En r.t.t., je fais du v.t.t
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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En r.t.t., je fais du v.t.t
Histoire ‘quasiment’ vraie….
Cette semaine, j’ai effectué quelques heures supplémentaires, mon chef m’a accordé mon vendredi après midi en récupération, pour ne pas rester seul a la maison, comme souvent dans ces cas là, j’enfourche mon v.t.t, non pas pour exécuter des exploit dans des chemins accidentés, mais pour me balader le long de la Garonne, derrière Fenouillet, ou je sais trouver soit des hommes plus ou moins bi, soit des couples en mal d’exhibe
Pour être a l’aise j’ai mis un short ‘flottant’, un teeshirt, ainsi qu’une paire de tongs, ainsi je peu être nu très rapidement, me faire toucher et sucer la queue par un mec ne m’effraie pas, par contre je reste passif, mais si je tombe sur un couple en train de baiser ça me comble ! Parfois je suis invité à me joindre à eux
Ce vendredi là il fait très beau et chaud aussi je me traine sur la route, comme je suis a poil sous mon short, au gré du pédalage, ma bite a tendance à se frayer un passage dans ma jambière, le gland décalotté se fait dorer au soleil, je fais quand même gaffe lorsqu’une voiture arrive en face
Arrivé sur le chemin moins fréquenté je ne gêne plus, surtout que l’ambiance des lieux me fait bander à moitié, je remarque vite une voiture de marque stationnée à l’ombre de grands peupliers dans un chemin barré par un poteau en ciment, elle est donc venue par l’autre coté , je décide de m’approcher pour voir si c’est un couple en ‘ balade ‘, le ou les occupants risquent de me voir arriver de loin car l’avant de du véhicule est face a moi
Pour l’instant je ne distingue qu’une tête, ça ne prouve rien, une autre tête peut être occupée plus bas …. C’est une femme qui est derrière le volant, de longs cheveux roux le prouvent, pour éviter les nids de poules, je fais exprès de passer lentement au ras de la portière dont la vitre est baissée….
Une femme à l’aspect bourgeois, le corsage à moitié déboutonné qui découvre a moitié une poitrine généreuse garnie de taches de rousseurs, c’est donc une vraie rousse ? Des cuisses pleines et blanches, bien découvertes, elle a un portable à son oreille et m’ignore totalement
Après deux cents mètres je décide de faire demi-tour, cette fois je m’arrête et descend de vélo a dix mètres derrière la voiture, je m’approche jusqu'à la portière arrière, elle parle au téléphone et n’a pas l’air contente
- Alors ? Tu viens ou tu ne viens pas ? J’en ai marre d’attendre à la fin ! Si tu ne me rappelle pas d’ici cinq minutes je fous le camp d’ici !
Haha … un rencard manqué ? Ça peut être intéressant …comment aborder cette dame sans la faire fuir… ? Je repars en catimini et reviens a vélo, en sifflotant, bien au milieu du chemin, affin qu’elle me repère, je vais essayer un bobard vieux comme le monde mais qui peut marcher …
- Bonjour madame, vous n’êtes pas en panne au moins ?
- Non, j’attends quelqu’un, laissez moi
- Nous avons beau temps en ce moment n’est-ce pas ?
En tournant la tête a-t-elle aperçu mon membre qui sort du short ? Elle n’ose plus me regarder, et fixe le pare-brise, je reste en extase devant cet étalage de seins et de cuisses
- Vous êtes très belle madame
- Merci, excusez-moi-moi …il fait chaud alors je me suis aérée un peu, je vais y remédier
- NON ! je vous en prie ne cachez pas de si beaux trésors ! je ne vous veux aucun mal, laissez moi vous admirer, je partirais quand vous l’exigerait
Soudain le téléphone sonne …quelle poisse ! ‘Il ‘ va venir …
- QUOI ? Tu le fait exprès ? Cela fait deux fois que tu me pose un lapin, j’ai ai marre, adieu pauvre mec !
- Vous … vous voulez que je vous laisse madame ?
Cette fois elle regarde directement mon entre jambes qui laisse voir ma queue presque rigide
- Non, après tout vous pouvez restez
Est-ce une impression ou bien les genoux se séparent ? Je laisse choir mon vélo et m’accoude a la portière, je lorgne a volonté dans le décolleté qui se soulève a un rythme qui s’est accentué rapidement, cette fois je vois les larges aréoles brunes et deux tétons bien défripés, si j’osais pencher la tête je verrais sans doute l’entrejambe de la femme... mais ?… c’est bien une petite culotte rouge qui git sur le siège d’a coté ? !!
- Vous attendiez un ami ?
- Un connard inintéressant
- Je peux peut être le remplacer ?
- Ne parlez plus …..
J’ai compris le message, parle moins et agis, ma main se pose sur son épaule avant de glisser dans le corsage, la femme s’appuie sur le repose-tête et ferme les yeux, mes doigts jouent avec le téton avant d’envelopper carrément le sein, quand je dis ‘envelopper’ c’est faux ! il est trop gros pour ma paume !
Sa main cherche le poussoir d’ouverture de porte, je lâche une seconde mon butin pour ouvrir la portière en grand, les deux genoux appuyés sur l’entrée, je reprends mes investigations, une main dans le corsage et l’autre entre les cuisses maintenant grandes ouvertes, elle ne parle pas mais ne reste pas inactive, son dossier de siège part en arrière, sûrement actionné par un bouton électrique, mes doigts trouvent une chatte aux lèvres épaisses, dépourvues de toison pubienne, la femme râle lorsque j’introduis aisément deux doigts dans le con détrempé
Les siens dépattent complètement le corsage et remontent la jupe, qui forme maintenant une large ceinture, il reste quelques poils qui oscillent entre le rose et le blond sur le mont de vénus, finement taillés, son corps parsemé de taches de rousseurs est bien enveloppé mais pas corpulent, plutôt très appétissant !
Je fourrage ardemment dans ce vagin avec mes doigts, et je porte mes lèvres vers un téton bon a gaver un nouveau né, elle me presse la tête sur son sein
- Hoooooo ! J’ai trop envie, tète moi bien avant de me bouffer la chatte
- Recule ton siège et écarte-toi vers moi…
Elle pose son mollet gauche sur mon épaule droite, je reçois une bouffée de son odeur intime de rousse en plein nez, c’est bien vrai, leur réputation n’est pas usurpée, elles ont quand même un relent particulier, bien plus iodé qu’une blonde qui parait fade à coté
Néanmoins je ne vais pas passer pour un rigolo, je me jette sur la faille couleur saumon et luisante de rosée, une fois le nez dedans j’oublie l’odeur, je bande comme un âne, elle serre ses cuisses sur mes oreilles à m’étouffer, heureusement un orgasme lui fait ouvrir le compas, j’en profite pour me dégager et lui présente mon zob a sucer, ses yeux s’émerveillent devant mon membre qui se dandine a hauteur de sa bouche
- Tu es bien monté, donne moi ça …. Huuuuuummmmmmmmmmmm
- Gourmande !
Elle a des lèvres confortables et une bonne expérience, je ne sens pas ses dents frotter ma queue, pour aller plus vite a décharger je me branle en même temps, cabré en avant, je lâche tout dans sa gorge, sa langue nettoie mon gland avant de me le rendre, bien soulagé je m’apprête à repartir
- Tu ne veux pas me baiser ? Avec ce con qui s’est décommandé je suis en manque, vient sur moi, enlève tes vêtements, tu n’es pas épais, passe sous le volant
- D’accord, écarte les cuisses, je vais me placer entre les deux
Bloqué a genoux sous le volant, je la fait se positionner a bonne distance du bord afin que ma bite la pénètre, ses deux pieds sur le tableau de bord, sa moule est ouverte en accent circonflexe, en me penchant vers elle je m’emboite a merveille dans son vagin, elle pousse un long soupir et m’agrippe afin de me coller sur elle, la rouquine gémi sous mes coups de reins, au passage je gobe un téton et aspire sans espoir d’avoir de lait !
Je tape dans sa chatte comme un dingue, sa moule dégouline autant que nos corps en sueurs, soudain, son portable sonne, l’ignorant, elle continue de pousser violemment son ventre vers moi, est-ce un pressentiment ? La peur de devoir stopper ma partie de cul ? Toujours est-il que je vide mes burnes dans son vagin en feu, elle tend la main vers le téléphone ….et, encore haletante décroche, j’ai mon oreille suffisamment collée a la sienne pour entendre la conversation….
- Allllo ???? qui-est-ce ?
- Qui est-ce ?? ben c’est moi !! j’arrive dans cinq minutes pour te baiser salope !
- Tu arrive ? mon dieu ….
- Qu’y a –t-il a la fin ? tu n’es pas seule ?
- Si-si, bien sûr, mais je me touchais la minette en t’attendant, arrive vite mon amour !
- Grosse pouffiasse, je vais te tringler et t’enculer comme tu le mérite !
Je me dégage aussi vite que je le peux
- Essuie-toi bien la chatte, je me sauve
- M’essuyez la chatte ? tu plaisante ? il va bouffer ton foutre sans s’en apercevoir ce gros con ! on se revoit ?
- Pour une sodomie ? File-moi vite ton 06……….
Cette semaine, j’ai effectué quelques heures supplémentaires, mon chef m’a accordé mon vendredi après midi en récupération, pour ne pas rester seul a la maison, comme souvent dans ces cas là, j’enfourche mon v.t.t, non pas pour exécuter des exploit dans des chemins accidentés, mais pour me balader le long de la Garonne, derrière Fenouillet, ou je sais trouver soit des hommes plus ou moins bi, soit des couples en mal d’exhibe
Pour être a l’aise j’ai mis un short ‘flottant’, un teeshirt, ainsi qu’une paire de tongs, ainsi je peu être nu très rapidement, me faire toucher et sucer la queue par un mec ne m’effraie pas, par contre je reste passif, mais si je tombe sur un couple en train de baiser ça me comble ! Parfois je suis invité à me joindre à eux
Ce vendredi là il fait très beau et chaud aussi je me traine sur la route, comme je suis a poil sous mon short, au gré du pédalage, ma bite a tendance à se frayer un passage dans ma jambière, le gland décalotté se fait dorer au soleil, je fais quand même gaffe lorsqu’une voiture arrive en face
Arrivé sur le chemin moins fréquenté je ne gêne plus, surtout que l’ambiance des lieux me fait bander à moitié, je remarque vite une voiture de marque stationnée à l’ombre de grands peupliers dans un chemin barré par un poteau en ciment, elle est donc venue par l’autre coté , je décide de m’approcher pour voir si c’est un couple en ‘ balade ‘, le ou les occupants risquent de me voir arriver de loin car l’avant de du véhicule est face a moi
Pour l’instant je ne distingue qu’une tête, ça ne prouve rien, une autre tête peut être occupée plus bas …. C’est une femme qui est derrière le volant, de longs cheveux roux le prouvent, pour éviter les nids de poules, je fais exprès de passer lentement au ras de la portière dont la vitre est baissée….
Une femme à l’aspect bourgeois, le corsage à moitié déboutonné qui découvre a moitié une poitrine généreuse garnie de taches de rousseurs, c’est donc une vraie rousse ? Des cuisses pleines et blanches, bien découvertes, elle a un portable à son oreille et m’ignore totalement
Après deux cents mètres je décide de faire demi-tour, cette fois je m’arrête et descend de vélo a dix mètres derrière la voiture, je m’approche jusqu'à la portière arrière, elle parle au téléphone et n’a pas l’air contente
- Alors ? Tu viens ou tu ne viens pas ? J’en ai marre d’attendre à la fin ! Si tu ne me rappelle pas d’ici cinq minutes je fous le camp d’ici !
Haha … un rencard manqué ? Ça peut être intéressant …comment aborder cette dame sans la faire fuir… ? Je repars en catimini et reviens a vélo, en sifflotant, bien au milieu du chemin, affin qu’elle me repère, je vais essayer un bobard vieux comme le monde mais qui peut marcher …
- Bonjour madame, vous n’êtes pas en panne au moins ?
- Non, j’attends quelqu’un, laissez moi
- Nous avons beau temps en ce moment n’est-ce pas ?
En tournant la tête a-t-elle aperçu mon membre qui sort du short ? Elle n’ose plus me regarder, et fixe le pare-brise, je reste en extase devant cet étalage de seins et de cuisses
- Vous êtes très belle madame
- Merci, excusez-moi-moi …il fait chaud alors je me suis aérée un peu, je vais y remédier
- NON ! je vous en prie ne cachez pas de si beaux trésors ! je ne vous veux aucun mal, laissez moi vous admirer, je partirais quand vous l’exigerait
Soudain le téléphone sonne …quelle poisse ! ‘Il ‘ va venir …
- QUOI ? Tu le fait exprès ? Cela fait deux fois que tu me pose un lapin, j’ai ai marre, adieu pauvre mec !
- Vous … vous voulez que je vous laisse madame ?
Cette fois elle regarde directement mon entre jambes qui laisse voir ma queue presque rigide
- Non, après tout vous pouvez restez
Est-ce une impression ou bien les genoux se séparent ? Je laisse choir mon vélo et m’accoude a la portière, je lorgne a volonté dans le décolleté qui se soulève a un rythme qui s’est accentué rapidement, cette fois je vois les larges aréoles brunes et deux tétons bien défripés, si j’osais pencher la tête je verrais sans doute l’entrejambe de la femme... mais ?… c’est bien une petite culotte rouge qui git sur le siège d’a coté ? !!
- Vous attendiez un ami ?
- Un connard inintéressant
- Je peux peut être le remplacer ?
- Ne parlez plus …..
J’ai compris le message, parle moins et agis, ma main se pose sur son épaule avant de glisser dans le corsage, la femme s’appuie sur le repose-tête et ferme les yeux, mes doigts jouent avec le téton avant d’envelopper carrément le sein, quand je dis ‘envelopper’ c’est faux ! il est trop gros pour ma paume !
Sa main cherche le poussoir d’ouverture de porte, je lâche une seconde mon butin pour ouvrir la portière en grand, les deux genoux appuyés sur l’entrée, je reprends mes investigations, une main dans le corsage et l’autre entre les cuisses maintenant grandes ouvertes, elle ne parle pas mais ne reste pas inactive, son dossier de siège part en arrière, sûrement actionné par un bouton électrique, mes doigts trouvent une chatte aux lèvres épaisses, dépourvues de toison pubienne, la femme râle lorsque j’introduis aisément deux doigts dans le con détrempé
Les siens dépattent complètement le corsage et remontent la jupe, qui forme maintenant une large ceinture, il reste quelques poils qui oscillent entre le rose et le blond sur le mont de vénus, finement taillés, son corps parsemé de taches de rousseurs est bien enveloppé mais pas corpulent, plutôt très appétissant !
Je fourrage ardemment dans ce vagin avec mes doigts, et je porte mes lèvres vers un téton bon a gaver un nouveau né, elle me presse la tête sur son sein
- Hoooooo ! J’ai trop envie, tète moi bien avant de me bouffer la chatte
- Recule ton siège et écarte-toi vers moi…
Elle pose son mollet gauche sur mon épaule droite, je reçois une bouffée de son odeur intime de rousse en plein nez, c’est bien vrai, leur réputation n’est pas usurpée, elles ont quand même un relent particulier, bien plus iodé qu’une blonde qui parait fade à coté
Néanmoins je ne vais pas passer pour un rigolo, je me jette sur la faille couleur saumon et luisante de rosée, une fois le nez dedans j’oublie l’odeur, je bande comme un âne, elle serre ses cuisses sur mes oreilles à m’étouffer, heureusement un orgasme lui fait ouvrir le compas, j’en profite pour me dégager et lui présente mon zob a sucer, ses yeux s’émerveillent devant mon membre qui se dandine a hauteur de sa bouche
- Tu es bien monté, donne moi ça …. Huuuuuummmmmmmmmmmm
- Gourmande !
Elle a des lèvres confortables et une bonne expérience, je ne sens pas ses dents frotter ma queue, pour aller plus vite a décharger je me branle en même temps, cabré en avant, je lâche tout dans sa gorge, sa langue nettoie mon gland avant de me le rendre, bien soulagé je m’apprête à repartir
- Tu ne veux pas me baiser ? Avec ce con qui s’est décommandé je suis en manque, vient sur moi, enlève tes vêtements, tu n’es pas épais, passe sous le volant
- D’accord, écarte les cuisses, je vais me placer entre les deux
Bloqué a genoux sous le volant, je la fait se positionner a bonne distance du bord afin que ma bite la pénètre, ses deux pieds sur le tableau de bord, sa moule est ouverte en accent circonflexe, en me penchant vers elle je m’emboite a merveille dans son vagin, elle pousse un long soupir et m’agrippe afin de me coller sur elle, la rouquine gémi sous mes coups de reins, au passage je gobe un téton et aspire sans espoir d’avoir de lait !
Je tape dans sa chatte comme un dingue, sa moule dégouline autant que nos corps en sueurs, soudain, son portable sonne, l’ignorant, elle continue de pousser violemment son ventre vers moi, est-ce un pressentiment ? La peur de devoir stopper ma partie de cul ? Toujours est-il que je vide mes burnes dans son vagin en feu, elle tend la main vers le téléphone ….et, encore haletante décroche, j’ai mon oreille suffisamment collée a la sienne pour entendre la conversation….
- Allllo ???? qui-est-ce ?
- Qui est-ce ?? ben c’est moi !! j’arrive dans cinq minutes pour te baiser salope !
- Tu arrive ? mon dieu ….
- Qu’y a –t-il a la fin ? tu n’es pas seule ?
- Si-si, bien sûr, mais je me touchais la minette en t’attendant, arrive vite mon amour !
- Grosse pouffiasse, je vais te tringler et t’enculer comme tu le mérite !
Je me dégage aussi vite que je le peux
- Essuie-toi bien la chatte, je me sauve
- M’essuyez la chatte ? tu plaisante ? il va bouffer ton foutre sans s’en apercevoir ce gros con ! on se revoit ?
- Pour une sodomie ? File-moi vite ton 06……….
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comme toujours ,très bien écrit
Quel plaisir de te relire à la première personne ! Comme dans tes premières histoires. Le côté vécu est toujours plus excitant ... Vivement une entre hommes ça fait si longtemps ...
Est-ce qu'il y aura une suite ?