En attendant nos chéries Fin
Récit érotique écrit par Ethelrede [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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En attendant nos chéries Fin
Quand les filles rentrèrent, une bonne odeur de café les attendait ainsi que les garçons, restés nus… Elles se dévêtirent aussitôt les vélos rangés et les courses posées sur la table. Puis tout le monde s’embrassa avec plus ou moins de fougue et l’on passa vite à table, nus et excités comme des puces, avec un bon thé ou un café, sauf Isabelle, fidèle depuis sa petite enfance à son chocolat au lait. Après quoi, les préoccupations revinrent aux choses sérieuses : le plaisir, le sexe !
Patrick regarda un instant Robert occupé à embrasser sa belle avec tendresse, puis s’en vint voir Isabelle qui se languissait sur le canapé.
- J’ai envie de toi, ma belle, j’ai envie de te prendre…
Elle répondit avec un merveilleux sourire illuminant tout son visage ; Patrick ne reconnaissait plus sa chérie, aboyeuse et acariâtre jusqu’à la veille, désormais enjôleuse et coquine… Isabelle se pencha en arrière en ouvrant grand ses jambes, l’air de dire "toujours prête pour mon homme" ! Patrick, un sourire gourmand aux lèvres, fit un petit "non" de la tête, plutôt insistant, auquel sa belle, inquiète, répondit par un signe interrogatif de la main évoquant un demi-tour. À la mine réjouie de Patrick, Isabelle vit qu’elle avait bien compris. Rassérénée, avec un sourire gourmand, elle se redressa pour chuchoter à son oreille. Un éclair de bonheur apparut aussitôt sur le visage de son mari.
- Ah, oui, quelle bonne idée ! … Robert, tu peux venir un instant, s’il te plaît ?
- Oui ? c’est à quel sujet ?
- Voilà, Isabelle voudrait que tu lui fasses l’amour, là sur le canapé, elle sur toi et toi sous elle… Si ça ne t’ennuie pas !
- Oh, pas le moins du monde… Tu sais, moi… quand je peux rendre service… Surtout à un ami, c’est sacré !
Alors, en bon copain ne laissant jamais son alter ego dans le besoin, il entreprit quelques savoureux préliminaires de sa langue, de ses doigts et de ses lèvres avant de s’allonger sur le dos pour inviter la belle à se ficher sur son outil de plaisir. Isabelle enjamba le garçon et le guida en elle puis se laissa coulisser avec ravissement sur son membre frémissant, la mine réjouie. Jamais aucune des personnes assistant à la scène n’avaient vu sur son visage un sourire aussi radieux, un bonheur aussi éclatant.
Après quelques va-et-vient vigoureux, elle se pencha sur son partenaire, comme pour l’embrasser. C’est le moment que choisit Patrick pour venir à son tour s’immiscer dans le jeu et, accessoirement en Isabelle, prenant son fondement avec douceur. Robert mit quelques secondes à comprendre ce qui se passait et ressentit aussitôt une phénoménale excitation. Jamais encore il n’avait pensé un jour être impliqué dans "une double", cette pratique étant, dans son esprit, définitivement reléguée dans le monde du fantasme !
Juste à côté d’eux, Aline, debout, n’en croyait pas ses yeux. Bien sûr, elle avait déjà vu des films érotiques ou pornographiques montrant la chose… Bien sûr, elle avait eu des copains et copines de lycée ou d’études qui se vantaient de pratiquer la double pénétration… Mais jamais elle n’avait été témoin de la chose, jamais elle n’avait été impliquée d’aussi près dans cette pratique. Une lueur d’envie apparut dans ses yeux verts.
Les deux garçons sentaient, à travers la fine membrane intestinale d’Isa, leurs deux membres se frotter l’un à l’autre, leur donnant une incoercible excitation. Isabelle, de son côté, sitôt sentit-elle les deux verges profondément plantées en elle, commença à remuer, à onduler du bassin, faisant alternativement entrer et sortir l’une et l’autre de ses deux orifices, et les laissant entrer au plus profond d’elle De longs feulements sortaient de sa bouche entrouverte, jusqu’à ce qu’elle crie, dans un langage choisi, la portée de ses envies…
- Oui ! Bourre-moi la chatte, Bob, défonce-moi le cul mon amour… Ah, c’est trop bon, allez, quoi, soyez des hommes, merde, cassez-moi, mettez-moi en pièces… Ouiiiiiii
Elle partit dans un orgasme dément en l’espace de quelques secondes, haletante, suffocante, mais le regard témoin d’une indicible plénitude. Elle cessa de bouger après quelques derniers soubresauts, puis se tourna vers Patrick qui s’était prestement dégagé :
- Ah, mon chéri, mon amour, merci ! Merci d’avoir enfin permis que se réalise ce fantasme que je couvais tout au fond de moi… C’est merveilleux ! Jamais je n’aurais pensé que nous le ferions un jour… En plus avec Bob, que j’ai toujours trouvé plutôt à mon goût… Bonheur intégral… Je t’aime !
Se ravisant soudain, en réalisant ce qu’elle venait de dire, elle se tourna vers Aline qui venait d’assister à la scène, sidérée, sortant précipitamment ses doigts de sa culotte.
- Ma chérie, je ne dis pas cela pour sous-entendre que j’ai toujours convoité ton mec ! C’est juste que quand j’ai choisi Patrick, c’est après avoir pas mal hésité entre les deux… Mais c’est Patrick que j’ai élu au plus profond de mon cœur !
Aline avait encore au fond des yeux cet air de désir presque jaloux qu’Isabelle comprit aussitôt.
- Tu devrais essayer, ma belle, c’est fabuleux, je t’assure…
- Mais j’ai un peu peur… je n’ai jamais fait ça, tu sais. J’ai toujours… refusé à Robert cet accès… ça me fait drôle de le lui réclamer, maintenant !
- Laisse-toi faire, ma chérie. C’est sur que la première fois, ça chauffe un peu, mais on s’y habitue vite et, après, crois-moi, c’est du pur bonheur. Allez vient, nos hommes n’ont pas joui, j’ai été trop rapide ! Ils vont surement être ravis de te faire ton affaire !
Isa ne croyait pas si bien dire ! Inversant les rôles, Patrick s’allongea sur le lit et reçut Aline qui le prit au plus profond de sa minette dans un gloussement de plaisir. Après quelques va-et-vient, Robert se présenta derrière elle, et tout comme il avait senti son ami le faire sur lui-même, prit l’anneau intime de sa belle chérie. Cette fois, son excitation était à son comble et il sentit qu’il n’allait pas résister bien longtemps. À ses halètements, Patrick et Aline comprirent qu’ils devaient passer la vitesse supérieure !
Aline criait son bonheur, au bort de l’extase, en regardant Isabelle qui vint aussitôt l’embrasser, fouillant sa bouche d’une langue gourmande tout en lui pétrissant les seins amoureusement. C’est dans un cri quasi synchrone que le trio partit dans un magnifique orgasme, emplissant Aline par tous ses orifices, la parcourant de vagues d’un plaisir indicible.
Pantelante, elle se laissa rouler sur le côté, gardant encore un peu les deux hommes en elle. Elle embrassa Patrick langoureusement : elle avait fait l’amour avec lui plusieurs fois depuis la veille mais celle-ci était de loin la meilleure ! Quant à Robert, il ne perdait rien pour attendre : elle se promit de refaire cette chose-là en solo avec lui. Il y avait un gros retard à rattraper !
Les deux couples s’étaient déjà engagés pour le dimanche. Ils ne pouvaient en aucun cas se dédire. C’est ainsi avec quelque regrets qu’en fin d’après midi, le samedi, ils durent prendre une dernière douche commune et se rhabiller avant de revenir à une vie plus normale. Robert et Aline rentrèrent chez eux où sitôt la porte fermée ils s’embrassèrent comme aux premiers jours de leur amour, refaisant les mêmes gestes, se refaisant les mêmes serments. Chez Patrick et Isabelle, la même chose se produisait : un grand bonheur les unissait.
Quand, quelques jours plus tard, Patrick retrouva Robert au tennis, Ils reparlèrent à mots couverts de leur fabuleux weekend.
- Sans rire Patrick, tu aurais cru, toi, qu’un jour on virerait homo, toi et moi, et nos femmes ?
- Mais ! On n’est pas homo !
- Bin… Tu en as de bonnes, toi ! Si je te fais une pipe, ou si tu me sodomises, ou si nos femmes se font un 69 entre elles, ce ne sont pas des pratiques homosexuelles, pour toi ?
- Tu l’as dit toi-même, Bob : ce sont les pratiques qui sont homo, pas nous.
- Et on est quoi, alors, selon toi, monsieur je sais tout ?
- Nous sommes libres, Bob, libres ….
Patrick regarda un instant Robert occupé à embrasser sa belle avec tendresse, puis s’en vint voir Isabelle qui se languissait sur le canapé.
- J’ai envie de toi, ma belle, j’ai envie de te prendre…
Elle répondit avec un merveilleux sourire illuminant tout son visage ; Patrick ne reconnaissait plus sa chérie, aboyeuse et acariâtre jusqu’à la veille, désormais enjôleuse et coquine… Isabelle se pencha en arrière en ouvrant grand ses jambes, l’air de dire "toujours prête pour mon homme" ! Patrick, un sourire gourmand aux lèvres, fit un petit "non" de la tête, plutôt insistant, auquel sa belle, inquiète, répondit par un signe interrogatif de la main évoquant un demi-tour. À la mine réjouie de Patrick, Isabelle vit qu’elle avait bien compris. Rassérénée, avec un sourire gourmand, elle se redressa pour chuchoter à son oreille. Un éclair de bonheur apparut aussitôt sur le visage de son mari.
- Ah, oui, quelle bonne idée ! … Robert, tu peux venir un instant, s’il te plaît ?
- Oui ? c’est à quel sujet ?
- Voilà, Isabelle voudrait que tu lui fasses l’amour, là sur le canapé, elle sur toi et toi sous elle… Si ça ne t’ennuie pas !
- Oh, pas le moins du monde… Tu sais, moi… quand je peux rendre service… Surtout à un ami, c’est sacré !
Alors, en bon copain ne laissant jamais son alter ego dans le besoin, il entreprit quelques savoureux préliminaires de sa langue, de ses doigts et de ses lèvres avant de s’allonger sur le dos pour inviter la belle à se ficher sur son outil de plaisir. Isabelle enjamba le garçon et le guida en elle puis se laissa coulisser avec ravissement sur son membre frémissant, la mine réjouie. Jamais aucune des personnes assistant à la scène n’avaient vu sur son visage un sourire aussi radieux, un bonheur aussi éclatant.
Après quelques va-et-vient vigoureux, elle se pencha sur son partenaire, comme pour l’embrasser. C’est le moment que choisit Patrick pour venir à son tour s’immiscer dans le jeu et, accessoirement en Isabelle, prenant son fondement avec douceur. Robert mit quelques secondes à comprendre ce qui se passait et ressentit aussitôt une phénoménale excitation. Jamais encore il n’avait pensé un jour être impliqué dans "une double", cette pratique étant, dans son esprit, définitivement reléguée dans le monde du fantasme !
Juste à côté d’eux, Aline, debout, n’en croyait pas ses yeux. Bien sûr, elle avait déjà vu des films érotiques ou pornographiques montrant la chose… Bien sûr, elle avait eu des copains et copines de lycée ou d’études qui se vantaient de pratiquer la double pénétration… Mais jamais elle n’avait été témoin de la chose, jamais elle n’avait été impliquée d’aussi près dans cette pratique. Une lueur d’envie apparut dans ses yeux verts.
Les deux garçons sentaient, à travers la fine membrane intestinale d’Isa, leurs deux membres se frotter l’un à l’autre, leur donnant une incoercible excitation. Isabelle, de son côté, sitôt sentit-elle les deux verges profondément plantées en elle, commença à remuer, à onduler du bassin, faisant alternativement entrer et sortir l’une et l’autre de ses deux orifices, et les laissant entrer au plus profond d’elle De longs feulements sortaient de sa bouche entrouverte, jusqu’à ce qu’elle crie, dans un langage choisi, la portée de ses envies…
- Oui ! Bourre-moi la chatte, Bob, défonce-moi le cul mon amour… Ah, c’est trop bon, allez, quoi, soyez des hommes, merde, cassez-moi, mettez-moi en pièces… Ouiiiiiii
Elle partit dans un orgasme dément en l’espace de quelques secondes, haletante, suffocante, mais le regard témoin d’une indicible plénitude. Elle cessa de bouger après quelques derniers soubresauts, puis se tourna vers Patrick qui s’était prestement dégagé :
- Ah, mon chéri, mon amour, merci ! Merci d’avoir enfin permis que se réalise ce fantasme que je couvais tout au fond de moi… C’est merveilleux ! Jamais je n’aurais pensé que nous le ferions un jour… En plus avec Bob, que j’ai toujours trouvé plutôt à mon goût… Bonheur intégral… Je t’aime !
Se ravisant soudain, en réalisant ce qu’elle venait de dire, elle se tourna vers Aline qui venait d’assister à la scène, sidérée, sortant précipitamment ses doigts de sa culotte.
- Ma chérie, je ne dis pas cela pour sous-entendre que j’ai toujours convoité ton mec ! C’est juste que quand j’ai choisi Patrick, c’est après avoir pas mal hésité entre les deux… Mais c’est Patrick que j’ai élu au plus profond de mon cœur !
Aline avait encore au fond des yeux cet air de désir presque jaloux qu’Isabelle comprit aussitôt.
- Tu devrais essayer, ma belle, c’est fabuleux, je t’assure…
- Mais j’ai un peu peur… je n’ai jamais fait ça, tu sais. J’ai toujours… refusé à Robert cet accès… ça me fait drôle de le lui réclamer, maintenant !
- Laisse-toi faire, ma chérie. C’est sur que la première fois, ça chauffe un peu, mais on s’y habitue vite et, après, crois-moi, c’est du pur bonheur. Allez vient, nos hommes n’ont pas joui, j’ai été trop rapide ! Ils vont surement être ravis de te faire ton affaire !
Isa ne croyait pas si bien dire ! Inversant les rôles, Patrick s’allongea sur le lit et reçut Aline qui le prit au plus profond de sa minette dans un gloussement de plaisir. Après quelques va-et-vient, Robert se présenta derrière elle, et tout comme il avait senti son ami le faire sur lui-même, prit l’anneau intime de sa belle chérie. Cette fois, son excitation était à son comble et il sentit qu’il n’allait pas résister bien longtemps. À ses halètements, Patrick et Aline comprirent qu’ils devaient passer la vitesse supérieure !
Aline criait son bonheur, au bort de l’extase, en regardant Isabelle qui vint aussitôt l’embrasser, fouillant sa bouche d’une langue gourmande tout en lui pétrissant les seins amoureusement. C’est dans un cri quasi synchrone que le trio partit dans un magnifique orgasme, emplissant Aline par tous ses orifices, la parcourant de vagues d’un plaisir indicible.
Pantelante, elle se laissa rouler sur le côté, gardant encore un peu les deux hommes en elle. Elle embrassa Patrick langoureusement : elle avait fait l’amour avec lui plusieurs fois depuis la veille mais celle-ci était de loin la meilleure ! Quant à Robert, il ne perdait rien pour attendre : elle se promit de refaire cette chose-là en solo avec lui. Il y avait un gros retard à rattraper !
Les deux couples s’étaient déjà engagés pour le dimanche. Ils ne pouvaient en aucun cas se dédire. C’est ainsi avec quelque regrets qu’en fin d’après midi, le samedi, ils durent prendre une dernière douche commune et se rhabiller avant de revenir à une vie plus normale. Robert et Aline rentrèrent chez eux où sitôt la porte fermée ils s’embrassèrent comme aux premiers jours de leur amour, refaisant les mêmes gestes, se refaisant les mêmes serments. Chez Patrick et Isabelle, la même chose se produisait : un grand bonheur les unissait.
Quand, quelques jours plus tard, Patrick retrouva Robert au tennis, Ils reparlèrent à mots couverts de leur fabuleux weekend.
- Sans rire Patrick, tu aurais cru, toi, qu’un jour on virerait homo, toi et moi, et nos femmes ?
- Mais ! On n’est pas homo !
- Bin… Tu en as de bonnes, toi ! Si je te fais une pipe, ou si tu me sodomises, ou si nos femmes se font un 69 entre elles, ce ne sont pas des pratiques homosexuelles, pour toi ?
- Tu l’as dit toi-même, Bob : ce sont les pratiques qui sont homo, pas nous.
- Et on est quoi, alors, selon toi, monsieur je sais tout ?
- Nous sommes libres, Bob, libres ….
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