En couples Ep01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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En couples Ep01
En couples Ep01
Les dames étaient absentes elles devaient arriver un peu plus tard. Sonia et moi avions rencontré Jason et Sara l'année précédente. Nous étions venus faire un séjour de remise en forme. L'année précédente on avait sympathisé, nos femmes étaient devenues inséparables.
Jason était très bel homme, la peau foncée, presque noire. Il était large d'épaules et nous nous entraînions ensemble. Depuis le matin ou nous nous étions retrouvés, on ne s'était pas lâché d'une seconde.
– Et ta femme arrive quand alors ? Me demandait Jason.
– Bobonne devrait arriver d'ici un ou deux jours.
– Et tu l'appelles Bobonne ?
– Oui enfin, c'est pour rigoler.
– Moi si jamais j'ose, elle me bouffe, me mâche longuement avant de me recracher !
– C'est tout de même pas un ogre, elle est toute menue.
– Mais elle ne manque pas d'énergie.
Bon je vous laisse imaginer mais il faut dire qu'on profitait de ces un ou deux jours de célibat, entre hommes. En effet la femme de Jason devait arriver à peut près en même temps que la mienne.
On se retrouvait dans sa chambre d'hôtel, ma chambre était juste à côté, il jetais ses vêtements sur le lit avant de prendre une douche.
– Bon moi je commence par une douche, si tu veux suivre …
je le voyais entièrement à poil, c'était la première fois, il avait un dos très fort, des fesses fermes et des cuisses bien musclées. Ce n'était pas vraiment une découverte, je l'avais déjà vu à la piscine. Et finalement je décidais de le suivre. Ça semblait tellement naturel.
Je me mettais à poil et le retrouvais dans la salle de bain. Je le voyais de dos, la douche était XXL, comme dans toutes les chambres. Tout allait bien, il ne me laissait pas indifférent mais tout allait bien. Il faut dire que je n'ai pas vraiment l'habitude de partager la douche avec un homme. Au service militaire oui, mais c'est déjà vieux. Dans les vestiaires du sport aussi remarquez. Mais là on est tout un groupe et … bon c'est pas pareil.
Ce jour là nous n'étions que deux, il était incroyablement beau, je me souviens de ces images, l'eau qui coulait délicatement sur ses épaules et son dos. La couleur de sa peau, magnifique. La chute de ses reins et ses fesses musclées et fermes appuyées sur deux jambes de sportif.
Il se retournait, me regardait et me souriait. Là je le voyais de face, son torse était comme le reste du bonhomme, une très belle tablette de chocolat qui en plus en avait la couleur.
Je le parcourait du regard et rapidement je remarquais qu'il bandait.
– Heu je te dérange … je … bafouillais-je.
– Mais non, c'est une réaction tout à fait normale, il y a largement de la place pour deux.
Un peu timidement j'entrais sous la douche. Par réflexe au début je lui tournais le dos. Ma queue pendouillait mollement puis prenait un peu de volume et pendouillait toujours mais lourdement. Avant de se redresser.
Je sentais son bras qui me caressait, il voulait attraper le savon.
– Toi aussi, sous la douche, tu … Me disait-il en remarquant que moi aussi je bandais.
Étonnamment ça me détendait, oh je bandais toujours, ça ne me calmais pas sur ce point, mais c'était seulement la gêne qui disparaissait. C'était bon, on s'était vu nu, de face et en érection. Mais ça allait. Il me plaisait, j'avais peur que mon érection ne le lui dise, ne le lui clame même. Mais son érection simplifiait la situation.
On se savonnait, on tournait sur nous même pour se placer sous le jet puis, alors que je lui tournais le dos il posait ses mains sur mes épaules et me les massait.
– Je vais te frictionner le dos. Me disait-il.
Et sans attendre ma réponse il me massait les épaules avec force. Ses mains glissaient sur le haut de mon dos, le haut de mon dos puis un peu plus bas, il descendait jusqu'à mes reins. C'était agréable, inattendu mais très agréable. Ma queue se relevait à la verticales, et se plaquait contre mon ventre. J'étais un peu gêné mais je constatais qu'il était comme moi.
Ensuite il se retournait et me présentait ses épaules. Je lui rendais la politesse. Lui aussi trouvait ça très agréable. Mon regard descendait le long de son corps et j'admirais ses fesses. Je me laissais aller à le caresser, les épaules, le dos, les reins, les hanches, les fesses …
Et là je me calmais.
Il se retournait, il avait un large sourire et rigolait presque. Je me retournais pour prendre le shampoing, il en a profité pour me caresser les fesses et un doigt glissait dans mon cul.
Je ne m'y attendais pas, je sursautais et poussais un léger gloussement.
– Je ne m'attendais pas à autant de résistance ! Me dit-il.
– De … ?
– Tu as toi aussi déjà eu des relations avec des hommes.
– Oui mais j'étais jeune.
– Moi aussi.
– C'était avant de rencontrer …
– Bobonne ?
– Oui .
Il passait alors une main sur mes reins et me tirait vers lui. Je n'osais pas résister ou alors c'est que j'en avais pas du tout envie. Je refermais mes bras autour de lui. Il m'embrassait.
Tout ça s'était passé rapidement, je n'avais pas vraiment eu le temps de réagir. Une seule chose était sûre, j'aimais. Pardon, je veux dire nous aimions !
L'ambiance avait changé, on se caressait mais là ce n'était plus que pour le plaisir. Les mains de l'un se glissaient sur le ventre de l'autre et là nous nous lavions la queue l'un l'autre. Ce n'était plus du tout deux camarades qui prenaient une douche ensemble.
Il tombait à genoux devant moi, me caressait le haut des cuisses et les fesses puis rapidement prenait ma queue dans sa bouche. Ça me rappelait des soirées avec des camarades quelques années plus tôt quand j'étais en interna dans une école religieuse. C'était dans cette école ' Sainte Marie Madeleine de la tentation des monts saints '. Enfin je suppose qu'avec un nom pareil, vous imaginez le genre d'établissement.
J'avais un petit copain qui suçait divinement bien. Jason était lui aussi de ce genre. Je sentais sa langue qui glissait sur mon gland. Ses lèvres se refermaient sur ma que. Je ne sentais pas ses dents. C'était tout en douceur.
Il avançait son visage contre mon bassin.
Ses lèvres se refermaient à la base de ma queue. Bobonne n'aimait pas me faire ça. Elle avait bien essayé une fois ou deux mais ce n'était pas concluant,on sentait bien qu'elle se forçait.
Lui me suçait avec tellement de naturel. C'était quelque chose de normal de sa part et de tellement bon en plus. Je ne me rendais même pas compte au début mais j'appuyais sur sa tête, je le tirais vers moi et j'avançais mon bassin par à-coup. Il encaissait, il me faisait envie, il me faisait un bien fou, mais j'avais moi aussi envie de lui, de sa queue, de son corps.
Il relevait son visage, je le prenait par le bras et le relevais, je l'embrassais puis c'est moi qui m’agenouillais devant lui. Je prenais bien mon temps de découvrir ses couilles, sa queue, elle était belle et bien grosse.
Ses deux couilles pendouillaient lourdement, la chaleur de l'eau faisait son effet. Je lui léchais les couilles, il frissonnait. Enfin je prenais sa bite dans ma bouche, il tremblait. Puis je faisais appel à tous mes souvenirs de l'interna.
Sa queue entrait lentement dans ma bouche. Je glissais une main sur ses cuisses, une autre sur ses fesses. Je glissais un doigts entre ses fesses en m'attardant doucement sur le petit trou de son cul. Il ne tentait pas de se dégager et me caressait les cheveux et appuyait tout doucement sur ma tête.
Je me concentrais sur son plaisir, ses gémissements me guidaient, puis il m'a brusquement retenu. Il s'est retirer, il me regardait en me souriant.
– Relève-toi ! Me demandait-il.
Je m'exécutais.
– Tourne-toi !
Je me retournais vers le mur et m'appuyais.
Il me caressait les fesses d'une manière plus intrusive qu'au début. Chaque fois qu'un de ses doigts passait sur mon cul, il glissait dedans. Puis c'était deux doigts qui glissaient dans mon cul.
Pour finir ses deux doigts rentraient complètement et ils s'agitaient avec force. Là je me suis tendu. Tous mes muscles se sont tendu, c'était bon, je n'ai pas essayé de me dégager. C'était un plaisir, il me massait la prostate et un immense plaisir me faisait trembler.
Il retirait ses doigts et continuait à me lubrifier le cul, doucement, l'air de rien, il prenait position. Je sentais une pression contre mon cul. Je sentais son corps contre le mien, son ventre contre mon dos. Puis il poussait.
Sa grosse queue appuyait contre mon anus, celui-ci résistait un peu puis finissait par se détendre. Mon cul s'ouvrait et sa queue glissait en moi.
Il y avait un peu de douleur mais il y allait avec beaucoup de douceur. Il y avait un peu de plaisir puis brusquement il y avait un immense plaisir qui envahissait tout mon corps.
Je sentais sa queue glisser lentement et envahir mes entrailles. Mais c'est le plaisir qui se manifestait. Je me souvenais de la première fois, quelques années plus tôt, ça avait été très douloureux. Je me souvenais que par la suite c'était le pied.
Là c'était un tout petit peu de douleur et un immense plaisir. Son ventre s'écrasait sur mes fesses. Je ne savait plus ou j'étais mais j'étais bien. Il poussait et je réagissais, je gémissais de plaisir.
Il se retirait avant de revenir bien à fond avec force. C'est là que j'ai commencé à jouir. Il ressortait aussitôt et revenait puis prolongeait ce mouvement avec plus de force et de régularité. Il me limait le cul avec force.
Quand il poussait, il poussait fort et me remplissait le cul, quand il se retirait, la aussi, il se retirait complètement et je me sentais vidé. Puis il poussait de nouveau.
Je ressentais son souffle contre ma joue, il me regardait et restait très attentif à chacune de mes réactions. Je respirais fort, je respirait vite, je gémissait fort.
Je jouissais.
Il devenait alors plus violent, plus rapide. J'en redemandais, il m'en donnait.
Les coups devenaient violents, encore plus jouissif. Le plaisir était monté tout doucement mais à ce moment il rayonnait dans tout mon corps et je tremblais. Je ne tenais debout que parce qu'il me retenait.
Ses cris répondaient aux miens et c'est là qu'il à joui. Moi je jouissais toujours, il me bourrait le cul avec force au moment ou il éjaculait moi je ne jutais pas, pas une goutte. Mais au moment ou il se retirait, un flot de sperme coulait de ma queue. Je jouissais toujours mais ce n'était pas avec ma queue mais seulement avec mon cul.
Je savais déjà que je pouvais jouir de cette manière, ça faisait longtemps, mais le souvenir me revenait.
Nous avons repris notre douche, chacun prenait soin de l'autre, on s'est séché puis on s'est habillé on était presque en retard pour le premier service au restaurant.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Les dames étaient absentes elles devaient arriver un peu plus tard. Sonia et moi avions rencontré Jason et Sara l'année précédente. Nous étions venus faire un séjour de remise en forme. L'année précédente on avait sympathisé, nos femmes étaient devenues inséparables.
Jason était très bel homme, la peau foncée, presque noire. Il était large d'épaules et nous nous entraînions ensemble. Depuis le matin ou nous nous étions retrouvés, on ne s'était pas lâché d'une seconde.
– Et ta femme arrive quand alors ? Me demandait Jason.
– Bobonne devrait arriver d'ici un ou deux jours.
– Et tu l'appelles Bobonne ?
– Oui enfin, c'est pour rigoler.
– Moi si jamais j'ose, elle me bouffe, me mâche longuement avant de me recracher !
– C'est tout de même pas un ogre, elle est toute menue.
– Mais elle ne manque pas d'énergie.
Bon je vous laisse imaginer mais il faut dire qu'on profitait de ces un ou deux jours de célibat, entre hommes. En effet la femme de Jason devait arriver à peut près en même temps que la mienne.
On se retrouvait dans sa chambre d'hôtel, ma chambre était juste à côté, il jetais ses vêtements sur le lit avant de prendre une douche.
– Bon moi je commence par une douche, si tu veux suivre …
je le voyais entièrement à poil, c'était la première fois, il avait un dos très fort, des fesses fermes et des cuisses bien musclées. Ce n'était pas vraiment une découverte, je l'avais déjà vu à la piscine. Et finalement je décidais de le suivre. Ça semblait tellement naturel.
Je me mettais à poil et le retrouvais dans la salle de bain. Je le voyais de dos, la douche était XXL, comme dans toutes les chambres. Tout allait bien, il ne me laissait pas indifférent mais tout allait bien. Il faut dire que je n'ai pas vraiment l'habitude de partager la douche avec un homme. Au service militaire oui, mais c'est déjà vieux. Dans les vestiaires du sport aussi remarquez. Mais là on est tout un groupe et … bon c'est pas pareil.
Ce jour là nous n'étions que deux, il était incroyablement beau, je me souviens de ces images, l'eau qui coulait délicatement sur ses épaules et son dos. La couleur de sa peau, magnifique. La chute de ses reins et ses fesses musclées et fermes appuyées sur deux jambes de sportif.
Il se retournait, me regardait et me souriait. Là je le voyais de face, son torse était comme le reste du bonhomme, une très belle tablette de chocolat qui en plus en avait la couleur.
Je le parcourait du regard et rapidement je remarquais qu'il bandait.
– Heu je te dérange … je … bafouillais-je.
– Mais non, c'est une réaction tout à fait normale, il y a largement de la place pour deux.
Un peu timidement j'entrais sous la douche. Par réflexe au début je lui tournais le dos. Ma queue pendouillait mollement puis prenait un peu de volume et pendouillait toujours mais lourdement. Avant de se redresser.
Je sentais son bras qui me caressait, il voulait attraper le savon.
– Toi aussi, sous la douche, tu … Me disait-il en remarquant que moi aussi je bandais.
Étonnamment ça me détendait, oh je bandais toujours, ça ne me calmais pas sur ce point, mais c'était seulement la gêne qui disparaissait. C'était bon, on s'était vu nu, de face et en érection. Mais ça allait. Il me plaisait, j'avais peur que mon érection ne le lui dise, ne le lui clame même. Mais son érection simplifiait la situation.
On se savonnait, on tournait sur nous même pour se placer sous le jet puis, alors que je lui tournais le dos il posait ses mains sur mes épaules et me les massait.
– Je vais te frictionner le dos. Me disait-il.
Et sans attendre ma réponse il me massait les épaules avec force. Ses mains glissaient sur le haut de mon dos, le haut de mon dos puis un peu plus bas, il descendait jusqu'à mes reins. C'était agréable, inattendu mais très agréable. Ma queue se relevait à la verticales, et se plaquait contre mon ventre. J'étais un peu gêné mais je constatais qu'il était comme moi.
Ensuite il se retournait et me présentait ses épaules. Je lui rendais la politesse. Lui aussi trouvait ça très agréable. Mon regard descendait le long de son corps et j'admirais ses fesses. Je me laissais aller à le caresser, les épaules, le dos, les reins, les hanches, les fesses …
Et là je me calmais.
Il se retournait, il avait un large sourire et rigolait presque. Je me retournais pour prendre le shampoing, il en a profité pour me caresser les fesses et un doigt glissait dans mon cul.
Je ne m'y attendais pas, je sursautais et poussais un léger gloussement.
– Je ne m'attendais pas à autant de résistance ! Me dit-il.
– De … ?
– Tu as toi aussi déjà eu des relations avec des hommes.
– Oui mais j'étais jeune.
– Moi aussi.
– C'était avant de rencontrer …
– Bobonne ?
– Oui .
Il passait alors une main sur mes reins et me tirait vers lui. Je n'osais pas résister ou alors c'est que j'en avais pas du tout envie. Je refermais mes bras autour de lui. Il m'embrassait.
Tout ça s'était passé rapidement, je n'avais pas vraiment eu le temps de réagir. Une seule chose était sûre, j'aimais. Pardon, je veux dire nous aimions !
L'ambiance avait changé, on se caressait mais là ce n'était plus que pour le plaisir. Les mains de l'un se glissaient sur le ventre de l'autre et là nous nous lavions la queue l'un l'autre. Ce n'était plus du tout deux camarades qui prenaient une douche ensemble.
Il tombait à genoux devant moi, me caressait le haut des cuisses et les fesses puis rapidement prenait ma queue dans sa bouche. Ça me rappelait des soirées avec des camarades quelques années plus tôt quand j'étais en interna dans une école religieuse. C'était dans cette école ' Sainte Marie Madeleine de la tentation des monts saints '. Enfin je suppose qu'avec un nom pareil, vous imaginez le genre d'établissement.
J'avais un petit copain qui suçait divinement bien. Jason était lui aussi de ce genre. Je sentais sa langue qui glissait sur mon gland. Ses lèvres se refermaient sur ma que. Je ne sentais pas ses dents. C'était tout en douceur.
Il avançait son visage contre mon bassin.
Ses lèvres se refermaient à la base de ma queue. Bobonne n'aimait pas me faire ça. Elle avait bien essayé une fois ou deux mais ce n'était pas concluant,on sentait bien qu'elle se forçait.
Lui me suçait avec tellement de naturel. C'était quelque chose de normal de sa part et de tellement bon en plus. Je ne me rendais même pas compte au début mais j'appuyais sur sa tête, je le tirais vers moi et j'avançais mon bassin par à-coup. Il encaissait, il me faisait envie, il me faisait un bien fou, mais j'avais moi aussi envie de lui, de sa queue, de son corps.
Il relevait son visage, je le prenait par le bras et le relevais, je l'embrassais puis c'est moi qui m’agenouillais devant lui. Je prenais bien mon temps de découvrir ses couilles, sa queue, elle était belle et bien grosse.
Ses deux couilles pendouillaient lourdement, la chaleur de l'eau faisait son effet. Je lui léchais les couilles, il frissonnait. Enfin je prenais sa bite dans ma bouche, il tremblait. Puis je faisais appel à tous mes souvenirs de l'interna.
Sa queue entrait lentement dans ma bouche. Je glissais une main sur ses cuisses, une autre sur ses fesses. Je glissais un doigts entre ses fesses en m'attardant doucement sur le petit trou de son cul. Il ne tentait pas de se dégager et me caressait les cheveux et appuyait tout doucement sur ma tête.
Je me concentrais sur son plaisir, ses gémissements me guidaient, puis il m'a brusquement retenu. Il s'est retirer, il me regardait en me souriant.
– Relève-toi ! Me demandait-il.
Je m'exécutais.
– Tourne-toi !
Je me retournais vers le mur et m'appuyais.
Il me caressait les fesses d'une manière plus intrusive qu'au début. Chaque fois qu'un de ses doigts passait sur mon cul, il glissait dedans. Puis c'était deux doigts qui glissaient dans mon cul.
Pour finir ses deux doigts rentraient complètement et ils s'agitaient avec force. Là je me suis tendu. Tous mes muscles se sont tendu, c'était bon, je n'ai pas essayé de me dégager. C'était un plaisir, il me massait la prostate et un immense plaisir me faisait trembler.
Il retirait ses doigts et continuait à me lubrifier le cul, doucement, l'air de rien, il prenait position. Je sentais une pression contre mon cul. Je sentais son corps contre le mien, son ventre contre mon dos. Puis il poussait.
Sa grosse queue appuyait contre mon anus, celui-ci résistait un peu puis finissait par se détendre. Mon cul s'ouvrait et sa queue glissait en moi.
Il y avait un peu de douleur mais il y allait avec beaucoup de douceur. Il y avait un peu de plaisir puis brusquement il y avait un immense plaisir qui envahissait tout mon corps.
Je sentais sa queue glisser lentement et envahir mes entrailles. Mais c'est le plaisir qui se manifestait. Je me souvenais de la première fois, quelques années plus tôt, ça avait été très douloureux. Je me souvenais que par la suite c'était le pied.
Là c'était un tout petit peu de douleur et un immense plaisir. Son ventre s'écrasait sur mes fesses. Je ne savait plus ou j'étais mais j'étais bien. Il poussait et je réagissais, je gémissais de plaisir.
Il se retirait avant de revenir bien à fond avec force. C'est là que j'ai commencé à jouir. Il ressortait aussitôt et revenait puis prolongeait ce mouvement avec plus de force et de régularité. Il me limait le cul avec force.
Quand il poussait, il poussait fort et me remplissait le cul, quand il se retirait, la aussi, il se retirait complètement et je me sentais vidé. Puis il poussait de nouveau.
Je ressentais son souffle contre ma joue, il me regardait et restait très attentif à chacune de mes réactions. Je respirais fort, je respirait vite, je gémissait fort.
Je jouissais.
Il devenait alors plus violent, plus rapide. J'en redemandais, il m'en donnait.
Les coups devenaient violents, encore plus jouissif. Le plaisir était monté tout doucement mais à ce moment il rayonnait dans tout mon corps et je tremblais. Je ne tenais debout que parce qu'il me retenait.
Ses cris répondaient aux miens et c'est là qu'il à joui. Moi je jouissais toujours, il me bourrait le cul avec force au moment ou il éjaculait moi je ne jutais pas, pas une goutte. Mais au moment ou il se retirait, un flot de sperme coulait de ma queue. Je jouissais toujours mais ce n'était pas avec ma queue mais seulement avec mon cul.
Je savais déjà que je pouvais jouir de cette manière, ça faisait longtemps, mais le souvenir me revenait.
Nous avons repris notre douche, chacun prenait soin de l'autre, on s'est séché puis on s'est habillé on était presque en retard pour le premier service au restaurant.
A suivre
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un très beau récit qui attire de plus en plus mon attention vis à vis de la sodomie et de l'éventuel complicité partager .
Trop excitant, j'ai failli tout lâcher , alors que je suis au bureau