En vacances partie 1
Récit érotique écrit par PetiteBibiche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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En vacances partie 1
A cette époque, j’étais loin de me douter de ce que j’allais vivre. En termes
d’expérience sexuelle, ça allait loin. Heureuse expérience, décidément avant de me
caser, j’aurai tout fait. Des fois, je me faisais l’effet d’une vraie dévergondée.
Certes, dans ces expériences je tenais souvent la place de la chienne en chaleur, mais
après tout, n’est-ce pas ce que les hommes aiment aussi ? J’ai eu souvent de la
chance, tout le temps, en tombant sur des partenaires qui aimaient ce genre de jeux,
et surtout me respectaient. Pour eux, je n’étais jamais une pute, seulement une femme
qui aimait le sexe.
J’ai adoré une fois de plus cette expérience, après bien des réticences.
Nous sommes en Mai 2010. J’ai 20 ans. Il faisait déjà chaud. Nous avions décidé avec
Stéphane de partir en vacances en Corse, dans une superbe villa, près d’Ajaccio. Je
commençais à me lasser de nos petits jeux dominants-dominés, et ces vacances tombaient
à point nommé. C’est un ami à lui, qui nous avait invités, et je rêvais depuis
longtemps de partir sur cette petite île d’une beauté rare.
Son ami, était aussi beau que lui, grand, sec, blond aux yeux gris. Il avait une aura
de douceur et en même temps de leader ; il était assez autoritaire. Il avait très bien
réussi dans sa vie, styliste, il avait son propre Show-room. Voilà comment j’ai revu
un ancien camarade de classe : Simon.
- Oh mon Dieu ! m’exclamai-je en voyant Simon sur le perron. C’est pas possible
!
- Et si, comme tu vois, dit Simon. Comment vas-tu ? ajouta-t-il en me faisant la
bise et me prenant par la taille et serrant légèrement ses doigts autour de mes
formes.
Ce geste assez intime, apparaissait tout naturel avec Simon, à cause de son attitude.
Il était naturellement fait pour commander… avec douceur. Il respirait la virilité et
l’élégance. Il portait une chemise blanche entrouverte au col, un jean bleu bleached
une chaîne en argent, et une chevalière. Mais, j’ai fondu au moment où j’ai senti son
parfum. Un parfum assez capiteux, certainement un « Press to Play Intense ». J’avais
la tête qui tournait. Les garçons ont sorti les bagages du coffre. Puis, nous sommes
allés sur la terrasse à l’arrière de la villa, prendre un rafraîchissement. Plus
j’observais Simon, plus je me sentais fondre. En même temps, j’étais en colère.
Stéphane connaissait très bien mes penchants, et plus encore l’amour passionnel qui
m’avait détruite pour Simon neuf ans plus tôt. Comment avait-il pu jouer ainsi ?
Etait-il finalement aussi sadique que les jeux de rôles que nous faisions ensembles ?
Sur la terrasse, Simon nous a fait asseoir, de façon à ce que je sois entre eux deux.
- Que veux-tu boire, ma belle Nadège ? me demanda Simon.
- Après cette route, juste de l’eau merci, dis-je.
- Tu n’as pas changé, dit Simon goguenard.
- Pourquoi dis-tu ça ? Tu ne me connais pas, répliquai-je en prenant la mouche.
Je ne pus éviter de voir le regard que Stéphane et Simon se sont échangés avec un
sourire en coin. Non d’une pipe, Simon était toujours aussi craquant !! Je fis la
moue.
- Ne le prends pas mal, dit Simon gentiment. Je rigolais.
Il posa sa main droite sur ma cuisse et la glissa doucement sous mon jupon.
- Que fais-tu ? Je ne crois qu’on se connaisse assez pour que tu te permettes de
faire ça.
Je pris sa main pour la retirer, il s’accrocha à mes doigts. Sa main était douce et
chaude, son regard me transperçait. Il réveillait de vieux sentiments, si bons et si
douloureux. J’eus soudain très, très chaud, j’avais du mal à respirer.
- Où est la salle de bain ? demandai-je.
- Troisième porte, couloir de gauche, au premier étage.
Je me levais, et partie précipitamment. Pourquoi Stéphane me faisait ça ? Il me
rattrapa dans le couloir devant l’escalier.
- Tu vas bien ? Qu’est-ce que tu as ? ça te gène à ce point de revoir Simon ?
- Pourquoi me fais-tu ça ? Tu connais mes sentiments pour Simon pourtant,
chuchotai-je.
- C’est excitant de te voir comme ça…
- Comme quoi ?
- Dévorer par la passion, sourit Stéphane. Regarde-toi tu es toute chose, tu ne
contrôles plus ce que tu ressens. Tu es… toute chaude. Je suis même jaloux, avec moi,
ça ne t’arrives pas. Enfin, pas comme ça !
Il me plaqua contre le mur, m’embrassa. Il fit glisser ses mains sur mes seins, sur
mes hanches et les serra fort entre ses doigts. Il m’écarta les cuisses avec sa jambe.
J’avais envie de me frotter contre lui.
Il me laissa finalement sur ma faim, je montais dans la salle de bain. J’étais en âge.
Je m’aspergeais d’eau fraîche. Mon jupon était tout mouillé, mon débardeur encore
plus. On voyait les auréoles de mes tétons. Soudain, Simon entra dans la petite salle
de bain au style Louis XVI.
- Tu vas bien ? Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise.
- Arrête ton amabilité, je sais bien pourquoi Stéphane m’a emmenée ici.
- Tu es très belle toute mouillée, et encore plus quand tu es gênée… en colère.
Il s’est rapproché de moi dangereusement, je sentais son parfum, son odeur. J’en avais
la tête qui tournait. Mon cœur battait la chamade. Ma poitrine qui se soulevait vite
trahissait mon excitation et ma gêne.
- C’est drôle, je t’ai toujours trouvée belle. J’ai toujours eu envie de
t’embrasser. Je peux ? demanda Simon en se rapprochant encore.
Il était à deux centimètres de mon visage. Je n’osais pas le regarder dans les yeux,
je fixais la chaîne qu’il avait autour du coup. Finalement, je me suis laissé aller
contre son torse. Sa chemise en lin était douce, contre ma joue. Il a posé une main
sur mes cheveux et les a humés.
- Tu sens bon, dit Simon. Et ton cœur bat à cent à l’heure. Calme-toi tu vas
faire un malaise.
Je n’avais jamais eu la chance d’être aussi près de Simon, contre son corps. La tête
me tournait de plus en plus. Il prit mon visage en coupe dans ses mains, ce qui
m’obligea à le regarder dans les yeux. Je sentais son souffle chaud sur mon visage,
sur mes lèvres. Il déposa un premier baiser, tout doux sur mes lèvres. Je me laissais
faire, j’étais trop retournée pour dire non. Je sentais mon sang bouillir dans mes
veines. J’avais certainement la culotte toute mouillée, j’en avais mal au bas du
ventre. Mes hormones étaient en train de travailler. Simon m’embrassa plus
passionnément. Cette fois-ci je sentis mes jambes défaillir, Simon me rattrapa. Il me
porta dans une chambre. Elle était magnifique, avec des persiennes. Il me déposa sur
le lit. Je me sentais entre deux mondes. Qu’avait-il mis dans l’eau ? Impossible que
mes hormones soient seules responsables de mon malaise. Mes yeux se fermaient touts
seuls. Je le vis s’asseoir près de moi, sur le lit. Il me caressait les bras, les
hanches, passa ses mains sur mes fesses, sous la jupe. Il me pelota comme ça,
redescendit le long de mes jambes. Je ne sentais presque plus mon corps. Je me sentais
fatiguée. Je le vis me déshabiller, me regarder, me toucher. Mais rien de plus.
- Je t’aurai, dit Simon. Je vais enfin pouvoir goûter ton corps, ma petite
Nadège. Je vais me régaler.
Je le vis ressortir, puis je me suis endormie.
d’expérience sexuelle, ça allait loin. Heureuse expérience, décidément avant de me
caser, j’aurai tout fait. Des fois, je me faisais l’effet d’une vraie dévergondée.
Certes, dans ces expériences je tenais souvent la place de la chienne en chaleur, mais
après tout, n’est-ce pas ce que les hommes aiment aussi ? J’ai eu souvent de la
chance, tout le temps, en tombant sur des partenaires qui aimaient ce genre de jeux,
et surtout me respectaient. Pour eux, je n’étais jamais une pute, seulement une femme
qui aimait le sexe.
J’ai adoré une fois de plus cette expérience, après bien des réticences.
Nous sommes en Mai 2010. J’ai 20 ans. Il faisait déjà chaud. Nous avions décidé avec
Stéphane de partir en vacances en Corse, dans une superbe villa, près d’Ajaccio. Je
commençais à me lasser de nos petits jeux dominants-dominés, et ces vacances tombaient
à point nommé. C’est un ami à lui, qui nous avait invités, et je rêvais depuis
longtemps de partir sur cette petite île d’une beauté rare.
Son ami, était aussi beau que lui, grand, sec, blond aux yeux gris. Il avait une aura
de douceur et en même temps de leader ; il était assez autoritaire. Il avait très bien
réussi dans sa vie, styliste, il avait son propre Show-room. Voilà comment j’ai revu
un ancien camarade de classe : Simon.
- Oh mon Dieu ! m’exclamai-je en voyant Simon sur le perron. C’est pas possible
!
- Et si, comme tu vois, dit Simon. Comment vas-tu ? ajouta-t-il en me faisant la
bise et me prenant par la taille et serrant légèrement ses doigts autour de mes
formes.
Ce geste assez intime, apparaissait tout naturel avec Simon, à cause de son attitude.
Il était naturellement fait pour commander… avec douceur. Il respirait la virilité et
l’élégance. Il portait une chemise blanche entrouverte au col, un jean bleu bleached
une chaîne en argent, et une chevalière. Mais, j’ai fondu au moment où j’ai senti son
parfum. Un parfum assez capiteux, certainement un « Press to Play Intense ». J’avais
la tête qui tournait. Les garçons ont sorti les bagages du coffre. Puis, nous sommes
allés sur la terrasse à l’arrière de la villa, prendre un rafraîchissement. Plus
j’observais Simon, plus je me sentais fondre. En même temps, j’étais en colère.
Stéphane connaissait très bien mes penchants, et plus encore l’amour passionnel qui
m’avait détruite pour Simon neuf ans plus tôt. Comment avait-il pu jouer ainsi ?
Etait-il finalement aussi sadique que les jeux de rôles que nous faisions ensembles ?
Sur la terrasse, Simon nous a fait asseoir, de façon à ce que je sois entre eux deux.
- Que veux-tu boire, ma belle Nadège ? me demanda Simon.
- Après cette route, juste de l’eau merci, dis-je.
- Tu n’as pas changé, dit Simon goguenard.
- Pourquoi dis-tu ça ? Tu ne me connais pas, répliquai-je en prenant la mouche.
Je ne pus éviter de voir le regard que Stéphane et Simon se sont échangés avec un
sourire en coin. Non d’une pipe, Simon était toujours aussi craquant !! Je fis la
moue.
- Ne le prends pas mal, dit Simon gentiment. Je rigolais.
Il posa sa main droite sur ma cuisse et la glissa doucement sous mon jupon.
- Que fais-tu ? Je ne crois qu’on se connaisse assez pour que tu te permettes de
faire ça.
Je pris sa main pour la retirer, il s’accrocha à mes doigts. Sa main était douce et
chaude, son regard me transperçait. Il réveillait de vieux sentiments, si bons et si
douloureux. J’eus soudain très, très chaud, j’avais du mal à respirer.
- Où est la salle de bain ? demandai-je.
- Troisième porte, couloir de gauche, au premier étage.
Je me levais, et partie précipitamment. Pourquoi Stéphane me faisait ça ? Il me
rattrapa dans le couloir devant l’escalier.
- Tu vas bien ? Qu’est-ce que tu as ? ça te gène à ce point de revoir Simon ?
- Pourquoi me fais-tu ça ? Tu connais mes sentiments pour Simon pourtant,
chuchotai-je.
- C’est excitant de te voir comme ça…
- Comme quoi ?
- Dévorer par la passion, sourit Stéphane. Regarde-toi tu es toute chose, tu ne
contrôles plus ce que tu ressens. Tu es… toute chaude. Je suis même jaloux, avec moi,
ça ne t’arrives pas. Enfin, pas comme ça !
Il me plaqua contre le mur, m’embrassa. Il fit glisser ses mains sur mes seins, sur
mes hanches et les serra fort entre ses doigts. Il m’écarta les cuisses avec sa jambe.
J’avais envie de me frotter contre lui.
Il me laissa finalement sur ma faim, je montais dans la salle de bain. J’étais en âge.
Je m’aspergeais d’eau fraîche. Mon jupon était tout mouillé, mon débardeur encore
plus. On voyait les auréoles de mes tétons. Soudain, Simon entra dans la petite salle
de bain au style Louis XVI.
- Tu vas bien ? Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise.
- Arrête ton amabilité, je sais bien pourquoi Stéphane m’a emmenée ici.
- Tu es très belle toute mouillée, et encore plus quand tu es gênée… en colère.
Il s’est rapproché de moi dangereusement, je sentais son parfum, son odeur. J’en avais
la tête qui tournait. Mon cœur battait la chamade. Ma poitrine qui se soulevait vite
trahissait mon excitation et ma gêne.
- C’est drôle, je t’ai toujours trouvée belle. J’ai toujours eu envie de
t’embrasser. Je peux ? demanda Simon en se rapprochant encore.
Il était à deux centimètres de mon visage. Je n’osais pas le regarder dans les yeux,
je fixais la chaîne qu’il avait autour du coup. Finalement, je me suis laissé aller
contre son torse. Sa chemise en lin était douce, contre ma joue. Il a posé une main
sur mes cheveux et les a humés.
- Tu sens bon, dit Simon. Et ton cœur bat à cent à l’heure. Calme-toi tu vas
faire un malaise.
Je n’avais jamais eu la chance d’être aussi près de Simon, contre son corps. La tête
me tournait de plus en plus. Il prit mon visage en coupe dans ses mains, ce qui
m’obligea à le regarder dans les yeux. Je sentais son souffle chaud sur mon visage,
sur mes lèvres. Il déposa un premier baiser, tout doux sur mes lèvres. Je me laissais
faire, j’étais trop retournée pour dire non. Je sentais mon sang bouillir dans mes
veines. J’avais certainement la culotte toute mouillée, j’en avais mal au bas du
ventre. Mes hormones étaient en train de travailler. Simon m’embrassa plus
passionnément. Cette fois-ci je sentis mes jambes défaillir, Simon me rattrapa. Il me
porta dans une chambre. Elle était magnifique, avec des persiennes. Il me déposa sur
le lit. Je me sentais entre deux mondes. Qu’avait-il mis dans l’eau ? Impossible que
mes hormones soient seules responsables de mon malaise. Mes yeux se fermaient touts
seuls. Je le vis s’asseoir près de moi, sur le lit. Il me caressait les bras, les
hanches, passa ses mains sur mes fesses, sous la jupe. Il me pelota comme ça,
redescendit le long de mes jambes. Je ne sentais presque plus mon corps. Je me sentais
fatiguée. Je le vis me déshabiller, me regarder, me toucher. Mais rien de plus.
- Je t’aurai, dit Simon. Je vais enfin pouvoir goûter ton corps, ma petite
Nadège. Je vais me régaler.
Je le vis ressortir, puis je me suis endormie.
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