En route pour Olympie, chez Priape (suite)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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En route pour Olympie, chez Priape (suite)
L'Odyssée de la Belle Hélène - En route pour Olympie, chez Priape (suite) –
La soirée se poursuivait à la lueur des torches, tenues par des esclaves mâles entièrement nus, formant un vaste cercle autour de l'espace où Clytia et trois mâles se livraient aux jeux les plus impudiques. Assise sur la verge tendue d'un mâle allongé sur le sol, l'esclave au crâne rasé suçait en même temps un autre mâle debout face à elle, tandis que le troisième se tenait derrière elle et caressait ses seins lourds, érigeant ses tétons en les pinçant durement. Les corps parfaits, les positions étudiées offraient un magnifique spectacle qui excitait fortement Priape dont le sexe demeurait en permanence dur et tendu, malgré les efforts redoublés de ses esclaves pour le sucer tout au long de la soirée. Hélène quant à elle, appréciait de voir combien sa jeune esclave, était si rapidement devenue une vraie chienne en chaleur, acceptant de se livrer au plus lubriques ébats sans hésitation et même avec ferveur, oubliant son éducation d'aristocrate spartiate pour s'épanouir en esclave totalement dévouée à L'Unique Volonté de sa Maîtresse... Priape n'avait pas oublié ses projets du début de soirée. Repoussant l'esclave qui s'escrimait entre ses cuisses, il se tourna vers Hélène :
- La soirée est déjà bien avancée très chère. Et vous m'avez dit vouloir nous quitter fort tôt demain, consentiriez-vous à me confier cette esclave au crâne rasé pour la nuit. Naturellement, tous mes esclaves mâles... ou femelles, demeurent entièrement à Votre disposition, glissa-t-il avec un large sourire qui soulignait son regard brillant d'envie... (Hélène acquiesça aimablement)- Clytia est toute à vous jusqu'à l'heure de notre départ, comme promis. Quant à moi... je vais user de ce choix que vous avez la bonté de m'offrir.
Elle claqua dans ses mains, mettant instantanément fin au spectacle, à l'instant même où l'esclave qui se faisait sucer laissait échapper un flot aussi épais qu'abondant de semence sur le visage de Clytia. Les trois mâles s'éclipsèrent promptement, tandis que Clytia essuyait son visage avec ses doigts pour lécher et avaler assez rapidement le foutre épais dégoulinant sur son front et ses joues, avant de se rendre en ondulant son fessier à quatre pattes jusqu'aux Maîtres qui l'observaient. Les yeux baissés, elle vint se prosterner devant les sièges d’Hélène et Priape, mettant en valeur la courbe de ses reins creusés et sa croupe rehaussée :
- Tourne donc un peu, exigea la voix douce mais ferme de Priape.
Clytia pivota donc ainsi qu'on le lui ordonnait, afin d'offrir à leur hôte une vue sans obstacle sur les deux belles rondeurs de sa croupe. Elle se tenait immobile, parfaitement offerte sous le regard très intéressé de Priape et satisfait de sa si Belle Maîtresse... Hélène se leva :
- Merci pour tout, je vous laisse avec celle-ci, en formant le voeu que vous en tiriez tous les plaisirs qu'il vous plaira d'en vouloir exiger... Elle est toute à vous jusqu'à notre départ... Quant à moi, je sais que je ne serai pas déçue...
La Belle Hélène se leva et s'éloigna vers la petite demeure où l'attendaient sa chambre et trois esclaves mâles sélectionnés un peu plus tôt pour être livrés à tous ses désirs et exigences. Tandis qu'elle s'éloignait du jardin, Priape déjà se penchait sur Clytia poussant sa verge en permanente érection dans le sombre et élégant sillon entre ces belles fesses charnues qui l'excitaient tant ! Un coup sec lui suffit à la pénétrer, déjà bien ouverte qu'elle était par les verges des esclaves auxquels elle avait été livrée durant les heures précédentes. Avec un gémissement qui ressemblait à un rugissement, Priape entra en elle, poussant aussi loin qu'il le pouvait, collant son corps lourd et gras contre la croupe ferme et musclée de l'esclave qui se livrait à lui sans la moindre retenue. Priape poussait et poussait encore, sa verge s'enfonçant dans le cul dilaté de la belle femelle. Il la maintenait par les épaules, afin qu'elle ne put en aucun cas se détacher de cette étreinte profonde et de maintenir son épaisse queue au plus profond de ses entrailles... Il sentait que déjà, la jouissance approchait. Mais il savait aussi que ce n'était que le début, car la Malédiction de la Déesse Héra le condamnait à ne trouver jamais le repos du corps, torturé sans répit par ces puissantes érections qui animaient sans cesse sa raide verge. Quand il se mit à jouir en de nombreux râles puissants, longs, forts de tonalité, Clytia se raidit, sentant le flot de semence emplir son ventre. La noble spartiate devenue esclave inspira fort, se préparant à subir encore maints et maints autres assauts, connaissant par ce que lui avait dit sa Maîtresse, la fameuse Malédiction Divine frappant celui qui venait, à forts rugissements bestiaux, de jouir en elle...
Priape avait bien choisi. Les trois esclaves mâles se tenaient droits, immobiles, la tête et les yeux baissés, humblement disponibles pour Celle qui était l'Invitée de leur Maître. Hélène les observait, appréciant leurs corps parfaits, leurs sexes déjà tendus, leurs musculatures déliées. Son hôte, en parfait connaisseur, avait composé un délicieux menu, sélectionnant parmi la petite armée d'esclaves dressés pour le soulager au fil du jour et souvent de la nuit, ses plus beaux éléments. Il y avait là un beau et grand numide à la peau d'ébène, à la musculature bien développée, au crâne lisse et une queue aux dimensions impressionnantes déjà bien raidie et dressée... Mais aussi il y avait un éphèbe grec, aux cheveux bouclés, mince et quelque peu efféminé mais dont la musculature fine était merveilleusement proportionnée et son corps avait été finement huilé car sa peau reluisait d’un brillant éclat, et enfin un superbe et géant barbare brun, au visage carré, au corps massif, il devait approcher les 2 mètres, sa verge longue et épaisse impressionnait avec son gland turgescent d’un rouge sombre ressortant et dominant ce volumineux pic de chair dressé... C'est de lui qu’Hélène s'approcha, le fixant intensément afin de saisir au vol le moindre mouvement. Elle ne dut qu'à Sa si grande expérience des hommes de percevoir le léger tic nerveux que l'homme tentait de juguler sans y parvenir tout à fait. Elle comprit que l'état servile de celui-là était plus récent. Sans doute avait-il été capturé lors d'une bataille assez récente et acheté par Priape... Il n'était pas encore tout à fait dressé et devait prendre sur lui afin de se comporter ainsi que l'exigeait sa nouvelle condition. Les traces persistantes de flagellation sur sa peau brune prouvaient qu'il avait encore besoin d'être dressé, mais cela n'était pas pour déplaire à Hélène, bien au contraire. Hélène s'approcha donc du géant barbare, saisissant son menton entre deux doigts pour l'obliger à fixer son regard, plongeant ainsi son regard dans le sien :
- Esclave, dit-elle lentement en le fixant, tu feras tout ce que j'ordonnerai !
- Oui Maîtresse, se força-t-il à répondre avec un accent étranger et sur un ton aussi calme et déférent que possible- Bien !, s'amusa Hélène, alors à genoux et suce bien la queue de celui-ci, ordonna-t-elle en lui désignant l'éphèbe qui se tenait à côté.
Il fallut à la Belle appuyer sur l'épaule pour que le viril esclave obéisse et, s'agenouillant devant le frêle esclave, enfouisse son visage entre ses cuisses et saisisse sa verge entre ses lèvres pour le sucer ainsi que cela lui avait été ordonné. D'un geste, Hélène fit signe au noir d'aller chercher une corde et Elle s'en servit pour lier les poignets du barbare dans le dos.
- Garde cette jolie petite queue en bouche et suce la tant que je ne décide pas que tu dois cesser... et s'il jouit dans ta bouche, ne t'arrête pas... dit-elle d'un ton enjoué tout en posant sa main fine et douce sur la verge dressée du troisième esclave qui bandait de façon spectaculaire. - Et toi, vient par-là, dit-elle en l'entraînant vers sa couche...
L'esclave à la peau d'ébène était aussi doux que musclé. Parfaitement dressé afin de combler tous les désirs de Priape, il avait des gestes attentionnés, une bouche de velours, une langue tellement habile ! Hélène prit plaisir à s'abandonner aux caresses buccales de cet homme docile qui n'avait pour unique but que la jouissance à Elle et à Elle Seule. Après de longs et savoureux léchages de langue sur et dans le sexe de la Belle Hélène, celle-ci jouit donc, et même plusieurs fois, d'abord par sa langue, puis par sa belle verge aussi épaisse que dure qu'elle accueillit entre ses cuisses si blanches que le contraste entre les deux peaux ainsi mêlées était saisissant. Mais tout en se laissant emporter par le plaisir, Hélène gardait un oeil sur les deux autres esclaves. L'éphèbe se tenait dos au mur, tendu, gémissant doucement tandis que le musculeux barbare le suçait depuis bien longtemps. Le jeune homme avait déjà joui plusieurs fois, les érections devenant de plus en plus brèves, de moins en moins rigides... mais laissant s'écouler lentement un flot de liquide translucide dans la bouche du barbare. Ce dernier était visiblement tendu. Tous les muscles de son dos et de ses cuisses étaient saillants. Ses poignets liés serrés rougissaient comme ses poings. Il obéissait mais subissait visiblement comme une profonde humiliation de devoir ainsi sucer la queue d'un éphèbe dont il n'aurait fait qu'une bouchée lorsqu'il était encore un homme libre.
Ayant fort agréablement joui des efforts redoublés de l'esclave noir, Hélène le repoussa en lui intimant l'ordre d'aller s'agenouiller dans un coin de la pièce et d'y demeurer en observant le plus absolu silence. Elle s'approcha alors des deux autres mâles serviles fournis par son hôte. D'un coup de pied méprisant, elle repoussa le barbare qui fit un visible effort pour se recroqueviller et attendre aussi humblement que son dressage encore inachevé le lui permettait. Hélène quant à Elle s'était approchée de l'éphèbe qui se tenait dos au mur. Elle prit dans Sa main le petit sexe maintenant devenu flasque et le serra sans ménagement, sentant encore quelques gouttes de semence venir souiller sa main, qu'Elle fit lécher au jeune homme efféminé. Elle lui caressa le visage. Il était fin, élégant, glabre, une silhouette presque féminine. Hélène était légèrement émue par la fragilité charmante qui émanait de lui... D’abord, Hélène lui sourit aimablement, comme si elle craquait de gentillesse puis se reprenant en une mimique plus sévère, Hélène le gifla, lui faisant ainsi comprendre que sa sympathie exprimée par son gentil sourire n’occultait en rien sa position de Domina… En ce début de nuit, après avoir cédé aux plus simples et suaves plaisirs charnels, Elle avait envie que l'on prenne soin d'Elle, qu'on s'occupe de son confort. En quelques ordres, Hélène mit en place ce qui Lui convenait. l'esclave noir, debout, tenait une plaque de métal si parfaitement poli que le beau visage d'Hélène s'y reflétait à merveille, l’esclave fut mis à quatre pattes, un foulard lui bandant les yeux, un autre lui servant de bâillon, le barbare faisait ainsi office de siège, et fut prévenu qu'au moindre mouvement, il serait fouetté. Quant à l'éphèbe, muni d'une brosse, il s'affairait sur l'opulente et sublime chevelure dorée de Celle qui avait été Reine de Sparte, Reine du Coeur des Troyens et Cause de leur chute sanglante…
Longuement, Hélène s'abandonna ainsi au plaisir des gestes précis et attentionnés de l'éphèbe qui la coiffait lentement avec beaucoup de douceur. Elle était confortablement assise sur le corps musculeux du barbare dont Hélène avait délicieusement conscience de l'humiliation qu'elle lui imposait. L'esclave à la peau d'ébène, qui Lui avait donné tant de plaisir demeurait quant à lui parfaitement immobile, tenant le miroir de métal juste à la bonne hauteur. C'était bien ainsi qu’Hélène envisageait le futur, un jour lointain. Entourée d'esclaves parfaitement dressés pour toutes les tâches du quotidien. Un troupeau composé avec délectation de meubles vivants, dressés à effectuer chacun une fonction précise et tous dévoués corps et âme à Son confort et Ses plaisirs. Un jour, certes, mais pas tout de suite car La Belle favorite des Dieux (de certains en tout cas, car d'autres la maudissaient !) avait encore un certain nombre de choses à accomplir dans ses projets. Elle ne savait d'ailleurs pas précisément lesquelles ! Mais depuis qu'elle avait retrouvé la mémoire et avait quitté cette avilissante identité, d'êta, l'esclave des plaisirs, elle savait que son destin devait suivre le chemin que lui indiqueraient les Dieux. Elle le pressentait fortement de prendre et suivre la route, sa destinée, comme si la Volonté Divine lui avait imposé de quitter Sparte... Pour l'instant, Ceux-ci, lui avaient indiqué le chemin d'Olympie, mais pour cela elle n’avait entendu aucune Voix Divine lui parler dans son esprit, juste une puissante intuition en elle, intuition instinctive inculquée seulement par les Dieux à s’y rendre. Et elle ne pouvait se détourner de ce qui avait été décidé pour elle, par cette Volonté Divine...
C'est donc vers Olympie qu'elle se dirigeait, accompagnée de Clytia, son esclave conquise dans le lit même de son ex-époux Ménélas qu'elle avait définitivement humilié aux yeux de tout Sparte. La suite... Elle verrait bien, elle se sentait comme sécurisée par les Dieux, protégée... Pour l'instant, son seul souci était de jouir au mieux de ces trois délicieux esclaves mâles que Priape lui avait offerts pour la nuit. Hélène se fit encore longuement masser par l'esclave noir, puis le renvoya ainsi que l'éphèbe, demeurant seule avec le barbare encore mal dégrossi. C'est en tenant fermement une baguette souple de roseau qu'elle referma la porte de sa chambre et contempla l'esclave musclé, aux yeux encore sauvages qui attendait nu et agenouillé au milieu de la pièce. Elle s'approcha et lui cingla brusquement les épaules :
- Esclave, lança-t-elle, Tu n'es plus rien. Juste une chose, un objet. En es-tu conscient ? (de la main, elle força le barbare à redresser la tête et à La regarder) - Qu'es tu ?
- Un esclave... Maîtresse, prononça-t-il (Elle le gifla à la volée)- Plus fort ! Qu'es tu ?
- Un esclave, dit-il plus fort recevant immédiatement de nouvelles gifles qui claquèrent de façon sonore à travers la pièce- Même pas un esclave en fait, juste un objet mal équarri qu'il faut encore façonner pour qu'il devienne utile.
Hélène tournait autour de l'homme agenouillé aux joues rougies. Elle observait chaque mouvement imperceptible de ce corps magnifiquement musclé... Parfois elle lui assénait un coup de baguette, ou plusieurs... Elle vint face à lui, pressant son intimité contre son visage :
- Lèche !, ordonna-t-elle sachant qu'une telle pratique était méprisée par les virils guerriers tels que ce qu'il avait été, Lèche esclave !
Après un bref instant d'hésitation et une paire de gifles, l'esclave s'exécuta, dardant sa langue épaisse et humide entre les lèvres intimes et rosées de La Belle Hélène, encore débordante de la semence de l'esclave noir mêlée aux sécrétions féminines. Hélène avait bloqué le visage de l'esclave entre ses cuisses, lentement elle le força à s'allonger sur le sol, s'asseyant sur son visage pour qu'il soit entièrement couvert par Elle... S'il avait semblé réticent un bref instant, s'attirant encore quelques coups de la baguette de roseau, l'esclave n'exprimait plus aucune résistance, s'abandonnant à l'exigence de La Maîtresse qui le chevauchait, s'appliquant à Lui donner du plaisir, fouillant dans ces chaires humides et dégoulinantes, savourant avec délice ces humeurs parfumées qui coulaient lentement dans sa gorge. Oublié le barbare, le grand guerrier, il n'était plus qu'un mâle docile, un objet de plaisir pour Celle qui par Son Autorité et Sa Beauté avaient définitivement asservi la brute. Hélène sentait cet abandon, elle savait qu'il était enfin vraiment et définitivement vaincu. Pour s'en assurer et par pur plaisir pervers aussi, elle se laissa totalement aller, car après avoir laissé son orgasme puissant éclater, c’est en lui urinant abondamment sur ce visage coincé sous Elle, entre Ses cuisses qu’elle l’humilia encore plus. Elle constata avec bonheur qu'il n'y avait alors chez lui plus aucune réticence. Il recevait docilement cette pluie dorée qui dégoulinait dans sa bouche et sur son visage... Il s'y abreuvait même avec reconnaissance. Une fois encore, Hélène savourait les délices du Pouvoir dont Elle était investie et lequel Pouvoir était le ‘’cadeau’’ des Dieux…
(A suivre…)
La soirée se poursuivait à la lueur des torches, tenues par des esclaves mâles entièrement nus, formant un vaste cercle autour de l'espace où Clytia et trois mâles se livraient aux jeux les plus impudiques. Assise sur la verge tendue d'un mâle allongé sur le sol, l'esclave au crâne rasé suçait en même temps un autre mâle debout face à elle, tandis que le troisième se tenait derrière elle et caressait ses seins lourds, érigeant ses tétons en les pinçant durement. Les corps parfaits, les positions étudiées offraient un magnifique spectacle qui excitait fortement Priape dont le sexe demeurait en permanence dur et tendu, malgré les efforts redoublés de ses esclaves pour le sucer tout au long de la soirée. Hélène quant à elle, appréciait de voir combien sa jeune esclave, était si rapidement devenue une vraie chienne en chaleur, acceptant de se livrer au plus lubriques ébats sans hésitation et même avec ferveur, oubliant son éducation d'aristocrate spartiate pour s'épanouir en esclave totalement dévouée à L'Unique Volonté de sa Maîtresse... Priape n'avait pas oublié ses projets du début de soirée. Repoussant l'esclave qui s'escrimait entre ses cuisses, il se tourna vers Hélène :
- La soirée est déjà bien avancée très chère. Et vous m'avez dit vouloir nous quitter fort tôt demain, consentiriez-vous à me confier cette esclave au crâne rasé pour la nuit. Naturellement, tous mes esclaves mâles... ou femelles, demeurent entièrement à Votre disposition, glissa-t-il avec un large sourire qui soulignait son regard brillant d'envie... (Hélène acquiesça aimablement)- Clytia est toute à vous jusqu'à l'heure de notre départ, comme promis. Quant à moi... je vais user de ce choix que vous avez la bonté de m'offrir.
Elle claqua dans ses mains, mettant instantanément fin au spectacle, à l'instant même où l'esclave qui se faisait sucer laissait échapper un flot aussi épais qu'abondant de semence sur le visage de Clytia. Les trois mâles s'éclipsèrent promptement, tandis que Clytia essuyait son visage avec ses doigts pour lécher et avaler assez rapidement le foutre épais dégoulinant sur son front et ses joues, avant de se rendre en ondulant son fessier à quatre pattes jusqu'aux Maîtres qui l'observaient. Les yeux baissés, elle vint se prosterner devant les sièges d’Hélène et Priape, mettant en valeur la courbe de ses reins creusés et sa croupe rehaussée :
- Tourne donc un peu, exigea la voix douce mais ferme de Priape.
Clytia pivota donc ainsi qu'on le lui ordonnait, afin d'offrir à leur hôte une vue sans obstacle sur les deux belles rondeurs de sa croupe. Elle se tenait immobile, parfaitement offerte sous le regard très intéressé de Priape et satisfait de sa si Belle Maîtresse... Hélène se leva :
- Merci pour tout, je vous laisse avec celle-ci, en formant le voeu que vous en tiriez tous les plaisirs qu'il vous plaira d'en vouloir exiger... Elle est toute à vous jusqu'à notre départ... Quant à moi, je sais que je ne serai pas déçue...
La Belle Hélène se leva et s'éloigna vers la petite demeure où l'attendaient sa chambre et trois esclaves mâles sélectionnés un peu plus tôt pour être livrés à tous ses désirs et exigences. Tandis qu'elle s'éloignait du jardin, Priape déjà se penchait sur Clytia poussant sa verge en permanente érection dans le sombre et élégant sillon entre ces belles fesses charnues qui l'excitaient tant ! Un coup sec lui suffit à la pénétrer, déjà bien ouverte qu'elle était par les verges des esclaves auxquels elle avait été livrée durant les heures précédentes. Avec un gémissement qui ressemblait à un rugissement, Priape entra en elle, poussant aussi loin qu'il le pouvait, collant son corps lourd et gras contre la croupe ferme et musclée de l'esclave qui se livrait à lui sans la moindre retenue. Priape poussait et poussait encore, sa verge s'enfonçant dans le cul dilaté de la belle femelle. Il la maintenait par les épaules, afin qu'elle ne put en aucun cas se détacher de cette étreinte profonde et de maintenir son épaisse queue au plus profond de ses entrailles... Il sentait que déjà, la jouissance approchait. Mais il savait aussi que ce n'était que le début, car la Malédiction de la Déesse Héra le condamnait à ne trouver jamais le repos du corps, torturé sans répit par ces puissantes érections qui animaient sans cesse sa raide verge. Quand il se mit à jouir en de nombreux râles puissants, longs, forts de tonalité, Clytia se raidit, sentant le flot de semence emplir son ventre. La noble spartiate devenue esclave inspira fort, se préparant à subir encore maints et maints autres assauts, connaissant par ce que lui avait dit sa Maîtresse, la fameuse Malédiction Divine frappant celui qui venait, à forts rugissements bestiaux, de jouir en elle...
Priape avait bien choisi. Les trois esclaves mâles se tenaient droits, immobiles, la tête et les yeux baissés, humblement disponibles pour Celle qui était l'Invitée de leur Maître. Hélène les observait, appréciant leurs corps parfaits, leurs sexes déjà tendus, leurs musculatures déliées. Son hôte, en parfait connaisseur, avait composé un délicieux menu, sélectionnant parmi la petite armée d'esclaves dressés pour le soulager au fil du jour et souvent de la nuit, ses plus beaux éléments. Il y avait là un beau et grand numide à la peau d'ébène, à la musculature bien développée, au crâne lisse et une queue aux dimensions impressionnantes déjà bien raidie et dressée... Mais aussi il y avait un éphèbe grec, aux cheveux bouclés, mince et quelque peu efféminé mais dont la musculature fine était merveilleusement proportionnée et son corps avait été finement huilé car sa peau reluisait d’un brillant éclat, et enfin un superbe et géant barbare brun, au visage carré, au corps massif, il devait approcher les 2 mètres, sa verge longue et épaisse impressionnait avec son gland turgescent d’un rouge sombre ressortant et dominant ce volumineux pic de chair dressé... C'est de lui qu’Hélène s'approcha, le fixant intensément afin de saisir au vol le moindre mouvement. Elle ne dut qu'à Sa si grande expérience des hommes de percevoir le léger tic nerveux que l'homme tentait de juguler sans y parvenir tout à fait. Elle comprit que l'état servile de celui-là était plus récent. Sans doute avait-il été capturé lors d'une bataille assez récente et acheté par Priape... Il n'était pas encore tout à fait dressé et devait prendre sur lui afin de se comporter ainsi que l'exigeait sa nouvelle condition. Les traces persistantes de flagellation sur sa peau brune prouvaient qu'il avait encore besoin d'être dressé, mais cela n'était pas pour déplaire à Hélène, bien au contraire. Hélène s'approcha donc du géant barbare, saisissant son menton entre deux doigts pour l'obliger à fixer son regard, plongeant ainsi son regard dans le sien :
- Esclave, dit-elle lentement en le fixant, tu feras tout ce que j'ordonnerai !
- Oui Maîtresse, se força-t-il à répondre avec un accent étranger et sur un ton aussi calme et déférent que possible- Bien !, s'amusa Hélène, alors à genoux et suce bien la queue de celui-ci, ordonna-t-elle en lui désignant l'éphèbe qui se tenait à côté.
Il fallut à la Belle appuyer sur l'épaule pour que le viril esclave obéisse et, s'agenouillant devant le frêle esclave, enfouisse son visage entre ses cuisses et saisisse sa verge entre ses lèvres pour le sucer ainsi que cela lui avait été ordonné. D'un geste, Hélène fit signe au noir d'aller chercher une corde et Elle s'en servit pour lier les poignets du barbare dans le dos.
- Garde cette jolie petite queue en bouche et suce la tant que je ne décide pas que tu dois cesser... et s'il jouit dans ta bouche, ne t'arrête pas... dit-elle d'un ton enjoué tout en posant sa main fine et douce sur la verge dressée du troisième esclave qui bandait de façon spectaculaire. - Et toi, vient par-là, dit-elle en l'entraînant vers sa couche...
L'esclave à la peau d'ébène était aussi doux que musclé. Parfaitement dressé afin de combler tous les désirs de Priape, il avait des gestes attentionnés, une bouche de velours, une langue tellement habile ! Hélène prit plaisir à s'abandonner aux caresses buccales de cet homme docile qui n'avait pour unique but que la jouissance à Elle et à Elle Seule. Après de longs et savoureux léchages de langue sur et dans le sexe de la Belle Hélène, celle-ci jouit donc, et même plusieurs fois, d'abord par sa langue, puis par sa belle verge aussi épaisse que dure qu'elle accueillit entre ses cuisses si blanches que le contraste entre les deux peaux ainsi mêlées était saisissant. Mais tout en se laissant emporter par le plaisir, Hélène gardait un oeil sur les deux autres esclaves. L'éphèbe se tenait dos au mur, tendu, gémissant doucement tandis que le musculeux barbare le suçait depuis bien longtemps. Le jeune homme avait déjà joui plusieurs fois, les érections devenant de plus en plus brèves, de moins en moins rigides... mais laissant s'écouler lentement un flot de liquide translucide dans la bouche du barbare. Ce dernier était visiblement tendu. Tous les muscles de son dos et de ses cuisses étaient saillants. Ses poignets liés serrés rougissaient comme ses poings. Il obéissait mais subissait visiblement comme une profonde humiliation de devoir ainsi sucer la queue d'un éphèbe dont il n'aurait fait qu'une bouchée lorsqu'il était encore un homme libre.
Ayant fort agréablement joui des efforts redoublés de l'esclave noir, Hélène le repoussa en lui intimant l'ordre d'aller s'agenouiller dans un coin de la pièce et d'y demeurer en observant le plus absolu silence. Elle s'approcha alors des deux autres mâles serviles fournis par son hôte. D'un coup de pied méprisant, elle repoussa le barbare qui fit un visible effort pour se recroqueviller et attendre aussi humblement que son dressage encore inachevé le lui permettait. Hélène quant à Elle s'était approchée de l'éphèbe qui se tenait dos au mur. Elle prit dans Sa main le petit sexe maintenant devenu flasque et le serra sans ménagement, sentant encore quelques gouttes de semence venir souiller sa main, qu'Elle fit lécher au jeune homme efféminé. Elle lui caressa le visage. Il était fin, élégant, glabre, une silhouette presque féminine. Hélène était légèrement émue par la fragilité charmante qui émanait de lui... D’abord, Hélène lui sourit aimablement, comme si elle craquait de gentillesse puis se reprenant en une mimique plus sévère, Hélène le gifla, lui faisant ainsi comprendre que sa sympathie exprimée par son gentil sourire n’occultait en rien sa position de Domina… En ce début de nuit, après avoir cédé aux plus simples et suaves plaisirs charnels, Elle avait envie que l'on prenne soin d'Elle, qu'on s'occupe de son confort. En quelques ordres, Hélène mit en place ce qui Lui convenait. l'esclave noir, debout, tenait une plaque de métal si parfaitement poli que le beau visage d'Hélène s'y reflétait à merveille, l’esclave fut mis à quatre pattes, un foulard lui bandant les yeux, un autre lui servant de bâillon, le barbare faisait ainsi office de siège, et fut prévenu qu'au moindre mouvement, il serait fouetté. Quant à l'éphèbe, muni d'une brosse, il s'affairait sur l'opulente et sublime chevelure dorée de Celle qui avait été Reine de Sparte, Reine du Coeur des Troyens et Cause de leur chute sanglante…
Longuement, Hélène s'abandonna ainsi au plaisir des gestes précis et attentionnés de l'éphèbe qui la coiffait lentement avec beaucoup de douceur. Elle était confortablement assise sur le corps musculeux du barbare dont Hélène avait délicieusement conscience de l'humiliation qu'elle lui imposait. L'esclave à la peau d'ébène, qui Lui avait donné tant de plaisir demeurait quant à lui parfaitement immobile, tenant le miroir de métal juste à la bonne hauteur. C'était bien ainsi qu’Hélène envisageait le futur, un jour lointain. Entourée d'esclaves parfaitement dressés pour toutes les tâches du quotidien. Un troupeau composé avec délectation de meubles vivants, dressés à effectuer chacun une fonction précise et tous dévoués corps et âme à Son confort et Ses plaisirs. Un jour, certes, mais pas tout de suite car La Belle favorite des Dieux (de certains en tout cas, car d'autres la maudissaient !) avait encore un certain nombre de choses à accomplir dans ses projets. Elle ne savait d'ailleurs pas précisément lesquelles ! Mais depuis qu'elle avait retrouvé la mémoire et avait quitté cette avilissante identité, d'êta, l'esclave des plaisirs, elle savait que son destin devait suivre le chemin que lui indiqueraient les Dieux. Elle le pressentait fortement de prendre et suivre la route, sa destinée, comme si la Volonté Divine lui avait imposé de quitter Sparte... Pour l'instant, Ceux-ci, lui avaient indiqué le chemin d'Olympie, mais pour cela elle n’avait entendu aucune Voix Divine lui parler dans son esprit, juste une puissante intuition en elle, intuition instinctive inculquée seulement par les Dieux à s’y rendre. Et elle ne pouvait se détourner de ce qui avait été décidé pour elle, par cette Volonté Divine...
C'est donc vers Olympie qu'elle se dirigeait, accompagnée de Clytia, son esclave conquise dans le lit même de son ex-époux Ménélas qu'elle avait définitivement humilié aux yeux de tout Sparte. La suite... Elle verrait bien, elle se sentait comme sécurisée par les Dieux, protégée... Pour l'instant, son seul souci était de jouir au mieux de ces trois délicieux esclaves mâles que Priape lui avait offerts pour la nuit. Hélène se fit encore longuement masser par l'esclave noir, puis le renvoya ainsi que l'éphèbe, demeurant seule avec le barbare encore mal dégrossi. C'est en tenant fermement une baguette souple de roseau qu'elle referma la porte de sa chambre et contempla l'esclave musclé, aux yeux encore sauvages qui attendait nu et agenouillé au milieu de la pièce. Elle s'approcha et lui cingla brusquement les épaules :
- Esclave, lança-t-elle, Tu n'es plus rien. Juste une chose, un objet. En es-tu conscient ? (de la main, elle força le barbare à redresser la tête et à La regarder) - Qu'es tu ?
- Un esclave... Maîtresse, prononça-t-il (Elle le gifla à la volée)- Plus fort ! Qu'es tu ?
- Un esclave, dit-il plus fort recevant immédiatement de nouvelles gifles qui claquèrent de façon sonore à travers la pièce- Même pas un esclave en fait, juste un objet mal équarri qu'il faut encore façonner pour qu'il devienne utile.
Hélène tournait autour de l'homme agenouillé aux joues rougies. Elle observait chaque mouvement imperceptible de ce corps magnifiquement musclé... Parfois elle lui assénait un coup de baguette, ou plusieurs... Elle vint face à lui, pressant son intimité contre son visage :
- Lèche !, ordonna-t-elle sachant qu'une telle pratique était méprisée par les virils guerriers tels que ce qu'il avait été, Lèche esclave !
Après un bref instant d'hésitation et une paire de gifles, l'esclave s'exécuta, dardant sa langue épaisse et humide entre les lèvres intimes et rosées de La Belle Hélène, encore débordante de la semence de l'esclave noir mêlée aux sécrétions féminines. Hélène avait bloqué le visage de l'esclave entre ses cuisses, lentement elle le força à s'allonger sur le sol, s'asseyant sur son visage pour qu'il soit entièrement couvert par Elle... S'il avait semblé réticent un bref instant, s'attirant encore quelques coups de la baguette de roseau, l'esclave n'exprimait plus aucune résistance, s'abandonnant à l'exigence de La Maîtresse qui le chevauchait, s'appliquant à Lui donner du plaisir, fouillant dans ces chaires humides et dégoulinantes, savourant avec délice ces humeurs parfumées qui coulaient lentement dans sa gorge. Oublié le barbare, le grand guerrier, il n'était plus qu'un mâle docile, un objet de plaisir pour Celle qui par Son Autorité et Sa Beauté avaient définitivement asservi la brute. Hélène sentait cet abandon, elle savait qu'il était enfin vraiment et définitivement vaincu. Pour s'en assurer et par pur plaisir pervers aussi, elle se laissa totalement aller, car après avoir laissé son orgasme puissant éclater, c’est en lui urinant abondamment sur ce visage coincé sous Elle, entre Ses cuisses qu’elle l’humilia encore plus. Elle constata avec bonheur qu'il n'y avait alors chez lui plus aucune réticence. Il recevait docilement cette pluie dorée qui dégoulinait dans sa bouche et sur son visage... Il s'y abreuvait même avec reconnaissance. Une fois encore, Hélène savourait les délices du Pouvoir dont Elle était investie et lequel Pouvoir était le ‘’cadeau’’ des Dieux…
(A suivre…)
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