En attendant nos chéries
Récit érotique écrit par Ethelrede [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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En attendant nos chéries
En attendant nos chéries 1
Patrick et Robert étaient deux amis d’enfance qui se sont connus à l’âge de six ans ; ils en ont maintenant 26. Dire qu’ils avaient fait les quatre cents coups ensemble dans leur folle jeunesse serait trop réducteur : pour parler crû, ils avaient bien déconné, gamins, adolescents, étudiants… Et même maintenant, adultes, il leur arrivait encore de faire de belles âneries.
Patrick, très grand, un mètre quatre-vingt-dix était châtain clair, avec des yeux pers. Il était sportif, adorait la course à pied et la natation et de révélait dans son activité préférée, le tennis. Robert, plus court, un mètre soixante-dix, trapu, très noir de poil avec des yeux charbon, était plus nonchalant ; il aimait toutefois bien le vélo.
Les deux s’étaient mariés presque en même temps, Patrick avec Isabelle, une grande blonde aux cheveux interminables, très belle, encore que dotée d’un caractère ombrageux, et Robert avec Aline, une superbe petite rouquine aux cheveux en brosse et une bouille d’éternelle petite fille, avec un inextinguible sourire aux lèvres sur un visage parsemé de son.
Les deux femmes sont devenues de bonnes amies, à force de se retrouver l’une chez l’autre au gré des rencontres et des sorties de leurs hommes, lorsqu’ils font une virée à vélo, notamment.
Aujourd’hui, C’est Robert qui a rendez-vous chez Patrick pour un apéro dinatoire. Ils sont en cuisine et sirotent un verre en attendant le retour de leurs chéries qui sont allées "chiffonner", comme se plait à dire Aline. Robert aime plutôt bien leurs sorties pour les soldes d’été.
- Elles vont encore revenir avec de dessous affriolants, j’adore, après, Aline me fait la démo, j’ai droit à des strip-teases en bonne et due forme !
- Veinard, moi, Isa ne me fait jamais ça…
Les femmes rentrées, elles se sont précipitées dans la chambre d’Isabelle pour regarder, et essayer leurs parures. Le temps passe, les verres aussi ! Patrick commençant à trouver le temps long monte à l’étage pour demander aux filles de se dépêcher un peu… mais il revient quelques instants plus tard, le visage écarlate et une légère protubérance sous sa ceinture…
- Hé, Bob, viens voir…
Les deux garçons remontent en silence l’escalier. Depuis le palier, par la porte entrouverte, ils voient Isabelle et Aline, complètement nues, qui s’embrassent langoureusement. Aline s’agenouille soudain et commence à administrer un joli cunnilingus à Isabelle qui se tortille de bonheur. Aucun des deux ne souffle mot, ils s’en mettent plein les yeux avant de redescendre, le visage congestionné.
- Bin dis, donc… si je m’étais attendu à ça de ma belle !
- Et moi donc ! Jamais je n’aurais cru qu’Aline avait de l’attirance pour les filles. J’espère qu’elle va continuer à avoir envie de moi…
- Ouais, en attendant, ça t’a fait de l’effet, tu bandes comme un cerf !
- Cause pour toi, vieux frère, t’as vu la tienne ?
Ce disant, Robert s’est levé et vient plaquer sa paume sur la braguette de Patrick. En effet, c’est bien dur, là-dedans. Interloqué, Patrick ne réagit pas.
- Hé bin mon cochon je ne me souvenais pas que tu étais si bien monté, quand on jouait à touche pipeline, gamins !
- Hé ! t’as la mémoire courte, j’ai toujours gagné les concours, tu le sais très bien.
D’en haut arrivent des bruits, des gémissements. Les deux gars se regardent… le doute n’est pas permis : leurs femmes sont bel et bien en train de faire l’amour…
Robert appuie plus fort sur la braguette de son ami.
- Qu’est-ce que tu fous ? T’es barjot, ou quoi ?
- Attends…
Robert ouvre fébrilement la braguette de son vieil ami et en sort son sexe palpitant. Il regarde Patrick droit dans les yeux :
- Oui, je dois être barjot… ça m’a pris tout d’un coup j’ai eu envie de te la tenir dans ma main… Tu voudrais pas tenir la mienne ?
Du coup Patrick en fait autant et les voilà qui se regardent avec un air de dire "et maintenant, c’est quoi, le programme ?"…
Patrick ouvre le bal : il commence à faire aller et venir ses doigts autour de la hampe de son ami, sous les gémissements de filles qui sourdent à travers la cloison. Les deux gars sont rouges d’excitation. Robert n’est pas de reste, il décalotte son ami et lui administre une belle masturbation. Puis, le regardant plus intensément :
- Je dois être vraiment dingue… J’ai envie de te sucer, tu veux bien ?
Patrick ne bouge pas un cil, mais son ami comprend bien que si l’idée ne lui plait sans doute pas tant que ça, les halètements qui leur parviennent de plus belle le mettent en transe. Il se penche donc en prend la belle verge de Patrick dans sa bouche. C’est la première fois de sa vie qu’il fait une chose pareille. À son grand étonnement, il trouve ça plutôt agréable. Il sent battre la verge de son ami dans sa bouche, cela frémit, tremble un peu… mais sans doute est-ce lui, qui tremble. Le voilà qui fait aller et venir ses lèvres autour du mât de chair au comble de son excitation. Arrivé tout au fond de sa gorge, il ressort, pour lécher l’organe d’une langue maintenant tout à fait gourmande. Et la ré-embouche et recommence ses aller-retour, provoquant de petits gémissements de son ami. Il passe ses doigts sous la hampe, flattant les bourses, les soupesant ; à l’occasion, il vient les lécher, même les prendre en bouche.
Patrick est arrivé à la toute limite de ses possibilités, Bob le reprend dans la bouche pour une ultime gorge profonde et, resserrant les lèvre bien hermétiquement, reçoit la jouissance de Patrick, là, sur sa langue. Deux puis, trois, quatre longs jets de plaisir pur arrivent successivement, suivis de quelques répliques plus discrètes. De la pulpe de son pouce, Robert longe la verge en appuyant bien sur le conduit pour en extraire jusqu’à la dernière goutte de la précieuse semence. Que va-t-il faire, maintenant ? Il recherche du coin de l’œil s’il peut recracher discrètement… Et puis, non, il se ravise : puisqu’il a déjà le goût doucement salé, musqué dans sa bouche, autant l’avaler… Il ouvre grand sa bouche pour laisser voir à son ami la liqueur blanche qu’il y a recueillie, puis la refermant, il l’avale par petites lampées, en épicurien.
- Hmmm ! Le bon potage… Miam… Merci, ça c’est de l’orgasme ou je ne m’y connais pas ! En tout cas, vieux frère, je peux te dire que j’ai vraiment aimé te faire ça, c’est super agréable comme sensation… et avaler après, j’ai adoré ! Je n’avais jamais goûté de sperme, c’est juste délicieux, j’adore. Tu veux essayer ? Je ne suis pas contre, tu sais…
Mais Patrick n’est pas vraiment emballé. Certes, il a eu grand plaisir à recevoir cette superbe fellation, mais se sent peu enclin à rendre la pareille… En haut les gémissements continuent sans grande retenue… Robert tente de le convaincre :
- Écoute, tu entends, là-haut ? Elles ne s’emmerdent pas… Je vais te proposer un truc : on se met là, sur le canapé et je recommence pendant que tu me fais la même chose, d’acc ?
Avec quelque réticence, Patrick s’allonge prend enfin le sexe de son ami, dans sa main, y donne quelques coups de langue, puis s’enhardissant le prend en bouche. Lui aussi est étonné par la sensation agréable que lui donne cette verge turgescente sur son palais. Alors, il se donne à fond, sentant que pour lui, déjà le point de non retour s’annonce à l’horizon. Il s’active à fond, tant et si bien que rapidement, il reçoit le plaisir de Robert contre son palais tandis que, tout essoufflé, il vient lui-même une seconde fois dans la bouche de son ami.
Les deux compères n’ont pas le temps de se relever et se rajuster qu’une voix glapit derrière la canapé :
- Hé voilà, il suffit qu’on s’isole quelques minutes pour essayer de dessous entre copines pour que nos maris partent en live…
Patrick est écarlate et la honte se lit sur son visage. Il avale péniblement la dose énorme d’élixir de jouissance de son ami et tente de se justifier. Bien entendu, son épouse ne se laisse pas faire.
- Arrête, tu es juste un dégueulasse, tu viens de faire une pipe à ton ami d’enfance, dans ma maison, en plus, presque sous mon nez… Tu me dégoûtes.
Incapable de rétorquer le moindre mot, Patrick se tait, s’enfonce dans sa culpabilité. Alors Robert se tourne vers Aline, tout regardant Isabelle du coin de l’œil :
- Dis, ma belle, il me semble que quand tu faisais une superbe minette à ta copine gémissante, tu ne trouvais pas ça si dégoûtant que ça, ni elle. Et si j’en crois les cris de jouissance à peine étouffés que nous avons entendus pendant près de trois quart d’heure, ce serait plutôt à nous de vous faire des reproches, non ?
Du coup les femmes se retrouvent arroseur arrosé, penaudes. Robert prend Aline par les épaules et l’embrasse tendrement.
- Je t’aime, ma belle, ne l’oublie jamais.
Du coup Patrick prend Isabelle dans ses bras, l’embrasse fougueusement et s’écrie :
- Allez, c’est l’heure de l’apéro… et après, si vous êtes sages, il y aura sieste !
Patrick et Robert étaient deux amis d’enfance qui se sont connus à l’âge de six ans ; ils en ont maintenant 26. Dire qu’ils avaient fait les quatre cents coups ensemble dans leur folle jeunesse serait trop réducteur : pour parler crû, ils avaient bien déconné, gamins, adolescents, étudiants… Et même maintenant, adultes, il leur arrivait encore de faire de belles âneries.
Patrick, très grand, un mètre quatre-vingt-dix était châtain clair, avec des yeux pers. Il était sportif, adorait la course à pied et la natation et de révélait dans son activité préférée, le tennis. Robert, plus court, un mètre soixante-dix, trapu, très noir de poil avec des yeux charbon, était plus nonchalant ; il aimait toutefois bien le vélo.
Les deux s’étaient mariés presque en même temps, Patrick avec Isabelle, une grande blonde aux cheveux interminables, très belle, encore que dotée d’un caractère ombrageux, et Robert avec Aline, une superbe petite rouquine aux cheveux en brosse et une bouille d’éternelle petite fille, avec un inextinguible sourire aux lèvres sur un visage parsemé de son.
Les deux femmes sont devenues de bonnes amies, à force de se retrouver l’une chez l’autre au gré des rencontres et des sorties de leurs hommes, lorsqu’ils font une virée à vélo, notamment.
Aujourd’hui, C’est Robert qui a rendez-vous chez Patrick pour un apéro dinatoire. Ils sont en cuisine et sirotent un verre en attendant le retour de leurs chéries qui sont allées "chiffonner", comme se plait à dire Aline. Robert aime plutôt bien leurs sorties pour les soldes d’été.
- Elles vont encore revenir avec de dessous affriolants, j’adore, après, Aline me fait la démo, j’ai droit à des strip-teases en bonne et due forme !
- Veinard, moi, Isa ne me fait jamais ça…
Les femmes rentrées, elles se sont précipitées dans la chambre d’Isabelle pour regarder, et essayer leurs parures. Le temps passe, les verres aussi ! Patrick commençant à trouver le temps long monte à l’étage pour demander aux filles de se dépêcher un peu… mais il revient quelques instants plus tard, le visage écarlate et une légère protubérance sous sa ceinture…
- Hé, Bob, viens voir…
Les deux garçons remontent en silence l’escalier. Depuis le palier, par la porte entrouverte, ils voient Isabelle et Aline, complètement nues, qui s’embrassent langoureusement. Aline s’agenouille soudain et commence à administrer un joli cunnilingus à Isabelle qui se tortille de bonheur. Aucun des deux ne souffle mot, ils s’en mettent plein les yeux avant de redescendre, le visage congestionné.
- Bin dis, donc… si je m’étais attendu à ça de ma belle !
- Et moi donc ! Jamais je n’aurais cru qu’Aline avait de l’attirance pour les filles. J’espère qu’elle va continuer à avoir envie de moi…
- Ouais, en attendant, ça t’a fait de l’effet, tu bandes comme un cerf !
- Cause pour toi, vieux frère, t’as vu la tienne ?
Ce disant, Robert s’est levé et vient plaquer sa paume sur la braguette de Patrick. En effet, c’est bien dur, là-dedans. Interloqué, Patrick ne réagit pas.
- Hé bin mon cochon je ne me souvenais pas que tu étais si bien monté, quand on jouait à touche pipeline, gamins !
- Hé ! t’as la mémoire courte, j’ai toujours gagné les concours, tu le sais très bien.
D’en haut arrivent des bruits, des gémissements. Les deux gars se regardent… le doute n’est pas permis : leurs femmes sont bel et bien en train de faire l’amour…
Robert appuie plus fort sur la braguette de son ami.
- Qu’est-ce que tu fous ? T’es barjot, ou quoi ?
- Attends…
Robert ouvre fébrilement la braguette de son vieil ami et en sort son sexe palpitant. Il regarde Patrick droit dans les yeux :
- Oui, je dois être barjot… ça m’a pris tout d’un coup j’ai eu envie de te la tenir dans ma main… Tu voudrais pas tenir la mienne ?
Du coup Patrick en fait autant et les voilà qui se regardent avec un air de dire "et maintenant, c’est quoi, le programme ?"…
Patrick ouvre le bal : il commence à faire aller et venir ses doigts autour de la hampe de son ami, sous les gémissements de filles qui sourdent à travers la cloison. Les deux gars sont rouges d’excitation. Robert n’est pas de reste, il décalotte son ami et lui administre une belle masturbation. Puis, le regardant plus intensément :
- Je dois être vraiment dingue… J’ai envie de te sucer, tu veux bien ?
Patrick ne bouge pas un cil, mais son ami comprend bien que si l’idée ne lui plait sans doute pas tant que ça, les halètements qui leur parviennent de plus belle le mettent en transe. Il se penche donc en prend la belle verge de Patrick dans sa bouche. C’est la première fois de sa vie qu’il fait une chose pareille. À son grand étonnement, il trouve ça plutôt agréable. Il sent battre la verge de son ami dans sa bouche, cela frémit, tremble un peu… mais sans doute est-ce lui, qui tremble. Le voilà qui fait aller et venir ses lèvres autour du mât de chair au comble de son excitation. Arrivé tout au fond de sa gorge, il ressort, pour lécher l’organe d’une langue maintenant tout à fait gourmande. Et la ré-embouche et recommence ses aller-retour, provoquant de petits gémissements de son ami. Il passe ses doigts sous la hampe, flattant les bourses, les soupesant ; à l’occasion, il vient les lécher, même les prendre en bouche.
Patrick est arrivé à la toute limite de ses possibilités, Bob le reprend dans la bouche pour une ultime gorge profonde et, resserrant les lèvre bien hermétiquement, reçoit la jouissance de Patrick, là, sur sa langue. Deux puis, trois, quatre longs jets de plaisir pur arrivent successivement, suivis de quelques répliques plus discrètes. De la pulpe de son pouce, Robert longe la verge en appuyant bien sur le conduit pour en extraire jusqu’à la dernière goutte de la précieuse semence. Que va-t-il faire, maintenant ? Il recherche du coin de l’œil s’il peut recracher discrètement… Et puis, non, il se ravise : puisqu’il a déjà le goût doucement salé, musqué dans sa bouche, autant l’avaler… Il ouvre grand sa bouche pour laisser voir à son ami la liqueur blanche qu’il y a recueillie, puis la refermant, il l’avale par petites lampées, en épicurien.
- Hmmm ! Le bon potage… Miam… Merci, ça c’est de l’orgasme ou je ne m’y connais pas ! En tout cas, vieux frère, je peux te dire que j’ai vraiment aimé te faire ça, c’est super agréable comme sensation… et avaler après, j’ai adoré ! Je n’avais jamais goûté de sperme, c’est juste délicieux, j’adore. Tu veux essayer ? Je ne suis pas contre, tu sais…
Mais Patrick n’est pas vraiment emballé. Certes, il a eu grand plaisir à recevoir cette superbe fellation, mais se sent peu enclin à rendre la pareille… En haut les gémissements continuent sans grande retenue… Robert tente de le convaincre :
- Écoute, tu entends, là-haut ? Elles ne s’emmerdent pas… Je vais te proposer un truc : on se met là, sur le canapé et je recommence pendant que tu me fais la même chose, d’acc ?
Avec quelque réticence, Patrick s’allonge prend enfin le sexe de son ami, dans sa main, y donne quelques coups de langue, puis s’enhardissant le prend en bouche. Lui aussi est étonné par la sensation agréable que lui donne cette verge turgescente sur son palais. Alors, il se donne à fond, sentant que pour lui, déjà le point de non retour s’annonce à l’horizon. Il s’active à fond, tant et si bien que rapidement, il reçoit le plaisir de Robert contre son palais tandis que, tout essoufflé, il vient lui-même une seconde fois dans la bouche de son ami.
Les deux compères n’ont pas le temps de se relever et se rajuster qu’une voix glapit derrière la canapé :
- Hé voilà, il suffit qu’on s’isole quelques minutes pour essayer de dessous entre copines pour que nos maris partent en live…
Patrick est écarlate et la honte se lit sur son visage. Il avale péniblement la dose énorme d’élixir de jouissance de son ami et tente de se justifier. Bien entendu, son épouse ne se laisse pas faire.
- Arrête, tu es juste un dégueulasse, tu viens de faire une pipe à ton ami d’enfance, dans ma maison, en plus, presque sous mon nez… Tu me dégoûtes.
Incapable de rétorquer le moindre mot, Patrick se tait, s’enfonce dans sa culpabilité. Alors Robert se tourne vers Aline, tout regardant Isabelle du coin de l’œil :
- Dis, ma belle, il me semble que quand tu faisais une superbe minette à ta copine gémissante, tu ne trouvais pas ça si dégoûtant que ça, ni elle. Et si j’en crois les cris de jouissance à peine étouffés que nous avons entendus pendant près de trois quart d’heure, ce serait plutôt à nous de vous faire des reproches, non ?
Du coup les femmes se retrouvent arroseur arrosé, penaudes. Robert prend Aline par les épaules et l’embrasse tendrement.
- Je t’aime, ma belle, ne l’oublie jamais.
Du coup Patrick prend Isabelle dans ses bras, l’embrasse fougueusement et s’écrie :
- Allez, c’est l’heure de l’apéro… et après, si vous êtes sages, il y aura sieste !
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