En route vers La Calamuchita et… l’adultère.

- Par l'auteur HDS Muse -
Récit érotique écrit par Muse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : En route vers La Calamuchita et… l’adultère. Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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En route vers La Calamuchita et… l’adultère.
Nous voyageons depuis quatre jours et ce matin nous quittons San Luis. Superbe journée ensoleillée à 8h il fait déjà 26°. En route pour le sud de Cordoba et la vallée de la Calamuchita. La route sinueuse longe une rivière ombragée par les eucalyptus et les poivriers. Après quelques kilomètre le GPS nous prévient de prendre à droite la piste que nous avons prévue pour couper au plus court, traverser les cierras, et profiter d’un paysage qui promet. Le 4*4 sera bien utile. Mais avant, JF arrête la voiture pour prendre un stoppeur. Je n’aime pas trop, mais bon pour une fois, et de plus sur ces chemins de montagne deux bras supplémentaires pourraient être utiles pour sortir de passages délicats. Un jeune homme plutôt beau garçon presque timide, brun ténébreux. On se présente rapidement pendant que la piste monte et quitte le paysage verdoyant de la plaine pour l’aridité minérale de la montagne. Julio est étudiant à Cordoba.
Il ponctue le silence pour nous indiquer quelques points particuliers du paysage ou nous questionner sur notre vie argentine.
Après quelques virages un peu serrés, le chemin, moins cahoteux, semble devenir plus rectiligne entre les énormes pierres de lave. JF monte le son du CD qu’il avait éteint lors de l’arrivée de notre passager. Sa main prend la mienne posée sur ma jupe. Il me cajole puis ses doigts glissent sur le tissu, puis vers mon genou. Je me redresse et le retiens un peu. Il reprend ses deux mains pour les passages sinueux puis sa paume revient sur ma peau. Plus insidieux, ses doigts s’écartent, se joignent et glissent. C’est doux, je profite du paysage et des caresses discrètes et sages. Après quelque temps je m’aperçois que ma jupe à glisser et que la main de mon mari dévoile peu à peu mes cuisses. Je rectifie la tenue, me retourne pour une question banale à Julio et vérifie la direction de son regard. Assis au milieu de la banquette arrière, il semble bien qu’il fixe ostensiblement mes jambes. Je regarde JF, concentré sur sa conduite, il me lance un sourire paisible, alors que sa main tendrement me confond. Il fait comme si nous étions deux. Au lieu de m’éloigner je déplace à peine mes jambes pour que mes deux genoux soient à portée de ses tendresses. Le paysage défile grandiose, en pente douce la piste monte.
Il a défait un bouton de la jupe pour mieux envelopper ma peau et découvrir dans le même temps la moitié de mes cuisses alors que je sais maintenant que Julio observe. Je laisse faire. Je souris intérieurement en imaginant les pensées de notre stoppeur.
JF range la voiture pour nous permettre de profiter du paysage. La température extérieure a bien changé, je me blottis contre mon mari. Rapidement de retour au chaud, on repart. Je me saisi de sa main qu’il allait poser glacée sur ma cuisse. Une fois réchauffée, je la serre entre mes jambes, avant qu’il n’entreprenne à nouveau de défaire le bouton que le froid m’avait fait refermer. Cette fois il s’aventure plus haut, beaucoup plus haut et je frémis. Tout de même, que fait-il ? Que veux-t-il ? Il n’ignore pas les regards de Julio. J’ai déjà remarqué qu’il observait notre passager dans le rétroviseur. Je suppose que Julio peut voir jusqu’à mi-cuisse, le siège masquant le reste. Mais il peut voir mes mouvements et entendre mes gémissements retenus. La situation devient étrange. Mon mari m’excite, ses doigts maintenant sur mon sexe, tout en laissant Julio comme témoin. Je me sais observée et comme exhibée par mon mari. Je voudrais que JF arrête mais je ne fais rien pour, au contraire peut être, je glisse sur mon siège pour mieux profiter et donner davantage de mes cuisses aux yeux de Julio. Je suis excitée, par cette situation inédite, l’auréole sur ma culotte en témoigne. Je me relève pour mettre un semblant d’ordre à ma tenue, baisse le pare soleil pour vérifier mes cheveux dans le miroir et observer notre compagnon de route. Je suis certaine de son trouble.
Un temps de calme bienvenu pour laisser au chauffeur le temps de négocier quelques passages cahoteux de la piste et éviter quelques éboulis. De nouveau le sable doux sous les roues, la main revient un peu plus haut sur les cuisses avant que progressivement les doigts atteignent la tache humide de ma culotte. Chair de poule et frémissements. Troublée par mon propre abandon, mon excitation au contact de la main de mon mari et du regard que j imagine du voyageur à l’arrière. Il y aura de multiples alternances. Mon mari, attentif à la route, reprend ses deux mains puis revient sur ma peau chaque fois plus intimement. J’ai beaucoup de mal a contrôler mes mouvement et mes gémissements lorsque finalement les doigts glissés sous le tissus caressent mes lèvres et les écartent. Je m’avachis sur le siège laissant à découvert mes cuisses écartées. Je suis sur le miroir de courtoisie le visage de Julio que j’entends avaler sa salive. Je ne comprends pas mon mari, ni pourquoi je reste sans réaction ou plutôt, pourquoi je suis excitée d’être ainsi observée, emportée, dans le plaisir naissant. Situation nouvelle, que cherche ainsi mon mari en excitant les instincts de tous ? Mes tétons pointent au travers de la chemise, je sais que le miroir permet a Julio de se rincer l’œil et j’en suis excitée. La sage épouse se dévergonde. L’ambiance est électrique quand nous rejoignons l’asphalte. Quelques kilomètres encore et le restaurant du col nous accueille. Je me réajuste, me couvre, m’emmitoufle et on entre.
Personne en cette saison, en semaine. La patronne nous installe et papote avec Julio qu’elle connait. Je reste sous mon étonnement, mes émotions, mon trouble. J’ai le sentiment qu’il en est de même pour les trois voyageurs.
Assise à côté de mon mari et face a Julio je prends le temps de le détailler. Il me sourit ses yeux semblent me dire son trouble et un désir que je refuse de lire. Plus tard son pieds touche le mien que je recule, il l’avance encore, je ne bouge plus. Ce contact me fait frissonner. Je prends conscience que je lui plais et j’en reste troublée. On parle peu sauf des paysages comme pour oublier ce qui se passe. JF a sa main sur ma cuisse sous la table et le pied de Julio remonte sur ma jambe. Je subis sans refuser. Qu’elle histoire ! Moi l’épouse fidèle et réservée me voici dans une situation extravagante ou le comportement inhabituel et surprenant de mon mari m’engage sur un chemin inconnu du désir et de l’excitation sexuelle.
Ce garçon est beau, je soutiens ses regards de désir. Je suis aussi dans l’excitation. Mon sexe toujours humide depuis ce trajet bizarre. L’épouse perd son équilibre, ses repères. Je me sens attirée physiquement par ce jeune homme et comme libérée par cette exhibition voulue par mon mari. Je suis fébrile, et ne pense qu’excitation.
Je vais aux toilettes, il serait temps de se calmer. Un tit pipi et un peu d’eau fraiche sur le visage devrait remettre les idées en place.
Quand je sors, Julio m’attend, il saisit ma main et m’entraine au travers des cuisines puis du salon des propriétaires avant d’atteindre une terrasse au soleil avec une vue incroyable sur le paysage de lave et de minéraux. « Regarde, c’est fou n’est ce pas ! » Il est dans mon dos, ses mains sur mes épaules. Je sens son souffle dans mon cou. Ses mains se ferment sur ma nuque il dépose un baiser derrière l’oreille. Frisson garanti. Les compliments pleuvent alors, non plus sur le paysage mais sur mes jambes, ma poitrine qu’il a deviné, mon visage, mon sourire, mes épaules, mes fesses…Pas envie de résister même si je sais que c’est une folle bêtise que je vais faire. Notre désir est impulsif et incontrôlable. Un instant de lucidité : « arrête ! Si mon mari venait ? » Julio répond « ne t’inquiète pas Dorita, la patronne s’en occupe » Je ne réfléchi plus, trop attirée par la raideur du membre de mon futur amant que je mesure au travers des tissus qui nous séparent encore. Il pelote mes seins, je me cambre pour lui tendre et que son sexe se bloque dans mes reins. Urgence, violence presque. Je vais tromper mon mari. Je ne peux résister, pire j’ai envie du sexe de Julio, envie d’être prise. Il me retourne m’allonge maladroitement sur un banc en écartant ma culotte, j‘ouvre mes cuisses. Je l’aide à défaire sa ceinture et empalme son sexe gonflé et raide que je veux en moi. Inconfortable mais qu’importe il y a urgence, imminence du besoin. La fermeture éclair de ma jupe griffe ma fesse lorsqu’il me pénètre pour la première fois. Premier sexe autre que celui de mon mari à me prendre depuis que je suis mariée, jamais un autre homme que lui ne m avait touchée. Et je suis là culbutée sur une terrasse en plein soleil par un inconnu. Notre excitation est vibrante, violente, urgente. Il me défonce, je suis trempée je balance littéralement mon sexe sur le pieux puissant que je veux au fond de moi. Quand il éjacule son étreinte est brutale à m’étouffer. Je ne retiens pas le cri de mon orgasme. Les muscles de mon vagin sucent et palpitent sur la queue qui se vide comme pour l’avaler au fond de moi.
Je ne le garde pas longtemps, il faut retourner et paraitre…Il se retire encore bien raide.
Ma petite culotte souillée restera sous le pot de géranium du balcon, souvenir de mon adultère.
JF s’étonne de la durée de mon absence, je parle de la vue extraordinaire depuis la terrasse en bredouillant. La patronne dévie habillement la conversation. Julio revient à son tour, un peu trop tôt sans doute, et son regard inquiet, tête basse vers mon mari, ne me rassure pas.
Quelques minutes plus tard nous prenons congé, c’est à peine si j’ose rendre a Julio son abrazo et plus maladroit encore, il lance : « il y a longtemps que vous êtes mariés ? ». Je m’engouffre dans la voiture laissant JF répondre et simule une grande fatigue, bien calée dans la voiture, pour dormir sur la route de Santa Rosa, Julio, lui, continue vers Cordoba.

Ma libido sera délirante et débridée les jours et nuits suivants. JF s’étonnera de la griffure sur ma fesse et de mon entrain sexuel…Un doute ? …

Souvenir ressuscité de 2008, un adultère ou le prélude aux autres aventures voulues et choisies en commun ? En tout cas aujourd’hui c’est révélé…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Probablement l un des textes qui ma le plus fait vibré....

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Didier, une chance de te lire ici....hace tanto tiempo....
Disparues mes lectures quotidiennnes...bises

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Bonjour Muse,
Le hasard me fait tomber sur ce texte qui, comme les autres, m'a bien excité, quoique un peu moins poétique qu'à ton habitude...
Didier

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Merci...j'écris et publie mon journal...cet aveu tardif n'en fait pas partie

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belle histoire et sensations fortes, qui si l'on comprend bien, furent prémices à d'autres? Que nous attendons de lire ! Zootman



Texte coquin : En route vers La Calamuchita et… l’adultère.
Histoire sexe : Une rose rouge
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