En attendant nos chéries 2
Récit érotique écrit par Ethelrede [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 59 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Ethelrede ont reçu un total de 113 751 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 839 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
En attendant nos chéries 2
Patrick et Robert ont servi l’apéro à leurs belles qui ne savent plus trop où se mettre, se rendant compte que leurs maris les ont vues faire l’amour ensemble, un peu plus tôt… Mais qu’est-ce qui avait bien pu se passer dans leurs têtes ?
On conçoit bien qu’avec tout cela, leur apéro manque un peu d’entrain, de spontanéité ! Les pensées bouillonnaient sous les chapeaux…
Les filles ont en fait un peu honte, non pas de ce qu’elles ont fait, mais de s’être fait prendre si bêtement, en oubliant juste de fermer la porte de la chambre pour que leurs cris de jouissance ne s’entendent pas trop. Mais il faut dire que cela leur était tombé dessus sans crier gare, aussi… Et elles manquaient cruellement d’expérience.
De leur côté, les garçons n’étaient pas tout à fait sereins. Patrick n’était pas très fier de leur aimable soixante-neuf entre vieux copains et redoutait le regard de sa femme. Robert, toujours curieux, n’était pas mécontent de son expérience ; il avait éprouvé un vif plaisir à le faire mais il songeait tout de même que vis-à-vis d’Aline, il avait trébuché… Même s’il était indiscutable que c’est elle qui avait ouvert le feu !
Aline, toujours mal à l’aise tente alors de s’expliquer, cherchant à diminuer un peu ce qu’elle ressent comme un coup de ciseaux dans son contrat amoureux.
- En fait, il ne faudrait pas que vous vous fassiez trop d’idées, de cinéma, dans vos têtes : cela ne nous était jamais arrivé avant. Je ne sais pas ce qui nous est arrivé… Personnellement, je n’avais jamais eu de rapports, ni même d’attirance avec une fille avant aujourd’hui…
- Oui… on dit ça…
- Je te jure, mon chou… Jamais ! Je ne sais pas ce qui s’est passé dans nos têtes. Nous étions en train d’essayer nos nouveaux dessous et soudain, quand Isa a ajusté mon soutien-gorge, j’ai senti mes seins tressaillir… J’ai caressé les siens et tout est parti de là… Vous savez la suite.
- Il n’y avait rien de prémédité, alors ?
- Non rien ! Ça s’est trouvé comme ça, à l’improviste… Bon, je ne dis pas que nous n’avons pas aimé ! Et j’avoue que vous m’avez étonnée aussi, les gars !
Isabelle tenta à son tour de reprendre la main, de sa voix agressive, à son habitude.
- Bon, c’est vrai qu’on a un peu dérapé, Aline et moi… Mais vous, avouez, c’était assez dégueu, tout de même.
Patrick tenta de pondérer un peu le propos :
- Quand tu le faisais à Aline, tu ne pensais pas ça… et quand c’est toi qui me le fais, tu ne trouves pas cela dégueu, comme tu dis…
- Oui, mais je suis ta femme, pas ton ami d’enfance… Entre nous c’est normal.
Là, Robert ne supporta pas le ton ni la remarque de la jeune femme. Il l’aimait bien, mais tout de même, trop c’était trop.
- Dis, Isa, tout es tout le temps comme ça ? Même dans l’intimité ? Non, mais sans déconner : tu ne parles pas, tu aboies, tout le temps. Jamais une parole douce, enjouée… C’est odieux ! Je ne sais pas de quoi tu cherches à te protéger derrière cette agressivité permanente mais ça suffit, maintenant… Tu vois, je vais te dire un truc : là, autour de cette table, tout le monde t’aime bien, sauf Patrick qui t’aime passionnément. Mais en plus de bien t’aimer, tout le monde ici te redoute… Oui, je te redoute, Aline te redoute… même Patrick ! Il t’aime et te redoute. Et ça, c’est trop, j’espère que tu t’en rends compte. Un jour, il va devoir arrêter soit de te redouter, soit de t’aimer. C’est fatal… Et tu le sais, pour qu’il arrête de te redouter, il n’y a que toi qui puisses lui en donner les moyens.
Quand le garçon se tut, Isabelle resta un petit instant muette. On sentait qu’une grande tempête se déroulait au plus profond d’elle-même. Finalement, elle prit une grande inspiration puis se leva et vint vers Aline :
- Alors, c’est donc vrai, vous m’aimez tous ? Ça me donne un vrai bonheur d’entendre ça, vous savez ? Hé bien moi aussi je t’aime Aline …
Elle lui donna sans façon un joli baiser, bien appuyé sur les lèvres, tout en caressant sa poitrine aux tétons saillants sous la robe, avant de se tourner vers Robert.
- Toi aussi je t’aime, Bob, beaucoup, même. Et je te remercie de m’avoir ouvert les yeux sur mon comportement.
Et se penchant vers lui, elle lui donna le même baiser, mais en plus suave, plus long, et cette fois, tout le monde vit sa langue entrer furtivement dans sa bouche et y faire quelques virevoltes pleines de promesses. Elle vint enfin s’asseoir à califourchon sur les genoux de son homme :
- Toi… toi je t’aime plus que tout ! tu es l’amour de ma vie. Je n’ai jamais eu idée que tu pouvais avoir peur de moi… Je te demande pardon, pour tout, pour tout ce temps où tu es resté dans la crainte de celle que tu aimes.
Et elle partit dans un fou baiser qui ne laissa aucun doute quant à la sincérité de ce qu’elle venait de dire. De ses deux mains, elle enserrait la tête de son mari pour mieux l’embrasser. De temps en temps, elle se reculait, le regardait avec amour et replongeait pour un nouveau baiser. Patrick, spontanément la prit par la taille, pour l’empêcher de glisser au sol. De là, ses mains passèrent sous son haut, partant à la recherche de ses seins qu’elle avait gonflés de désir. Il les lui caressa, se disant qu’elle allait nécessairement lui aboyer de cesser, qu’on ne faisait pas ça devant tout le monde… Rien de tel ne se passant, il s’enhardit. Le joli haut de coton imprimé de fleurs vola dans la pièce, mettant au jour la magnifique poitrine aux tétons érigés, aréoles rétrécies par le désir et qu’il entreprit de pétrir.
Isabelle voulut le faire basculer sur le canapé pour continuer la scène à l’horizontale mais le mouvement, trop désordonné, trop pressé, se termina au sol, où finalement, tout était plus facile, avec plus de place, plus d’aisance. Patrick continua le déshabillage de sa belle jusqu’à ce que, nue et suppliante, il la prenne avec douceur après s’être lui-même prestement dévêtu.
Robert et Aline se regardaient sidérés mais avec des yeux gourmands. Les choses évoluaient bien vite… Un doigt en travers des lèvres pour lui recommander le silence, Robert se leva et invita sa belle à faire comme lui. Ils s’agenouillèrent de part et d’autre du couple en train de faire langoureusement l’amour et, chaque fois que Patrick sortait de l’intimité de sa chérie, l’un et l’autre saisissaient et suçaient goulûment la belle prune violacée terminant son membre palpitant, avant de s’embrasser en le laissant reprendre ses va-et-vient.
Après quelques allers et retours de cette nature coquine, Aline ôta son pantalon à son époux et l’invita à lui faire du bien à son tour. Sans se faire prier, il se plaça entre les jambes de sa belle et releva sa jolie robe vert sapin, couleur qui mettait si bien en valeur l’incendie de sa chevelure. Puis écartant d’un doigt sur le bord de sa cuisse la jolie culotte de dentelle rouge tout neuve, il enfouit son visage dans la douce toison de braise et entreprit de dévorer sa chérie avec art et maîtrise. Il l’amenait au bord de l’orgasme par ses savants coups de langue, les succions torrides de sa perle d’amour, le passage d’un doigt tout le long du sillon détrempé par la chaude et abondante liqueur, puis cessait pour laisser retomber la pression avant de recommencer, jusqu’à ce que, au bord de la folie, elle le supplie de la prendre, de l’achever, de lui accorder l’orgasme salvateur. Alors, en toute hâte, toujours sans la dévêtir, culotte juste écartée, il la pénétra d’un seul coup, avec vigueur en poussant un grognement de bonheur.
À côté d’eux, un long cri modulé avait indiqué la délivrance d’Isabelle qui, son souffle retrouvé, vint embrasser Aline, elle-même proche de l’extase. Elle se plaça ensuite à califourchon sur le visage de son amie pour une petite toilette intime qu’Aline lui donna avec joie tout en exultant de son côté tandis que Robert roulait un magnifique patin à une Isabelle plus qu’heureuse de le recevoir. Le baiser contribua sans doute à l’orgasme fulgurant qui la vrilla soudain au moment même ou Robert, tout en feu, grimaçant son bonheur, ouvrait tout grand les vannes de son propre plaisir dans le fourreau d’amour de sa chérie.
Se relevant après avoir laissé les dernières vaguelettes de son orgasme traverser son corps, Aline vit Patrick, la mine tourmentée, assis seul, sans bouger, sur le canapé. Elle vint s’agenouiller devant lui pour l’embrasser.
- Dis, Patrick, tu ne voudrais pas me faire une petite toilette, comme j’ai fait à Isa ? J’en ai trop envie…
Sans attendre sa réponse, elle se releva et enjamba le torse du garçon, le forçant à s’allonger, pour lui offrir son abricot bien juteux, ouvert et mûr à point. Patrick, nerveux, jetait des regards inquiets autour de lui. Isabelle vint aussitôt lui prendre amoureusement la main et tous furent surpris par sa voix douce et enjôleuse :
- Vas-y mon amour, fais-le, tu en meurs d’envie ! Dis, tu sais que je t’aime, hein ? Alors, à partir de maintenant, je te promets que je n’aboierai plus et que tu n’auras plus jamais à me redouter !
On conçoit bien qu’avec tout cela, leur apéro manque un peu d’entrain, de spontanéité ! Les pensées bouillonnaient sous les chapeaux…
Les filles ont en fait un peu honte, non pas de ce qu’elles ont fait, mais de s’être fait prendre si bêtement, en oubliant juste de fermer la porte de la chambre pour que leurs cris de jouissance ne s’entendent pas trop. Mais il faut dire que cela leur était tombé dessus sans crier gare, aussi… Et elles manquaient cruellement d’expérience.
De leur côté, les garçons n’étaient pas tout à fait sereins. Patrick n’était pas très fier de leur aimable soixante-neuf entre vieux copains et redoutait le regard de sa femme. Robert, toujours curieux, n’était pas mécontent de son expérience ; il avait éprouvé un vif plaisir à le faire mais il songeait tout de même que vis-à-vis d’Aline, il avait trébuché… Même s’il était indiscutable que c’est elle qui avait ouvert le feu !
Aline, toujours mal à l’aise tente alors de s’expliquer, cherchant à diminuer un peu ce qu’elle ressent comme un coup de ciseaux dans son contrat amoureux.
- En fait, il ne faudrait pas que vous vous fassiez trop d’idées, de cinéma, dans vos têtes : cela ne nous était jamais arrivé avant. Je ne sais pas ce qui nous est arrivé… Personnellement, je n’avais jamais eu de rapports, ni même d’attirance avec une fille avant aujourd’hui…
- Oui… on dit ça…
- Je te jure, mon chou… Jamais ! Je ne sais pas ce qui s’est passé dans nos têtes. Nous étions en train d’essayer nos nouveaux dessous et soudain, quand Isa a ajusté mon soutien-gorge, j’ai senti mes seins tressaillir… J’ai caressé les siens et tout est parti de là… Vous savez la suite.
- Il n’y avait rien de prémédité, alors ?
- Non rien ! Ça s’est trouvé comme ça, à l’improviste… Bon, je ne dis pas que nous n’avons pas aimé ! Et j’avoue que vous m’avez étonnée aussi, les gars !
Isabelle tenta à son tour de reprendre la main, de sa voix agressive, à son habitude.
- Bon, c’est vrai qu’on a un peu dérapé, Aline et moi… Mais vous, avouez, c’était assez dégueu, tout de même.
Patrick tenta de pondérer un peu le propos :
- Quand tu le faisais à Aline, tu ne pensais pas ça… et quand c’est toi qui me le fais, tu ne trouves pas cela dégueu, comme tu dis…
- Oui, mais je suis ta femme, pas ton ami d’enfance… Entre nous c’est normal.
Là, Robert ne supporta pas le ton ni la remarque de la jeune femme. Il l’aimait bien, mais tout de même, trop c’était trop.
- Dis, Isa, tout es tout le temps comme ça ? Même dans l’intimité ? Non, mais sans déconner : tu ne parles pas, tu aboies, tout le temps. Jamais une parole douce, enjouée… C’est odieux ! Je ne sais pas de quoi tu cherches à te protéger derrière cette agressivité permanente mais ça suffit, maintenant… Tu vois, je vais te dire un truc : là, autour de cette table, tout le monde t’aime bien, sauf Patrick qui t’aime passionnément. Mais en plus de bien t’aimer, tout le monde ici te redoute… Oui, je te redoute, Aline te redoute… même Patrick ! Il t’aime et te redoute. Et ça, c’est trop, j’espère que tu t’en rends compte. Un jour, il va devoir arrêter soit de te redouter, soit de t’aimer. C’est fatal… Et tu le sais, pour qu’il arrête de te redouter, il n’y a que toi qui puisses lui en donner les moyens.
Quand le garçon se tut, Isabelle resta un petit instant muette. On sentait qu’une grande tempête se déroulait au plus profond d’elle-même. Finalement, elle prit une grande inspiration puis se leva et vint vers Aline :
- Alors, c’est donc vrai, vous m’aimez tous ? Ça me donne un vrai bonheur d’entendre ça, vous savez ? Hé bien moi aussi je t’aime Aline …
Elle lui donna sans façon un joli baiser, bien appuyé sur les lèvres, tout en caressant sa poitrine aux tétons saillants sous la robe, avant de se tourner vers Robert.
- Toi aussi je t’aime, Bob, beaucoup, même. Et je te remercie de m’avoir ouvert les yeux sur mon comportement.
Et se penchant vers lui, elle lui donna le même baiser, mais en plus suave, plus long, et cette fois, tout le monde vit sa langue entrer furtivement dans sa bouche et y faire quelques virevoltes pleines de promesses. Elle vint enfin s’asseoir à califourchon sur les genoux de son homme :
- Toi… toi je t’aime plus que tout ! tu es l’amour de ma vie. Je n’ai jamais eu idée que tu pouvais avoir peur de moi… Je te demande pardon, pour tout, pour tout ce temps où tu es resté dans la crainte de celle que tu aimes.
Et elle partit dans un fou baiser qui ne laissa aucun doute quant à la sincérité de ce qu’elle venait de dire. De ses deux mains, elle enserrait la tête de son mari pour mieux l’embrasser. De temps en temps, elle se reculait, le regardait avec amour et replongeait pour un nouveau baiser. Patrick, spontanément la prit par la taille, pour l’empêcher de glisser au sol. De là, ses mains passèrent sous son haut, partant à la recherche de ses seins qu’elle avait gonflés de désir. Il les lui caressa, se disant qu’elle allait nécessairement lui aboyer de cesser, qu’on ne faisait pas ça devant tout le monde… Rien de tel ne se passant, il s’enhardit. Le joli haut de coton imprimé de fleurs vola dans la pièce, mettant au jour la magnifique poitrine aux tétons érigés, aréoles rétrécies par le désir et qu’il entreprit de pétrir.
Isabelle voulut le faire basculer sur le canapé pour continuer la scène à l’horizontale mais le mouvement, trop désordonné, trop pressé, se termina au sol, où finalement, tout était plus facile, avec plus de place, plus d’aisance. Patrick continua le déshabillage de sa belle jusqu’à ce que, nue et suppliante, il la prenne avec douceur après s’être lui-même prestement dévêtu.
Robert et Aline se regardaient sidérés mais avec des yeux gourmands. Les choses évoluaient bien vite… Un doigt en travers des lèvres pour lui recommander le silence, Robert se leva et invita sa belle à faire comme lui. Ils s’agenouillèrent de part et d’autre du couple en train de faire langoureusement l’amour et, chaque fois que Patrick sortait de l’intimité de sa chérie, l’un et l’autre saisissaient et suçaient goulûment la belle prune violacée terminant son membre palpitant, avant de s’embrasser en le laissant reprendre ses va-et-vient.
Après quelques allers et retours de cette nature coquine, Aline ôta son pantalon à son époux et l’invita à lui faire du bien à son tour. Sans se faire prier, il se plaça entre les jambes de sa belle et releva sa jolie robe vert sapin, couleur qui mettait si bien en valeur l’incendie de sa chevelure. Puis écartant d’un doigt sur le bord de sa cuisse la jolie culotte de dentelle rouge tout neuve, il enfouit son visage dans la douce toison de braise et entreprit de dévorer sa chérie avec art et maîtrise. Il l’amenait au bord de l’orgasme par ses savants coups de langue, les succions torrides de sa perle d’amour, le passage d’un doigt tout le long du sillon détrempé par la chaude et abondante liqueur, puis cessait pour laisser retomber la pression avant de recommencer, jusqu’à ce que, au bord de la folie, elle le supplie de la prendre, de l’achever, de lui accorder l’orgasme salvateur. Alors, en toute hâte, toujours sans la dévêtir, culotte juste écartée, il la pénétra d’un seul coup, avec vigueur en poussant un grognement de bonheur.
À côté d’eux, un long cri modulé avait indiqué la délivrance d’Isabelle qui, son souffle retrouvé, vint embrasser Aline, elle-même proche de l’extase. Elle se plaça ensuite à califourchon sur le visage de son amie pour une petite toilette intime qu’Aline lui donna avec joie tout en exultant de son côté tandis que Robert roulait un magnifique patin à une Isabelle plus qu’heureuse de le recevoir. Le baiser contribua sans doute à l’orgasme fulgurant qui la vrilla soudain au moment même ou Robert, tout en feu, grimaçant son bonheur, ouvrait tout grand les vannes de son propre plaisir dans le fourreau d’amour de sa chérie.
Se relevant après avoir laissé les dernières vaguelettes de son orgasme traverser son corps, Aline vit Patrick, la mine tourmentée, assis seul, sans bouger, sur le canapé. Elle vint s’agenouiller devant lui pour l’embrasser.
- Dis, Patrick, tu ne voudrais pas me faire une petite toilette, comme j’ai fait à Isa ? J’en ai trop envie…
Sans attendre sa réponse, elle se releva et enjamba le torse du garçon, le forçant à s’allonger, pour lui offrir son abricot bien juteux, ouvert et mûr à point. Patrick, nerveux, jetait des regards inquiets autour de lui. Isabelle vint aussitôt lui prendre amoureusement la main et tous furent surpris par sa voix douce et enjôleuse :
- Vas-y mon amour, fais-le, tu en meurs d’envie ! Dis, tu sais que je t’aime, hein ? Alors, à partir de maintenant, je te promets que je n’aboierai plus et que tu n’auras plus jamais à me redouter !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Ethelrede
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Agréable à lire, encore...