaison de sensations qu’offrent ensemble mes trois doigts… Trois doigts devenus un signe de la main, un symbole à la fois du nouveau, de l’interdit et de l’excitation… Mes trois doigts sont en elle. Elle est clitoridienne, mon pouce ne doit pas s’arrêter… Elle se cambre, va jouir… Oh, comme j’adore quand elle gémit si fort, qu’elle jouit dans mes oreilles… ! Un plaisir intense en moi de ressentir dans ma main, dans mes yeux, dans mes oreilles cette jouissance nouvelle, acceptée…
Ôter délicatement mes doigts… Doucement, et la prendre dans mes bras quand elle reprend son souffle… contre moi dans un moment de douceur vanille, parce que nous apprécions les deux… et il nous faut les deux…
Deux jours après avoir découvert la sensation unique de ce bijou au petit cœur rose, j’imagine une nouvelle façon de surprendre Alexandre, mon Homme, mon Monsieur, mon Amour. J’ai en tête tout le programme ainsi que sa mise en place.
J’ai prévu depuis plusieurs jours un moyen de fêter notre premier Noël ensemble, trois jours avant tout le monde certes, mais nous n’avons pas le choix, car nous ne pourrons être ensemble durant les fêtes.
Nous sommes à l’hôtel, le même, à chaque fois la même chambre, cette chambre qui est devenue notre « chez nous » quelques jours par mois. Pour ce dîner de Noël, je ne souhaite pas que l’on aille au restaurant, mais compte préparer un apéritif dînatoire avec une ambiance romantique.
Il part travailler vers huit heures trente et je range un peu nos affaires tout en faisant de la place sur le manteau de la cheminée, je descends chercher dans la voiture le sac contenant les petites décorations que j’ai prévu d’installer ainsi que ses cadeaux.
Me voici en train de disposer un petit sapin argenté et pailleté, je fais courir sur le bord du manteau de la cheminée une guirlande LED et positionne chacun de ses cadeaux de part et d’autre du sapin. Sur la table basse du coin salon, je glisse un chemin de table argenté et trois bougies à LED de tailles différentes. Le tout allumé fera très joli et cosy, comme je le souhaite.
Alexandre doit rentrer tôt de son rendez-vous aujourd’hui, vers quatorze heures, normalement, et en attendant le dîner j’ai prévu un goûter… disons… coquin. Pendant qu’il est sur la route, j’en profite pour aller au supermarché du coin acheter ce qu’il faut pour le dîner, et vite tout mettre dans le minuscule frigo de la chambre pour qu’il ne voie rien. Je file à la douche, enfile une combinaison intégrale en résille ouverte à l’entrejambe, et parce que je n’ai plus de crainte à présent, insère le petit Rosebud au cœur rose.
Je fais quelques pas avec et m’assois, tout est parfait… aucune douleur ni aucune gêne, je me dis même qu’il me sera possible un jour de le mettre en extérieur lors d’une sortie avec Alexandre, car maintenant qu’il sait que je le supporte et ne me fait pas mal, son esprit joueur et imaginatif ne tardera pas à fomenter un nouveau fantasme à assouvir ensemble. Je précise que si Monsieur m’impose le port d’un objet, comme les boules de geisha par exemple, il ne le fait que parce qu’il est certain du plaisir que j’en retire, m’infliger de la douleur n’est pas excitant pour lui ni pour moi, mais je sens avec un plaisir grandissant que le port du Rosebud imposé pour certaines circonstances ou sur consigne ne tardera pas et j’en suis très excitée en y pensant… Une chose est absolument certaine, il ne s’attend absolument pas à trouver ce bijou en moi…
Il est déjà en train d’ouvrir la porte… mince, je n’ai pas eu le temps de finir de me maquiller ni de me mettre en place, tant pis… je reste dans la salle de bain et n’en sors qu’au moment où il s’en approche. Visiblement, il apprécie la vision de moi dans cette combinaison que j’ai déjà portée et qu’il affectionne…
— Que tu es jolie, ma chérie !
Il me prend dans ses bras pour un câlin, un baiser ardent et passionné, et je lui laisse la place dans la salle de bain.
Vite, c’est le moment pour foncer sur le lit et me mettre en position de soumission « humble », genoux posés pliés, bras tendus, paumes vers le haut, cuisses écartées et fesses bien relevées. Je me positionne volontairement tête face à la salle de bain… je veux qu’il découvre le bijou lorsqu’il fera le tour du lit et qu’il viendra vers ma croupe offerte… et il viendra par là, j’en suis absolument certaine, je le connais par cœur.
___________________________
Dans la salle de bain, je profite du moment pour ôter mon slip… Les boxers seront pour plus tard… selon les recommandations de ma Soumise… Les échanges sont aussi bien vanille que D/S et c’est ainsi que nous les aimons tous les deux. J’apprécie ne pas porter de sous-vêtement. C’est quelque chose que je fais souvent, c’est plus agréable pour ma petite perverse soumise que j’affectionne tant, d’ouvrir ma braguette et d’avoir un accès direct à l’objet de sa convoitise… pour mon plus grand plaisir… disons-le.
Je sors de la salle de bain et prends le temps de découvrir la pièce tamisée éclairée par ses soins, devenue lieu à la fois festif et chargé d’érotisme, qui devient torride lorsque je la découvre dans une position d’attente de soumise.
Elle est à genoux sur le lit, les fesses bombées, la poitrine penchée vers l’avant, sa tête et ses bras devant elle, posés sur le lit… Elle s’offre, elle s’offre à moi avec une impudeur toute récente, avec une confiance que je ressens fort… Je prends le temps de la regarder de côté, puis tournant sur le bord du lit, je regarde son corps mis en valeur par cette combi résille avec un jeu d’ombres et de lumières qui fait deviner les formes de son corps que j’affectionne… Je me sens gourmand, désireux de la dévorer, mais c’est un mets si fin qui m’est offert qu’il faut le regarder, le toucher, le renifler, utilisant tous ses sens pour s’en imprégner… Ma main sur sa croupe glisse et découvre la vulve accessible. Je caresse son dos, ses fesses, ses cuisses… et continue ma découverte tactile de ce corps féminin dont elle me fait offrande…
Je découvre avec beaucoup de surprise le petit cœur… LE PETIT CŒUR ! Là ! Il est là… ! Elle a osé ! Elle a osé le mettre… pour moi.
Délicate attention qui ne sera pas prise comme une désobéissance, mais au contraire comme une volonté de découvrir ce que notre anus peut avoir d’agréable lorsque l’on joue avec… Oh, ce petit cœur, j’ose le toucher, mais n’ose pas le bouger… je crains de lui faire mal…
Je m’allonge près d’elle, lui parle, la tourne sur le côté, je veux ses seins, les toucher, les téter… Je redescends le long de son ventre… pour le baiser intime de ma bouche sur les lèvres de sa vulve, ma langue les ouvrant et cherchant le détonateur des gémissements… S’il y a des voisins dans la chambre d’à côté, ils doivent sourire, être excités, être envieux…
Je ferme les yeux, enfonce plus mon visage entre ces cuisses… entre ses lèvres, mon menton, ma langue qui tourne, qui va de haut en bas, ses gémissements me confirment que c’est agréable, bon ou délicieux, selon l’intensité sonore si importante pour moi.
Elle m’excite à gémir, et je n’ai qu’à ôter ma ceinture et ma chemise. J’aime le contact de sa vulve avec ma bouche… La chaleur, l’humidité, son parfum de femme qui est excitée, son miel qui coule et que je bois avec plaisir… Nectar de plaisir… Elle me l’offre… cette fente pleine de désirs et de sensations… Je mets mes mains derrière ses genoux, les remonte vers ses chevilles et l’ouvre encore plus… Je vois tout, je ressens son corps et par-dessus tout, j’adore la lécher… et elle adore se faire lécher !
— Viens, viens, prends-moi… !
Comment refuser une invitation pareille ? Une vulve offerte, un anus paré d’un joli bijou, une bouche délicatement maquillée, un corps sublimé par cette combinaison indécente…
Je la prends… Je m’enfonce en elle, lentement, doucement tout d’abord… Elle gémit… Elle est ma Soumise, elle était dans une position d’attente… Une offrande et des images gravées qui ne peuvent s’effacer de nos mémoires.
___________________________
Je le sens en moi, il me remplit toute entière, tout d’abord doux et délicat, car il garde en tête que j’ai le bijou dans mon anus et veut être sûr que de m’avoir pénétrée ne déclenche pas de douleur. Mais tout va bien, je suis bien et je n’ai pas mal… au contraire, je veux plus… je veux qu’il soit beaucoup plus virulent, je veux qu’il me baise sauvagement, là tout de suite c’est cela que je souhaite, mais je n’ose encore le lui dire si crûment, alors je le regarde, connecte mes yeux aux siens.
— Viens… Prends-moi fort… !
Il sait, il a compris mon regard suppliant et se libère alors de la crainte de me faire mal… Il me pénètre brutalement, ses coups de reins saccadés le font s’enfoncer en moi jusqu’à la garde, à chaque assaut il râle de plaisir et m’enserre les cuisses de plus en plus fort, c’est bon, Dieu que c’est bon de le sentir si dur en moi, mais je ne me concentre que sur lui… ses yeux devenus noirs et son plaisir qui augmente, non je ne pense plus au mien, en cet instant il m’importe peu, sa jouissance sera la mienne.
Ses coups de boutoir virulents accélèrent et je tends les mains vers ses tétons sensibles pour les caresser de mes pouces en sachant que je vais décupler son plaisir ; de son regard noir, il me fixe, et dans un râle rauque et sonore, jouit en moi… Oui, pour la première fois il a joui en moi, il s’est laissé aller… enfin… !
Apaisé il s’allonge sur moi pour reprendre son souffle, je suis heureuse de ne pas avoir joui, car j’ai profité de chaque instant, le regardant, lui si beau en moi… Je l’aime tant…
Le plaisir est une chose, mais il est rentré tôt et doit tout de même travailler un peu ; pendant qu’il s’installe pour sa visio, je reste allongée, apaisée à regarder mon amour travailler tandis que je m’endors…
Le frôlement d’une caresse sur mes fesses me fait sortir du doux sommeil dans lequel j’étais plongée et le corps chaud de mon Homme qui se glisse en cuillère derrière moi achève de me réveiller pleinement. Ses mains reprennent possession de mon corps dont chaque parcelle est imprégnée de lui.
Je me retourne sur le dos et sa bouche plonge sur un téton rose et tendu pour le sucer goulûment avant de passer à l’autre avec un appétit égal. Sa main droite glisse sur ma fente déjà toute chaude et humide, et son pouce joue avec délectation sur mon clitoris jusqu’à me faire gémir, entendre mes vocalises l’excite au plus haut point… et Dieu sait que je ne suis pas discrète…
Son pouce sur mon clitoris, je sens son index caresser et entrer dans mon vagin avec de petits mouvements circulaires, les deux doigts s’agitant de concert me font cambrer les reins, c’est le moment qu’il choisit pour insérer son majeur tout délicatement dans mon anus… qui l’accueille délicieusement et sans difficulté.
Maintenant, j’ai trois doigts en moi, s’agitant et remuant de concert, m’arrachant des gémissements de plus en plus forts. Je bouge le bassin au rythme des va-et-vient de ses trois doigts. Moi qui il y a encore quelques jours ne voulais pas qu’il s’approche trop près de mon anus, découvre le plaisir qu’un doigt agile et inquisiteur peut déclencher en moi.
Je sens son regard sur moi… Il observe la montée du plaisir et j’arrive vers le point de non-retour… La chaleur, telle une boule de lave incandescente, prend possession de mon bas ventre.
— Ohhh putain, c’est bonnn ! Ne t’arrête pas ! hurlé-je à bout de souffle…
— Jouis, ma chérie… Jouis… ! dit-il en plongeant son regard noir au fond du mien tandis que le cri de ma violente jouissance déchire le silence de la chambre…
___________________________
Je caresse sa peau, son téton droit dans ma bouche que j’aspire, je la sais sensible à mes succions et je n’en suis que plus excité à entendre ses gémissements qui me troublent, m’excitent… Ma main droite parcourt son corps, cherche son ventre, descend… Elle est bien éduquée et a ouvert ses cuisses dès que je m’approche de ses trésors féminins, de sa fente magique que je caresse… Mon index parcourt et suit la face externe de ses grandes lèvres vers le bas puis remonte, mais sans entrer, et ainsi de suite, en allant à chaque fois un tout petit peu plus profondément… Elle s’ouvre, s’offre à ma caresse, et je trouve enfin le contact avec son clitoris sorti de son capuchon…
La tête en arrière, elle s’offre totalement… Mes autres doigts se posent sur la zone… Toute ma main se pose comme un coquillage qui protégerait son sexe, ses fesses. Mon pouce glisse à l’intérieur, prend un peu de miel pour mieux lubrifier sa fente et remonte prendre en charge son clitoris d’un léger mouvement, alternant pression et rotation tout en maintenant le contact avec le capuchon. Mon index et mon majeur, plus longs, cherchent à glisser eux aussi plus bas… Humide, chaud…
Je glisse entre ses petites lèvres, dont celle de gauche est plus charnue que sa sœur de droite. J’entre doucement une phalange, et enfin le majeur continue son chemin au centre de ce délicieux corps chaud et offert, il descend vers la zone interdite qu’il me plaît d’explorer pour lui faire découvrir que là aussi le plaisir existe, et qu’il peut être différent, mais intense.
Mon majeur trouve son anus et se pose dessus… Humm… Ne pas pénétrer, juste le contact… juste le contact. Elle s’ouvre, encore, s’offre plus encore, et mon doigt glisse en elle, une phalange, juste une phalange… J’ai très envie de glisser au fond… J’insère complètement mon majeur dans son anus en même temps que mon index au fond de son vagin et la caresse des deux côtés de concert, oh oui, et très doucement, je lui pistonne ses orifices intimes, la fais gémir encore plus fort et lui fais découvrir cette combinaison de sensations qu’offrent ensemble mes trois doigts… Trois doigts devenus un signe de la main, un symbole à la fois du nouveau, de l’interdit et de l’excitation… Mes trois doigts sont en elle. Elle est clitoridienne, mon pouce ne doit pas s’arrêter… Elle se cambre, va jouir… Oh, comme j’adore quand elle gémit si fort, qu’elle jouit dans mes oreilles… ! Un plaisir intense en moi de ressentir dans ma main, dans mes yeux, dans mes oreilles cette jouissance nouvelle, acceptée…
Ôter délicatement mes doigts… Doucement, et la prendre dans mes bras quand elle reprend son souffle… contre moi dans un moment de douceur vanille, parce que nous apprécions les deux… et il nous faut les deux…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jolie Fée
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent chère Sandrine! Une expérience très forte!